Vous êtes sur la page 1sur 3

1:

Tout à fait le nombre de préssiomètres pourrait être plus élevé. Malheureusement nous
avons des contraintes budgétaires pour la campagne de reconnaissance qui sont connues
par tous et ont été déjà discutées. En plus, il convient d’économiser pour le Tronçon-1,
qui est beaucoup plus complexe et aura beaucoup plus besoin de travaux, avec un très
fort risque de dépassement budgétaire.
La réalisation des préssiomètres est proposée fondamentalement dans les tunnels et OA.
Le nombre donné (17) est pareille à celui de l’offre (18) qui avait été révisée et
acceptée. Pour mieux compléter la reconnaissance du tunnel et des autres structures, on
peut ajouter deux (2) préssiomètres et laisser 19 comme nombre prévu pour ce tronçon.

2:
Du point de vue géotechnique, pour les OA, il serait recommandable réaliser des
sondages tant dans les coulées que dans les appuis. De nouveau, dû aux limitations
budgétaires du projet, la campagne de sondages a été réduite.
Le critère de proposition des travaux vous a été transmis à plusieurs reprises. Pour
chaque ouvrage, au minimum, on a proposé 1 sondage + 1 puits + 1 pénétromètre D.

3:
Internationalement on travaille d’habitude avec le préssiomètre de type OYO (japonais),
qui peut être employé tant dans des roches que dans des sols. Le nombre d'essais
indiqué comprend ces deux options (préssiomètre et dilatomètre), raison pour laquelle
on utilise seulement le mot « préssiomètre ».

4:
D’abord, il ne s’agit pas d’une tranchée couverte, sinon d’un tunnel (il y a 75 m de
couverture environ).
Nous considérons cette longueur suffisante, puisque du point de vue géotechnique il est
indispensable l’étude des bouches du tunnel. L’analyse de la couverture ne peut pas se
faire avec sismique de réfraction parce que la profondeur qu’elle atteinte n’est pas
suffisante. Pour reconnaître cette zone on a donc situé un sondage.
5:
Pour toute la campagne géotechnique, la disposition des investigations géophysiques
répond au besoin de reconnaître les zones avec un certain degré de problématique
pouvant affecter aux conditions et décisions constructives postérieures. Par exemple :
bouches de tunnels, zones possibles de failles, zones de dissolution (dolines), etc.
Par conséquent il est inviable de reconnaître la totalité d’un déblai au moyen de la
géophysique, premièrement parce que des autres travaux de reconnaissance ont été déjà
proposés, deuxième parce que ce qui intéresse d’étudier principalement d’un déblai
c’est son stabilité et sa possible réutilisation, et non s’il s’agit d’un matériau rippble ou
excavable avec des explosifs, caractéristiques qui peuvent être estimées avec les
sondages et puits proposés. En plus, ceci permet d’économiser pour des autres travaux
plus importants et nécessaires dans le reste du projet.

6:
La campagne d’essais de labo est accorde avec le quantitatif des travaux in situ
proposés.
Finalement, nous soulignons que toutes les campagnes en cours de définition pour les
différents tronçons de ce projet pourraient être considérées comme « virtuelles » pour
les raisons suivantes :

1. Le tracé n’est pas définitif (même pour le Tronçon-3 des zones restent à

confirmer et des corrections à réviser).

2. Par conséquent l’implantation des OA n’est pas fixe.

3. Malgré des propositions, les campagnes de reconnaissance géotechnique

varient toujours au fur et à mesure de sont réalisation en fonction des

matériaux retrouvés et des résultats de labo obtenus dans les essais sur ces

matériaux.

4. Il n’y a pas un budget fermé (et si un consensus général de « contrôler » les

travaux proposés pour n’est pas trop dépasser le coût disponible), par
conséquent, exiger à ce stade une exactitude totale dans la définition du

nombre de travaux, sa situation (PK) et profondeur n’est pas réaliste.

Vous aimerez peut-être aussi