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INTRODUCTION À LA BIOLOGIE CELLULAIRE

"Tout ce qui est généralement commun aux végétaux et aux animaux comme
toutes les facultés qui sont propres à chacun de ces êtres sans exception, doit constituer
l'unique et vaste objet d'une science particulière qui n'est pas encore fondée, qui n'a
même pas de nom, et à laquelle je donnerai le nom de BIOLOGIE " Jean-Baptiste
Monet Chevalier de Lamarck 1744-1829.
La biologie cellulaire étudie les cellules et leurs organites, les processus vitaux
qui s'y déroulent ainsi que les mécanismes permettant leur survie.
La biochimie est la discipline scientifique qui étudie les réactions chimiques
ayant lieu au sein des cellules.
La biologie moléculaire est une discipline dont l'objet est la compréhension des
mécanismes de fonctionnement de la cellule au niveau moléculaire.
Le terme « biologie moléculaire » désigne également l'ensemble des techniques
de manipulations d'acides nucléiques (ADN, ARN).
Qu’est-ce que le vivant ?
Vitalisme:
Vie = matière + "force" (énergie) vitale
L’organisation biologique correspond à une hiérarchie de niveaux structuraux
s’édifiant les uns à partir des autres.
L’ATOME. Ordre de grandeur : le nanomètre (0,000 000 001 m)
LA MOLECULE. Ordre de grandeur : le nanomètre
LES ORGANITES. Ordre de grandeur : le micromètre (0,000 001 m).
LA CELLULE. Ordre de grandeur : 10 à 100 micromètres (0,000 01 à 0.000 1 m)
La vie repose sur l’intégrité de ces niveaux structuraux.
- Complexité (grande diversité des molécules constituantes)
- Accroissement et renouvellement des constituants par le métabolisme
(Synthèse et dégradation), dépense d’énergie pour le maintien d’un état Stationnaire.
- Capacité de réaction et excitabilité
- Reproduction

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Comment définir la cellule ?
I. Théorie cellulaire.
Robert Hooke (1665) a inventé le mot cellule mais Antonie Van Leeuwenhoek a
été le premier à observer réellement des cellules.
En 1838, Matthias Schleiden, un botaniste, suggère que tous les tissus végétaux
sont faits de cellules.
Un an plus tard, le zoologiste Théodore Schwann en arrive à la même hypothèse
au sujet des animaux.
En 1855, Rudolf Virchow suggère que toute cellule provient d'une autre cellule,
préexistante par division et ne peut pas se former par génération spontanée.

Les postulats de la théorie cellulaire sont les suivants :


1. Tous les organismes vivants se composent d’une ou de plusieurs cellules.
2. La cellule (du latin cellula, petite chambre) est l'unité structurale, fonctionnelle et
reproductrice constituant tout ou partie d'un être vivant.
3. Toutes les cellules viennent de cellules qui existaient auparavant.
4. L’activité d’un organisme dépend de l’activité de ses cellules.
Chaque cellule est une entité vivante qui, dans le cas d'organismes
multicellulaires, fonctionne de manière autonome mais coordonnée avec les autres. Les
cellules de même type sont réunies en tissus, eux même réunis en organes.

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II. ORGANISATION GENERALE DE LA CELLULE
II.1. Cellules procaryotes
Les procaryotes sont des cellules à noyau non organisé. Ils regroupent les
bactéries et les cyanobactéries qui sont des cellules :
 de faibles dimensions (1 à 4 µm).
 présentant une simple organisation avec une paroi protectrice, sous Laquelle se
trouve la membrane plasmique qui entoure un seul compartiment cytoplasmique
contenant de l’ADN, de l’ARN, des enzymes, des petites molécules et des ribosomes.
 Présentant un mécanisme de division simple (bipartition) et rapide (une bactérie
se divise, sous des conditions favorables, toutes les 20 minutes donnant ainsi naissance
à 4 milliards de cellules en 11 heures).

Figure 1 : Organisation générale une bactérie ( cellule procaryote)

Figure 2 : Organisation d’une cellule procaryote autotrophe.


