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EPIGRAPHE
La sainte BIBLE
II
DEDICACE
A mon cher père SANGWA KILONDA GASTON pour les encouragements, les
sages conseils et ta rugueuse caractérisant ton amour paternel.
A ma mère LWAMBA KAITE REGINE pour ton affection et tes conseils tant
manifeste à mon égard.
A vous tous qui d’une manière ou d’une autre ont contribué à la rédaction de ce
travail.
NYEMBO NGOIE MECHACK
III
AVANT-PROPOS
D’une manière particulière nos penses vont tout droit à notre directeur KITAMBO
Freddy, qui en depuis de ses multiples occupations a accepté la direction de ce travail que le
très haut le bénisse abondamment.
A nos maitres dans la science nous citons ici : le professeur ordinaire Dr MUYUMBA
Emmanuel, professeur YURI BAKARI, Ass. JEAN-CLAUDE Bahane, Ass MULAJI Odon,
Mr KIABU Guy…qu’ils se sentent heureux de n’avoir pas perdu leur temps pour rien au
cours de notre formation. Par ceci … Maitres recevez Vos remerciements venant de notre
cœur… que le bon DIEU vous soit miséricordieux pour toujours…
A vous mes familles : NZUNGU Mado, LEYA Irène, NGONGO Michel ; KIZITO
Charles que cette œuvre soit pour vous un signe de responsabilité manifesté à mon égard.
Et à vous tous que je n’ai pas cité recevez à travers cette dernière notre profonde
gratitude.
INTRODUCTION GENERALE
1. PRESENTATION DU SUJET
La césarienne étant un accouchement artificiel par voie haute, elle a une morbidité et
modalité d’accouchement qui ne cesse d’augmenter à travers le monde, surtout en Afrique où
elle contribue à réduire la morbidité et la mortalité maternelle et infantile. La prise en charge
anesthésique pour une césarienne est une anesthésie à risque en raison des modifications
physiologique que présente la femme enceinte. La mortalité liée à l’anesthésie pour une
césarienne est 17 fois plus supérieure sous anesthésie générale que sous ALR. Néanmoins la
pratique de l’AG en milieu a ressource limiter reste une technique appropriée à la prise charge
de cette dernière à d’extrême urgence.
Le choix du sujet n’était pas un fait d’hasard. Loin d’être un séchoir scientifique du
savoir, il cadre beaucoup plus avec notre filière. Lors de notre pratique professionnel ou stage,
notre attention était focalisée sur le fait que la fréquence progressive des complications de
l’anesthésie générale per opératoire pour une césarienne effectuée sous AG, raison pour
laquelle nous avions voulu pousser nos recherches et dont les résultats pourront intéressent
dans la mesure de possible :
3. ETAT DE LA QUESTION
4. PROBLEMATIQUE
5. HYPOTHESES
Les facteurs qui pourraient expliquer les problèmes per opératoires de la prise
en charge de césarienne sous anesthésie générale seraient liées soit à la parturiente, à
l’anesthésie ou à la chirurgie et que cette situation pourrait être entretenue entre autre par :
6. OBJECTIFS DU TRAVAIL
Objectif générale : réduire les complications peropératoires de l’anesthésie générale
pour césarienne en milieu à ressource limité par une meilleure prise en charge
anesthésique péri opératoire.
Objectifs spécifiques : déterminer la fréquence des complications peropératoire de
l’anesthésie générale pour une césarienne ; améliorer les conditions de prise en
charge peropératoire ; identifier les facteurs qui concourent à la mauvaise prise en
charge des complications per opératoire.
7. DELIMITATION DU SUJET
Dans le temps, notre travail à couvert la période allant de janvier 2018 à mai 2019 et
dans l’espace il est porté sur l’hôpital général de référence MWANGEJI.
8. METHODOLOGIE
Il s’agit d’une étude descriptive transversale à viser rétrospective sur l’analyse des
données de prise en charge peropératoire de complications de l’anesthésie générale pour
césarienne appuyer par différentes techniques de recherche à savoir :
L’analyse documentaire
Le questionnaire accompagné par l’entretien
Et l’observation directe
9. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Enfin, mise à part une introduction générale et une conclusion générale, notre travail
sera subdivisé en deux parties, une théorique et l’autre pratique. La partie théorique parlera de
généralités de l’évaluation des complications per opératoire de l’AG pour césarienne. La
deuxième partie aura comme mission de présenter le lieu de recherche, de la méthodologie et
de la présentation de résultats obtenus.
