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En filigrane de la question posée qui est d'expliquer le développement économique dans toutes ses

extensions, nous allons essayer de faire ce qui a été demandé,

D'entrée de jeu le développement économique est l'état d'un pays à un moment donné, c'est en rapport
avec l'évolution de l'économie nationale d'un État, il marque le point où le développement s'est
effectué. suivant la définition étudié dans l'auditoire nous avons une lumière quant à la suite de notre
travail.

En effet le développement économique peut se faire remarquer dans un certain


domaine des projets de lignes à grande vitesse existent dans des nombreux pays. J'aimerais aussi établir
une vérification de la relation de causalité entre le développement économique et la croissance
économique en République Démocratique du Congo (RDC) en utilisant des données de 2004 à 2019.
L'analyse dynamique de la causalité de Granger est utilisée pour analyser les variables. Les résultats
indiquent qu'il existe une relation robuste et unidirectionnelle allant de la croissance économique au
développement économique. Ce résultat confirme l'hypothèse de Demande following, selon laquelle, la
croissance économique entraine le développement économique. Par conséquent, des politiques visant à
promouvoir la croissance économique, tels que l'accumulation du capital humain, la stabilisation
macroéconomique, la réhabilitation des infrastructures clés, les reformes structurelles et la création
d'un bon environnement économique pour le secteur privé et réglementaire, sont cruciales pour
améliorer le développement financier en RDC.

Prenons le développement rural l'objectif de cette contribution est d'essayer de nous aider à toucher
différent domaine du développement économique au du sujet de notre travail regard d'où les questions
liées au développement rural dans l’espace congolais (RDC). Le développement rural est une thématique
vaste qui ne se réduit pas aux questions agricoles, même si celles-ci y occupent évidemment une place
centrale. Cette thématique exige une approche interdisciplinaire où s’ articulent au moins les
dimensions économiques, sociales et institutionnelles, mais où ne peuvent être négligés les aspects
géographiques, démographiques, voire anthropologiques et culturels. L’aspect interdisciplinaire a reçu
une attention plus évidente avec l’intérêt affirmé dans les années récentes pour la recherche d’un
développement rural dit durable. Cet intérêt donne une actualité à une approche historique du
développement rural qui ne soit pas réduite à une histoire de la modernisation agricole plus ou moins
réussie selon les pays. On peut rappeler ici très brièvement que ce paradigme de la modernisation a été
et reste au cœur des théories et politiques du développement depuis près de trois quarts de siècle. Dans
cette vision très normative, l’arriération de l’agriculture et du monde paysan sont la cause profonde du
sous-développement des pays du Sud. L’industrialisation et l’urbanisation rapides sont les vecteurs du
progrès, et le rôle de l’agriculture est de fournir les ressources matérielles et humaines qui doivent être
mobilisées pour soutenir la transition vers une économie et une société modernes.
Dans le cas de l’Afrique et particulièrement du Congo (RDC) la réduction de l’histoire du développement
rural aux étapes de cette transition aboutit généralement à un constat très pessimiste mettant en
évidence l’échec ou au moins l’insuffisance du rythme de cette transition.

L'importance des entreprises dans le développement économique d'un État : D’une façon juridique,
l’entreprise ne fait pas l’objet d’une définition unique. C’est une notion mouvante dont la nature varie
en fonction de la branche du droit dans laquelle elle est considérée. Une entreprise est une unité
économique, juridiquement autonome, organisée pour produire des biens ou des services pour le
marché. Le mot Entreprise désigne à la fois une organisation et un contrat. Pour le premier cas, il s’ agit
d’une structure publique ou privée sous laquelle s’ exerce une activité économique en utilisant un
personnel, des locaux et des équipements appropriés. Cette dénomination n’est pas attachée à
l’importance de la structure économique concernée puisque les activités artisanales se réalisent aussi
dans le cadre d’une entreprise. Pour le second cas, il s’ agit du nom d’un contrat dit contrat d’entreprise
dénommé par le Code civil louage d’ouvrage ou d’industrie. Il se distingue du contrat de travail en ce
que l’entrepreneur qui a le statut de commerçant puisse, agir d’une manière totalement indépendante.
Le régime du contrat d’entreprise peut s’ appliquer:-à la construction et à la réparation même s’ il s’ agit
d’objets mobiliers (par exemple les garagistes).

