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Quels sont les objectifs du rationalisme ? Aussi, pourquoi ces objectifs sont-
ils, en quelque sorte, compatibles avec la foi religieuse ?
Rationalisme : Les humains doivent utiliser leur raison pour comprendre la nature
(de Dieu). Vision humaniste du monde
Objectifs :
L’être humain est capable de raison pour comprendre la nature, et est capable d’avoir
un regard critique sur les croyances non-frondées.
Puisque la certitude est le rejet susceptible de tout doute, il sera sûr que ses
nouvelles connaissances sont véridiques.
Quels sont les trois premiers arguments développés par Descartes pour
rejeter les sensations (et affirmer qu’elles ne sont pas la base de la
connaissance) ?
Les intuitions fondamentales semblent innées, claires et donc, ne sont pas doutées.
On a besoin de ses intuitions pour penser et comprendre le monde, il est difficile
de les remettre en question sans créer de contradiction.
Si jamais c’était un malin génie qui contrôlait nos pensées et nos expériences, il se
pourrait que même nos intuitions fondamentales soient fausses.
Cognito : <<Je pense, donc je suis>> Même si le malin génie me manipule les
pensées et me fait douter, il ne peut pas me faire douter de mon existence en tant
que penseur. Peu importe s’il me trompe, je sais que c’est moi qu’il trompe,
puisque je suis capable de pensée, j’existe
Quelles valeurs les humains devraient-ils mettre de l’avant afin d’avoir une
vie accomplie selon la conception de Descartes ? Et pourquoi celles-ci ?
1. Raison, clarté, pensée, quête de vérité : parce que c’est en ayant des
connaissances rationnelles qu’on peut avoir la certitude et de l’avancement de
l’homme, et comprendre un peu mieux le monde qui nous entoure.
La clarté des idées provient beaucoup plus de la redondance des sensations. Nos
sens nous transmettent d’abord de l’information par des impressions, qui sont
ensuite entreposées dans la rationalité.
<- sensoriel -o- rationalité ->
Pourquoi Hume juge-t-il que les humains sont principalement des êtres
sensoriels ?
On ne choisit pas d’activer nos sens, ceux-ci nous imposent des sensations.
Quels sont les trois facteurs pouvant expliquer la puissance d’un sentiment ?
Et comment chacun d’eux influence-t-il la force d’un sentiment ?
- La haine engendre de la colère lorsque une personne pour qui nous ressentons
de la haine ressent du bonheur. Ou lorsqu’une personne pour laquelle on ne
ressent pas de haine nous fait du tort, donc on ressent de la haine, et aime nous
faire du tort (bonheur), donc on ressent de la colère. Plus on hais une
personne, plus notre colère par rapport au bonheur de cette personne peut être
grande. Plus le malheur qu’on soulage est grand, plus on ressent de la
bienveillance (en passant par la sympathie)
Notre nature sensorielle nous amène à organiser les sensations selon le principe de
comparaison. Si quelqu’un vit du bonheur, automatiquement, on dévalue le notre,
ou on amplifie notre malheur.
Générateurs de proximité :
Relationnelle : notre capacité à côtoyer la personne sur une base fréquente ou non.
Relation d’idée : On attribue des caractéristiques aux autres qu’on attribut à nous-
même.
- Parce que ces deux sentiments sont basés sur notre perception du
bonheur/malheur d’autrui par rapport au notre. La méchanceté est générée
lorsque nous voyons qu’une personne vit un malheur, nous amplifions notre
évaluation de notre bonheur, et on se régale de la souffrance de quelqu’un.
- L’envie est lorsqu’une personne ressent du bonheur, se qui fit que notre
évaluation de notre bonheur dévaluée, et on considère donc le bonheur
d’autrui comme précieux, et nous désirons avoir ce bonheur pour nous-même.
La rationalité va main dans la main avec les sens (Descartes), et que ces grâces
aux sens qu’on voit qu’une personne souffre.
o Par comparaison avec notre bonheur : plus nous sommes heureux, plus il
est facile de ressentir de la sympathie pour le malheur des autres.
Si une personne sert mes intérêts (rend ma vie meilleure), j’aurai plus tendance à
ressentir de la sympathie, la bienveillance et la compassion.
Au contraire, si une personne et moi n’avons pas les mêmes intérêts, je serai plus
tentée de ressentir de la méchanceté, de l’envie puisque le bonheur de cette
personne me cause des pertes.
Pourquoi les humains vivant dans une même communauté finissent-ils par
être interreliés par des relations affectives ?
Pourquoi ce réseau affectif nous invite-t-il à chercher l’appréciation des
autres ? Et pourquoi la vie accomplie passe-t-elle par le sentiment d’être utile
selon Hume ?
Égalité et fraternité
Gratitude et gentillesse
Sympathie et compassion
Les humains sont les meilleurs pour détourner leurs fonctions naturelles de leurs
objectifs respectifs afin d’en faire un « mauvais » usage.
Édifier les lois morales et les respecter de son plein gré, par désir d’être
bon.
Parce que le bu de la personnalité est d’être une personne, donc agir de manière
désintéresser avec un sentiment moral du devoir.
Actions motivées par nos intérêts (ce qui est bénéfique pour nous). En apparence,
on pourrait faire une une bonne action par motivation morale, mais en faite on la
fait pour nous.
Ignorer l’importance des principes moraux pour suivre ses propres intérêts.
On est dépouillé de notre protection contre les vices parce que la méchanceté nous
rend vulnérable à l’égoïsme.
On ne peut pas utiliser les sens ou la raison pour prouver l’existence de Dieu.
Alors, puisqu’il n’est pas possible de prouver rationnellement que Dieu existe, on
croit en son existence.
Ensemble des actions accomplie pour montrer qu’on est dévoué à une divinité.
Devenir une bonne personne (respecter les devoirs de la rationalité) ->vivre dans
la rigidité morale
Humain agit selon les principes moraux sans avoir d’intérêts personnelles.