II.2. Cellules eucaryotes
La cellule eucaryote se distingue de la cellule procaryote par le développement
d’un réseau membranaire qui délimite plusieurs Compartiments :
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 Noyau : contrôle de l’activité cellulaire et mitose
 Mitochondries : production d’énergie (ATP)
 Réticulum Endoplasmique Granuleux (REG) : synthèse des protéines
 Réticulum Endoplasmique Lisse (REL) : synthèse des lipides
 Appareil de Golgi : synthèse de polysaccharides
 Lysosomes : digestion cellulaire
En plus de ce réseau d’endomembranes, la cellule eucaryote possède Un
cytosquelette formé de microfilaments et de microtubules.
La cellule eucaryote est de dimension plus grande 8 à 100µm.

Figure 3 : Organisation d’une cellule Eucaryote

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Figure 4 : Schémas comparatifs d’une cellule animale et d’une cellule végétale
Tableau 1 : Tableau comparatif de la cellule eucaryote et la cellule procaryote
EUCARYOTE PROCARYOTE
Cellule animale Cellule végétale Bactérie
Taille Entre 20 et 50 µm Entre 50 et 100 µm De l’ordre du µm
Paroi Absente Paroi cellulosique Paroi bactérienne
Membrane plasmique Présente
Stérol Cholestérol Ergostérol Absence de cholestérol
Enveloppe nucléaire Présence d’enveloppe nucléaire, Présence d’1 ou Absence d’enveloppe
et Matériel génétique plusieurs nucléoles, Présence de protéines nucléaire, Absence de
histones, Séquences non codantes (introns) à nucléoles, Absence d’histones
l’intérieur des gènes, Plusieurs chromosomes 1 seul chromosome
Cytosol Composé d’eau, d’ions et de molécules organiques
cytosquelette Présence d’1 cytosquelette : Absence de cytosquelette
micro filaments, microtubules
Organites : Systèmes membranaires Absence de système
R. E. intracellulaires : organites membranaire intracellulaire
A.G. Organites délimitant des compartiments internes Pas d’organites,
Mitochondries Réticulum endoplasmique, corps de Golgi, pas de compartiments internes
mitochondries

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Chloroplastes Pas de chloroplastes chloroplastes Présence possible de
Vacuoles Pas de vacuole grande vacuole chlorophylle
Métabolisme Hétérotrophe autotrophe si autotrophe si pigments
chloroplastes chlorophylliens

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Ultrastructure d’une levure

Figure 5 : Organisation d’une cellule Eucaryote unicellulaire


II.3.Les virus
Les virus sont des particules de très petite taille (0,1 à 0,2 µm).
Leur découverte a été liée à l’utilisation des techniques biochimiques récentes
(ultracentrifugation) et du microscope électronique (1930 – 1940)

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 Les virus sont donc des parasites obligatoires.
 On parle souvent de l’association virus – cellule hôte
 Les virus contiennent une information génétique sous forme d’ADN ou
d’ARN.

Le bactériophage Virus de l’immunodéficience humaine


Figure 6 : Schémas de la structure du virus

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TABLEAU 1 : TABLEAU COMPARATIF DE LA CELLULE
EUCARYOTE ET LA CELLULE PROCARYOTE
EUCARYOTE PROCARYOTE
Cellule animale Cellule végétale Bactérie
Taille Entre 20 et 50 µm Entre 50 et 100 µm De l’ordre du µm
Paroi Absente Paroi cellulosique Paroi bactérienne
Membrane plasmique Présente
Stérol Cholestérol Ergostérol Absence de cholestérol
Enveloppe nucléaire Présence d’enveloppe nucléaire, Présence d’1 ou Absence d’enveloppe
et Matériel génétique plusieurs nucléoles, Présence de protéines nucléaire, Absence de
histones, Séquences non codantes (introns) à nucléoles, Absence d’histones
l’intérieur des gènes, Plusieurs chromosomes 1 seul chromosome
Cytosol Composé d’eau, d’ions et de molécules organiques
cytosquelette Présence d’1 cytosquelette : Absence de cytosquelette
micro filaments, microtubules
Organites : Systèmes membranaires Absence de système
R. E. intracellulaires : organites membranaire intracellulaire
A.G. Organites délimitant des compartiments internes Pas d’organites,
Mitochondries Réticulum endoplasmique, corps de Golgi, pas de compartiments internes
mitochondries
Chloroplastes Pas de chloroplastes chloroplastes Présence possible de
Vacuoles Pas de vacuole grande vacuole chlorophylle
Métabolisme Hétérotrophe autotrophe si autotrophe si pigments
chloroplastes chlorophylliens