4
Selon Michel Vial, l’évaluation est le rapport que l’on entretient avec la valeur.
L’homme est rapporteur de valeur qu’il a reçue plus au moins consciemment, qu’il convoque
pour mesurer la valeur d’objet ou de produit pour contrôler les procédures, (vérifier leur
conformité) ou encore interroger (rendre intelligible) le sens de ses pratiques. S’interroger sur
la valeur, rendre intelligible les pratiques ou moyen de l’évaluation située.1
I.I.2. COMPLICATION
En santé publique, une complication se définit aussi par l’apparition au cours d’une
maladie, d’une intervention chirurgicale, d’un traitement d’un phénomène pathologique
nouveau entrainant une aggravation de la situation anti linéaire ou initiale donc ça peut
signifier aussi une évolution défavorable d’une maladie, d’un état de santé ou d’un
traitement.2
L’anesthésie générale (AG) est un acte médical dont l’objectif principal est la
suspension temporaire et réversible de la conscience et de la sensibilité douloureuse obtenue à
l’aide des médicaments (drogues anesthésiques) administrés par voie intraveineuse et par voie
respiratoire. A cet effet l’objectif essentiel permettant la réalisation sans mémorisation et sans
douleur des interventions chirurgicaux et de certains examens invasifs s’associe à la nécessité
d’une surveillance continue et souvent d’un contrôle artificiel (physique ou la
pharmacologique) des fonctions vitales telle que : la respiration (fréquence respiratoire et
volume respiratoire, oxymétrie), l’hémodynamique (fréquence et rythme cardiaque et la
pression artérielle) , thermorégulation, tonus musculaire.3
1
Michel Vial, l’évaluation, 2013
2
Site internet : http// : www.wikipedia .org/wiki/ complication (médecin)
6
I.I.5. CESARIENNE
L’anesthésie générale (AG) est l’ensemble des techniques qui permettent la réalisation
d’un acte chirurgical, obstétrical ou médical (endoscopie, radioscopie…) en suppriment la
douleur.
C’est un état comparable au sommeil, produit par l’injection des médicaments par
voie intraveineuse et ou/ par la voie respiratoire de vapeur anesthésique à l’aide d’un
dispositif approprié. L’anesthésie générale se caractérise par :
3
Guy Kyabu, Cours inédit d’anesthésie générale 2e graduat 2017-2018
4
Site internet : https:// www. Journal openedition.org / éthique politique
5
Guy Kyabu, Cour inédit d’anesthésie générale 2e graduat 2017-2018
7
L’anesthésie générale(AG) à son début était liée à l’art dentaire. Docteur Horace
Wells était dentiste, il découvert les vertus analgésiantes de protoxyde d’azote(N2O) qu’il
utilisa pour les extractions dentaires. Ce fut ensuite Docteur William Thomas Green Morton
(1819-1868) qui utilisa de l’éther pour la même indication. L’éther va ensuite laisser la place
à un nouveau produit, le CHLOROFORME. C’est un gynécologue-obstétricien, Sir James
Young Simpson qui effectue la première anesthésie générale par le chloroforme lors d’un
accouchement ; arriver en 1847 l’anesthésie fut développé comme une pratique médicale à
part entière par deux Anglais : Joseph Clover et John Snow. La célébrité de Clover fut liée à
la conception d’inhalateur, permettant de doser très précocement les proportions d’éther ou de
chloroforme à administre. John Snow quant à lui, est un précurseur de talent puisqu’il décrit
avant GUEDEL (1920) les principaux signes cliniques de l’anesthésie générale et invente le
premier vaporisateur afin de permettre un meilleur contrôle de la profondeur d’anesthésie
générale.
