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FILIERES : EXPERTISE JUDICIAIRE ET DE LA

SECURITE JURIDIQUE DE LA SURETE DE L’ETAT

Rédigé par :

Cne DINDAH Claude Mysère

Cne MARITA PEKET Sergio

Lt EFFAYONG OYE Marlin Adélar


PLAN

Remerciements

Introduction

I. DE L’EXPERTISE JUDICIAIRE (CRIMINALISTIQUE)

Définitions :

I.1 la criminalistique (Expertise Judiciaire) ;

I.2 expert criminaliste ;

I.3 spécialiste criminaliste ;

I.4 suggestions.

II. DE LA SECURITE JURIDIQUE DE LA SURETE DE L’ETAT.

Définitions :

II.1. LE ROLE DE L’ENQUETEUR :

II.2. Définition de la sûreté :

II.3. Définition de la sécurité :

Les apports de la formation

III. Conclusion
REMERCIEMENTS :

Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparait opportun de


commencer ce rapport de stage par les remerciements à l’endroit de ceux qui ont eu la
gentillesse de faire de ce stage réalisable mais surtout un moment très profitable.

Je tiens donc à adresser mes sincères remerciements tout d’abord aux plus hautes
autorités de la République Fédérale de Russie pour le bien permanent de la coopération
avec notre pays le Gabon, le Président de la République Gabon son Excellence Ali
BONGO ONDIMBA et le Ministre de l’Intérieur Lambert MATHA, soucieux de
la formation des Cadres des Forces de Police Nationale, grâce à qui, ce partenariat a été
rendu possible.

Aussi, nos remerciements vont à l’endroit du Haut Commandement des FPN, Le


Général de Division Serge Hervé NGOMA, le Commandant en Chef des Forces de
Police Nationale, le Général de Brigade NGARY Ambroise, Directeur de Cabinet du
Commandant en Chef , le General de Brigade Arnaud Sandri Patrice NOMBO chef
d’État-Major des polices d’investigation judiciaire , le Général de Brigade MBANDZA
Rodrigue Préfet de Police de Libreville et le Colonel Luc Hervé LINGOUMBI
NDOUNOU pour l’intérêt et l’implication qu’ils ont manifesté à cette formation de
longue durée.

A tous ceux qui nous ont beaucoup appris au cours de ce stage et même ceux qui
ont eu la gentillesse de faire ce stage, un moment très profitable, il s’agit ici dans
l’ensemble des policiers de la Direction de la Police Technique et Scientifique (DPTS), de
l’Unité Spéciale d’Intervention (USI), du personnel de la Préfecture de Police de
Libreville.

Du Magistrat Guy Romuald ONTSOUYIKA NGOUONI 4ème procureur de


la République pour son soutien multiforme dans la définition des infractions et leur
mode de qualification selon le code pénal gabonais, en tenant compte du principe de la
législation en République Fédérale de Russie.
Nous ne pourrions clore cet exercice sans adresser nos sincères remerciements à
l’endroit du Commandant NYOMBI-LEWEMBE Jéchonias, Directeur
d’instructions des stages et le Capitaine Cathy Lona MEBA qui étaient nos courroies
de transmissions avec la haute hiérarchie pour l’écoute, le soutien et les encouragements
dont ils font montre à l’endroit de tous les policiers stagiaires en République Fédérale de
la Russie.

INTRODUCTION :
Du 01 Septembre 2017 au 22 Juillet 2023, nous avons effectué un stage d’étude
universitaire au sein de l’Université du Ministère de l’Intérieur de Moscou, nommé
d’après V.Ya KIKOTYA, situé à l’adresse Moscou, Rue AKADEMIKA VOLGINA,
12.

