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Langage et nouveauté chez Gaston Bachelard

et Maurice Merleau-Ponty

DIVERD Chloé
I. Le langage constitué et la parole nouvelle.

La dette de la parole nouvelle à l’égard du langage disponible

Bachelard, dans la Poétique de l'espace, s’applique à faire valoir ce qu’il


appelle la « nouveauté essentielle de l'image poétique »1. La nouveauté est un trait
fondamental de la parole poétique. À cet égard, il faut même écrire que la
nouveauté, plus que l'appartenance à un genre littéraire et éditorial institué, à la
poésie ainsi comprise, constitue la parole comme poétique. Gilles Hiéronimus, à
l'occasion d'une récente édition critique de cet ouvrage, en vient même à affirmer l'
« autonomie absolue »2, pour Bachelard, de la production des images poétiques par
rapport aux formes littéraires instaurées et débattues depuis les grecs. Pour le
moment, raisonnons en amont de cette conclusion. Quel est le sens spécifique de la
nouveauté poétique ? Pour atteindre à ce sens, il nous faut d’abord considérer les
expressions qui, dans la Poétique de l'espace, disent la relation de la parole
nouvelle de l'écrivain au langage ordinaire, à la marche quotidienne de l'activité
linguistique. Bachelard, pour ce point, convoque un vocabulaire sismique, de l'onde
et du tremblement. La parole poétique, la « couche mince des images naissantes »3,
« au-dessus du langage habituel »4, « en relief sur le langage commun »5, ainsi que
« des ondes »6 courant sur cette surface inférieure, la fait trembler, la « met en

1
BACHELARD, Gaston, La poétique de l’espace, ed. Gilles Hiéronimus, Paris, PUF, 2020 (Quadrige), p.36.

2 BACHELARD, La poétique de l’espace, op. cit., p.316.


3 Ibid., p.233.
4 Ibid., p.41.
5 Ibid., p.285.
6 Ibid., p. 274.
branle »7 jusqu’en ses « couches profondes »8, provoque des « ébranlements »9. La
parole poétique agit sur l’amas des significations ordinaires. Merleau-Ponty relève
au chapitre VI de la Phénoménologie de la perception ce qui est une certaine mise
en mouvement des significations déjà constituées, avec lesquelles nous comptons «
la plupart du temps »10 , dans l’irruption de la parole neuve. Ainsi écrit-il « un
ouvrage de littérature est moins fait par le sens commun qu’il contribue à le
modifier »11. S’il a donné naissance à un sens nouveau, l’ouvrage littéraire a vu,
pour la venue de ce sens, s’entrelacer12d’une façon inédite les « significations déjà
formées »13. La modification du langage commun a, partiellement au moins, le sens
d’une modification de ses rapports. Les significations ne sont plus rapportées de
manière à ce qu’elles donnent lieu à nos « paroles banales »14, et dès lors que
l’apparition d’un sens implique un agencement sans précédent des significations
accessibles, il faut bien dire que c’est tout un langage, avec son réseau de rapports,
qui naît en sa présence. Dès 1939, Bachelard prend en vue, dans le voisinage des
textes de Lautréamont, la contemporanéité essentielle de l’image poétique et de la «
création d’un langage » 15 . L’image authentiquement poétique doit « créer son
langage »16 . Dans quelle mesure, toutefois, l’image bachelardienne prend t-elle

