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Exercice n°1
Les fils d’aluminium utilisés comme conducteurs électriques sont recouverts de nickel afin d’éviter la
formation de couche d’alumine isolante qui peut engendrer des problèmes de contact.
Pour le nickelage d’un fil (f) d’aluminium, on réalise l’électrolyse d’une solution de sulfate de nickel
(Ni2+ + SO42-) en utilisant un générateur de tension continue.
Le fil (f) d’aluminium est utilisé comme une électrode.
L’autre électrode est une tige (T) de nickel de masse m1= 50g.
1) La transformation ayant lieur au niveau du fil (f) est modélisée par l’équation :
Ni2+ + 2e- Ni
a- cette transformation modélise-t-elle une oxydation ou une réduction ? Justifier.
b- Le fil (f) joue-t-il le rôle d’une anode ou d’une cathode lors de cette électrolyse ?
c- Écrire l’équation modélisant la transformation ayant lieu au niveau de la tige de (T) de nickel.
d- Donner le nom de ce type d’électrolyse. Nommer une application industrielle de cette électrolyse.
e- Donner le schéma du montage permettant de réaliser cette électrolyse et indiquer l’électrode reliée
au pôle (+) du générateur et celle reliée au pôle (-).
3) Après une durée Δt =20 mn d’électrolyse, le fil (f) se recouvre d’une couche de nickel de masse m2=5,9g.
a- Que devient la masse de la tige (T) de nickel après cette durée d’électrolyse.
b- Calculer l’intensité du courant, supposée constante, débité par le générateur.
- Cu 2+
Br
2) On ferme l’interrupteur K, l’électrolyse est réalisée sous une tension E avec une intensité constante I.
Au bout d’une durée Δt, on constate que la cathode se recouvre d’un dépôt de cuivre
métallique et au voisinage de l’anode, il se forme le gaz dibrome Br2.
a) Sur le schéma du dispositif d’électrolyse précédent, indiquer par des flèches, le sens de
déplacement des anions et celui des cations lorsque l’interrupteur K est fermé.
b) Ecrire les équations correspondant aux transformations se produisant aux deux électrodes.
c) Préciser l’électrode siège d’une oxydation et celle siège d’une réduction.
Exercice n°3
On veut déposer par électrolyse à anode soluble une couche d’argent (Ag) d’épaisseur 50 m sur une
cuillère dont l’aire de la surface est égale à 100 cm2.