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L’APPORT FINANCIER DES ORGANISATIONS INTERNATIONALES DANS LA

LUTTE CONTRE LE CHANGEMENT CLIMATIQUE DES PAYS EN VOIE DE


DEVELLOPEMENT : CAS DE LA COTE D’IVOIRE

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SOMMAIRE

CONTEXTE GENERALE DU SUJET ............ 03


CONTEXTE SPECIFIQUE DU SUJET ................................. 03
DEFINITION DES MOTS CLES ............................................................................. 04
INTERET DU SUJET .......................................................................................... 04
PROBLEME DE DROIT ................................................................ 05
METHODOLOGIE ............................................................................................ 06
HYPOTHESES DE SOLUTIONS..................................................................................... 06
BIBLIOGRAPHIE INDICATIVE ……………………….…................

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I- CONTEXTE GENERALE DU SUJET

Avec la mondialisation, force est de constater que notre planète fait actuellement face à des
problèmes environnementaux majeurs. Ce qui influe de manière considérable sur le climat
mondiale. Cette situation climatique, se justifie par le fait que le développement économique
mondial est Essentiellement axé sur les énergies non conventionnelles ; sans réellement
prendre en compte les principes liés au développement durable.

C’est ainsi que les Etats par le biais des organisations internationales ,décident de répondre
au besoin climatique à travers la Convention des nations unies sur le changement climatique
de 1992 (CNUCC) et le protocole de Kyoto afin de s’engager de manière solennelle face aux
enjeux climatique que rencontre les pays développées et les pays en voie de développement .

La fin de la période d’engagement du protocole de Kyoto, a permis l’adoption de l’accord de


paris. Cette accord a pour objectif principale de maintenir l’augmentation de la température de
la température mondiale bien en dessous de 2°C en s’efforçant de la limiter à 1,5°C (art 2 al
1 .a)

Pour la bonne mise en œuvre de la lutte contre le changement climatique l’article 4. 3 de la
CNUCC prévoit que Les pays développés fournissent des ressources financières nouvelles et
additionnelles pour couvrir la totalité des couts convenus encourus par les pays en
développement c’est-à-dire qu’Ils fournissent les ressources financières nécessaires aux pays
en développement parties, notamment aux fins de transferts de technologie, pour couvrir la
totalité des couts supplémentaires. Cette disposition permet au pays en voie de développement
de répondre activement aux problèmes climatique dont ils font fasse.

II- CONTEXTE SPECIFIQUE DU SUJET

La cote d’ivoire à travers la mise en place de projet d’étude et l’édiction de document officiel
tel que les communications nationales sur le changement climatique de 2000 2010 et 2017. En

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amont de l’adoption de l’accord de paris sur le climat la cote d’ivoire a soumis à la CCNUCC
ces premières contributions déterminées au niveau national (CDN) qui a non seulement pour
objectif de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 28,25% mais aussi renforcer ces
objectifs d’adaptions et d’atténuation .

Tous ces actions de lutte contre le changement climatique mis en œuvre par les pays en voie
de développement ont été réalisé grâce aux contributions financiers ou technique effectué par
les pays développés et les organisations internationales dont ils font parties en vertu du
principes de financement climatiques prévu par les conventions internationales

Le présent mémoire vise à étudier le droit de l’environnement et plus précisément l’ensemble


des règles régissant l’appui financier ou la finance climatique afin de mieux appréhender son
cadre normatif et sa conformité face aux réalités et besoins des pays en voie de
développement afin de mieux entreprendre les projets climatique à l’horizon 2030

A terme ce mémoire ambitionne de mieux appréhender la mise en œuvre de l’action


climatique à travers ces principes légales de mobilisation de gestion et de décaissement de
fond climatique au regard du droit international. Mais aussi proposer des solutions qui
répondent directement aux besoins spécifiques du climat ivoirien au regard des lois et
règlements propres au changement climatique.

III- DEFINITION DES MOTS CLES

L’apport financier : L’apport est la participation financière ou patrimoniale d’une personne


physique ou morale dans le cadre d’un projet.

Organisation international : La Commission du droit international, organe subsidiaire de


l'Assemblée générale de l'ONU, définit l'OI comme « une association d'États constituée par un
traité, dotée d'une constitution, d'organes communs, et possédant une personnalité juridique
distincte de celle de ses États membres ».

Le changement climatique : On entend par « changements climatiques » des changements de


climat qui sont attribués directement ou indirectement une activité humaine altérant la
composition de l’atmosphère mondiale et qui viennent s’ajouter la variabilité naturelle du
climat observée au cours de périodes comparables.

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Pays en voie de développement : Un pays en développement aussi appelé marché émergent
présente un produit intérieur brut (PIB) inférieur à celui des pays développés, ainsi qu'une
économie moins mature et moins complexe.

