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Sont présents :
Ordre du jour :
Documents joints à ce PV :
A. Ouverture du CHS........................................................................... 3
F. Annexes ....................................................................................... 11
Mme Brodard souligne qu’il n’y a pas le quorum nécessaire au déroulement du CHS. M.
Guinot demande à ce qu’il ait quand même lieu vu le nombre d’annulation qu’il y a déjà
eu pour ce dernier. M. Puichaud-Chaudot notifie qu’une nouvelle liste des membres va
également devoir être établie avant le prochain CHS, suite aux arrivants élus au Conseil
d’Administration.
D. Ordre du jour
Mlle Heim est chargée de présenter le document unique ainsi que sa démarche
d’évaluation des risques.
La liste des risques qui en découle devra être organisée par un système de notation, qui
dépend de la fréquence à laquelle la personne est exposée au risque, de la gravité de
l’accident qui peut en découler, et du nombre de personnes exposées.
Mlle Heim confirme, suite à la question de Mme Hergott, que les étudiants seront pris en
compte dans cette évaluation, sur la base du volontariat, par des réunions, des
questionnaires …
Mme Brodard évoque l’évaluation des risques au niveau du restaurant universitaire, mais
M. Guinot marque le fait que ce restaurant est sous la responsabilité du CROUS, qui
devra établir son propre document unique. Le service Hygiène et Sécurité du site se tient
cependant à disposition du CROUS pour ce faire et n’hésitera pas à les relancer pour
qu’ils se mettent à jour.
Mme Hergott demande s’il existe déjà un calendrier prévisionnel pour ces évaluations. M.
Guinot explique la rencontre récente de la médecine de prévention et de la technicienne
HSE, qui collaboreront dans cette étude et planifieront des dates pour les visites dans les
locaux.
Suite à la demande de Mme Hergott, M. Guinot estime à 2 ans le temps nécessaire pour
un premier tour d’horizon, considérant la nécessité d’un travail sérieux de fond et
d’analyse.
Mme Brodard suggère l’association d’entreprises spécialisées telles que l’ANACT, qui a
des missions de conseil dans l’élaboration de ce type de document. M. Guinot rappelle
que les sociétés extérieures ne font pas foi de règlement au vue des dispositions
particulières de l’enseignement supérieur et que, d’autre part, l’Université dispose d’un
service propre avec concertation d’un inspecteur délégué, dont le dernier passage est
relativement récent.
2. Le plan de prévention
3. Point sur les travaux de l’année 2007
4. Point sur les travaux de l’année 2008
M. Guinot aborde les différents points du domaine de la sécurité traités en 2007 et ceux
prévus en 2008 (Annexe 3).
Cette année universitaire (2007) sera marquée par l’interdiction formelle de fumer dans
les locaux, une campagne de prévention sera programmée en collaboration avec le
service médical, une campagne d’affichage est prévue.
Un travail efficace par son sérieux et sa constance a été réalisé par le service médical et
les moyens généraux pour faire respecter cette interdiction : la réforme perdure jusqu’à
présent.
M. Guinot souligne alors que, les plus gros travaux ne pouvant être réalisés que 6
semaines par an, durant les congés scolaires, l’échéance du prochain passage de la
Commission serait trop importante pour satisfaire pleinement la sécurité du campus.
De ce fait, des visites ont à nouveau été organisées, à raison de 7 pour cette année, la
première étant déjà été effectuée au bâtiment L (avis favorable).
A l’IUT de Ville d’Avray, une étude sera réalisée par le rectorat et la région afin d’étudier
le remplacement du bâtiment restauration.
A Ville d’Avray, comme l’explique M. Guinot, un des bâtiments, abritant essentiellement
la restauration, ne présente pas de stabilité au feu. L’étude préalable aux travaux est en
cours en collaboration avec le Rectorat. Il est important de prendre également en compte
la remise en place de consignes de sécurité et d’une détection incendie rapide afin de
Lancer une campagne d’information pour informer le personnel sur le travail de l’unité
AVI.
Dans le domaine de la sûreté, il existe sur le campus, une unité d’Aide aux Victimes
d’Infractions (AVI). Celle-ci est un trait d’union logistique et technique permettant un
accompagnement des personnes qui auraient subi toute forme d’agression.
L’unité AVI permet d’orienter la personne, en fonction du besoin, soit vers le service
médical, soit vers le Procureur de la République, la police … Elle propose un
accompagnement en justice, un lien avec les avocats, le chef de service et le directeur de
l’UFR, un accompagnement dans les transports …
170 dossiers environ sont traités chaque année, de l’agression verbale au viol.
M. Guinot note une augmentation des agressions envers les professeurs de 400% cette
année, toute filière et toute année confondue. Il va ainsi proposer un plan d’action de
lutte contre ces agressions au futur président de l’Université.
Suite à la demande du service médical, M. Guinot confirme que le Plan Particulier de Mise
en Sûreté est terminé mais qu’il doit d’abord être validé par l’inspecteur des installations
classées. Le plan prévoit notamment une collaboration avec les radios nationales afin
d’informer efficacement les personnes de ne pas venir sur le campus en cas de problème
majeur.
