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ROANGAR BEN MORGAN

ESSANTIEL BIO
L’ESSENTIEL DU BIO EN TERMINALE SCIENTIFIQUE (Terminale D)

INTRODUCTION
Etude de la cellule

Cellule : elle a une définition unique dans toute sa forme. C’est l’unité fondamentale et
structurale de tous les êtres vivants (animale, végétale et bactérien).

Ce fut un fruit du travail de ROBERT HOOK qui en 1665 proposa ce nom pour designer des
logettes toute identiques qu’il avait observé au 1er microscope.
Bon à savoir sur la cellule :
 Les cellules sont les constituants des êtres vivants ;
 Les animaux et les végétaux sont formés des cellules ;
 Les cellules contiennent l’information héréditaire qui contrôle leur activités ;
 La cellule est une unité fonctionnelle de la vie (toutes les réactions chimiques de
l’organisme ont lieu dans la cellule) ;
 Lorsque les conditions sont favorables, la cellule est capable de se développer in vitro
(hors d’un organisme vivant, dans un tube à essai) ;
 Toute cellule vient exclusivement d’une cellule préexistante.
 La cellule effectue des échanges permanents avec les cellules qui lui sont voisine, mais
aussi avec le milieu ambiant
 La cellule passe d’une forme à une autre par le phénomène d’osmose

Compte tenu de l’existence de deux règnes qui gouvernent le monde vivant à savoir le règne
animal et le règne végétal, des études ont relevé que ces deux organismes sont constitués
chacun par un type de cellule bien spécifique dont la cellule animale pour les animaux et cellule
végétale pour les végétaux. L’anatomie de ces deux cellules nous donne des divergences sur la
structure géométrique, leurs compositions et leurs fonctionnalités.
1-Schéma de la cellule animale et de la cellule végétale
2-Tableau comparatif des deux cellules

Organelles spécifiques Organelles communes aux deux cellules Organelles spécifiques à


à la cellule animale la cellule végétale
Centriole Appareil de golgi, Mitochondrie, Paroi cellulaire
Vacuole (petite) Réticulum Chloroplaste
Endoplasmique, Noyau, Cytoplasme, Vacuole (grande)
Ribosome, Lysosome, Membrane
plasmique, Cytosquelette, Nucléole.
Forme géométrique Forme sphérique

Dans les différentes cellules qui constituent les organismes (animal comme végétal), ils existent
des cellules qui sont dépourvu d’un noyau et d’autres pourvus d’un noyau propre ; on parle
respectivement d’une cellule procaryote et d’une cellule eucaryote.
*Eucaryote vient du grec eu qui signifie ‘’propre’’ et caryo qui signifie ‘’noyau’’

Organelle ou organite : Microstructure intracellulaire présentant une architecture et de fonction


métabolique propre.
Tableau comparatif des deux cellules, procaryote et eucaryote

Cellule eucaryote Aspect Cellule procaryote


Plus grande (+10µm) Taille Petite (-10µm)
Organismes unicellulaires Mode de vie Organisme unicellulaires
et pluricellulaires
Asexuée et sexuée Reproduction Asexuée
Noyau cellulaire,
Mitochondrie,
Oui Vacuole, Non
Chloroplaste,
Cytosquelette
Quelques organites de la cellule et leur fonction :

 Appareil de Golgi : il modifie, concentre et emballe les protéines et les lipides qu’il reçoit
du REG et les achemine vers les différentes destinations à l’intérieur ou à l’extérieur de la
cellule.
 Chloroplastes : ce sont les sièges de la photosynthèse
 Cytoplasme : Le cytoplasme est l’espace délimité par la membrane cytoplasmique et la
membrane nucléaire.
 Membrane cytoplasmique : Elle est formée de deux couches(ou feuillets) sombres de
nature lipidique chacune séparées par une couche(ou feuillet) claire de nature protéique.
 Mitochondrie : La mitochondrie est le central énergétique de la cellule ou le siège de la
respiration cellulaire qui se traduit par l’absorption du dioxygène(O2) et le rejet du
dioxyde de carbone(CO2) dégageant l’énergie sous forme d’ATP (Adénine Triphosphate)
 Noyau : responsable de toutes les réactions de synthèses cellulaires ; Support de
l’information génétique. Siège de la reproduction du matériel héréditaire. Aucune cellule
ne peut vivre sans noyau.
 Réticulum : C’est le lieu de stockage et de transport des protéines synthétisées par les
ribosomes associés à la membrane vers l’appareil de Golgi.
 Vacuole : C’est le lieu de stockage de l’eau de la cellule et également de certaines
substances. Elles assurent aussi la régulation de la pression osmotique
PREMIERE PARTIE
L’INFORMATION GENETIQUE

En abrégée IG, l’information génétique est un message écrit à l’aide de quatre (4) lettres. Chaque
lettre est un nucléotide* identifiable par la base azoté* qui est associée.

Elle est responsable de la transmission des caractères d’un individu à un autre.