7 Ibid., p.34.
8 Ibid., p.63.
9 Ibid., p.288.

10
MERLEAU-PONTY, Maurice, La phénoménologie de la perception, Paris, Gallimard, 1976 (Tel), p.229.

11 MERLEAU-PONTY, La phénoménologie de la perception, op. cit., p.219.


12 Ibid., p.223.
13 Ibid., p.224.
14 Ibid., p.224.
15 BACHELARD, Gaston, Lautréamont, Paris, Corti, 1939, p.70.
16 BACHELARD, Lautréamont, op. cit., p.70.
appui sur le disponible ? Dans quelle mesure est-elle possible, ainsi que le veut
Merleau-Ponty, « À partir de ces acquisitions »17 ? Il est frappant que Bachelard
réduise à l’extrême maigreur la dette de l’image poétique à l’égard de la tradition
littéraire, ou de la tradition qui commande nos échanges quotidiens. Il prend, si l’on
peut dire, le contre-pied de cette mauvaise critique littéraire que Julien Gracq
décrit, négativement, à mi-parcours d’En lisant en écrivant. Une mauvaise critique
se rapporte à un livre ainsi qu’on se rapporterait à une femme dont on n’est pas
amoureux, c’est-à-dire en la rendant de toutes parts prévisible, dans le détail de «
ses ancêtres, son lieu de naissance, son milieu, ses relations, son éducation, ses
amies d’enfance » 18 . Dans le Lautréamont, Bachelard dit la nécessité de « se
débarrasser des livres et des maîtres »19, du « langage déjà appris »20 pour qu’un «
langage en fleur »21 s’avance. Dans la Poétique de l’espace, il précise « une image
poétique, rien ne la prépare, surtout pas la culture, dans le mode littéraire »22. Elle
est sans passé culturel. Ce n’est pas, il nous semble, contredire Merleau-Ponty.
L’absence de passé, s’agissant de l’image poétique naissante, signifie précisément
pour Bachelard que rien dans la tradition ne la précède au titre de sa cause
déterminante. De là, chez les deux auteurs, sa caractérisation en termes de miracle,
qui sera l’objet de la prochaine partie. Néanmoins, il y a bien pour Bachelard, dans
l’acquis, des possibilités qui demeurent ouvertes. Ces possibilités, il les envisage
sur le plan du mot ; « les mots les plus usuels (...) ne perdent pas pour cela leurs
possibilités poétiques »23, sur le plan de l’archétype ou de l’image traditionnelle,

17 MERLEAU-PONTY, La phénoménologie de la perception, op. cit., p.239.


18 GRACQ, Julien, En lisant en écrivant, Paris, Corti, 1980, p.160.
19 BACHELARD, Lautréamont, op. cit., p.70.
20 Ibid., p.70.
21 Ibid., p.76.
22 BACHELARD, La poétique de l’espace, op. cit., p.36.
23 Ibid., p.124.
dans Les fragments d’une Poétique du feu, dans la mesure où sont approchés « des
exemples précis où nous voyons le Phénix garder, prendre ou retrouver une
existence poétique »24, et enfin, dès l’instant que « support de rêverie »25 peut être
dit des documents littéraires rassemblés dans la Poétique de l’espace.

Les possibilités du mot

Qu’en est-il des possibilités recelées dans le mot ? Le mot, pris dans son
application la plus commune, dans son évidence quotidienne, est pétrifié et « inerte
»26. Il est toujours qualifié comme tel par Merleau-Ponty et Bachelard relativement
à la situation de sa mobilisation inédite. Son inertie n’est pas celle du mot que l’on
n’emploie pas, mais c’est bien l’immobilité qui satisfait à la ligne pragmatique du
langage, à ses commodités, par laquelle aucun « véritable effort d’expression »27
n’est exigé de nous. Il ne s’agit pas, prenons garde, d’opérer une dévalorisation à
son endroit. Le mot fait « honnêtement [son] métier dans le langage de la vie
quotidienne »28, et il n’est pas question de dédaigner, comme le souligne Françoise
Dastur dans Chair et langage, cette « explicitation quotidienne dans laquelle il faut
d’abord grandir »29. Bachelard signale une situation de dédain touchant à un mot
très ordinaire, au Chapitre III de la Poétique. Ce dédain prend la forme de son

24 BACHELARD, Gaston, Fragments d’une Poétique du Feu, ed. S.Bachelard, Paris, PUF, 1988, p.62.
25 BACHELARD, La poétique de l’espace, op. cit., p.18.
26 Ibid., p.226.
27 MERLEAU-PONTY, La phénoménologie de la perception, op. cit., p.224.
28 BACHELARD, La poétique de l’espace, op. cit., p.124.

