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Les premières femmes qui ont osé voyager n'ont pas attendu d'avoir les conditions
idéales pour partir à l'aventure, car le contexte de notre monde est favorable au voyage.
Dans le document 4 "Artistes voyageuses, l'appel des lointains (1880-1944)" d'Alix Favre,
publié en décembre 2022 sur le site de la revue l'Éléphant, il est mentionné que des
femmes ont accompagné leurs maris à Constantinople en 1860. Elle poursuivit ensuite
ses voyages avec lui au Maroc, en Syrie et en Égypte. Tout comme Marie Lucas-Robiquet
qui se rendit en Algérie avec son mari, qui était un militaire de profession. À l'époque,
voyager aussi loin et visiter des civilisations différentes de notre région occidentale
n'était pas un mode de vie convenable.
Mais notre monde se rapproche de plus en plus. Cela résulte en partie des échanges
entre les différents pays et régions du monde. Comme mentionné au début du
document 4, la fin du XIXe siècle représente une période importante de commerce et de
partage. Ainsi, les régions du monde qui effectuent des échanges commerciaux se
rapprochent naturellement, et les biens matériels, tels que les êtres humains, sont
trouvés dans ces différentes civilisations du monde. Des gens d'autres pays viennent
également "chez nous". Deux artistes chinoises, Fan Tchunpi et Pan Yuliang, ont
fréquenté l'École des beaux-arts de Paris. un élément supplémentaire de ce monde qui
se rapproche et dissimule moins de zones d'ombre concerne les évolutions dans le
domaine du transport. Les pays sont plus accessibles grâce à des moyens de locomotion
tels que le train, évoqué dans le poème d'Anna de Noailles, "L'ombre des jours" (1932),
ou encore le bateau, mentionné par le biais des compagnies maritimes dans le
document 4.
Ces femmes vont réaliser plusieurs rêves personnels au cours de ces voyages. Le besoin
de découverte est le premier. Le poème "L'ombre des jours" (1902), écrit par Anna de
Noailles, exprime le désir de découverte en répétant le mot "voir" au début du vers. Ce
poème nous fait comprendre l'importance de découvrir toutes ces cultures et paysages.
Dans le chapitre 4, nous ressentons également la nécessité de explorer de nouvelles
perspectives en compagnie de Jeanne Tils, qui a une affection pour la Tunisie et est
attirée par les pays de lumière et de soleil. Finalement, Alexandra David-Néel a
également été émue par cette envie de savoir plus et n'a pas pu résister à cette envie.
Ces femmes vont réaliser plusieurs rêves personnels au cours de ces voyages. Le besoin
de découverte est le premier. Le poème "L'ombre des jours" (1902), écrit par Anna de
Noailles, exprime le désir de découverte en répétant le mot "voir" au début du vers. Ce
poème nous fait comprendre l'importance de découvrir toutes ces cultures et paysages.
Dans le chapitre 4, nous ressentons également la nécessité de explorer de nouvelles
perspectives en compagnie de Jeanne Tils, qui a une affection pour la Tunisie et est
attirée par les pays de lumière et de soleil. Finalement, Alexandra David-Néel a
également été émue par cette envie de savoir plus et n'a pas pu résister à cette envie.
En résumé, le voyage féminin est tout aussi fascinant que celui des hommes. Au
contraire, il a une dimension captivante qui révèle une histoire de femmes audacieuses
et pionnières qui ont bravé les normes sociales et les contraintes de leur époque pour
explorer le monde. Les femmes ont préféré explorer l'aventure et la découverte plutôt
que de se conformer au schéma conventionnel qui les cantonnait au rôle de mères et
d'épouses. Des personnalités emblématiques comme Alexandra David-Néel ont brisé les
normes pour répondre à leur soif d'exploration et ont ouvert la voie à un grand nombre
d'autres femmes.
Il est indéniable que le voyage des femmes n'est pas moins fascinant, mais plutôt une
source d'inspiration et d'admiration pour tous ceux qui cherchent à explorer et à
s'émanciper.