CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE CANON 8
sages, les procédures juridiques devraient être améliorés Chaque fois que
Un avocat devrait aider à l'amélioration de
le système juridique CONSIDERATIONS
ETHIQUES CE 8-1 Changements dans les affaires humaines et les
imperfections dans les institutions humaines font des efforts de Stant
con- nécessaires pour maintenir et améliorer notre système juridique « .
Ce système devrait fonctionner de NER Homme- qui commande le
respect du public et favorise l'utilisation des voies de recours juridiques
pour obtenir réparation des ances griev-. En raison de l'éducation et de
l'expérience, les avocats sont particulièrement qualifiés pour
reconnaître ficiencies dé- dans le système juridique et d'initier des
mesures qui y sont cor- rective de. Ainsi, ils devraient par- ticiper à
proposer et à soutenir la législation et des programmes visant à
améliorer le système, 2 sans tenir compte de l'intérêt général ou des
désirs des clients ou anciens clients.3
CE Les règles du droit 8-2 sont déficients si elles ne sont pas
seulement, compréhensible, et répondre aux besoins de la société.
Si un avocat est d'avis que l'existence ou l'absence d'une règle de
droit, dural de fond ou procé-, cause ou contribue à un résultat
injuste, il doit s'efforcer par des moyens légaux pour obtenir des
changements propriées ap- dans la loi. Il devrait encou- la
simplification âge des lois et l'abrogation ou la modification des lois
qui sont dépassées. 4 Comme-
1 . [Un autre] tâche du grand avocat est de faire
sa part individuellement et en tant que membre du barreau organisé pour améliorer sa
profession, les tribunaux et la loi. Comme le président Theodore Roosevelt avait
justement, « Tout homme doit une partie de son temps à l'édification de la profession
à laquelle il appartient. » En effet, cette obligation est l'une des grandes choses qui
distingue une profession d'une entreprise. La solidité et la nécessité de la mise en
garde du président Roosevelt dans la mesure où elle se rapporte à la profession
d'avocat ne peut pas être mise en doute. Les progrès de la science et de la
technologie naturelle sont si surprenante et la vitesse du changement dans les affaires
et dans la vie sociale est si grande que la loi ainsi que les autres sciences sociales, et
même elle-même la vie humaine, est en grave danger d'être éteint par les nouveaux
dieux de sa propre invention si elle ne se réveillent pas de sa léthargie. Vanderbilt, Les
cinq fonctions de l'avocat: service aux clients et au public, 40 ABAJ 31, 31-32 (1954).
2 Voir ABA Canon 29; Cf. Cheatham, Le rôle de l'avocat et ses environs, 25 Rocky
Mt.L.Rev. 405, 406-07 (1953).
« L'avocat tenté par le repos devrait rappeler les coûts élevés payés par sa
profession lorsque la réforme juridique nécessaire doit être accompli grâce à l'initiative
des laïcs d'esprit civique. Là où le changement doit être repoussait sans sur une barre
peu disposés, image moins flatteuse du public l'avocat semble confirmé. l'avocat
concerné pour la position de sa profession sera, par conséquent, l'intérêt lui-auto
activement à l'amélioration de la loi. Ce faisant, il contribuera non seulement à
maintenir la confiance dans le bar, mais la satisfaction de répondre à une
responsabilité inhérente à la nature de sa vocation « . Re- professionnelle sponsibility:
Rapport de la Conférence conjointe, 44 ABAJ
1159, 1217 (1958).
3 Voir Stayton, Cum Honoré Off ICIUM, 19 Tex.BJ 765, 766 (1956); Responsabilité
professionnelle: Rapport de la Conférence conjointe, 44 ABAJ 1159, 1162 (1958); et
Paul,
L'avocat en tant que conseiller fiscal, 25 Rocky Mt.L.Rev. 412, 433-34 (1953).
4" Il y a quelques grandes figures de l'histoire du Barreau qui ne se sont pas
concernés par la réforme et
cela l'expérience indique qu'un changement est nécessaire. CE 8-3 La
bonne administration de la ré- de cahiers de justice la disponibilité des
avocats compétents. Les membres du public devraient être éduqués à
l'existence re- connaissent des problèmes juridiques et sultant re besoin pour
des raisons juridiques prestations de service, et devrait être pro- méthodes
vided pour la sélection intelligente de l'avocat. Les personnes incapables
de payer les services juridiques devraient être fournis les services
nécessaires. Les clients et les avocats ne devraient pas être pénalisés par
les restrictions indues géo- graphiques sur la représentation en matière
juridique, et la barre doit s'adresser à fin d'amélioration en matière de
licences, la réciprocité, et les procédures d'admission compatibles avec les
besoins du commerce moderne.
CE 8-4 Chaque fois qu'un avocat cherche des modifications
législatives ou administratives, il doit identifier la capa- cité où il
apparaît, que ce soit au nom de lui-même, un client ou du public. 5 Un
avocat peut plaider en faveur de ces changements au nom d'un
client, même si il ne sont pas d'accord avec eux. Mais quand un
avocat prétend agir au nom du public, il doit épouser que les
changements qu'il croit en conscience d'être dans l'inter- HNE
public.
CE 8-5, mensongères, ou autrement ille- gal conduite par un
participant à une procédure être- fore un tribunal ou organe
législatif est incompatible avec une bonne administration de la
justice, et il ne doit jamais être pris part à des avocats ou
pardonnée. À moins contraint par son obligation de préserver les
confidences et les secrets de son client, un avocat devrait révéler
aux autorités compétentes toute connaissance qu'il peut avoir un
tel comportement inapproprié. CE 8-6 juges et fonctionnaires
administratifs hav- pouvoirs juridictionnels ing doivent être intègres,
la compétence et le tempérament approprié. En général, les
avocats sont qualifiés, par servation ob- personnel ou une enquête,
afin d'évaluer les qualifi- cations des personnes qui cherchent ou
envisagées pour ces bureaux publics, 6 Il est du devoir de
amélioration de la loi. L'obligation spéciale de la profession en ce qui concerne la
réforme juridique repose sur des considérations trop évidentes pour exiger
l'énumération. Certes, il est l'avocat qui a à la fois la meilleure chance de savoir quand
la loi fonctionne mal et la compétence spéciale pour le mettre dans l'ordre « . Responsabilité
professionnelle: Rapport de la Conférence conjointe, 44 ABAJ 1159, 1217 (1958).
5" Règle 14.. . . Un membre du barreau de l'État ne doit pas communiquer avec ou
comparaître devant un officier public, conseil, comité ou organisme, en sa qualité
professionnelle, sans d'abord révéler qu'il est un avocat représentant les intérêts qui
pourraient être touchés par l'action de cet officier, conseil d'administration, comité ou
organisme. » code Cal.Business et professions § 6076 (Ouest 1962).
6 Voir ABA Canon 2.
« Les avocats sont mieux en mesure que les laïcs pour évaluer AC- curately les
qualifications des candidats à la FICE Of- judiciaire. Il est bon qu'ils devraient faire cette
évaluation connue des électeurs d'une manière appropriée et digne. Un avocat peut
décemment soutenir un candidat pour le bureau judiciaire et demander comme
l'approbation d'autres avocats. Mais LXIII
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE

avocats à empêcher que des considérations politiques de remise en
forme judiciaire l'emporte sur la sélection des juges. Les avocats
devraient protester contre la nestly oreille: nomination ou l'élection
de ceux qui ne sont pas adaptés pour le banc et devrait s'efforcer
d'avoir élu 7 ou désigné à cet effet que ceux qui sont prêts à renoncer
à des poursuites, que ce soit d'une entreprise, la nature politique ou
autre, qui peuvent inter- fere l'examen libre et équitable des ques-
tions présentées à l'arbitrage. ficials juridictionnels de OF-, n'étant
pas entièrement libres de se défendre, ont le droit de recevoir le
soutien de la barre contre les critiques injustes. 8 Alors qu'un avocat
en tant que citoyen a le droit de critiquer les fonctionnaires ly
public-, 9 il doit être certain du bien-fondé de sa plainte com-, utiliser
un langage approprié et éviter les critiques mesquines, pour state-
ments sans retenue et outrancières ont tendance à diminuer la
confiance du public dans notre système juridique. 19 Motivés par des
raisons critiques autres que le désir d'améliorer le système juridique
ne sont pas justifiées.
lioration du système. Ainsi, un avocat doit aider à établir, ainsi que
l'application, SDRA Stand- de conduite adéquate pour protéger le
public en assurant que ceux qui pratiquent le droit sont qualifiés
pour le faire.
CE 8-8 Les avocats servent souvent législateurs ou titulaires d'autres
fonctions publiques. Ceci est très dé- désirable, que les avocats sont
particulièrement qualifiés pour apporter une contribution significative à
l'amélioration du système juridique. Un avocat qui est un cer offi-
publique, que ce soit plein ou à temps partiel, ne devrait pas se livrer à
des activités où ses intérêts personnels ou professionnels sont ou
peuvent être en conflit vraisemblablement avec son duties.1' officiel
CE 8-9 La promotion de notre système juridique est d'une importance vitale
dans le maintien de l'état de droit et pour faciliter les changements
ordonnés; Par conséquent, yers licitement devraient encourager, et
devraient aider à faire, les changements et les améliorations nécessaires.

CE 8-7 Comme les avocats sont une partie essentielle du système

juridique, ils doivent être intègres, de compétence professionnelle RÈGLES DE DISCIPLINE
et de dévouement à l'im- DR 8-101 action en tant que fonctionnaire public. (A) Un avocat qui occupe

l'avocat qui soutient un candidat judiciaire ou demande que l'approbation d'autres
avocats devrait être actionné par une croyance sincère dans les qualifications
supérieures du candidat pour le service judiciaire et non par des motifs de poissons
personnels ou sel-; et un avocat ne doit pas utiliser ou tenter d'utiliser la puissance ou
le prestige du bureau judiciaire pour obtenir cette approbation. D'autre part, l'avocat
dont l'approbation est demandée, s'il croit que le candidat n'a pas les qualifications
essentielles pour le bureau ou croit que le candidat de l'opposition est mieux qualifié,
devrait avoir le courage et l'endurance morale de refuser la demande d'approbation «
. ABA Avis 189 (1938).
une charge publique ne doit pas:
(1) Utiliser sa position publique pour obtenir ou at-
tenter d'obtenir un avantage particulier en matière
législative pour lui-même ou pour un client dans des
circonstances où il sait ou il est évident que cette
action ne soit pas dans l'intérêt public. (2) Utiliser sa
position publique pour influencer, ou

tenter d'influencer, un tribunal d'agir en faveur de

lui-même ou d'un client.
7 "[ Nous sont d'avis que, chaque fois qu'un candidat au mérite bureau judiciaire Le
11 " Opinions 16, 30, 34, 77, 118 et 134 se rapportent à Canon 6,
approbation et le soutien des avocats, les avocats peuvent verser des contributions
et de transmettre les questions concernant la propriété du conduit con- d'un avocat qui
financières à l'égard de la campagne si son coût, quand ed raisonnablement
est un officier public, dans des intérêts privés néfastes à ceux repré- sentant de
Conduct-, est supérieure à celle que le candidat serait censé supporter
l'organisme public qu'il représente. Le principe appliqué dans ces ions opin- est qu'un
personnellement « . ABA Avis 226 (1941). avocat exerçant une fonction publique doit éviter tout comportement qui pourrait
conduire le profane de conclure que l'avocat est en utilisant sa position publique pour
8 Voir ABA Canon 1. poursuivre sa réussite professionnelle ou intérêts personnels. » ion ABA Opin- 192
(1939).
9" Les citoyens ont le droit en vertu de notre système constitutionnel de critiquer les
fonctionnaires et les organismes gouvernementaux. Les tribunaux ne sont pas, et ne
devraient pas être, à l'abri de ces critiques. » Konigsberg v. Bar » État de Californie,
Il ne doit pas AP- poire comme un conseil lorsque la question est soumise à
353 US 252, 269 (1957).
l'examen du corps législatif dont il est membre. . . . Nous sommes d'avis que lorsqu'un
avocat ne semble donc qu'il y aurait conflit d'intérêts entre son devoir en tant que
10 « [E] d'avocat très, digne de respect, se rend compte que la confiance pu- lic défenseur de son client d'une part et l'obligation de son unité gouvernementale de
dans nos tribunaux est la pierre angulaire de notre structure de vernementale gou-, et l'autre. » Affaire Becker, 16 IL1. 2d 488, 494-95, 158 NE2d 753, 756-57 (1959).
ne pas at- injustifiée
.
amure sur le caractère des juges, tout en reconnaissant le devoir de dénoncer et
d'exposer un juge corrompu ou malhonnête. » Bar Kentucky State Assoc c. Lewis,
282 SW2d 321, 326 (Ky. 1955).

« Nous devons être le dernier à nier que M. Meeker a le droit de défendre

l'honneur de la profession et d'exposer sans la peur ou faveur des actes de corruption
ou malhonnête dans la profession, si le comportement soit celui d'un juge ou non.

. . . Cependant, ce Canon [29] ne permet pas de faire un frais qui sont faux et faux

et sans fondement, en fait. Quand son imagination le conduit à faire de fausses

accusations, d'attaquer le caractère et l'intégrité des autres, il le fait à ses risques et
périls. Il ne doit pas le faire sans preuve suffisante de ses charges et il est
certainement pas autorisé à faire des accusations insouciants, mensongères et
ignobles contre ses frères professionnels. » En re Meeker, 76 NM 354, 364-

