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Td histoire de la langue

Travaille lexicologique sur le terme « garder » à rendre le 12 oct. Figure dans le texte= faire
selon les occurrences du texte.

> ancien français :

I) Traduction

II) Morphologie

III) Syntaxe

IV) Lexicologie

- Diachronie

1) Étymon

2) sens en af ( ancien fr) > sens en texte ( justifier la trad), comment le mot fonctionne
( commentaire stylistique, littéraire…)
>à-t-on gardé le lien étymologique
> expliqué la polysémie du terme

3) paradigme morphologique en AF ( préfixe et suffixe pour trouver la famille du mot)


- ex, merci= remercier

4) Paradigme sémantique en AF
- mots qui ont le même sens ou sens contraire ( antonyme et synonyme).

5) l’évolution jusqu’au fr moderne.


₋ sens qui sont restés et ceux qui ont disparus.

V) Phonétique historique

- prononciation des mots au fil des temps

> DMF ( dictionnaire du moyen fr).

ex, « chevalier ».
- du latin tardif « caballus », terme d’origine gauloise a donné lieu a caballarius ( attesté dans des
Gloses du Ve) désignant palefrenier. Époque carolingienne= le mot prend sens de « cavalier » plus
particulièrement « guerrier à cheval », mais sans armure.

- sens en Ancien français


sens 1= « guerrier de bases à cheval » non noble. Sens proche de l’étymon mais peu représenté ds
les textes après le XIe.
Sens2= « combattant ( à cheval) lourdement armé », à parir de la fin du XIe, prof du combat qui
forment une classe affilié à la noblesse et le titre devient héréditaire ? On arme/ désarme le
chevalier.
Sens 3= « membre de l’ordre de la chevalerie », donc noble, baptisé et adoubé. Sens rattaché à
certaine valeurs. Le chevalier, en plus d’être un combattant est un vassal de son seigneur. Ds la litt,
le chevalier doit avoir une attitude conforme à son titre : courageux, vaillant, loyal, honnête,
généreux ( largesse), exemplaire et dévoué à sa dame. Il est un homme « cortois », qui maîtrise les
règles et la cour. À la cour d’Arthur, li chevalier, considérés de façon collective= compagnon de la
table ronde.

> en ancien fr, le s n’est pas forcément la forme du pluriel.


> cortois aussi dans le lexique amoureux, « fin’ amor »= l’amour de la dame bénéfique au combat,
et la ferveur au combat bénéfique à l’amour que porte la femme, cercle vertueux. « fin »= l’or fin,
lien entre le concret, et l’immatérielle.

( un paysan est un vilain= celui qui habite à la campagne, celui qui n’est pas digne d’estime,
aujourd’hui sens étique qui s’oppose au cortois= paradigme sémantique)

-Paradigme morphologique.

> on cherche les mots de la même famille.


- cheval.
- chevalerie, substantif qui désigne :
la caste des chevaliers ; comencier chevalerie : « entrer dans cette caste ».
les qualités du chevalier : « vailance, courage ».
les actions concrètes, les exploits guerriers ; faire chevalerie.
> chevaleros ; adj signifiant « vaillant, digne d’un chevalier », auj o, connaît l’adj chevaleresque.

-Paradigme sémantique

> expression proches : gentilz hom, preudom. Le chevalier s’oppose au vallet et à l’escuier ( jeunes
nobles non adoubés), au soldoier et aux gens d’armes ( guerriers, homme d’armes à pied ou à
cheval), au serge,t ( « serviteur », « soldat à pied ».

évolution ultérieur.

> disparition de la répartition des diff sens au XVIe. Au XVIIe… suite sur cursus.

> « ne….mie »= ne…. Pas. => ne goutte, ne pint = ne pas.


>out, ot= avoir au PS

ne= discordentiel qui assure le décrochage du positif/ ne que= négation exceptive.


Texte de Marie de France, « Guigemar »= texte qui insiste sur l’incarcération de la dame. Provoqué
de la pitié chez le lectorat.

> a+le= al ( enclise), ce qui donne au en fr Moderne.

> Morphologie du substantif.

- en latin= déclinaison à 6 cas.


- en Af= 2 cas
> cas sujet : utiliser pour le sujet, l’attribut du sujet ( pierre est= verbe d’état medecin= attribut du
sujet), apostrophe.
> cas régime :

( attribut du cod, je le= cod nomme président= attribut du cod.)


( substantif en langue, ex, notion table du dico et en langue= cette table= je nomme).
schéma déclinaison :
CSS
CRS
CSP
CRP.

Substantif en texte constitué d’un morphème lexicale + morphème grammaticale = radicale et


désinence. ( ex, radical tables, désinences= s).

en AF, désinences= S et 0.

> on diffère= substantif à une base et à deux base.

I) substantif masculin.
A) à une base.

- pas d’alternance de radicale, tj le même morphème lexicale.

1) déclinaison sigmatique= avec un s au cas sujet singulier.


- CSS, murS
-CRS, mur
-CSP, mur
-CRP, mur S

> S n’est pas la marque du pluriel.

2) la déclinaison asigmatique ( -re) = sans s au cas sujet singulier.


- CSS, pere= parfois S de flexion qui est analogique ( qui copie la déclinaison maj).
CRS, pere
CSP, pere
CRP, pereS

- réflechir aux substanits du texte

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