Mme Brodard demande des précisions sur le plan de prévention vis-à-vis des sociétés
extérieures. M. Guinot affirme que c’est une procédure obligatoire et normale, qui est
intégrée à chaque intervention d’entreprises, et qui comprend les mesures de sécurité,
les permis feu, la formation du personnel …
M. Hechelef précise qu’un coordonnateur veille, lors des travaux, au respect des
consignes de sécurité. Le plan de prévention est un document obligatoire et imposé par
la règlementation.
Mme Hergott demande l’établissement d’une fiche pédagogique sur le PPMS et le CLS afin
de pouvoir les inclure aux concours administratifs. M. Guinot précise que le PPMS est
terminé, qu'il y a une remise à jour annuelle et qu'il peut être mis sur le site intranet car
c'est un document public.
Mme Brodard demande s’il y a des statistiques établies par rapport aux agressions.
M.Guinot informe des 174 agressions sur l’année passée et revient sur la nécessité de
privilégier la prévention de ces agressions, en sachant que beaucoup d’enseignants ont
peur d’enseigner, voir même ne veulent plus enseigner. Certains cas d’agression ont déjà
empiété sur la vie privée, privée de la victime.
Il est important de préparer les nouveaux arrivants (66 enseignants vont être recrutés
pour la prochaine année) à ces risques d’agression mais également de mettre en place
un accompagnement en cas de reprise d’activité après un arrêt de travail prolongé. Le
personnel administratif, bien que dans une moindre mesure, est également concerné par
ce problème, dans la mesure où il doit gérer et les étudiants et le personnel. Il serait
important de rajouter le harcèlement moral au plan annuel de prévention.
Mme Hergott demande si il ne faudrait pas mettre en place une formation du personnel
pour pouvoir apprendre à gérer les relations enseignants / étudiants et informe que dans
certains établissements il existe une structure de mise en commun d’expérience et de
conseil entre les enseignants.
M. Lefebvre affirme que de telles formations ont déjà été proposées mais que les
enseignants refusent d’y participer.
M. Lefebvre propose de les inclure dans le calendrier officiel des Conseils déjà existant.
M. Guinot indique également qu’un règlement intérieur du CHS sera établi et envoyé à
chaque membre du CHS pour approbation ou modification, le but étant d’aboutir à un
accord sur le fonctionnement interne des CHS d’UPX et Ville d’Avray. Cette démarche
sera entreprise après accord de la nouvelle direction de l’Université.
M. Guinot évoque plusieurs remarques qui ont été formulées à l’initiative du corps
professoral (Annexe 4) :
M. Hechelef explique que le système de régulation individuel des radiateurs dans les
salles de cours a été supprimé étant donné l’irresponsabilité de certains étudiants. Il
existe cependant une régulation centralisée pour l’ensemble des salles.
M. Bensimon propose l’installation de rideaux dans les salles qui n’en sont pas équipées :
cela permettrait une isolation sonore et thermique et rendrait possible l’utilisation du
matériel pédagogique (vidéoprojecteurs dans les salles E105 et E108).
Le docteur Dubar répond aux remarques formulées peu avant en affirmant qu’il y a trop
peu d’effectif à l’infirmerie pour assurer une permanence après 17h30 et rappelle que la
médecine de prévention ne peut se substituer à un médecin traitant.
M. Hechelef confirme la confusion fréquente entre service d’urgence et service de
prévention.
Mme Brodard regrette les difficultés qu’elle rencontre pour accéder à certaines
informations, notamment au cahier des charges des ménages lors des marchés pour les
problèmes de poussières que ce soit à cause de la craie ou à cause des ouvrages à la
BDIC et explique qu’elle trouve parfois le ménage insuffisant.
M. Guinot affirme que les appariteurs effectuent tous les jours une aspiration des
tableaux pour enlever un maximum de craie.
Mme Brodard intervient sur le problème des poussières à la BDIC (Annexe 5) et demande
à avoir accès aux analyses relatives aux travaux de désamiantage (1998 – 2000) ainsi
qu’aux travaux de dépoussiérage. Mme Brodard explique la situation et les conditions de
travail du personnel de la BDIC, notamment les magasiniers.
Suite à l’importance des problèmes exposés par Mme Brodard, un groupe de travail
spécifique à l’activité à la BU / BDIC va être mis en place, afin d’étudier tout cela de
manière plus détaillée et de trouver les solutions appropriées.
Le docteur Dubar intervient sur le bilan du rapport annuel d’activité du service médical
(Annexe 6). Mme Dubar explique entre autre qu’un des problèmes qu’elle rencontre est
le faible effectif des personnes répondant aux convocations médicales. Elle rappelle que
suite à une convocation, la personne doit prendre rendez-vous et prévenir son chef de
service, qui doit libérer la personne le temps de la visite médicale.
Mme Dubar note également que les absences aux convocations ont été amplifiées par les
problèmes de transport suite aux grèves de l’année passée.