29
DASTUR, Françoise, Chair et langage : Essais sur Merleau-Ponty, Paris, Encre Marine, 2016.
emploi métaphorique — « fabriqu[é], sans racines profondes, vraies » 30 par
distinction d’avec son renouvellement dans l’image — et plus exactement, de sa
conversion en instrument polémique dans un contexte philosophique. La métaphore
s’expose au risque d’être administrée fréquemment et de façon fort prévisible, et
non pas « une fois en passant » 31 comme il faudrait l’exiger, dans le but de
condamner philosophiquement des arguments. L’emploi métaphorique polémique
d’un mot, chez le philosophe, et son maniement le plus commun, hors de toute
tentative de réfutation, sont deux façon d’oublier le mot dans l’action de s’en servir,
conformément à ce mouvement bien connu de Heidegger, par lequel tout outil
disparaît dans son utilisation32. Pourtant, le premier emploi est assurément désigné
comme déplorable, tandis que le second n’est pas entouré de considérations
dépréciatives. L’effort principal du Chapitre III vise la réhabilitation du mot tiroir
dans une explication avec les bergsonisme (autrement dit, la simplification de
Bergson dans l’enseignement), le grand ouvrier de sa dévalorisation philosophique,
et non pas dans une dénonciation des indications pragmatiques de la vie
quotidienne, telles que tu as oublié ton porte feuille dans le tiroir, prends la clef
dans le tiroir du bas etc. Le tiroir fait métaphore est l’oubli du mot tiroir, de sa
matérialité — sa façon de sonner, « Au mot qui sonne gravement, l’être de la
profondeur » 33 ou encore le souffle de ses lettres, dit Bachelard — qui recèle,
richement, de possibilités d’imagination. À propos de ces possibilités, simplement,
on ne peut montrer aucune cause qui expliquerait de manière satisfaisante leur
réalisation ou leur venue au dehors. Aucune cause ne prépare l’advenue de la

30 BACHELARD, La poétique de l’espace, op. cit., p.125.


31 BACHELARD, La poétique de l’espace, op. cit., p.125.
32« L’usage spécifique de l’outil, où celui-ci seulement peut se manifester authentiquement en son être, par
exemple le fait de marteler avec le marteau, ne saisit point thématiquement cet étant comme chose survenante,
pas plus que l’utilisation même n’a connaissance de la structure d’outil en tant que telle ». HEIDEGGER,
Martin, Être et temps, trad. E. Martineau, §15.
33 BACHELARD, La poétique de l’espace, op. cit., p.129.
nouvelle image qui fait quelque chose du mot tiroir. La « loi inconnue » 34 qui
intervient chez Merleau-Ponty quand il faut dire le point d’apparition de la parole
neuve est moins une loi inconnue en tant qu’elle est susceptible d’être découverte,
d’intégrer ou de fonder en toute lumière un corps de lois physiques,
psychologiques, que cela qui nomme la loi du mystère, essentiellement obscure.
Merleau-Ponty fait sienne la métaphore husserlienne de la sédimentation, qui devait
rendre compte, dans Expérience et jugement, de ce « fonds constitué par tous les
jugements déjà portés et par toutes les objectivités catégoriales déjà constituées en
eux »35 qui imprègne toujours déjà les objets du monde, par quoi ils possèdent pour
nous, d’emblée, un sens, par quoi le champ phénoménal en deçà des significations
linguistiques se trouve déjà recouvert. Bachelard n’ignore pas ces considérations,
les travaux de Husserl constituent pour lui une source importante. Si, ainsi que le
développe Bernard Barsotti dans son ouvrage Bachelard critique de Husserl, la
méthode phénoménologique n’engage pas que le versant poétique de l’œuvre de
Bachelard, loin de là, c’est néanmoins en pensée poétique que l’apport husserlien
est le plus éclatant, et « trouve l’impulsion pour s’approfondir »36.