65, 414 P.2d 862, 869 (1966), appel rejeté, 385 449, 17 510 L.Ed.2d, 87 S.Ct. 613 Cf. Avis ABA 186 (1938), 136 (1935), 118 (1934), et 77 (1932).
(1967).
LXIV
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
(3) accepter tout objet de valeur de toute
personne lorsque l'avocat sait ou il est évident que
l'offre est pour la pose d'influencer PUR- son action
en tant que fonctionnaire lic pu-.
DR 8-102 Déclarations concernant les juges et
Autres juridictionnels Officers.12
(A) Un avocat ne doit pas faire en connaissance de cause de faux
les énoncés de faits concernant les qualifica- tions d'un
candidat à l'élection ou ment à un bureau nomination
judiciaire.
(B) Un avocat ne doit pas sciemment de faux AC-
cusations contre un juge ou une autre tory adjudica-.
CANON 9
Un avocat doit éviter même la
Apparence de professionnel
Inconvenance
CONSIDÉRATIONS ÉTHIQUES
CE 9-1 Poursuite du concept américain que nous devons être régis
par des règles de cahiers de dé- droit que les gens ont confiance que
la justice peut être obtenue grâce à notre système juridique « . Un
avocat devrait promouvoir la confiance du public dans notre système
et dans le profession2 juridique
CE 9-2 La confiance du public dans le droit et les avocats peuvent
être érodé par le conduit irresponsable ou con- mauvaise d'un
avocat. À l'occasion, la conduite éthique d'un avocat peut sembler
contraire à l'éthique des laïcs d'être. Afin d'éviter les malentendus
et donc de maintenir la confiance, un avocat devrait pleinement et
sans délai en informer son client des développements importants
dans les questions en cours de traitement pour le client. Alors
qu'un avocat doit se prémunir contre une conduite par ailleurs
appropriée qui a tendance à diminuer la confiance du public dans
le système juridique ou dans la profession juridique, son devoir
envers les clients ou le public ne doit jamais être subordonnée
simplement parce que la pleine décharge de son obligation peut
être ou peut mal compris ont tendance à le soumettre ou la
profession d'avocat à la critique. Lorsque des conseils éthiques
explicites n'existe pas,
12 cf. ABA canons 1 et 2.
1 " L'intégrité est le souffle même de la justice. La confiance dans notre loi, nos
tribunaux et dans l'administration de notre jus- tice intérêt suprême. Aucune pratique
doit être ted prévale PERMIS DE qui invite à l'administration de la justice un doute ou
méfiance à l'égard de son intégrité. » Erwin M. Jennings Co. v. DiGenova, 107 491
Conn., 499, 141 A. 866, 868 (1928).
2" Un avocat ne doit jamais être réticents ou trop fier de répondre aux critiques
injustifiées de sa profession, de lui-même, ou de son avocat frère. Il doit garder la
réputation de sa profession et de ses frères comme il garde jalousement comme le
sien. » Rochelle et Payne, La lutte pour la compréhension du public, 25 Texas BJ 109,
162 (1962).
Dictionnaire de droit de 4ème Ed. Rev.-e
cacité du système juridique et la sion.3 profession- juridique
CE 9-3 Après un avocat quitte ses fonctions judiciaires ou tout
autre emploi public, il ne devrait pas accepter un emploi dans le
cadre d'une affaire dans laquelle il avait une responsabilité
importante avant son départ, étant donné que d'accepter un emploi
qui donnerait l'apparence d'inconvenance même si aucune existe «
.
CE 9-4 Parce que l'essence même du sys- tème juridique est de
prévoir des procédures par lesquelles les questions peuvent être
présentées de manière impartiale afin qu'elles puissent être prises
uniquement sur le fond, toute suggestion ou déclara- tion par un
avocat qu'il peut ou tenterait de contourner ces procédures est
préjudiciable au système juridique et tend à ONU- Dermine la
confiance du public en elle. CE 9-5 Séparation des fonds d'un
client de ceux de son avocat sert non seulement à protéger le
client, mais permet également d'éviter même l'apparence de la
bienséance im-, et donc amalgamation de ces fonds doit être
évitée.
CE 9-6 Chaque avocat doit le devoir solennel de maintenir
l'intégrité amont et l'honneur de sa profession; d'encourager le
respect de la loi et les tribunaux et les juges de ceux-ci; à respecter
le code de la responsabilité professionnelle; d'agir en tant que
membre d'une profession libérale, l'un dédié à la fonction publique;
de coopérer avec ses avocats frères en soutenant la barre
organisée par l'devot- ment de son temps, les efforts et le soutien
financier de son expérience professionnelle et sa capacité de
permettre raisonnablement; de se conduire de manière à refléter le
crédit sur la profession d'avocat et d'inspirer la confiance fiance, le
respect et la confiance de ses clients et du public; et de nous
efforcer d'éviter non seulement PROFESSION- al inconvenance,
mais aussi l'apparition de priety.5 amé-
3 Voir ABA Canon 29.
Voir ABA Canon 36.
4
5" Comme l'a dit dans l'avis 49 du Comité sur l'éthique professionnelle et de Griefs
l'American Bar Association, à la page 134: « Un avocat ne doit pas seulement éviter
toute irrégularité, mais devrait éviter l'apparition d'inconvenance. » "State ex rel, Bar
Nebraska State Assoc c. Richards, 165 Neb 80..
93, 84 NW2d 136, 145 (1957).
« Il serait également préférable que cette contribution [à la campagne d'un
candidat à la magistrature] être à un comité de campagne plutôt que le candidat
personnellement. Ce faisant, les apparences possibles de amé- Priety seraient
réduites au minimum. " ABA Avis 226 (1941).
« L'avocat assume des droits élevés, et a imposé à lui de lourdes responsabilités, il
peut être le moyen de beaucoup de bien ou beaucoup de mal intérêts de vaste
ampleur lui sont confiées;.. La confiance est en lui reposa, la vie, erty libé-, le
caractère et la propriété doit être protégé par lui. Il doit se garder, avec vigilance
jaloux, sa propre réputa- tion, ainsi que celle de sa profession « . Les gens ex rel.
Cutler c. Ford, 54 Ill. 520, 522 (1870), et également cité dans State Board of
Examiners Law c. Sheldon, 43 522 Wyo.,
526, 7 P.2d 226, 227 (1932).
Voir ABA Avis 150 (1936).
LXV
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
RÈGLES DE DISCIPLINE
DR 9-101 éviter même l'apparence de Im-
propriety.6
(A) Un avocat ne doit pas accepter privée em-
ment dans une affaire sur le fond dont il a agi à titre
judiciaire.? (B) Un avocat ne doit pas accepter un emploi privé
dans une affaire où il avait respon- sabilité importante alors
qu'il était employee.8 publique (C) Un avocat ne doit pas déclarer
ou laisser entendre qu'il est
en mesure d'influencer indûment ou pour des motifs Vant
irrele- tout du tribunal, le corps législatif, 9 ou agent public.
Cf. Code de responsabilité professionnelle, EC 5-6.
6
7 Voir ABA Canon 36.
« Il est du devoir du juge de se prononcer sur des questions de droit et de preuve
en cas de méfait et des examens dans les cas de crime. Ce devoir appelle à un
jugement influencées impartial et unin-, quel que soit l'effet sur les im- médiatement
impliqués ou d'autres qui peuvent , directement ou ment indirect, être affecté.
exécution de cette obligation pourrait être grandement perturbé si le juge, dans une
autre capacité, ont été autorisés à se tenir à l'emploi de ceux qui doivent être, ou qui
peuvent être traduits en justice dans les cas de crime, même si il n'a pas procédé à
l'examen. ses intérêts privés comme avocat dans la construction de son clien- télé,
son devoir en tant que tel zèle à épouser la cause de ses clients privés et de se
défendre contre des accusations de crimes portées par la loi organismes
-enforcement dont il fait partie, peut prévenir, voire détruire,que le jugement officiel
judi- impartial qui est si essentiel dans l'administration de la justice.
« À notre avis, l'acceptation d'un poste de juge avec les devoirs de la réalisation
d'essais de méfait, et des examens dans les cas de crime pour déterminer si les
accusés devraient être à procès devant un tribunal supérieur, barres éthique le juge
d'agir à titre de procureur pour les défendeurs sur ce procès, si elles ont été
examinées par lui ou par un autre juge. une telle pratique serait non seulement dimin-
ish la confiance du public dans l'administration de la justice dans les deux tribunaux,
mais produirait un conflit sérieux entre les intérêts privés du juge comme avocat et de
ses clients, et ses fonctions en tant que juge dans le règlement des phases
importantes de procédures pénales dans d'autres cas. les fonctions publiques et
privées seraient incompatibles. le prestige de la fonction judiciaire serait détournée à
des intérêts privés, et le bureau judiciaire serait être rabaissée ainsi « . ABA Avis 242
(1942).
« Un avocat, qui a déjà occupé une posi- tion judiciaire ou agi d'une capacité
judiciaire, devrait se garder d'accepter un emploi dans une affaire impliquant les
mêmes faits ont été impliqués dans une question précise qui a agi sur une
compétence judiciaire et, pour les mêmes rai- sons, devraient également refuser
d'accepter un emploi qui pourrait paraître raisonnable d'impliquer les mêmes faits. »
ABA Avis 49 (1931).
Voir ABA Avis 110 (1934).
8 Opinions ABA 135 (1935) et 134 (1935); cf. ABA Canon 36 et Avis ABA 39 (1931)
et 26 (1930). Mais voir ABA Avis 37 (1931).
9«[ Une déclaration par un ministère ou organisme gouvernemental à l'égard d'un
avocat démissionnant de son personnel qui IN- conclut un panégyrique de sa capacité
juridique] porte des implications, probablement pas fondée en fait, que la
connaissance de l'avocat et les relations antérieures avec le personnel de les
organismes administratifs du gouvernement le placent dans une position avantageuse
dans la pratique avant que ces agences. Donc, pour impliquer représenterait non
seulement ce probable-
LXVI
DR 9-102 préservation de l'identité des fonds et
Propriété d'un client10
(A) Tous les fonds de clients payés à un avocat ou droit
entreprise, autres que les avances pour frais et penses ex,
sera déposé dans un ou plusieurs comptes bancaires
identifiables maintenus dans l'état dans lequel se trouve le
bureau de la loi et pas de fonds appartenant au cabinet
d'avocat ou de la loi sera déposé dans celui-ci, sauf comme
suit :
(1) Les fonds raisonnablement suffisants pour payer
les frais bancaires peuvent être déposées there- dans.
(2) Les fonds appartenant en partie à un client et
en partie actuellement ou potentiellement le cabinet
d'avocat ou de la loi doit être déposé dans celui-ci,
mais la partie appartenant à la société d'avocat ou de
la loi peut être retirée d'échéance à moins que le droit
du cabinet d'avocat ou le droit de le recevoir est
contesté par le client , auquel cas la partie contestée
ne doit pas être retirée d'un tant que le différend est
finalement résolu RE-. (B) Un avocat doit:
(1) informer rapidement un client de la réception
de ses fonds, titres ou autres proprié- tés.
(2) Identifier et titres de l'étiquette et CONVE-
proprié- d'un client dès réception et les placer dans
un coffre-fort ou tout autre lieu de garde le plus tôt
possible.
(3) Tenir des dossiers complets de tous les fonds,
valeurs mobilières et d'autres propriétés d'un client
entrant en possession du
est habilement faux, mais serait hautement répréhensible « . ABA Avis 184 (1938).
dix Voir ABA Canon 11.
« Règle 9.... Un membre du barreau de l'État ne doit pas amalgamer l'argent ou
d'autres biens d'un client avec son propre; et il signale promptement au client la
réception par lui de tout l'argent et d'autres biens appartenant à ce client. À moins que
le client décide autrement dans writ- ment, il dépose rapidement les fonds de son
client dans une banque ou société de fiducie. . . dans un compte bancaire distinct de
son propre compte et clairement désigné comme fonds « clients » compte » ou «
fonds d'affectation spéciale compte » ou toute autre expression similaire. À moins que
le client décide autrement dans writ- ment, les titres d'un client au porteur sont tenus
par le procureur dans un coffre-fort dans une banque ou dépoussiéré de confiance. . .
qui coffre-fort doit être clairement désigné comme compte « clients » » ou « compte
fiduciaire » ou toute autre expression similaire,
« [C] ommingling est commis lorsque l'argent d'un client se confond avec celle de
son avocat et de son identité distincte perdu afin qu'il puisse être utilisé pour les
dépenses person- nelles de l'avocat ou soumis à réclamations de ses créanciers.
. . . La règle contre amalgamation a été adoptée pour se prémunir contre la
probabilité dans certains cas, la possi- bilité dans de nombreux cas, et le danger dans
tous les cas que cette amalgamation entraînera la perte de l'argent des clients. » Black
v. State Bar, 57 Ca1.2d 219, 225-26, 368 P.2d 118, 122, 18 518 Cal.Rptr., 522 (1962).
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
sistance à son client, 34 sauf qu'un avocat peut avancer ou
garantir les frais de justice, y compris les frais judiciaires, les
frais d'enquête, les dépenses de tion médicale et exa- mens
coûts d'obtention et la présentation des preuves, à condition
que le client reste ly ultimate- responsable de ces dépenses.
DR 5-104 Limitation des relations d'affaires avec une
Client.
(A) Un avocat ne doit pas entrer dans une entreprise trans-
l'action avec un client si elles ont des intérêts divergents qui y
sont et si le client attend l'avocat d'exercer son jugement
professionnel dans celui-ci pour la protection du client, à moins
que le client a donné son consentement après la divulgation
complète. (B) Avant la fin de tous les aspects de la Mat-
ter donnant augmenter à son emploi, un avocat ne peut
conclure une entente ou com- préhension avec un client ou
un client potentiel par lequel il acquiert un salut d'intérêt
Publi- droits de lication par rapport à l'objet de son emploi ou
de l'emploi proposé.
DR 5-105 Refusant d'accepter ou de continuer Em-
ploi si les intérêts d'un autre client puisse agir sur le
jugement professionnel indépendant de l'avocat.
(A) Un avocat doit refuser l'emploi communication libre
si l'exercice de son jugement professionnel indépendant au
nom d'un client sera ou est susceptible d'être affectée par
l'accepta- tion de l'emploi proféré, 35 sauf dans la mesure
permise par DR 5-105 (C) .36 (B) Un avocat ne doit pas
continuer à plusieurs em-
ment si l'exercice de son jugement indépendant pro-
fessionnelle au nom d'un client sera ou est susceptible d'être
affectée négativement par sa représentation d'un autre client,
sauf dans la mesure permise par DR 5-105 (C) .37 (C) dans
les situations couvertes par DR 5-105 (A) et
(B), un avocat peut représenter plusieurs clients s'il est
évident qu'il peut représenter adéquatement l'intérêt de
chacun et si chacun sents à la représentation con- après
complète que de l'information fournis effet possible de cette
représentation sur la de son jugement pro- fessionnelle
indépendante au nom de chacun.
34 Voir ABA Canon 42; cf. ABA Avis 288 (1954).
35 Voir ABA Canon 6; cf. Avis ABA 167 (1937), 60 (1931), et 40 (1931).
36 ABA Avis 247 (1942) a conclu que l'avocat ne pouvait pas enquêter sur un club
de tir de nuit au nom de l'un des assureurs responsabilité du propriétaire, obtenir la
coopération du propriétaire, et représenter plus tard, le patron blessé dans une action
contre le propriétaire et un autre com- d'assurance Pany à moins que l'avocat d'obtenir
le « consentement exprès de toutes les parties concernées donné après une
divulgation complète des faits », car le faire serait de représenter les intérêts
contradictoires.
Opinions ABA 247 (1942), 224 (1941), 222 (1941), 218 (1941), 112 (1934), 83
(1932), et 86 (1932).
37 Cf. Avis ABA 231 (1941) et 160 (1936).
importe sous quelle forme de organizaXLVII
(D) Si un avocat est tenu de refuser l'emploi
ou de se retirer de l'emploi en RD 5-105, sans associé de
son ou son entreprise peut accepter ou poursuivre un tel
emploi.
DR 5-106 similaires de règlement des revendications Clients.38 (A) Un
avocat qui représente deux ou plusieurs clients
ne doit pas faire ou participer à l'élaboration d'un règlement
global des revendications ou contre ses clients, à moins que
chaque client a consenti au règlement après avoir été VISED
Ad- de l'existence et la nature de toutes les réclamations en
cause dans le règlement proposé, de le montant total du
règlement et de la participation de chaque personne dans le
règlement. DR 5-107 Éviter influence par d'autres que
le client.
(A) Sauf avec le consentement de son client après
divulgation complète, un avocat ne doit pas: (1) accepter une
compensation pour son droit ser-
glaces de l'un autre que son client. (2) Accepter d'un
autre que son client tout
chose de valeur liée à sa représenta- tion ou son
emploi par son client.39 (B) Un avocat ne doit pas permettre
à une personne qui recom-
ommends, emploie, ou lui paie pour rendre des services
juridiques pour un autre pour diriger ou régler son jugement
professionnel dans le rendu tel services.40 juridique
(C) Un avocat ne doit pas pratiquer avec ou dans le
sous forme d'une société professionnelle ou asso- ciation
autorisée à exercer le droit à un profit, si:
(1) Un non-avocat possède tout intérêt à l'intérieur, 41
sauf qu'un représentant fiduciaire de la succession d'un
avocat peut détenir des actions ou intérêts de l'avocat
pendant un délai raisonnable lors de l'administration; (2)
Un non-avocat est administrateur de sociétés ou
officier de celui-ci; 42 ou
38 Cf. Avis ABA 243 (1942) et 235 (1941).
39 Voir ABA Canon 38.
« Un avocat qui reçoit une commission (que ce soit retardé ou non) d'une
compagnie d'assurance de titre ou d'un fonds garantie pour recommander ou la vente
de l'assurance à son client, ou pour le travail effectué pour le client ou l'entreprise,
sans que ni la divulgation complète au client son intérêt financier dans la transaction,
ou rembourser la somme créditée ainsi reçu la facture du client, est coupable de
conduite contraire à l'éthique « .
ABA Avis 304 (1962).
40 Voir ABA Canon 35; cf. ABA Avis 237 (1941). « Lorsque le transitaire laïque, à
titre d'agent pour le créancier, salles lucratif une réclamation à un avocat, la relation
directe de l'avocat et le client doit alors exister entre l'avocat et le créancier, et le
porteur ne doit pas s'interposer d'intermédiaire pour contrôler les activités de l'avocat
« . ABA Avis 294 (1958).
41 " Permanente des droits de vote et bénéfiques dans l'organisation mise en place à
la pratique du droit, quelle que soit sa forme, doit être limité à un avocat alors que
l'organisation est engagée dans la pratique du droit « . ABA Avis 303 (1961).
42 " Canon 33. . . promulgue principes sous-jacents qui doivent être respectées, peu
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
(3) non-avocat a le droit de diriger ou
contrôler le jugement professionnel d'un lawyer.43
CANON 6
Un avocat doit représenter un client
Competently
CONSIDÉRATIONS ÉTHIQUES
CE 6-1 En raison de son rôle essentiel dans le processus
judiciaire, un avocat doit agir avec compétence et des soins
appropriés pour représenter les clients. Il doit chercher à devenir
et rester compétent dans sa tice pra- 1 et devrait accepter un emploi
dans les faits qui ne lui est ou a l'intention de devenir compétent
pour traiter.
CE 6-2 Un avocat est aidé à atteindre et EN- Taining sa
compétence en se tenant au courant des COURANTE littérature
juridique et évolution, partici-
les avocats de la pratique du droit tion. L'exigence que nul ne peut être admise ou
comme lieu d'un praticien ou d'un membre qui n'est pas membre de la profession
juridique dûment autorisé à poursuivre la pratique, et se prêtent à une discipline
professionnelle, il est clair que toute gestion centralisée doit être avocats éviter une
violation de ce Canon « . ABA Opin-
ion 303 (1961).
43 " Il n'y a aucune intervention d'un organisme laïque entre l'avocat et le client lors
de la gestion centralisée fourni que par les avocats peuvent donner des conseils ou
des directives aux services qui sont rendus par un avocat membre de l'or- ganisation
à un client. La langue Canon 35 qu'un avocat doit éviter toutes les relations qui dirigent
la formance per- de ses fonctions par ou dans l'intérêt d'un intermé- diaire se réfère à
des intermédiaires et non pas poser des intermédiaires d'avocat avec qui il est
associé dans la pratique du droit « . ABA Avis 303 (1961).
1 "[ W] hen un citoyen est confronté à la nécessité d'un avocat, il veut, et a droit, le
conseil le mieux informé qu'il peut obtenir. Les temps changent produisent des
changements dans nos lois et procédures juridiques. La complexité naturelle du droit
exigent une étude approfondie par poursuivent avocat s'il est de rendre ses clients un
maximum de service efficace. Et, ce faisant, il maintient les normes élevées de la
profession juridique; et il augmente également le respect et fiance con- par le grand
public. » Rochelle & Payne, La lutte pour la compréhension du public, 25 Texas BJ
109, 160 (1962).
« Nous avons subi d'énormes changements au cours des cinquante dernières
années dans les vies de la plupart des adultes vivant aujourd'hui qui peuvent
chercher des conseils. La plupart de ces changements ont été accompagnés par des
changements et l'évolution de la loi.... Chaque avocat rencontre ces problèmes et
souvent perplexes avec sa propre incapacité à suivre, non seulement des
changements dans la loi, mais aussi des changements dans la vie de ses clients et de
leurs problèmes juridiques.
« Pour être sûr, aucun client a le droit d'attendre à ce que son emplo activité
législative aura toutes les réponses à la fin de sa langue ou même à l'arrière de sa
tête en tout temps, mais le client a le droit d'attendre que l'avocat aura consacré son
temps et ses énergies à maintenir et à améliorer sa compétence pour savoir où
chercher les réponses, de savoir comment faire face aux problèmes, et de savoir
comment conseiller au mieux de ses talents juridiques et des capacités. " Levy &
Sprague, comptabilité et Loi: Est pratique double dans l'intérêt public ?, 52 ABAJ
1110, 1112 (1966).
XLVIII
ING continue des programmes d'éducation juridique, 2 centrating
con- dans des domaines particuliers de la loi, et en utilisant d'autres
moyens. Il a l'obligation éthique supplé- mentaire pour aider à
améliorer la profession d'avocat, et il peut le faire par ticipant par-
dans les activités de bar destinées à faire progresser la qualité et
les normes des membres de la profession. Il est particulièrement
important la formation attentive de ses jeunes associés et donner
des conseils judicieux à tous les avocats qui le consultent. En bref,
un avocat doit tendre à tous les niveaux pour aider la profession
juridique dans la promotion des normes les plus élevées de sibles
pos- intégrité et de compétence et de répondre à ces normes
lui-même. CE 6-3 Bien que l'autorisation d'un avocat est confiance
EVI qu'il a satisfait aux normes prevail- alors ING admission au
barreau, 3 Cependant, il peut accepter un tel emploi si de bonne foi, il
espère se qualifier par l'étude et dernier en matière, aussi
longtemps que cette préparation serait pas entraîner un retard ou
des dépenses déraisonnables à son client. préparation et une
représentation adéquate peut exiger l'association par l'avocat des
profession- nels dans d'autres disciplines. Un avocat a offert un
emploi dans une affaire dans laquelle il est pas et ne vous attendez
pas à le devenir qualifié devrait ther EI- refuser l'emploi ou, avec le
consentement de son client, accepter l'emploi et associer un avocat
qui est compétent en la matière. 4 CE 6-4 Après avoir entrepris la
représentation, un emplo doivent prendre des précautions activité
législative appropriée pour protéger les térêts in- de son client. Si
un avocat a accepté em- ploi dans une affaire au-delà de sa
compétence, mais dans laquelle il devrait devenir compétent, il
devrait entreprendre les travaux avec diligence et études
nécessaires pour se qualifier. En plus d'être qualifié pour traiter une
question particulière, sa obli- gation à son client lui demande de se
préparer soit correctement et accorder l'attention voulue à son
travail juridique.
CE 6-5 Un avocat doit être fier de ses efforts profession- nelles. Son
obligation d'agir com- appelle à une plus grande motivation avec
compétence que celle découlant de la peur de la responsabilité civile
ou sanction disciplinaire.
2 « » Le but de la formation juridique continue, donc soutenu avec enthousiasme par
l'ABA, est de rendre pos- sible que les avocats eux-mêmes à faire de meilleurs
avocats. Mais il n'y a pas panacées pour la maîtrise de la loi; il doit passer par le
travail acharné de l'avocat lui-même. Dans la mesure où ce travail, que ce soit à
participer à des instituts ou des cours magistraux, en étudiant après les heures ou le
jour même après jour la pratique de sa profession, peut être concentrée dans un
champ limité, plus la compétence et expertness que peut être développé « . Rapport de
le Comité spécial sur la spécialisation et l'éducation juridique cialisé spé-, 79 ABARep.
582, 588 (1954).
3" Si le procureur n'a pas compétence pour habilement et bien effectuer le travail, il
ne doit pas entreprendre le service. » Degen c. Steinbrink, 202 App.Div. 477, 481, 195
NYS 810, 814 (1922), conf mem., 236 NY 669, 142 NE 328 (1923).
4 Cf. ABA Avis 232 (1941).
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
CE Un avocat doit 6-6 ne cherche pas, par contrat ou tout autre
moyen, de limiter sa responsabilité individuelle à son client pour sa
faute professionnelle. Un avocat qui gère les affaires de son client a
bien pas besoin de tenter de limiter sa responsabilité pour ses
activités professionnelles et qui ne gère pas les affaires de son client
correctement ne devrait pas être autorisé à le faire. Un avocat qui
est actionnaire ou est AS- sociated avec une société civile
professionnelle peut toutefois limiter sa responsabilité pour faute
professionnelle de ses associés dans la société, mais seulement
dans la tente ex permise par loi.5
RÈGLES DE DISCIPLINE
DR 6-101 A défaut d'agir avec compétence. (A) Un
avocat ne doit pas:
(1) Manipulez une question juridique qu'il connaît
ou devrait savoir qu'il n'est pas compétent pour traiter,
sans l'associer avec lui un avocat qui est compétent pour
gérer. (2) Manipulez une question juridique sans
prépara-
tion adéquate dans les circonstances. (3) La négligence
d'une question juridique confiée à him.6 DR 6-102 Limitation de la
responsabilité au client. (A) Un avocat ne doit pas tenter de disculper
lui-
auto ou à limiter sa responsabilité à son client pour sa faute
personnelle.
CANON 7
Un avocat doit représenter un client zélée
Dans les limites de la loi
CONSIDÉRATIONS ÉTHIQUES
CE 7-1 Le devoir d'un avocat, à la fois à son client 1 et au système
juridique, est de représenter son client jalousement 2 dans les
limites de la loi, 3 lequel
Voir ABA Avis 303 (1961); cf. Code de responsabilité professionnelle, CE 2-11.
6 Le rapport annuel 1967-1968 du Comité des Griefs de l'Association du barreau de
la ville de New York a montré un reçu de 2.232 plaintes; des 828 infractions contre les
clients, 76 conversion impliqués, 49 impliqués « aille trop loin » et 452, ou plus de la
moitié des ces infractions, la négligence en cause. Rapport annuel du Comité des
Griefs de l'Association du barreau de la ville de New York, NYLJ, 12 septembre 1968,
à 4, col. 5.
1 " Le droit d'être entendu serait, dans de nombreux cas, de peu d'utilité si elle ne
comprenait pas le droit d'être entendu par un avocat. Même le profane intelligent et
instruit a peu et parfois aucune compétence dans la science du droit. » Powell c.
Alabama, 287 US 45, 68-69, 77 L.Ed. 158, 170, 53
S.Ct. 55, 64 (1932).
2 Cf. ABA Canon 4.
« Parfois... [L'avocat fiscaliste] sera sage de dis- carte des arguments et il devrait
exercer son pouvoir discrétionnaire pour mettre l'accent sur les arguments qui, à son
jugement sont les plus susceptibles d'être persuasif. Mais ce processus implique un
jugement juridique plutôt que des attitudes morales . l'avocat fiscaliste devrait mettre
les désaccords de côté privé avec les politiques du Congrès et du Trésor. ses propres
notions de politique, et sa vision personnelle de ce que la loi devrait être, ne sont pas
pertinentes. le travail qui lui est confié par son client est d'utiliser tout son
apprentissage et capacité à protéger les droits de son client, pas
Dictionnaire de droit de 4ème Ed. Rev.-d
comprend les règles disciplinaires et exécutoire pro-
aider dans le processus de promotion d'un meilleur système fiscal. L'avocat fiscal ne
doit pas accepter les opinions économiques et sociaux de son client, mais le client
paie pour tention d'at- technique et concentration sans partage sur ses affaires. Il est
également droit à l'exécution sans entraves par prédilections économique et social de
son attor- ney. » Paul, Le yer comme activité législative conseiller fiscal, 25 Rocky Mt.
L. Rev. 412, 418 (1953).
3 Voir ABA Canons 15 et 32.
ABA Canon 5, bien que seulement parler d'un accusé de crime, impose une
obligation similaire à l'avocat: « [L] avocat est tenu, par tous les moyens justes et
honorables, de présenter toute défense que la loi des autori- sations des terres , à la
fin que nul ne peut être privé de la vie ou à la liberté, mais par le respect de la loi « .
« Toute la persuasion ou la pression sur l'avocat qui lui de- Ters de la planification
et l'exécution du contentieux sur la base de« ce qui, dans le cadre de la loi, est le
mieux pour l'intérêt de mon client? interfère avec l'obligation de représenter
pleinement le client dans la loi.
« Cette obligation, dans son sens le plus large, est au cœur du processus
accusatoire. Chaque avocat, en tant que défenseur, agit et cherche ce qui, dans son
jugement est le mieux pour son client, dans les limites établies péremptoirement.
L'avocat ne décider ce qui est juste dans ce case-- il serait usurper la fonction du juge
et il agit jury- et cherche pour son client ce qu'il est en- intitulé à la loi. Il ne peut pas
faire moins et représenter correctement le client. » Thode, La norme éthique pour
l'avocat, 39 Texas l.Rev. 575, 584 (1961).
« L'enquête [Texas opinion publique] indique que la confiance de l'dis- avocat peut
être attribuée directement à certains facteurs. La principale est une mauvaise
compréhension de base de la fonction de l'avocat en tant que défenseur dans un
système de versaire ad-.
« Les avocats sont accusés de tirer parti des « failles » et « aspects techniques »
pour gagner. Les personnes qui font cette charge ne connaissent pas ou ne
comprennent pas, que l'avocat est engagé pour gagner, et s'il n'exerce pas tous les
efforts légi- mate dans son nom du client, alors il trahit une confiance sacrée « .
Rochelle & Payne, La lutte pour la compréhension du public, 25 Texas BJ 109, 159
(1962).
« L'importance de l'allégeance sans partage avocat et un service fidèle à un
accusé de crime, quelle que soit l'opinion personnelle du procureur quant à la
culpabilité de son client, se trouve dans Canon 5 de l'American Bar Association
Canon d'éthique.
« La difficulté est, bien sûr, à déterminer si le procureur a commis une erreur de
jugement, comme une élection par rapport à la tactique d'essai, ou a été autrement
actionné par sa conscience ou de conviction que son client devrait être reconnue
coupable, événement. trop souvent, les tribunaux sont appelés à examiner les actions
des avocats de la défense qui sont, au plus, des erreurs de jugement, pas
correctement révisable sur habeas corpus ONU- moins le procès est une farce et une
parodie de justice qui exige que le tribunal intervenir.... Mais lorsque l'avocat de la
défense, dans une procédure vraiment défavorable, admet que sa conscience ne lui
permettait pas d'adopter certaines procédures judiciaires habituelles, cela va au-delà
du domaine du jugement et suggère fortement une atteinte aux droits constitutionnels
con-. » Johns v. Smyth, 176 F.Supp. 949, 952 (EDVa.1959), modifié, États-Unis ex rel.
Wilkins c. Banmiller, 205 F.Supp. 123, 128, n. 5 (EDPa.1962), conf,
325 F.2d 514 (3d Cir. 1963), cert. nié, 379 847, 13
L.Ed.2d 51, 85 S.Ct. 87 (1964).
« Le système accusatoire dans l'administration de la loi porte une ressemblance
frappante avec le système économique concurrentiel. Dans chacun, nous supposons
que l'individu par navire partisan- ou par intérêt cherchera puissamment à son côté, et
ce genre de l'effort que nous devons avoir. Mais ni système serait tolérable sans
restrictions et modi-
XLIX
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
règlements fessionnels. 4 Le respon- sabilité professionnel d'un
avocat découle de son appartenance à une profession qui a le
devoir d'aider les membres de la population pour sécuriser et
protéger les droits légaux dispo- mesure et les avantages. Dans
notre gouvernement des lois et non des hommes, chaque membre
de notre soi-ciété a le droit d'avoir sa conduite jugée et
réglementée conformément à la loi; 5 de chercher un objectif
légitime 6 par voie de droit; 7 et de présenter à l'arbitrage toute
activité législative revendication ful, l'émission, ou de la défense.
CE 7-2 Les limites de la loi dans un cas donné sont souvent
difficiles à déterminer. 8 La langue de
fications, et parfois sans départ pure et simple du système lui-même. Étant donné
que la profession d'avocat est chargé du système d'administration de la loi, une partie
de sa mission est de développer dans ses membres des restrictions appropriées
sans porter atteinte aux valeurs de l'effort partisane. Une tâche accom- ING est
d'aider à la modification du système d'adversaire ou le départ de celui-ci dans les
régions où le système ne convient pas. » Cheatham, Le rôle de l'avocat et Ings
environnants, 25 Rocky Mt. L.Rev. 405, 410 (1953).
4 " Règle 4.15 interdit, dans la poursuite de la cause d'un client, « toute forme de
fraude ou de chicane »; Règle 4.22 exige « CAN- dor et de l'équité » dans la conduite
de l'avocat, et les offres de la fabrication lucratif savoir misquotations; Règle 4,47
prévoit qu'un avocat « doit toujours maintenir son tégrité in- » et interdit généralement
tout comportement répréhensible préjudiciable aux intérêts du public, les tribunaux,
ou ses clients, et des actes contraires à « la justice, l'honnêteté, la modestie ou aux
bonnes mœurs. ' Notre commissaire a précisément paraphrasé ces règles comme
suit: « Un avocat n'a pas le devoir de faire tout et tout ce qu'il peut qui peut lui
permettre de gagner la cause de son client ou de faire avancer les intérêts de son
client. Son devoir et ses efforts à cet égard, bien qu'ils devraient être invités par sa «
dévotion entière » à l'intérêt de son client, doit être à l'intérieur et non sans les limites
de la loi « . "En re Vins, 370 SW2d 328, 333 (Mo.1963).
Voir Remarque, 38 Texas l.Rev. 107, 110 (1959).
5" Dans le cadre de notre système de gouvernement le processus d'judication ad-
est entouré de garanties ont évolué à partir des siè- cles d'expérience. Ces garanties
ne sont pas conçues simplement à prêter formalité et le décorum au procès des
causes. Ils reposent sur l'hypothèse que la guérison sé- pour toute controverse a
mangé vraiment informé et dispassion- décision est une chose difficile, ce qui
nécessite pour son Achievement ment une convocation spéciale et l'organisation de
EF- humaine fort et l'adoption de mesures visant à exclure les partis pris et préjugés
qui ont le jeu libre en dehors de la salle d'audience. Tout cela vaut pour rien si
l'homme avec une cause impopulaire ne parvient pas à trouver un avocat compétent
assez courageux pour le représenter.
Responsabilité professionnelle: Rapport de la Conférence Con- commune, 44 ABAJ
1159, 1216 (1958).
6«[ Il est . . . obligation positive [l'avocat fiscaliste] pour montrer au client comment se
prévaloir pleinement de ce que la loi permet. Il n'est pas le gardien de la conscience
du Congrès américain sur. » Paul, L'avocat en tant que conseiller fiscal, 25 Rocky
Mt.L.Rev. 412, 418 (1953).
7 Voir ABA Canons 15 et 30.
« Le fait qu'il voulait se soustraire à la loi, comme il est appelé, est sans
importance, parce que le sens même d'une ligne dans la loi est que vous pouvez
intentionnellement aller aussi près que vous le pouvez si vous ne passez pas. . .. Il
est un Mat- ter de la proximité et le degré auquel les esprits que différeront
. • Justice Holmes, Superior Oil Co. c. Missis-
L
textes législatifs et judiciaires opinions peuvent être incertaines
appliquées à des situations différentes de fait. Les limites et la
signification spécifique du droit AP- remment pertinent peut être
douteuse en modifiant ou en développement des interprétations
constitutionnelles, des lois mal exprimées ou opinions judiciaires,
et l'évolution de titude at- publique et judiciaire. Certitude va du
droit des règles bien établies dans les zones de conflit dans les
zones autorité sans précédent.
CE 7-3 Lorsque les limites du droit sont incertaines, l'action d'un
avocat peut dépendre de lui sert de conseil ou avocat. Un avocat
peut servir simultanément comme avocat et conseiller, mais les
deux rôles sont essentiellement différents. 9 En défendant au nom
de son client, un avocat pour la plupart partie traite de la conduite
con- passé et doit prendre les faits tels qu'il les trouve. En
revanche, un avocat au service en tant que conseiller aide
principalement son client pour déterminer la ligne de conduite fu-
ture et les relations. Tout en servant en tant que défenseur, un
avocat devrait résoudre en faveur de ses doutes client quant aux
limites de la loi. dix En servant un client en tant que conseiller, un
avocat approprié
sippi, 280 US 390, 395-96, L. 74 Ed. 504, 508, 50 S.Ct. 169, 170 (1930).
9" Les avocats d'aujourd'hui effectuer deux types distincts de fonctions, et nos
normes éthiques devraient, mais la principale ne sont pas, reconnaître ces deux
fonctions. Le juge Philbrick McCoy a récemment rapporté à l'American Bar Association
la nécessité d'une remise en cause des Canons à la lumière de la fonction nouvelle et
distincte de conseiller, comme distingué de l'avocat, qui aujourd'hui prédomine dans la
pro- fession juridique.
. . .
». •. En premier lieu, toute révision des canons doit prendre en compte et parler à
cette fonction nouvelle et maintenant prédominante de l'avocat.... Il est BE- yond la
portée de cet article pour discuter de l'éthique stand- SDRA à appliquer au conseiller
sauf pour dire que, à mon avis ces normes devraient exiger une plus grande
reconnaissance et la protection de l'intérêt du public en général que ce qui est
actuellement exprimée dans les canons. en outre, l'obligation du conseiller devrait
s'étendre à l'obliger à informer et de faire comprendre au client une juste tion du
problème solu-, compte tenu de tous les intérêts en jeu « . Thode, La norme éthique
pour l'avocat, 39 Texas
L.Rev. 575, 578-79 (1961).
« L'homme qui a été remis en cour pour répondre à ses propres actions a droit à un
procès équitable. Vocacy Partisan Ad- joue son rôle essentiel dans une telle audience,
et l'avocat plaidant la cause de son client peut bien présenter à la lumière la plus
favorable . une résolution similaire de doutes dans une direction devient inappropriée
lorsque l'avocat agit comme conseiller. les raisons qui justifient et même nécessitent
un plaidoyer partisan dans le procès d'une cause n'accordent aucune licence à
l'avocat de participer en tant que pare-soleil juridique dans ad- ligne de conduite qui
est immoral, injuste, ou d'une légalité douteuse en se sauver de cette participation
indigne, l'avocat ne peut pas être uniquement guidé par un sens intérieur réfléchissant
ONU- de bonne foi. il doit être à la peine de préserver un détachement suffisant de son
clients térêts in- afin qu'il reste capable d'une évaluation de son et tive de la propriété
objec- de ce que son client se propose de faire « . Responsabilité professionnelle:
Rapport de la Conférence conjointe, 44 ABAJ, 1159, 1161 (1958).
10 « [A] avocat qui est chargé de conseiller son client
. . . peut pousser librement la déclaration des positions les plus favorables au client
aussi longtemps qu'il ya des motifs raisonnables de ces positions « . ABA Opinion 314
(1965).
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
circonstances devraient donner son opinion professionnelle quant
à ce que les décisions finales des tribunaux seraient probablement
à la loi applicable. Devoir de l'avocat à un client
CE 7-4 L'avocat peut encourager toute construction admissible de
la loi favorable à son client, sans tenir compte de son opinion
professionnelle quant à la probabilité que la construction ultimate-
ment prevai1, 11 Sa conduite est dans les limites de la loi, et donc
admissible, si la prise de position est appuyée par la loi ou est un
argument par justifiables de bonne foi pour une extension, modi-
fication ou inversion de la loi. Cependant, un yer ne se justifie pas
activité législative pour faire valoir une position dans liti- gation
frivole
. 12
11 « L'avocat... N'est pas un arbitre, mais un Prôner Ad-. Il n'a pas l'obligation de ne
pas faire tous les arguments à l'appui approprié de tout point de vue juridique parce
qu'il est pas convaincu de sa solidité intrinsèque.... Son croyance personnelle dans le
bien-fondé de sa cause ou des autorités qui le soutiennent, est hors de propos « . ABA
Avis 280 (1949).
« L'avocat apparemment mal interprété son rôle. Il était de son devoir de présenter
honorablement les prétentions de son client à la lumière la plus favorable à son client.
Au contraire, il présumé conseiller la cour quant à la validité et le caractère suffisant
du mouvement du prisonnier, par lettre. Nous concluons donc que le prisonnier n'a
reçu aucune assistance effective d'un avocat et de renvoyer cette affaire devant le
tribunal de district avec des instructions pour annuler l'arrêt, la nomination de
nouveaux avocats pour représenter le prisonnier s'il ne fait aucune objection à cet
égard, et procéder à nouveau « . McCartney c. États-Unis, 343 F.2d 471, 472 (9th Cir.
1965).
12 « Ici, le conseil désigné par le tribunal avait la transcription, mais a refusé de
procéder à l'appel parce qu'il n'a trouvé aucun fondement en elle.... On ne peut pas
dire qu'il y avait une conclusion de la frivolité par l'une des tribunaux de Californie ou
que le conseil a agi toute capacité supérieure à simplement comme
Amicus curiae qui a été condamné Ellis, précité.
D'où la procédure de la Californie n'a pas fourni requérant un avocat agissant dans le
rôle d'un avocat ni ne lui fournir que l'examen complet et la résolution du Mat- ter est
obtenu lorsque l'avocat agit à ce titre.
« L'exigence constitutionnelle d'égalité substantielle et un processus équitable ne
peut être atteint lorsque l'avocat agit dans le rôle d'un avocat actif au nom de son
client, par opposition à celle de Amicus curiae. La lettre de non-mérite et la procédure
qu'il déclenche ne parviennent pas à cette dignité. Con- sel doit, et peut avec honneur
et sans conflit, être de plus d'aide à son client et à la cour. Son rôle en tant que
défenseur exige qu'il appuie l'appel de son client au mieux de sa capacité. Bien sûr, si
l'avocat trouve son cas être totalement frivole, après une consciencieuse tion exa-
mens de celui-ci, il doit en aviser le tribunal et demander per- mission de se retirer.
Toutefois, cette demande doit être accompagnée d'une brève référence à quoi que ce
soit dans le dossier qui pourrait sans doute soutenir l'appel. Une copie du mémoire de
sel Con- devrait être fourni l'indigent et le temps lui lowed al soulever des points qu'il
choisit; le Cour- pas d'avocat-puis procède, après un examen complet de toutes les
procédures, de décider si le cas est tout à fait frivoles. Si elle le juge peut accorder la
demande de l'avocat de retirer et de rejeter le pourvoi dans la mesure où exi- gences
fédéraux concernés, ou procéder à une décision sur le fond, si la loi de l'État exige.
D'autre part, si elle trouve l'un des points de droit défendables sur le fond (et donc pas
frivole), il doit, avant la décision, permettre l'indigent l'assistance d'un avocat pour faire
valoir l'appel. » Anders v. California, 386 US 738, 744, 18 L.Ed.
LI
CE 7-5 Un avocat en tant que conseiller favorise l'inter de son is
client en donnant son opinion professionnelle à ce qu'il croit serait
probablement la décision ultime des tribunaux sur la question à
portée de main et en informant son client de la pratique effet de
cette décision. 3 Il peut se poursuivre dans la repré- sentation de
son client, même si son client a choisi de suivre un cours de
conduite contraire à l'avis de l'avocat, tant qu'il ne contribue de ce
fait pas sciemment le client de se livrer à un comportement illégal
ou de prendre un frivoles posi- tion juridique. Un avocat ne doit
jamais encourager ou aider son client à commettre des actes
criminels ou le conseil de son client sur la façon de violer la loi et
éviter la peine therefor.14
CE 7-6 si l'action proposée d'un avocat est dans les limites de la loi peut être une
question perplex- ING lorsque son client envisage un comportement ayant pour
conséquence juridique qui varient selon l'intention, le motif du client, ou dé- sires au
moment de l'action. Souvent, un avocat a demandé d'aider son client à preuve le
développement correspondant à l'état d'esprit du client à un moment donné. Il peut
bien aider son client dans le développement et la conservation des preuves des motifs
existants, l'intention ou le désir; De toute évidence, il ne peut rien faire avancer la
création ou la préservation de faux témoignage. Dans de nombreux cas, un avocat ne
peut être certain que l'état d'esprit de son client, et dans ces situations, il devrait re-
résoudre des doutes raisonnables en faveur de son client. CE 7-7 Dans certains
domaines de la représentation juridique sans incidence sur le bien-fondé de la cause
ou substan- tiellement les droits portant préjudice d'un client, un avocat a le droit de
prendre des décisions de son propre chef. Mais l'autorité sage autre- de prendre des
décisions est exclusivement celle du client et, si elle est faite dans le travail de la loi DE
CADRE, ces décisions lient son avocat. A titre d'exemples typiques en matière civile, il
appartient au client de décider s'il acceptera une offre de règlement ou qu'il renonce à
son droit de plaider une défense affirmative. Le yer dans une affaire pénale Une
défense a ces décisions lient son avocat. A titre d'exemples typiques en matière civile,
il appartient au client de décider s'il acceptera une offre de règlement ou qu'il renonce à
son droit de plaider une défense affirmative. Le yer dans une affaire pénale Une
défense a ces décisions lient son avocat. A titre d'exemples typiques en matière civile,
il appartient au client de décider s'il acceptera une offre de règlement ou qu'il renonce à
son droit de plaider une défense affirmative. Le yer dans une affaire pénale Une
défense a devoir de conseiller son client pleinement si un plaidoyer particulier à une
charge semble souhaitable et à la pros-
2d 493, 498, 87 S.Ct. 1396, 1399-1400 (1967), une nouvelle audition de- Nied, 388 US
924, 18 L.Ed.2d 1377, 87 S.Ct. 2094 ( 1967). Voir Paul, L'avocat En tant que
conseiller fiscal, 25 Rocky Mt.
L. Rev. 412, 432 (1953). 13 Voir ABA
Canon 32.
14 " Pour un avocat pour représenter un syndicat notoirement engagé dans la
violation de la loi dans le but d'ad- vising les membres comment enfreindre la loi et en
même temps échapper est manifestement inapproprié. Alors qu'un avocat peut veiller
à ce que toute personne accusée d'un crime, peu importe la gravité et flagrante, a un
procès équitable, et présente tous les moyens de défense, il ne peut pas coopérer
dans la planification lations vio- de la loi. Il y a une nette distinction, bien sûr, entre ce
qui peut conseiller légalement faire et indiquant comment les actes illégaux peuvent
se faire de manière à éviter convic- tion. Lorsqu'un avocat qui accepte un mandat
d'une organisation, connue pour être illégale, et accepte de défendre vance ad- ses
membres lorsque de temps en temps, ils sont accusés de crimes découlant de ses
activités illégales, cela est tout aussi mauvais « .
"Voir également Avis 155. » Avis ABA 281 (1952).
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
pects de succès en appel, mais il appartient au client de décider
ce moyen doit être saisi et si un appel doit être taken.15
CE 7-8 Un avocat doit exercer ses efforts pour assurer que les
décisions de son client sont faites seulement après que le client a
été informé des considérations pertinentes. Un avocat doit initier ce
processus de- prise de Cision si le client ne le fait pas. Conseils de
ne doit pas être un avocat exigus à son client à des considérations
purement juridiques. 16 Un avocat doit informer son client de l'effet
possible de chaque alternative légale. 17 Un avocat doit porter à
porter sur ce processus de prise de décision NESS plein de son
expérience ainsi que son point de vue objectif » s En aidant son
client à prendre une décision appropriée, il est souvent souhaitable
pour un avocat de souligner les facteurs qui peuvent conduire à
une décision qui est moralement aussi bien que AUTORISER
légalement vable. 19 Il peut mettre l'accent sur la possibilité de
conséquences sévères qui pourraient résulter de sertion AS- des
positions autorisées par la loi. Dans l'analyse finale, cependant,
l'avocat doit toujours se rappeler que la décision de renoncer à des
objectifs ou des méthodes disponibles en raison de Gally le-
facteurs non juridiques est en fin de compte pour le client et
15 Voir ABA Comité spécial sur les normes minimales pour l'administration de la
justice pénale, Normes Re- Lating à des plaidoyers de culpabilité pp. 69-70 (1968).
16 " Tout d'abord, un avocat vraiment grand est un conseiller sage de toutes sortes
d'hommes dans les crises variées de leur vie quand ils ont le plus besoin des conseils
désintéressés. Un conseil efficace implique nécessairement une connaissance
approfondie des principes de la loi non seulement comme ils apparaissent dans les
livres, mais comme ils fonctionnent réellement en action « . Van- derbilt, Les cinq
fonctions de l'avocat: service aux clients et au public, 40 ABAJ 31 (1954).
17 " Un avocat doit s'efforcer d'obtenir la pleine connaissance de cause de son client
avant de conseiller sur celui-ci. . . . » ABA Canon 8.
18 « [ Dans l'élaboration de chartes d'efforts de collaboration de l'avocat agit souvent
lorsque toutes les parties concernées sont présents en tant que participants. Mais
l'avocat a également une fonction similaire dans les situations où ce n'est pas,
comme, par exemple, dans la planification de successions et à la rédaction des
testaments. Ici, l'instrument définissant les termes de collaboration peut affecter les
personnes non présentes et souvent nés. Pourtant, ici aussi, le bon avocat ne sert
pas seulement comme Duit de conséquences juridiques pour les désirs de son client,
mais comme un sage conseiller, occasion- ner dans l'art de concevoir des
arrangements qui mettre en ordre pratique les affaires enchevêtrées et les intérêts
des êtres humains." Responsabilité professionnelle: Rapport de la Conférence
conjointe, 44 ABAJ 1159, 1162 (1958).
19 Voir ABA Canon 8.
« Vital est le rôle de l'avocat dans l'arbitrage, il ne faut pas croire qu'il est
seulement en tant que défenseur de plaider en audience publique qu'il contribue à
l'administration de la loi. La réalisation la plus efficace des objectifs de la loi souvent a
lieu dans l'avocat de bureau, où le litige est devança en anticipant ses résultat, où
prend la place de la force publique du conseil calme yer activité législative. Con- à la
croyance populaire traire, le respect de la loi ainsi provoqué ne sont généralement
pas labiale portion étroite et, pour aj lui rappelant son long terme coûte l'avocat
dissuade souvent son client d'un cours de conduite vable techniquement per- sous la
législation en vigueur, bien que son esprit incompatible avec sous-jacente et le but « . bilité
responsa- professionnelle: Rapport de la Conférence conjointe, 44 ABAJ 1159, 1161
(1958).
LI1
pas pour lui-même, dans le cas où le client dans une affaire non
contentieuse insiste sur une ligne de conduite qui est contraire à
l'arrêt et con- seils de l'avocat, mais ne sont pas interdites par les
règles Disciplin- Ary, l'avocat peut se retirer du employment.20
CE 7-9 Dans l'exercice de son juge- ment professionnel sur les
décisions qui sont pour sa détermina- tion dans le traitement d'une
question juridique, 21 un yer doit toujours agir activité législative d'une
manière compatible avec les meilleurs intérêts de son client. 22 Toutefois,
lorsqu'une action dans le meilleur intérêt de son client lui semble
injuste, il peut demander à son client la permission de renoncer à
cette action.23 CE 7-10 Le devoir d'un avocat pour représenter son
client avec zèle ne militerait pas contre son obligation actuelle con-
traiter avec considération toutes les personnes impliquées dans le
processus judiciaire et d'éviter le fait d'infliger des dommages
inutiles. CE 7-11 Les responsabilités d'un avocat peut varier en
fonction de l'intelligence, l'expérience, l'état ou de l'âge tal hommes-
d'un client, l'obligation d'un fonctionnaire public, ou la nature d'un
ceeding pro particulier. Les exemples incluent la représentation d'un
analphabète ou un incompétent, le service en tant que procureur lic
pu- ou tout autre avocat du gouvernement, et comparutions devant
les instances administratives et législatives.
CE 7-12 Tout d'un état mental ou physique d'un client qui le rend
incapable de faire un jugement mées con- pour son propre compte
jette les responsabilités supplé- mentaires à son avocat. Lorsqu'un
incompétent agit par un tuteur ou un autre représentant légal, un
avocat doit chercher à ce représentant pour les décisions qui sont
l'apanage normale- ment du client à faire. Si un client n'a pas
incapable représentant légal, son avocat peut être contraint dans
les procédures judiciaires pour prendre des décisions au nom du
client. Si le client est en mesure de comprendre la question en
question ou de contribuer à l'avancement de ses intérêts,
indépendamment du fait qu'il est légalement disqualifié d'accomplir
certains actes, l'emplo devrait obtenir de activité législative lui toute
l'aide possible.
20 " Mon résumé de l'avis du juge Sharswood du devoir de l'avocat au client est qu'il
doit au client le devoir d'utiliser tous les moyens juridiques à l'appui du dossier du
client. Cependant, en même temps juge Sharswood Recon- nized que de nombreux
défenseurs trouveraient cette obligation ONU- supportable le cas échéant, sans
exception. Par conséquent, l'avocat individuel a le choix de représenter son client
entièrement dans les limites fixées par la loi ou de dire à son client qu'il ne peut pas le
faire, de sorte que le client peut ob- tain autre avocat s'il le souhaite. » Thode, La
norme éthique pour l'avocat, 39 Texas l.Rev. 575, 582 (1961).
Cf. Code de responsabilité professionnelle, DR 2-110 (C).
21 Voir ABA Canon 24.
22 Thode, La norme éthique pour l'avocat, 39 Texas l.Rev. 575, 592 (1961).
23 Cf. Avis ABA 253 (1946) et 178 (1938).
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
circonstances alors en vigueur et agir avec soin de protéger et de
promouvoir les intérêts de son client. Mais évidemment un avocat
ne peut accomplir un acte ou prendre toute décision que la loi re-
son client cahiers à exécuter ou, que ce soit pour lui-même ACT-
ment si compétent, ou par un dûment tuted représentant si consti-
légalement incompétent. CE 7-13 La responsabilité d'un ministère
public diffère de celui de l'avocat d'habitude; son devoir est de