Pour en revenir aux problèmes liés à la BDIC, le docteur Dubar affirme qu’il y a un réel
besoin de prévention chez les magasiniers, pour lesquels il existe une augmentation des
certificats d’incapacité à tenir certains postes, notamment à cause des problèmes de
Le service médical informe de la prochaine campagne nationale sur les Troubles musculo-
squelettiques (TMS) en avril.
Mme Blayo rappelle que les formations de Sauveteur Secouriste du Travail sont assurées
chaque année par elle-même. Les demandes sont nombreuses mais pas toujours suivies,
beaucoup de personnes s’inscrivent mais n’assistent finalement pas à la formation.
Le recyclage SST est également organisé la première année suivant la formation, puis
tous les deux ans.
En ce qui concerne les journées de prévention, Mme Blayo évoque le fait qu’il y en a eu
beaucoup sur le tabac, suite à la loi Evin. Il y a également eu une journée de prévention
sur le stress le 12 février 2008 avec notamment un atelier de sophrologie. Mme Blayo
souligne le fait, que même si ce fut une journée organisée essentiellement pour les
étudiants (stress des partiels), beaucoup de membres du personnel ont été intéressés
par l’atelier de sophrologie.
Mme Blayo rappelle également la présence d’une association pour la lutte contre le
cancer sur le campus.
En réponse à une question précédente concernant le service médical Mme Blayo rappelle
que le SAS souhaite la création de soins particuliers au personnel.
Mme Guatel répond qu’il faut débattre de la question dans le cadre budgétaire.
Mme Hergott suggère d’informer les chefs de service sur le fonctionnement des visites
médicales afin d’obtenir leur soutien et inciter le personnel à s'y rendre.
Mme Brodard aimerait également que l’on signale au personnel le rôle de la médecine,
notamment dans le cadre de la déclaration des accidents du travail, qu’elle a déjà vu être
refusée.
Le service médical souligne que les accidents du travail concernent principalement les
accidents de trajet.
Le problème des poussières, sur le site BDIC de l’université a été évoqué précédemment.
A la BDIC, au troisième étage, la salle de réserve des documents précieux est fermée à
clé et donc inaccessible au service sécurité, alors que tout local doit lui être accessible à
tout moment. La clé sera demandée à Mme Dreyfus.
Le contrôle des extincteurs, sur le site de l’Hôtel National des Invalides.
Un contentieux est en cours avec la société responsable du contrôle, sachant qu’elle a
demandé le remplacement de tous les extincteurs et qu’il n’aurait pas eu lieu d’être.
M. Guinot demande qu’on transmette ces modalités au service des Moyens Généraux
pour chaque chantier.
M. Chatignon demande également des informations plus précises sur les salariés
intervenant dans les bâtiments, la mise en place du permis de travail et du permis feu
obligatoire pour toute intervention.
M. Hechelef précise que la liste des intervenants est demandée à chaque entreprise, mais
que la plupart font intervenir leur sous-traitant en s’adaptant à leur planning en cours.
Il faudrait rendre obligatoire le passage par le bâtiment B avec l'obtention d'un badge
pour toute intervention de personnels extérieurs à l'université. En cas d'accident de l'une
de ces personnes c'est l'université qui serait responsable.
A la question sur le registre de sécurité M. Guinot précise que le système par mail
fonctionne très bien, laisse une trace informatique et permet une plus grande réactivité.
E. Levée du CHS
F. Annexes
Sont présents :
- Représentants de l’administration : Mme. CELESTE Vice- Président
- Mme. GUATEL
- M. HECHELEF
- M.PUCHAUD-CHAUDOT
- REGIS STAROSKA
- NATHALIE CARON
- DENIS ABECASSIS
- Docteur DUBAR
- DOCTEUR BOURENNANE
- Experts :
- JEAN-LUC GUINOT (Ingénieur hygiène et sécurité)
- ISMAËL OOJEERAULLY (Assistant Ingénieur hygiène et sécurité)
- MIREILLE BLAYO (Service médical)
- GENEVIEVE ESCAMES (Crous)
- Invité :
- Mme. REBOURCET (Assistante Sociale)
- Mme. ZEROUAL( COMETE)
Sont excusés :
- Représentants de l’administration :
- M. RAMOND
- Mme. MAZZUCHELLI
- Mme. BRAUD
- M. PRIOU
- Enseignants Chercheurs et Conservateurs
- FABRICE BENSIMON
- SYLVIE BAUER
- Représentants des Usagers
- UNI- FLORENT TALLENDIER
Ordre du jour :
1/ Approbation du procès-verbal du CHS/ 10mai 2005
2/ Rapport annuel du service médical
3/ Mise en place du décret n° 96-97, modifié par décret 97-
855,décret 2001-840, décret 2002-835 concernant le dossier
technique amiante
4/ Compte rendu des visites effectuées sur des postes de
travail en application du décret 2001-1016 du 5 novembre
2001
5/ Informations sur la campagne anti-tabac
6/ Plan de lutte contre la pandémie grippale
7/ Points sur les différents travaux de mise en sécurité
incendie
- Mise en conformité du sous-sol A/E
- Travaux d’isolement des locaux à risques
- Travaux sur le système du traitement d’air
8/ Crous : logement + boissons alcoolisées
9/ Questions diverses
La séance est ouverte à 10 heures 15 par Madame Celeste, la Vice- Présidente. Elle rappelle
l’ordre du jour et demande qu’on fasse un vote pour approuver le procès-verbal du 10 mai
2005. Le procès-verbal a été approuvé par 6 votes pour et 4 abstentionnistes. Madame Celeste
demande s’il est possible d’énumérer les questions diverses afin que les membres du chs
puissent y réfléchir.