Prenons l'exemple des infrastructures en RDC, Les acteurs économiques des territoires
desservis ou qui le seront, ont eu ou ont de multiples attentes concernant cette desserte qui modifie
l'accessibilité de leurs territoires : dynamisme économique, arrivée de nouvelles entreprises et
populations, développement du tourisme, ou de projets immobiliers résidentiels, des bureaux etc. La
permanence de ces attentes, alors que le mythe des effets structurants des infrastructures de transport
a depuis longtemps été remis en question dans la littérature académique, est à l'origine de notre
questionnement. L'objectif de cette communication est de présenter une revue de la littérature
académique mais également non académique relative aux effets de la grande vitesse ferroviaire sur le
développement local afin d'identifier les raisons de cette déconnexion entre les travaux académiques et
les discours politiques.

Les moyens de circulation presentent, de nos jours, une efficacité et une variété jusqu'alors inconnues,
personne ne l'ignore, ni le conteste. Encore moins met-on en doute l'impulsion puissante et durable
donnée à la vie economique par l'intensification de tous les phénomènes de relation qui en forment la
trame.

Cependant la victoire acquise sur l'obstacle de la distance n'a pas été accompagnée d'une sensible
atténuation de la dépendance des transports à l'egard de la localisation des voies de communication.
L'espace géographique offrant, selon les lieux, de très inégales facilités de deplacement, les courants de
circulation ont toujours eu tendance a se concentrer dans les zones de parcours facile. La dependance
des mouvements humains a leur égard parait être, à l'origine, de nature geographique, s' inscrivant dans
la grande dependance de l'homme a l'egard de son milieu. À l'encontre de l'evolution constatée dans
d'autres domaines, le progres des techniques de transport n'a pas atténué cette dependance. La fidélité
à l'itineraire justifiée par les lois du moindre effort et du moindre cout s' est trouvée progressivement
renforcée par les servitudes d'infrastructure

En conclusion nous avons essayé d'expliquer le développement économique dans ses


extensions et en illustrant celà par des exemples, nous faisons l’hypothèse que les innovations sont non
seulement centrales dans le nouveau paradigme sociétal en émergence mais aussi parties prenantes des
grandes transformations en cours . Autrement dit, les innovations seraient devenues une des principales
voies à partir desquelles l'État, les sociétés et leur économie se refont, ce qui n’est pas sans entraîner
des «destructions créatrices» selon l’expression de Schumpeter. Sans doute, la primauté accordée aux
innovations technologiques et économiques tend à infirmer cette hypothèse, notamment en occultant
l’importance des innovations institutionnelles et des politiques publiques en la matière.

Pour donner un aperçu des rapports entre les innovations et les transformations sociales, il est
nécessaire de prendre en considération au moins deux champs de recherche, celui du développement
économique et celui du développement social, où la notion d’innovation est devenue incontournable,
principalement à partir des années 1980 (Osborne, 1994; Kline et Rosenberg, 1986). Dans ces deux
champs de recherche, d'après lecture nous constatons qud les chercheurs ont souvent mené leur
recherche en partenariat avec les milieux concernés de sorte que la théorisation des innovations résulte
souvent d’une co-construction de la part des chercheurs, des intervenants et des pouvoirs publics
(Mytelka et Smith, 2003). Cette hypothèse nous invite à accorder une place plus importante aux
innovations sociales (innovations organisationnelles et innovations institutionnelles) que celle accordée
par la littérature. Enfin, le fait que le terme innovation, soit «l’un des mots les plus utilisés» et qu’il soit
devenu «porteur d’un regard positif»(Cros, 2002: 213) correspondrait non seulement à la transition d’un
modèle de développement (en crise) à un autre en émergence mais aussi à l’une des spécificités de ce
nouveau modèle. Autrement dit, la référence quasi constante aux innovations ne relèverait pas d’une
simple mode (transition) mais d’un modèle dont l’une des caractéristiques marquantes serait de faire
appel de manière relativement constante et continue à l’innovation dans le développement économique
comme dans le développement social.

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