L’étude de l’information génétique se focalise sur son support, sa transmission et son


expression.
I. LE SUPPORT DE L’IG
Le noyau est le siège de l’IG. Mais elle a pour support l’Acide Désoxyribonucléique (ADN).

L’ADN

C’est une molécule qui est libre dans le cytoplasme des cellules procaryotes (cellules
dépourvues d’un noyau propre) et enfermé dans le noyau des cellules eucaryotes (cellules
pourvues d’un noyau propre). Il est un assemblage de deux brins (appelés chaines ou encore
hélices) complémentaires.

Il est formé d’une base azotée, d’un sucre (le désoxyribose) et d’un acide phosphorique.

Les bases azotées sont : l’adénine, la guanine, la cytosine et la thymine, qui sont-elles également
reparties en 2 groupes :
 Les bases puriques qui comportent l’Adénine(A) et la Guanine(G)
 Les bases pyrimidiques qui comportent la Cytosine(C) et la Thymine(T)
Dans la structure de l’ADN, les bases azotées(BA) sont liées entre elles par des liaisons
peptidiques de manière suivante :

G C T A
L’association d’une BA, d’un sucre et d’un acide phosphorique est appelée nucléotide
(BA+D+P)
Un nucléotide est une unité structurale d’une molécule d’ADN.

Structure d’un nucléotide BA D P


Pour une association manquée de l’acide phosphorique, on parle d’un nucléoside ou d’un
nucléotide déphosphorée

Structure d’un nucléoside BA D


NB : C’est le message porté par l’ADN qui est traduit sous forme de caractère à un individu, un
clone ou une espèce.

Nous observons généralement des ressemblances entre les parents et leurs descendants. On dit
que les parents transmettent un certain nombre de caractères à leurs descendants. Ces derniers
peuvent même présenter les caractères de leurs grands-parents, qui n’apparaissent pas chez les
parents. Ce phénomène animaux et les végétaux, de même que chez les bactéries et les virus.
II. LA TRANSMISSION DE L’IG
Le mécanisme de la transmission de l’information génétique est la mitose.

La mitose est un processus de division cellulaire au cours duquel se forment deux (2) cellules
filles identiques à la cellule mère. Elle est un phénomène original qui assure la transmission
intégrale de l’information génétique de la cellule mère aux cellules filles.

La mitose se déroule en quatre (4) phases ou étapes : la prophase, la métaphase, l’anaphase et la


télophase.

Au cours du déroulement de la mitose, les différentes phases sont marquées par la


transformation et la division d’un matériel appelé chromatine ; par transformation, celle-ci
devient chromosome.

Chromatine : Matière chimiquement assimilable à l'ADN, et qui, dans le noyau des cellules, fixe
les colorants
Chromosome : constitué de deux bras (appelés chromatides*) croisés et reliés par un centromère*
en forme d’un signe de multiplication, c’est l’élément essentiel qui renferme l’IG. Les
chromosomes ont des nombres et formes très variés, ils sont représentés par le caryotype.
Chromatides : ce sont les brins des chromosomes
Centromère : Constriction localisée du chromosome, et qui fixe celui-ci aux fibres du fuseau*
achromatique, lors de l'anaphase.

Caryotype : c’est la représentation du nombre et forme des chromosomes d’une cellule. Il varie
d’une espèce à une autre. Pour l’espèce humaine, le caryotype est : 2n=46 avec n=23 (n est le
nombre de pair de chromosome). Parmi les 23 paires de chromosomes qui existent dans l’espèce
humaine, 22 sont autosomes (ne jouant aucun rôle dans la détermination du sexe), seulement
un seul pair (23e paire) est dite gonosome (qui est responsable de la détermination du sexe d’un
individu). Cette 23e paire est différente dans les deux sexes (homme et femme) de l’espèce
humaine ; elle est représentée par XY chez l’homme et XX chez la femme.

Exemple de quelques caryotypes

Espèces Nombre de chromosomes Espèces Nombre de chromosomes


Homme 46 Souris 40
Baleine 44 Grenouille 26
Chien 78 Haricot 22
Cheval 64 Pomme de terre 48
Blé 42
Le cycle cellulaire
C’est un évènement au cours duquel les cellules se croisent et se divisent ; il est aussi un
ensemble des évènements correspondants à une interphase suivie d’une mitose.
Pendant l’interphase, se produit la duplication du matériel génétique et les organites
cellulaires. Elle comporte trois phases :
 Phase G1 ou phase de croissance ;
 Phase S ou phase de synthèse ;
 Phase G2 ou 2nde phase de croissance.
Pendant la mitose, il y’a séparation du matériel en deux parties égales entre les 2 cellules filles.
NB : A l’interphase, l’ADN se produit en une quantité suffisante par la réplication (une mode de
reproduction qui se fait par conservation d’une copie du matériel. Seul l’ADN qui a l’habilité de
se répliquer. Cette réplication se fait par intervention des enzymes telles que : ligase, hélicase,
ADN-polymérase.
III. L’EXPRESSION DE L’IG

L’expression de l’IG est par définition l’interprétation du message biologique héréditaire codé par
l’ADN sous forme de nucléotide en macromolécule fonctionnelles (protéines). Elle se déroule en 2
étapes : la transcription et la traduction.