Questions diverses :
La parole est donnée à l’infirmière, Madame Blayo. Elle présente le Docteur Iatchev, invité
extérieur de l’université. Le Docteur Iatchev est le représentant d’un organisme, nommé
Festif. Le rôle de cet organisme est de collaborer avec les Services de l’Université pour la
mise en place de la loi Evin (interdiction de fumer dans les espaces publics). Il s’exprime sur
le travail effectué avec les Services Universitaires. Des fiches ont été remises aux membres du
chs pour qu’ils prennent connaissance sur l’évolution des opérations anti-tabac sur le campus.
Ensuite, il explique que l’intervention de son organisme et les Services Universitaires font un
travail considérable. Néanmoins, il démontre à travers les graphiques des fiches que les
fumeurs sont toujours présents, usagers et personnels. Il souligne que dans certaines
universités, l’administration remet au personnel une fiche dans leur bulletin de paie pour leur
rappeler la loi Evin. Monsieur Guinot fait remarquer que l’interdiction de fumer existe déjà
dans le règlement intérieur. Il explique que ses agents pourraient faire mieux. Mais, les
récalcitrants sont toujours les enseignants, alors l’interdiction de fumer devient difficile à
mettre en place. M.Abeccassis demande de former un groupe de travail avec les enseignants,
étudiants et autres services afin de trouver une solution à ce problème. Docteur Bourennane,
rappelle qu’un tabacologue est présent sur l’Université. La consultation est gratuite pour le
personnel. Madame Celeste précise qu’il y a un énorme progrès dans l’application de la loi
Evin. Auparavant, dans les amphis enseignants et étudiants fumaient pendant les cours. Elle
ajoute qu’elle va faire la demande auprès du président pour désigner une personne afin
d’animer un groupe de travail sur l’Université dans le cadre de la loi EVIN. Saluons le travail
effectué par l’équipe du Docteur Iatchev et les services internes de l’université pour la mise en
place de cette interdiction de fumer.
Le médecin de prévention Mme Dubar, présente le rapport annuel du service médical. Elle
précise que le rapport est de 2005. C’est un bilan particulier, puisqu’elle constate une
inadéquation dans le budget des visites médicales. Les nombres de visites médicales pour le
personnel sont inférieurs à celui des étudiants. De ce fait pour équilibrer les visites, elle a pris
dans le budget des usagers. Mais, elle rappelle que la rallonge budgétaire permet de
réajuster les vacations. Elle constate une augmentation du nombre de visites médicales, en
particulier auprès des nouveaux arrivants. Par ailleurs, elle précise que le ministère demande
aux médecins de prévention d’être présents sur le terrain pour plus des visites préventives
dans les locaux. Mme Celeste, souligne que le fait de rencontrer les membres du personnel
permet à l’administration de renforcer le budget médical.
Le docteur Bourennane prend la parole. Elle précise que la pandémie grippale est toujours
présente. Le Ministère a transmis un plan qui prévoit des mesures conservatoires adaptées
pour assurer les fonctions essentielles dans les établissements en cas d’alerte pandémique. Les
membres du chs affiche l’importance de monter un groupe de travail pour donner une bonne
information aux usagers et personnels. M. Guinot, affirme que son équipe a déjà récupéré des
cadavres d’oiseaux sur le campus. Il précise qu’il travaille en étroite collaboration avec les
services hygiène de la Mairie. Les agents ont des consignes particulières pour l’enlèvement
d’un cadavre animal (Périmètre de sécurité, gants, double sac).Ensuite contacté le service
hygiène de la mairie. Mme. Escamesse rappelle, que les mesures seront prises en adéquation
avec le plan du Ministère pour les résidences et restaurants CROUS. M. Guinot, souligne que
le Ministère lui a transmis un dossier à remplir sur le plan de la pandémie grippale.
Pour la mise en sécurité des bâtiments. M.Hechelef, précise que suite au passage de la
commission de sécurité, un avis défavorable a été remis pour non-conformité au règlement
Madame Pluvinage souhaite qu’on aménage des espaces, afin que le personnel puisse se
rafraîchir pendant la période caniculaire. Madame Céleste prend en compte sa remarque.
