ETUDES CLASSIQUES ; SPECULATIVES BONNE EDUCATION SELON DESCARTES

 Expérience extérieure « sujétion de  Propre expérience

mes précepteurs » (langues, histoires
des Grands Hommes, les différentes  Propre jugement
fables).
 Rencontre divers type de personnes afin de
 Comprendre les livres, former le
jugement, éveiller l’esprit. faire recourt à diverses pratiques
 Précepteurs et connaissances concrètes.

AUCUNE CERTITUDE, SENTIMENT

D’EVIDENCE

Dans le texte 1, issu du « Discours de la Méthode », Descartes décrit son parcours

éducatif et s’étonne devant le fait que malgré une éducation très poussé (Collège Jésus La
Flèche), il n’a pas été directement capable de juger avec justesse, ni dans sa vie pratique ni
dans les sciences. En effet, Descartes remet en question un certain types de connaissances
qui bien qu’elles soient très fines, ont étaient reçues sans véritable compréhension de sorte
qu’elle demeure à l’état de Croyance et non de savoir-véritable.
Paradoxalement il ne semble pas plus émancipateur, d’apprendre par cœur que de
croire des histoires que l’on nous raconte. Dès lors, quelles est la meilleure éducation ?

 Descartes voyage pour en faire son propre jugement.

 Descartes cherche à s’éprouver lui-même pour chercher la science en lui (ligne 21).
 Rencontrer des gens qui ont eux-mêmes toutes pratiques concrètes ; La pratique (ce
qui est de l’ordre de l’action) s’oppose à la théorie (ce qui est contempler, n’agit
pas).

Dans les 3 cas, il s’agit pour Descartes, d’acquérir les seules connaissances, qu’il considère
justes, celle qui rendent capable d’entendre raison par notre lumière naturelle
(=intelligence) c-à-d nous permettant de juger à travers notre seule, bon sens.

TEXTE 4 : DISCOURS DE LA METHODE, PREMIERE PARTIE :

Certes pour s’éduquer chacun doit se fier à son sens, mot que Descartes utilise dans
le4ème texte pour designer la raison et insister sur son universalité. Mais il semblerai, qu’être
censé ne soit tout de même pas suffisant : encore faut-il bien appliquer son esprit, c-à-d se
doter d’une méthode adéquate à la finalité que l’on se propose. Une Méthode cartésien a
été utiliser par un explorateur américain s’appelant RICHARD BYRDS.
Descartes préconise la seule méthode qui soit immédiatement évidente c-à-d l’ordre
mathématique, on peut prendre l’exemple de RICHARD BYRDS qui se sauve alors qu’il était
perdu en Antarctique grâce à un quadrillage de l’espace.

Descartes retient les mots, que les capacités naturelles d’un Homme, qu’elles soient
physiques ou morales, importe peu sur la capacité à bien juger c-à-d a faire la distinction
entre ce qui est vrai et ce qui est faux à raisonner avec sciences et non pas en restant dans
l’opinion. En effet, il suffit d’utiliser une méthode efficace quelque soit nos capacités, car
tous les Hommes en sont capables et se distinguent ainsi des animaux.
Pour fonder sa méthode mathématique, il va resonner de manière mathématiques
pour se demander sur quelle vérité première se fondait, afin d’être certain de tous les
jugements que l’ont portera par la suite. En utilisant le doute comme méthode, il découvre
le cogito (= je pense donc je suis). Cela permet à Descartes de découvrir la règle d’évidence :
« les choses que nous concevons fort clairement et fort distinctement, sont toutes vraies »
. Ex : Descartes a cru être blessé pendant le combat alors que c’est de l’eau chaude
qui coulait le long de son corps, c’était une sensation claire mais non distinctes.

TEXTE 5 ET 8: DISCOURS DE LA METHODE, DEUXIEME PARTIE :

Dans le texte 5, Descartes énonce les règles de sa méthode. Dans le texte 8 par
ailleurs, issu des règles pour la direction de l’esprit, annonce qu’en plus de cela, il faut faire
un effort de mémoire, pour se rappeler des raisonnements qui ont étaient fait, que
Descartes appel des chaînes de raisons. Seulement il peut arriver que des émotions fortes,
nous empêche de procéder de façon tout à fait rationnelle. Dans ce cas, Descartes préconise
de s’auto-conditionner, (= transformer ces habitudes pour être capable de rationalité).

TEXTE 6 : PASSIONS DE L’AME A.50 :

Dans le texte 6, Descartes soutient que s’il est possible de dresser un animal, il est a
plus fortes raisons possible, de se dresser soi-même , même si l’on ai pas particulièrement
fort.
Pour finir on peut se poser la question de l’éducation morale, c-à-d la capacité à être
vertueux et à vivre en société. La encore pour Descartes, la condition a toute vertu et la
connaissance de soi, comme être libre, la capacité à agir avec méthode, quelque soit les
émotions qui nous traversent, y compris les plus violente, comme la jalousie. C’est ce que
Descartes appel, la générosité qui suppose :
 Que l’on s’estime soi-même, comme être libre.
 C’est la seul chose qui nous donne de la valeur.
 Qu’il faut savoir pardonner ces erreurs pour recommencer.

Pour Descartes, l’éducation est une éducations que l’on peut faire soi-même à l’aide de
la raison, et par notre liberté, IL s’agit de se détacher de ce que nos précepteurs et nous
nourrissent, nous ont appris enfant. Dès lors, que l’on a atteint l’âge de raison.