La transcription :
C’est le mécanisme de synthèse de brin de l’ARN à partir d’une portion d’ADN appelée gène.
En outre, c’est le passage ou la copie de l’IG codée sous forme de Désoxyribonucléotides dans
l’ADN en un autre message lui aussi codé sous forme de ribonucléotides dans les ARN. Ce
mécanisme a lieu de l’intérieur du noyau vers l’extérieur donc dans le cytoplasme. Ce qui
signifie que la synthèse de L’ARN s’aboutie dans le cytoplasme.

La transcription n’est pas un processus continu, elle se déroule qu’en cas de nécessité pour
l’organisme ou la cellule. Elle comporte 3 étapes tout au long de son déroulement : l’initiation,
l’élongation et la terminaison

ARN= Acide Ribonucléique

C’est une molécule localisée dans le cytoplasme des cellules car le message est transporté du
noyau vers le cytoplasme pour être lu en ARN.

A la fin de la transcription, il y’a la formation de 3 types d’ARN à savoir : ARNt, ARNm et


ARNr. Les indices t, m et r signifient respectivement transfert, message et ribosome. On entend par
là ARN de transferts, ARN messagers et ARN ribosomales.

Tableau comparatif entre l’ADN et l’ARN

Molécule
ADN ARN
Eléments
Localisation Noyau Cytoplasme
Structure Bi caténaire (deux brins) Monocaténaire (un seul brin)
Base azotée AGCT AGCU
Sucre Désoxyribose C5H10O4 Ribose C5H10O5
Rôle Support de l’information génétique Synthèse des protéines
Durée Permanente Temporaire
Taille Très longue Très coute

La traduction
Elle est l’interprétation ou la lecture du message contenu dans l’ARNm sous forme de
ribonucléotide en macromolécule, la protéine. Elle comporte comme la transcription 3 étapes :
l’initiation, l’élongation et la terminaison.

Elle est assurée par l’intermédiaire du ribosome, composé de 2 sous unités : petite sous unité
(PSU) et grande sous unité (GSU) qui assurent à leur tour l’assemblage des acides -aminés aux
triplets des nucléotides pour être lu en protéines. Ces derniers sont utilisés par l’organisme
directement selon les besoins spécifiques.

Un triplé des nucléotides est appelés codon. La correspondance entre les triplets des nucléotides
-aminés des protéines est appelée code génétique.
Le code génétique respecte six principales propriétés pour sa mise en étude :

1. Il est universel (son universalité)


2. Il est redondant (sa redondance)
3. Il est non-chevauchant (son non-chevauchement)
4. Il est non-ponctuel (sa non-ponctualité)
5. Il a un caractère univoque
6. Sa lecture est polarisée

NB : La transcription conduit à l’ARN et la traduction conduit aux protéines.

IV. LES MUTATIONS ET SES CONSEQUENCES


Les mutations sont des modifications brusques survenant au niveau du matériel génétique et se
traduisant le plus souvent par l’apparition d’un phénotype nouveau.
On a deux types de mutations qui sont :
 Mutation génique ou ponctuelle
 Mutation chromosomique
1-Mutation génique ou ponctuelle
Elle affecte seulement une portion d’un gène d’où l’appellation de mutation ponctuelle.

Les différents types des mutations géniques sont suivants :

 Substitution, elle conduit à :


 Une mutation silencieuse
 Une mutation faux-sens
 Une mutation non-sens
 Addition, elle conduit à une mutation décalent
 Délétion
 Inversion

2-Mutations chromosomiques
Elles ont lieu sur des chromosomes entiers. On note également quatre (4) types de mutations
chromosomiques qui sont :
 Substitution ;
 Addition ;
 Délétion ;
 Inversion.

Elles ont pour conséquence l’ajout ou le retrait d’un chromosome sur le caryotype de l’espèce.

Dans l’espèce humaine, l’ajout ou le retrait d’un chromosome est à l’origine d’une anomalie
appelée aneuploïdie, sa garniture chromosomique est : 2n ± X chromosomes.

La trisomie 21 est la conséquence d’un gain de chromosome sur la 21e paire (2n + 1
chromosomes).

La mosomie générée par la perte d’un chromosome (2n - 1 chromosomes).

Le gain ou perte d’un chromosome sexuel c’est-à-dire gonosome entraine respectivement le


Syndrome de Turner ou de Syndrome de Klinefelter.
V. BRASSAGE DE L’INFORMATION GENETIQUE

Définition : le B.IG est un processus par lequel les chromosomes des deux (2) gamètes (mâle et
femelle) sont réunis pour donner un phénotype nouveau. Il est assuré par deux phénomènes
majeurs : la méiose et la fécondation. Ils existent deux types de brassages qui sont : Brassage
intra-chromosomique et le Brassage inter-chromosomique.