Le médecin de prévention, Dr DUBAR, présente le rapport annuel pour l'année 2005. C'est un
bilan particulier puisque c'est la première année où le médecin directeur, D r REDIN, avait fait
correspondre le budget alloué par l'université pour la médecine de prévention du personnel, au
coût réel, comprenant notamment, les frais de secrétariat, d'infirmières, de matériel..., jusque-
là payés par le budget de médecine préventive étudiante. Cette régularisation avait entraîné
une diminution du nombre de vacations sur l'année 2005. Mme CELESTE précise qu'à la suite
de la mise en place d'un comité de pilotage pour des actions en faveur du personnel, le budget
de médecine préventive a été revu à la hausse. Par ailleurs, le Dr DUBAR précise que le
ministère demande aux médecins de prévention d'accentuer la présence sur le terrain (visites
de postes, locaux...).
DEMARCHE D’ELABORATION DU
DOCUMENT UNIQUE
Une mise à jour obligatoire est prévue chaque année, mais aussi en
cas d’aménagement important ou de supplément d’information quant
à l’évaluation des risques.
Bonne lecture !
4) Méthodologie de travail
a. Les lieux concernés
b. Les personnes concernées
c. L’organisation de la démarche
d. Fréquence et gravité
5) Planning
« Art. R. 230-1. - L'employeur transcrit et met à jour dans un document unique les résultats de
l'évaluation des risques pour la sécurité et la santé des travailleurs à laquelle il doit procéder
[…]. Cette évaluation comporte un inventaire des risques identifiés dans chaque unité de travail de
l'entreprise ou de l'établissement.
La mise à jour est effectuée au moins chaque année ainsi que lors de toute décision
d'aménagement important modifiant les conditions d'hygiène et de sécurité ou les conditions de
travail, […], ou lorsqu'une information supplémentaire concernant l'évaluation d'un risque dans une
unité de travail est recueillie.
Le document, […], est tenu à la disposition des membres du comité d'hygiène, de sécurité et des
conditions de travail ou des instances qui en tiennent lieu, des délégués du personnel ou, à défaut,
des personnes soumises à un risque pour leur sécurité ou leur santé, ainsi que du médecin du travail.
Il est également tenu, sur leur demande, à la disposition de l'inspecteur ou du contrôleur du travail ou
des agents des services de prévention des organismes de sécurité sociale et de certains organismes. »
a. Qui est-il ?
Le document unique d’évaluation des risques constitue un support écrit témoignant des différents
risques auxquels sont confrontés les employés et étudiants de l’université.
Il présentera la nature des dangers, les risques encourus, leur importance (cf. paragraphe
« Fréquence et gravité »), les moyens de prévention déjà existants et les moyens de prévention à
mettre en œuvre si des risques subsistent.
Après analyse de ces risques, le document unique permet de planifier des actions à mettre en œuvre
et de suivre leur évolution.
Le document unique d’évaluation des risques est tenu à la disposition du médecin du travail, des
membres du comité d'hygiène et de sécurité, des délégués du personnel, et en cas d’absence de ces
deux derniers groupes, à toute personne soumise à un risque pour sa sécurité ou sa santé.
Il est également tenu de le présenter, sur demande, à l'inspecteur ou contrôleur du travail, des agents
des services de prévention, des organismes de sécurité sociale et divers organismes de prévention des
risques particuliers.
a. Les risques
Différentes catégories de risques sont à identifier pour établir un document unique complet et
exploitable. Ces risques peuvent concerner :
- la communication
- l’organisation
- la charge physique ou mentale de travail
- la condition physique
…
b. Intérêt de la démarche
L’intérêt de ce document sera bien évidemment de répondre aux exigences de la loi mais aussi
d’améliorer la qualité de vie et la sécurité des membres de ce campus, tout en permettant à chacun
de participer à son élaboration, en témoignant des problèmes rencontrés et des impressions
ressenties.
4) Méthodologie de travail
Seront concernés par l’étude, tous les bâtiments de cours du campus, mais également les bureaux, la
bibliothèque universitaire, le BDIC, le complexe sportif, le restaurant universitaire, les lieux de
restauration, les ateliers et laboratoires, et enfin tout l’extérieur du campus.
c. L’organisation de la démarche
Dans un premier temps, il s’agira de faire un état des lieux du bâtiment étudié, afin de constater
d’éventuelles anomalies générant un risque éventuel pour l’Homme.
Ensuite, en ayant préalablement recensé les différents types de profession exercées à l’intérieur du
bâtiment, il sera important de côtoyer chacune d’entre elles afin d’observer les différentes actions liées
à la tâche mais aussi d’entendre et de comprendre les différents propos tenus par les employés.
Le nombre de personnes étant très important sur ce campus, il est préférable d’établir de petits
groupes de travail à l’intérieur de chaque corps de métier, afin de rencontrer un maximum de
personnes et rendre ainsi une intégrité et une valeur sûre au document unique.
De plus, une collaboration étroite avec la médecine préventive permettra de préciser l’importance des
risques en fonction, des incidents, des accidents de travail ou des maladies professionnelles
recensées.
Suite à ces démarches et grâce aux indices de fréquence et de gravité employés pour l’établissement
du document unique, une cote plus ou moins importante sera attribuée à chaque risque recensé,
permettant ainsi une hiérarchisation en vue de l’entreprise d’actions préventives.
d. Fréquence et gravité
La combinaison des deux éléments permet d’attribuer un degré d’urgence plus ou moins important à
un risque et de planifier en fonction de ces degrés, les actions à entreprendre au plus vite.