Dans cette université, nous étions régulièrement inscrits à la faculté de Formation des
Spécialités Étrangers au département de l’EXPERTISE JUDICIAIRE pour le
Capitaine Claude Mysere DINDAH et le Lieutenant EFFAYONG OYE Adelar
Marlin et au département des Enquêtes en question de Sécurité Juridique de la sûreté
de l’Etat pour le Capitaine MARITA PEKE Sergio.

Plus largement, ces études universitaires ont été une opportunité d’appréhender les
enseignements théoriques et la pratique liées à la profession d’Expert Criminaliste, le
travail d’un Expert criminaliste, la différence entre un expert et un Spécialiste
Criminaliste pour les uns et à la notion de la sécurité juridique et la sûreté de l’Etat les
autres.

Pour les Experts Criminalistes, Au-delà d’enrichir nos connaissances en Expertise


Judiciaire, ce stage nous a permis de comprendre dans quelle mesure l’expertise
judiciaire est essentielle dans toute forme d’enquête (administrative ou judiciaire) en vue
de la manifestation de la vérité.

Notre stage au département de l’EXPERTSE JUDICIAIRE, consistait essentiellement à


des enseignements théoriques et pratiques de différentes matières (voir liste en
annexe). Ces enseignements ce sont déroulés sur une période de six ans (année de langue
inclut).

Ce stage a donc été l’opportunité pour nous, d’appréhender toutes les notions et
connaissances liées à la pratique de la fonction d’Expert criminaliste et mesurer en outre,
l’impotence de cette activité dans la chaine d’une procédure judicaire.

Pour mieux comprendre la notion d’Expertise Judiciaire, il convient de définir la


criminalistique, qui expert criminaliste et qui est spécialiste criminaliste, quels sont les
domaines de compétences d’un expert criminaliste au sens russe du terme et ensuite
intérêt cette formation dans les FPN.
I. DE L’EXPERTISE JUDICIAIRE

I.1. DEFINITION DE LA CRIMINALISTIQUE.

La criminalistique partie intégrante des sciences forensique, c’est l'ensemble des


techniques mises en œuvre par la justice, la police et la gendarmerie pour établir la
preuve d'un délit ou d'un crime et en identifier l'auteur.

La criminalistique consiste en l'étude des traces laissées par une activité criminelle ou
litigieuse en ayant recours principalement aux sciences de la nature. Les applications de la
criminalistique se réalisent non seulement dans l'administration de la preuve devant les
tribunaux, mais, de plus en plus, dans les domaines du renseignement et de la
prévention.

La criminalistique s'intègre à la criminologie : elle en constitue une science jumelle bien


distincte, complémentaire à l'étude doctrinale et appliquée au phénomène
appelé « crime » au sens large du terme, c'est-à-dire toute agression dirigée contre les
valeurs morales ou sociales légalement définies ou pénalement protégées.

I.2. EXPERT CRIMINALISTE

Un Expert criminaliste – est une personne ayant des connaissances particulières


et est formée pour procéder à un examen médico-légal (expertise) et donner un avis
sous la forme d’une conclusion d’expertise sur la base des questions qui lui sont posées
par l’organe demandeur. Il s’agit pour les Experts formés en Russie, de maitriser et de
rendre des conclusion sur sept (07) disciplines sans compter toutes les autres disciplines
essentielles à sa formation.

Il s’agit de : la balistique ; la traçologie ; la dactyloscopie ; l’étude et l’analyse des armes


blanches ; l’expertise des écritures et des signatures ; le portrait robot ; l’expertise des
documents.