En 1844 Claude Bernard découvre que le curare agit sur la jonction neuromusculaire
entrainant une paralysie et une baisse du tonus musculaire. Sous l’effet du curare, les muscles
ne fonctionnent plus et les poumons s’immobilisent. En 1860, Claude proposa l’anesthésie
combinée en associant de morphine et le chloroforme. Cette association est devenue
aujourd’hui celui de l’anesthésie balancée où l’on associe un hypnotique, un analgésique et
un myorelaxant administré par voie intraveineuse ou intramusculaire. 5
L’indication de l’anesthésie générale est donc représentée par tous les actes dont les
caractères douloureux ou désagréables les rendent insupportable chez les sujets conscients.
Ceci est assez clair pour les actes de chirurgie profonde mais peut être discutable pour certains
actes peu douloureux. On arrive alors à la frontière de l’indispensable et du confort. Il est
cependant sur que les indications de l’AG sont plus larges qu’autrefois et plus large dans le
pays à fort développement économique. En premier, le refus du patient de technique
d’anesthésie locorégionale est une indication de l’anesthésie générale. Dans les autres
situations, les indications respectives de deux types de techniques dépendant du site
opératoire, de sa durée et les habitudes de l’équipe de l’anesthésie.6
6
HAS, Indication et contre-indication de l’AG pour les actes courants.PDF (juin 2005)
8
La prévention du syndrome cave par un coussin sous fesse droite ou une inclinaison
gauche marqué de la table ;
La prévention de l’embolie gazeuse lors de la délivrance par un léger proclive et
La prévention des compressions dues au positon, fréquentes sur de tissus nerveux
sensibilisés par la grossesse. Deux voies veineuse périphérique de gros calibre 14G ou
16G sont mises en place.
7
SFAR et conférences d’actualisation, Anesthésie pour césarienne en urgence, congrès national
d’anesthésie et réanimation. Paris, Elsevier : 2001, pg9 (PDF)
9
volume de liquide amniotique aspiré est noté pour permettre une mesure précise des pertes
hémorragiques.
L’anesthésie est entretenue par des agents halogénés ou des agents hypnotiques
intraveineux. L’analgésie est obtenue par des morphiques après clampage du cordon. Le
réveil est réalisé sur table, après la manœuvre d’expression utérine. L’extubation comporte les
mêmes risques d’inhalation de liquide gastrique que l’induction. 8
La césarienne est une intervention chirurgicale visant, chez une femme enceinte, à
extraire l’enfant par voie abdominale. Parfois réalisée en urgence devant une pathologie
maternelle ou fœtale sévère, elle concerne 14 à 20% des accouchements en France.
8
Cours-en PDF de césarienne 2011
10
volume plasmatique (+40%) d’où la constitution d’une anémie relative physiologique chez la
femme enceinte (hémoglobine normale : 11g, hématocrite normal 33%).9
Par ailleurs, il existe une baisse des résistances périphérique (et une baisse modérée de
la pression artérielle maternelle) par un mécanisme probablement hormonal où semblent
également impliquées les prostaglandines, contribuant à améliorer les débits de perfusion
utérine et rénal. Cette vasodilatation pourrait être le facteur physiopathologique initial
conduisant à l’élévation du débit cardiaque, l’activation du système rénine-angiotensine-
aldostérone et en définitive à une rétention hydro sodée.
Dès le 4e mois de grossesse, il existe une compression des gros vaisseaux, aorte et
surtout veine cave inferieur qui est due à l’augmentation de volume et de poids de l’utérus.
Cette obstruction aorte cave fortement majorée par le décubitus dorsal est à l’origine d’une
augmentation de la pression dans le territoire veineux d’amont. Ceci entraine plusieurs
phénomènes entre autres :
b) Modifications respiratoires
En pratique, la pré oxygénation (PO) s’avère fondamentale avant une intubation rapide
et douce, la muqueuse naso-pharyngolaryngée de la femme enceinte étant fragilisée par un
engorgement capillaire. Il est volontiers conseillé d’utiliser une sonde trachéale de diamètre
légèrement inférieure à celui que l’on emploierait en dehors de la grossesse (sonde N° 6,5 à
7).
