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SOMMAIRE

INTRODUCTION

I. PRSENTATIONS DU SYSTEME

1. Définition porte automatique

II. DESCRIPTION DU SYSTEME

III. CAHIER DE CHARGES

IV. ETUDE FONCTIONNELLE DU SYSTEME

1. ANALYSE FONCTIONNELLE

2. ANALYSE STRUCTURELLE DU SYSTEME


2.1. Bouton poussoir et voyant
2.2. Les capteurs
2.2.1. Capteur photoélectrique
2.2.2. Les différents types de détection
2.3. Interrupteurs de position

3. ALIMENTATIONS ET COMMANDE
3.1 Les moteurs asynchrone
3.2 Automates programmables industriels (API)
3.2.1 Structures des API
3.2.2 Choix d’un API

CONCLUSION

ANNEXES
BIBLIOGRAPHIES
REMERCIEMENTS

Avant tous nous remercions « DIEU » de nous avoir donné la force et


le courage pour réaliser ce Projet.
Nous tenons à exprimer nos vifs remerciements à notre encadreur
M.BABAKA George de nous avoir encadré notre projet de fin
d’études.
Nous tenons aussi à remercier chaleureusement les membres de jury
pour l’honneur qu’ils nous ont fait en acceptant d’évaluer notre
projet.

Nous exprimons également notre gratitude à tous les Enseignants de


spécialité ELECTROTECHNIQUE. Nous présentons enfin, notre
profonde gratitude à nos parents et toute la famille, ainsi qu’à tous
ceux qui nous ont aidés de près ou de loin à réaliser ce travail.
DEDICACES

Je dédie ce travail à mes chers parents," Mon père" et " Ma mère" qui
m’ont soutenu financièrement et moralement. Et aider tout au long de
mon parcourt, sans eux je ne serai jamais arrivé là où je suis.
A Ma tante qui a toujours été là pour moi avec tous les moyens
possibles
A mes très chères sœurs
A tout la famille
A mes amis qui ont étudié à mes côtés durant ces deux dernières
années de spécialité qui m’ont toujours encouragé durant mon cursus.
INTRODUCTION

Dans le cadre de la formation des étudiants de 2 ème année électrotechnique, le projet permet
d’effectuer des études complémentaires, de s’enrichir technologiquement et scientifiquement,
de développer notre autonomie par un travail en groupe.

Chaque projet est encadré par 2 enseignants qui nous guideront dans nos démarches, les
projets tutoré permettent :

 De développer les capacités d’acquisition personnelle (scientifique comme technique)


de connaissances et l’autonomie, garantes des capacités d’évolutions des techniciens
Supérieur.
 De permettre, en association avec l’apprentissage du travail en groupe, l’intégration
des divers enseignements (managérial, scientifique et technique)
 De développer le sens de l’organisation du temps de travail et d’appliquer les
méthodes d’acquisition des connaissances en autonomie.
 De développer les techniques d’expressions et de communications.

Au cours du 4ème semestre, nous avons réalisé dans le cadre de notre cursus un projet en
relation avec le programme de l’examen du Diplômes de Technicien Supérieur. Le sujet de
notre thème est l’étude d’une porte automatique.

Ce projet est constitué de quatre grandes parties, à savoir :

- L’introduction
- La présentation du projet
- L’étude technique
- La conclusion
I. PRESENTATION DU SYSTEME
Dans le but d’assurer un accès aisé et conforme aux normes de sécurité des usagers des
espaces publiques très fréquentés, tels que les grands magasins, on équipe de plus en plus ces
espaces de portes à ouverture et fermeture automatiques. Ce sujet traite le système de
commande de ce type de portes automatisées.

1. Définition porte automatique


La porte coulissante automatique est un système automatisé facilite l’accès aux établissements
accueillant le public tout en apportant une sécurité.

La porte coulissante automatique se compose d’un ou plusieurs vantaux, un système de


motorisation permettant d’assurer l’ouverture et la fermeture du dispositif et un système de
contrôle (les détecteurs, les boutons…)
II. Description du système
Le support illustre le sous-système composé des éléments matérialisant les différentes
fonctions génériques de la chaîne fonctionnelle de la porte automatisée.

La figure ci-dessus montre la structure du support à étudier selon les solutions constructives
établies et adoptées par le concepteur de ce système.

III. Cahier de charge


Le cahier des charges de ce système fixe les paramètres caractérisant le fonctionnement et la
sécurité et par conséquent la structure du système. L’ouverture et la fermeture des deux volets
coulissants se font en deux vitesses pour satisfaire les contraintes liées aux besoins de
souplesse d’utilisation. Le mécanisme utilisé permet de convertir l’énergie électrique fournie
par le secteur en énergie mécanique. La fonction de conversion d’énergie se fait par
l’intermédiaire d’un groupe moto réducteur. Cette énergie mécanique est transmise par le
biais d’un ensemble poulie/courroie crantée afin d’éviter le glissement.