D’après la législation de la Fédération de Russie

L’expert a le droit de:


1) se familiariser avec les éléments de l’affaire pénale liés à l’objet de l’expertise;

2) demander la fourniture de documents supplémentaires nécessaires pour donner un


avis ou la participation d’autres experts à la conduite d’une expertise;

3) participer, avec l’autorisation de la personne chargée de l’enquête préliminaire, de


l’enquêteur et du tribunal, aux actes de procédure et poser des questions relatives à
l’objet de l’expertise;

4) donner un avis relevant de sa compétence, y compris sur des questions qui ne sont
pas soulevées dans la résolution sur la nomination d’une expertise, mais qui sont liées au
sujet de la recherche d’experts;

5) de se plaindre contre les actions (inaction) et les décisions de l’agent chargé de


l’interrogatoire, du chef de l’unité d’enquête, du chef de l’organe d’enquête, de l’organe
d’enquête, de l’enquêteur, du procureur et du tribunal, en restreignant ses droits;

6) refuser de donner un avis sur des questions qui dépassent le cadre des connaissances
spéciales, ainsi que dans les cas où les documents qui lui sont soumis sont insuffisants
pour donner un avis. Le refus de donner un avis doit être déclaré par écrit par l’expert,
en indiquant les motifs du refus.

Un expert n’a pas le droit de:

1) à l’insu de la personne chargée de l’enquête initiale, de l’enquêteur et du tribunal,


négocier avec les participants à une procédure pénale sur des questions liées à la
conduite d’une expertise;

2) collecter de manière indépendante des documents pour la recherche d’experts;

3) effectuer des recherches sans l’autorisation de l’agent chargé de l’interrogatoire, de


l’enquêteur ou du tribunal, ce qui peut entraîner la destruction totale ou partielle d’objets
ou une modification de leur apparence ou de leurs propriétés essentielles;

4) donner une conclusion sciemment fausse;

5) divulguer les données de l’enquête préliminaire dont il a eu connaissance dans le cadre


de sa participation à l’affaire pénale en tant qu’expert, s’il en a été averti à l’avance;
6) se soustraire à la comparution sur assignation de la personne chargée de l’enquête
préliminaire, de l’enquêteur ou du tribunal.

I.3. SPECIALISTE CRIMINALISTE

Le Spécialiste – est une personne ayant des connaissances particulières, impliquée


dans des actions procédurales, pour aider à la détection, au regroupement et à la saisie
d’objets et de documents, à l’utilisation de moyens techniques dans l’étude des pièces
d’affaires pénales, pour poser des questions à un expert, ainsi que pour expliquer aux
parties et au tribunal des questions relevant de sa compétence professionnelle.

Un spécialiste a le droit de:

1) refuser de participer à la procédure pénale, s’il n’a pas les connaissances spéciales
appropriées;

2) poser des questions aux participants à l’enquête avec la permission de la personne qui
mène l’enquête initiale, de l’enquêteur et du tribunal;

3) prendre connaissance du dossier de l’action d’enquête à laquelle il a participé et faire


des déclarations et des commentaires à consigner au dossier;

4) se plaindre contre les actions (inaction) et les décisions de la personne chargée de


l’enquête préliminaire, du chef de l’unité d’enquête, du chef de l’organe d’enquête, de
l’organe d’enquête, de l’enquêteur, du procureur et du tribunal, en restreignant ses droits.

Un spécialiste n’a pas le droit de :

Se soustraire à la convocation de la personne chargée de l’enquête préliminaire, du


magistrat instructeur ou du tribunal, ni de divulguer les données de l’enquête
préliminaire dont il a eu connaissance dans le cadre de sa participation à la procédure
pénale en tant que spécialiste, s’il en a été informé à l’avance.

Dans le cadre de sa formation, tout Expert est formé aux métiers de spécialiste.
Il est donc à noter que la pratique de la fonction d’Expert, exige des normes référencées,
reconnues et fixées par le législateur, une base de données pour les différentes
disciplines mais surtout, des laboratoires et du matériel approprié.

I.4. SUGGESTIONS

Au regard de ce qui précède, nous suggérons, vu l’impotence des disciplines liées à


la pratique de la fonction d’Expert criminaliste au sein des FPN que leur développement
soit évolutif et enseignés ; la création des laboratoires adaptés à chaque discipline soit
réfléchie au regard des besoins imminent et la nature des infractions pour répondre
efficacement à la résolution de celle-ci. Par exemple avec la création d’une base de
données et d’un fiché national de police d’identification judiciaire en s’inspirant du
model Russe qui utilise le système AFIS.