Césarienne programmée
Actuellement, il existe une grande disparité dans les indications mais d’une manière
générale seul l’état de la mère et de l’enfant en reste les déterminants majeurs10
10
Jean-Claude BAHANE, Cours inédit d’anesthésie selon les types d’interventions II, 2e graduat 2018-2019 (9)
13
Obstruction des voies aériennes supérieures +++ (chute de la langue, œdème glottique,
bronchospasme, laryngospasme)
Problème technique (ventilation et intubation impossible ou œsophagienne méconnue,
problème de respirateur, mélange gazeux).
Ces complications sont résolutives spontanément ou sous traitement bien conduit mais
potentiellement létales si elles ne sont pas dépistées à temps. Les complications respiratoires
sont les plus souvent fréquentes. Elles sont très souvent liées à l’agent anesthésique qui
provoque l’apnée et l’hypoventilation. Elles peuvent être dues à l’impossibilité d’intuber ou
de ventiler. Elles sont aggravées par les antécédents du patient et le type de chirurgie, elles
sont minimisées par une bonne évaluation préopératoire ou la consultation Pré anesthésique.
Elles sont peu fréquentes (1 à 2%), mais mettent en jeu le pronostic vital. Les
complications les plus fréquentes sont l’ischémie myocardique et l’infarctus du myocarde
(IDM), l’insuffisance cardiaque et les troubles du rythme. L’hypotension artérielle (hypo TA).
Œdème aigue du poumon : ce qui peut être à la base d’une surcharge volémie,
décompensation d’une insuffisance ventriculaire gauche ; arrêt cardio circulatoire, le plus
souvent d’origine d’hypoxie.
15
Les complications hémodynamiques sont rares mais potentiellement létales ; elles sont
beaucoup plus fréquentes en cas d’infarctus récent. L’hypotension est fréquente et liée aux
anesthésiques et à l’hypovolémie. Elle doit être rapidement contrôlée.12
Les complications rénales et neurologiques sont les complications les plus rares
qu’on peut rencontrer lors d’une césarienne sous anesthésie générale en per opératoire.
CAT : le traitement des baisses tensionelles per opératoire fait appel en premier lieu
à la diminution de la posologie d’administration des agents anesthésique, à un remplissage
vasculaire et à l’administration de médicament vasoconstricteur de système artériel résistif
et veineux capacitif. En pratique clinique ces médicaments vasoconstricteurs sont tous des
agonistes du système sympathique : EPHEDRINE, PHENYLEPHRINE et
NORADRENALINE.12
12
PIERRE CORIAT, Hypotension artérielle peropératoire, 2016
17
libération de la noradrénaline des granules de stockage, c’est pourquoi elle a une action alpha
indirecte et une action beta modeste, sa durée d’action est de 15 à 20 minutes.
II.2.2. HYPOXIE
CAT : pour faire face à l’hypoxie per opératoire, il faut recourir à un raisonnement
enchainé pour assurer une prise en charge convenable.
Tout d’abord, il faut commencer par éliminer les facteurs qui mettent en jeu la vie de
la patiente. La patiente a-t-elle un pouls ? Elle est stable sur le plan hémodynamique ?
Corrigez les anomalies hémodynamiques.13
Vérifiez ensuite si la patiente est bien liée à la machine et éliminez la possibilité d’une
intubation sélective ou d’une ventilation sifflante y va-t-il des secrétions ou un éventuel
bouton dans la sonde ? Corrigez les erreurs trouvées et recourez aux bronchodilateurs en cas
de sifflement.
13
Jean-Claude BAHANE, Cours inédit d’anesthésie selon les types d’interventions II 3e graduat 2018-2019
18
II.3.2. INDUCTION
Les hypnotiques les plus utilisés pour l’induction sont les suivantes : THIOPENTAL,
PROPOFOL ainsi que la KETAMINE.
Manœuvre de SELLICK(MS)
19
II.3.3. ENTRETIEN
Durant toute anesthésie, les paramètres vitaux sont surveillés et relevés dans un
document dans lequel on inscrit également les médicaments et les quantités administrés au
malade. La surveillance des paramètres en peropératoire tout comme en post opératoire
permet de déceler les complications et de réagir de manière adaptée.