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CHAPITRE I : COMPOSITION CHIMIQUE DE LA CELLULE
La vie utilise environ 25 des 92 éléments chimiques présents à l'état naturel.
Quatre sont particulièrement importants : Carbone (C), Hydrogène (H), Oxygène
(O) et Azote (N)
I. Eau

II. Eléments minéraux


Les éléments minéraux indispensables sont classés en deux catégories :
- Les macro- éléments ou sels minéraux présents en grande quantité :
soufre, phosphore, magnésium, chlore, sodium, potassium et calcium,
- Les oligo-éléments présents en traces : cuivre, fer, zinc, fluor, iode,
sélénium, manganèse, lithium, chrome, molybdène, cobalt, silicium, vanadium, nickel,
brome, arsenic
III. Biomolécules
III.1. Glucides
Les glucides ou sucres sont appelés oses et contiennent trois types d'atomes : C,
H et O. Quatre des principaux oses sont le glucose, le fructose, le galactose (formules
C6H12O6) et le ribose (formule C5H10O5).

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Liaison osidique.

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Les polysaccharides ou polyholosides sont des polymères de masse molaire très
élevée, issus de la condensation d'un grand nombre de molécules d'oses. Exemple : la
cellulose, l'amidon et le glycogène.

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III.2. Lipides
Les lipides, sont essentiellement constitués des atomes C, H et O. Ils assurent des
rôles variés dans la cellule : rôle énergétique en permettant la synthèse cellulaire d’ATP
mais aussi structural en étant les principaux constituants des membranes cellulaires.

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III.2.1. Triglycérides
Les glycérides résultent de l’assemblage de deux types de molécules : les acides
gras et le glycérol qui est un alcool.

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III.2.2. Phospholipides

III.2.3. Glycolipides
Ce sont des sphingolipides avec un ose ou un dérivé d’ose. Ces oligosides,
présents sur la face externe de la membrane plasmique, ont un rôle biologique important
: récepteurs qui interviennent dans les phénomènes de reconnaissance AG-AC
 Cérébrogalactosides ou Galactosylcéramides = Sphingosine + AG + βD
Galactose

 Les Cérébroglucides ouGlucosylcéramides = Sphingosine + AG + βD Glucose.


La liaison est β osidique.

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 Les Gangliosides ou Oligosylcéramides = Sphingosine + AG + chaîne de
plusieurs oses et dérivés d’oses amines et d’un ou de plusieurs résidus d’acide N acétyl
neuraminique ou d’acide sialique. Ils sont abondants dans les ganglions d’où leur nom.
III.2.4. Les Stéroïdes
H 3C CH 3 CH 3
CH 3 H H 3C CH 3
CH 3
CH 3 H
CH 3 H CH 3
CH 3
H H
HO H H
HO

Cholesterol ergosterol
III.3. Protéines
Ce sont des composés organiques contenant C H O N (50, 7, 23, 16 %) et souvent
S (0 à 3 %). On distingue les protéines :
 de structure : (assurent la cohésion de la cellule) collagène, protéine fibreuse
 de transport (échange) : canaux transmembranaires (pompes Na/K) transporteurs
comme l'hémoglobine (O )
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 de catalyse et de reconnaissance : enzymes

III.3.1. Acides aminés constitutifs

Le radical R est la seule partie variable de l’acide aminé,

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Acides aminés hydrophiles

Acides aminés hydrophobes

III.3.2. Liaison peptidique

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III.3.3. Structure des protéines : Enroulement des protéines dans l’espace
On distingue quatre niveaux structuraux chez les protéines, de la structure
primaire à la structure quaternaire.

III.4. Les acides nucléiques


Leur rôle dans la vie de la cellule est primordial puisque ce sont eux qui
représentent l’information génétique qui organise l’ensemble des structures et des
processus cellulaires.