II. DE LA SECURITE JURIDIQUE DE LA SURETE DE L’ETAT

Le but et les objectifs de ces différentes notions reposent essentiellement sur une
compréhension des enquêtes sur les crimes contre la sécurité de l’Etat. Lesdits objectifs
sont :

1) Formation de connaissance sur les dispositions de base du soutien organisationnel


à l’enquête préliminaire sur les crimes dans le domaine de la sécurité de l’Etat ;
2) Types et caractéristiques des informations juridiquement significatives nécessaires
pour organiser une enquête sur les crimes contre la sécurité de l’Etat ;
3) Les principaux types d’actes répressifs utilisés dans les enquêtes sur les crimes
contre la sécurité de l’Etat ;
4) Développer des compétences pour résoudre les problèmes d’utilisation
d’informations juridiquement significatives des lois de l’organisation de la
procédure pour crime contre la sécurité de l’Etat ;
5) Développer des compétences pour résoudre les problèmes d’utilisation
d’informations juridiquement significatives lors de l’organisation de procédure de
crimes contre la sécurité de l’Etat ;
6) Développer les compétences nécessaires pour résoudre les problèmes liés à
l’adoption des actes répressifs nécessaires à l’enquête sur les crimes contre la
sécurité de l’Etat ;

7) Formation d’une expérience pratique dans la conduite d’enquête et d’autres


actions procédurales dans le cadre d’enquête sur les crimes dans le domaine de la
sécurité de l’Etat ;
8) Formation d’une expérience pratique dans l’adoption des actes répressifs
nécessaires aux enquêtes sur les crimes contre la sécurité de l’Etat.

II.1. LE ROLE DE L’ENQUETEUR :

Un enquêteur est un fonctionnaire habilité, dans le cadre de la compétence prévue


par le législateur, à mener une enquête préliminaire dans une affaire pénale.

Cependant, l’enquêteur est autorisé :


1) Engager une procédure pénale de la manière établie par le présent code ;

2) Accepter l’affaire pénale pour sa procédure où la transmettre au chef de


l’organisme d’enquête pour renvoi selon la juridiction ;
3) Diriger de manière indépendante le déroulement de l’enquête, prendre des
décisions sur les actions procédurales, sauf dans le cas où, conformément au
présent code, il est nécessaire d’obtenir une décision de justice ou le consentement
du Chef de l’organisme d’enquête ;

4) Donner à l’organisme d’enquête, dans les cas et de la manière établie par le


présent code, des instructions écrites obligatoires pour mener des activités de
recherche opérationnelle, mener certains actions d’enquête, exécuter les décisions
de détention, d’arrestation et d’autres actions procédurales ainsi que de recevoir
une assistance dans leur mise en œuvre.
Toutefois, ce stage m’a également permis de savoir que les deux mondes de la
sûreté et de la sécurité sont étroitement liés. Par abus de langage, on confond souvent
‘’Sûreté et ‘’Sécurité’’ or il existe une subtile différence.

II.2. Définition de la sûreté :

La sûreté est l’ensemble des mesures déployées pour prévenir les actes de
malveillances humaines, pour protéger les biens et les personnes de leurs conséquences
telles les vols ou encore les attentats.

Exemple de problématiques sûreté :

 Le vol industriel du travail de recherche d’un service R&D

 Le sabotage d’équipements sensibles dans les moyens de transports ;

 Les risques d’attentats dans les lieux publics ;

 Les incendies volontaires d’entrepôts de stockage ;

 Les intrusions dans les hôpitaux et établissements de santé ; Les agressions


dans les agences bancaires.

Ces risques peuvent-être limités en contrôlant l’accès aux zones sensibles et


stratégiques des sites, ceci s’inscrit dans les mesures de solutions de contrôle d’accès.