Dans toutes les techniques non invasives utilisent couramment une contre pression est
appliquée sur l’artère d’un membre par un brassard gonflable, la poche du brassard est gonflée
par l’air à un niveau de pression supérieure à la systolique et cela d’une manière manuelle.
b) Le pouls
La prise de pouls est de manière la plus simple d’évaluer le rythme cardiaque. Les
pouls sont théoriquement symétriques c’est-à-dire qu’ils sont ressentis avec la même facilité à
droite et à gauche. Un pouls moins perçu d’un côté peut être un indice d’un problème situé sur
l’artère entre le lieu de palpation et l’aorte. Un pouls normal peut être parfois difficilement
perceptible du fait de la profondeur de l’artère. Pr opposition aux pouls périphériques, les
pouls centraux permettent de faire le diagnostic d’un arrêt cardiaque lorsqu’ils ne sont pas
perçus.
c) La fréquence respiratoire
II.4.1 SSPI :
Monitoring de SaO2.
15
ODON MULAJ, Cours inédit de monitoring 3e graduat anesthésie et réanimation 2018-209 monitoring respiratoire
21
Surveillance :
Du saignement,
Du globe utérin (utérus bien rétracté),
De la diurèse (urines bien claires c’est-à-dire pas de bistouri sur vessie).
22
III.1 HISTORIQUE
En 1997 le 28 juillet l’état congolais pris encore à la relève suite à la difficulté des
méthodistes aussi en 1997 avec le Dr mande, Dr KABWIT, Dr KANSWE c’est ainsi que
l’hôpital pour le moment est sous la responsabilité de l’état congolais.
Il est situé :
Le service de bloc opératoire est organisé comme suite : deux salles d’opérations,
trois salles de réveille dont chaque salle de réveille compte au moins deux lits ; dans les deux
salles d’opérations dans chaque salle d’opération il y a deux lits opératoires amovible, dans la
première salle d’opération nous avons comme matériels : Une machine d’anesthésie
fonctionnelle, une table d’anesthésie, un aspirateur, un concentrateur d’oxygène.
COMITE DE GESTION
COMITE DIRECTIER
MEDECIN DIRECTEUR
SECRETAIRE
PERCEPTION
GESTION DE SOURCES
GESTION DE MATERNITE ET
PATRIMOINE STAFF MED
ECHOGRQPHIE
MOUV ET STAFF HOP URGENCE
RADIOLOGIE
GESTION DE FINANCE
COMTABILITE
PMI
BLOC OPERATOIRE
DEPOT PHARMQCETIQUE
CAISSE
MEDECINE INTERNE
PHARMACIE
LABORATOIRE
BUDGET CHIRURGIE
SOURCES GENERAL
NUTRITION ET
PEDIATRIE DIETETIQUE
SECURITE
NEONATOLOGIE DENTISTERIE
GYNECO OBTETRIQUE
MORGUE KINESITERA
PIE
27
28
IV.1. METHODE
Pour ce qui est des techniques utilisées, nous avons recourus aux techniques
suivantes :
Une population est considérée comme un ensemble dans lequel nous allons tirer un
sous ensemble ou une partie qui sera soumis à l’expérimentation appelé échantillon.
C’est ainsi que nous avons eu 208 césarisés sous AG comme population et dont 35
césarisés avec complications per opératoire et 5 personnels pratiquants l’anesthésie. Comme
échantillon uniquement ceux ayant répondus à notre critère de sélection.
Pour faire partie de notre échantillon, il a fallu répondre aux critères de sélection
ci-après :
Notre critère d’acceptable a été de 70% c’est-à-dire pour être analysé et interprété
celle les questionnaires ayant obtenues au plus 70%.
Ouvrages
Registre des opérés
Papiers
Stylos
Calculatrice
La rédaction de ce présent travail, ne nous a pas été facile suite difficultés rencontrées
ci- après :
Tableau 1 : Répartition des césarisées par rapport aux opérés de janvier 2018 à Mai
2019.