rechercher la justice, non seulement à condamner. 24 Ce service
spécial existe parce que: (1) le procureur représente le souverain et
devrait donc faire preuve de retenue dans l'exercice discrétionnaire
des pouvoirs mentaux gouvernements, comme dans la sélection
des cas à poursuivre en justice; (2) au cours du procès, le
procureur est non seulement un avocat, mais il peut aussi prendre
des décisions normalement prises par un client individuel, et ceux
qui touchent l'intérêt public doit être équitable pour tous; et (3) dans
notre système de justice pénale, AC- CPermet doit être donné au
profit de tous les doutes raisonnables. En ce qui concerne les
preuves et les témoins, le procureur a des responsabilités
différentes de celles d'un avocat en pratique privée: le procureur
doit divulguer en temps opportun à la fense de- des preuves
disponibles, à sa connaissance, qui tend à nier la culpabilité du
accusé, atténuer le degré de l'infraction, ou de réduire le ment
châtiment.
CE 7-14 Un avocat du gouvernement qui a le pouvoir discrétionnaire
tionnaire par rapport à des litiges devrait éviter d'engager une ou
continue des litiges qui est manifestement injuste. Un avocat du
gouvernement ne hav- ing tel pouvoir discrétionnaire qui croit qu'il
ya un manque de mérite dans une controverse qui lui est soumis
doit aviser ses supérieurs et de recommander d'éviter les litiges
injuste. a la responsabilité de rechercher la justice et de dé-
velopper un dossier complet et équitable, le yer dans une action
civile ou procédure administrative d'un gouvernement et il ne doit
pas utiliser sa position ou la puissance économique du
gouvernement pour harceler les parties ou de provoquer règlements
injustes ou les résultats.
24 Voir ABA Canon 5 et Berger c. États-Unis, 295
US 78, 79 L. Ed. 1314, 55 S.Ct. 629 (1935).
« Le ministère public ne peut pas prendre comme guide pour la conduite de son
bureau les normes d'un avocat qui apparaissent à compte d'un client. La liberté
Partout ailleurs sagement accordé à un avocat partisan doit être sévèrement réduit si
les fonctions du procureur sont à CONVE- déchargé Erly. le procureur doit rappeler
qu'il occupe un double rôle, étant obligé, d'une part, de fournir cet élément essentiel à
l'adversaire in- formé décision d'une controverse, mais possédé, l'autre , des pouvoirs
gouvernementaux importants qui sont engagés à la réalisation d'un seul objectif, celui
de la justice impartiale. Lorsque le procureur est recreant la confiance implicite dans
son bureau, il sape la confiance, non seulement dans sa profession, mais au sein du
gouvernement et de la très idéal de la justice elle-même « . Responsabilité
professionnelle: rap- port de la Conférence conjointe, 44 ABAJ 1159, 1218 (1958). «
Le procureur est l'avocat de l'Etat, et il est son premier devoir de ne pas condamner,
mais de voir que la justice est terminé." ABA Avis 150 (1936).
LIII
CE 7-15 La nature et l'objet d'une procédure devant les organismes
administratifs varient considérablement. La procédure peut être
d'ordre législatif ou quasi judiciaire, ou une combinaison des deux. Ils
peuvent être ex parte
caractère, auquel cas ils peuvent provenir soit à l'instance de
l'agence ou sur tion d'une mo- partie intéressée. La portée d'un
Quiry in- peut être purement d'enquête ou il peut être vraiment
adversaire en regardant vers le règlement des droits spécifiques
d'une partie ou de classes de partis. Ce qui précède ne sont que
des exemples de certains types de procédures menées par des
organismes administratifs. Un avocat comparaît devant une agence
admi- nistrative, 25 quelle que soit la nature de la procédure qu'elle
mène, a le devoir de continuer à faire avancer la cause de son
client dans les limites de la loi. 26 Lorsque les règles applicables de
l'agence imposent des obligations spécifiques à un avocat, il est de
son devoir de s'y conformer, à moins que l'avocat a une base
légitime pour contester la validité de celle-ci. Dans toutes les
comparutions devant les organismes administratifs, un avocat doit
s'identifier, son client si l'identité de son client n'est pas privilégié, 27 et
la représentativité de son apparence. Il n'est pas mauvaise,
cependant, un avocat de demander à une information d'agence
dispo- mesure au public sans identifier son client. CE 7-16 L'activité
principale d'un corps législatif est d'adopter des lois plutôt que de
trancher les controverses, bien qu'à l'occasion les activités d'un
organe législatif peut prendre les tics ristiques d'une procédure
contradictoire, en particulier dans vestigative l'intérieur et les
questions de mise en accusation . Le rôle d'un avocat soutien ou
d'opposition est proposée légis- lation normalement tout à fait
différent de son rôle dans la représentation d'une personne mise
en examen ou en procès par un organe législatif. Lorsqu'un avocat
apparaît dans le cadre de projet de loi, il cherche à influer sur le
processus d'élaboration des lois, mais quand il apparaît au nom
d'un client dans une procédure d'enquête ou d'empêchement, le sien
client. En cas de ther EI-, il doit s'identifier et son client, si l'identité
de son client n'est pas privilégié, et doit se conformer aux lois
applicables et islative rules.28 législa-
CE 7-17 L'obligation de loyauté envers son client applique
uniquement à un avocat dans l'exercice de ses fonctions
professionnelles et implique aucune obligation d'adopter un point
de vue personnel favorable à l'in-
25 Quant aux comparutions devant un ministère du gouvernement, Canon 26
dispose: « Un avocat ouvertement peut rendre des services professionnels dans la
défense des revendications avant que les ministères du gouvernement, sur les
mêmes principes d'éthique qui justifient sa comparution devant le...... Tribunaux
Mais en tant que défenseur avant un service qui représente lui-même le point de
26 "
vue de l'adversaire, où le cas de son client est assez discutable, un avocat est pas
tenu de dis- fermer ses faiblesses, pas plus qu'il ne serait de faire une telle divulgation
à un avocat frère. Les limites dans lequel il doit fonctionner sont mieux exprimées
dans Canon
22. . . « . ABA Avis 314 (1965).
27 Voir Baird c. Koerner, 279 F.2d 623 (9th Cir. 1960).
28 Voir ABA Canon 26.
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
térêts ou désirs de son client. 29 Alors qu'un avocat doit toujours agir
avec circonspection afin que sa conduite ne porte pas atteinte aux
droits d'un client dans une affaire qu'il manipule alors, il peut
prendre des positions sur les questions publiques et adopter des
réformes juridiques qu'il favorise sans tenir compte des vues
individuelles tout client.
CE 7-18 Le système juridique dans ses plus larges fonctions de
sens mieux quand les personnes ayant besoin d'assistance ou
vice juridique ad- sont représentés par leur propre avocat. Pour
cette raison, sur le sujet de la représenta- tion de son client avec
une personne qu'il sait être représentée dans l'affaire par un
avocat, à moins que la loi PUR- Suant ou une règle de un avocat
ne devrait pas ou à moins com- muniquer qu'il a le consentement
de l'avocat de cette personne. 3 ° Si l'on est pas représenté par un
avocat, un avocat autre repré- sentant peut avoir à traiter
directement avec la personne non représentée; dans un avocat ne
doit pas un tel cas, s'engagent à donner des conseils à la
personne qui tente de se représenter, 31 sauf qu'il peut le
conseiller d'obtenir un avocat.
Devoir de l'avocat au système de justice Adversaire
CE 7-19 Notre système juridique prévoit la judication ad- des
différends régis par les règles de droit matériel, de preuve et de
procédure. Une présentation de la tendance adversaire compteurs
homme hu- naturel de juger trop rapidement en termes de ce qui
est familier pas encore complètement connu; 32 l'avocat, par sa
préparation zélé et la présentation d'faits et du droit, permet au
tribunal de venir à l'audience avec un esprit ouvert et neutre et de
rendre des jugements impartiaux. 33 Le devoir d'un
29 " La loi doit être pratiquée de façon que l'avocat re- secteur libre de faire sa propre
idée comment il va voter, quelles sont les causes qu'il soutiendra, ce que la
philosophie économique et politique, il épousera. Il est une des gloires de la
profession qu'il admet cette liberté. Des exemples distingués, on peut citer des
avocats dont les opinions divergeaient de ceux de leurs clients, les avocats dont les
compétences et la sagesse font les conseillers évalués à ceux qui avaient peu de
sympathie avec leur point de vue en tant que citoyens « . Responsabilité
professionnelle: Rapport de la Conférence conjointe, 44 AB
AJ 1159, 1217 (1958).
« Nul doute que certains avocats fiscalistes se sentent obligés de s'abstenir des
activités au nom d'un meilleur système fiscal parce qu'ils pensent que leurs clients
peuvent s'y opposer. Les clients ont pas le droit d'opposition si le conseiller fiscal gère
leurs affaires avec compétence et fidèlement et indépendamment de sa pri- vue vées
quant à la politique fiscale. Ils achètent ses services d'experts, et non pas ses
opinions personnelles ou son silence sur les questions qui touchent GRAVE ment
l'intérêt public « . Paul, L'avocat en tant que conseiller fiscal, 25 Rocky Mt.L.Rev. 412,
434 (1953).
30 Voir ABA Canon 9.
31 Id.
32 Voir Responsabilité professionnelle: Rapport de la Conférence conjointe, 44
ABAJ 1159, 1160 (1958).
33 " Sans la participation d'une personne qui peut agir de façon responsable pour
chacune des parties, ce ING essentiel des étroites questions [par échange de
mémoires écrits ou ulations stip- de l'avocat] devient impossible. Mais là encore la
véritable signification de la défense partisane est plus profond, encore une fois ing
venant toucher l'intégrité du processus décisionnel it- auto. Il est seulement par la
participation de l'avocat que l'audience peut rester en fait ce qu'il prétend être
UV
avocat à son client et son devoir au sys- tème juridique sont les
mêmes: pour représenter son client zealous- ment dans les limites
de la CE law.34 7-20 Pour fonctionner correctement, notre
processus judicative ad- nécessite une informé , tribunal impartial
capable d'administrer ly prompt- justice et efficace 35 selon les
procédures que la confiance du public et le respect. 38 Non ly ON-
doit y avoir présentation compétent, défavorable de la preuve et les
questions, mais un tribunal doit être aidé par des règles
appropriées à un processus efficace et nified DIG. Les modalités
selon lesquelles Nals tribu- opèrent dans notre système accusatoire
ont été prescrits en grande partie par les textes législatifs, les
règles et les décisions judiciaires et les règles administratives. Au fil
des années, certains concepts de conduite profession- nelle
appropriée sont devenues des règles de droit à l'AP- adversaire
plicables processus décisionnel. Un grand nombre de ces concepts
sont les bases de SDRA Stand- de conduite professionnelle
énoncées dans les Règles de plinaire Dé-.
CE 7-21 Le processus d'arbitrage civil est Marily pri- conçu pour le
règlement des différends être- parties tween, alors que la procédure
pénale est conçu pour la protection de la société dans son ensemble.
La menace d'utiliser, ou à l'aide, la procédure pénale à exercer des
pressions sur l'ajustement des revendications civiles privées ou est
une controverses subversion de ce processus; 37 Ther fur-, la personne
contre laquelle la procédure pénale est si mal utilisé peut être
dissuadé de faire valoir ses droits et donc l'utilité du processus civil
dans le règlement des différends privés est compromise. Comme
dans tous les cas d'abus de procédure judiciaire, l'utilisation
appropriée du processus pénal im- tend à diminuer la confiance du
public dans notre système juridique. CE 7-22 Le respect des décisions
judiciaires est essentielle à la bonne administration de la justice;
cependant, un justiciable ou son avocat peut, de bonne foi et
théorie: un procès public des faits et des questions. Chaque Prôner ad- vient à
l'audience prête à présenter ses preuves et arguments, sachant en même temps que
ses arguments peuvent échouer à convaincre et que sa preuve peut être re jected
comme insuffisante. . . . Le tribunal de décider, d'autre part, vient à l'audience non
engagée. Il n'a pas représenté au public que tout fait peut être prouvé, que tout
argument est solide, ou que toute façon notamment son d'énoncer un cas justiciable
est l'expression la plus effi- tive de ses mérites « . Responsabilité professionnelle:
Rapport de la Conférence conjointe, 44 ABAJ 1159, 1160-1161 (1958).
34 Cf. ABA Canons 15 et 32.
35 Cf. ABA Canon 21.
36 Voir Responsabilité professionnelle: Rapport de la Conférence conjointe, 44
ABAJ 1159, 1216 (1958).
37 " Nous sommes d'avis que la lettre en question était mauvaise, et que par écrit et
l'envoyer ent respond- était coupable de conduite non professionnelle. Ce tribunal a
jusqu'à présent exprimé sa désapprobation à l'aide de menaces de poursuites
pénales comme un moyen de forcer le règlement des revendications civiles. .
. .
« Intimée a été coupable d'une violation d'un principe qui condamne toute
confusion des menaces de poursuites pénales à l'exécution des créances civiles. Pour
cette faute, il doit être sévèrement censuré. » Matière de Gelman, 230 App.Div. 524,
527, 245 NYS 416, 419 (1930).
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
dans le cadre de la loi, prendre des mesures pour vérifier la
justesse d'une décision d'un tribunal.38 CE 7-23 La complexité du
droit est souvent difficile pour un tribunal d'être pleinement informé
à moins que la loi pertinente est présentée par les avocats la
cause. Un tribunal qui est pleinement informé sur la loi applicable
est mieux en mesure de prendre une décision juste et précise de la
question devant elle. Le système accusatoire prévoit que chaque
avocat présentera et faire valoir la loi en vigueur à la lumière la
plus favorable à son client. 39 Lorsqu'un avocat connaît l'autorité
légale dans la juridiction Control- ling directement opposé à la
position de son client, il doit en informer le tribunal de son ex-tence
à moins que son adversaire l'a fait; mais, ing hav- fait une telle
divulgation, il peut contester sa solidité en tout ou en ° Part.4 de
CE 7-24 Afin d'apporter juste et in- formées des décisions, des
règles de procédure et de preuve ont été mis en place par les
tribunaux pour permettre l'inclusion d'éléments de preuve et des
arguments pertinents et l'exclusion de toute autre considération.
L'ex- pression par un avocat de son opinion personnelle quant à la
justesse d'une cause, à la crédibilité d'un témoin, quant à la
culpabilité d'une partie civile, ou à la culpabilité ou l'innocence d'un
accusé n'est pas un bon sous réserve de l'argument du juge des
faits. 41 Il ne convient pas à des questions de fait BE- causent des
preuves recevables que possède un avocat doit être présenté
seulement comme témoignage sous serment. Il ne convient pas à
toutes les autres questions parce que, les règles ont par ailleurs, le
silence d'un avocat à une occasion donnée pourrait être interprétée
défavorablement à son client. Toutefois, un avocat peut faire valoir,
sur son analyse de la preuve, pour toute position ou
38 " Un avocat a le devoir de protéger les intérêts de son client. Il a le droit d'appuyer
et argument légitime pour protester contre une décision erronée. » Gallagher c. Cour
de pal munici-, 31 Ca1.2d 784, 796, 192 P.2d 905, 913 (1948).
« Il doit y avoir une protection, cependant, dans le beaucoup plus fréquent cas de
l'avocat qui se tient sur ses droits et combat l'ordre de bonne foi et sans manquer de
respect à croire avec raison qu'il est vide, car il est ici que l'indépendance du bar
devient précieux « . Remarque, 39 Colum.L.Rev. 433, 438 (1939).
39 " Trop beaucoup ne comprennent pas que la réalisation des idées abstraites du
profane de la justice est la fonction du juge et jury, et qu'il est du devoir sous serment
de l'avocat de présenter son cas de client dans sa lumière la plus favorable. »
Rochelle et Payne, La lutte pour la compré- hension publique, 25 Texas BJ 109, 159
(1962).
40 " Nous sommes d'avis que ce Canon exige l'avocat de divulguer de telles
décisions [qui sont contraires aux affirmations de son client] à la cour. Il peut, bien sûr,
AFT- er faire, remettre en question le bien-fondé des décisions ou des raisons
actuelles qui, selon lui, justifierait le tribunal de ne pas les suivre dans l'affaire
pendante « . ABA Avis
146 (1935).
Cf. ABA Avis 280 (1949) et Thode, La norme éthique pour l'avocat, 39 Texas L.
Rev. 575, 585-86 (1961).
41 Voir ABA Canon 15.
« Le devoir traditionnel d'un avocat est qu'il honor- défendre habilement les
prétentions de son client. Il ne doit pas porter atteinte à leur plein gré. » Harders c.
État de Cali- fornie, 373 F.2d 839, 842 (9th Cir. 1967).
conclusion en ce qui concerne l'une quelconque des matières précédentes.
CE 7-25 Les règles de preuve et de procédure sont signés DE-
conduire à des décisions justes et font partie du cadre de la loi.
Ainsi, alors qu'un avocat peut prendre des mesures de bonne foi et
dans le travail de la loi DE CADRE pour tester la validité des règles,
il ne se justifie pas à violer consciemment ces règles et il doit faire
preuve de diligence dans ses efforts pour se prémunir contre sa
violation involontaire de leur. 42 A titre d'exemple, un avocat doit
souscrire ou vérifier que les actes de procédure qu'il croit être en
pliance com- avec le droit applicable et les règles; un avocat ne
devrait pas faire une déclaration préliminaire devant un tribunal en
ce qui concerne les faits présumés de l'affaire en procès à moins
qu'il estime que sa déclaration sera appuyée par une preuve
admissible; un avocat ne doit pas demander à un témoin une
question uniquement dans le but de harceler ou l'embarrasser *, et
un avocat ne devrait pas par des subterfuges mis BE- avant une
question du jury qui ne peut pas de Sider correctement con-.
CE 7-26 La loi et les règles disciplinaires interdisent l'utilisation des
témoignages ou des preuves frauduleuses, faux, ou de faux. 43 Un
avocat qui en connaissance de cause 44 ticipe par- dans l'introduction
d'un tel témoignage ou confiance EVI est soumis à la discipline. Un
avocat doit cependant présenter une preuve admissible que son
client désire avoir présenté à moins qu'il ne sait, ou des faits dont il a
connaissance doit savoir, que ces témoignages ou des preuves est
faux, frauduleux ou per- j ured.45
CE 7-27 Parce qu'il interfère avec l'admi- nistration de la justice, un
avocat ne doit pas SUP- preuve de presse qu'il ou son client a une
ligature ob- légale de révéler ou de produire. De même, un avocat
ne doit pas conseiller ou amener une personne à se sécrètent ou
de quitter la juridiction d'un tribunal dans le but de lui faire
non-disponibilité en mesure comme témoin therein.46
CE 7-28 Les témoins doivent toujours témoigner pleinement vérité-
47 et doit être exempt de tout ducements in- financiers qui
pourraient les inciter à faire autre-
42 Voir ABA Canon 22.
43 Id. Cf. ABA Canon 41.
44Voir généralement ABA Avis 287 (1953) quant à l'obligation d'un avocat quand il
participe sans le savoir à introduire faux témoignages.
45 " En vertu de toute norme de conduite éthique appropriée d'un avocat ne doit pas
rester en silence et permettre à son client de commettre ce qui peut avoir été faux
témoignage, et qui cer- tainement tromper le tribunal et à la partie adverse sur une
question vitale pour la question à l'étude. .
« Intimée exhorte ensuite qu'il était de son devoir d'observer la plus grande bonne
foi envers son client, et donc il ne pouvait pas divulguer des informations
confidentielles. Ce devoir au client bien sûr ne se prolonge pas au point de
collaboration autorisant avec lui dans la commission de fraude « . Affaire Carroll, 244
474 SW2d, 474-75 (Ky. 1951).
46 Voir ABA Canon 5; cf. ABA Avis 131 (1935).
47 Cf. ABA Canon 39. LV
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
sage. 48 Un avocat ne doit pas payer ou accepter de payer un témoin
non expert d'un montant supérieur à remboursement des frais et re-
perte financière in- CIDENT à son être un témoin; Toutefois, un
avocat peut payer ou accepter de payer un témoin expert des
honoraires raison- nable pour ses services en tant qu'expert. Mais
en aucun cas si un salaire d'avocat ou accepter de payer des
honoraires conditionnels à un témoin. Un avocat doit exercer une
diligence raisonnable pour que son client et laïcs associés se
conforment à ces standards.49 CE 7-29 Pour garantir l'impartialité
qui est essentielle au processus judiciaire, veniremen et les jurés
devraient être protégés contre in- fluences étrangères. 50 Lorsque
l'impartialité est présent, la confiance du public dans le système
judiciaire est renforcée. Il devrait y avoir aucune communication
avec les exécutions extrajudiciaires veniremen avant le procès ou
avec les jurés lors de procès par ou au nom d'un avocat lié à
l'affaire. Par ailleurs, un avocat qui est BRANCHÉES pas le cas ne
doit pas communiquer ou faire une autre pour communiquer avec
un homme venire- ou d'un membre du jury de l'affaire. Après le
procès, la communication par un avocat jurés est Mitted per- tant
qu'il se garde de poser des ques- tions ou de faire des
commentaires qui ont tendance à harceler ou embarrasser le
membre du jury 51 ou d'influencer les actions du membre du jury
dans les cas futurs. Était un avocat interdit de communiquer après
le procès avec un membre du jury, il ne pouvait pas vérifier si le
verdict pourrait faire l'objet d'une contestation judiciaire, auquel cas
la nullité d'un verdict peut passer inaperçue. 52 Quand
48 "La prévalence de faux témoignage est une menace sérieuse pour
l'administration de la justice, afin d'éviter que aucun moyen n'a encore été mis au
point de façon satisfaisante. Mais il ne peut certainement pas plus grande incitation à
faux témoignage que de permettre à une partie de faire des paiements à ses
adversaires témoins sous quelque forme ou une excuse, et au moins les avocats qui
sont ficers OF- de la cour pour l'aider dans l'administration de jus - tice, doit se tenir à
l'écart de toute connexion qui, dans le moindre degré tend à induire des témoins à
testi- fy en faveur de leurs clients « Affaire Robinson, 151 App.Div..
589, 600, 136 NYS 548, 556-57 (1912), conf, 209 NY 354, 103 NE 160 (1913).
49 " Il ne le fera pas pour un avocat qui cherche à se justifier contre les accusations
de ce genre pour montrer qu'il a échappé à la responsabilité pénale en vertu de la loi
pénale, ne peut-il fermer aveuglément ses yeux à un système qui tend à suborner
des témoins, de produire des faux témoignages , et de supprimer la vérité. Il a une
obligation positive de protéger l'actif administration de la justice de faux témoignage
et la fraude, et ce devoir n'est pas exécuté en permettant à ses subordonnés et les
assistants pour tenter de subvertir la justice et obtenir des résultats pour ses clients
basés sur Mony testi- faux et parjures témoins. " Id., 151 App.Div. à 592, 136 à 551
NYS.
50 Voir ABA Canon 23.
51 « [I] t est injuste aux jurés pour permettre un liti- déçu de gant prendre sur leurs
associations privées à la recherche de quelque chose pour les discréditer et leur
verdict. Et ce serait injuste pour le public aussi si les jurés doivent se tenir sous-qu'ils
ne peuvent pas condamner un homme de moyens sans risquer une enquête de ce
genre par les enquêteurs payés, avec, pour démarrer, les distorsions d'une demande
de ce genre peuvent pro- Duce . » State v. LaFera, 42 NJ 97, 107, 199 A.2d 630, 636
(1964).
52 ABA Avis 319 (1968) souligne que « [m] tout cours aujourd'hui, et la tendance est
en ce sens, permettre au testi-
LVI
une communication extrajudiciaire par un avocat avec un membre du
jury est autorisé par la loi, il doit être fait avec déférence et
considerately les sentiments personnels du membre du jury.
CE 7-30 enquêtes vexatoire ou harcelant de veniremen ou jurés
portent gravement atteinte à l'efficacité de notre système de jury.
Pour cette raison, un emplo ou toute personne en activité
législative de son nom qui mène une veniremen de dernier en
matière ou jurés doivent agir avec circonspection et de retenue. CE
7-31 Communications avec ou enquêtes des membres des familles
de veniremen ou jurés par un avocat ou par toute personne en son
nom sont soumis aux restrictions imposées à l'avocat en ce qui
concerne ses communications avec ou enquêtes de veniremen et
jurés. CE 7-32 En raison de son devoir d'aider à préserver
l'intégrité du système de jury, un avocat qui apprend par une
mauvaise conduite ou vers un homme venire-, membre du jury, ou
un membre de la famille des deux devrait faire un rapport rapide à
la cour concer- nant un tel comportement.
CE 7-33 Un objectif de notre système juridique est que chaque
partie a son cas, pénale ou civile, AD- judicated par un tribunal
impartial. Le attain- ment de cet objectif peut être vaincu par la
diffusion d'nouvelles ou des commentaires qui ont tendance à
influencer le juge ou jury. 53 Ces nouvelles ou commentaires
monie de jurés à toutes les irrégularités dans et hors de la salle d'audience, à
l'exception de ces irrégularités, dont l'existence peut être déterminée que par la
découverte de la conscience d'un Kociolek, 20 NJ 92, 118 A.2d 812 (1955) seul juré
particulier, New Jersey c. . Code modèle de la preuve Article 301. Il est certain que les
États où les témoignages et les déclarations sous serment des jurés peuvent être
reçus à l'appui ou contre une tion mo- un nouveau procès, un avocat, à son obligation
de protéger son client, doit disposer des outils pour déterminer si oui ou non des
motifs d'un nouveau procès existe et il est contraire à l'éthique pour lui de parler et
d'interroger les jurés « .
53 En général, voir Comité consultatif ABA sur le procès équitable et Free Press, les
normes relatives à un procès équitable et Free Press (1966).
aurait pu être mis en garde à l'inconvenance de matériel d'édition non introduit dans
la procédure. . . . De cette manière, le droit de Sheppard à un procès sans ingérence
extérieure aurait été donné une protection supplémentaire sans restriction
correspondant des médias de nouvelles. Si le juge, les autres officiers de la cour, et la
police a placé l'intérêt de la justice d'abord, les médias auraient bientôt appris à se
contenter de la tâche de signaler l'affaire telle qu'elle se déroulait dans la salle
d'audience, pas reconstitué d'exécutions extrajudiciaires ments state-. » Sheppard v.
Maxwell, 384 US 333, 361-62, L. 16
E.2d 600, 619-20, 86 S.Ct. 1507, 1521-1522 (1966).
 CODE DE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
avocat et rendre compte appropriés à ac- son client
à leur sujet. (4) payer ou remettre au Promptement
client
comme demandé par un client, les fonds bilière sé-
ou d'autres propriétés à la session de l'avocat pos-
que le client est en droit de recevoir.
DÉFINITIONS *
Tel qu'il est utilisé dans le Règlement disciplinaire du Code de
responsabilité professionnelle:
(1) « intérêts divergents » comprennent tous les intérêts
qui aura un effet négatif soit le juge- ment ou la loyauté
d'un avocat à un client, que ce soit un verset
contradictoire, incohérent, di-, ou tout autre intérêt.
* « La confiance » et « secret » sont définis en RD 4-101 (A).
LXVII
(2) « cabinet » comprend un juriste
société.
« Personne » comprend une société, une asso- ciation, une
fiducie, un partenariat, ainsi que toute autre organisation ou entité
juridique. « Société juridique professionnelle » désigne une
société ou une association considérée comme une personne
morale, autorisée par la loi à exercer le droit dans un but lucratif.
« État » comprend le district de Columbia, Puerto Rico, et
d'autres territoires fédéraux et possessions.
« Tribunal » comprend tous les tribunaux et tous les autres organes ad
judicatoire.
« Un représentant de l'association de barre de la barre
géné- rale » comprend un barreau de spé- cialistes visée à
DR 2-105 (A) (1) ou (4).
 Canons DÉONTOLOGIE JUDICIAIRE *
Avec les amendements au 1er Janvier, 1968
Précédents anciens.
« Et je vos juges à ce moment-là, les Hear ing Say vos frères, et
jugez droitement entre chaque homme et son frère, et l'étranger
qui est avec lui. » Vous ne ferez point acception des personnes
dans le jugement; mais vous écouterez le petit comme le grand;
vous ne serez pas peur du visage de l'homme; car le jugement est
de Dieu; et la cause qui est trop difficile pour vous, apportez à moi,
et je wil entendre "-
Deutéronome, I, 16-17.
« Tu ne violer la justice, tu Shat point acception des personnes,
ni prendre un cadeau;. Pour un cadeau doth aveugle les yeux des
sages et corrompent les paroles des justes » - Deutéronome, XVI,
19. «Nous ne ferons aucun, justiciers, constables shérifs ou
huissiers de justice, mais de ceux qui comprennent la loi du
royaume et sont bien disposés à servir ob- il "-. Magna Charta, XLV.
« Les juges doivent se rappeler que leur bureau est
dicere jus ne pas jus ose; d'interpréter la loi et de ne pas faire droit, ou
donner la loi. ».
« Les juges doivent être plus érudits que spirituels, plus Reve fin
que plausible, et plus avisé que confiant dessus tout, l'intégrité est
leur vocation et véritable vertu. ». . .
« La patience et la gravité de l'audition est une partie essentielle de
la justice, et un sur le juge de parole est limité cymbale bien réglé Il n'y
a pas grâce à un juge premier à trouver ce qu'il aurait pu entendre en
temps voulu de la barre, ou. montrer la rapidité de CEIT con- à couper
des preuves ou d'un avocat trop court, ou pour empêcher que des
informations par des questions si elles sont pertinentes « .
« La place de la justice est un lieu sacré, et donc non seulement
le banc, mais le pare pied et enceinte et purprise doit son être
préservé sans scandale et la corruption. » .
- Essai de Bacon « de judicature. »
Préambule.
En plus des Canons de conduite professionnelle Con- des
avocats qu'il a formulé et adopté, l'American Bar Association,
consciente
* Ces chanoines, et y compris Canon 34, ont été adoptées par l'American Bar Association à sa
quarante-S-Venth réunion annuelle, à Philadelphie, en Pennsylvanie, le 9 Juillet 1924. Le Comité de
l'Association qui a préparé le Canons a été nommé en 1922 , et composé des éléments suivants:
William H. Taft, District de Columbia, président; Leslie C. Cornish, Maine; Robert von Moschzisker,
Pennsylvanie; Charles A. Boston. New York ; et Garret W. McEnerney, Californie. George
Sutherland, de l'Utah, à l'origine un membre du Mittee Cum-, a pris sa retraite et a été remplacé par
M. McEnerney. En 1923, Frank M. Angellotti, de Californie, a pris la place de M. McEnerney .de.
Canons 28 et 30 ont été modifiés à l'assemblée annuelle Cinquante-Sixième, Grand Rapids,
Michigan, 1 30-Septembre Août 1933 Canon 28 a été modifiée à l'assemblée « annuelle
Soixante-troisième, Washington, DC, le 20 septembre 1950. Canons 35 et 36 ont été adoptés à
l'assemblée annuelle Soixantième, à Kansas City, Missouri, 30. Septembre 1937. Canon 35 a été
modifié à San Francisco. Californie., Septembre 1952.
Dictionnaire de droit de 4ème Ed. Tour.
que le caractère et la conduite d'un juge ne doit jamais être l'objet
de l'indifférence, et que les normes éthiques déclarées tendent à
devenir des habitudes de vie, estime qu'il est souhaitable d'exposer
son point de vue sur les principes qui devraient régir la pratique
personnelle des membres du pouvoir judiciaire l'admi- nistration de
leur bureau. L'Association adopte en consé- en plus les Canons
suivants, l'esprit dont il suggère un bon guide et un rappel pour les
juges, et comme indiquant ce que les gens ont le droit d'attendre
d'eux.
1. Les relations de la magistrature. La prise en charge du bureau
du juge jette sur les devoirs qui incombent en ce qui concerne sa
conduite personne- al qui concernent sa re l tion à l'Etat et ses
inhabit'nts, les parties devant lui, les principes du droit, les
praticiens du droit dans sa cour, et les témoins, les jurés et les
agents qui l'aident dans l'administration de ses fonc- tions.
2. L'intérêt public.
Les tribunaux existent pour promouvoir la justice, et donc de
servir l'intérêt public. Leur administration doit être rapide et prudent.
Chaque juge doit à tout moment être vigilant dans ses décisions et
dans la conduite des affaires con- de la cour, pour autant qu'il le
peut, pour le rendre utile aux parties et à la commu- nauté. Il doit
éviter de tomber inconsciemment dans l'attitude de l'esprit que les
parties en litige sont faits pour les tribunaux au lieu des tribunaux
pour les parties en litige.
3. Obligations constitutionnelles. Il est du devoir de tous les juges
aux États-Unis pour soutenir la Constitution fédérale et celle de
l'État dont les lois qu'ils administrent; en ing si do-, ils devraient
sans crainte observer et appliquer des limites et des garanties
fondamentales.
4. Éviter d'inconvenance. conduite officielle d'un juge doit être
exempt de manquement à la déontologie et l'apparence
d'inconvenance; il doit éviter les infractions à la loi; et son
comportement per- sonnelle, non seulement sur le banc et dans
l'exercice des fonctions judiciaires, mais aussi dans sa vie de tous
les jours, doit être irréprochable.
5. Conduite essentielle.
Un juge doit être tempéré, attentif, patient, impartial, et, comme
il est d'administrer la loi et l'appliquer aux faits, il devrait être
studieux des principes de la loi et avec diligence endeavor- ment
pour établir les faits.
6. Industrie.
Un juge doit présenter une industrie et applica- tion à la hauteur
des tâches qui lui sont imposées.
LX IX
 Canons DÉONTOLOGIE JUDICIAIRE
7. Promptitude.
Un juge doit être rapide dans l'exercice de ses fonctions
judiciaires, tout en reconnaissant que le temps des justiciables,
des jurés et des avocats est de la valeur et que le manque de
ponctualité habituelle sur l'insatisfaction fies justi- sa partie avec
l'administration des affaires de la cour.
8. Organisation Cour.
Un juge doit organiser la cour en vue de l'envoi rapide et
pratique de son ness et il entre- ne devrait pas tolérer les abus et
la négligence des employés, et d'autres assistants qui sont parfois
sujettes à trop présumer sur sa bonne humeur acquiescement en
raison de association amicale avec lui.
Il est souhaitable aussi, où les permis de système judiciaire, qu'il
devrait coopérer avec d'autres juges de la même cour, et dans
d'autres tribunaux, en tant que membres d'un système judiciaire
unique, pour promouvoir l'administration plus satisfaisante de la
justice.
9. Examen des membres du jury et d'autres. Un juge doit être
attentif des jurés, nesses et d'autres wit- présents à la cour.
10. La courtoisie et la civilité.
Un juge devrait être courtois à un avocat, plus particulièrement au
niveau de ceux qui sont jeunes et inexpérimentés, et aussi à tous les
autres qui apparaissent ou concernés dans l'administration de la justice
dans la cour. Il devrait également exiger, et pour autant que son
pouvoir étend l'application de la part des greffiers, offi- ciers tribunal et
la civilité de l'avocat et de la courtoisie à la cour et aux jurés, les
témoins, les parties et d'autres hav- ing affaires dans la cour.
11. Conduite non professionnelle des procureurs et des
Conseil.
Un juge devrait utiliser ses possibilités de cri- SCIE et correcte
manque de professionnalisme AtTOR, Neys et conseillers, portés à
son attention; et, si des commentaires défavorables n'est pas une
CORREC- suffisante tive, devrait renvoyer l'affaire à la fois aux
autorités compétentes enquête et disciplinaires.
12. Désignées de la magistrature et leur Com-
pensation.
Fiduciaires, récepteurs, maîtres, arbitres, guardi- ans et d'autres
personnes nommées par un juge pour aider à l'administration de la
justice devraient avoir la plus stricte probité et impartialité et
doivent être sélectionnés en vue uniquement de leur caractère et
de remise en forme. Le pouvoir de procéder à ces nominations ne
doit pas être exercé par lui pour avantage Tisan personnel ou par-.
Il ne doit pas permettre à ses pointments ap- à contrôler par
d'autres que lui-même. Il doit aussi éviter le népotisme et tisme
favori- excessive dans ses rendez-vous.
Sans hésiter à fixer ou approuver simplement les montants, il
devrait être plus scrupuleux dans l'octroi
Ou approuver la rémunération pour les services ou les frais de ces
personnes nommées pour éviter excessive al lowances, que ce soit ou
non à l'exception ou de la plainte. Il ne peut pas se débarrasser de cette
responsabilité par le consentement de l'avocat.
13. Parenté ou influence.
Un juge ne doit pas agir dans une controverse où un proche
parent est partie; il ne devrait pas souffrir sa conduite pour justifier
l'impression que toute personne peut l'influencer de manière
incorrecte indûment la joie en- sa faveur, ou qu'il est affecté par le
navire-parent, le grade, la position ou l'influence de toute partie ou
toute autre personne.
14. Indépendance.
Un juge ne doit pas se laisser influencer par mandes dé-
partisans, la clameur publique ou des considérations de popularité ou
la notoriété personnelle, ni craindre la critique injuste.
15. L'ingérence dans la conduite du procès. «Un juge peut
légitimement intervenir dans un procès d'une affaire de promouvoir
l'expédition, et d'éviter le gaspillage inutile- Sary de temps, ou pour
éclaircir quelque obscurité, mais il doit garder à l'esprit que son
ingérence indue, l'impatience ou la participation à l'amination ex des
témoins, ou une attitude sévère de sa part envers les témoins, en
particulier ceux qui sont excités ou terrifiés par les circonstances
inhabituelles d'un procès, peuvent avoir tendance à empêcher la
présenta- tion correcte de la cause ou la manifestation de la la vérité
en ce qui concerne celle-ci.
Conversation entre le juge et l'avocat au tribunal est souvent
nécessaire, mais le juge devrait être studieuse pour éviter les
controverses qui sont susceptibles d'obscurcir le fond du différend
entre liti- et conduire à gants sa disposition injuste. En Ad- avocats,
parties au litige habillant ou témoins, il doit éviter d'une manière
controversée ou le ton. Il doit éviter les interruptions de l'avocat
dans leurs arguments, sauf pour clarifier son esprit quant à leurs
positions, et il ne devrait pas être tenté de l'affichage de
l'apprentissage nécessaire ONU- ou d'un juge- ment prématuré.
16. Ex Applications parte. Un juge devrait décourager ex parte audiences
des demandes d'injonctions et séquestres où l'ordre peut travailler
détriment aux absents; il devrait utiliser ces ex parte ap- plications
que si la nécessité d'une action rapide est clairement indiqué; si
cela est démontré, alors il devrait essayer de contrecarrer l'effet de
l'absence de l'avocat adverse par un contre-interrogatoire scrupu-
leux et enquête sur les faits et les principes du droit sur lequel la
demande est fondée, l'octroi de seulement un soulagement lorsqu'il
est complètement convaincu que la loi le permet et à la demande
d'urgence il. Il devrait se rappeler qu'une injonction est une
limitation de la liberté d'action des accusés et ne doit pas être
accordée à la légère ou inadvisedly. Une demande de soulagement
doit soutenir le fardeau de démontrer clairement la nécessité et ce
fardeau augmente en l'absence de la partie dont la liberté d'ac- tion
est demandée à être retenu même si seulement temporairement.
17. Communications ex parte. Un juge ne doit pas permettre à des
entretiens privés, des arguments ou des communications destinées
à in- fluence son action en justice, où les intérêts à LXX
 Canons DÉONTOLOGIE JUDICIAIRE
être affectées ne sont pas représentés devant lui, excepté dans les
cas où la fourniture est faite par la loi ex parte application.
Bien que les conditions dans lesquelles des mémoires d'arguments
doivent être reçus sont en grande partie les questions de règle ou d'une
pratique locale, il ne doit pas permettre le contenu de cette brève qui lui
sont présentés à con- cealed de l'avocat adverse. Ordinairement tous
les communica- tions des conseillers juridiques du juge conçus ou
calculés pour influencer l'action devrait être communiquée à l'avocat
adverse.
18. prorogations.
Retard dans l'administration de la justice est une cause com-
munes de la plainte; les avocats sont souvent responsables de ce
retard. Un juge, sans procès BE- cas arbitraire ou ing forçant de
manière déraisonnable ou ONU- à juste titre quand non préparé, au
détriment des partis, peut bien essayer de tenir le conseil d'une
appréciation de leurs fonctions à l'intérêt public, à leurs propres
clients, et à la partie adverse et son avocat, afin de faire respecter
gence dili- due à l'expédition des affaires devant le tribunal.
19. Les opinions judiciaires.
En cas de disposer Controverted, un juge doit indiquer les
motifs de son action dans un avis montrant qu'il n'a pas méconnu
ou négligé de sérieux arguments de l'avocat. Il montre ainsi sa
pleine compréhension de l'affaire, évite le soupçon de conclusion
arbitraire, la confiance dans motes pro- son intégrité intellectuelle
et peut contribuer précédent utile à la croissance de la loi.
Il est souhaitable que les tribunaux d'appel en cas inversant ING et
l'octroi de nouveaux essais devraient certi si indi- leurs points de vue
sur les questions de droit plaidée devant eux et se posent
nécessairement dans la controverse que sur le nouveau conseil
d'essai peut être aidé à éviter la répétition de positions erronées du
droit et ne doivent pas être laissés dans le doute par l'échec du tribunal
de trancher ces questions.
Mais le volume des décisions rapportées est telle et est donc de
plus en plus rapidement qu'en écrivant des ions opin- qui doivent
être juges publiés peuvent bien prendre ce fait en considération, et
les réduire en conséquence, sans se départir sensiblement des
principes énoncés ci-dessus.
Il est d'une grande importance que les juges constituant un tribunal
de dernier recours devrait utiliser l'effort et auto-retenue pour
promouvoir la solidarité de la conclusion et l'influence conséquente de
la décision judiciaire. Un juge ne doit pas céder à la fierté de l'opinion
ou de la valeur plus fortement sa réputation individuelle que celle de la
cour à laquelle il doit être fidèle. cept Ex- en cas de différence de
conscience de l'opinion sur des principes fondamentaux, les opinions
dissidentes devrait être découragée devant les tribunaux de dernier
recours.
20. L'influence des décisions sur le développement
de la loi.
Un juge doit être conscient du fait que son devoir est l'application
du droit général à des cas particuliers, que la nôtre est un
gouvernement de droit et non des hommes, et qu'il viole son devoir en
tant que ministre de la jus- tice en vertu d'un tel système s'il cherche
pour faire quoi
I, XX I
il peut personnellement considérer la justice substantielle dans un
cas particulier et ne tient pas compte de la loi générale comme il
sait obligatoire sur lui. Une telle tion AC- peut devenir des principes
ed précédents troublantes accep- et peut avoir des conséquences
néfastes au-delà de la controverse immédiate. Il doit administrer
son bureau avec tenant dûment compte de l'intégrité du système
de la loi elle-même, qu'il Béring Souvenez est pas un dépositaire
de er arbitraire Pow, mais un juge sous la sanction de la loi.
21. idiosyncrasies et Incohérences. La justice ne doit pas être moulé
par les idiosyncrasies individuelles de ceux qui l'administrent. Un
juge devrait adopter la méthode habituelle et attendue de faire
justice, et ne cherche pas à être culiar extrême ou pé- dans ses
jugements, ou TIONAL spectaculaire ou sensationnalisme dans la
conduite de la cour. Bien investi de pouvoir discrétionnaire dans
l'imposition de peines légères ou graves, il ne devrait pas contraindre
des personnes qui lui sont présentés de se soumettre à un acte
humiliant ou la discipline de sa propre conception, sans l'autorité de
la loi, parce qu'il pense qu'il aura une influence bénéfique rective cor-
.
En imposant la peine, il devrait essayer de forme con- à un
niveau raisonnable de punition et ne doit pas chercher la popularité
ou la publicité soit par gravité exceptionnelle ou de clémence
indue.
22. Examen.
Pour qu'un justiciable peut garantir la pleine forme béné- du droit
de regard accordé par la loi à lui, un juge de première instance doit
scrupuleusement accorder à l'occasion du parti feated de- de
présenter les questions soulevées lors du procès exactement
comme ils ont surgi, étaient présenté, et a décidé, par facture
complète et équitable ou autrement ex- ceptions; tout manquement
à cet égard de la part du juge est particulièrement condamnable
parce que le mal fait peut-être ir- réparable.
23. La législation.
Un juge a l'occasion exceptionnelle d'observer le
fonctionnement des lois, en particulier celles qui ont trait à la
pratique, et de vérifier si elles ont tendance à entraver la juste
disposition des controverses; et il pourrait bien contribuer à l'intérêt
public par les ad- vising autorité pour remédier à des défauts de
procédure, du résultat de son observation et expé- rience.
24. Obligations inconsistants. Un juge devrait accepter des devoirs
incompatibles; ni contracter des obligations, pécuniaire ou autre,
qui interféré en aucune manière ou semblent interférer avec son
dévouement à l'administration rapide et appropriée de ses
fonctions officielles.
25. Promotions d'affaires et pour Sollicitations
Charité.
Un juge doit éviter de donner raison à tout soupçon de raison- nable
qu'il est en utilisant la force ou le prestige de son bureau pour persuader
ou contraindre les autres à fréquenter ou y contribuer, que ce soit à la
réussite des entreprises commerciales privées, ou entreprises ayant une
obligation de bienfaisance. Il devrait donc pas entrer dans une telle
entreprise privée, ou de poursuivre un tel cours de conduite con-, qui
justifierait un tel soupçon, ni utiliser la puissance de son bureau ou de
l'influence de son nom pour promouvoir les intérêts commerciaux des
autres; il ne devrait pas solliciter des organismes de bienfaisance, ne
devrait-il entrer dans une relation d'affaires qui, dans le cours normal des
événements raisonnablement être attendus, pourrait apporter son intérêt
personnel en conflit avec l'exécution impartiale de ses fonctions
officielles.
 Canons DÉONTOLOGIE JUDICIAIRE
26. Les investissements et les relations personnelles. Un juge doit
s'abstenir de faire des investissements personnels dans les entreprises qui
sont susceptibles d'être volved in- dans un litige devant la Cour; et, après
son accession à la magistrature, il ne devrait pas conserver de tels
investissements effectués précédemment, de plus d'une pé- riode
suffisante pour lui permettre de disposer sans perte grave. Il est
souhaitable qu'il devrait, pour autant que raisonnablement possible,
s'abstenir de toutes les relations qui normalement tendent à susciter
l'picion sus- que de telles relations chaîne ou son parti pris ment juge-, ou
empêcher son attitude d'esprit impartial dans l'administration de ses
fonctions judiciaires.
Il ne doit pas utiliser l'information à venir à lui dans une capacité
judiciaire à des fins de spéculation; et porte atteinte à la confiance du
public dans son intégrité et la solidité de son juge- ment judiciaire pour lui à
tout moment de devenir un investisseur spéculatif sur le risque d'une
marge.
27. Exécuteur et Tutelles.
Alors qu'un juge ne soit pas exclu de tenir Exécuteur ou curatelles, il ne
doit pas ac- cept ou continuer de détenir un fiduciaire ou autre sition po- si
la tenue de celui-ci entraverait ou semblent interférer avec la bonne
exécution de ses fonctions judiciaires, ou si les intérêts commerciaux de
ceux représentés nécessitent des investissements dans les entreprises qui
sont susceptibles de venir devant lui en justice, ou d'être impliqués dans
les questions de droit à trancher par lui.
28. La politique partisane. *
Alors que le droit de connaître ses opinions personnelles des questions
politiques, et sans l'obligation de remettre ses droits ou opinions en tant
que citoyen, il est inévitable que le soupçon d'être déformé par le biais
politique attachera à un juge qui est le promoteur actif du les intérêts d'un
parti politique contre un autre. Il doit éviter de faire des discours politiques,
faisant ou solliciter le paiement des cotisations ou contributions aux fonds
du parti, l'approbation publique des candidats à la FICE Of- politique et la
participation aux congrès du parti.
Il ne doit ni accepter ni conserver une place à un comité de parti, ni agir
en tant que chef du parti, ni se livrer généralement à des activités
partisanes.
Si, cependant, il est nécessaire que les juges soient nommés et élus en
tant que candidats d'un parti politique, aucune des présentes dispositions
n'empêche le juge d'assister ou de parler à erings de gath- politiques, ou
de verser des contributions aux fonds de la campa- gne partie qui l'a
nommé et cherche son élection ou à la réélection.
29. l'intérêt personnel.
Un juge doit s'abstenir d'effectuer ou participer à tak- ing tout acte
judiciaire dans lequel ses intérêts personnels sont concernés. S'il a litiga-
tion personnelle dans la cour dont il est juge, il n'a pas besoin de
démissionner de son poste de juge à ce titre, mais il doit, bien sûr,
s'abstenir de tout acte judiciaire dans une telle controverse.
30. Office de candidature. **
Un candidat pour le poste judiciaire ne devrait pas faire ou souffrir les
autres à faire pour lui, des promesses de conduite en con- bureau qui font
appel à la cupidité ou préju- dices de la nomination ou de l'élection le
pouvoir; il ne devrait pas annoncer à l'avance ses conclusions du droit sur
les questions en litige pour obtenir le soutien de la classe, et il ne devrait
rien faire alors qu'un candidat pour créer
Comme 31 modifié Août de 1933 et 20 Septembre 1950.
* * En Août modifiée 31, 1933.
l'impression que si elle est choisie, il administrera son bureau de parti pris,
de partialité ou de mauvaise discri- mination.
Tout en maintenant une position judiciaire, il ne doit pas devenir un
candidat actif soit à une partie ou pri- maire lors d'une élection générale
pour un bureau autre qu'un bureau judiciaire. Si un juge doit décider de
devenir un candidat à un poste non judiciaire, il devrait démissionner afin
qu'il ne puisse pas dire qu'il utilise le pouvoir ou le prestige de sa sition po-
judiciaire de promouvoir sa propre candidature ou le succès de son parti .
Si un juge devient un candidat à un poste judiciaire, il doit s'abstenir de
toute conduite qui pourrait tendre à éveiller les soupçons raisonnables qu'il
utilise le pouvoir ou le prestige de sa tion posi- judiciaire chargée de
promouvoir sa candidature ou le succès de son parti.
Il ne devrait pas permettre à d'autres de faire quoi que ce soit au nom de
sa candidature qui conduirait raisonnablement à un tel soupçon.
31. La pratique du droit privé.
Dans de nombreux Etats la pratique du droit par une position judiciaire
HOLD- ING est interdite. Dans les cours supérieures de compétence
générale, il ne devrait jamais être autorisé. Dans les tribunaux inférieurs
dans certains États, il est permis parce que le comté ou la municipalité ne
sont pas en mesure de verser une indemnité de vie suffisant pour un juge
compétent. Dans ce cas, celui qui prati- tises droit est dans une position
d'une grande délicatesse et doit être scrupuleusement soin d'éviter la
conduite dans sa pratique selon laquelle il utilise ou semble utiliser son
poste de juge pour poursuivre sa réussite professionnelle.
Il ne doit pas pratiquer dans la cour où il est un juge, même présidé par
un autre juge, ou pour y apparaître lui-même dans une controverse.
Si interdit la pratique du droit, il devrait refuser d'accepter un emploi
professionnel en fonction.
Il peut bien agir à titre d'arbitre ou d'une conférence sur ou donner des
instructions en droit ou écrire sur le sujet, et accepter une compensation à
cet effet, si ce cours ne gêne pas la bonne exécution de ses fonctions
judiciaires, et n'est pas interdite par certaines posi- disposition tive du droit.
32. Cadeaux et faveurs.
Un juge ne doit pas accepter de cadeaux ou de faveurs de plaideurs, ou
des avocats exerçant devant lui ou d'autres dont les intérêts sont
susceptibles de lui être soumis pour jugement.
33. Relations sociales.
Il ne faut pas à la bonne exécution des fonctions judiciaires que le juge
doit vivre dans l'isolement ou ment départs en retraite; il est souhaitable
que, pour autant que l'attention raisonnable à l'achèvement de son travail
permettra, il continue de se mêler au cours d'échanges sociaux et qu'il ne
devrait pas cesser son térêt in- ou apparition aux réunions des membres du
Barreau. Il devrait, cependant, en cours ou pros- contentieux pective devant
lui être particulièrement soigneuse- FUL pour éviter une telle action peut
raisonnablement tendance à éveiller les soupçons que ses relations
sociales ou d'affaires ou d'amitié constituent un élément in- fluencing sa
conduite judiciaire.
34. Résumé de l'obligation judiciaire. En tout particulier sa conduite doit être
irréprochable. Il devrait être consciencieux, studieux, complet, courtois,
patient, ponctuel, juste, im- partielle, sans peur de la clameur publique, quel
que soit LXXII
 Canons DÉONTOLOGIE JUDICIAIRE
éloges du public, et indifférent aux influences politiques ou partisanes
privées; il doit administrer selon jus- tice loi, et faire face à ses nomi-
comme la confiance du public; il ne devrait pas permettre à d'autres affaires
ou ses intérêts privés entraveraient l'exécution rapide et de ses fonctions
judiciaires, et il ne devrait administrer le bureau dans le but de faire avancer
ses ambitions personnelles ou d'augmenter sa popularité.
35. Une mauvaise publicité des procédures judiciaires. * La procédure
devant la Cour devrait se dérouler avec dignité et le décorum approprié. La
prise de graphiques de photo dans la salle d'audience, pendant les
sessions du tribunal ou des creux entre les sessions, et la coulée de
requête large ou retransmission télévisée des procédures judiciaires
nuisent à la dignité essentielle de la procédure, les participants des voies
dis- et des témoins à donner Mony testi- et créer des idées fausses en ce
qui concerne celle-ci dans l'esprit du public et ne devrait pas être autorisée.
* Adoptée le 30 Septembre, 1937 modifiée 15 Septembre, 1952 et 5 Février 1963.
I, XXII I
A condition que cette restriction ne s'applique pas à la diffusion ou
retransmission télévisée, sous la supervision de la cour, de telles parties de
la procédure de tion (autres que naturalisation l'interrogatoire des
demandeurs) qui sont conçues et exécutées exclu- sivement comme une
cérémonie dans le but de démontrer publiquement d'une manière
impressionnante la dignité et sential es- la nature sérieuse de naturaliser.
36. Conduite des procédures judiciaires. * La procédure devant la cour
devraient être menées de manière à refléter l'importance et la gravité de
l'enquête pour établir la vérité.
Le serment doit être administré à des témoins d'une manière calculée
pour les impressionner par l'importance et la solennité de leur promesse de
AD- ici à la vérité. Chaque témoin doit être prêté serment séparément et de
manière impressionnante au bar ou au tribunal, et le greffier devrait être
tenu de faire un compte rendu officiel de l'administration du serment, y
compris le nom du témoin.
* Adoptée le 30 Septembre 1937.
 EXIGENCES MINIMALES D'ADMISSION
JURIDIQUE PRATIQUE
AUX ETATS-UNIS *