Ce système est commercialisé et est largement utilisé dans une large proportion des espaces
fréquentés par le public.

Travail demandé :

En exploitant les ressources fournies, on se propose d’étudier et de valider certaines solutions


constructives
IV. Étude fonctionnelle du système

1. Analyse fonctionnelle

La fonction d’usage est de commander l’ouveture ou la fermeture d’une portes automatiques


de manière securisée, sans l’intervention mécanique de l’utilasateur sur la porte coulissantes
automatiques

2. Analyse structurelle du système


Le concepteur du système a adopté les solutions constructives, telles que :

 La commande du système est réalisée autour d’un système à base de microcontrôleur


PIC16F84 ;
 Un bloc Clavier/Affichage (non étudié ici) permet de configurer et régler les
paramètres du système ;
 La détection de présence de personnes est effectuée par deux capteurs infrarouges ; un
capteur de chaque côté de la porte ;
 Le mouvement des volets est assuré grâce à un moteur à courant continu (Mcc)
associé à un réducteur mécanique : une courroie crantée portée par 2 poulies dont une
est solidaire a l’axe du moto réducteur, supporte les deux volets coulissants de la
porte ;

 La position de la porte est déterminée par un codeur optique monté sur l’axe du moto
réducteur ; ce qui permet au MCC de tourner à la vitesse Ω2 ou Ω1 ;

 En fonctionnement normal, le codeur optique est aussi utilisé pour détecter la fin de
l’ouverture ou la fermeture de la porte. En effet, quand la porte bute en position finale,
le moteur ‘’cale’’ et s’arrête de tourner. Le codeur ne fournit alors plus d’impulsions ;

 Etant complètement fermée ou ouverte, la porte commence l’ouverture ou la


fermeture,

Avec une vitesse Ω1 du moteur pendant les ¾ de la course, puis ralentit à une vitesse Ω2 (Ω2
< Ω1) pour terminer la course en douceur.

Le schéma suivant illustre les solutions constructives adoptées :


2.1 Bouton poussoir et voyant lumineux
Les boutons sont les éléments de dialogue entre l’opérateur et la partie commande. On trouve
plusieurs types de boutons (les boutons poussoirs, les boutons tournants…). Chaque type de
bouton consiste un contact peuvent être :

- Normalement Ouvert (NO) : le contact électrique est établi par une action sur le bouton.

- Normalement fermé (NF) : le contact électrique est établi sans action. Lorsqu’on fait une
action sur le bouton, le contact électrique devient ouvert.
On peut symboliser les types de boutons le plus couramment utilisé dans le tableau suivant :
 Voyant lumineux :

Les voyants lumineux sont omniprésents dans la partie dialogue d’un système. Ils comportent
une ampoule ou une LED servant à indiquer l’état du fonctionnement du système, on peut
utiliser ces voyants en respectant un code de couleur normalisé

.
2.2 Les capteurs
Un capteur est un organe de prélèvement et de codage d’information qui transforme une
grandeur physique en une grandeur exploitable, généralement électrique (signal électrique),
qui peut être interpréter par un dispositif de contrôle commande.

Les capteurs peuvent être classés selon :

a/ L’origine du signal de sortie :

La grandeur de sortie est donc un signal électrique qui pourrait varier de : - Manière binaire
(information vraie ou fausse), c'est le capteur Tout Ou Rien (TOR). - Façon progressive
(variation continue), c'est le capteur analogique. - Échelon de tension ou de courant, c'est le
capteur numérique.

b/ Le mode de détection:

On a deux types de capteurs :

- Capteurs par contact (les interrupteurs de position…).

- Capteurs sans contact (les détecteurs de proximité inductifs, capacitifs, photoélectriques…).


2.2.1 Capteur photoélectrique
Un capteur photoélectrique est un capteur de proximité. Il se compose d'un émetteur de
lumière associé à un récepteur. La détection d'un objet se fait par coupure ou variation d'un
faisceau lumineux. Le signal est amplifié pour être exploité par la partie commande.

Un détecteur photoélectrique réalise la détection d'une cible (objet ou personne) au moyen


d'un faisceau lumineux. Ses deux constituants de base sont un émetteur et un récepteur de
lumière.
2.2.2 Les différents types de détection
Il existe trois grands types de détection :

• la détection par barrage où l'objet à détecter coupe un faisceau lumineux situé


entre l'émetteur et le récepteur,
• la détection par réflex où un faisceau réfléchi est coupé par l'objet à détecter,
• le système proximité où le faisceau émis par le récepteur est renvoyé par la pièce
à détecter sur le récepteur situé sur le même capteur.