La parole littéraire passée comme support, l’image traditionnelle, le poème hérité

La Poétique de l’espace permet un certain amendement des conclusions du


Lautréamont. Il devient évident, en elle, que l’oubli du passé procède de la

34 Ibid., p.223.

35
HUSSERL, Edmund, Expérience et jugement, trad. D. Souche, Paris, PUF, 1970 (Épiméthée), p.341.

36
BARSOTTI, Bernard, Bachelard critique de Husserl, Paris, L'Harmattan, 2002 (Mouvement des Savoirs),

p.153.
nouveauté d’image plus qu’il ne la prépare. Ce n’est pas le geste de porter au feu
les livres qui dispose à la création d’une image neuve, mais c’est le surgissement de
cette image qui renvoie les livres dans le vide, c’est-à-dire, on l’a vu, leur refuse le
statut d’anticipations.

II. Le sens du « miracle » de la parole nouvelle et le statut de la


primitivité chez Bachelard et Merleau-Ponty.

L’absence de cause s’agissant de l’image nouvelle

Toute critique explicative, qui « analys[e] selon les lois et par les moyens de
la mécaniques » 37 , est insuffisante, de même que toute approche qui prétend
éclairer la production littéraire à l’aune des causes dégagées par le psychanalyste, le
psychologue, le biographe. Dans un bref article qu’il confie aux Cahiers du Sud au
début des années soixante, le philosophe Max Picard encourage le refus qui tient à
l’écart tout ce qui « émiette, dissout une phénomène »38, autrement dit, qui refuse
37 GRACQ, En lisant en écrivant, , p.155.

38 PICARD, Max, « La minute de l’image », trad. J.-J. Anstett, Cahiers du Sud 376 (février 1964), p.21.
Figure
qu’un phénomène soit présenté dans ses « seules relations sociologiques,
psychologiques, historiques » 39 . De ce refus, il trouve une occurrence dans les
textes tardifs de Gaston Bachelard. Il prend en vue une attitude dans laquelle
Bachelard se serait engagé, et qui aurait ménagé un fidèle accès au phénomène de
l’imagination poétique. Cet accès se serait révélé, si l’on peut dire, à la mesure ou à
la hauteur de son originalité, conformément à l’exigence qui commande de «
montrer un phénomène purement dans sa spécificité »40. L’ambition d’une fidélité
envers les phénomènes, appliquée dans le voisinage de documents poétiques, aurait
conduit Bachelard à se faire lui-même poète. Ce pas, Max Picard le mentionne
comme suit : « la puissance de l'immédiateté de l'image pénètre si profond dans
l'âme de Bachelard qu'elle en tire à son tour une image poétique »41. Si un chemin,
en philosophie, est toujours une méthode, un moment de la méthode, dans la
Poétique, consiste à laisser la rêverie advenir, c’est-à-dire à laisser s'avancer la «
modalité d'exercice privilégiée de l'imagination »42 . Le phénoménologue veut «
vivre tel que les grands rêveurs d'images ont vécu »43, écrit Bachelard, et il ajoute «
le mot comme imite, le mot tel implique qu'on devient le sujet même qui rêve la
rêverie »44. A cette phénoménologie convient la signification originaire, grecque,
de la méthode. C'est le chemin que l'on suit, μέθοδος, en tant qu'il est prescrit par
cela qui doit être atteint. La phénoménologie de l'imagination conduite par

dans le dossier « Gaston Bachelard et les poètes ».

39
PICARD, «La minute de l’image», loc. cit., p.21.

40
Ibid, p.21.

41
Ibid, p.19.

42 BACHELARD, La poétique de l’espace, op. cit., p.18.

43
BACHELARD, La poétique de l’espace, op. cit., p.168.

44
Ibid, p.168.
Bachelard est une écoute à l'endroit de l'imagination et de ses produits les plus
directs, les images léguées par les poètes, selon le « double sens d'entendre et
d’obéir 45». Elle se donne au chemin qu’ils prescrivent pour la saisie de leur réalité
spécifique. Au chapitre VII, Bachelard soutient que les valeurs oniriques, à savoir
celles qui vivent dans l'exercice premier de l'imagination, exigent d’être accueillies
oniriquement. Nous pourrions relever dans la Poétique d’autres formulations de ce
qui est en réalité une seule requête : est toujours requise une porosité de l’approche
à ce qui est approché.