Ce tableau contient des informations des besoins d'éducation et de résidence rapportés 1 Novembre, 1970.
Des informations complètes et subsé q changements uents, le cas échéant, peuvent être obtenus par écrit au
greffier de la Cour d'appel suprême ou le secrétaire du conseil d'administration du Barreau dans chaque État.
Les éléments suivants de compilation ne reflète pas les changements qui peuvent devenir efficaces à compter
du 1er Janvier 1971.

Initialement publié dans le Examen de l'éducation juridique, Automne 1970 et re p MPRIMÉ avec le l'autorisation de l'American Bar Association et
sa Section de l'éducation juridique et Adm4ssions au Barreau.

LXXV
EXIGENCES D'ADMISSION PRATIQUE JURIDIQUE AUX ÉTATS-UNIS

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 EXIGENCES D'ADMISSION PRATIQUE JURIDIQUE AUX ÉTATS-UNIS

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EXIGENCES D'ADMISSION PRATIQUE JURIDIQUE AUX ÉTATS-UNIS

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 BLACK'S
DICTIONNAIRE DE LA LOI
QUATRIÈME ÉDITION
UNE. La première lettre en anglais et la plupart des autres alphabets
dérivés de l'al-romaine ou l alphabet latin, qui était l'un des anciens
alphabets italiens du grec, qui était une adaptation du phénicien. La
première lettre de l'alphabet phénicien a été appelé aleph, qui signifie «
bœuf », qui est aussi le sens de la première lettre de l'alphabet grec, alpha.
Alpha et la deuxième lettre du pari grec alpha-, bêta, ont été combinés
pour former « alphabet », qui est en grande partie les mêmes dans les
différentes langues. En danois, néerlandais, polonais et suédois alfabet;
en anglais, allemand et français, alphabet; en italien, en portugais et en
espagnol, alfabeto; en russe, alfabetli, etc. Cette similitude frappante
montre les emprunts, soit ly médiatement ou immédiate, de la même
source.
A a plusieurs formes différentes, ce qui est peu un plus curieux et grand
A. Toutes nos lettres étaient premières capitales, et le sont restés pendant
longtemps. Ensuite, les petites lettres seulement ont été utilisés pendant
des siècles. Plus tard capitales ont été utilisés avec de petites lettres, en
grande partie à des fins ornementales. Le coef An- Egyptiens avaient vingt
un à choisir de, et il est dit que est la première lettre d'environ un septième
de tous les mots arméniens.
Nundinal lettres
A est aussi la première des lettres nundinal con- sister des huit
premières lettres de l'alphabet. Ces lettres ont été répétées
successivement du premier au dernier jour de l'année par les Romains et
tous les jours neuvième était jour de marché, quand les gens de la
campagne sont venus dans la ville pour acheter et vendre et d'assister à
leurs affaires privées ou religieuses. Cependant, aucun jour de marché
pourrait coïncider avec le premier jour de Janvier ou le neuvième jour des
autres mois. Le premier jour du marché de l'année a chuté de huit jours à
compter du jour du marché précédent, qui
Law Dictionary Black révisée 4 Ed.-1
1
fit la lettre nundinal changent chaque année, mais si la lettre nundinal pour
une année donnée est, par exemple, A, le jour du marché ont toujours
coïncidé avec
A, qui était le neuvième jour à partir du jour du marché précédent,
inclusivement. Aucun jugement pourrait être prononcé, ni assemblées du
peuple tenu, ces jours-là, mais cela a été changé par la loi Hortensia dans
246 BC lois proposées ont été ed post, et un vote ne pouvaient être prises
que trois semaines homme Ro- ( Trinum nundinum), ou 24 jours, se sont
écoulés. Un débiteur judiciaire de 30 jours pour SAt- jugement isfy contre
lui. S'il n'a pas réussi à le faire, il a été saisi et conduit devant le juge
d'instruction et s'il pouvait trouver aucune caution, il a été enchaîné et
détenu par le créancier judiciaire pendant 60 jours, au cours de laquelle a
été proclamé le montant de sa dette sur trois successifs jours de marché,
puis s'il échouait, les XII Tables fournies:
« * * * Tertiis nundinus secanto Partis; si en plus minusive
secuerint, se esto fraud « . (Sur le
troisième jour du marché lui permettra d'être coupé en morceaux; si
quelqu'un [tout créancier] coupé plus ou moins de sa part, il ne sera pas un
crime). Shylock, on se souviendra, a dû couper juste une livre de chair et
pas plus.
Dominical ou dimanche lettres A est aussi la première des
lettres Dominical ou dimanche, composé des sept premières lettres de
l'alphabet, qui ont été introduites pour remplacer les lettres nundinal des
Romains. Ces lettres, répétées successivement du premier au dernier jour
de l'année, montrent l'ordre du dimanche selon le calendrier chrétien. Si le
premier jour de Janvier est le dimanche, tout le reste des jours gnés par A
dés- sera également le dimanche. Comme chaque année commune se
termine le même jour de la semaine qui commence, les lettres dominicaux
changent chaque année retrograde. Si l'année est une année bissextile un
ajustement est effectué soit le 25 ou 29
Février. Les lettres dominicaux sont utilisées pour déterminer la date
de Pâques, mais peuvent également être utilisés pour déterminer le
jour de la semaine où une date donnée tombe en une année.
A comme symbole
À la fois comme symbole et comme une abréviation, A est utilisé
dans toutes les phases de l'activité humaine et appren- tissage. En
droit, le commerce, la fabrication, Engineer- ing, l'impression, la
musique, la médecine, la géométrie, Matics mathé-, la physique, la
chimie, la logique, la philosophie, nautics aéro-, artillerie, etc., ces
appareils, qui sont de sens à la unitiated, tout simplement ne
pouvait pas être supprimé. Les puritains d'abord brûlé un sur le
front du fornicateur, -ou au moins sur celui de la femme adultère! Et
plus tard sur fixé les vêtements du pécheur. Les juges romains
utilisaient trois tables en bois recouvert de cire. D'un a été in- tracée
A pour absolvo ( J'absous); sur le second C pendant Condamner ° ( Je
condamne), et le troisième
NL pour Non liquet ( Ce n'est pas clair). Quand un projet de loi devait être
voté, les électeurs romains ont reçu deux comprimés, sur l'un desquels a
été in- transcrites A pour antiquo ( pour l'ancienne loi), et de l'autre UR Uti
rogas ( comme vous le demandez). A est aussi la première des lettres
utilisées par les acariens et sécurisez les Grecs anciens comme des
signes numériques. Si l'un Grec a été accentué ci-dessus, il était de 1; si
elle est inférieure, il était pour 1000. Les Romains ont également utilisé
un comme un signe numérique avant de prendre la let- ter D. Si A n'a
pas été accentué, il représentait 500, mais si accentué ainsi, A, il resta
5000. Le symbole est une modification graphique du latin un d, qui signifie
« à » ou « à ». Certains chemins de fer européens utilisent A pour
désigner les premiers entraîneurs de chemin de fer de classe. Dans les
guides touristiques européens A est utilisé pour désigner les endroits où
il y a des hôtels capables de satisfaire les besoins des automobilistes.
Mercantile Agencies utilisent A pour indiquer le crédit commercial le plus
élevé. A est aussi la meilleure note donnée par ers aux élèves de
enseigne-. immatriculation des navires en États-Unis, l'Angleterre,
l'Allemagne et la Norvège utilisent A pour indiquer la classe la plus
élevée du navire.
Dans l'enregistrement d'American expédition Al représente un
navire de première classe de la RNS seaworthi- plus haut, les
degrés inférieurs étant exprimés par Al 1/2, etc., A3 étant le plus
bas. Dans registre Al Lloyd: un navire de premier ordre. Un imprimé
en rouge signifie un bâtiment de plus d'âge. ZE une troisième classe
ves- Sél. Le large Un moyen d'un navire de fer. La des- cription d'un
navire comme « Al » équivaut à une ga- rantie. 011ive v. Booker, 1
Exch. 423.
Dans la céramique A a différentes significations. Le beau vieux
Sevres A seul montre que la pièce a été faite en 1753, alors que
AA montre qu'il a été fait en
1777. A est également utilisé comme marque par certains ers de breed-
de taureaux pour l'anneau de taureau, ainsi que par des fabricants de
fines épées Toledo. A représente le premier d'une série, et est utilisé
pour distinguer la première page d'un feuillet à partir de la seconde, qui
est marqué b (Coke, Litt. 114a, 114b), ainsi que la première note de bas
de et la première section ou paragraphe dans les lois. Il est également
le nom de la sixième note de la gamme diatonique naturelle de C, ou la
première note
de l'échelle mineure relative. A cette note tous les instruments or-
chestral sont réglés. A indique aussi la clé dans laquelle beaucoup
de grands morceaux de musique sont composées. L'argent inventé à
la Monnaie de Paris est marqué d'un A, et on a longtemps supposé
que cette monnaie était supérieure à celle des bonbons à la menthe
vinciaux pro. Cela a donné lieu à l'expression A l'Etre marque A ( être
marqué par un A) et a été utilisé pour indiquer un homme d'un rang
éminent ou le mérite, comme nous utilisons A-1 ou A pour indiquer
l'excellence des personnes et aux marchandises. A est également
utilisé dans de nombreuses autres expressions et proverbes. Par
exemple, Un mot au sage suffit.
Ce proverbe ordinaire remontrance
a été jugée calomnieuse, compte tenu du contexte dans lequel il a
été utilisé. Celui qui avait vendu à son partenaire averti les clients
que l'acheteur était pas responsable de ses dettes, car il était
mineur, et que « un mot au sage suffit. » Le tribunal a dit: « Mais
quand ce qui a été dit précédemment est suivi par l'importante et
proverbialement pré mot d'avertissement mots-`A aux sages est
suffisante, l'idée est à la fois que le demandeur a transmis, en
l'honneur est de vouloir et de l'intégrité. comme un homme
d'affaires, et que ceux qui doivent traiter avec lui subirait une perte
« . Hays c. Mather, 15 Ill.App.
30, 34. Pour l'expression, à partir d'alpha et oméga,
il est notre de A à Z et A à izzard, et l'Allemand von A bis Z, qui veut
dire du début à la fin; complètement; complètement; ou en argot
plus moderne, de la soupe aux noix. Le proverbe allemand Wer A
sagt, MUS auch B sagen repose sur une profonde connaissance de
la nature humaine, et se traduit, vous ne pouvez pas dire A sans
dire B; pour un sou, dans un livre. En d'autres termes, ne prenez
pas la premier étape si vous ne voulez pas aller à la limite. D'une
personne très ignorants ou stupide, il a longtemps été dit que Il ne
sait pas grand du pied d'un taureau ou qu'il connaît ni A ni B ( ni A ni B).
Dans Les oiseaux d'une plume troupeau ensemble, une signifie la même
chose, ou plume
signifie le même genre.
A comme Abréviation
À titre d'une abréviation, que ce soit seul ou en nation avec d'autres
lettres combinaison, est utilisé dans tous les arts et les sciences et dans
des centaines de façons non techniques. Son sens comme une abréviation
de Pends largement dé- sur le contexte. Dans l'usage courant, cela peut
signifier
à propos, accepté, acné, vieilli, réponse, ante, zone, amateur, etc. Il est
également utilisé pour presque tous les nom d'une personne
commençant par A, comme Alfred, Anna, etc. En chimie, il
représente l'argon. Une note fournie pour « Int. @
pa » Le tribunal a déclaré:
« La lettre lorsqu'elle est utilisée dans une note, car il est ici, est
connu et reconnu parmi les PLE de PEO commerciales et des
hommes d'affaires comme représentant« à. » Ford Bel- c. Beatty, 34
NE 254, 255, 145 Ill 414. , 418. A est une abréviation de Adversus ( contre).
Contre et son abréviation v. sont beaucoup plus souvent utilisés
dans ce sens, bien que le sens original latin de contre est vers; en
direction de.
Une unité Angstrom; l'unité de mesure de la longueur des
ondes lumineuses .. Les rayons ultra-violets du soleil entre 3130A
et 2900A activer Pro2

des vitamines dans la peau et certains aliments, de manière à produire la substance
connue sous le nom antirachitique D vita- min, qui est également soumis à une
extraction à partir d'huiles de foie de poisson.
L'orthographe d'un
A était autrefois orthographié a-per-se, un ( "a" par lui-même
rend le mot "a") dont A-per-se-A, A sey per- et apersie étaient
corruptions et synonyme de qualité supérieure, chef, en premier
lieu, etc.
A en latin et le droit latin
droit anglo-américain abonde en mots et expressions latines et
françaises, et l'utilisation de A dans ces langues est important à
l'avocat anglophone. En latin « A » a été utilisé à la fois comme
une abréviation et comme un symbole. Par exemple, « A » est une
abréviation pour « Aulus ». un homme praeno-, ou la première des
trois habituelles noms d'une personne par laquelle il se distinguait
des autres de la même famille; pour « ante » dans « ad »
ante journalier ( avant le jour), et pour "anno" (année) en auc, anno urbis
Conditae ( l'année de la construction de la ville) et anno ab Urbe
condita
(À partir de l'année de la construction de la ville). En tant que
préposition, la forme était soit A, UN B ou ABS. On a utilisé devant
les consonnes; ab était généralement utilisé avant les voyelles,
mais parfois avant Conso- nants, alors que abs a été utilisé avant «
c » ou « t ». Le sens était « de », « loin de », « du côté », « à », «
après », « depuis », « par », « au moyen de », « sur », « en
référence à « , « en ce qui concerne, » « proximité » et « le long. »
Par exemple, A fronte
devant; un B tergo, par derrière; une puertitia,
de la jeunesse; ab seule orbi, à partir de ou au lever du soleil; ab
intestat, sans testament, intestat. En droit latin, « a » signifie « par »,
« avec » « de » « dans », « de » et « sur » et AB signifie « par », « de
» et « dans ». 1
CJS p. 2.
Un en français et en droit français en français UNE est
une préposition, dont le sens dépend en grande partie du contexte. Il est
généralement traduit par « dans », « à », « à », « dans », « par », « de », Co. v. La fonction publique de Com- mission, 238 Mo.App. 287,
« avec », « sur », « de, » « pour », « sous », " jusqu'à ce que « , « avec- 179 SW2d 123, 127. Mais le sens dépend du contexte. Par
dans » « entre », etc. Il change aussi dans au et
aux lorsqu'il est combiné avec « la. » A est aussi la troisième
personne, singulier, humeur présent, dicative in- du verbe avoir,
(d'avoir): Il une
(il a). En droit français « a » est utilisé comme un sens de préposition
tion « à », « pour », « dans » « de », « sur », « à », et « avec ». 1 CJS p.
2.
Un en droit pénal romain
Parmi les Romains cette lettre a été utilisée dans les essais
criminelle des. Les juges ont été fournis avec de petites tables
recouvertes de cire, et chacun in- tracée sur elle la première lettre
de son vote: A (ab- solvo) quand il a voté pour acquitter l'accusé;
C (condemno) quand il était à la condamnation; et NL (non liquet),
lorsque la question ne semble pas clairement, et il désirait un
nouvel argument. La lettre A (c.-à-antiquo, « pour l'ancienne loi »)
a été inscrit sur les bulletins de vote romains sous la Lex
Tabellaria, pour indiquer un vote négatif; Tayl.Civ. Loi, 191, 192.
UNE
A comme Indéterminée article
A est la forme de l'article indéfini qui est utilisé avant consonnes
initiales et les consonnes, après avoir été utilisé auparavant voyelle
initiale des sons, comme, par exemple, un maison, une an, une utilitaire;
mais un chêne, un singe Et un heure, parce que le h est silencieux.
. Autrefois où le h initial de certains mots n'a pas été accentuée,
comme historique, hypothétique, hôtel, humble, etc., un a été utilisé,
mais maintenant l'heure n'est plus silencieux, et la meilleure utilisation
dans les deux Unit- ed Unis et en Angleterre est d'utiliser un avant
ces mots. Une question hypothétique, une ument de Mon- historique,
un hôtel, etc., sont des formes correctes.
Le mot « a » a différentes significations et utilisations. « A »
signifie « une » ou « tout », mais moins énergiquement que ce soit.
Cela peut signifier une où un seul est destiné, ou cela peut signifier
une d'un grand ber nom-. Il est placé avant le nom du singulier,
désignant un objet individuel ou individualisé qualité. First Trust
Bank Joint Stock Land de Chicago c. Armstrong, Iowa 222 425,
269
NW 502, 506, 107 LRA 873. L'article "a" est pas nécessairement
un terme singulier; il est souvent utilisé dans le sens de « tout » et
est ensuite appliqué à plus d'un objet individuel. Philadelphie &
Co. RR c. Green & Flinn, 2 WW Harr. (Del.) 78, 119 A. 840, 846;
En re Sanders, 54 Loi JQB L'article « a » est généralement pas
utilisé dans un sens singulier, à moins qu'une telle intention est
claire de la langue de la loi, 1 CJS,
A, p. 1, mais la loi prévoyant que les parties à « une »
réorganisation est considéré comme une seule unité d'ING em-
mentionné à la qualité ou de la nature des changements, plutôt que
la quantité, et signifiait pas un seul ou une seule, mais tout, et fait
qu'il y avait eu plus d'une réorganisation n'a pas empêché la loi
d'application. Lindley v. Murphy, 387 Ill. 506, 56 NE2d 832, 838.
Ainsi, en vertu d'une loi prévoyant que l'émission de « un »
certificat à un transporteur ne doit pas interdire un certificat à un
autre sur la même route, un certificat peut être accordé à plus de
deux transporteurs sur la même route. State ex rel. Crown Coach
exemple, dans la loi d'indemnisation des accidents du travail, sur
ou dans ou sur le « un » chemin de fer, usine, etc., la chemin de fer,
tory fac-, etc., de l'employeur. . Francis c Turier, [1900] 1 QB 478;
69 LJQB 182; 81 LT 770; 48
WR 228; 64 JP 53.
Assurance contre la perte occasionnée par « une mer » ne limite pas
assuré à la perte occasionnée par une seule vague, mais couvert les
pertes occasionnées par les fortes vagues pendant le voyage. Snowden
c. Guion, 101 N.
Y. 458, 5 322 NE.
Dans l'État ex rel. Atty. Le général c. Martin, 60 Ark. 343, 30 S.
W. 421, 28 153 LRA, l'état Constitution prévoit "un juge" dans chaque circuit. En
raison d'augmenter dans les affaires judiciaires, le législateur a prévu un juge
supplémentaire pour le sixième circuit. On a prétendu que la loi était
inconstitutionnelle. Le tribunal a déclaré:
« Maintenant, l'adjectif « a, » communément appelé « article indéfini », et que l'on
appelle aussi, parce qu'il ne définit pas une personne en particulier ou une chose, est
tout à fait trop indéfinie, à la connexion utilisée pour définir ou limiter le nombre de
3
UNE

les juges que la sagesse législative peut prévoir des circuits judiciaires de l'Etat. Et il narily distinguer. Howell v., État, 138 SE
est tout à fait évident que son bureau et la signification a été bien compris par les
rédacteurs de notre Constitution, car nulle part dans ce instrument ne nous est utilisé 206, 164 Ga. 204. L'octroi de « un » droit de Sport- ment sur la
comme une limitation numérique. On insiste que si « un » ne signifie pas « un » et « terre, donne seulement un droit concurrent, mais l'octroi de « le »
mais » dans la section cité, alors la voie est ouverte pour une construction de Narian
droit lui donne exclusivement. Sutherland c. Heathcote, [1892] 1
latitudi- dans les diverses autres sections où il se produit.
Ch. 475; 61 LJ 248; 66 LT 210. Et une licence pour pêcher avec la
tige « a » et la ligne ne justifie pas l'utilisation de plus d'une tige et
une ligne. Combridge c. Harrison, 72
»* • * La question revient à la signification de la lettre « a » de la convention doivent être prises pour avoir
signifié ce qu'ils ont clairement dit. Il réalise exactement le même bureau ici comme dans toutes les autres
sections où il se produit. l'article 6 de l'article 7 dit: « Un juge de la Cour suprême est en loi », etc.; l'article 16 dit: « LT 592; 64 LJMC 175; 59 JP Hinson c 198.. Hinson, 176 NC 613,
Un juge de circuit doit être appris dans la loi », etc.; l'article 41, « Un juge de paix est la qualité d'électeur et un
97 SE 465, y volved une volonté à condition que le fils en prenant
résident du canton », etc. Le mot « a » dans ces sections signifient un, et un seul ou un juge? Si oui, lequel? Dans la
même section dans laquelle « un juge » se produit que nous trouvons. `Il est « un » tor conser- de la paix au sein soin de la veuve doit recevoir 100 $ "par an." Il a été jugé que les
du circuit. Est-ce que « restauratrice » signifie qu'il est d'être le seul gardien de la paix pour le circuit? Dans ce mots cités ne sont pas synonymes chaque année, mais
cas, cette disposition est manifestement en conflit avec les autres. Voir les sections 4, 40. Il est évident que « a »
a été utilisé avant le mot « juge » dans la section considérée parce que, selon notre idiome anglais, la phrase
simplement fixé le taux de rémunération, et qu'il n'y avait pas droit
n'aurait pu euphoniously exprimé sans elle. Dans certaines langues, le latin et le russe, par exemple, il n'aurait pas à une indemnisation jusqu'à la mort de la veuve. AAA. Loi
été utilisé du tout. Il aurait pu être sans ted dans omit- la moindre atteinte au sens, et son utilisation a donné
aucune force supplémentaire ou un sens à la phrase. Pour utiliser l'illustration du savant avocat de l'Etat: Si l'on
d'ajustement agricole.
commande « un sac de farine, un jambon, un cheval, une tonne de charbon », etc., il est entendu qu'il veut dire,
mais un. Il serait donc compris que s'il avait laissé le « a » et dit « sac de farine, jambon, cheval, tonne de
charbon, » « a » utilisé avant les mots commençant par la simple consonne pour servir le pré- euphonie. Si la
limitation est pas dans le mot « juge » sans « un, » il n'y a certainement aucune restriction avec elle. Selon M.
Webster, « un » signifie « un » ou « tout », mais moins « avec force que ce soit. » Cela peut signifier une où un
AAC Anno ante Christum, l'année avant Jésus-Christ.
seul est destiné, ou peut-être une d'un grand nombre. C'est le problème. De lui-même, il est en aucun cas un délai
de prescription. S'il y avait une douzaine de juges dans tout un circuit chacun aurait encore « un juge » pour ce
circuit. M. Webster dit aussi, ' Il est placé avant le nom du singulier, désignant un objet individuel ou individualisé AACN Anno ante Christum natum, l'année avant la naissance du
qualité « . « Qualité » est défini comme (1) la condition d'être d'une telle sorte que distingue des autres; (2) un
caractère spécial ou temporaire; profes- sion, profession « . Webst. Dict. Le « a » a été ainsi utilisée ici. Le
Christ. A AVER ET TENER. L. Fr. (L. Lat. habendurn et tenendum). D'avoir
caractère ou la profession, individualisé, était celle d'un juge. Les fonctions du bureau à exécuter étaient ceux d'un et de tenir. Co.Litt. §§
« juge », pas gouverneur, shérif ou agent de police. Un examen des diverses autres dispositions de la
Constitution, précité, où le mot « a » se produit, montre qu'il n'y a pas des conséquences absurdes, telles que le
remplissage des bureaux dans d'autres départements avec un éventail innombrable des opérateurs historiques, 523, 524. A aver et tener un Luy et un SES heires, un fours rabatteurs, -à avoir
pourraient entraîner « . ou individualisé qualité « . « Qualité » est défini comme (1) la condition d'être d'une telle
et de tenir à lui et pour toujours ses héritiers. Id. § 625. Voir Aver et
sorte que distingue des autres; (2) un caractère spécial ou temporaire; profes- sion, profession « . Webst. Dict. Le
« a » a été ainsi utilisée ici. Le caractère ou la profession, individualisé, était celle d'un juge. Les fonctions du
Tener.
bureau à exécuter étaient ceux d'un « juge », pas gouverneur, shérif ou agent de police. Un examen des diverses
autres dispositions de la Constitution, précité, où le mot « a » se produit, montre qu'il n'y a pas des conséquences AB marin Sans handicap. En droit anglais, un homme a droit à de
absurdes, telles que le remplissage des bureaux dans d'autres départements avec un éventail innombrable des mer être classé AB quand il a servi en mer trois ans avant le mât.
opérateurs historiques, pourraient entraîner « . ou individualisé qualité « . « Qualité » est défini comme (1) la
Aux États-Unis, le terme « Matelot » est utilisé. Pour les besoins du
condition d'être d'une telle sorte que distingue des autres; (2) un caractère spécial ou temporaire; profes- sion,
profession « . Webst. Dict. Le « a » a été ainsi utilisée ici. Le caractère ou la profession, individualisé, était celle
matelot, voir 46 US
d'un juge. Les fonctions du bureau à exécuter étaient ceux d'un « juge », pas gouverneur, shérif ou agent de
police. Un examen des diverses autres dispositions de la Constitution, précité, où le mot « a » se produit, montre CA § 672. Aussi Artium baccalaureus, baccalauréat ès arts. En
qu'il n'y a pas des conséquences absurdes, telles que le remplissage des bureaux dans d'autres départements
avec un éventail innombrable des opérateurs historiques, pourraient entraîner « . profes- sion, profession « .
Angleterre, généralement écrit BA
Webst. Dict. Le « a » a été ainsi utilisée ici. Le caractère ou la profession, individualisé, était celle d'un juge. Les
fonctions du bureau à exécuter étaient ceux d'un « juge », pas gouverneur, shérif ou agent de police. Un examen
ABA American Bar Association.
des diverses autres dispositions de la Constitution, précité, où le mot « a » se produit, montre qu'il n'y a pas des
conséquences absurdes, telles que le remplissage des bureaux dans d'autres départements avec un éventail ABAJ American Bar Association Journal. A BON DROIT. Avec une
innombrable des opérateurs historiques, pourraient entraîner « . profes- sion, profession « . Webst. Dict. Le « a »
a été ainsi utilisée ici. Le caractère ou la profession, individualisé, était celle d'un juge. Les fonctions du bureau à
bonne raison; justement; droite complètement.
exécuter étaient ceux d'un « juge », pas gouverneur, shérif ou agent de police. Un examen des diverses autres
dispositions de la Constitution, précité, où le mot « a » se produit, montre qu'il n'y a pas des conséquences
absurdes, telles que le remplissage des bureaux dans d'autres départements avec un éventail innombrable des
opérateurs historiques, pourraient entraîner « .
AC, Anno Christi, l'année du Christ. A / C signifie compte et est
beaucoup utilisé par les gardiens librairies. Tel qu'il est utilisé dans
un contrôle, il a été jugé non une direction à la banque pour
Lorsque la loi exigeait la remise d'une copie d'un avis au mari et créditer le montant du chèque à la personne nommée, mais plutôt
à une copie à la femme, le retour du shérif qu'il avait remis « une un orandum mem- d'identifier l'opération dans laquelle le chèque a
copie » pour mari et la femme ne suffisait pas. État c. Da- vis, été émis. Marsh c. First State Bank & Trust Co. de Canton, 185
Tex.Civ.App., 139 SW2d 638, 640.
29, 32.
Lakeside Forge Co. v. Freedom Works huile, 265 Pa.
528, 109 A. 216, 217, il a été dit:
«Une voiture ou deux» signifie un petit nombre indéfini, et peuvent inclure jusqu'à
Un CANCELLANDO. De l'annulation. 3 Bl. Comm. 46.
sept. À cet égard l'expression est similaire à « quelques-uns. » Il doit être interprété
en ce qui concerne la matière, et pas nécessairement limitée à un ou deux. Il est
comme les mots « dans un jour ou deux. » " Un CANCELLIS, le chancelier. Un CANCELLIS CURIAE EXPLODI.
Pour être ex- Pelled de la barre de la cour. A CAPELLA OU A LA
Deutsch c. Mortgage Securities Co., 96 676 Virginie-Occidentale, 123 CAPELLA. Dans la musique, dans le style de l'église; également
SE 793, l'acte contenait une clause contre la construc- tion d'appartements ou des
appartements et à condition qu'aucun logement, mais une « maison individuelle » que les instruments sont appelés à jouer à l'unisson avec la partie
devrait être construit sur le terrain. L'impétrant a construit deux maisons d'habitation
d'une famille; et il a été jugé qu'il pouvait bien faire. vocale, ou qu'une partie doit être jouée par un certain nombre
d'instruments. A CAUSA DE CY. Pour cette raison. 4
« A » est parfois interprété comme « le ». . Bookham v Potter,
37 LJCP 276; LR 3 CP 490; 16 WR 806; 18 LT 479, bien que les
deux termes sont ordi-