CONSTAT :
De janvier à décembre 2018, on a eu 175 cas des césarisés sur 404 opérés soit 43,3%
De janvier à mai 2019, on a eu 53 cas sur 180 soit 23,2%
Et dans l’ensemble on a eu 228 cas sur 584 soit 39%
Cure d’hydrocèle 0 0
Lipomectomie 6 1
Plastie tubaire 0 0
Cautérisation 20 3,4
Suture 0 0
Autre 59 10
Total 584 100
CONSTAT :
CONSTAT :
CONSTAT :
Au vu de ce tableau qui traite des césarisés selon les complications, il ressort de ce qui
suit :
CONSTAT :
AG Effectif Pourcentage
Avec intubation 5 2,4
Sans intubation 203 97,5
Total 208 100
CONSTAT :
CONSTAT :
AR Effectif pourcentage
Pratiquant Anesthésies 4 80
A R de formation 1 20
Total 5 100
CONSTAT :
23 OUI
24 OUI
25 NON
26 NON
27 OUI
28 NON
29 NON
30 NON
CONSTAT :
DISCUSSION ET COMMENTAIRE
Vous conviendrez avec nous que certains de nos hypothèses se sont confiés à l’instar des
autres.
38
CONCLUSION GENERALE
A l’issue d’un long parcourt de toute la partie théorique et pratique de notre travail de
recherche, lequel s’intitulant « l’évaluation des complications per opératoire de l’AG pour
césarienne », nous avons en comme objectif générale celui de réduire les complications per
opératoire chez une césarisée sous AG dans une structure sanitaire à ressources limités.
L’analyse documentaire ;
Le questionnaire ;
Ainsi qu’à l’observation directe.
228 césarisées sur 584 opérés soit 39% de janvier 2018 à mai 2019 ;
208 césarisées sous AG soit 91% et 20 césarisées sous rachi- anesthésie soit 9% ;
35 césarisées sous AG avec complication per opératoire soit 16,8%
Et parmi les 35 césarisées sous AG avec complication en per opératoire, nous avons
connus 8 décès soit 22,9% et 27 guérisons soit 77,1%.
Vous conviendrez avec nous qu’au regard des résultats obtenus et tels que présentés,
notre objectif a été atteint.
39
SUGGETIONS ET RECOMMANDATIONS
A.
40
ANNEXE
REFERENCE BIBLIOGRAPHIQUE
I. OUVRAGES
2. HAS, Indication et contre-indication de l’AG pour les actes courants.PDF (juin 2005)
4. Guy Kyabu, Cour inédit d’anesthésie générale 2e graduat 2017-2018 ISTM /Kolwezi
5. Jean – Claude BAHANE, cours inédit d’anesthésie selon les types d’intervention 2 è graduat
2018 – 2019 ISTM /Kolwezi
DEDICACE..........................................................................................................................................II
AVANT-PROPOS..............................................................................................................................III
INTRODUCTION GENERALE.........................................................................................................1
1. PRESENTATION DU SUJET.................................................................................................1
3. ETAT DE LA QUESTION......................................................................................................1
4. PROBLEMATIQUE................................................................................................................2
5. HYPOTHESES.........................................................................................................................2
6. OBJECTIFS DU TRAVAIL....................................................................................................2
7. DELIMITATION DU SUJET.................................................................................................3
8. METHODOLOGIE..................................................................................................................3
9. SUBDIVISION DU TRAVAIL................................................................................................3
I.I.1. EVALUATION.............................................................................................................5
I.I.2. COMPLICATION........................................................................................................5
I.I.5. CESARIENNE..............................................................................................................6
I.2.1. DEFINITION................................................................................................................6
II.2.1. HYPOTENSION.........................................................................................................16
II.2.2. HYPOXIE...................................................................................................................17
II.3.2. INDUCTION...............................................................................................................18
II.3.3. ENTRETIEN...............................................................................................................19
II.4.1 SSPI :...........................................................................................................................21
III.1 HISTORIQUE....................................................................................................................23
IV.1. METHODE.....................................................................................................................27
a. Analyse documentaire :......................................................................................................27
b. Le questionnaire :...............................................................................................................27
c. L’observation directe :.......................................................................................................27
DISCUSSION ET COMMENTAIRE...............................................................................................34
CONCLUSION GENERALE............................................................................................................35
SUGGETIONS ET RECOMMANDATIONS..................................................................................36
ANNEXE.............................................................................................................................................37
REFERENCE BIBLIOGRAPHIQUE..............................................................................................39