 La méiose
C’est un ensemble de 2 divisions cellulaires qui, à partir d’une cellule diploïde (2n chromosomes)
donne naissance à 4 cellules haploïdes (n chromosomes). Les 2 disions sont : Méiose 1 (ou méiose
réductionnelle) et Méiose 2 (ou méiose équationnelle ou encore mitose homotypique). Les deux
divisions sont marquées chacune par 4 phases qui sont :

 En méiose 1, on a : Prophase 1, Métaphase 1, Anaphase 1 et Télophase 1.


 En méiose 2, on a : Prophase 2, Métaphase 2, Anaphase 2 et Télophase 2.

La méiose, qu’elle soit réductionnelle ou équationnelle, elle est marquée par l’évolution de la
quantité d’ADN par rapport à un temps donné.

L’évolution de la quantité d’ADN au cours de la méiose :

 an I, an II= anaphase 1 2
 U.A= unité arbitraire

 La fécondation
Elle a pour définition l’union de 2 gamètes : l’un mâle, le spermatozoïde et l’autre femelle, l’ovule
aboutissant à la formation d’une cellule œuf. Elle se déroule en 2 grandes étapes :

 La pénétration d’un spermatozoïde et le réveil physiologique de l’ovule ;


A cette étape, des nombreux spermatozoïdes arrivent niveau de la cavité ovocytaire qui est
constituée des cellules folliculaires, mais seulement un seul parviendra à pénétrer. Le contact
entre le spermatozoïde et l’ovule est la monospermie.

A la monospermie, le spermatozoïde libère ses substances dans le cytoplasme de l’ovocyte, ce


qui provoque le réveil physiologique.

 La fusion des 2 noyaux des gamètes


La fusion des 2 noyaux est la caryogamie. La cellule obtenue après la caryogamie a un stock
chromosomique double.

Les conséquences de la fécondation :

o La caryogamie
o L’activation du gamète
o La détermination chromosomique du sexe.
LA REPRODUCTION
Se reproduire, c’est se multiplier. Chez les êtres vivants en général, ils existent deux types de
reproduction : la reproduction asexuée et la reproduction sexuée. L’on rencontre chez les végétaux
tout comme chez les animaux des êtres capables de se reproduire asexuellement que
sexuellement.

CHEZ LES MAMMIFERS (HUMAINE)


Chez les humains, la reproduction utilisée est la reproduction sexuée. L’usage du sexe dans la
reproduction humaine est incontournable et donc obligatoire. Tout même, les progrès
scientifique (on parle de la révolution scientifique) ont relevés une méthode de reproduction ne
faisant pas usage direct du sexe. Elle consiste à prélever le matériel reproductif mal chez
l’homme et le matériel reproductif femelle chez la femme et ensuite les assemblés dans un tube
avec toutes les conditions réunies. C’est la reproduction in-vitro. L’inverse est la reproduction
in-vivo, elle se fait dans l’enceinte la femelle.

 Les appareils génitaux


L’étude de la reproduction débute nécessairement sur l’étude des appareils génitaux des 2 sexes
à savoir l’appareil génital mâle et femelle.
Schéma de l’appareil génital masculin (gauche) et appareil génital féminin (droite)

Dans les 2 appareils, ils existent des organes qui ont des fonctions similaires.
Les gonades qui sont dans l’AGF et également dans l’AGM, ces gonades assurent un double
fonction, endocrine et exocrine. Ils sont considérés des glandes mixtes.
Chez la femme, ce sont les 2 ovaires ; leur fonction endocrine est la sécrétion des hormones
sexuelles (œstrogènes et progestérones). La fonction exocrine est la production des gamètes
(ovocytes).
Chez l’homme ce sont les 2 testicules ; leur fonction endocrine est la sécrétion des hormones
sexuelles masculins (androgène, la testostérone et AMH). La fonction exocrine est la production
des gamètes (spermatozoïdes).

 Gamétogenèse
C’est le processus de formation des gamètes. La spermatogenèse est spécifique à la formation
des spermatozoïdes et l’ovogenèse est spécifique aux ovocytes.
 Spermatogenèse
C’est un processus de différenciation et de maturation qui, à partir de la cellule de la ligné
germinale appelée spermatogonie aboutit à la formation des spermatozoïdes. Elle se déroule dans
le tube séminifère des testicules.

Elle est marquée par 4 phases qui sont :

 Phase de multiplication ;
 Phase d’accroissement ;
 Phase de maturation ;
 Phase de différenciation.

 Ovogenèse
C’est un processus de différenciation et de maturation qui, à partir de la cellule de la ligné
germinale appelée ovogonie aboutit à la formation des ovocytes 2, véritable gamète reproducteur
femelle. Elle se déroule dans les ovaires.
A la différence de la spermatogenèse, l’ovogenèse est marquée par 3 phases :
 Phase de multiplication ;
 Phase d’accroissement ;
 Phase de maturation.