ACC Société du crédit agricole. A CE. Dans ce but. Un
CEL Petitions. A ce jour.
A CELO USQUE AD CENTRUM. Du haut des cieux au centre de
la terre. Ou mieux, Cujus is solum ejus is usque ad coelum et ad inferos. Le
propriétaire du sol est propriétaire aux cieux et aussi au plus
profond. Ou, Cujus is solum is usque ad cceium, -le propriétaire du sol
est propriétaire aux cieux. Cette doctrine a été mise en doute.
Butler c. Frontier Telephone Co., 186
NY 486, 79 NE 716, 11 ARS, NS, 920 et le vol des avions et de l'huile
récente et ulations gistrement de gaz ont sans aucun doute qualifié la
domination du propriétaire non seulement dans les cieux, mais dans
les profondeurs les plus bas. Voir système Digest américain, Mines et
Minéraux, C = 0,92, et Trespass, 010.
A COMMUNI observantia NON EST RECE- DENDUM. De
l'observation commune ne devrait pas être le départ; il ne doit pas
parture dé- de l'usage commun. 2 Coke, 74; Co. Litt. 186a, 229b,
365a; Wing.Max. 752, max. Une maxime appliquée 203. à la
pratique des tribunaux, aux formes anciennes et établies de
plaidoyer et conveyancing, et ly général- d'usage professionnel. Id.
752-755. Lord Coke applique à l'opinion professionnelle commune.
Co.Litt. 186a, 364b. Un des con. De la fabrication. Cas de Clay-
tonnes, 5 Coke, pt. II, la; Anonyme, 1 Ld. Raym. 480.
Un PRAESENTIUM de des con. De la fabrication des actes de
fiducie. Cas de Clayton, 5 Coke, pt. II, la.
que parce qu'on fait déterminé existe donc une autre, qui est inclus
Un consiliis. (Lat. Consilium, conseil) de conseil. un conseiller. Le
dans, ou d'analogue, et qui est moins im- probable, peu commun,
terme est utilisé dans la loi civile par certains auteurs au lieu d'un responsis.
ou surprenant, doit aussi exister. Un GRATIA. Par la grâce; pas de
Spelman, " Apocrisarius « .
Un CONTRARIO SENSU. D'autre part; dans le sens opposé.
A CUEILLETTE. En droit français. En ce qui concerne le contrat
d'affrètement, lorsque la cargaison signifie est prise à condition que
les fonds provenant du maître en complétant sa cargaison provenant
d'autres sources. Arg.Fr.Merc.Law, 543.
UN D Anno Domini, dans l'année de notre Seigneur.
Une information de taxation cet acte a été commis le 4 jour d'Août, « AD 190 », a
allégué une année impossible « et il est tout à fait évident que le dernier chiffre de
l'année a été omise par inadvertance, mais ce que ce chiffre devait être * * * Ne peut
pas être inférée avec une certitude « . People v. Weiss, 168 Ill.App. 502, 504.
« Les informations allègue que l'infraction recherchée y être inculpé a été commise
sur le 30 Avril, A.
D. 19 « . Il n'y a pas d'autre allégation de temps dans la formation infor- et il est en
vigueur et à toutes fins pratiques tout à fait vouloir en toute allégation à temps. Le
temps présumé est impossible et à cet égard l'information est absurde. L'objection est
non seulement technique, tel que ce terme est couramment utilisé, mais il est
important et fatal. » PLE PEO c. Wagner, 172 Ill.App. 84,
Un DATO. A partir de la date. Cro.jac. 135. Voir A Datu.
A latere
Un DATU. Droit latin. A partir de la date. Ano- Mémorandums 1
Ld.Raym. 480; Haths v. Ash, 2 Salk. 413. Voir Un Dato.
Un DIE CONFECTIONIS. Depuis le jour de la fabrication. Cas de
Barwick, 5 Coke 93b. Un DIE DATUS. Depuis le jour de la date. v
Hat- ter. Ash, 1 Ld.Raym. 84; Anonyme, 1 Ld. Raym. 480;
Seignorett v. Noguire, 2 Ld.Raym.
1241. Utilisé dans les baux pour déterminer le temps ou le
fonctionnement de la succession, et lorsqu'il est ainsi utilisé comprend le
jour de la date. Doe v. Watkins, 1 Cowp.
189, 191. Mais contra, voir Haths c. Ash, 2 Salk.
413.
Un DIGNIORI FIERI DEBET DENOMINATIO. Dénomination
devrait être de plus digne. devrait être prise la description (d'un
lieu) du sujet plus digne (comme d'une volonté). Fleta, lib. 4, c. 10,
§ 12.
Un DIGNIORI FIERI DEBET DENOMINATIO ET Resolutio. Le titre
et l'exposition d'une chose doit être dérivé de, ou donné, ou en
référence à, le degré plus digne, la qualité, ou une espèce de
celui-ci. Wing.Max. 265, max. 75.
AEC Commission de l'énergie atomique. UNE
FORCE FIN. Pure nécessité. UNE FORCE. De
nécessité.
UNE FORCE ET ARMIS. Avec force et des armes. Un ET
FORFAIT SANS GARANTIE. En droit français. Une formule
utilisée dans le papier commercial endosser, et équivalent à « sans
recours ». A FORTIORI. À plus forte raison; beaucoup plus. Un
terme utilisé dans la logique pour désigner un argu- ment à l'effet
droit.
AH, Anno Hegirae ( dans l'année de l'hégire). ENJEU. Un
mouchoir.
Un JURE SUO CADUNT. Ils (par exemple, per- sonnes qui
abandonnent biens meubles) perdent leur droit. A JUSTITIA
(QUASI A quodam FONTE) OM- NIA JURA EMANANT. De la justice,
comme fon- tain, tous les droits de l'écoulement. Brae. 2 b. A LA
GRANDE GREVAUNCE. Pour le grand grief. UN GRAND. Gratuit;
en général.
Un Latere. Lat. Collatéral. Utilisé dans ce sens en parlant de la
succession à la propriété. Bractée. 20b, 62b. De, sur, ou sur le
côté; collatéralement.
A latere ascendit (jus). Le droit monte latéralement COL-. Les juges
de Curia Regis sont tracée comme une DE- latere regis residentes, assis
à côté du roi; Bractée. fol. 108a; 2 Reeve, Hist. Eng.L. 250. 5
A latere
En droit civil et par Bracton, synonyme de e transverso, à
travers. Bractée. fol. 67a.
Appliqué également à un procédé ou une procédure. Keilw.
159. Sur le cours normal ou légal; ACCIDENTELS ou
désinvolture dentaire. Bractée. fol. 42b; Fleta, lib.
3, c. 15, § 13.
Du côté de; indiquant la proximité de inti- mité ou de connexion;
comme tribunal a jugé avant TdR Audi- specialiter une latere regis
destinatis. Fleta, lib. 2, c. 2, § 4.
Apostolique; des pleins pouvoirs pour représenter le pape
comme s'il était présent. Du Cange, Legati, un latere; 4 Bla.Com.
306.
Un libellis. L. Lat. Un officier qui était chargé de la libelli ou pétitions
adressées au ereign souverai-. Calvin. Un nom parfois donné à
un chancelier, ( cancellarius,) au début de l'histoire de ce bureau.
Spelman, " Cancellarius « .
A L'IMPOSSIBLE NUL Ne EST TENU. Personne n'est lié à
l'impossible. Un LOUR FOY. Dans leur allégeance.
Un LUY ET SES A HEIRES A rabatteurs JOURS. Pour lui et pour
toujours ses héritiers.
UNE. M. Ante meridiem, avant midi. Seule l'abréviation est
habituellement utilisé. Orvik v. Homme Cassel-, 105 NW 1105, 15
ND 34. Aussi Magister Artium, maître des arts. Aussi mirabilis
annus,
la merveilleuse année 1666, l'année de la défaite de la flotte
néerlandaise et du grand feu de Londres. aussi anno mundi, dans
l'année du monde; qui est, lorsque la création du monde aurait eu
lieu, 4004 BC
AMA Loi sur la commercialisation agricole. A MA INTENTIONS.
Sur mon action. Mitchell v. Reynolds, 1 Smith Lead.Cas. (7 Am.
Ed.) 516. manibus. Lat. scribe royal. Secrétaire. Un MANU
SERVUS. Lat. A handservant; une pointe; une secrétaire. A ME.
(Lat. ego, I.) Un terme de subventions féodales dénotant mandat
direct du seigneur supérieur. 2 Bell, HLSC. 133.
la détention Injustement de moi. Il est dit retenir une moi ( de
moi) qui a obtenu la session de ma propriété pos- injustement.
Calvinus, Lex. Pour payer moi, est de payer de mon argent. Un
corps et de biens. Lat. De table et de lit, mais le plus souvent
traduit, de corps. Une sorte de divorce, ce qui est plutôt une
séparation des parties par la loi, qu'une solution dis- du mariage.
27 CJS, divorce, §
160.
Un MULTO FORTIORI. De loin le plus fort fils rai-.
Un nativitate. Dès la naissance, ou de la petite enfance. Indique
qu'un handicap, le statut, etc., est congeni- tal 3 Bla.Comm. 332;
Reg.Orig. 266b.
NON NON Posse AD ESSE sequitur AR- GUMENTUM necessarie
NÉGATIF, licet NON POSITIVE. Une Translation- littérale de
l'impossibilité à la non-existence, l'inférence suit nécessairement
négative, mais pas par l'affirmative, est aussi ambigu que l'original.
Il pourrait se traduire ainsi: La ence négative de non inférences
existence découle nécessairement de possibilité im- de
l'existence, mais la ence positive de l'existence inférences ne peut
être tirée de la simple possibilité.
A. 0. C. Anno orbis conditi, l'année de la créa- tion du monde.
Un OUTRANCE. A la fin amère; à l'excès; dans la mesure la plus
grande. Souvent mal écrits par des personnes avec seulement une
poignée de l'français à outrance. A PAIS. Pour le pays; un
mouchoir. Un Palatio. L. Lat. De Palatium, ( un as PAL-.) comtés
palatine sont donc dit. 1 Bl.Comm. 117. Voir Palatin.
APC Alien Property Custodian.
APCN Anno post Christum natum, l'année après la naissance du
Christ.
A PIRATIS AUT LATRONIBUS Capti LIBERI PERMANENT. Les
personnes prises par des pirates ou des fibres rob- restent libres.
Creuser. 49, 15, 19, 2; Gro. de JB lib. 3, c. 3, § 1.
A PIRATIS ET LATRONIBUS CAPTA NUM NON Domi- MUTANT.
La capture par des pirates et des voleurs ne change pas le titre.
Bynk. bk. 1, c. 17; 1 Kent, Comm. 108, 184. Aucun droit de butin
est dévolu à geôliers pirateries; ne peut être droit dérivé d'eux par
recaptors au détriment des propriétaires d'origine. 2 Wood.Lect.
428.
A POSTÉRIORI. Lat. De l'effet à la cause; de ce qui vient après.
Un terme utilisé dans la logique pour désigner un argument fondé
sur l'observation ou expé- ment, ou celui qui, en faits ascer-
CONTIENT comme un effet, produit par synthèse et de l'induction
pour démontrer leur cause.
APRC après anno conditam romain, année AFT- er la fondation de
Rome. A Prendre. L. Fr. Prendre; à saisir. Bret la terre a prendre, un
bref de prendre la terre. Fet Ass. § 51. Un droit de prendre quelque
chose sur le sol d'un autre est un bénéfice d'un prendre, ou un droit
couplé à un profit. 1 Crabb, le Real Prop. P.
De 125, § 115. distingué d'une servitude. 5 Adol. & E. 758. Parfois,
écrit en un seul mot,
Apprendre, Apprentis. Voir droit d'extraction.
Pris du à bon droit du sol. 1 N. & P. ​172; Waters v. Lilley, 4
prise. (Mass.) 145, 16 Am.Dec.
333.
A PRIORI. Lat. De la cause à l'effet; de ce qui se passe avant. Un
terme utilisé dans la logique à 6

un argument fondé dénoter sur l'analogie, ou considérations stract
Ab-, ou celui qui, un principe général posant ou vérité admise
comme cause, procède à en déduire les effets qui doivent
nécessairement suivre.
Un PROVISIONE VIRI. Par la mise à disposition de l'homme. 4 Kent,
Comm. 55.
A QUO. Lat. À partir duquel. A un tribunal quo ( également écrit «
une condition ») est un tribunal dont la cause a été supprimée. Le
juge a quo est le juge de ce tribunal. Clegg v. Alexander, 6 La
339..
Un terme utilisé, avec le corrélatif ad quem ( à laquelle), en
exprimant le calcul du temps, et aussi de la distance dans
l'espace. Ainsi, dies a quo,
le jour à partir duquel et dies ad quem, le jour auquel une période
de temps est calculée. Alors, termi- Nus a quo, le point ou la limite
à partir de laquelle, et
terminus ad quem, le point ou la limite à laquelle, d'une distance
ou d'un passage dans l'espace est compté. A QUO INVITO aliquid
EXIGI potest. Dont quelque chose peut être exigé que contre son
gré.
AR Anno Regni. Dans l'année du règne; comme
ARVR 22, ( Anno Regni Victoriae Reginae vicesimo secundo) dans
la vingt-deuxième année du règne de la reine Victoria. Un
REMENAUNT. Pour toujours.
A RENDRE. (Fr. pour rendre, à céder.) Ce qui doit être rendu,
cédé ou payé. Les bénéfices d'un Rendre comprendre les loyers et
les services. Jambon.
NP 192.
Un RESCRIPTIS VALET Argumentum. Un ar- gument de rescripts
[ c'est à dire Brefs d'origine dans le registre] est valide. Co.Litt. 11
a.
Un RESPONSIS. L. Lat. Dans le droit ecclésiastique. Un bureau
dont il a été de donner ou transmettre an- ponses; autrement
appelé responsalis, et iarius apocris-. Celui qui, consulté sur les
questions ecclésiastiques, a donné des réponses, des avocats ou
des conseils; sage appelé un autre- consiliis. Spelman, " Apocrisi-
Arius « .
A RETRO. L. Lat. Derrière; à terme échu. Et proveniens tus redi-
monté un fuerit rétro, et l'émission de loyer de celle-ci soit à terme
échu. Fleta, lib. 2, c.
55, § 2; c. 62, § 14.
A rubro AD NIGRUM. Lat. Du rouge au noir; de la rubrique ou le
titre d'une loi (qui, était en qu'anciennement rouge lettres), à son
corps, qui était dans l'ordinaire noir. Tray.Lat.Max .; Bell, " Rubrique;"
Erskine, Inst. 1, 1, 49. A SAVOIR. En être témoin.
A summo REMEDIO AD INFERIOREM AC- TIONEM NON habetur
regressus, neque AUXILIUM. De (après avoir utilisé) le plus haut
remède, il peut y avoir aucun recours (retourner) à une action
inférieure, ni assistance, (dérivé de
AB ACTIS
il.) Fleta, lib. 6, ch. 1, § 2. Une maxime dans l'ancienne loi des
actions réelles, quand il y avait les grades dans les remèdes
donnés; la règle étant qu'une partie qui a apporté un bref de plein
droit, ce qui était le plus haut bref dans la loi, ne pouvait recourir
plus tard ou descendre à un recours inférieur. Bractée. 112b; 3
Bl.Comm. 193, 194.
A TEMPORE CUJUS CONTRARII MEMORIA NON EXISTET.
D'un temps dont il n'y a pas de mémoire au contraire. Un ANNIS
de TENERIS. En raison de la jeunesse. A TERME. Pour un ou le
terme. A DE SA VIE TERME. Pour la durée de sa vie.
UB 3 Edw. II, 55.
A MYE Ne EST QUE TERME ENCORE PASSE. Pour un terme
qui n'a pas encore passé. A EST TERME QUE PASSE. Pour un
terme qui a passé.
A TORT. Sans raison; injustement; injustement. A TORT ET A
TRAVERS. Sans considéra- tion ou le discernement.
A OU A TORT DROIT. Vrai ou faux. A verbis LEGIS NON EST
RECENDENDUM. Les termes d'une loi ne doit pas être dérogé. 5
Coke 119; Wing.Max. 25. Un tribunal n'est pas libre de ne pas
tenir compte de la lettre de la loi, dans une vor fa- intention
supposée. 1 Steph.Comm. 71; Broom, Max. 268.
Un VINCULO matrimonii. Lat. De l'obligation du mariage. Un terme
descriptif d'une sorte de divorce, qui effectue une dissolution
complète du contrat de mariage. Voir le divorce. AB (fr. Abba, Syr.,
Père). Le onzième mois de l'année civile juive, et le cinquième de
l'année sa- CRED. Il répond à la lune qui commence en Juillet, et
se compose de trente jours. Le 24, on observe une fête en
mémoire de l'abolition de la loi sadducéens, qui exigeait des fils et
des filles d'être héritiers égaux et héritières des biens de leurs
parents. Régime de Brown. de la Bible, Bib.Antiq de John. AB, au
début des noms anglais-saxons des lieux, est généralement une
contraction de AB- bot ou abbaye; d'où il est inférée que ces lieux
avaient autrefois une abbaye, ou appartenaient à un ailleurs,
comme dans le Berkshire Abingdon. Gloss loi de Blount. Lexique
du droit de Wharton. UN B. ABR. Abrégement.
AB ABUSU AD USUM NON VALET quences QUENTIA. Une
conclusion à l'utilisation d'une chose de son abus est invalide.
Broom, Max. 17. AB ACTIS. Lat. Un officier ayant la charge de
acta, documents publics, des registres, des journaux, ou Utes min-; un
officier qui est entré dans le dossier de la acta
ou procédure d'un tribunal; un greffier du tribunal; un 7
AB agendo

notaire ou actuaire. Calvin.Lex.Jurid. voir " Acta « .
Ceci, et un épithètes formé de la même cancellis,
une secretis, une libellis, étaient également les titres d'qu'anciennement
un chancelier, ( cancellarius,) dans le his- toire au début de ce bureau.
Spelman, " Cancellarius « .
rivé d'un testament. Inst. 2, 9, 6. Successio ab intestat, succession
à un testament, ou en cas de intestacy. Id. 3, 2, 3; Creuser. 38, 6,
1. Cette an- ponses à la descente ou l'héritage de biens
immobiliers en common law. 2 Bl.Comm. 490, 516; Histoire,
Confl.Laws, § 480. « Héritier ab intestat « . 1 Burr.

AB agendo. Désactivé d'agir; incapable d'agir; frappé d'incapacité
pour les affaires ou les transactions de toute nature.
AB ANTE. Lat. Avant; en avance. Ainsi, un législateur ne peut
accepter ab ante à toute modifi- tion ou la modification d'une loi qui
une tierce personne peut faire. Allen v. McKean, 1 Sumn. 308,
Fed. Cas.No.229 (charter collège).
AB antecedente. Lat. Préalablement; en avance. 5 M. & S. 110.
420. L'expression « ab intestat » est généralement utilisé comme
l'opposé ou en variante de ex testamento,
(De, par, ou par testament.) Vel ex Testamento, vel ab intestat
[hcereditates] tances pertinentes, -inheri- proviennent, soit d'une
volonté ou d'un intestat, (celui qui meurt sans testament.) Inst. 2,
9, 6; Creuser. 29, 4; La morue. 6, 14, 2. AB INVITO. Contre son
gré. Contre la volonté de l'un. Par ou d'une partie récalcitrante. Un
transfert ab invito est un transfert obligatoire. Voir en invitum et
invito.

AB Antiquo. De vieux temps; de temps anciens; de la vieille; d'une

AB JUDICATIO. Un retrait de la cour. AB IRATO. Lat. Par celui qui
date ancienne. 3 Bl.Comm. 95. AB ASSUETIS NON FIT injuria.
est en colère. Un étau dé- ou don fait par un homme négativement
Des choses auxquelles on est habitué (ou dans laquelle il a
à l'térêt in- de ses héritiers, à cause de la colère ou la haine contre
longtemps été acquiescement) aucune blessure juridique ou mal
eux, dit-on à faire ab irato. Un costume de mettre de côté une telle
fait sentir. Si une négligence personne d'insister sur son droit, il
volonté est appelée une action ab irato.
est réputé avoir abandonné. Amb. 645; 3 Brown, Ch. 639;
Jenk.Cent.Introd. vi. AB epistolis. Lat. Un agent ayant une charge
Merlin, Repert. Ab irato. Snell c. Weldon, 239 Ill. 279, 87 NE 1022.
de la correspondance ( epistolce) de son supérieur ou souverain;
une secrétaire. Calvin .; Spiegelius. AB EXTRA. (Lat. supplémentaire, AB OLIM. De la vieille.
au-delà, sans.) A partir sans. Lunt c. Pays-Bas, 14 Mass. 151. AB
INCONVENIENT !. De difficultés ou incon- raisons de commodité.
AB OVO. L'œuf, donc, dès le début en faisant allusion à l'ancienne
Un argument fondé sur le navire Hard- de l'affaire, et les coutume romaine de commencer un repas avec des œufs et se
inconvénients ou les conséquences auxquelles désastreux un terminant avec des fruits, ab ovo usque ad mala. Pour commencer
cours différent du raisonnement conduirait. Barber asphaltage Co. avec des œufs et se terminent par des fruits. Aussi, parfois en
c. Hayward, 248 MO 280, 154 SW 140. ab initio. Lat. Depuis le allusion aux poètes qui ont commencé his- toire de la guerre de Troie
début; à partir de la première loi; entièrement; à tous les actes avec l'œuf dont Hel- en a dit avoir été éclos en contraste avec Homer
accomplis; dans la création. Une partie peut être considéré qui a plongé dans le milieu des choses, ou in media res.
comme un tres- passant, un domaine à être bon, un accord ou
acte pour être vide, ou un mariage ou tout acte illégal, ab initio. Charrue.
6a, 16a; 1 Bl.Comm. 440; Hopkins v. Hopkins, 10 Johns. (NY) AB 1URBE Condita. Voir AUC ABACIST ou ABACISTA. Un
369. Avant. Contrastée dans ce sens avec ex post facto, 2 lanceur de sorts des comptes, un arithméticien.
Shars.Bla.Comm. 308; ou postea,

ABACTION. A emporter par la violence. ABACTOR. Un voleur et

Calvinus, Lex., Initium.
Validité de la politique d'assurance ab initio, In re meuniers et fabricants de Ins.
Co., Minn 97 98, 106 485 NW. Incontrôlées Statut ne pas titutionnelles nul ab initio,
État c. Poulin, 105 Me. 224, 74 A. 119, 24 LRA, NS, 408; pacité inca- physique, le
mariage non nul ab initio, Bennett v. Bennett, 169 Ala. 618, 53 So. 986, LRA1916C,
693.
un chauffeur loin du bétail ou des bêtes des troupeaux ou en grand
nombre à la fois, à la différence d'une personne qui vole un seul
animal ou bête. Aussi appelé abigeus, QV Abadengo. En droit
espagnol. Des terres appartenant à une corporation
ecclésiastique, et donc de l'impôt ex- préjuge. En particulier, les
terres ou les villes sous la domination et la compétence d'un abbé.
Escriche, Dicc. Raz.

IMMEDIATE MUNDI. Lat. Dès le début du monde. Ab initio mundi

usque ad hodier- num diem, depuis le début du monde à ce jour.
YBM 1 Edw. III, 24.
AB intestat. Intestat. 2 Low.Can. 219. Merlin, Repert.
AB intestat. - Lat. Dans le droit civil. D'un intestat; du intestate; en
cas de intes- tacy. Hcereditas un B intestat, une succession de dé-
ABALIENATE. Pour transférer un intérêt ou un titre.
ABALIENATIO. Dans le droit romain. Le moyen de transport parfait
ou le transfert de propriété d'un citoyen de l'homme Ro- à l'autre.
Ce terme a lieu au simple alienatio, qui est utilisé dans le Digest et
les instituts, ainsi que dans la loi féodale, et dont l'anglais «
aliénation » a été formé. Inst. 2, 8, pr .; Id. 2, 1, 40; Creuser. 50,
16, 28; Calvinus, Lex., Abalienatio.

8

ABALIENATION. En droit civil, une prise en charge de biens
immobiliers, ou à un autre en biens meubles régulière de la loi.
ABAMITA. Lat. Dans le droit civil. La soeur d'un grand-père
grand-Great-, ( abavi soror.) Inst. 3, 6, 6; Creuser. 38, 10, 3;
Calvinus, Lex. Appelé Amita maxi- ma. Id. 38, 10, 10, 17. Appelée,
en Bracton, ABA-
Mita magna. Bractée. fol. 68b.
ABANDONNER. Pour le désert, l'abandon, abandonnes, ou céder.
Pour abandonner ou renoncer à l'intention de reprendre à nouveau
néan- er son droit ou un intérêt. Bur- roughs c. Pacific Telephone &
Telegraph Co., 220
P. 152, 155, 109 Or. 404. Pour abandonner ou de cesser d'utiliser.
Ry du Sud. Co. c. Commonwealth, 105
. SE 65, 67, 128 Va 176. Abandonner absolument; abandonner
complètement; de renoncer tout à fait; de re- linquish tout lien avec
ou préoccupation; déserter. Commonwealth v. Louisville & NR Co.,
258 SW 101, 102, 201 Ky. 670. Il comprend les tention d'in-, ainsi
que l'acte extérieur par lequel il est mis en oeuvre.
ABANDONNATAIRE. Une partie à qui un erty droit ou CONVE- est
délaissé ou abandonné par un autre. Appliqué aux assureurs des
navires et des cargaisons. Lord Ellenborough, CJ, 5 Maule & S. 82;
Abbott,
J., Id. 87; Holroyd, J., Id. 89.
ABANDON. La cession ment, relinquish-, renonciation ou cession
de biens ou de droits. Stephens c. Mansfield, 11 Cal. 363 (terre); .
Munsey v Marnet Oil & Gas Co. (Tex.Civ.App.) 199 SW 686, 689
(concession de pétrole); . Shepard v Alden, 201 NW 537, 539, 161
Minn 135, 39 ALR 1094 (bowling). Union Grain & Elevator Co. c.
McCammon Ditch Co., 240 P. 443, 445, 41 216 Idaho (droits
d'eau).
L'abandon d'une chose absolument, sans rEF- érence à une
personne ou un but particulier, comme jeter un bijou dans la route;
laissant une chose à lui-même, comme un navire en mer; CONVE-
annulant la erty intention de ne pas revenir, de sorte qu'il peut être
affectée par le coin suivant. 2 Bl. Comm. 9, 10; Judson v. Malloy,
40 Cal. 299, 310. intention d'abandonner ou de renoncer à la
chose est un élément essentiel, à prouver par des actes visibles. .
Sikes v Etat, Tex.Cr.App, 28 SW 688. Jordan
v. Etat, 107 Tex.Cr.R. 414, 296 SW 585, 586 (pièces automobiles);
Kunst c. Mabie, 72 Virginie-Occidentale 202, 77
SE 987, 990 (bois non coupé); Dow c. Worley, 126 Okl. 175, 256
P. 56, 60 (pétrole et gaz bail); Duryea c. Elkhorn Coal & Coke
Corporation, 123 Me. 482, 124 A. 206, 208.
La renonciation volontaire de possession de chose par le
propriétaire avec l'intention de mettre fin à sa propriété, mais sans
elle acquisition d'une autre per- sonne. Dober c. Ukase Inv. Co.,
139 Or. 626, 10 p 2d 356, 357. L'abandon de tout titre, posses-
sion, réclamation ou un jet virtuel, volontaire loin de la propriété.
Foulke v. New York, Consol. R. Co., 228 NY 269, 127 NE 237,
238, 9 ALR 1384 (paquet dans une voiture de métro).
L'abandon en droit dépend de concours de inten- tion d'abandonner et un acte
manifeste ou une omission qui porte implique que le propriétaire ne prétend ni
conserve
9
ABANDON
tout intérêt. Stinnett c. Kinslow, 238 Ky. 812, 38 SW2d
920, 922.
« Abandon » comprend à la fois l'intention d'abandonner et l'acte extérieur par
lequel l'intention est mise en œuvre. Pour déterminer si l'on a abandonné ses biens
ou droits, l'intention est le premier et l'objet de montage para d'enquête, car il ne peut
pas, sans l'abandon ment intention d'abandonner. Boatman c. An- dre, 44 Wyo. 352,
12 P.2d 370, 373. En général, "ment abandon" peut résulter d'un acte unique ou
d'une série d'actes. Holly Hill Lumber Co. c. Grooms, 16 SE2d 816, 821, 198
SC 118.
Le temps est pas un élément essentiel de « l'abandon », même si le laps de temps
peut être la preuve d'une intention d'abandonner, et où elle est accompagnée d'actes
d'origine humaine ifesting une telle intention, on peut considérer en déterminant si il y
a eu un abandon. Ullman ex rel. Eramo v. Payne, 127 Conn. 239, 16 A.2d 286, 287.
nonuser Mere est pas nécessairement un abandon. Har- nett v Dickinson, 93 Md
258. 48 A. 838 (à la maison)..; . Welsh v Taylor, 131 NY 450, 31 NE 896, 18 535 LRA
Phillis v. Gross, 32 SD 438. 143 NW 373, 378 (contrat pour acte). Voir, cependant,
Corkran, Hill & Co. c. AH Kuhlemann Co., 136 Md 525., 111 A. 471, 474 (marque
déposée). Distingué de la négligence: Ville de Vallezo v Burrill, 64 Cal.App.. 399, 221
P. 676 (ligne de tuyau).
"Abandon" diffère de la cession dans cette cession exige un accord, Noble v
Sturm, 210 Mich 462, 178 NW 99, 103.. et de la déchéance dans la mesure où la
confiscation peut être contre l'intention de la partie qui aurait perdu, Gila Water Co. c.
Green, 29 304 Ariz., 241 P. 307,
308.
Dans le droit civil et le français est l'acte par lequel un débiteur
remet ses biens au profit de ses créanciers; Merlin, Repert. Voir
Torts Délaissement des.
Actions, en général
Le non à durée indéterminée pour poursuivre action ou poursuite,
Morris v. Phifer State Bank, 90 en Floride. 55, 105 So. 150, à moins que
provoqué par une injonction, Barton
v. Burbank, 138 La. 997, 71 So. 134. Par la loi dans certains Etats
un temps défini a été établi qui rendra un costume abandonné et
sous réserve de con- gédiement. Public Utilities Commission v.
Smith, 298 Ill 151., 131 NE 371, 375.
La non-présentation problème en instruction, Unter- Lachner v
Wells, 317 181 Mo., 296 SW 755, 756. la non-exécution des
conditions nécessaires à l'appel valide ou bref d'erreur, Lewis v.
Martin, 210 Ala. 401, 98 So. 635; Conseil de l'Instruction publique
du comté de Marion pour v. Goodwin, 89 en Floride. 379, 104 So.
779; absence de contester sur swer An- de saisie-arrêt, Phelps c.
Schmuck, 151 Kan. 521, 100 P.2d
67, 71.
Missions d'erreur
N'a pas été plaidée. Meyer c. Hendrix, 311 Ill.App. 605, 37 NE2d
445, 446.
Non présenté en bref. Roubay c. États-Unis, QCACal., 115
F.2d 49, 50. Non pris en charge par point, argument ou autorité.
Cône v. Ariss, 13 Wash.2d 650, 126 P.2d 591, 593.
Propriété de banqueroute
En re Mirsky, CCANY, 124 F.2d 1017.
Restrictions de construction
Les violations de clause restrictive, Meyer v. Stein, 284 497 Ky.,
145 SW2d 105, 107.
ABANDON
cimetières
Aucune nouvelle inhumations et la négligence des tombes, Andrus
V. Remmert, 136 Tex 179, 146 SW2d 728, 730.; pour un usage
occasionnel agricoles, purpos s, In re Gundry, 294 Mich 221, 292 NW
709, 711. 1 à de nouveaux desuso inhumations, l'échec de couper
l'herbe soins de r pour les pierres de tête, In re Conseil d'Transpor
ation de la ville de New York, 251 NYS 409, 413, 14 divers. 557.
enfants
Ou volontaire Désertion abandon. Cannon v État., 53 Ga.App.
264, 185 SE 364, 366. obligations parentales précédentes Art.
Wright c. Fitzgib- bures, Mlle.,? 1 So.2d 709, 710.
Le retrait ou la négligence des droits parentaux. Affaire Potter, 85
Wash 617., 149 p 23.
Abandon des revendications parentales. Glendin- ning c.
McComas, 188 Ga. 345, 3 562 SE2d, 563. accord de séparation
engageant la garde de l'enfant à son père. Gardner c. Hall, 132
NJEq. 64, 26 A.2d 799, 809.
La séparation de l'enfant et de l'échec de fournir à ses besoins.
State v. Clark, 148 Minn. 389, 182 NW
452, 453.
infraction pénale, la séparation de l'enfant, et le défaut de
fournir à ses besoins. Curtis c. Etat, 48 Ga.App. 135, 172 SE 99,
100.
récupération de la mort illicite vainquant. Affaire de la succession
de Schiffrin, 272 NYS 583, 585, 152 divers.
33,
Demandes de réparation
Le défaut de déposer une demande d'audience. Hanks
c. Southern services publics Co., 210 NC 312, 186
SE 252.
Procédures de confiscation Licenciement d'une
pétition. Will County v. Land Cleve-, 372 Iii. 111, 22 NE2d 929,
930.
Le défaut des commissaires de faire rapport, Kean c.
Commission County Park Union, 129 NJEq. 67, 18 A.2d 279, 280,
ou un jugement déterminant ity invalid-. Ville de Los Angeles c.
Abbott, Cal., 12 P.2d
19, 22; défaut de paiement des sommes adjugées, Detroit
International Bridge Co. c. American Seed Co., 228 NW 791, 795,
249 Mich 289..
Les travaux de construction
Cessation de l'exploitation et de l'intention du propriétaire et l'entrepreneur
de cesser ses activités de façon permanente, ou tout au moins pour la période
définie, ou un préavis équitable ou la connaissance de l'abandon par le
demandeur de privilège, Tual AC- ou implicite. Bloc v. Amour, 136 Or. 685, 1
P.2d
588, 589.
contrats
Pour constituer un « abandon » par le comportement, AC- tion invoquée
doit être positive, sans équivoque, et incompatible avec l'existence du
contrat, Mood c. Église épiscopale méthodiste du Sud, Tex.
Civ.App., 289 SW 461, 464. renonciation est une question d'intention,
Lohn v. Fletcher Oil Co., 38 Cal. App.2d 26, 100 P.2d 505, 507, et
implique non seulement
dix
non-exécution, mais une intention de ne pas effectuer ce qui peut
être déduit des actes qui necessari- ment à l'abandon le point réel,
Losei Realty poration c Cor-. Ville de New York, NY 41 254, 171
NE 899.
Droits d'auteur
droits de common law, Tamas v 20th Century Fox Film
Corporation, Sup, 25 NYS2d 899, 901..; la vente et la livraison de
la peinture à state- propriété sans copyright institution publique,
Pushman c de New York Graphic Soc, Sup, 25 NYS2d 32, 34...
conférences ées non livrés à droits d'auteur grand public, mais
seulement à payer le public et les classes, Institut national
d'amélioration de la mémoire v. Nutt,
DCConn., 28 F.2d 132, 134.
Cultures
omission volontaire du locataire métayage à culti- vées cultures,
Heaton c. Slaten, 25 Ala.App. 81, 141 So. 267, 268.
fossés
Le nonuser de la ville pendant une courte période après fossé
mitting per- être bloqué était insuffisante. v Fos ter. Webster, Sup.,
44 NYS2d 153, 156. Plus d'informations non-utilisateur ne constitue
pas. Musselshell Valley Agriculture et élevage Co. v. Cooley, 86
Mont. 276, 283 P. 213, 218. Après avoir droit de prescription ci-joint,
la pénurie d'eau dans les années subséquentes rendant inutile
l'utilisation du fossé ne constituerait pas. Bowman c. Bradley, 270 P.
919, 922, 127 Or. 45.
Domicile
La suppression définitive de, Stafford c. Mills, 57
NJL 570, 31 A. 1023.
servitudes
Pour établir « l'abandon » d'une servitude créée par un acte, il
doit y avoir une conduite sur une partie du propriétaire de la
succession et défavorables à servants incompatible avec
l'existence de tinuing servitude et pour con- période statutaire ou
nonuser doit être accompagnée d'équivoque et. actes décisifs
indiquant clairement une intention de la part du propriétaire de la
servitude à renoncer à l'usage. Richardson v. Tumbridge, 111 90
Conn., 149 A. 241, 242.
cessation permanente d'utilisation ou. la jouissance sans in- tention pour reprendre
ou récupérer. Welsh v Taylor, 134 NY 450, 31 NE 896, 18 535 LRA. Corning c. Gould,
16 Wend.,
NY, 531. L'intention et l'acte accompli sont toutes deux essentielles. Ville de Orlando
v. Stevens, 90 Okl. 2, 215 P. 1050, 1051., Goodman v Brenner, Mich 219 55, 188 NW
377..; ing de briques jusqu'à des ouvertures pour escalier et halls de bâtiments
contigus, Miller v Teer, 220 NC 605, 18 SE2d 173, 178.; où l'objet de l'utilisation de la
propriété dédiée échoue totalement, le comté de Dallas c. Miller, 140 Tex 242., 166
SW2d 922. Mais la simple nonuser ne suffit pas. Smelcer c. Rippetoe, 24 Tenn.App.
516, 147 SW2d 109, 113, 114; .. V O'Barr Dun- peut, Ga 187 642, 2 SE2d 82, 83; droit
de passage acquis par subvention. .. V Burnham Mahoney, 222 Masse 524, 111 NE
396, 398; Raleigh, C. & S. Ry. Co. c. McGuire, 171 NC 277, 88
SE 337, 339. Cas où le propriétaire de l'immeuble avait servitude dans le mur
adjacent, détruisant la construction préparatoire à l'érection d'un nouveau bâtiment,
n'a pas causé la perte de servitude. Joel v. Publix-Lucas Theatre, 193 Ga. 531, 19 730
SE2d, 736. Et une simple obstruction temporaire ou occasionnelle ou à l'utilisation
d'une servitude par le propriétaire de servants n'est pas un « abandon ». Gerber c.
Appel, Mo.App., 164 SW2d 225, 228. Cependant nonuser de passage à niveau depuis
plus de 20 ans, et