Retour, enfance

III. Le langage et l’autorité de l’unique monde.

Langage et monde

- Reprendre les développements d’Étienne Bimbenet sur Merleau-Ponty et


Bachelard, mais nuancer l’éclatement du monde qu’il prête à Bachelard.

- Langage et perception. Jean-Jacques Wunenburger (Bachelard, une poétique des


images) note le regret exprimé par Bachelard, touchant à l’évolution de
l’architecture : les nouvelles normes architecturales suscitent moins la rêverie,
regret qui marque une certaine dépendance de la rêverie à l’égard de la réalité
perçue, quand pourtant Bachelard entend montrer le contraire.

45
Ibid, p.217.
- L’absence de réalité, de région antérieure au langage est pour Bachelard une
hypothèse de travail (PE, p.35).

L’épreuve de la marche de la poésie française

Si nous avons pris en compte, au début de notre développement,


l’irréductibilité chez Bachelard du poétique et de la poésie, une chose nous apparaît
néanmoins problématique qui est la peine avec laquelle sa poétique — et à plus
forte raison dans les Fragments d’une Poétique du feu — accueille une direction
primordiale de la poésie contemporaine. Non pas qu’elle doive entrer en résonance
avec toutes les productions répertoriées comme poésie — ce serait oublier
l’irréductibilité que nous prenions pourtant soin d’indiquer —, mais il nous semble
que cette inadéquation révèle en creux la dépendance de la pensée de Bachelard à
l’égard de l’haleine surréaliste, ou du moins de ce qu’il en reste dans les années 60,
et par laquelle elle se trouve en partie datée. Nous appelons contemporaine cette
poésie qui s’ébauche dans les années 50, qui jamais ne se stabilise en école, mais
dont un élément fédérateur est sans doute un certain effort qui consiste à marquer
une distance avec le surréalisme. Il n’est pas du tout évident que la poésie puisse
encore être approchée adéquatement par l’image, par la confiance heureuse en
l’image, tant on sait que l’activité réflexive de poètes tels que Philippe Jaccottet ou
Yves Bonnefoy s’est donnée les moyens d’une critique virulente à son endroit.

- Renaud Barbaras place Jaccottet dans le sillage de Merleau-Ponty.


Bibliographie

BACHELARD, Gaston, La poétique de l’espace, ed. Gilles Hiéronimus, Paris,


PUF, 2020 (Quadrige).

MERLEAU-PONTY, Maurice, La phénoménologie de la perception, Paris,


Gallimard, 1976 (Tel).

BARBARAS, Renaud, « Phénoménologie et poétique », Recherches


phénoménologiques, Paris, Beauchesne, 2019 (Le grenier à sel).

BARSOTTI, Bernard, Bachelard critique de Husserl, Paris, L'Harmattan, 2002


(Mouvement des Savoirs).

CALIN, Rodolphe, « Bachelard et le règne du langage », Alter 19 (octobre 2011).

DASTUR, Françoise, Chair et langage : Essais sur Merleau-Ponty, Paris, Encre


Marine, 2016.

HIERONIMUS, Gilles, LAMY, Julien (dir.), Imagination et mouvement : Autour de


Bachelard et Merleau-Ponty, EME, Louvain-la-Neuve, 2015 (Transversales
philosophiques).

HUSSERL, Edmund, Expérience et jugement, trad. D. Souche, Paris, PUF, 1970


(Épiméthée).
LAMY, Julien, « Le pluralisme cohérent de la philosophie de Gaston Bachelard »,
dir. Jean-Jacques Wunenburger, thèse de doctorat, Université Lyon 3 Jean Moulin,
2014.

PICARD, Max, « La minute de l’image », trad. J.-J. Anstett, Cahiers du Sud 376
(février 1964).

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