Echelle de fréquence
1. Rare (une fois par an)
2. Occasionnel (deux à dix fois par an)
3. Moyennement fréquent (une fois par mois)
4. Fréquent (une fois par semaine)
5. Très fréquent (plus d’une fois par semaine)
Echelle de gravité
1. Incident mineur (légère contusion)
2. Incident modéré (blessure légère)
3. Incident majeur (blessure grave)
4. Incident sévère (blessure grave avec AT d’une semaine)
5. Incident critique (blessure grave avec AT de plus d’une semaine)
A titre d’exemple, un accident survenant trois fois par mois et ayant des conséquences sévères aura
une cote de : 4 (fréquent) x 4 (sévère) = 16.
Un accident survenant 2 fois par semaine, et ayant un impact mineur aura une cote de : 5 (très
fréquent) x 1 (mineur) = 5.
On constate donc la priorité des évènements à traiter, puisqu’une cote de 16 sera beaucoup plus
urgente qu’une cote de 5.
5) Le planning
La répartition du travail se fera par services puis par profession, chaque groupe pouvant intervenir sur
plusieurs bâtiments du campus, il faudra réaliser un suivi sur le terrain :
Il sera important que le maximum de personnes y participe afin de souligner les problèmes rencontrés
et d’améliorer la sécurité et les conditions de travail de tous.
Un bilan sera créé à chaque fin de mois et mis à disposition sur simple demande.
Fréquence de l’exposition
Généralités :
Cette année universitaire sera marquée par l’interdiction formelle de fumer dans les locaux,
une campagne de prévention sera programmée en collaboration avec le service médical, une
campagne d’affichage est prévue.
Après RDV avec la directrice de cabinet du Préfet des hauts de seine, il a été décidé de
relancer les visites des commissions départementales de sécurité, un calendrier sur l’année
universitaire 2007 – 2008 sera réalisé, un calendrier identique sera réalisé avec la mairie afin
de programmer les commissions communales.
Travaux d’isolement en sous-sol des bâtiments F et G (isolement coupe feu des locaux à
risques)
A l’IUT de VILLE AVRAY, une étude sera réalisée par la rectorat et la région afin de
d’étudier le remplacement du bâtiment restauration (pas de stabilité au feu).
Après acquisition d’un logiciel spécifique pour l’établissement d’un document unique
d’évaluation des risques, monsieur OOJEERAULLY est chargé de former à l’utilisation le
personnel du centre médical (infirmière de prévention et médecin du travail), le technicien
Hygiène et sécurité du l’IUT.
Sûreté
Lancer une campagne d’information pour informer le personnel sur le travail de l’unité AVI
(aide aux victimes)
Terminer le travail de collaboration avec la mairie de Nanterre et finir des fiches actions du
contrat local de sécurité (signature par le Président de l’université novembre 2007)
Mise en place du contrôle d’accès (cahier des charges, travaux pour fin 2007)
Le plan de mise en sûreté doit impérativement être terminée pour le fin novembre 2007, une
nouvelle réunion avec l’inspection des installations classées sera prévue pour juin 2007.
- Infirmerie : ouverture souhaitée au-delà de 17h ; possibilité souhaitée par les collègues de
consulter les médecins sur place.
- Toilettes : pas de savon, et dans certains cas pas de serviettes ; remplacement des serviettes
existantes trop peu fréquent.
- Craie : nettoyage des « gouttières » sous les tableaux amélioré mais encore irrégulier ;
nettoyage des boîtes contenant les craies quasi-inexistant.
D’où des problèmes respiratoires et cutanés, notamment pour les personnes
allergiques.
- Chauffage : chaleur excessive dans les salles liée à l’absence de possibilité de réglage des
radiateurs. Problème particulièrement sensible à l’inter-saison (automne et printemps quand il
fait encore beau, et que le chauffage fonctionne). Problème aigu en novembre dernier (qui se
reposera au printemps) dans les salles donnant sur le RER où un chantier s’est ouvert : ces
salles sont exposées au soleil le matin ; on ne peut ouvrir les fenêtres à cause du bruit du
chantier, ni baisser le chauffage ; la plupart ne sont pas équipées de rideaux.
D’où les problèmes d’extinction de voix à répétition et des malaises pour certains
enseignants et étudiants.
24 pétitions de collègues et étudiants adressées à M. Ramond sont jointes à ce bref
rapport.
Solutions demandées : pose de boutons de réglage ; rideaux.
Mme Marrec,
Directrice adjointe de l’UFR EAA
(Il est à noter que les 24 pétitions réunissent environ 480 signatures)
Catherine Brodard
Représentante du personnel au CHS
Le 13/03/2008
la BDIC, sur le site de Nanterre, est composée d’un bâtiment bibliothèque et d’une tour de
stockage et bureaux, qu’elle partage avec la BU.
Les locaux de la BDIC (comme de la BU : ce point serait à explorer) comportent de
nombreuses situations à risque.
