Dans les deux premières méditations de Descartes, il remet en
question tout ce qu'il croyait savoir. Dans la première méditation, il se demande si nos sens et nos perceptions sont fiables. Dans la deuxième méditation, il se demande s'il peut douter même lorsqu'il doute. Finalement, il conclut qu'il existe au moins une chose dont il est sûr : le fait qu'il doute, ce qui le conduit à dire "Je pense, donc je suis."
1. Le doute des sens : Descartes commence
par remettre en question la fiabilité de nos sens et de nos perceptions. Il soulève l'idée 2. Le doute hyperbolique : Ce doute va plus que nos sens peuvent parfois nous tromper. loin. Descartes se demande s'il peut être Par exemple, il explique que les rêves trompé même lorsqu'il doute. Il envisage la peuvent sembler très réels, même s'ils ne le possibilité qu'un "malin génie" ou un être sont pas. Cela suggère que tout ce que malveillant puisse manipuler sa pensée pour le tromper sur tout ce qu'il croit savoir. Ce nous percevons avec nos sens pourrait être doute est plus radical et met en doute la trompeur. possibilité de savoir quoi que ce soit de manière certaine. "Plusieurs fois en rêve j'ai cru que j'avais quelque chose de très précis, alors que maintenant je m'aperçois "Il n'y a donc pas de doute que tout cela que que je n'avais rien du tout." je perçois est trompeur s'il est une fois vrai que ( doute des sens) rien de ce qui est donné à ma pensée par mes sens ne peut être sûr." ( doute hyperbolique)
Ces citations reflètent la remise en question de la fiabilité des sens et l'introduction
du doute hyperbolique dans les méditations de Descartes.