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III.4.1. ADN

III.4.2. ARN
= Acides Ribo Nucléiques ont une structure comparable à celle de l’ADN, avec
cependant quelques différences fondamentales :
- ce sont des chaînes de nucléotides mais formées d’un seul brin
- Les quatre bases azotées sont l’Adénine, la Guanine, la Cytosine et l’Uracile (U)
qui est complémentaire de l’adénine (U dans l’ARN « remplace » le T de l’ADN)

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Chapitre II : Méthodes d’étude de la cellule (TD)
1- Microscopes.
2- Méthodes d’étude chimique (chromatographie, électrophorèse).
3- Méthodes d’étude physique (autoradiographie, fluorescence).
4- Culture des cellules.
5- Technique de l’ADN recombinant.

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CHAPITRE III : LES MEMBRANES ET LA
COMPARTIMENTATION CELLULAIRE
Structure de la membrane
Deux feuillets visibles au microscope électronique.
 Membrane plasmique de 7 à 8 nm d’épaisseur limite de la cellule,
 Membranes intracellulaires : RE, Golgi, mitochondrie….

Figure 1 : trois aspecte de la membrane cellulaire. (A) photographie en


microscopie électronique de la membrane plasmique d’un globule rouge humain,
vue en coupe transversale. (B et C) dessins schématiques montrant les structures bi
et tridimensionnelles d’une membrane cellulaire

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FIGURE2 : MODÈLE DE LA MOSAÏQUE FLUIDE MODÈLE DE «
SINGER ET NICHOLSON »(1970)
Composition chimique des membranes biologiques.
 Lipides, phospholipides et cholestérol forment le squelette des membranes
 Protéines (récepteurs, transporteurs, enzymes) – Attachées plus au moins aux
phospholipides
 Glucides (glycophospholipides et glycoprotéines)

Lipides protéines glucides


Membrane plasmique 40% 60% 4,5%
(2,5% Glycosylés) (2% Glycosylés)
Réticulum endoplasmique 30% 70% 2%
(0,5% Glycosylés) (1,5%Glycosylés)
Appareil de Golgi 35% 65% 2,5%
(1,5% Glycosylés) (1% Glycosylés)
Membrane externe de la 40% 60%
mitochondrie
Membrane interne de la 20% 80%
mitochondrie
FIGURE3 : COMPOSITION APPROXIMATIVE DES DIFFÉRENTES
MEMBRANES
2.1. Les lipides
Les lipides sont amphiphiles ou amphipatiques. Ils forment spontanément des
doubles couches
proportion en % Membrane Mitochondrie Réticulum Bactérie
plasmique (memb. endoplasmique E.coli
Externe)
Phosphatidylethanolamine 16 23 16 70
Phosphatidylserine 6 2 3 Traces
Phosphatidylcholine 17 50 55 0
Phosphatidylinositol <1 0 0 -
Sphingomyéline 17 5 3 0
Glycolipides 2 0 0 0
Cholestérol 45 <5 6 0

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FIGURE 4 : REPRÉSENTATION DES DIFFÉRENTS LIPIDES DANS
LES MEMBRANES
2.1.1. Les phospholipides

FIGURE5 : LES DIFFÉRENTES PARTIES D’UNE MOLÉCULE DE


PHOSPHOLIPIDES (LA PHOSPHATIDYLCHOLINE).

A) SCHÉMA, B) FORMULE, C) MODÈLE MOLÉCULAIRE, D)


REPRÉSENTATION SYMBOLIQUE
2.1.2. Le cholestérol
En s’intercalant entre les molécules de phospholipides il stabilise les membranes
en évitant une excessive fluidité.

FIGURE 6 : STRUCTURE DU CHOLESTÉROL. A) FORMULE, B)


SYMBOLE,

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FIGURE 7 : LE CHOLESTÉROL DANS LA BICOUCHE LIPIDIQUE
2.1.3. Les glycolipides Les plus asymétriques

FIGURE 8 : MOLÉCULES DE GLYCOLIPIDES


La fluidité de la membrane
La double couche lipidique est un fluide bidimensionnel.

FIGURE9 : LIPOSOME. SI LES BORDS D’UNE BICOUCHE,


HYDROPHOBES, SONT EXPOSÉS À L’EAU, CELA EST
ÉNERGÉTIQUEMENT DÉFAVORABLE. LA FERMETURE D’UNE
BICOUCHE EN LIPOSOME FORME UN COMPARTIMENT CLOS,
ÉNERGÉTIQUEMENT FAVORABLE.