Dans le bâtiment bibliothèque, il n’y a ni ascenseur, ni monte-charge, entre le rez-de-chaussée
et 1er étage, ce qui fait qu’on doit tout transporter : collections, mobiliers, matériel…(ce n’est
pas conforme, non plus aux normes d’accès pour les handicapés). Le mauvais aménagement
concernant l’isolation, le chauffage a été attesté dans de nombreux rapports, de même que la
présence dans les magasins de composés organiques volatils dégagés par les collections elles-
même ou leur conditionnement (dans le rapport du service conservation de la BDIC
2007 dans le projet de contrat quadriennal BDIC)
Outre ces composés volatils dus aux cartons fibre noirs (de nouvelles boîtes en polypropylène
ont d’ailleurs été achetées), si l’on ajoute le problème spécifique de la poussière, il est
important d’avoir des réponses précises sur le système de ventilation utilisé à la BDIC et la
BU : quel est , pour chaque local, le système d’air neuf et d’extraction d’air ? l’air extrait est-
il rejeté en dehors de la zone d’entrée d’air neuf ? les filtres et gaines techniques sont-ils
nettoyés et à quelle fréquence ? comment éviter les écarts thermiques dont souffrent les
personnels dans des locaux aussi mal adaptés ?
le bilan de santé des personnels de la BDIC (et également de la BU) reste à faire, bien sûr en
collaboration avec la médecine de prévention. Il est également indispensable de faire ce même
bilan pour les personnels de ménage qui sont soumis aux mêmes risques que les autres.
Réalisé par les magasiniers, de nombreux facteurs, cependant les empêchent de réaliser un
dépoussiérage dans de bonnes conditions :
- Tout d’abord la charge de travail : sur une équipe de 15 magasiniers, 10 magasiniers sont
responsables des 11 étages de magasins (donc a peu près, un responsable par étage) :
chaque étage comporte 60 épis d’étagères, qui représentent un volume qui peut aller de
1000 mètres linéaires pour des périodiques grands folios, à plus de 4000 mètres linéaires
pour des collections de livres format octavo. Les magasiniers doivent également assurer la
communication (recherche de la cote, préparation de l’ouvrage dans le bac de convoyage
et rangement au retour) assurer les 2 postes de service public dans le bâtiment
bibliothèque (accueil et communication salle de lecture) assurer le remplacement aux
autres étages en cas d’absence (congés), assurer la mise en place des nouvelles
acquisitions, la cotation, la mise en carton, petites réparations et reliure pour les
collections anciennes, réassort régulier pour les collections de périodiques, sans compter
les « tâches transversales » : préparation des documents à la numérisation,
exemplarisation des documents (travail sur écran)... La charge de travail la plus lourde
étant les nombreux glissements à effectuer dans les étagères, activité qui a augmenté ces
dernières années, en raison du manque de place.
- Le manque de place précisément est un autre élément qui empêche un dépoussiérage dans
de bonne conditions : les collections ayant été extrêmement resserrées en largeur et en
hauteur, il est impossible d’assurer un dépoussiérage avec du matériel adéquat (aspirateur
spécialisé) sans déplacer les livres, ce qui ajoute à la lourdeur des manutentions. Par
manque de temps, les magasiniers assurent souvent le dépoussiérage sans déplacement
avec chiffons jetables, plumeaux…
Assuré par un prestataire extérieur, de l’avis général, le ménage est peu ou mal fait, en
particulier dans la tour, ce qui oblige les magasiniers, par moment, à assurer eux-mêmes le
nettoyage des sols (passer l’aspirateur et même, dans certains cas, nettoyage humide). Or, à
peu près personne ne sait ce qui avait été défini dans le cahier des charges de la société de
ménage. Je n’ai pu avoir communication que de l’ancien cahier des charges, le nouveau
marché ayant été passé sans que j’en aie été informée, ni eu la possibilité de participer à la
rédaction du cahier des charges. De nombreux personnels souhaiteraient également pouvoir
participer à la définition du marché. Ainsi, le marché que j’ai pu consulter prévoit, pour les
magasins en hauteur : nettoyage mensuel et sur demande, ce qui est nettement insuffisant et
qui, selon de nombreux témoignages, n’est pas fait de toutes façons. L’ancien marché indique
aussi pour les rayonnages : « dépoussiérage par aspiration, sans déranger les livres », ce qui
est impossible… En outre, certains locaux fermés à clé n’étaient ou ne sont toujours pas
accessibles à la société de ménage (local imprimerie du 2ème sous-sol…)
Depuis le catalogage par des bibliothécaires du fonds ancien des « séquestres » (fonds ancien,
essentiellement de langue allemande, acquis par la BDIC en 1947. Des bibliothécaires (3
personnes au moins) ont développé des symptômes allergiques en cataloguant ces documents
(irritation de la peau et voies respiratoires). L’année dernière, plusieurs séries d’analyses ont
été réalisées : analyses de recherche d’amiante (résultats négatifs) et analyses
microbiologiques réalisées par le laboratoire de Bussy-Saint Georges (BnF). Les résultats des
analyses microbiologiques indiquent une faible contamination, mais soulignent la nécessité
d’effectuer un dépoussiérage, y compris à l’intérieur du livre. De nouveaux aspirateurs à filtre
absolu ont été commandés (5 commandés l’année dernière + 3 commandés récemment).