transport des bandes de terre adjacentes droit original de chemin de chemin de fer en
fief simple, sans réserve, l'abandon con- de servitude gulièrement constituée de
passage. Cityco Realty Co. c. Philadelphie, B. & WR Co., 158 Md 221., 148 A. 441,
444.
Emploi
Pendant les vacances de Noël, malgré un appel au bureau de
l'employeur et discuter des affaires, la Ligue Co-op Stinson c.
Dairymen. Assoc, 186 A.
687, 688, 14 NJMisc. 671. Ecart par rapport à la route, Loper v
Morrison, 145 P.2d 4, 23 Cal.2d 600. chauffeur de camion
permettant inutilement passager à conduire, Ginther c. JP Graham
Transfer Co., 33 A. 2d 923, 924, 348 Pa. 60. Contra où chauffeur de
camion est resté sur le siège du conducteur, de diriger le
fonctionnement du camion, et a observé la conduite du passager ,
ther Gin- c. JP Graham Transfer Co., 27 A.2d 712,
714, 149 Pa.Super. 635; et où chauffeur de camion est tombé
malade, Matzek c. Royaume-Stockage et ing Co. camions, 186 A.
193, 122 Pa.Super. 146. Les conducteurs de camions se enivrer et
reste du travail, Naylon v Etat, Ct.C1, 40 NYS2d 587, 590.. Le
charbon mineur contrairement aux ordres, à cheval sur une voiture
vide, Soroka c. Philadelphie et Reading Coal & Iron Co., 138
Pa.Super. 296, 10 A.2d.904, 907. Mais le choix plus itinéraire de
conduire automobile par des routes pavées pour ramasser un
changement nécessaire des vêtements à la maison ne constituait
pas un « ment abandon » de son emploi. Mitchell v. Mitchell Drilling
Co., 154 Kan. 117, 114 P.2d 841, 844.
Exceptions sur appel
N'a pas été plaidée en bref, Currin c. Currin, 219 NC
815, 15 SE2d 279, 282. Non défini en bref, Star Mfg. Co. c. R.
Atlantic Coast Line Co., 222 NC
330, 23 SE2d 32, 40. se plaignant pas de décisions sur les
exceptions, Buckalew v Brockner, La:.. App, 11 So.2d 720, 722. A
défaut de répondre à l'appel à nouveau besoin exception, John
Myers Implement Co. v. de Boer, La.App., 9 So.2d 832, 833.
Classement an- ponses sans insister sur la décision sur les
exceptions à la compétence ratione personae, Weaver v. champ
Mans- Hardwood Lumber Co., La.App., 4 So. 2d 781,
782.
Famille
Où père pendant trois ou quatre mois sui- meuglent son départ a
contribué seulement 32 $ à SUP- port de femme et trois enfants
mineurs, Howton c. Howton, 51 Cal.App.2d 323, 124 P.2d 837,
839. Con- tra où le père a contribué à soutenir la famille, en re la
succession de Hess, 257 NYS 278, 282, 143 Divers. 335.
franchises
« Service Inferior et l'absence de service pour quelques courts
intervalles tenus insuffisants pour montrer « abandon- donment » de
franchise de ferry. McConnell c. Crit- Tenden County, 250 359 Ky., 63
SW2d 329.
autoroutes
Où public cesse d'utiliser rue ou une route dans des
circonstances indiquant l'intention d'abandonner, Grand Trunk
Western R. Co. c. Ville de Flint, D.
C.Mich., 55 F.2d 384, 386. Mais de courtes sections de route,
abandonnées par commis- sion de la route nationale sur route
relocalisation, ne sont pas aban-
11
ABANDON
Désossée. Mosteller c. Southern Ry. Co., 220 NC
275, 17 SE2d 133, 135. Et la culture de la route pour une courte
période par des propriétaires contigus n'a pas été un « abandon »
de la route. Chicago &
Ry l'assurance-emploi. Co. v. Dist Road. N ° 10, 353 Ill 160., 187
NE 155, 157.
homesteads
Retrait avec une intention de ne jamais revenir stitutes con- un
« abandon », et rien de moins ne. État Banque des fermiers de
Georgetown c. Roberts, Tex.Civ.App., 59 SW2d 1089. Doit être
une action volontaire, Wood c. Bois, 203 Arche. 344, 157 SW2d
36, 38. L'absence temporaire avec l'intention de re- tour, Brewer c.
Brewer, 268 Ky. 625, 105 SW2d
582, 584. L'absence d'une conception de l'abandon définitif, Lanier
v. Lanier, 95 Fla. 522, 116 So. 867, 868. L'absence de nécessité,
Hinds v Buck, Tenn 177 444, 150 de SW2d 1071, 1072..; maladie,
In re Estate Dunlap, 161 Or. 93, 87 P.2d 225, 229; .. Avançant ans
et incapacité à prendre soin de mêmes, du Golfe Production Co. v
Continental Oil Co., Tex, 132 SW2d 553, 573, 576; à louer à l'hiver
ISTS Tour-, Collins c. Collins, 150 en Floride. 374, 7 So. 443, 444.
Un acte avec réserve d'un domaine de la vie ne constituent pas un
« abandon » de propriété familiale. Arighi
v. Règle & Sons, 41 Cal.App. 852, 107 P.2d 970, 972. n'a pas non plus
dépôt de costume pour partitionner la terre. Carr c. Langford,
Tex.Civ.App., 144 SW2d 612, 613.
Mari
L'acte d'un mari ou la femme qui quitte son épouse
volontairement, et avec l'intention de provoquer la séparation
perpétuelle. Les gens c. Cullen, 153 NY 629, 47 NE 894, 44 420
LRA.
Le mari de quitter femme pour un voyage en Europe de moins de deux mois
contre la volonté de son mari, ne constituait pas. Affaire Estate Boesenberg, 37
NYS2d 194, 196, 179 Divers. 3.
Comme cause de l'abandon de divorce doit être volontaire et intentionnel, sans
intention de revenir, et sans le consentement du conjoint abandonné. Hickey c.
Hickey, 152 Wash. 429, 277 P. 994, 995. Mari épouse expulser de force de la
maison, Tenorio v. Tenorio, 44 ​NM 89, 98 P.2d
838, 847. Le refus de parler mari n'a pas établi. Wyahllyeth c. Wyahllyeth, 182 Md. 663, 32 A.2d
380, 381. Femme refusant sans motif légitime d'accompagner le mari lors du déplacement,
Ventrano c. Vetrano, 54 NYS2d 537, 539. mot "abandonné" au sein de la loi prévoyant qu'aucun
femme qui a abandonné le mari a le droit de prendre élec- tion contre les dispositions de la volonté
de son mari, a un sens qui lui est attribué dans les litiges matrimoniaux, et porte aucune
connotation d'infidélité. Adultère de abandon- femme doned ne constituait pas « abandon ». En re
la succession de Green, 280 NYS 692, 702, 155 divers. 641. Une femme qui dit mari de sortir de la
maison de la femme, et n'a fait aucun effort pour effectuer un rapprochement, n'a pas droit à une
nomination comme administratrice de sa succession. Dans la succession de re Ban- aszak, 1
NYS2d 15, 164 Divers. 829. Où mari a payé la femme vivant en dehors pour prendre soin de leur
enfant, elle avait mari pas abandonné de manière à empêcher la reprise d'une pension industrielle
pour sa mort. fils John- c. Ministère du Travail et de l'Industrie de Washington, 3 Wash.2d 257, 100
P.2d 382, ​385. femme qui avait, avant la mort de son mari, le mari gauche, résista aux efforts en
vue d'un rapprochement, et mis en place une procédure d'annulation , n'a pas droit à une
indemnisation pour la mort de son mari. La Fontaine c. Commission des accidents industriels, 13
Cal.App.2d , opposés vers un rapprochement et une procédure d'annulation introduit, n'a pas droit à
une indemnisation pour la mort de son mari. La Fontaine c. Commission des accidents industriels,
13 Cal.App.2d , opposés vers un rapprochement et une procédure d'annulation introduit, n'a pas
droit à une indemnisation pour la mort de son mari. La Fontaine c. Commission des accidents
industriels, 13 Cal.App.2d
130, 56 P.2d 257, 258.
biens assurés
Une cession ou l'abandon de la propriété par le propriétaire à
l'assureur de celui-ci, afin de réclamer que pour
ABANDON
une perte totale. Chicago SS Lines c. Lloyds États-Unis,
CCAI11., 12 F.2d 733, 738.
Le terme est utilisé uniquement en référence aux risques en naviga- tion; mais le
principe est applicable dans l'assurance incendie, où il y a des restes, et parfois,
aussi, en vertu des stipulations dans les politiques de la vie en faveur des créanciers.
Ins de Cincin-. Co. v. Duffield, 6 Ohio St. 200, 67 Am. Décembre 339.
inventions
L'abandon des droits par l'inventeur, comme où il abandonne
son idée ou découverte ou renonce à l'intention de perfectionner
son invention, et ainsi jette ouvert au public, ou où il négli- reporte
doucement l'affirmation de ses prétentions ou omet de demander
un pour un brevet, et permet au public d'utiliser son invention.
Stockage électrique Battery Co. v. Shimadzu, Pa., 59 S.Ct. 675,
681, 307 US 5,
613, 616, 83 L.Ed. 1071.
Clause de non-réclamation de brevet, Triumph explosifs v Kilgore Mfg Co.,
CCAMd, 128 F.2d 444, 448... retarder 12 ans après la réduction de la chaussure à la
pratique avant de demander un brevet, Salisbury c. Pediforme Shoe Co., DCNY, 31
F.Supp. 3, 7; en omettant pendant de nombreuses années à prendre toute mesure
pour rétablir ou renouveler rejeté la demande, Na-Mac uits Corporation v Pro-
Federal Corporation Tool, CCAM, 118 F.2d 167, 171. acquiescer dans le rejet des
revendications dans la demande de brevet pour dispositif représenté dans une
application ultérieure de brevet, Na-Mac Products Corporation v Federal Corporation
Tool, CCAIll, 118 F.2d 167, 171.. Na-Mac Corporation c pro- duits. Federal
Corporation Tool, DCIll., 36
F.Supp. 426, 430. Mais seul écoulement du temps avant qu'un tor demande un inven-
brevet ne suffit pas. Mfg Brass Imperial. Co. v. Bonney Forge & Tool Works, DCPA.,
38 F. Supp. 829, 832. La demande de brevet n'a été déposée que 21/2 ans après la
date de conception de l'invention, Chicago RAW- cacher Mfg. Co. v. Gardant National
Motor Co., DCCal., 50
F.Supp. 458, 460. ne divulgue invention UALs indivi- avec le but de les intéresser à la
production ou la fabrication. Pennington Engineering Co. c. Houde Engineering
Corporation, DCNY, 43 F.Supp. 698, 706.
Contrats de location en général
Pour constituer un « abandon » des lieux loués, il doit y avoir
un relinquish- ment absolu des locaux par le locataire comprenant
l'acte et l'intention. Schnitzer v. Lanzara, 115 NJL 332, 180 A. 234.
Fermer boutique de boucher avec l'intention de renoncer ness et entre- enlever
toutes les marchandises périssables, bien que le locataire a conservé la clé et n'a
pas informé le propriétaire de son intention de quitter les locaux, a procédé à un «
abandon » et non une « remise » des locaux. Schnitzer c. Lanzara, 115 N.
JL 332, 18 A. 234. Refus par le locataire de l'offre du bailleur pour reconstruire la
construction incendiées, Girard Trust Co. c. Tremblay Motor Co., 291 Pa. 507, 140 A.
506, 512. Mais rendant les locaux des locataires en vertu de avis de confiscation n'a
pas « abandonner » locaux. Becker c. Rute, Iowa 228 533, 293 NW 18, 21.
Mariage
Le retrait ou le refus des obligations conjugales sans motif
valable, Reppert c. Reppert, Del.Super., 13 A.2d 705, 1 492 Terry.
Contrats de location minérales
« Abandon » se compose d'un acte réel de linquishment re,
accompagnée de l'intention et le but permanent de renoncer à une
réclamation et droit de propriété. Il existe une distinction entre «
abandon- donment » et « reddition », qui est le relinquish- ment
d'une chose ou d'un droit de propriété y à un autre, ce qui est un
élément essentiel
mais diffère de démission que 12
abandon. Distinction existe aussi entre les éléments de « abandon
» et ceux de l'estoppel. Ni la remise formelle du bail de pétrole et
de gaz, ni la libération est nécessaire pour effectuer « l'abandon ».
Sigler Oil Co. c. WT Wagoner Estate, Tex.Civ. App., 276 SW 936,
938. volontaire, intentionnelle de droit renonciation connue. Pure
Oil Co. c. Sturm, 43 App Ohio. 105, 182 NE 875, 882.
A défaut de commencer à travailler dans le cadre du bail depuis plus de 40 ans,
Chapman c. Continental Oil Co., 149 Kan. 822, 89
P.2d 833, 834; violation d'une obligation implicite de procéder à la recherche et le
développement de terrain avec gence dili- raisonnable, Wood c. Arkansas Fuel Oil
Co., DCArk., 40 F. Supp. 42, 45; aucun forage sur un terrain loué pour plus de deux
ans, et non paiement des loyers, Rehart v Klossner, 48 Cal.App.2d 40, 119 P.2d 145,
147. dessin du boîtier du puits sans avoir l'intention de le remplacer, Seaboard Oil Co.
c. Commonwealth, 193 Ky. 629, 237 SW 48, 50. Mais il doit y avoir une intention par
le locataire de renoncer ises prem- loués, Carter Oil Co. v. Mitchell, CCAOkl., 100
F.2d 945,
950, 951; ou une intention de ne pas percer, Carter Oil Co. c. Mitchell, CCAOkl., 100
F.2d 945, 950, 951. Et cessation des opérations est pas seul suffisant. Fisher c. Dixon,
Okl 188' . 7, 105 P.2d 776, 777. Faire pas un travail considérable pour environ un an
complet précédant immédiatement pour annuler la location, mais reste en possession
et de faire un certain travail, Deace
.. V Stribling, Tex.Civ.App, 142 SW2d 564, 567; chement de puits pendant un bref
intervalle de temps puits a été foré à une profondeur plus grande, Cole c. Philadelphia
Co., 345 Pa.
315, 26 A.2d 920, 923; travail improductif abandon sur le bien n'a pas été un abandon
des lieux loués. Forgeron
v. Tullos, 195 La. 400, 196 So. 912, 914.
revendications minières
Abandon d'une créance détenue par lieu sans sans brevet,
lorsque le titulaire quitte volontairement sa demande à affecter par
le coin suivant, sans sans aucune intention de reprendre ou de
reprendre, et indépendam- ment de ce qui peut devenir dans la
avenir. O'Hanlon c. Ruby Gulch Mining Co., 48 Mont. 65, 135 P.
913, 918. Le terme comprend à la fois l'in- tention d'abandonner et
l'acte par lequel l'abandon est effectué en vigueur. Peachy v.
Frisco Gold Mines Co., DCAriz., 204 F. 659, 668.
A lieu chaque fois l'abandon des feuilles de localisation demande d'asile sans
intention de la tenir. Grue v. Française, 39 Cal. App.2d 642, 104 P.2d 53, 60. Mais la
simple absence de réclamation, ne suffit pas. Grue v. Français, 39 Cal.App.2d 642,
104
P.2d 53, 60. Et l'un des co-propriétaire d'abandonner son intérêt est pas un «
abandon » de la revendication entier. Grue v. Français, 39 Ca1.App.2d 642, 104 P.2d
53, 60.
motions
Motion n'a pas appelé à l'attention du tribunal avant l'audience finale,
Williams c. Smith, 149 en Floride. 735, 6 So.2d
853, 854. Motifs pas insisté, Meador c. Now- ell, 67 Ga.App. 564,
21 SE2d 312, 314; pas fait valoir en bref, dans la succession de re
Horton, 154 Kan. 269, 118 P. 2d 527, 531. pas poussé décisions
appel, Spears c. Brown Paper Mill Co., La.App., 9 So.2d 332, 334 .
Admettre la suffisance des preuves pour soutenir dict ver-,
Copeland v État., 66 Ga.App. 142, 17 SE2d
288, 289. Mais le service de réponse après avoir fait de requête en
radiation des parties d'une plainte n'a pas été un « abandon » de la
motion. Russo c. Signode Steel Strapping Co., Sup., 37 NYS2d
166.
Bureau
L'abandon d'une fonction publique est une espèce de démission,

démission est une renonciation formelle, alors que l'abandon est
un abandon volontaire par nonuser. State v. Harmon, 115 Me.
268, 98 A. 804, 805.
Il est pas tout à fait une question d'intention, mais peut résulter de l'abandon
complet des fonctions d'un tel tinuance con- que la loi en déduire une renonciation.
Wilk- Inson c. City of Birmingham, Ala 193. 139, 68 So. 999, 1002. Il doit être total, et
dans de telles circonstances clairement indiquer une absolue renonciation; et si un
officier a abandonné un bureau dépend de ses actes manifestes plutôt que son
intention déclarée. Parcs v. Ash, 168 Ga.
868, 149 SE 207, 209. Il implique nonuser, mais nonuser ne constitue pas en soi
constituer un abandon. L'incapacité à former par les fonctions se rapportant au bureau
doit être avec l'intention réelle ou imputée de la part de l'agent d'abandonner et de
renoncer au bureau. L'intention peut être déduite des actes et le comportement de la
partie, et est une question de fait. L'abandon peut résulter d'un acquiescement par
l'agent dans son déplacement illicite ou de décharge, mais, comme dans d'autres cas
d'abandon, la question de in- tention est impliquée. McCall v. Cull, 51 Arizona 237., 75
P.2d 696,
698.
L'absence temporaire est habituellement pas suffisante pour un Tute cons- «
abandon de bureau ». État c. Green, 206 Arche.
361, 175 SW2d 575, 577. Répondant à l'appel obligatoire pour le service militaire
dans des conditions d'urgence, Caudel v. Prewitt, 296 Ky. 848, 178 SW2d 22, 25. Et
l'échec des anciens officiers pour faire valoir le droit tandis que la décision d'éligibilité
des successeurs élus était en instance, n'a pas été une création « ment abandon »
poste vacant. État c. Cour Levy de New Cas- tle County, Del., 3 WWHarr. 554, 140 A.
642, 645.
Puits de pétrole
Cas où le propriétaire sur le bien cessé de travailler pour aller travailler
ailleurs pour se procurer de l'argent pour faire plus travailler sur le bien,
bien n'a pas été abandonné. Jones c. Jos. Fils de Greenspon pipe
Corporation, 313 Ill.App.
651, 40 561 NE2d.
brevets
Il peut y avoir un abandon d'un brevet, où l'inventeur, il consacre
à l'usage du public; et cela peut être démontré par son incapacité à
poursuivre fringers in-, vendre des licences, ou autrement faire des
efforts pour réaliser un avantage personnel de son brevet. Ransom
v. New York, 4 Blatchf. 157, 20 Fed.Cas.
286.
plaidoiries
Le dépôt d'une deuxième plainte modifiée qui était complète en
elle-même et qui n'a pas réservé à lui-même une partie de la plainte
initiale ou de la première plainte modifiée constituait un « ment
abandon » des deux anciennes plaintes. Seely c. Gilbert, 16
Wash.2d 611, 134 P.2d 710, 712. plaignant Cross- en omettant de
prendre des mesures appropriées devant le tribunal de première
instance d'avoir un jugement qui garda le silence sur les questions
déposées par contre-plainte et répondre à celle-ci n'a pas corrigé
ainsi « abandonner » plainte croisée. Brown v. National Life Ins. Co.
du comté de Washington, Vt., 112 Ind.App. 684, 46 NE 2d 246, 249.
prescriptives droits
seule la non-utilisation est insuffisante. .. Burkman c Ville de
New Lisbon, 246 547 Sg, 19 NW2d 311, 313; Smelcer c. Rippetoe,
24 Tenn.App. 516, 147 SW2d
109, 113, 114.
privilèges
Témoin devant grand jury qui a répondu ques- tions et a
immédiatement demandé de se rétracter réponses,
ABANDON
Là-dessus, fait valoir son privilège, ne pas « abandonner » droit de
revendiquer le privilège. États-Unis c. Weisman, CCANY, 111 F.2d
260, 261.
Propriété
« Biens abandonnés » dans un sens juridique est celui auquel le
propriétaire a renoncé à tout droit, titre, réclamation, et la possession,
avec l'intention de ne pas récupérer ou de reprendre sa propriété, la
possession ou jouissance ment. Jackson c. Steinberg, Or., 200 P.2d
376,
377, 378.
Il doit y avoir consentement de la loi et de l'intention, à savoir, l'acte de quitter les
lieux ou les biens vacants, de sorte qu'il peut être approprié par le prochain venu, et
l'intention de ne pas revenir. Cohn c. San Pedro, LA & SLR Co., 103 Cal.App. 496,
284 P. 1051, 1052. Dessaisissement de tous les titres, la possession ou réclamation;
un jet intentionnel virtuel loin de la propriété. Ex parte Szczygiel, Sup., 51 NYS2d
699, 702. abandon réel, le gaz dans le tuyau n'a pas été aban- donné. Hein c. De
Shell Oil Co., 315 Ill.App. 297, 42 NE2d
949, 952. n'était une machine à coudre et phonographe gauche logeuse en sécurité.
Dickens c. À coudre Singer Mach. Co., 140 So. 296, 298, 19 La.App. 735.
Propriété à des fins spéciales Déplacement de l'église
pour ériger appareil de forage a tenu pas « l'abandon de l'utilisation à
des fins de l'église. » Abandon- donment voulait cesser tout usage de
l'église, et l'utilisation supplémentaire ne suffisait pas. Skipper v.
Davis, Tex.Civ.App., 59 SW2d 454, 457.
Fusion des églises était pas. Bridgeport-City Trust Co.
v. Hôpital Bridgeport, Connecticut 120. 27, 179 A. 92, 94. De même où l'intention était
que l'utilisation non conforme comme une maison de ty fraterni- serait reprise. State
ex rel. Morehouse c. Hunt, 235 Wis. 358, 291 NW 745, 751, 752. Ni simple cessation
d'une utilisation non conforme dans la zone zoné pour une période raison- nable.
Beyer c. Maire et le conseil de la ville de Baltimore, Md., 34 A.2d 765, 768, 769. Ni un
désistement d'un garage pendant la guerre alors que le propriétaire a servi dans
l'armée et le retour reporté la reprise de possession à des fins de garage en raison de
l'utilisation du bâtiment de la ville. État c. Murray, 195 657 Sg, 219.
NW 271, 272. Mais le retrait de l'équipement de fabrication de l'usine de fabrication
était. Francisco c. Ville de lumbus Co, Ohio App., 31 NE2d 236, 243. Et aussi
l'élimination de toutes les machines, en bas et en utilisant smokestack à des fins pro-
priété de stockage, malgré l'intention vague de reprise de l'activité de la maison
d'abattage. Beyer c. Le maire et le conseil municipal de la ville de Baltimore, Md 182
444., 34 A.2d 765,
768, 769.
utilisation dédiée doit tout échec. Kirchen c. Remenga, 291 Mich. 94, 288 NW 344,
350, 351. Erection des bâtiments sur les terres du parc sans opposition des
propriétaires voisins ne suffisait pas. Kirchen v. Remenga, 291 Mich. 94, 288 NW
344, 350, 351. Ni la ville de jardin permet de rock citoyen sur la petite partie des voies
d'amélioration de la rue. Kendrick
V. Ville de Saint-Paul, 213 Minn. 283, 6 NW2d 449, 451. ne détournant route express
à chaussée. Ford c. Ville de Detroit, Michigan 273. 449, 263 NW 425, 426. ne
démolissant bâtiment de l'école de récupération du matériau pour le montage d'une
station d'attente pour les enfants d'âge scolaire. McCullough c. Swifton Consol. École
Dist., 202 Arche. 1074, 155 SW2d 353. Ni temporaire de l'école desuso lorsque la
terre a été mis en vente, annulée plus tard. Bernard v. Bowen, 214 NC 121, 198 SE
584.
Chemin de fer de la propriété
« Abandonner » signifie abandonner ou renoncer à l'intention de ne
plus jamais reprendre ou de réclamer ses droits ou intérêts, de
renoncer absolument à LUCRATIF bien entièrement, de renoncer tout
à fait, de renoncer à toute relation avec ou préoccupation. Capital
Transit Co .
v. Hazen, 93 F.2d 250, 251, 68 App.DC 91. abandon- donment ne
signifiait pas une partie avec un défaut d'usage tention in- pour une
station complète d'une éventualité, mais signifiait une restitution finale,
ou renoncer à with13
ABANDON
à l'intention de reprendre. Wheeling & LE Ry. Co. c. Pittsburgh et
WV Ry. Co., CCAOhio, 33
WO F.2d, 392. Et pour constituer un « abandon ment » de droit de
passage, il doit y avoir non seulement une réelle renonciation de
la propriété, mais un tention in- l'abandonner. Abens c. Chicago,
B. & Q.
R. Co., 388 Ill 261., 57 NE2d 883, 887.
Nonuser est un fait dans la détermination, mais, bien que pendant des années
UED contingences, ne sont pas concluants. Arlington Realty Co. c. Keller, 105 NJEq.
196, 147 A. 437, 438. labourage domaine de ser- est Vient ne suffit pas. Les v.
Alibozek, 269 Mass. 153. 168 NE 919, 922, 66 ALR 1094. Ni la proposition de livrer
et de recevoir des marchandises par motortrucks. Dock New York, Ry. v
Pennsylvania R. Co., DCPA., 1 F.Supp. 20, 21. Mais l'incapacité de maintenir et
d'utiliser cette partie du chemin de fer sur les terres véhiculées constituaient «
l'abandon ». Atlantic Coast Line
R. Co. c. Sueur, Ga 177 698., 171 SE 123, 129.
Remèdes
Election d'un des deux remèdes incompatibles, Lumber Mutual
Casualty Ins. Co. de New York c. Friedman, 176 divers. 703, 28
506 NYS2d, 509.
Droits en général
L'abandon d'un droit. Elle implique un acte de renonciation fait
par le propriétaire sans tenir compte de toute possession future
par lui-même, ou par toute autre personne, mais avec l'intention
de aban- donner. Dyer c. Sanford, 9 Mete., Mass., 395, 43 Am.
399 décembre.
Il est bien limitée à incorporel héritages, car il faut se départir des droits légaux une
fois acquis conformément à la loi. Mais les droits équitables peuvent être
abandonnés. Great Falls Co. v Worster, 15 NH 412. Cox v colossale Caverne Co., Ky
210 612, 276 540 SW..; Les habitants de l'école Dist. No. 4 c. Benson, 31 Me. 381,
52 Am. Décembre 618.
Navire et fret
Acte par lequel armateur capitule navire et du fret à un
fiduciaire pour le bénéfice des demandeurs. Voir 46 USCA § 185;
Ohio Transp. Co. c. Davidson
SS Co., F. 148 185, 78 319 CCA.
En France et dans d'autres pays, il est la remise à une personne ayant une
réclamation résultant d'un contrat conclu avec le maître. Américaine Transp. Co. c.
Moore, 5 Mich. 368.
Puissance taxant
Délégation de pouvoirs de taxation par le pouvoir législatif à la ville
n'a pas été « abandon de pouvoir de taxation ». Mouledoux V. Maestri,
197 La 525., 2 So.2d 11, 16.
Marques de commerce et noms commerciaux Il doit être
non seulement nonuser, mais aussi une intention d'abandonner.
Rockowitz Corset & Brassiere Corporation c. Madame X Co., 248 NY
272, 162 N.
E. 76, 78; Manz c. Philadelphie Brewing Co., DC Pa., 37 F.Supp.
79, 81. Pour renoncer à l'utilisation des marques en permanence
alizés. Neva-Wet Corporation of America v. Jamais Wet
Processing Corporation, 277 NY 163, 13 755 NE2d, 761.
Désuétude ne suffit pas en elle-même. Sherwood Co. c. Sherwood Distillation Co.,
177 Md 455., 9 A.2d 842, 845. n'utilisant le nom du propriétaire. Bunte Bros. v.
Chocolates Standard, DC Mass., 45 F.Supp. 478, 480. Cependant, nonuser avec
l'utilisation par une autre tensive ex suffit. Sherwood Co. c. Sherwood Distillation Co.,
177 Md. 455, 9 A.2d 842, 845. Mais pas où le récepteur fonctionne en continu la
propriété de licence de marque de commerce. Américaine Dirigold Corporation c.
Dirigold Met- als Corporation. CCAMich., 125 F.2d 446, 454. Ni la vente de tous les
actifs physiques de la société par la fabrication fiduciaire
14
en faillite. Reconstruction Finance Corporation c. J.
G. Menihan Corporation, DCNY, 28 F.Supp. 920, 923.
fiducies
Aides d'État à l'hôpital, avec stipulation des lits pour les cas
d'urgence, n'a pas établi un « donment abandon- de confiance ».
Noble c. Première Nat. Bank of Anniston, 241 Ala 85., 1 So.2d 289,
291.
droits de l'eau
«Abandon» appliquée aux droits de l'eau peut être définie
comme une renonciation volontaire d'un droit connu. Il ne repose
pas sur un élément de temps, et la simple nonuser n'établira pour
tout moins de temps « abandon », » au moins, que statu- période
tory, élément de commande dans « l'abandon » être question
d'intention. Hammond v . Johnson, 94 Utah 20, 66 P.2d 894, 899.
Pour désert ou abandonnera droit. Le but et une réelle doivent être
d'accord renonciation. Central Trust Co. c. Culver, 23 Colo. 317
App., 129 P. 253, 254. Concurrence de quishment relin- de
possession, et l'intention de ne pas reprendre pour une utilisation
bénéfique. Ni seul est suffisant. Osnes élevage Co. c. Warren, 103
284 Mont., 62
P.2d 206, 211.
Ne pas utiliser l'eau quand il n'y avait pas d'eau dans la cause de l'obstruction du
ruisseau de l'autre utilisateur de flux et de toute appropriation tion de l'eau ne
constituait pas. Nouveau-Mexique Co. c pro- duits. Nouveau-Mexique Power Co., 42
NM 311, 77 P.2d
634, 641. n'a pas non plus l'utilisation de mouture de l'entreprise permettant de l'eau par les
irrigants supérieures. Hutchinson c. Stricklin, 146 Or.
285, 28 P.2d 225, 230. Il ne permet appropriateurs supérieure à ériger barrage et
stocker l'eau. Irion c. Hyde, Mont., 81 P. 2d 353, 356. Ni changement de lieu
d'utilisation du droit de l'eau décrétée. Harris c. Chapman, 51 Idaho 283, 5 733 P.2d,
737. ne défaut d'utiliser toute l'eau dont le droit. Horse Creek Conservation Dist. v.
Lincoln Land Co., 54 320 Wyo., 92
P.2d 572, 577. L'utilisation de l'eau juste assez pour stock d'eau. parce que l'offre était
insuffisante pour irriguer les terres. Land Bank fédérale c. Morris, 112 Mont. 445, 116
P.2d 1007, 1010. Mais le droit d'utiliser une certaine quantité d'eau peut être
abandonnée par la non-application de cette eau à une utilisation bénéfique pour une
période de temps déraisonnable. Cundy v. Weber, 68 SD 214, 300 NW 17, 22.
femme
le divorce justifiant d'abandon est une séparation volontaire,
injustifiée et définitive de l'un des deux époux de l'autre,
accompagnée d'une in- tention de mettre fin à la relation conjugale,
ou un refus injustifié de reprendre suspendu tion cohabitation,
comme lorsque le mari a quitté sa femme parce que ses enfants
par l'ancien mariage ne pouvait pas vivre avec la paix habilement
deuxième femme. Schwartz c. Schwartz, 158 Md. 80, 148 A. 259,
263.
Le refus par le mari de la demande par femme malade sans moyens d'existence,
pour revenir à la maison tenue « abandon » comme points de trouble à l'ordre. Les
gens c. Schenkel, 252
NYS 415, 418, 140 divers. 843. Contra où un accord de séparation existait. People v.
Gross, 291 NYS 597, 601, 161 Divers. 514. Lorsque les parties séparées d'un
commun accord, et son mari, au lieu des paiements périodiques pour le soutien de
son épouse, a fait le transport constituant une contrepartie valable, tenue pas «
l'abandon » comme droit légal de mari respecte contre la volonté de sa femme. Affaire
de la succession de McCann, 281 NYS 445, 155 Divers. 763; ou même si la femme
était justifié de quitter la bande à cause de maris son traitement cruel, il doit y avoir
une désertion sans le consentement. Dans Estate « re Stolz, 260 NYS
906, 145 Tout. 799. Mais alors qu'il ne peut y avoir « désertion » pour le divorce où les
parties sont séparés par consentement, mais il peut y avoir un « abandon » comme
respecte la maintenance séparée, bien que la séparation origine et poursuivie par le
consentement des parties. Pierson c. Pierson, 189 A. 391, 395,