II.3. Définition de la sécurité :

La sécurité est l’ensemble des mesures déployées pour protéger les biens et les
personnes des accidents et catastrophes causées naturellement tels les incendies ou
encore les catastrophes naturelles.

La différence entre les deux termes Sûreté et Sécurité serait donc la notion
d’engagement, de responsabilité individuelle dans l’origine de l’acte qui impose des
mesures de prévoyances ou de protection. Dès lors qu’il y a une intention malveillante,
une réelle intention de nuire, le risque relève de la sécurité.

Exemples de problématiques sécurité :


 Les risques d’incendie naturel d’une centrale de stockage de déchets qui peuvent
être évités avec des caméras thermiques pour détecter la chaleur et prévenir le
risque ;
 Les aléas climatiques qui peuvent mettre en péril la sécurité d’un site seveso et par
conséquence ne plus assurer la sécurité des personnes présentes aux alentours de
ce site sensible ;
 Une mauvaise protection des données et des infrastructures informatiques qui
pourrait causer des failles de sécurité dans les moyens de communication des
contrôles d’accès ou une fuite des données personnelles.

En matière de sécurité, il existe un grand nombre de règles et de textes de loi qui


obligent les entreprises, les lieux recevant du public, les administrations et tous les sites
où il y a un risque potentiel pour les usagers.

En ce qui concerne mon travail sur mon thème de soutenance ‘’Responsabilité


Pénale pour fraude dans le domaine de l’information en vente de la législation de la
Russie et des pays étrangers’’.

La thèse était consacrée à un sujet très actuel qui intéresse les instances
législatives dans le domaine du droit pénal. Relevant en détail le concept de la
responsabilité pénale pour ce type de crime dans la fédération de Russie, ainsi que dans
divers pays étrangers. Une analyse rétrospective est présentée. Dans ladite thèse, un
aspect de la politique actuelle de l’Etat est abordé. Et également analysé la position du
précédent judiciaire et de la doctrine dans la formation de ce corpus delicto dans la
Russie moderne des pays étrangers.

Le travail consiste en l’introduction de deux chapitres, sept paragraphes, la


conclusion de liste des références et des applications.

Dans le premier chapitre, nous avons les caractéristiques pénales de la fraude


dans le domaine de l’information informatique, ses fondements fondamentaux, sa
catégorisation et un regard sur la délinquance sortant de la rue vers intérêt.

Le deuxième chapitre « Le problème de la qualification et de l’amélioration de la


législation sur les responsabilités pour fraude dans le domaine de l’information
informatique, qui a pris en compte l’expérience nationale et étrangères » est consacré
aux questions de qualifications et de délimitation des infractions connexes de fraude
dans le domaine de l’information informatique.

En conclusion, une formulation des conclusions basées sur les résultats de


l’Etude. Et en particulier, les informations disponibles dans les sources ouvertes sont
résumées. Le travail final de qualification (thèse) m’a valu la note : ‘’Excellent’’ (5/5) et la
note de la pratique : ‘’Bien’’ (4/5). (Voir en Annexe la liste des matières de base).

CONCLUSION :

En définitive disons que, pour le compte de la première vague 2017-2023 trois


(03) policiers régulièrement inscrit à l’université du ministère de l’intérieur de Moscou en
Russie ont soutenu leurs thèses de fin de cycle avec mention « Excellent » pour les deux
premiers et mention « Bien » pour le troisième courant le moi de juillet 2023 après cinq
années d’université plus une année de langue. Le Capitaine Claude Mysere DINDAH
et le Lieutenant EFFAYONG OYE Adelar Marlin ont soutenu en En EXPERTISE
JUDICIAIRE et Le Capitaine MARITA PEKE Sergio a quant à lui soutenu en
SECURITE JURIDIQUE DE LA SURETE DE L’ETAT.

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