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FIGURE 10 : LA MOSAÏQUE FLUIDE. LES GROUPES CHARGÉS
DES PROTÉINES RESTENT EN PHASE AQUEUSE, LES GROUPES
HYDROPHOBES PÉNÈTRENT DANS LA PHASE LIPIDIQUE.
Facteurs affectant la fluidité de la membrane
 Composition en lipides et température
 La longueur des chaines hydrocarbonées
 Le nombre de doubles liaisons
 La nature des têtes polaires
 Le contenu en cholestérol qui rigidifie la bicouche

FIGURE11 : MOBILITÉ DES PHOSPHOLIPIDES. LES TYPES DE


MOUVEMENTS POSSIBLES DES PHOSPHOLIPIDES DANS UNE
BICOUCHE

FIGURE 12 : LES DOUBLES LIAISONS- CIS DES CHAINES


HYDROCARBONÉES.

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FIGURE 13 : EFFETS DU CHOLESTÉROL SUR LA FLUIDITÉ
MEMBRANAIRE.

(A) MEMBRANE RICHE EN ACIDES GRAS SATURÉS DONC


VISQUEUSE : LE CHOLESTÉROL ABAISSE LES INTERACTIONS
ENTRE LIPIDES ET DONC AUGMENTE LA FLUIDITÉ.

(B) MEMBRANE RICHE EN ACIDES GRAS INSATURÉS DONC


FLUIDE : LE CHOLESTÉROL AUGMENTE LES INTERACTIONS
ENTRE LIPIDES ET DONC AUGMENTE LA VISCOSITÉ.
La double couche lipidique est asymétrique
Si choline, (PC ou SM) feuillet externe
Si amine primaire terminal (PE ou PS)  feuillet interne

extérieur intérieur
Phosphatidylserine 0 100
Phosphatidylethanolamine 10 90
Phosphatidylcholine 90 10
Glycolipides 100 0
Cholestérol 75 25

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FIGURE14 : DISTRIBUTION ASYMÉTRIQUE DES
PHOSPHOLIPIDES ET DES GLYCOLIPIDES DANS LA DOUBLE
COUCHE LIPIDIQUE DES HÉMATIES HUMAINES

FIGURE 15 : LE GLYCOCALYX. TOUS LES GLUCIDES SE


TROUVENT SUR LA FACE NON CYTOSOLIQUE DE LA
MEMBRANE.

Les protéines membranaires

FIGURE 16 : MODES D’ASSOCIATION DES PROTÉINES


MEMBRANAIRES AVEC LA BICOUCHE LIPIDIQUE.

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FIGURE 17 : SOLUBILISATION DES PROTÉINES
MEMBRANAIRES PAR UN DÉTERGENT DOUX.

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FIGURE 18 : EXPÉRIENCE DÉMONTRANT LE MÉLANGE DES
PROTÉINES DE LA MEMBRANE PLASMIQUE DANS DES
CELLULES HYBRIDES SOURIS-HOMME.

FIGURE 19 : OSMOSE À TRAVERS UNE MEMBRANE SEMI-


PERMÉABLE. LE COMPARTIMENT II CONTIENT DE L’EAU ET
UN SOLUTÉ IMPERMÉANT. LE NIVEAU DANS CE
COMPARTIMENT AUGMENTE JUSQU’À CE QUE LA PRESSION
OSMOTIQUE COMPENSE LA PRESSION HYDROSTATIQUE.

Principes du transport membranaire

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FIGURE 20 : PERMÉABILITÉ RELATIVE D’UNE BICOUCHE
LIPIDIQUE ARTIFICIELLE POUR DIFFÉRENTES CATÉGORIES
DE MOLÉCULES.

Ion
Stérols Eau

Figure 21 : Comparaisons du transport passif et du transport actif

FIG.25 SCHÉMA DE LA TRANSITION « PING-PONG » LORS DE


LA DIFFUSION FACILITÉE.

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FIGURE 26 : TROIS TYPES DE TRANSPORTEURS.