IV- INTERET DU SUJET

a) l’intérêt scientifique

l’intérêt scientifique de ce mémoire vise à pouvoir renforcer les dispositions juridiques relatif
à l’appui financier des organisations internationales afin de mieux uniformiser les procédures
de financement climatiques et facilité la traçabilité de ces fonds d’appui par les pays
développés et les organisations internationales .

b) l’intérêt social

Cette étude se propose de mettre à la disposition des acteurs du domaine environnemental et


climatique en général et en particuliers les décideurs et les spécialistes du domaine afin de
pouvoir répondre activement aux enjeux climatique d’un point de vue interne et sauver notre
population et notre planète.

V- PROBLEME DE DROIT

Au regard du sujet la question qui se pose est de savoir : En quoi l’appui financier des
organisations internationales répond-il aux besoins climatiques des pays en voie de
développement ? En d’autres termes Est-ce que l’appui financier des organisations
internationales est conforme aux réalités de la cote d’ivoire 

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VI- METHODOLOGIE

Dans le cadre de cette étude, nous envisageons de faire une étude documentaire. Elle
consistera à exploiter les ressources documentaires en lien avec la finance climatique. Ainsi
nous consulterons des sources légales, à savoir le code de l’environnement ivoirien et les
conventions, accord et protocole internationaux. De plus, il sera question d’analyser des
sources conventionnelles, doctrinales, rapports en lien direct avec notre sujet au niveau
interne et international.
Outre la recherche documentaire, nous recueilleront des données ou informations utiles à la
réalisation du travail auprès des administrations publiques ou privées qui exercent dans le
domaine du changement climatique. Au sein de ces, administrations, nous interrogerons le
personnels capables de nous fournir des informations qui feront avancer de manière
significative notre travail.

 PLAN

PREMIERE PARTIE : UNE BONNE MISE EN ŒUVRE DE L’ACTION


CLIMATIQUE

Chapitre 1 : DES APPORTS FINANCIERS MULTIPLES

Chapitre 2 : UN RENFORCEMENT DE LA TRANSPARENCE CLIMATIQUE


GRACE A L’ACCORD DE PARIS

DEUXIEME PARTIE : UNE PROCEDURE D’APPUI DES PAYS EN VOIE DE


DEVELOPPEMENT CONFUSE

Chapitre 1 : UNE INSUFFISANCE TEXTUELLE REGISSANT LE CADRE DE LA


TRANSPARENCE CLIMATIQUE

Chapitre 2 : UNE ABSENCE DE COHERENCE DANS LA REALISATION DES


PROJETS

CONCLUSION
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VII- HYPOTHESES DE SOLUTIONS

Les différentes hypothèses de solution à émettre se présenteront selon les aspects


économiques et sociaux.
Au niveau économique notons que l’apport de fond bien orchestré par les organisations
internationales permettra aux pays en voie de développement de pouvoir répondre
efficacement au besoin de ces populations urbaines et rural. Cette solution seras perçu à
travers une plus grande implication économique de la politique des états dans les affaires
environnementales
L’aspect social quant à lui peut se présenter comme un des aspects fondamentales sur lequel
l’apport financier des organisations internationales repose sa pleine exécution .En effet les
fonds générés permettrons de pouvoir mieux éduquer les populations sur les phénomènes liés
au changement climatique. Cela pourra se percevoir à travers la mise en place de
spécialisation (juridique, économique ect…) qui permettra de mieux appréhender la question
de la lutte contre changement climatique.

VIII- BIBLIOGRAPHIE INDICATIVE

I -OUVRAGES GÉNÉRAUX

II OUVRAGES SPECIALISÉS

- Contributions déterminées au niveau national de la cote d’ivoire (CDN ; Mars 2022)

- Le plan national de développement de la cote d’ivoire (2021-2025)

- Guide de poche de la transparence sous la CCNUCC (Copyright © Mai 2017)

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V- TEXTES DE LOIS

- Code de l’environnement actualisé

 DÉCLARATION ET CONVENTION INTERNATIONALE

- la Convention-cadre sur les Changements Climatiques (CCCC, 1992) 

- Protocole de Kyoto a là la Convention-cadre sur les Changements Climatiques (PK,


1998)

- Accord de Paris – UNFCCC (2015)

 LOI

- Loi n°1996-766 du 3 octobre 1996 portant Code de l’environnement

VIII DICTIONNAIRES

DICTIONNAIRE FRANCAIS ET ANALOGUE DE LA LANGUE FRANCAISE, LE

PETIT ROBERT, Edition Millésime, 2014, 3542p.

DICTIONNAIRE FRANÇAIS LE PETIT ROBERT, 2014, 3504p.

GERARD CORNU, Lexique des termes juridiques, Association Henri Capitant ,12e

Edition, mise à jour «Quadrige», 2018, 2300p.

LEXIQUE DES TERMES JURIDIQUES, Dalloz, 25Edition 2017- 2018, 2896 p

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