Colle français

Imagination ni vrai ni fausse donc donne aucune info sur caractère véridique
+ souvent fausse
Imagination plus dangereuse chez les “sages” + fortes que la raison
L'imagination à créer une seconde nature dans homme qui contrôle et domine raison

Elle fait croire, douter, nier la raison

Imagination comble plus de satisfaction que la raison

Ceux qui s’imaginent croie aveuglément et sont sur d’eux affirmé. Les gens les croient donc
plus que ceux qui raisonnent qui sont avec crainte et défiance
Rend pas les fou sages mais les rend heureux → couvre de gloire
Raison rend les gens misérables → couvre de honte
Imagination permet le respect et la vénération
Importance du paraître

Définitions selon Pascal :

Traditionnellement, l’imagination se définit comme la capacité à se représenter des
choses fictives dans l'esprit. Cependant Pascal la définit comme une capacité innée de l'être
qui s’oppose à la raison. Elle est évoquée au sens de fantasme, d’illusion qui n’auraient
aucune valeur de vérité. Ce serait une part de notre esprit.

De même, la raison est habituellement définie comme la capacité de l’esprit à

réfléchir, connaître et juger. Pascal, la voit comme une capacité soumise à l’imagination, qui
serait incapable d’imposer la vérité.

Thèse :
Selon Pascal, l’imagination est une force de l’esprit supérieur en tout point à la raison qu’elle
soumet. Pascal soutient que l’imagination est la plus forte y compris chez ceux qui se croient
sage ou raisonnable. Il affirme qu’elle influe grandement les discussions et les débats et
qu’elle a un fort impact sur les relations sociales et la politique.

I) Comment l’imagination domine-t-elle la raison et toute chose.

II) En quoi cette domination de l’imagination touche tous les être.
III) L’impact sur les êtres la société.

I) Dans sa première phrase, Pascal nous présente une première vision de l’imagination
comme une partie essentielle de l’homme. Il la définit comme une source d’erreur.
L’imagination n’apporterait a priori aucune information sur le caractère véridique des choses
car elle n’est pas constante. En effet, elle nous fait voir tant des choses fausses que vraies.
Cependant elle est plus souvent fausse.
La raison semble entièrement soumise incapable de s’imposer face à l’imagination. En effet,
l’imagination est au même titre que la raison une part essentielle de l’homme cependant,
cette dernière nécessite un effort quand l’autre vient naturellement et tend donc à
s’imposer. Par exemple : un homme dans le désert manquant d’eau va plus facilement croire
qu’il voit une source d’eau au loin alors que la raison lui dirait logiquement que c’est
impossible.
Même pour des personnes intellectuelles chez qui la raison est très développées, dans des
situations où elles seraient logiquement en sécurité, leur imagination tendrait à leur faire
croire le contraire.
Par exemple, on sait que l’avion est un moyen de transport le plus sur cependant certaines
personnes redoutent de le prendre.
La raison est comparée à une feuille qui oscillerai au gré de l’imagination. La raison qui ne
traite que de la réalité n’a aucun poids face à la tendance des hommes à juger et à jauger les
choses en fonction de leurs émotions et de désirs. On peut le voir avec l’exemple d’une mère
qui face à deux avis sur son enfant préfèrera croire celui qui est positif même s’il est décalé
de la réalité.
Enfin, l’imagination est définie comme une puissance absolue qui disposerait de tout. Ainsi
l’imagination serait une condition du bonheur.

Dissertation :
Introduction :
Pascal dans son œuvre Les pensées publié en 1670 écrit : « le plus grand philosophe
du monde sur une planche plus large qu'il ne faut, s'il y a au-dessous un précipice, quoique
sa raison le convainque de sa sûreté, son imagination prévaudra ». Dans cette citation, on
retrouve le verbe falloir qui représente donc une nécessité, ici au sens ou même face à
quelque chose de tangible l’imagination est supérieur. On a donc une opposition entre la
raison qui convainc l’homme d’une réalité qui est objective et l’imagination qui le persuade
que le danger est présent. Ainsi, même le plus grand savant se laissera tromper par son
imagination dans une situation où il pourrait y avoir un danger potentiel même très faible.
Spontanément on aurait tendance à penser que l’homme est capable de réflexion.
C’est-à-dire que sa raison serait développée et lui permettrait donc de faire face aux illusions
et de réagir de manière sensée.
Cependant, l’imagination ne dominerait-elle pas la raison ? Ne dicterait-elle pas nos
action en nous séduisant ? Pascal affirme qu’elle persuade les hommes et qu’elle rend la
raison impuissante face à nos désirs et à passions.
Ainsi on peut se demander si

En plaçant ce questionnement dans la perspective des œuvres du programme : Les liaisons

dangereuses de Choderlos de Laclos, La crise de la culture et Du mensonge à la violence de
Hannah Arendt et Lorenzaccio de Alfred Musset, nous nous questionnerons, sur

Les dernières études en neuroscience montrent que le plus souvent le cerveau fait un choix
avant même qu’on croit avoir décidé
Remarques :
Explication linéaire :
Eviter le moi ou le je
Plutôt bien
Pas trop de paraphrase
Se poser plus de questions, plus souvent se poser la question pourquoi.
Suivre les propose du texte l’expliciter et ensuite donner un exemple pour montrer qu’on a
compris.
Essayer d’être plus précis sur les exemples importants.
On pert parfois le texte de vue.
Quand ça ne va pas de soi c’est là qu’il faut pointer sur l’explication.
Penser aux transitions.
Pour le plan donner les lignes.
Essayer d’aller plus loin chercher pourquoi il fait cette critique. Qu’est-ce qu’il critique en
filigrane.
Essayer de citer un peu le texte pour qu’on le garde bien en tête.
Expliquer toutes les idées même si ce n’est pas super claire pour nous

Toujours linéaire dans l’analyse

Dissertation :
Développer plus l’évidence et la réfutation. Questionner toute les parties de la citation.
Approfondir un peu plus en essayant
Bien présenter les 2 aspect de la phrase
Les bonnes raisons d’aller dans le sens de la citation et toutes les raisons de ne pas y aller.

Accroche : on peut partir du présupposé ou du lien entre phrase et notion.

Pascal  très grosse influence de dieu.

Partie 3 : faire la remise en cause du présupposé.