FIGURE 27 : CINÉTIQUE DE LA DIFFUSION SIMPLE ET DE LA


DIFFUSION PAR L’INTERMÉDIAIRE D’UN TRANSPORTEUR.

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FIGURE 28 :UN MODÈLE SCHÉMATIQUE DU CYCLE DE
POMPAGE DE L’ATPASE NA+-K+.

FIGURE 29 : UN DES MODES D’ENTRAÎNEMENT D’UN


TRANSPORTEUR DE GLUCOSE PAR UN GRADIENT DE NA+. LE
TRANSPORTEUR OSCILLE ALTERNATIVEMENT ENTRE DEUX
ÉTATS, A ET B.

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CHAPITRE IV : CYTOSOL
1. Composition moléculaire
Phase liquide ou semi-liquide c’est un gel colloïde : 4 fois plus visqueux que
l’eau. Le pH du cytosol est 7,0 (pH extracellulaire : 7,4)
85% d’eau
Ions : Na+, K+, Cl-, Mg2+, Ca2+ ; Gaz : O2, CO2
Glucides, lipides, acides aminés, nucléotides, métabolites
Protéines, polysaccharides, glycoprotéines, acides nucléiques
2. Fonctions du cytosol
1) Réserve de matériaux
2) Carrefour de voies métaboliques
3) Transduction du signal à partir de la membrane plasmique vers les organites et
le noyau

FIGURE 1 : LA GLYCOLYSE CYTOPLASMIQUE OU VOIE DE


EMBDEN-MEYERHOF

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Le cytosquelette

Le centrosome

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Double brin d’actine de 5 à 9 nm sous la
membrane plasmique

Tubes creux et rigides de tubuline alpha et ß


de 25 nm, organisateurs de la cellule

Fibres protéiques de 10 nm formant des


réseaux (ex. de la lamina sous la
membrane nucléaire)

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Les ribosomes

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CHAPITRE V : SYSTÈME DE CONVERSION DE L’ÉNERGIE

1-Structure des Mitochondries

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2- Activités métaboliques au niveau de la mitochondrie (cycle de Krebs et chaine
respiratoire)

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3. Structure et fonction du chloroplaste

La photosynthèse : exemple d’anabolisme

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4. Comparaison mitochondrie-chloroplaste

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Mitochondrie Chloroplaste
Théorie de l’endosymbiose

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CHAPITRE VI : LE SYSTÈME ENDOMEMBRANAIRE (SE)

FIGURE 1 : LES PRINCIPAUX COMPARTIMENTS


INTRACELLULAIRES D’UNE C ANIMALE
1. Le Réticulum Endoplasmique

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FIGURE 2 : DIVERS ASPECTS DU RÉTICULUM
ENDOPLASMIQUE

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FIGURE 3: COMPOSITION DES RIBOSOMES

FIGURE 4 : OBTENTION DE MICROSOMES LISSES ET RUGUEUX

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FIGURE 5 : STRUCTURE DES RIBOSOMES DE PROCARYOTES
ET D’EUCARYOTES

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FIGURE 6 : RÔLE DE L’ARN DANS LA SYNTHÈSE PROTÉIQUE

FIGURE 7: STRUCTURE DYNAMIQUE DES POLYSOMES


ATTACHÉS AU RER

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FIGURE 8 : STRUCTURE DYNAMIQUE DES POLYSOMES NON
ATTACHÉS AU RER

2. Appareil de Golgi.

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FIGURE 9: PARTICIPATION DES DICTYOSOMES DANS
L’EXOCYTOSE

Les protéines de sécrétion sont synthétisées dans le RE et passent à travers le


Golgi vers l’environnement extracellulaire
3. Les systèmes vésiculaires : endosomes, lysosomes, Peroxysomes.

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lysosomes

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Peroxisomes

FIGURE : ASPECTS DES PEROXYSOMES DANS DIFFÉRENTS


ORGANISMES

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CHAPITRE VII : LE NOYAU
1-Structure et composition du noyau interphasique : chromatine, enveloppe
nucléaire, structures associées, pores nucléaires.

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2- Expression de l’information génétique : synthèse protéique chez les procaryotes
et eucaryotes

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3- Mitose , cycle cellulaire et meiose

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