Phase Multiplication Accroissement Maturation Différenciation


Spermatide Spermatozoïde
Spermatocyte 2
Spermatocyte 1
Spermatogenèse

Spermatogonie

Spermiogénèse

Cellule à 2n chromosomes Cellule à n chromosomes

A l’ovogenèse,
l’ovocyte 1
obtenue par la
croissance de la
cellule haploïde
Ovogenèse

subie une 1ère


division
Ovocyte 1
Ovogonie méiotique et
donne l’ovocyte
2 avec un G.P 2.
L’ovocyte 2
amorce la
Ovocyte 2 méiose
équationnelle
Ovocyte 2
mais bloque en
métaphase 2 et
ne peut
reprendre après
Cellule à 2n chromosomes Cellule à n chromosomes
être fécondé.
Tableau de comparaison entre l’ovogenèse et la spermatogénèse chez les humains

Phénomène Spermatogénèse Ovogenèse


Situation dans la Phénomène continu, de la puberté Elle se fait par étape discontinue :
vie de l’individu jusqu’à la mort fœtale, puberté et fécondation
L’évolution d’une spermatogonie en L’âge de l’ovocyte est égal à l’âge de
Durée spermatozoïde se fait en 72 heures la femme au moment de la ponte
environs ovulaire
Importance des La phase de croissance est peu La phase de croissance est très
différentes importante ; La différenciation est importante ; La différenciation est
phases longue et peu importante également absente
Caractéristique La méiose est continue, la division La méiose est discontinue, la division
de la méiose cytoplasmique est égale cytoplasmique est inégale
Quantité des En moyenne 10millions Environ 300 ovocytes sont émis au
gamètes produits spermatozoïdes ml du sperme cours de la vie
Nombre des Une spermatogonie conduit à Une ovogonie conduit à un ovocyte 2
gamètes obtenus cellules (spermatozoïde)

Schéma du spermatozoïde (gauche) et de l’ovule (droite)

Notion sur la gestation


C’est une période au cours de laquelle les mammifères portes leurs petits dans le ventre. Elle
débute par l’implantation du zygote dans l’utérus et la mise en place de l’embryon.
LA REPRODUCTION CHEZ LES SPERMAPHITES

Historiquement, les végétaux ont évolué en atteignant des niveaux croissants de complexité,
depuis les premières algues en passant par plusieurs autres groupes pour arriver à des
spermaphytes qui sont pratiquement les deniers à apparaitre sur la terre. En définition, ce sont
des plantes à grains ou à fleurs.

Elles sont divisées en deux (2) groupes : les angiospermes et les gymnospermes.

Le groupe des gymnospermes est l’ensemble des plantes spermaphytes à grains non enfermés
dans un fruit.

Le groupe des angiospermes est l’ensemble des plantes spermaphytes à grains enfermé dans un
fruit. Elles comprennent deux classes :

 Les monocotylédones dont les grains disposent un seul cotylédon (exemple)


 Les dicotylédones dont les grains disposent deux cotylédons. (exemple)

Chez les spermaphytes, la reproduction sexuée est celle utilisée. Le mécanisme de reproduction
se déroule dans l’enceinte d’un rameau spécialisé portant les organes reproducteurs produisant
des gamètes qui est la fleur.

Anatomie de la fleur
Une fleur c’est une partie des plantes phanérogames, qui porte les organes reproducteurs. Elle
est entourée d’une enveloppe protectrice appelée périanthe. Elle est bisexuée si elle porte à la
fois les organes reproducteurs mal et femelles, et unisexuée si elle ne porte que l’un.

La morphologie d'une fleur : La dissection d'une fleur permet d'observer de la périphérie


(l'extérieur) vers le centre (l'intérieur) ce qui suit :

 Un ensemble de sépales formant le calice ;


 Un ensemble de pétales formant la corolle ;
 Des organes reproducteurs maies ou étamines ;
 Des organes reproducteurs femelles ou carpelle dont l'ensemble constitue le Pistil.

Lorsque sur un même pied sont portées les fleurs mâles et femelles, on parle des plantes
monoïques ; Si elles sont portées sur des pieds différents, on parle des plantes dioïques.

Chez les espèces végétales, organes reproducteurs mal sont représentées par les étamines,
l’ensemble est appelé Androcée ; Les étamines portes des anthères qui formées de deux(2) loges
contenant quatre sacs polliniques, ces sacs comportent quant à eux des grains de pollen qui à la
maturité seront libérés par le mécanisme de la déhiscence.

Les organes reproducteurs femelles sont représentés par les carpelles l’ensemble est appelé
Gynécée. Chaque carpelle est formé du bas en haut d'une partie renflée appelé ovaire, prolongé
par un axe appelé style qui se termine lui-même par une partie papilleuse appelée stigmate qui
retient les grains de pollen.
La fécondation chez les spermaphytes

La fécondation produit un œuf diploïde par la fusion de deux cellules haploïdes ou gamètes.
Chez les spermaphytes, la fécondation est conditionnée par la pollinisation

La pollinisation est le transfert du grain de pollen et son dépôt sur le stigmate (ou pistil) de la
même fleur ou sur le stigmate d'une autre fleur de la même espèce. Elle déclenche la
fructification. Il y’a la pollinisation directe et la pollinisation indirecte ou croisée
Mécanisme de la double fécondation

Quand le tube arrive au contact du sac embryonnaire, l'un des anthérozoïdes (no I) fusionne
avec l'oosphère (gamète femelle à n chromosomes) donnant une cellule diploïde, appelée œuf
principal ou œuf embryonnaire à 2n chromosomes qui donnera la nouvelle plantule. L'autre
anthérozoïde migre et vient fusionner avec les deux noyaux du sac embryonnaire donnant un
œuf triploïde (3n chromosomes), appelé œuf accessoire ou œuf albumen. Ainsi, on parle d’une
double fécondation, caractéristique des angiospermes.