Le dépoussiérage des ouvrages ayant été réalisé dans de mauvaises conditions (réalisé par les
magasiniers dans le local confiné du sas du bâtiment bibliothèque), le dépoussiérage a été
suspendu, suite aux protestations des élus du personnel : chacun a pris conscience, en effet,
que le problème ne concernait pas uniquement le fonds « séquestres » mais de nombreuses
collections mal entretenues ou laissées à l’abandon depuis des années.
Nous sommes en ce moment dans une période charnière : dans son histoire, la BDIC a
accumulé une grande quantité de documentation qui est resté à l’état dormant pendant des
années. Etant donné la saturation des magasins, le risque est grand pour le personnel de se
voir imposer un traitement massif de ces collections, avec tous les risques pour la santé que
cela suppose.
Questions, propositions
1) Concernant les risques générés par la poussière
Avant toutes choses, il est important de faire précéder toute initiative par une analyse
détaillée des risques générés par la poussière. Il y a 10 ans, la BDIC et la BU ont
connu une opération de désamiantage. Or, l’expérience déjà vécue à la BnF prouve
qu’il peut y avoir dégagement de fibres d’amiante dans l’atmosphère, avec uniquement
comme sources les fibres d’amiante contenues dans la poussière des livres et autres
documents papier.
Je demande que les comptes rendus des travaux de dépoussiérage, ainsi que les
résultats des analyses effectuées à l’issue du désamiantage soient communiqués
aux personnels de la BU-BDIC, et examinés avec la participation de la Caisse
régionale d’assurance maladie d’Ile-de-France, qui a participé au dépoussiérage
à la BnF. Cette analyse doit obligatoirement précéder toute décision concernant
les collections empoussiérées de la BDIC.
La poussière en grande quantité est de toutes façons nocive, qu’elle comporte de
l’amiante ou pas. C’est pourquoi il est indispensable de :
Faire réaliser, si nécessaire par tranches, le dépoussiérage des collections par une
société spécialisée. Avant de prendre cette initiative, il faut, bien sûr, vérifier s’il
n’y a pas de risque de dégagement de fibres d’amiante dans les collections.
Prévoir, dans le plan quadriennal, un budget pour réaliser ces travaux.
Donner des consignes pour que le personnel ne fasse pas de manipulation
(dépoussiérage, catalogage…) de collections empoussiérées en cas de températures
extrêmes – grands froids ou grosses chaleurs. En effet, concernant les problèmes
d’allergies, les conclusions des analyses réalisées par le laboratoire de la BnF, le
RAPPORT ANNUEL
D’ACTIVITES
Dr DUBAR
(médecin de prévention)
ANNEE 2007
de la façon suivante :
Population Nombre
IATOS Paris X 556
Enseignants Paris X 1291
B.U Paris X 111
B.D.I.C Paris 83
Pôle Scientifiques et Techniques
Paris X 50
IATOS
Enseignants 87
TOTAL 2178
Les visites systématiques sont obligatoires pour le personnel tous les 5 ans et
annuelles pour les personnels soumis à surveillance médicale particulière (SMP) en
fonction des risques liés au travail.
c)Type de visites :
. visites systématiques : 199
. consultations spontanées : 43
. à la demande du chef de service ou DRH : 5
. à la demande du médecin du travail : 10
. pour reprise après CLM: 3
. après accidents du travail: 2
Parmi les 199 examens systématiques effectués, 41 l’ont été au titre d’une
surveillance médicale particulière (SMP) (article 24 du décret n° 95680) du fait de
l’état de santé ou du poste de travail des agents :
- 30 risques particuliers
- 2 femmes enceintes
- 3 handicapés
- 6 pathologies particulières (diabète éthylisme, cardiopathie, patho
psychiatrique).
g) Vaccinations :
- 1 chez le psychologue
i) Conclusion professionnelle :
Restriction d'aptitude : 2
Activités administratives :
Visites de locaux :
Réunions :
- de service
- avec les chefs de service
- avec l'assistante sociale (Mme REBOURCET)
- avec la DRH
- avec les membres du CHS
- de travail : grippe aviaire
- avec les inspecteurs hygiène et sécurité du ministère
- Travail sur écran : Individuellement aux nouveaux arrivants lors de la 1ère visite.
- Individuellement aux personnels et étudiants travaillant à l'animalerie sur les
risques d'une contamination par des oiseaux porteurs de chlamydiae et sur la
nécessité de la prévention.
- Information sur la médecine de prévention et le service médical, aux nouveaux
arrivants lors du séminaire d'accueil.
IV – COMMENTAIRES – CONCLUSION
V - PREVISIONS
D’après l’arrêté n° 2008-87, en date du 14 février 2008, les membres du CHS sont les suivants :
Représentants de l’administration
TITULAIRES SUPPLEANTS
ENSEIGNANTS-CHERCHEURS et CONSERVATEURS
TITULAIRES SUPPLEANTS