15 NJMisc. 117. Et comme l'entretien des égards, l'état de rendu la conduite de son
mari la femme constitue insupportable « abandon ». Carder c. Cardeuse, 227
Mo.App. 1005, 60
SW2d 706. traitements cruels, Fallon c. Fallon, NJ 111 Eq. 512, 162 A. 406, 408.
refus du mari de la demande de la femme de reprendre vie avec elle, Clark v. Clark,
176 A.
81, 83, 13 NJMisc. 49; ou le refus de recevoir femme à sa résidence, est un «
abandon » d'elle. Hockaday c. Hockaday, 182 La. 88, 161 So. 164. Mais pas le renvoi
d'un mari de la maison de sa femme après femme avait mis en place sep- action
aration, Kenneson c. Kenneson, 36 NYS2d 676, 685, 178 divers. 832; ou lorsque le
mari a quitté le commandement du père de la femme. Anonymous c. Anonymous, 24
NYS2d 613,
618. La simple omission de soutenir la femme n'est pas un abandon au sein de Loi
sur le divorce. Biddle c. Biddle, 104 NJEq. 313, 145
A. 639, 640; mais à défaut à l'épouse de première nécessité, etc., est. Cooper c.
Cooper, 176 Md. 695, 4 A.2d 714, 716. Et condamné condamné pour la vie n'a pas
abandonné femme. Dans Re de Lindewall, 18 NYS2d 281, 284, 259 App. Div. 196.
ABANDON DE DÉLITS. Dans le droit civil. L'abandon d'un esclave
ou un animal qui avait commis une atteinte à la personne lésée, en
charge de la responsabilité dis- du propriétaire d'une telle intrusion
ou de blessure. Juste. Inst. 4, 8, 9. Un droit similaire existe en
Louisiane. Fitzgerald v. Ferguson, 11 La.Ann.
396.
ABANDUN, ABANDUM ou ABANDONUM. Any- chose séquestrée,
proscrite, ou abandonnés.
Abandonner, par exemple, dans le Missa bannum, une chose ban- nis ou
dénoncé comme perdu ou perdu, d'où la
abandonner, désert, ou abandonner, comme perdu et disparu.
Cunningham; Cowell.
ABARNARE. Lat. Pour découvrir et divulguer à un magistrat tout
crime secret. Leges Canuti, casquette.
dix.
NUISANCES ABATABLE. Une nuisance qui est pratiquement
susceptible d'être supprimé, ou tinguished ex, ou rendu inoffensif,
et dont l'existence est con- pas SUIVRE autorisée par la loi. Fort
Worth & Denver City Ry. Co. c. Muncy, Tex.
Civ.App., 31 SW2d 491, 494.
ABATAMENTUM. L. Lat. Dans l'ancienne loi anglaise. Une
réduction de la pleine propriété; une entrée sur les terres par voie
d'interposition entre la mort de l'ancêtre et l'entrée de l'héritier. Co.
Litt. 277a; Yel. 151.
ABATARE. Pour se calmer. Yel. 151.
DIMINUER. Pour jeter, à abattre, détruire, casser. 3 Shars. Bla.
Com. 168; Klamath Lum- ber Co. c. Bamber, 142 P. 359, 74 Or.
287., Pour en finir avec ou annuler ou réduire ou diminuer, dans la
succession de re Stevens, Cal.App, 150 P.2d 530, 534. de mettre
entièrement en bas ou de démolir, de mettre fin à, pour en finir
avec, d'annuler, de faire vide, Sparks Milling Co. v. Powell, 283 Ky
669., 143 SW2d 75,
77.See, également, la réduction; Revival et la réduction.
RÉDUCTION. Une réduction, une diminution ou une diminution. Le
Vestris, DCNY, 53 F.2d 847,
852.
Un jugement a donné une défense par voie de réduction. Panos c. Great Western
Packing Co., Cal.App,, 126 P.2d
889, 892.
15
RÉDUCTION
contrats
La réduction faite par le créancier pour le paiement rapide d'une
créance par le débiteur ou le débiteur. Wesk. Ins. 7.
Dettes
Dans l'équité, lorsque les actifs sont équitables pour satisfaire
pleinement insuffisants tous les créanciers, leurs dettes doivent Abate
dans la proportion, et ils doivent se contenter d'un dividende, pour cequitas
quasi ESt cequalitas.
propriété foncière libre
L'entrée illégale sur et garder possession d'une propriété par un
étranger, après la mort de l'ancêtre et avant l'héritier ou légataire
prend possession. Une telle entrée est appelé techniquement un «
abattement » et l'étranger un « tor ABA- ». Il est, en fait, une
expression figurative, notant que la de- possession légitime ou en
pleine propriété de l'héritier ou légataire est renversé par
l'intervention illégale d'un étranger. La réduction diffère d'une
intrusion dans la mesure où il est toujours au détriment de l'héritier
ou légataire immédiat, alors que celui-ci est au détriment du
reversioner ou reste-homme; et disseisin se distingue de tous les
deux, pour la disseise est de mettre de force ou fraudu- lently une
personne de la pleine propriété saisie hors session pos-. Brown c.
Burdick, 25 Ohio St. 268. Par les anciennes lois de la Normandie,
ce terme a été utilisé pour signifier l'acte d'un homme qui, ayant un
droit de parent AP- de possession d'une propriété, a pris
possession immédiatement après la mort du possesseur actuel,
avant l'héritier est entré. (Comment- ard, des anciennes lois
Francais, tome 1, p. 539.)
Legacies
Une diminution proportionnelle ou la réduction des legs
pécuniaires, lorsque les fonds ou actifs sur lesquels ces legs sont
payables ne sont pas suffi- santes pour les payer en totalité. Ward,
jambe. p. 369, c. 6, § 7; 1 Story, Eq. Jur. § 555; 2 Bl. Comm. 512,
513; Affaire « Domaine de Hawgood, 37 SD 565, 159 NW
117, 123. héritage accepté au lieu de douaire. Dans la succession de re
Hartman, 233 Iowa 405, 9 NW2d 359, 362.
Nuisance
La suppression d'une nuisance. 3 Bla. Comm. 5 Voir
Nuisances.
Taxes et droits
Un inconvénient ou une remise a permis dans certains cas, les
droits dus sur les marchandises importées, en considéra- tion de leur
détérioration ou des dommages subis lors de l'importation, ou tout en
magasin. Une diminu- tion ou une diminution du montant de la taxe
imposée à toute personne. Rogers c. Gookin, 198 Mass.
434, 85 NE 405 (taxes immobilier); Banque centrale tional Na- c.
Ville de Lynn, 156 NE 42 (actions dans les banques nationales) 259
Mass. 1.
Appliqué à la fiscalité, elle suppose une erreur ou une erreur dans l'évaluation.
États-Unis, CCAAla. Golfe States Steel Co. v., 56 F.2d 43, 46.
Réduction des impôts soulage propriété de sa part des charges d'imposition après
l'évaluation a été faite et l'impôt perçu. Sheppard v. Hidalgo County, 126 Tex.
550, 83 649 SW2d, 657.
 RÉDUCTION
ET RENOUVEAU ABATEMENT
Actions à droit
Tel qu'il est utilisé en référence aux actions en justice, mot Abate
signifie que l'action est tout à fait mort et ne peut être relancé, sauf
en commençant une nouvelle action. D'abord Nat. Banque c.
Conseil d'Sup'rs de fils Harri- County, 221 Iowa 348, 264 NW 281,
106 ALR
566.
Le renversement d'une action provoquée par l'acte de
procédure de fendant une certaine dé- fait tendant à mettre en
doute l'exactitude de l'acte ou déclaration qui va à l'encontre de
l'action pour le présent, mais n'interdit pas le demandeur de lui
recommençant une meilleure façon. 3 Bla. Comm. 301; 1 Chit. PL.
(. Lond 6e Ed.) 446; Guild c. Richardson, 6 prise. (Mass.) 370;
Wirtele c. Grand Lodge A. 0. UW, 111 Neb. 302, 196 NW 510.
Voir Plea ment Abate-.
Pour mettre un terme définitif à convenir, Dodge c. Cour supérieure et pour le
comté de Los Angeles, 139 Cal.App. 178, 33 P.2d 695, 696; renversement de l'action
en attente en dehors de la cause d'action, Burnand v. Irigoyen, 56 Cal.App.2d 624,
133 P.2d
3, 6.
À la mort du demandeur, Piukkula c. Pillsbury Astoria fariner Mills Co., 150 Or.
304, 44 162 P.2d, 99 ALR 259. La simple écoulement du temps entre la mort d'un
parti et la prise des mesures nécessaires pour poursuivre l'action par ou contre
l'héritier ou le représentant personnel ne travaille pas un abattement, Whaley c. Slater
, 202 SC 182, 24 SE2d
266, 267.
Cause de l'action
Destruction de la cause de l'action. En re Thomas- fils, Missouri,
159 SW2d 626, 628.
pratique chancellerie
Elle diffère d'un abattement à la loi en ceci: que dans ce dernier
l'action est tout à fait mort et ne peut être relancée; mais dans le
premier cas, le droit de procéder est simplement suspendue et
peut être relancée;
.. FA Mfg Co. v & Hayden Clemons, CCAMass, 273 F. 374. Ben
Mutual. Santé et accidents Assoc
v. Teal, DCSC, 34 F.Supp. 714, 716.
En Angleterre, les plaidoyers déclinatoire à la juridiction et dilatoire aux personnes
étaient (avant l'acte de judicature) parfois, par analogie avec le droit commun, appelé
« moyens abattement ».
plaidoyers déclinatoire et dilatoires, voir l'histoire, l'équation. PL. § 708. La mort de
l'une des parties, Geiger c. Merle, 360 Ill. 497, 196
NE 497, 502. faute de parties compétentes, 2 Tidd Pr. 932; Histoire, Eq.P1. § 354; .
Witt v Ellis, 2 froide, Tenn, 38.. peti- tion pour l'allocation de veuve, dans la
succession de re Samson, 142 Neb.
556, 7 NW2d 60, 62, 144 ALR 264.
Abator. En droit immobilier, un étranger qui, ayant aucun droit
d'entrée, ingénie pour obtenir d'une posses- sion domaine de
pleine propriété, au préjudice de l'héritier ou légataire, avant celui-ci
puisse entrer, après la mort de l'ancêtre. Litt. § 397. Dans la loi de
la responsabilité délictuelle, qui se calme, prosterne, ou stroys dé-
une nuisance.
ABATUDA. Tout ce qui a diminué. Moneta de la tuda est de l'argent
en valeur ou clipsé diminuée. Cowell; Dufresne.
ABAVIA. Lat. Dans le droit civil. Une grand-mère grand-Great-.
Inst. 3, 6, 4; Creuser. 38, 10, 1, 6; Bractée. fol. 68b.
ABAVITA. La soeur d'un grand-grand-père. Bractée. fol. 68b. Ceci
est une erreur d'impression pour abamita (QV). Burrill.
ABAVUNCULUS. Lat. Dans le droit civil. Le frère d'un grand-mère
Great- ( avavice frater).
Inst. 3, 6, 6; Creuser. 38, 10, 3; Calvinus, Lex. Appelé
avunculus maximus. Id. 38, 10, 10, 17. Appelé par Bracton et Fleta abavunculus
magnus. Bractée. fol. 68b; Fleta, lib. 6, ch. 2, § 19. ABAVUS. Lat.
Dans le droit civil. Un grand-père grand-Great-. Inst. 3, 6, 4;
Creuser. 38, 10, 1, 6; Bractée. fol. 67a.
ABBACINARE. Pour aveugler en plaçant un bassin de brûlure ou
de fer rouge avant les yeux. Une forme de punition au Moyen Age.
Également orthographié abacinare. L'italien moderne est écrit avec
deux b et des moyens pour aveugles. Abbacination. Aveuglante en
plaçant bassin brûlant ou fer rouge sous les yeux. Voir Abbacinare.
Abbatiat. Le gouvernement d'une maison religieuse, et les
revenus, sous réserve d'un abbé, comme Evêché est à un évêque.
Cowell. Les droits et privilèges d'un abbé.
UNE ABBAYE. Un monastère ou couvent pour l'utilisation d'une
association de personnes religieuses, ayant un bot AB- ou
abbesse pour présider eux. ABBÉ. Un prélat au 13ème siècle qui
avait eu droit immémorial de siéger à l'Assemblée nationale.
Taylor, Science de Jurispr. 287. Abbot, ABBAT. Le supérieur
spirituel ou Gouver- neur d'une abbaye. Féminin, Abbesse.
ABRÉGER juridictionnels. En droit écossais. Un résumé du décret
d'adjudication, et des terres L'arbitre signale, le montant de la
dette. Est que la diligence d'arbitrage (exécution) de la loi par
laquelle l'immobilier d'un débiteur se trouve appartenir à son
créancier au paiement d'une dette; et le abbreviate doit être inscrit
dans le registre des Adjudications.
ABBREVIATIO PLACITORUM. Un résumé des dossiers judiciaires
anciens, avant l'année Livres. Voir Steph. PL. (7e éd.) 410.
ABRÉVIATIONS. Raccourcissement Pressions ex-conventionnels,
employés comme substituts des noms, des phrases, des dates,
etc., pour l'économie d'espace, de temps en transcrivant, etc.
Abbott.
Les abréviations couramment utilisées dans les temps modernes SIST de la Con-
lettre initiale ou des lettres, syllabes ou syllabes, du mot. Qu'anciennement, aussi,
sous contrat formes de mots, obtenus par l'omission des lettres intermédiaires entre
les lettres initiales et finales ont été beaucoup utilisés. Ces formes LAT ter sont
maintenant plus communément désignés par le terme
contraction.
Pour le tableau des abréviations, voir l'annexe.
ABBREVIATIONUM ILLE ET NUMERUS SEN- SUS
ACCIPIENDUS EST, UT concessio NON SIT inanis. Dans les
abréviations, le nombre et le sens est à prendre que la subvention
ne soit pas vaine. 9 Coke, 48. 16

Abréviateurs. Dans le droit ecclésiastique. Les agents dont le devoir
est d'aider à l'élaboration des mémoires du pape, et la réduction des
pétitions en forme appropriée à convertir en bulles papales.
ABBROCHMENT ou ABBROACHMENT. L'acte de marché
prévenir, en rachetant à la vente whole- la marchandise destinée à
y être vendues dans le but de le vendre à la vente au détail. Voir le
marché PRECEDE stabulation.
ABBUTTALS. Voir abuttals.
ABDICATION. L'acte d'un souverain et re- prononçant son
gouvernement ou abandonner le trône, de sorte que soit le trône
est laissé entièrement vacant, ou est rempli par un successeur
nommé ou élu au préalable.
En outre, lorsqu'un magistrat ou d'une personne dans le bureau
volontairement ou y renonce, il donne avant le temps de service a
expiré.
L'acte d'abdiquer; renoncer à des fonctions, le pouvoir ou thority UA-, droit ou de
confiance; renonciation. McCormick c. Angle- Strom, 119 Kan 698., 241 p 685, 688.
Abdication des droits de propriété peut constituer une cession. Dans la succession
de re Johnston, 186 599 Sg, 203.
NW 376, 377.
Elle diffère de la démission, en cette démission est faite par celui qui a reçu son
bureau d'un autre et la restitue dans ses mains, comme un inférieur entre les mains
d'un supérieur hiérarchique; abdication est l'abandon d'un bureau qui a été dévolue
par acte de loi. Il est dit d'être un renoncement, arrêter de fumer, et l'abandon, afin
d'avoir plus rien à voir avec, une chose, ou faire de ces actions qui sont incompatibles
avec la tenue de celui-ci. cham- bres.
ABDITORIUM. Un abditory ou cachette, de se cacher et la
préservation des biens, une plaque ou d'argent. Jacob.
ENLÈVEMENT. En droit pénal. L'infraction d'enlever une femme, un
enfant ou salle, par la fraude et la persuasion ou la violence
ouverte. 3 Bl.Comm. 139-141; . Etat v Chisenhall, 106 NC 676, 11
SE 518 (mâle fe- moins de 14 ans); État c. Hopper, 186 NC 405,
119 SE 769, 772 (femme).
Pour enlever subrepticement par la force en kid- faire la sieste.
Doss v Etat., 220 Ala. 30, 123 So. 231,
232, 68 ALR 712.
La prise illégale ou la détention d'une femme à des fins de
mariage, concubinage ou prosti- tution. 4 Steph.Com. 84; Les gens
c. Crotty, 55 Hun, 611, 9 NYS 937. Dans de nombreux états Of-
fense est créé par la loi et dans la plupart des cas AP- plis aux
femmes sous un âge donné.
Par la loi dans certains États, l'enlèvement comprend le retrait
d'un mari de sa femme, comme où une autre femme aliène son
affection et lui enlève, entraîne et le fait d'abandonner sa femme.
Humphrey v. Pope, 122 Cal. 253, 54 p 847. ABEARANCE.
Comportement; comme un engagement à être de bonne
abearance signifie être de bonne BE- portement. 4 Bl.Comm. 251,
256.
ABEREMURDER. (De Sax. Abere, apparente, notoire; et Mord, assassiner.)
Plaine ou aval
Law Dictionary Black révisée 4 Ed.-2
17
abettor
assassiner droit, à la différence du crime moins odieux d'homicide
involontaire, ou medley de hasard. Spelman; Cowell; Blount.
Abbesse. Lat. Dans le droit civil. Être absent; être loin d'un endroit.
Dit d'une personne qui était Urbis de continentia supplémentaire, ( au-delà
des banlieues de la ville.)
UNE MISE. Un mot français combiné de deux mots « un » et
«Beter », pour l'appât ou excitent un animal. Il inclut la
connaissance de l'objet illicite de l'auteur et de conseil et
d'encouragement dans le crime. Les gens c. Terman, 4 Cal.App.2d
345, 40
P.2d 915, 916.
Pour encourager, inciter ou définir une autre sur com- mit un crime.
Ce mot est toujours appliqué à la commission d'État- ing d'un crime.
Pour encourager une autre personne à commettre un assassiner est
de commander, se procurer, ou lui conseiller de le commettre, vieux
Nat. Brev. 21; Co. Litt. 475; de commande, de se procurer, l'avocat,
l'âge encou-, provoquer ou aider, à court v Commonwealth, 240 477
Ky, 42 SW2d 696, 697..; d'encourager, inciter, ou aider, State v.
Watts, Nev., 296 p 26. Afin de faciliter la commission d'un crime,
promouvoir son accomplissement, ou aider à faire avancer ou il bring-
ing au sujet. State v. Seigneur, 42 NM 638, 84 P.2d 80,
86. Il comprend la connaissance de but de l'auteur illicite. Daniels
c. État, 58 Ga.App. 599, 199 SE 572, 577. État c. Kneedy, 232
Iowa 21, 3 NW2d 611, 615. People v. Stein, 55 Cal.App.2d
417, 130 P.2d 750, 751 (femme de rester en permettant maison
de prostitution).
Voir instigateur; Aider et encourager.
« Aide » et « encourager » sont des termes presque synonymes que géné-
ralement utilisé; mais, à proprement parler, le premier terme ne signifie pas une
connaissance coupable ou intention criminelle, alors que le mot « ABET » comprend
la connaissance du PUR- illicite pose et le conseil et l'encouragement à la
commission du crime. Contrefaçon, People v. Dole, 122 Cal. 486, 55 p
581, 68 Am.St.Rep. 50; Raiford v Etat, 59 Ala 106..; La violation de la loi contre les
passages libres, État c. Ankrom, 86
W.Va. 570, 103 SE 925, 927; Crime contre la nature, État
v. Démarrer, 65. 178, 132 P. 512, 513; Vol qualifié, People v. Powers, 293 Ill. 600,
127 NE 681, 682. Instigate synonyme (poursuites abusives) Hughes c. Van
Bruggen, 44 NM 534, 105 P.2d 494, 499.
« Abet » des relents plus de la terminologie technique que signifie le mot « aide »,
mais il est presque synonyme du mot « aide ». Coups et blessures, Gentry v Etat., 65
Ga. App. 100, 15 SE2d 464, 465.
ABETTATOR. L. Lat. Dans l'ancienne loi anglaise. Un fauteur.
Fleta, lib. 2, c. 65, § 7. Voir instigateur. Abettor. En droit pénal. Un
instigateur, ou sur setter; qui favorise ou un crime procure être
commis. Old Nat.Brev. 21. Celui qui commande, conseille,
dynamise, ou encourage An- autre à commettre un crime; une
personne qui, présent ou dans le quartier, incite une autre à
commettre un crime, et devient ainsi un principal. Voir State v.
Baldwin, 193 NC 566, 137 SE 590,
591.
Doit avoir fourni une assistance ou d'encouragement à l'auteur du crime avec la
connaissance de son intention criminelle; délit de « complicité » commis par les
personnes présentes qui fait un acte ou parle un mot d'aider l'auteur réel du crime.
Combs c. Commonwealth, 224 Ky. 653, 6 SW2d 1082, 1083. Must
abettor

l'aide ou de commettre un acte manifeste ou d'un acte d'encouragement. Long c.
Commonwealth, 288 Ky. 83, 155 SW2d 246, 247. Celui qui participe à ce jour à la
commission de l'infraction à être présente dans le but d'aider si nécessaire. État c.
Epps, 213 NC 709, 197 SE 580, 583. La distinction entre les instigateurs et les
accessoires est la présence ou de l'absence à la commission du crime. Cowell;
Fleta, lib. 1, c. 34. La présence et la participation sont nécessaires pour constituer
une personne fauteur. 4 Sharsw.Bla. Comm. 33; Bradley c. Commonwealth, 201 Ky.
413, 257 S.
W. 11, 13. conception commune de prendre la vie pas nécessaire. State v. Seigneur,
42 NM 638, 84 P.2d 80, 86. Pas indispensable qu'il y ait une compréhension mutuelle
ou préarrangements ou un concert d'action. McKinney c. • Common- wealth, 284 Ky.
16, 143 SW2d 745, 747, 748.
il fonde, dans une action où l'acte ou l'écriture est attaqué comme
forgé. Pat.Comp .. Il a fet EF- la mise en gage de la partie à
supporter les conséquences de la fondation d'un acte forgé.
Cloche.
« Demeurez » par des moyens d'adhérer, de soumettre, d'obéir,
d'accepter les conséquences de. Detroit Fidelity & Co. Surety c. U.
.S., CCAOhio, 36 F.2d
682, 683. (engagement)
Pour se conformer à un prix signifie d'attendre la sentence sans sans révoquer la
soumission. Cela ne signifie pas « acqui- ESCE » ou « disputez pas, » dans le sens
de ne pas être libre de contester la validité de la sentence lorsqu'elle est faite, Hunt c
Wilson, 6 NH 36. . Quimby v Melvin, 35 NH 198; Semaines v. Trask, Me 81. 127, 16
A. 413, 2 532 LRA.

SITUATION EN SUSPENS. Dans la loi des successions. En tion

attentes, la mémoire et de la contemplation du droit; la condition d'une
pleine propriété quand il n'y a pas de fils per- d'être en qui il appartient.
Dans de tels cas, la pleine propriété a été dit être en nubibus
(Dans les nuages), McKown v. McKown, 93 W.Va. 689, 117
SE 557, 559; dans pendenti ( en suspension); et dans gremio legis ( au sein de la loi).
En cas est un locataire du Freehold, le reste ou la réversion en frais peuvent exister
pendant un certain temps sans propriétaire particulier, auquel cas il est dit être en
suspens; Lyle v Richards, 9 S. & R. Pa 367..; 3 Plowd. 29 a, b, 35 a; 1 Washb.RP 47.
Franchise d'une société; Fiduciaires de Dartmouth College c. Woodward, 4 du blé.
(États-Unis) 691, 4 L.Ed. 629. Les biens personnels comme dans le cas d'un navire
capturé en mer de ses ravisseurs jusqu'à ce qu'il soit investi du carac- tère d'un prix;
1 Kent, 102; 1 C.Rob.Adm. 139; 3 id.
97, N .; ou les droits de propriété d'un failli, le jugement en instance; v Banque.
Sherman, 101 US 403, 25 L.Ed.
866.
DEMEURER CONDAMNATION. Une condamnation définitive de
culpabilité issue d'un examen approfondi de l'ensemble du dossier.
Hopt v. Utah, 7 S.Ct. 614, 120 US
439, 30 L.Ed. 708. Une condamnation réglée ou fixe. Davis c. Etat
8 Ala.App. 147, 62 So. 1027, 1033. People v. Castro, 68
Cal.App.2d 491, 157 P.2d 25,
30.
FOI DEMEURER. La croyance ou la confiance dans la culpabilité
d'un accusé de crime qui reste ou continue dans l'esprit du jury.
Gray c. État. 56 Okl.Cr. 208, 38 P.2d 967, 970. ABIGEATORES.
Voir Abigeus. ABIGEATUS. Lat. Dans le droit civil. L'infraction de
voler ou chasser le bétail. Voir Abigeus. ABIGEI. Voir Abigeus.

A condition d'être indéterminé. Fenn c. American Rattan & Reed Mfg. Co., 75 Ind.
App. 146, 130 NE 129, 130. (Vendeur indiquant son incapacité à promettre de livrer.)
Les ventes à des tiers, des biens acquis par comté à la vente d'impôt, qui se tiendra
à « suspens », signifie que certains droits ou conditions de l'espérance. Willard c.
Comté de Ward, 72 ND 291, 6 566 NW2d, 568.
ABIGERE. Lat. Dans le droit civil. Pour chasser. Appliqué à ceux
qui chassait les animaux avec l'intention de les voler. Appliqué,
également, à l'infraction similaire de vols de bétail à la frontière
ABIATICUS ou AVIATICUS. L. Lat. Dans le droit féodal. Le fils
entre l'Angleterre et l'Ecosse. Voir Abigeus. Pour chasser; pour
d'un fils; un petit-fils dans la lignée mâle. Du Cange, Avius; Spelman;
expulser par la force; pour produire l'avortement. Creuser. 47, 11,
Lib.Feud., Baraterii, tit. 8, cité Id.
4.

RESPECTER. Pour accepter les conséquences de; pour se contenter;

attendre pour.
En ce qui concerne une ordonnance, le jugement ou le décret d'un tribunal,
d'exécuter, d'exécuter. Jackson c. État, 30 Kan.
88, 1 P. 317. Lorsqu'une loi prévoit un engagement « à demeurer l'arrêt de la Cour, «
un conditionnement » à
attendre l'action du tribunal » ne suffit pas;. Wilson c. Etat, 7 Tex.App 38. défendeur
ne « respecte le jugement » jusqu'à ce que les frais d'appel sont payés Ex parte Til-
Léry, 22 Ala.App 193,.. 114 So. 15. Et voir State v. oire Greg-, 205 Iowa, 707, 216
NW 17, 19.
La présence du défendeur dans une salle d'audience ne conformité avec les
obligations supersedeas conditionnée à « respecter juge- ment définitif », où il n'y
avait pas d'offre formelle de se rendre défendeur dans la garde de la cour. Américain
Surety Co. de New York contre État., 50 Ga.App. 777, 179 SE 407.
ABIGEUS. Lat. (P1., abigei, ou plus rarement
abigeatores.) Dans le droit civil. Un voleur de tle catégo-; celui qui a
conduit ou se dégagea ( subtraxit)
le bétail de leurs pâturages, les chevaux ou les bœufs des troupeaux, et fait
butin d'entre eux, et qui mugissaient cela comme vantes une entreprise ou le
commerce.
Le terme a été appliqué aussi à ceux qui chassait les petits animaux, comme les
porcs, les moutons et les chèvres. Dans ce dernier cas, il dépendait du nombre pris,
si le délinquant était fourrure ( un voleur) ou abigeus. Mais la prise d'un seul cheval ou
bœuf semble avoir constitué le délit de abigeatus. Et ceux qui, souvent, fait cela était
clairement abigei, mais ils ont pris, mais un animal ou deux à la fois. Creuser. 47, 14,
3, 2. Voir Cod. 9, 37; 22 novembre

Pour respecter et satisfaire est utilisé pour exprimer l'exécution ou l'exécution d'un
jugement ou une ordonnance en le portant en vigueur complet, Erickson c. Elder, 34
Minn 371., 25 NW
804, Cf. Woolfolk c. Jones, DCVA., 216 F. 807, 809.
Lorsque les coûts doivent se conformer résultat final, « demeurer » est synon- ymous
de se conformer. Getz v. Johnston, 145 Md 426, 125.
A. 689, 691.
Pour respecter les biens saisis pour le respect, les moyens de forme AUTORISER,
obéir, se conformer. Cantor v. Sachs, 18 Del.Ch. 359, 162 A. 73, 84.
c. 15, § 1; 4 Bl.Comm. 239.
CAPACITÉ. Lorsque le mot est utilisé instatutes, il est généralement
interprété comme faisant référence à la capacité pécuniaire, comme dans la
construction de la loi sur Tenterden
(Q. v). 1 M. & W. 101.
Prévoit la capacité de gain ainsi que la propriété appartient allié concrets de tels,
pour soutenir la femme abandonnée; State v. Witham, 70 Wis. 473, 35 NW 934,
Contra, Washburn c. Washburn, 9 Cal. 475.

Respecter. En droit écossais. Une décla- ration judiciaire que la La possibilité d'acheter, nécessaire à un acheteur comme condition au droit du
partie respecte l'acte sur lequel courtier à une commission, est le financier

18

capacité à remplir les conditions nécessaires de la vente, et ne signifie pas la
solvabilité ou la capacité de répondre en dommages-intérêts pour violation du contrat.
Stewart v. Sisk, 29 Ga.App. 17, 114
SE 71. Voir en mesure d'acheter.
« La capacité de lire » d'un électeur au sens des lois électorales est satisfaite s'il
peut lire dans une raisonnablement phrases Manner intelli- gentes composées de
mots d'usage courant et de difficulté moyenne, bien que chaque mot ne peut être
prononcée toujours avec précision, et la « capacité écrire » est satisfaite s'il peut par
l'utilisation de signes alphabétiques exprimer en mots de manière assez lisible
d'usage courant et diffi- culté moyenne, bien que chaque mot ne peut pas être écrit
avec précision. Williams c. Hays, 175 Ky. 170, 193 SW 1046, 1047. Mais la simple
capacité d'écrire un nom et adresse postale, et rien de plus, ne suffit pas. Murrel v.
Allen, 180 Ky.
604, 203 SW 313, 314.
ABISHERING ou ABISHERSING. Quitter de amercements. Il
signifiait à l'origine d'une déchéance ou amercement, et est plus
correctement mishering, mishersing, ou miskering, selon Spelman.
Il a depuis été appelé une liberté de la liberté, parce que BE-, où
ce mot est utilisé dans une subvention, les personnes auxquelles
la subvention est faite ont les f • itures et lucratif amercements de
tous les autres, et sont eux-mêmes sans la le contrôle de tout dans
leur frais. De la Ley Termes, 7.
ABJUDICATIO. Dans l'ancienne loi anglaise. ING depriv- d'une
chose par le jugement d'un tribunal; une mise hors cour; le même
que forisjudicatio,
forjudgment, forjudger. Co.Litt. 100a, b; Townsh. PL. 49. Un retrait
de la cour. Calvinus, Lex.
Utilisé pour indiquer une décision défavorable dans un bref de
droit: Ainsi, la terre est dit abjudged
de l'une des parties et ses héritiers. 2 Sondage. & Maitl. 62.
ABJURATION. La renonciation ou l'abandon par ou sous serment.
Le serment par lequel toute personne exerçant une fonction en Angleterre était
autrefois obligé de se lier de ne pas reconnaître tout droit dans le Prétendant au trône
d'Angleterre; 1 Bla.Com. 368; 13 et 14 W. III, c. 6, abrogée par 30 et 31 Vic. c. 59.
Il indique également un serment abjurer certaines doctrines de l'Église de Rome.
ABJURATION DE FIDÉLITÉ. Un citoyen naturalisé des États-Unis,
doit déclarer qu'il doth renie abjurer toute allégeance et ty fideli-
qu'il doit à tout prince étranger, état, etc. 8 USCA § 735.
ABJURATION du royaume. Dans l'ancienne loi anglaise. Une
renonciation à un des pays, une espèce de bannissement
volontaire, sous serment de ne jamais revenir au royaume, à
moins par sion permission. 4 Bl.Comm. 332; Avery v. Everett, 110
NY
317, 18 NE 148, 1 LRA 264. Voir abjurer. ABJURER. Pour
renoncer, ou abandonner, par ou sous serment. Voir abjuration.
Un départ de l'Etat sans l'intention de revenir, et non un renoncement à la patrie,
sur un serment de bannissement perpétuel, comme le terme initialement implicite.
Mead v. Hughes, 15 Ala. 148, 1 Am.Rep. 123.
VALIDES. Tel qu'il est utilisé dans une loi relative au service dans
la milice, ce terme ne signifie pas
ABNEPOS
la liberté absolue de toute maladie physique. Il importe l'absence
de ces défauts palpables et visibles qui évidemment la personne
hors de combat d'exercer les fonctions ordinaires d'un soldat.
Darling, v. Bowen, 10 Vt. 152. La capacité d'effectuer un travail
ordinaire n'est pas le test. Ville de Marl- v arrondissement. Sisson,
26 Conn. 57. ABLE SEAMAN. Une note de la marine marchande.
46 USCA § 672.
En mesure de gagner. L'expression dans la Loi sur les accidents du
travail en référence aux salaires ne signifie pas que la somme
maximale gagné dans une semaine, mais une juste moyenne des
salaires hebdomadaires qui An- employé est en mesure de gagner
sur une période de temps suffisante pour déterminer sa capacité de
gain . Reeves c. Dietz, 1 La.App. 501, 505. Voir aussi, Mt. Olive &
Staunton Coal Co. c. Com- mission industrielle, 301 Ill 521., 134 NE
16. Montant on est capable de gagner si elle est utilisée. Ferrara v.
Clif- tonne Wright Hat Co., Conn 125 140., 3 A.2d 842, 843.
Capacité d'obtenir et de maintenir l'emploi signifie que la personne visée est soit
en mesure ou incapable d'accomplir les tâches habituelles de tout emploi peut être en
sidération con-, de la manière que ces droits sont habituellement effectués par la
personne moyenne engagée dans un tel em- ment. Kinyon v. Kinyon, 230 Mo.App.
623, 71 SW2d 78,
82.
POUVOIR ACHAT « capacité » dans des tracts con- ventes, en
fonction sur la capacité d'achat, signifie généralement la capacité
financière. Anderson c. Craig, 111 Mont. 182, 108 P.2d 205, 206;
Maison c. Hornburg, Sup., 39 NYS2d 20, 22. L'acheteur doit avoir
la capacité financière et la capacité juridique d'acquérir des terres.
Campbell c. Hood, Tex.Com.App., 35 SW2d
93, 95, 85 ALR 266.
L'acheteur est en mesure d'acheter, comme le droit de courtier respecte à la
Commission, s'il est financièrement capable de commander les fonds nécessaires
pour conclure l'affaire dans les délais requis. Hersh v. Garau, 218 Cal. 460, 23 P.2d
1022. Même si une partie de l'argent doit être obtenue sur la propriété achetée
elle-même. Pellaton c. Brunski, 69 Cal. App. 301, 231 P. 583, 584. Mais voir Bateman
c. Richard, 105 Okl. 272, 232 P. 443, 445; et Reynor v. Mackrill, 181 Iowa 210, 164
NW 335, 1 ALR 523, estimant qu'une personne, pour être en mesure d'acheter, doit
avoir l'argent pour le paiement en espèces, et non pas seulement la propriété sur
laquelle il pourrait soulever. Voir aussi, Peters c. Mullins, 211 Ky., 123, 277 SW 316,
317. Voir Financièrement Capable.
ABLEGATI. ambassadeurs du pape du second rang, qui sont
envoyés dans un pays où il n'y a pas un nonce, avec une
commission moins étendue que celle d'un nonce. Ce titre est
équivalent à l'envoyé.
ABLOCATIO. A laisser sortir d'embaucher ou de crédit-bail pour
l'argent. Calvin. Parfois utilisé sous la forme anglaise « ablocation. »
ABMATERTERA. Lat. Dans le droit civil. La soeur d'un grand-mère
Great-, ( abavice soror). Inst.
3, 6, 6; Creuser. 38, 10, 3. Appelé matertera maxima.
Id. 38, 10, 10, 17. Appelé, par Bracton, abmatertera magna. Bractée.
fol. 68b.
ABNEPOS. Lat. Un grand-grand-petit-fils. Le petit-fils d'un petit-fils
ou petite-fille. Cal- Vinus, Lex. 19
 ABNEPTIS
ABNEPTIS. Lat. Un grand-grand-petite-fille. La petite-fille d'un
petit-fils ou petite-fille. Calvinus, Lex.
DEMEURE. Sa maison; habitation; lieu de ING dwell-; ou de
résidence. signifie Ordinairement « domicile ». Hanson c. Williams,
170 Ga. 779, 154 SE 240, 242. lieu de vie impermanent caractère.
Chasseur
v. Fowler, 156 Fla. 316, 22 So.2d 817, 818. Evans
v. Evans, 141 Fla. 860, 194 So. 215, 217. Le lieu où une personne
demeure. Dorsey v. Brigham, 177 Ill. 250, 52 NE 303, In re
Erickson, 18 NJMisc.
5, 10 A.2d 142, 146.
Résidence d'un électeur légal. Élection de cas, 71 Pa Fry.
302, 10 Am.Rep. 698; Dale v Irwin, 78 Ill 181.. Pape c. Conseil d'élections Com'rs,
370 Ill 196., 18 NE2d 214, 216. Lieu de résidence permanente pour le moment.
Auguste Co, pour l'utilisation des Bourgeois c. Manzella, 19 NJMisc. 29, 17
A.2d 68, 70; Hudson c. Birmingham Water Works Co., 238 Ala. 38, 189 So. 72, 73.
Pour le service du processus, son lieu de résidence fixe pour le moment. State ex
rel. Mer- Ritt c. Heffernan, 142 en Floride. 496, 195 So. 145, 147; Kurilla v. Roth, 132
NJL 213, 38 A.2d 862, 864.
ABOGADO. Sp. Un avocat. Voir Bozero, SUPPRIME. Pour en finir
avec tout; d'annuler. Webster. Pour passer. Alexander c. Ville de
Lampasas, Tex.Civ.App., 275 SW 614, 616. Mettre fin à. V
extensible. Murphy 166 Or. 439, 112 P. 2d 1018, 1021.
Les importations destruction absolue, ayant sa racine dans le mot latin « abolere »
signifie détruire complètement. S'applique particulièrement aux choses de nature
permanente, comme les institutions, les usages, les coutumes, comme l'abolition de
l'esclavage. Pondelick c. Passaic County, 111 NJLaw 187, 168 A. 146,
147.
ABOLITION. La destruction, l'anéantissement, abro- gation ou
l'extinction de quoi que ce soit. Peterson
v. Pratt, 183 Iowa 462, 167 NW 101. De plus, le congé donné par
le souverain ou les juges à une accusatrice Inal crim- de renoncer
à poursuivre la procédure. 25 Hen. VIII, c. 21.
Dans le civil, le droit français et l'allemand, l'abolition est utilisé presque synonyme
de pardon, rémission, la grâce. Creuser.
39, 4, 3, 3. Il y a, cependant, cette différence: la grâce est le terme générique; pardon,
selon ces lois, est la clémence que le prince s'étend à un homme qui a contri- bué à
un crime, sans être un chef ou accom- plice; remise est fait dans les cas d'homicides
involontaires, et l'auto-défense. Abolition est utilisé lorsque le crime ne peut pas être
remis. Le prince peut alors, par des lettres de l'abolition, une remise de peine, mais le
reste infamies, ONU- moins des lettres de suppression ont été obtenues avant que la
sentence.
Encycl. de D'Alembert.
Abolition de la position ou le bureau, Rexstrew c. Ville de ington Parc CHASSE,
Cal.App., 120 P.2d 136, 142. Positions des sicians phy- et dentistes, Lewin c. La
Guardia, 22 NYS2d 409,
411, 175 Tout. 165. Mise en disponibilité du préposé de la cour, Pondelick
v. Passaic County, 111 NJL 187, 168 A. 146, 147. Trans- fer pas une abolition du
bureau, Tremp c. Patten, 132 Conn.
120, 42 A.2d 834, 837.
ABORDAGE. Fr. En droit commercial français. Collision de
navires.
Abortif. Dans la jurisprudence médicale. Un médicament ou un
médicament capable, ou utilisé pour, PRODUC- ing avortement.
AVORTEMENT. L'expulsion du fœtus à une pé- riode de gestation
in utero-si tôt qu'il n'a pas acquis le pouvoir de soutenir un
organisme indépendant
20
la vie. La destruction illégale ou la mise en avant prématurément,
du fœtus humain avant la période naturelle de la naissance; État
de Magnell, 51 A.
606, 3 Pennewill (Del.) 307. Le fait d'avoir présenté ce qui est
encore imparfait. Aussi pré-vient mûrement la chose a ou produit
d'un processus prématurée. Parfois, vaguement utilisés pour
l'infraction de se procurer un accouchement prématuré; mais
strictement, au début la prestation est l'avortement; causant ou de
se procurer l'avortement est le nom complet de l'infraction. Wells c.
Nouvelle-Angleterre Mut. L. Ins. Co., 191 Pa.
207, 43 A. 126, 53 327 LRA.
une fausse couche criminelle, Commonwealth c. Sierakowski, 154 Pa.Super. 321,
35 A.2d 790, 792; Mississippi State Board of Health c. Johnson, 197 417 Mlle., 19
So.2d 445,
448. « L'avortement » et une « erreur produite par des moyens illégaux » sont
synonymes, People v. Luckett, 23 Ca1.App.2d
539, 73 658 P.2d, 659.
AVORTEUR. Celui qui produit des avortements criminels, ou celui
qui suit affaires ou pra- tiques de la criminalité des avortements de
production. État c. Guaraneri, 59 RI 173, 194 A. 589, 592, 593.
procès avorté. Terme descriptif du résultat quand une affaire est
parti, et aucun verdict n'a été prononcé, sans faute, vance
contribu-, ou la gestion des parties. Jebb & B.
51.
ABORTUS. Lat. Le fruit d'un avortement; l'enfant né avant son
temps, incapable de la vie. SUR. Près dans le temps, la quantité,
le nombre, la qualité ou le degré. En substance, à peu près,
presque, ou presque. Odom c. Langston, 351 609 Mo., 173
SW2d 826, 829. Témoignage à la vitesse, Casto v. Hansen, 123
Or. 20, 261 P. 428, 429. Près, période de gestation de l'enfant
mort-né, Life & Casualty Ins. Co. c. Walters, 190 761 Mlle., 198 So.
746, 748; Todd c. Ville de New York, la ville Ct., NY 23
NYS2d 884, 888. Porter des outils de cambrioleur valise,
Trousdale v État., 168 Tenn. 210, 76 SW 2d 646, 647. Près du
temps. State ex rel. Nagle
v. leader Co., 97 Mont. 586, 37 P.2d 561, 564.
Lorsqu'il est utilisé en référence à temps, le terme est d'une importance flexible,
variant avec les circonstances et la nection con- dans lequel il est employé.
Alimentation Burlington Co.
v. Domaine de Heaphy, 98 Vt. 122, 126 A. 525, 528. Mais son utilisation ne rend pas
nécessairement immatérielle du temps, ni faire un contrat résiliables à volonté.
Costello c. Siems-Carey Co., 140 Minn. 208, 167 NW 551, 552. Dans une
charte-partie, "sur le voile" signifie simplement prêt à naviguer. [1893] 2 QB
274. Et quand on dit que l'on est « à propos » à bord d'une voiture de rue, cela signifie
« dans l'acte de. » Renard v. Denver City Tramway Co., 57 Colo 511., 143 P. 278, 280.
En relation avec la quantité, le terme suggère seulement une estimation de montant
probable. Barkemeyer grains et semences Co. c. Hannant, 66 Mont. 120, 213 P. 208,
210. L'importation est que la quantité réelle est une approximation proche de celle
mentionnée, et il a pour effet de fournir contre varia- tions accidentelles. Norrington c.
Wright, 6 S.Ct. 12, 115 US 188, 29
LED. 366. Il peut être donné pratiquement le même effet que l'expression plus ou
moins. Pierce v. Miller, 107 Nab 851, 187 NW 105, 107.; Cargo sous contrat
d'affrètement du navire, la Steamship Co. de 1912 c. CH Pearson & Fils Hardwood
Co., CCA
NY, 30 F.2d 770, 773. Contrat de vente d'énergie électrique, Merced irr. Dist. v. San
Joaquin Light & Power Corpora- tion, 101 Cal.App. 153, 281 P. 415, 417. Dans un
acte couvre une inexactitude légère ou sans importance. Parrow c. Proulx, 111 Vt.
274, 15 A.2d 835, 838. synonyme de "marche" ou "sur", comme dans l'infraction de
transporter des armes dissimulées. State v. Brunson, 162 La. 902, 111 So. 321, 323;
Le transport d'un pistolet ou revolver dans une poignée, sac, ou un sac à main dans