HEREDITE

C’est la transmission des caractères des parents aux descendants. La science de l’hérédité est la
génétique.

La génétique signifie étude de la transmission des caractères héréditaires par l’intermédiaires


des gênes d’où le nom génétique.

John Gregor Mendel (1822-1884), communément appelé Mendel est le père fondateur de cette
science. Il expérimentait sur les pois, découvre les lois de la transmission des caractères
héréditaires. Après une période d’oubli, ses lois (les lois de Mendel) sont redécouvertes par
divers savants en 1900.C’est alors que Thomas Morgan et ses étudiants, en travaillant sur la
drosophile (Drosophila melanogaster) ont établi en 1910, les bases de la génétique classique basée
sur la théorie chromosomique de l’hérédité. Cette étude est basée sur la méthode d’hybridation ou le
croisement entre des individus de race pure ou lignée pure de même espèce diffèrent par un
certain nombre de caractère :

 Par un caractère. On parle du monohybridisme.


 Par deux caractères, on parle du dihybridisme.
 Par trois caractères, on parle du trihybridisme.

Les caractères héréditaires sont gouvernés par les gènes de l’ADN. Pour un diploide, chaque
gène présente deux allèles (dominant et recessif) dont l’un ou l’autre peut s’exprimer.

Au terme de la théorie chromosomique, on distingue deux cas d’hérédité :

 Hérédité autosomale dont les gênes sont situées sur les autosomes du caryotype ;
 Hérédité gonosomale ou hérédité liée au sexe dont les gênes sont situés sur les
chromosomes sexuels.
Hérédité autosomale ou Mendélienne
Pour réussir cette étude, certaines conditions doivent être respectées :

Les individus parentaux croisés doivent être de race ou lignée pure ; - Les individus choisis
doivent êtres prolifiques, à croissance rapide et des conditions de cultures ou élevage faciles.

Monohybridisme

 Le monohybridisme autosomale avec dominance parfaite(ou totale).


 Le monohybridisme autosomale avec dominance intermédiaire ou la concordance.
 Dihybridisme à gênes indépendants ou gènes non liés ;
 Dihybridisme à gênes liés ou « Linkage » :
─ Le dihybridisme à linkage (ou liaison) absolue
─ Le dihybridisme avec linkage partiel (ou liaison partielle) avec crossing-over
Ces croisements sont souvent marqués du phénomène de Backcross, le croisement retour et
aussi de crossing over.

Règles pour l’interprétation des résultats d’une étude (croisement) :

 Identifier le ou les caractères étudiés ;


 Rechercher les rapports de dominance ;
 Symboliser les allèles des caractères (choisir les initiales des caractères étudiés,
représenter le dominant en majuscule et le récessif en minuscule) ;
 Ecrire les génotypes des parents de race pure ;
 Etablir l’échiquier du croisement permettant de retrouver les proportions phénotypiques
et génotypiques de la 2ème génération F2.

Les lois de Mendel :

1ere loi de Mendel : uniformité des hybrides de la F1

2ème loi de Mendel : Loi de ségrégation des allèles ou loi de pureté des caractères.

3e loi de Mendel : Loi de ségrégation ou disjonction indépendante des caractères.

Type de Nombre de Nombre de Nombre de génotype Nombre de Nombre de


croisement catégories combinaison en F2 phénotype et leur phénotype
des gamètes représentation dans en F2
produits en le cas où y’a (dominance
F1 dominance d’un complète)
allèle sur l’autre
Monohybridisme 2 4 3 :(1 :2 :1) 4(3 :1) 2(1 :1)
Dihybridisme 4 16 9(1 :2 :2 :4 :1 :2 :1 :2 :1) 16(9 :3 :3 :1) 4(2 :2)
Trihybridisme 8 64 27 61(27+9+9+9+3+3+1)
Polyhybridisme 2n (2n)2 =22n 3n (3+1)n 2n
LEXIQUE
ADN-polymérase : enzyme qui lit les nucléotides.

Amphimixie : Fusion des gamètes mâle et femelle ; reproduction sexuée caractérisée par cette fusion.

Amylacées : De la nature de l'amidon ; qui contient de l'amidon.

Anatrope : se dit des ovules renversés


Androgène : Qui provoque l'apparition des caractères sexuels masculins.
Androstérone : Hormone sexuelle mâle active au moment de la puberté.
Anémophile : Fécondation des plantes par l'intermédiaire du vent.

Aneuploïdie : état d’une cellule qui présente un nombre anormal de chromosome.