2.3 Les interrupteurs de position

Les interrupteurs de position ou les capteurs de fin de course sont des appareils actionnés par
contact direct avec les objets. Ils transforment ce contact physique en une fermeture ou une
ouverture d’un contact électrique (NO/NF).
3. ALIMENTATIONS ET COMMANDE

3.1. Moteur asynchrone


Un moteur est une machine électrique servant à transformer l’énergie électrique en une
énergie mécanique. Le moteur asynchrone est le moteur le plus utilisé dans l’ensemble des
applications industrielles, du fait de sa facilité de mise en œuvre, de bon rendement et
d’excellente fiabilité.
Le moteur qui nous avons utilisé dans notre projet ; c’est un moteur asynchrone a branche
étoile.

Au démarrage le moteur est en étoile. La tension appliquée sur une phase est réduite, soit :

L'intensité absorbée (proportionnelle à la tension appliquée) est le 1/3 de celle qu'absorberait


le moteur s'il démarrait directement. La valeur de la pointe de l'intensité atteint en général
deux fois l'intensité nominale.

Le couple au démarrage (proportionnel au carré de la tension appliquée) et le couple


maximum sont ramenés au 1/3 des valeurs obtenues au démarrage direct. La valeur du couple
de démarrage atteint en général 0,5 fois le couple nominal.

3.2. Automate programmable industriel


Un automate programmable industriel, ou API, est un dispositif électronique programmable
destiné à la commande des processus industriels par un traitement séquentiel.

Il envoie des ordres vers les prés actionneurs (partie opérative ou PO côté actionneur) à partir
de données d’entrées (capteurs) (partie commande ou PC côté capteur), de consignes et d’un
programme informatique.

3.2.1. Structure des API


Un API constitué essentiellement :

 D’une unité centrale.


C’est le cœur de la machine, comporte le(s) processeur(s) (unité de traitement logique ou
numérique et la mémoire(s).

 D'un module d’entrée (ou interface d’entrées).

Il permette de raccorder à l’automate les différents capteurs.

 D'un module de sortie (ou interface de sortie).

Il permette de raccorder à l’automate les différents pré-actionneurs.

 D'un coupleur.

Ce sont des cartes électroniques qui assurent la communication entre les périphériques

(Modules d’E/S ou autres) et l’unité centrale.

En général, les échanges entre l’UC et les modules d’E/S s’effectuent par l’intermédiaire d’un
bus interne.

 D’une console de programmation ou autre périphérique.

Il existe deux types de consoles :

Console d’exploitation : permet le paramétrage et les relevés d’informations

(Modification des valeurs et visualisation). Console de programmation, réglage et


exploitation. Cette dernière effectue dans la phase de programmation:

 l’écriture.
 la modification.
 l’effacement.
 le transfert d’un programme dans la mémoire de l’automate ou dans une
mémoire REPROM.

3.2.2. Le choix d’un API


Le choix de l’automate va se faire suivant des critères qui peuvent être différents suivant les
personnes, les projets et les pays. Dans ce qui suit quelques critères à prendre en
Considération.
a/ Le critère de familiarité :

On est plus familier à une certaine marque d'automate, on a donc tendance à choisir un
automate car on le maitrise déjà.

b/ La renommée :

Certaines marques d’automates sont plus connues que d’autres ce qui témoigne de leur qualité
de service.

c/ Le prix :

Pour un petit projet d’automatisation, il est préférable de choisir des micros ou mini
automates, ce qui nous évitera des dépenses exagérées.

d/ Cahier de charge :

Le choix définitif dépendra de ce cahier de charge et des spécificités techniques du projet.


Donc il faut quantifier les besoins en nombres entrées / sorties, type de processeur (la taille de
mémoire, la vitesse de traitement…), fonctions ou modules spéciaux, fonctions de
communication avec autre automate, supervision…
Conclusion

Nous voici au terme de notre étude qui c’est pratiquement étendu tout le long de l’année
scolaire et qui nous a permis d’acquérir diverses connaissances sur les systèmes automatisé.

Ce travail d’étude s’inscrit dans le cadre de l’automatisation et supervision d’une porte


coulissante, c’était donc dans les soucis de nous voir consolider et faire le bilan de nos acquis
que nous avons menés cette étude autour de la PORTE AUTOMATIQUE.

Enfin, nous espérons que notre travail sera une meilleure solution à la problématique posée et
servira comme une base de départ pour notre vie professionnelle et être bénéfique aux
promotions futures.

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