la main ou connecté à la personne, l'État c. Vitch Blazo-, 88 612 W.Va., 107 SE 291,
ou sur le marchepied d'une automobile, Armstrong c. État, 98 Tex.Cr.R. 335, 265 SW
701. Paulk v État., 97 Tex.Cr.R. 415, 261 SW
779, 780. A proximité, à portée de main, pratique d'accès. Welch c Etat., 97 Tex.Cr.R.
617, 262 SW 485; Brown v.
États-Unis, 30 474 F.2d, 475, 58 311. App.DC arme sur le plateau immédiatement
derrière défendeur, qui était assis dans l'automobile de type coupé. Hampton c.
Commonwealth, 257 Ky. 626, 78 SW2d 748, 750. Quant au nombre, il implique
simplement une estimation d'un lot particulier ou classe et non une garantie. Holland
c. Rock, 50 Nev. 340, 259 P. 415. Dans le cadre de la distance ou de la localité, le
terme est de Cance signifi- relative, variant selon les circonstances. Parker c. Ville de
Pittsfield, 88 Vt. 155, 92 A. 24, 26. employé sur un vator élé- est "sur les lieux". Lienau
c. Nord-Ouest Téléphone Exch. Co., 151 258 Minn., 186 NW 945, 946. Workman 200
pieds d'une usine était "à propos de" l'usine. Wise c. Dairy Co. Central, 121 Kan. 258,
246 P. 501, 503. Un mécanicien automobile blessé 17 1/2 pâtés de maisons des
employeurs de la boutique tout en faisant un essai routier d'une automobile n'est pas,
blessés, dans ou sur les employeurs de la place d'affaires. Iott c. Mosby, 126 Kan.
294, 268 P. 109. "À propos" dans le sens bail dans d'autres parties du bâtiment.
William A. Doe Co. c. City of Boston, Mass 262. 458, 160 NE 262. Estimation de la
distance, Picharella v. Fours Transfer Co., 135 Pa.Super. 112, 5 A.2d 408, 409.
estimation quant au temps, caracté- ter du navire, la Grande-Bretagne SS Co. c.
Munson SS ligne. DC
NY, 25 F.2d 868, 869. Instruction sur la date spécifiée, État c. Loahmann, Missouri, 58
SW2d 309, 311. Cours et distances, Humble Oil & Refining Co. c. Luther, Tex.
Civ.App., 40 SW2d 865, 867. pistolet sous le siège de l'automobile. Commonwealth v.
Nunnelley, 56 SW2d 689, 247 Ky. 109, 88 805 ALR.
Aboutissement. Fr. Un abuttal ou de butée. Voir Guyot, Repert.
Univ. " Aboutissans « .
AU DESSUS. Plus haute; supérieur. Comme, la cour ci-dessus, Plain- tiff ou
défendeur ci-dessus. Au-dessus de toutes charges
des moyens au-delà de celui-ci; Williams c. McDonald, 42 NJEq.
395, 7 A. 886. principal; comme ce distinguée de est auxiliaire ou
instrumentale. 3 Bl.Comm. 291.
Bail l'action, ou la caution spéciale, est autrement appelé caution au dessus. 3
Bl.Comm. 291. Compétence « au-dessus » le risdiction ju- des juges de paix.
Synonyme de « sans ». Atlantic Coast Line R. Co. c. Nellwood Lum- ber Co., 21
Ga.App. 209, 94 SE 86, 87. Au-dessus de haute eau au-dessus signifie une marée
qui pourrait raisonnablement attendre de se reproduire avec une certaine fréquence.
Banks v. Wilming- ton Terminal Co., Del.Super., 24 A.2d 592, 598, 599, 601,
602, 2 489 Terry.
CITÉS CI-DESSUS, ou MENTIONNÉ. Cité avant BE-. Une
expression figurative tirée de l'ancienne manière d'écrire des livres
sur des parchemins, où tout ce qui est mentionné ou cité avant
dans le même rouleau doit être au dessus. Encycl. Lond.
ABPATRUUS. Lat. Un grand-grand-oncle; ou, le frère d'un
grand-grand-père (un Bavi frater).
Inst. 3, 6, 6; Creuser. 38, 10, 3; Du Cange, Patruus. Appelé par
Bracton et Fleta, magnus abpatruus.
Bractée. fol. 68b; Fleta, lib. 6, ch. 2, § 17. Cela signifie parfois
oncle, et parfois grand-oncle. ABRÉGER. Pour réduire ou d'un
contrat; généralement parlé de la langue écrite.
Droit d'auteur
Personnifier; réduire; contracter. Il im- plis en préservant la
substance, l'essence, d'une œuvre, dans un langage adapté à
cette fin. En faisant extraits il n'y pas de condensation de la langue
de l'auteur, et donc non • abrègement. À
21
Absconding
exige l'exercice écourter de l'esprit; il ne copie pas. Entre une
compilation et un abrègement il y a une distinction claire. Une
compilation se compose d'extraits sélectionnés de différents
auteurs; une version abrégée est une condensation des vues d'un
auteur. Story c. Holcombe, 4 Mc- Lean, 306, 310,
Fed.Cas.No.13,497.
Entraine toi
Pour raccourcir une déclaration ou nombre en enlevant ou
sectionnant une partie de la substance. Brooke, Abr., Com., Dig. Abrégement;
1 Viner, Abr. 109. Voir Abridgment.
ABRÉGEMENT. Condensation; contraction. Un résumé ou d'un
autre recueil et plus de travail, dans lequel les idées principales du
travail sont plus sommairement contenues.
La loi de versions abrégées sont brefs résumés de la loi, classés par ordre
alphabétique. (1 Steph.Comm. 51.) Le terme « digérer » a maintenant supplanté celui
de « abrègement ». Doux.
ABRÉGEMENT DES DOMMAGES. Le droit de la cour de réduire
les dommages dans certains cas.
Voir Brooke, tit. "Abrégement." À L'ÉTRANGER. En droit anglais de
Chancery, au-delà des mers.
ABROGER. Pour annuler, abroger, ou détruire; d'annuler ou
d'abroger une ordonnance ou règle établie par une autorité ordonnée
sous; d'abroger une ancienne loi par acte législatif ou par l'usage.
ABROGATION. La destruction ou annulation d'une ancienne loi,
par un acte du pouvoir législatif, par l'autorité constitutionnelle ou
par l'usage.
Il se oppose à rogation; et qui est distinguée de
dérogation, ce qui implique le prélèvement que certaines parties d'une loi; de subrogation,
qui désigne l'addition d'une clause qui lui; de dispense, qui fixe seulement de côté
dans un cas particulier; et de antiquation, qui est le refus d'adopter une loi. Encycl.
Lond. Implicite a lieu lorsque l'abrogation la nouvelle loi contient des dispositions qui
sont contraires positivement aux anciennes lois, sans abroger expressément ces lois.
Bernard v Vignaud, 10 Mart.OS La 560.. et aussi quand l'ordre des choses pour
lesquelles la loi. a été fait n'existe plus. Voir Ex parte Lum Poy, DC, 23 F.2d 690.
Pour « express Abrogation, » voir ce titre. PRENDRE LA FUITE.
Pour aller d'une manière clandestine de la compétence des
tribunaux, ou de mentir con- cealed, afin d'éviter leur processus.
Malvin .v. Christoph, 54 Iowa, 562, 7 NW 6. Pour masquer, Ceal
con- ou s'absenter clandestinement, avec la tente pour éviter in-
processus juridique. Smith c. Johnson, 43 Neb 754., 62 NW 217.
Limitations de remettre à plus tard. Keck c. Pickens, 207 Arche.
757, 182 SW2d 873, 875. Fuyant d'arrêter ou de poursuivre des
officiers de cet état. Code Cr.Proc. art. 8. État v. Colline Berry-, 188
La. 549, 177 So. 663.
Absconding DÉBITEUR. Celui qui prend la fuite de ses créanciers.
Un débiteur est celui qui fuite vit sans l'Etat, ou qui a volontairement caché
lui-même de ses crédi- teurs, ou se retirer de la portée de leurs costumes, avec
l'intention de frustrer leurs justes revendications. Ainsi, si une personne quitte sa
résidence habituelle, ou reste absent de celle-ci, ou se cache dans sa maison, de
sorte qu'il CAN-
 ABSENCE

être signifié avec le processus, avec l'intention illégalement de- laïque ou frauder ses
créanciers, il est un débiteur en fuite; mais s'il part de l'État ou de sa résidence
habituelle, avec l'intention de revenir à nouveau, et sans dessein frauduleux, il n'a
pas pris la fuite, ni s'absentés, dans le intendment de la loi. Donut Corporation of
America v. Tsakirides, 121 NJL 136, 1
A.2d 467, 469. Une partie peut prendre la fuite, et soumettre lui-même à l'application
de la loi de fixation contre les débiteurs en fuite, sans quitter les limites de l'Etat.
Champ v. Adreon, 7 Md. 209. Un débiteur qui est enfermé de ses créanciers dans sa
propre maison est un débiteur en fuite. Ives
v. Curtiss, 2 Root (Conn.) 133. Salzman c. Robinson, 10
NJMisc.R. 51, 157 A. 547, 548.
ABSENCE. L'état d'être absent, enlevé, ou loin de son domicile
ou son lieu de résidence habituelle. Maley c. Pennsylvania R. Co.,
258 Pa.
73, 101 A. 911. Inexistant au moment donné, d'apparition op-
posé à un moment précis. Hamil- ton c. Bernstein, 133 Kan 229.,
299 p 581.
L'absence est d'un type quintuple: (1) absence de besoin,
comme chez les personnes transportées ou bannies; cela est tout à fait néces- saire.
(2) Nécessaire et volontaire, que sur le compte de la république, ou au service de
l'église. (3) absence probable, selon les civils, comme celui des étudiants sur le score
de l'étude. (4) Entièrement volontaire, à cause du commerce, de la marchandise, etc..
(5) Absence cum dolo et culpd, ne pas apparaître à un bref, assignation,
DISTRACTION. Un état d'esprit dans lequel la personne
concernée ne répond pas aux exigences ordinaires sur son
attention. Webster. Voir Racine Tire Co. v. Grady, 205 Ala. 423, 88
So. 337. ABSENTE, Lat. Être absent; souvent utilisé dans les
anciens rapports de l'un des juges ne sont pas présents à
l'audience d'une cause. 2 Mod. 14. Absente Reo,
Le défendeur étant absent. ABSENT. Celui qui habite à l'étranger;
un seigneur qui réside dans des terres d'un pays autre que celui
dont il tire ses loyers. McCul. Pol. Econ .; 33 Brit. Quar. Rev. 455.
Celui qui est ABSENT de son lieu habituel de résidence ou de
domicile.
Les sociétés étrangères, et non le dépôt de déclarations de domicile et les noms
des agents. Palmer c. Avalon Oil Co., 10 La. App. 512, 120 So. 781, 782. En droit de
la Louisiane, qui a quitté son domicile dans un état qui ne laisse personne pour le
représenter. Bartlett c. Wheeler, 31 La.Ann. 540; ou qui réside dans un autre État,
mais a la propriété en Louisiane. Penn v. Evans, 28 La.Ann. 576. Il a été également
défini comme celui qui n'a jamais été domiciliée dans l'État et -Qui réside à l'étranger.
Morris v. Bienvenu, 30 La.Ann. 878. Une personne ne peut pas être à la fois, » en
même temps, au sens de la loi 1 il, un résident et un absent. Spence v. Spence, 105
So. 23, 29, 158 La 961..

citation, etc., ou de retarder ou de frustrer les créanciers, ou en évitant l'arrestation,

que ce soit sur le processus civil ou pénal. Ayliffe. apparence non à l'action, non
seulement que la partie n'a pas été présent au tribunal le jugement annulant. Strine ABSENTS ou DES ABSENTS. Un ment parle- soi-disant a eu lieu
v. Kaufman, 12 Neb. 423, 11 NW 867. En cation signifi- habituelle et naturelle, des à Dublin, le 10 mai, 8 poule. VIII. Il est mentionné dans les lettres
moyens absence physique. Les habitants du quartier Lanes- c. Les habitants de
Ludlow, 250 Mass. 99, 145 NE
patentes 29 Hen. VIII.

57, 58. non-présence, de l'agent de service. Kurre c. American Indemnity Co. de

Galveston, Texas, 223 Mo.App.
406, 17 685 SW2d, 688.
Présomption de décès Créé intention d'établir la
maison au lieu de la dernière entendu pas nécessaire. Américain
Nat. Ins. Co. c. Garcia, Tex.Civ.App., 46 SW2d 1011, 1012.
extérieur à partir d'un endroit où une devrait revenir. Bûcherons
de la vie mondiale Ins. Soc. v. Cooper, Tex.Civ.App., 164 SW2d
729, 731.
En droit écossais, veulent ou défaut d'apparence. Un décret • est dit en l'absence où
le défenseur (défendeur) ne semble pas. Ersk. Inst. bk. 4, tit. 3, § 6.
ABSENTEM accipere DEBEMUS EUM EST NON EO QUI EN
LOCI QUO petitur. Nous devons le considérer comme absent qui
n'est pas dans le lieu où il est exigé (ou recherché). Creuser.
50, 16, 199.
DÉFAUT ejus REIPUBLIC1E CAUSA ABEST QUI, neque EI
neque ALII DAMNOSA ESSE DEBET. L'absence de celui qui se
trouve au nom de la république (affaires de l'Etat) ne doit pas être
préjudiciable ni à lui ni à An- autre. Creuser. 50, 17, 140.

ABSENT. Être loin de; à une certaine distance; pas en

compagnie. ABSOILE, ASSOIL, ASSOILE. Pardonner; pour délivrer de
Paine c. Drew, 44 NH 306, où il a été jugé que le mot lorsqu'il est utilisé comme l'excommunication. Staunford, Pl.Cr. 72; Kelham; Cowell.
un adjectif fait référence uniquement à la con- dition ou de la situation de la personne
ou la chose dont parle au moment de parler sans référence à aucune con- dition
préalable ou d'une situation de la même personne ou une chose, mais quand il est
utilisé comme un verbe implique une présence préalable. Il a également été jugé ABSOLUTA sententia EXPOSITORE NON INDIGET. Une phrase
comme signifiant « ne pas être dans un endroit particulier au moment appelé, » et ne absolue ou proposition (qui est clair, sans aucun scrupule, ou
pas importer présence préalable. Le terme
absolue, sans aucune sauvegarde) n'a pas besoin d'un exégète. 2
prévenus absents ne fourmis pas embrasser de defend- non-résidents, mais a Inst. 533.
référence aux parties résidant dans l'État, mais temporairement absentes de celle-ci.
Wheeler c. Wheeler, 35 Ill. App. 123. Voir, cependant, Selmer c. James Dickinson
Farm hypoth. Co., DCI11., 299 F. 651, 658, estimant qu'une société étrangère est «
absent » de l'état, et la limitation ne fonctionne pas en sa faveur. L'avocat du ABSOLU. Achevée; parfait; final; sans aucune condition ou charge;
Commonwealth est « absent » lorsque disqualifiée ou handicapées d'exercer les comme une liaison absolue ( simplex obligaiio) à la différence d'une
fonctions de bureau. Northcutt v. Howard, 279 Ky. 219, 130 SW2d
obligation TIONS con-. Inconditionnel; fet complète et per- en
elle-même; sans relation ou dépendance à l'égard d'autres choses
70, 71, 72. Un juge, disqualifié pour agir. Co-op des producteurs de tabac sombres. ou personnes. Instruction à un cadeau "absolu", Ketch c. Smith,
Assoc c. Wilson, 206 Ky. 550, 267 SW 131 Okl. 263, 268
1092, 1093. Un employé décédé n'est pas actionnaire "ABSENT" du devoir,
relativement partage des bénéfices, etc. Nich- ols c. Olympia Veneer Co., 135 Laver
8., 236 P. 794, 796. non-résident bureau dans l'état est pas absent de l'Etat. Corash P. 715, 717. irrévocables final. La donation entre vifs par le mari, le
v. Texas Co., 35 NYS2d 334, 340, 264 App.Div. 292. président et les directeurs de Manhat- tan Co. v. Janowitz, 14
NYS2d 375, 382, ​172 Divers.
Comme un verbe, « absent » signifie de prendre ou de retirer à une distance telle
à empêcher les rapports sexuels; à partir de. Les gens c. Jour, 321 Ill. 552, 152 NE
290. Dans la limitation ou restriction, comford c. Cantrell, 177 Tenn.
495, 497. 553, 151 SW2d 1076, 1077. 22

Un domaine absolu est celui qui est exempt de toutes sortes de conditions ou
incumbrance; une propriété en fief simple. fils John- c. McIntosh, 8 du blé. 543, 5
L.Ed. 681; Fuller v roon Miss-, 35 SC 31,4, 14 SE 714. Bradford v Martin, 199 Iowa
250, 201 NW 574, 576. Middleton c. Dudding, Mo. Sup., 183 SW 443, 444.- La règle
est dite absolue quand sur l'audience, il est confirmé et rendu final. Un moyen de
transport est dite absolue, par opposition à une jauge mort- ou autre moyen de
transport conditionnel. Gogarn c. Connors. . 153 NW 1068, 188 Mich 161. propriété
absolue est l'endroit où un homme a uniquement et exclusivement le droit et aussi
l'occupation de biens meubles; distinguer une propriété quali- fiés, comme celle d'un
dépositaire. 2 Kent 347. Un propriétaire absolu est celui dans lequel les éléments de
titres de possession, droit de possession, et droit de propriété, sont combinés. Harris
c. Southeast Portland Lumber Co., 123 Or. 549, 262
P. 243, 244. propriété absolue existe lorsque l'intérêt est si complètement dévolu à
l'assuré qu'il ne peut pas être privé sans son consentement. Norwich Union Fire Ins.
Soc. v. Sawyer, 57 Ga.App. 739, 196 SE 223, 224. Les droits absolus sont tels que
appartiendront et qui appartiennent à certaines personnes uniquement à titre
individuel ou les personnes seules, comme des droits distinguées par rapport, qui
sont incidents pour les membres de la société; 1 Sharsw.Bla.Com. 123; 1 Chit.Pr.
32. Un devoir absolu est celui qui est libre de toute restriction tion; inconditionnel;
déterminé; non seulement provisoire; irrévocable. fils téléphoniques cassés. Accueil
Telephone Co. c. Weir, 101 NE1020, 1021, 53 Ind. App. 466; employé de chemin de
fer, Lehigh Valley R. Co. c. Beltz, CCANY, 10
F.2d 74, 77; Piétons, Scibilia c. Ville de Philadelphie, 279 Pa. 549, 124 A. 273, 275, 32
ALR 981. Un « pouvoir absolu de la disposition, » en l'absence de statut, serait celui
par lequel le titulaire de la puissance électrique disposer des biens comme
entièrement et de la même manière qu'il peut disposer de ses biens acquis par
personne ses propres efforts. En re Briggs Will, 167 NYS 632, 635, 101 Divers. 191.
qui est une dans la loi de l'assurance intérêt absolu dans la propriété qui est tellement
attaché à la personne qu'il pourrait y avoir aucun danger de sa privation de sans son
consentement. Libby Lumber Co. c. États du Pacifique Fire Ins. Co., 79 Mont. 166,
255 P. 340, 345, 60 ALR 1. Il peut être utilisé dans le sens des acquis. Hough v. Ins.
Co., 29 Conn.
20, 76 Am.Dec. 581. " Le contrôle absolu » Loi sur les véhicules à moteur ne nécessite
pas l'arrêt immédiat. Goff c. Clarksburg Dairy Co., 86 Virginie-Occidentale 237, 103
SE 58, 60. En ce qui concerne le contrôle absolu d'une mine, voir les gens c.
Boggess, 75 Cal.App. 499, 243 P. 478, 481; et d'une succession, voir Strickland c.
Strickland, 271 Ill. 614, 111 NE 592, 594. veto absolu est équivalente'a "droit de veto
de poche". Okanogan, Methow, San Poelis (ou San Poil), Nespelem, Colville, et le lac
des tribus ou des bandes indiennes d'État de Washington c. États-Unis, 49 S.Ct.
463, 279 US 655, 73 L.Ed. 894, 64 ALR 1434. Quant à absolue "Acheminement",
"Pacte", "livraison", "Divorce", "Domaine", "cadeau", "Garantie", "intérêts", "Héritage",
"Nuisance", " nullité « , "Obligation", "ty proprié-", "droits", "règle", "Vente", "Titre",
"Warrandice," voir ces titres.
LOI ABSOLU. La loi véritable et propre de la nature, immuable
dans l'abstrait ou en principe, en théorie, mais pas dans
l'application; car bien souvent l'objet, la raison, la situation, et
d'autres circonstances, peut varier son exercice et l'obligation. 1
Steph.Comm. 21 et suivants.
ABSOLUMENT. Complètement; entièrement; sans qualification;
sans référence ou rapport, ou la dépendance, toute autre
personne, une chose ou un événement. Ainsi, absolument vide des
moyens tout à fait vide; Pearsoll v. Chapin, 44 Pa. 9. Absolument
nécessaire peut être utilisé pour rendre l'idée de la nécessité plus
catégorique; State v. Tetrick, 34 W.Va. 137, 11
SE 1002. Une « réparation absolument nécessaire » avec- en termes
de Wisconsin St. 1925, § 85,02, prendre pour interdire le
stationnement des véhicules, sauf à faire des réparations absolument
nécessaires, comprend la réparation d'une crevaison. Long c. Steffen,
194 Wis. 179, 215 NW 892, 893, 61 ALR 1155. Indépendamment ou
inconditionnellement, en tout ou positivement. Collins
absque
v. Hartford Accident & Indemnity Co., 178 Va.
501, 17 413 SE2d, 418.
« Absolument vide » est-ce que la loi ou la nature des choses interdit à faire
respecter du tout, et qui est « relativement vide » que la loi condamne comme un tort
à des personnes et refuse d'appliquer contre eux. Kyle v. Chaves, 42
N.Mex. 21, 74 P.2d 1030; Scudder v. Hart, 45 NM 76, 110
P.2d 536, 541.
Le legs de biens pour avoir "absolument" signifie sans condition, exception,
restriction ou limitation, dans la succession de re Darr, 206 NW 2, 3, 114 Neb. 116 et
Ates Cre une propriété en fief simple. Dans la succession de re Reynold, 94 Vt 149,
109. A. 60, 63.
ABSOLUTION. En droit canonique, un acte juridique par lequel le
clergé déclarent que les péchés de ceux qui se repentent sont
remis. Parmi Protes- il est tants principalement utilisé pour une
sentence par laquelle une personne qui se excommunié est libéré
ou libéré de cette punition. Encycl. Brit. Dans le droit civil, la
condamnation à laquelle une partie accusé a été déclaré innocent
du crime avait commis aucun crime.
En droit français, le licenciement d'une accusa- tion.
Le terme acquitment est employé lorsque l'accusé est déclaré non coupable, et absolution
quand il est reconnu comme coupable, mais l'acte n'est pas punissable par la loi ou il
est hors de cause par un défaut d'intention ou volonté. Merlin, Rapport.
ABSOLUTISME. En politique. Un système de gou- vernement dans
lequel la puissance publique est confiée à une personne ou des
personnes, non contrôlée et non contrôlée par une loi, une institution,
dispositif constitutionnel, ou coordonner le corps.
ABSOUDRE. Pour libérer ou libérer, à partir obli- gation, la dette
ou la responsabilité. State ex rel. St. Louis Car Co. c. Hughes, 348
125 Mo., 152 S'.W.2d
193, 194.
ABSOLVITOR. En droit écossais. Un acquittement; un décret en
faveur du défenseur dans toute action. Absque. Sans pour autant.
Survient en phrases tirées du latin; tels que ceux vantes
immédiatement mugissement.
Absque Aliquo Redendo INDE. Lat. Avec- à réserver un loyer de
celui-ci; sans rien Dering REN- de celle-ci. Un terme utilisé d'une
attribution gratuite par la couronne. 2 Rolle, Abr. 502. COURBE
absque consideratione. Dans la pratique ancienne. Sans l'examen
de la Cour; sans jugement. Fleta, lib. 2, c. 47, § 13. HOC absque.
Sans cela. Ce sont des mots de déni tech- nique, utilisés en
plaidant en common law par voie de traversée spéciale,
d'introduire la partie négative du moyen, suivant la partie tive
affirmatives ou incitation. Martin v. Hammon, 8 Pa. 270. Voir aussi,
Traverse. I1 absque% IPETITIONE Vasti. Sans peachment im- des
déchets; sans responsabilité pour les déchets; sans engager sa
responsabilité en fonction des déchets. Une clause anciennement
souvent insérée dans baux (comme le 23
absque
équivalente expression anglaise est parfois) signify- que le locataire ING
ou le locataire ne peut être tenue responsable en fonction de ( impetitio) ou
contesté, ou appelé à ac- comptage, pour avoir commis des déchets.
Co. Litt. 220a; Litt. § 352. Voir déchets.
Absque TALI CAUSA. Lat. Sans cette cause. Une forme de
réplication, désormais obsolète, dans une action ex delicto qui
fonctionne un NiAl dé- général de toute la question du plaidoyer du
défendeur de injuria. Gould, Pl. c. 7, § 10; Steph. PL. 191.
ABSTENTION. En droit français. Garder un héritier de la
possession; également renonciation tacite d'une succession par
un héritier. Merl. Repert. RÉSUMÉ, n. Une quantité inférieure
contenant la vertu et la force d'une plus grande quantité; une
version abrégée. Miller c. Kansas City Light & Co. er Pow,
CCAMo., 13 F.2d 723. Une transcription est généralement défini
comme une copie, et est hensive plus Comprehensive qu'un
résumé. V Harrison-. Mfg., 10 SC 278, 283. Résumé ou abrégé,
ou ce qui comprend ou se concentre en elle-même les qualités
Sential es- d'une plus grande chose ou de plusieurs choses.
Robbins Inv. Co. v. Robbins, 49 Cal.App. 2d 446, 122 P.2d 91, 92.
. RÉSUMÉ, v Pour prendre ou retirer; comme, Abstraire les fonds
d'une banque. Sprague c. Etat, 188 432 Wis., 206 NW 69, 70.
RÉSUMÉ DE FIN. Dans la vieille conveyancing. L'une des parties
d'une amende, être un résumé du bref d'alliance et la concorde,
en nommant les parties, les parcelles de terrain, et l'accord. 2
Bl.Comm. 351. Plus communément appelée la « note » de
l'amende. Voir fin; Concorde. RÉSUMÉ DU DOSSIER. Une
histoire complète sous forme abrégée, en abrégé de l'affaire que
l'on trouve dans le dossier, assez complet pour montrer que les
questions présentées pour examen ont été correctement réservé.
State ex rel. Wallace State Bank c. Trimble, 308 278 Mo., 272 SW
72, 73. Synopsis ou résumé des faits, plutôt que table des tentes
de con- transcription. Wing c. Brasher, 59 Mont.
10, 194 P. 1106, 1108. Abbreviated histoire précise et authentique
de la procédure. Brown c. Reich- mann, 237 Mo.App. 136, 164
SW2d 201, 207. RÉSUMÉ DU TITRE. Une histoire condensée du
titre foncier, composé d'un synopsis ou Mary SUM de la matière
ou partie active de tous les actes de cession, de quelque nature
que ce soit, qui, de quelque manière affecter ces terrains, ou tout
domaine ou intérêt, ensemble avec _A déclara- tion de tous les
privilèges, charges ou les passifs auxquels même peut faire l'objet,
et dont il est en tout matériel de voie pour les acheteurs à être
informés. Guerre y. Abst. § 2. Stevenson c. Polk, Iowa 71, 278, 32
340 NW.
titre d'enregistrement, pas une preuve extrinsèque de celle-ci. Upton v. Smith, 166
NW 268, 183 Iowa 588. Affichage d'un titre commercialisable. Morgan c. WA Howard
Realty Co., 68 Colo 414., 191 P. 114, 115. Un exemple même de la preuve au
dossier du titre. De Huy v. Osborne, 96 Fla. 435, 118 So. 161, 162. y compris des
cartes, et d'autres plats aides. Cour de Madison County Commissioners c. Wallace,
118 Tex 279, 15 535 SW2d.,
536. Un abrégé des moyens de transport, transfert, et d'autres
faits invoqués comme preuve de propriété, ainsi que tous ces faits apparaissent
comme de l'enregistrement peut altérer le titre. State ex rel. Freeman c. Abstracteurs
Conseil d'examen, 99 Mont. 564, 45 P.2d 668, 670. Vangsness c. Bovill, 58 SD
228, 235 NW 601, 604. note ou déclaration concise sous forme ordonnée de la
substance des documents ou des faits apparaissant sur des documents publics qui
affectent le titre de biens immobiliers. State ex rel. Doria v. Ferguson, Ohio 145 St. 12,
60 NE2d 476, 478.
RÉSUMÉ QUESTION. Un qui ne repose pas sur des faits existants
ou des droits. Morris Plan Bank of Fort Worth v. Ogden,
Tex.Civ.App., 144
SW2d 998, 1004.
ABSTRACTION. La prise de l'intention de frauder ou in- jure, «
abstraction illicite » est « unau- prise AUTORISÉE et illégale ou le
retrait de fonds, etc., et l'appropriation de celui-ci au profit du
preneur. » Côte du Pacifique Adjustment Bureau v. Indemnité Ins.
Co. d'Amérique du Nord, 115 Cal. App. 583, 2 P.2d 218, 219.
Pour bénéficier du preneur ou d'une autre avec son consentement. Austin v.
Nieman, Tex.Civ.App., 3 SW2d 128, 129. Of- fense pour agent de banque, sens
populaire du mot. Common- wealth c. Dauphinee, 121 Pa.Super. 565, 183 A. 807,
813. En vertu de la Loi sur la Banque nationale, pas nécessairement le même que le
détournement de fonds, larcin ou détournement de fonds. Fer- guson c. Etat, 80
Tex.Cr.R. 383, 189 SW 271, 273. État
c. Hudson, 93 W.Va. 435, 117 SE 122, 126.
ABSURDITÉ. Ce qui est physiquement et moralement impossible;
et qui doit être considéré comme moralement impossible ce qui est
contraire à la raison, de sorte qu'il ne pouvait pas être imputé à un
homme dans son bon sens. State v. Hayes, 81 574 Mo., 585. Tout
ce qui est si irrationnel, naturel ou in- pratique qu'il ne peut pas être
censé avoir été à l'intérieur l'intention des hommes d'Telligence in-
ordinaire et discrétion. Noir, interp. Lois, 104; Graves v Les
balances 172 NC 915, 90 439 SE. opposition et évidemment
platement à la vérité manifeste; incompatible avec les préceptes
simples de bon sens; logiquement contradictoires; nonsen- sique;
ridicule. Wade c. Empire Dist. Electric Co., 98 Kan. 366, 158 P. 28,
30. ABUNDANS CAUTELA NON nocet. Abondances prudence
extrême ou Dant ne fait aucun mal. 11 Co. 6; Fleta, lib. 1, c. 28, §
1; 6 du blé. 108. Ce prin- cipe est généralement appliqué à la
construction d'instruments dans lesquels les mots superflus ont été
insérés plus clairement pour exprimer l'intention. ABUS DE
CONFIANCE. Abusant ou de dépenser de manière frauduleuse
aux produits de préjudice qui que ce soit, espèces, factures,
documents ou contrats remis pour un objet spécial. Washington,
DCNY, 19 F. Supp. 719, 722.
ABUS, n. Tout ce qui est contraire au bon ordre établi par l'usage.
Merl. Se repentir. parture De- d'utilisation; usage immodéré ou
inapproprié.
Action qui serait nécessaire dans les affaires ordinaires à, faire coupable d'un «
abus » connote conduite d'un grade diffé- rentes que ce que l'on entend quand un
tribunal est dit avoir « abusé de son pouvoir discrétionnaire. » Beck c. Ailes Field Inc.
CCAPa., 122 F.2d 114, 116.
Droit civil
La destruction de la substance d'une chose à l'utiliser. Voir abus,
v 24.