Anthérozoïdes : fou gamète mal chez les végétaux. Le 1er fécondera l’oosphère et le 2nd fusionnera
avec les deux noyaux centraux.

Anthophile : ou encore artificielle, fécondation chez les végétaux engendrée par l’homme,

ATP : Adénosine triphosphate, molécule présente dans tous les organismes vivants, principale
source d'énergie immédiatement disponible pour l'activité des cellules, nécessaire pour assurer
le fonctionnement de l’organisme.

Autotrophe : Qui est capable d'élaborer ses propres substances organiques à partir d'éléments
minéraux.

Campylotrope : se dit des ovules courbés.

Capacitation : Propriété de contenir une certaine quantité de substance, acquisition du pouvoir


de fécondé chez les gamètes.

Caryogamie : Fusion des noyaux des gamètes ou des spores intervenant à la suite de la
plasmogamie, lors de la fécondation.

Cellule mère : une cellule qui subit une division par la méiose ou la mitose pour donner d’autres
cellules appelées cellules filles.

Cellules filles : Ce sont des cellules provenant de la division d’une autre cellule préexistante,
appelée cellule mère.

Chimiotactisme : Orientation des déplacements cellulaires, selon les substances chimiques du


milieu.

Chlorophylle : Matière colorante verte des plantes, présente dans les feuilles, à structure
moléculaire proche de celle de l'hémoglobine, jouant un rôle essentiel dans la synthèse des
glucides à partir du gaz carbonique.

Clone : Descendance d'un individu par multiplication végétative (bourgeonnement, etc.), ou par
parthénogénèse (espèce animale) ; individu de cette descendance.

Coït : Accouplement du mâle avec la femelle.

Corona radiata : c’est l’ensemble constitué de la zone pellucide recouverte d’une couronne de
cellule folliculaire provenant de granulosa.
Cotylédons : Feuille ou lobe séminal* qui naît sur l'axe de l'embryon des végétaux phanérogames.
Cryptorchidie : lorsque les testicules restent bloquer dans la cavité abdominale

Déhiscence : Se dit des organes clos (anthères, fruits) qui s'ouvrent d'eux-mêmes pour livrer
passage à leur contenu

Délivrance : Phase de l'accouchement correspondant à l'expulsion du placenta, après la sortie du


fœtus.

Désoxyribose : Ose de formule C5H10O4, de structure analogue au ribose mais comportant, au


niveau du deuxième atome de carbone, un atome d'hydrogène au lieu d'un groupement
hydroxyle.

Dialypétales : Se dit des fleurs et des plantes dont la corolle est faite de pétales séparés.

Dialysépales : Se dit des fleurs et des plantes dont le calice est fait de sépales séparés.

Diplobiontique ou diplophasique : cycle de développement qui résulte de la conséquence de la


fécondation.

Entomophile : Se dit des plantes dont la fécondation est assurée par les insectes (è Pollinisateur) qui
transportent le pollen d'une fleur mâle à une fleur femelle (pollinisation croisée) ou des étamines
au stigmate dans une fleur hermaphrodite (pollinisation directe)

Epigée : Qui se développe au-dessus du sol

Exine : membrane externe du grain de pollen.

FSH : de l’anglais Folliculostimuline Hormone, c’est une hormone hypophysaire appelées


gonadostimuline ou gonadotrophines.

Gamétophytes : Organisme végétal sexué qui résulte d'une suite de mitoses haploïdes, à partir
de la spore fermée par le sporophyte diploïde.

Gamopétale : appellation de corolle des plantes dont les fleurs sont formées des sépales et pétales
soudés.

Gamosépale : appellation de calice des plantes dont les fleurs sont formés des sépales et pétales
soudés.

GnRH : Gonadotrophine releasing hormone, sécrétée par les neurones hypothalamiques, stimule
la sécrétion des gonadostimulines par l’hypophyse antérieure ou antéhypophyse.

Golgi(Camilo) : médecin italien, il a fait la découverte du fonctionnement de l’organite cellulaire,


appareil de Golgi

Granulosa : ensemble des cellules folliculaires entourant l’ovocyte.

Haplobiontique ou haplophasique : cycle de développement qui résulte de la conséquence de la


méiose

Hélicase : c’est un enzyme qui permet la destruction continuelle (qui rompe les liaisons
Hydrogènes) de l’ADN.

Hermaphrodites : Être vivant anormal possédant un organe reproducteur mal d'un côté et un
organe reproducteur femelle de l'autre, ou bien la réunion des deux glandes de chaque côté.

Hétérotrophe : Qui se nourrit de substances organiques, ne peut effectuer lui-même la synthèse


de ses éléments constituants.
Hormone : c’est une substance ou molécule produite par une glande’ déversée dans le sang qui
la transporte et va agir à distance sur un ou plusieurs organes cibles.

Hydrophile : se dit de pollinisation assurée par l’eau.

Hypogée : Qui se développe sous la terre.

Hypophyse : Organe neuro-glandulaire (glande endocrine) ellipsoïde, situé à la base du crâne (selle
turcique) et rattaché au cerveau par la tige pituitaire.

Hypothalamus : Région du diencéphale située sous le thalamus, siège de centres supérieurs du


système neuro-végétatif.

Intine : membrane interne du grain de pollen.

Lactation : Sécrétion et écoulement du lait chez la femme et les femelles des mammifères après
la parturition.

LH : hormone lutéinisante comme FSH, c’est une hormone hypophysaire appelée


gonadostimuline ou gonadotrophines

Ligase : un enzyme qui lit les nucléotides des brins néoformés à ceux des brins anciens selon le
principe de complémentarité des bases.

Lutéinique : Relatif à la lutéine, au corps jaune.

Ménopause : Fin de la fonction ovarienne (arrêt de l'ovulation et des hémorragies menstruelles) ;


époque où elle se produit.

Microsporange : Organe de certaines algues et des cryptogames vasculaires, où se forment les


microspores

Microsporogenèse : processus de la formation des microspores.


Monospermie : Relatif à un seul germe (pénétration d’un seul spermatozoïde dans l’ovule).

Morphologie : Étude de la configuration et de la structure externe (d'un organe ou d'un être


vivant).

Œstrogène : hormone féminin qui qui provoque l'œstrus chez les femelles des mammifères.

Oléagineuses : Qui est de la nature oléiforme, de l'huile.

Oosphère : Gamète femelle des plantes (correspondant à oocyte, ovule chez les animaux).

Organelles : Élément figuré cellulaire (mitochondrie, chloroplaste, cil, etc.) existant parfois en
plusieurs exemplaires dans la cellule.

Ornithophile : se dit de la pollinisation engendrée par les oiseaux.

Orthotrope : se dit des ovules droits

Osmose : Phénomène de diffusion*, qui se produit lorsque deux liquides ou deux solutions de
concentrations moléculaires différentes se trouvent séparés par une membrane semi-perméable
laissant passer le solvant mais non la substance dissoute.

Osmotique : Qui a rapport à l'osmose, qui est de la nature de l'osmose.

Ovocyte : Gamète femelle (Ovule), cellule à vitellus abondant, munie d'une enveloppe (follicule)
Ovulation : Libération de l'ovule après rupture du follicule de Graaf

Ovule : Gamète femelle végétal (→ Oosphère) qui, après la fécondation, se transforme en graine

Parthénocarpie : se dit des fruits qui se développent sans graine.

Parturition : Accouchement naturel.


Périanthe : Ensemble des enveloppes protégeant les organes reproducteurs de la fleur.

Phanérogames : Se dit des plantes qui ont les organes de fructification apparents.

Phénotype : Ensemble des caractères individuels correspondant à une réalisation du génotype,


déterminée par l'action de facteurs de milieu au cours du développement de l'organisme.

Photosynthèse : Production de glucides par les plantes à partir du gaz carbonique de l'air qu'elles
peuvent fixer grâce à la chlorophylle, en employant comme source d'énergie la lumière solaire.

Préfloraison : Disposition des pièces du périanthe, dans le bouton floral.

Progestérone : Hormone sécrétée par le corps jaune (constitué au cours de chaque cycle ovarien
ou pendant la grossesse), ainsi que par le placenta.

Pronucléi : devenir de l’accouplement de deux noyaux haploïdes (pronucléus) après


augmentation de forme.
Pronucléus : Noyau haploïde d'un œuf fécondé.

Ribose : Sucre (pentose) de formule CH2OH (CHOH)3CHO, dont la forme dextrogyre (le D-
ribose) est un constituant de nucléoprotéides.

Spermatide : cellules souches produites après 2e division méiotique, dite méiose équationnelle
(elles sont haploïdes et à une chromatide par chromosome)

Spermatocyte : cellules souches résultantes de l’augmentation de forme des spermatogonies dans


la phase d’accroissement de la spermatogenèse (elles sont diploïdes et à 2 chromatides par
chromosomes).

Spermatogonie : cellules souches des spermatozoïdes provenant d’une mitose successives (elles
sont diploïdes et à 2 chromatides par chromosomes).

Spermatozoïde : Cellule reproductrice, mâle, chez les animaux sexués.

Sporophyte : Appareil asexué, producteur de spores.

Testostérone : Hormone mâle, responsable de la plupart des caractères sexuels masculins


(notamment les secondaires), et qui est employée en thérapeutique.

Verticille : Groupe de plus de deux feuilles qui naissent au même niveau sur la tige, en anneau.
LES 20 ACIDES AMINES :
N° Nom Symbolisation N° Nom Symbolisation
01 Acide aspartique Asp 11 Leucine Leu
02 Acide glutamique Glu 12 Lysine Lys
03 Alanine Ala 13 Méthionine Met
04 Arginine Arg 14 Phénylalanine Phe
05 Asparagine Asn 15 Proline Pro
06 Cystéine Cys 16 Sérine Ser
07 Glutamine Gln 17 Thréonine Thr
08 Glycine Gly 18 Tryptophane Trp
09 Histidine His 19 Tyrosine Tyr
10 Isoleucine Ile 20 Valine Val

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