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Année 2023/2024
Etablissement universitaire :
Centre sectoriel de formation en électronique de sousse
Entreprise d’accueil :
Tunisie Telecom
Remerciements
Je tiens à remercier et exprimer ma gratitude envers Mme Souad ZAMIT pour son
accompagnement convivial au cours des déplacements aux divers centrales de Tunisie
télécom et pour toutes les leçons de pratiques si précieux qu’elle m’a accordée.
Que tous ceux qui ont contribué d près ou de loin à la réussite de mon stage trouvent
ici l’expression de mes sincères remerciements
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
Sommaire
Remerciements ................................................................................................................................. 1
Liste des figures ........................................................................................................................ 3
Chapitre 1 : Structure Hiérarchique D’un Réseau de Lignes d’Abonnées (RLA) ........ 4
2.1 Définition ................................................................................................................................. 4
2.2 Hiérarchique d’un réseau téléphonique ................................................................. 5
2.2.1. Le répartiteur général (RG) .......................................................................................... 5
2.2.2. Sous répartiteur (SR) ...................................................................................................... 6
2.2.3. La solution IP-MSAN.......................................................................................................... 7
2.2.4. Le point de concentration (PC) .................................................................................... 8
2.2.5 les cables ………………………………………………………………………………………………. 9
Chapitre 2 : Les notions théoriques : Transmissions et Multiplexage ........................ 10
3.1 Transmissions ......................................................................................................................... 10
3.1.1 Définition ............................................................................................................. 10
3.1.2 Support de transmission : Fibre optique ........................................................... 10
3.1.2.1 Présentation ........................................................................................................ 10
3.1.2.2 Principe ............................................................................................................... 11
3.1.2.3 Les différents types de fibre .............................................................................. 11
3.2 Multiplexage .............................................................................................................................. 12
3.2.1 PDH (Plesiochronous Digital Hierarchy) .......................................................... 13
3.2.1.1 Définition de PDH .............................................................................................. 13
3.2.1.2 Les débits de PDH .............................................................................................. 14
3.2.1.3 Le principe de la PDH ........................................................................................ 14
3.2.1.4 Les inconvénients de la PDH ............................................................................ 15
3.2.2 SDH (Synchronous Digital Hierarchy) ............................................................. 16
3.2.2.1 Définition de SDH............................................................................................... 16
3.2.2.2 Les Avantages de SDH ....................................................................................... 16
3.2.2.3 Multiplexage SDH .............................................................................................. 16
3.2.2.4 La trame STM-1 ................................................................................................. 17
3.2.2.4 La trame STM-n ................................................................................................. 18
3.2.3 D-WDM (Dense Wavelength Division Multiplexing) ............................................... 18
3.2.4 Avantages du multiplexage .................................................................................... 19
Chapitre 4 : Les tâches effectuées ............................................................................................. 20
4.1 les ordres des travaux............................................................................................................ 20
4.2 les étapes à suivre pour effectuer un tirage jarretière .............................................. 20
4.3 Salle métro et salle data center .......................................................................................... 23
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
2.1 Définition
Le réseau local d'abonné est un ensemble d'éléments qui relient le poste téléphonique au
commutateur de rattachement. Le poste téléphonique d'abonné étant en permanence alimenté, par
le commutateur auquel il est rattaché, en courant continu ; l'échange des signaux entre centrale et
poste téléphonique fait largement appel aux possibilités offertes par cette alimentation, et plus
précisément la variation de cette alimentation.
Ce réseau doit être organisé et bien exploité de telle sorte qu'un abonné puisse échangefacilement des
communications.
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
b) Rôle
c) Composition
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
b) Rôle
Le sous répartiteur a pour rôles :
Optimisation des investissements utilisation maximale du câble de transport.
Diviser les extensions en distribution et transport.
C'est le point de coupure pour la localisation des défauts, côté distribution
donc c'est un point d'essai.
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
L'IP-MSAN (Multi-Service Access Node) proposée par Nokia Siemens Networks est un
équipement de télécommunication utilisé dans les réseaux à large bande pour fournir des
services tels que l'accès à Internet, la téléphonie et la télévision. Il agit comme un point central
pour connecter les abonnés aux services haut débit.
Dans le cas des zones géographiquement lointaines, et pour garantir une bonne
connectivité, Nokia Siemens Networks offre différents types d'équipements. La figure 6
montre les différents composants d'une infrastructure externe.
Il est à noter aussi que cet élément est facilement extensible pour s'adapter à toute nouvelle
capacité.
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
Les hiX 5625/30/35 présentent la famille des IP MSAN(s) (Multi service Access Node), qui est adaptée
pour une utilisation dans un environnement intérieur ou bien extérieur. Elle présente les avantages
suivants :
+ Support d'une bande passante importante et suffisante pour permettre les services HDTV et
VoD services
+ Support de tous les types DSL : VDSL2, ADSL2+, and SHDSL.bis.
+ Solution VoIP intégrée H.248 et SIP sur le même matériel.
+ Exploitation fiable du réseau et Fourniture de services fiable.
+ Prestation de services de bout en bout
+ QoS : La qualité de service.
+ Sécurité : Authentification, Chiffrement, Vérification d'intégrité et Contrôle d'accès Les
hiX56xx diffèrent par le nombre des cartes d'abonnés, la capacité et le nombre de ports.
Le hiX5625, hiX5630, hiX5635 est un châssis modulaire préparé respectivement pour les petites, mo
a) Définition
Les points de concentration (PC) sont des boîtes installées sur les poteaux ou sur
façade ou comme réglettes à l'intérieur du local. C'est aussi l'endroit où viennent se
raccorder les câbles de branchement d'abonnés.
b) Rôle
Le principal rôle de PC est de relier les câbles de distribution avec les câbles de
branchement en divisant les paires des câbles et les envoyant chacune à un abonné, elle
permet aussi de localiser les défauts soit côté abonné soit côté sous répartiteur S/R.
c) Raccordement
Une réglette inférieure la divise en deux parties la première permet sur sa face arrière
de raccorder sur les broches à vis des conducteurs du câble de distribution et la deuxième,
sur sa face avant, qui permet le raccordement sous ces bornes à vis des câbles à paires
(5/9) desservant les abonnés.
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
a) Introduction
La contenance des câbles est le nombre nominal de paires. Il existe deux types de câbles, les
câbles à une paire (uni-paire) et les câbles à plusieurs paires (multi-paires).
Dans les câbles multi-pairs, les conducteurs sont assemblés en quarte (deux paires). Les
quartes à leur tour sont associées en torons (28 paires à 14 quartes). Un filin coloré permet de
distinguer chaque toron.
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
3.1Transmissions
3.1.1 Définition
La transmission permet un échange de données (communications téléphoniques images, vidéos,) d’un
centre à un autre. Elle est assurée par des lignes d’abonnés et des circuits permettant la propagation
des signaux sur des distances plus ou moins importantes.
D’un fil de verre très fin, le cœur (quelques microns), d’un seul tenant, parfois très long (jusqu’à
plusieurs centaines de kilomètres)
D’une gaine qui emprisonne la lumière dans le cœur en la réfléchissant pratiquement sans
perte (généralement, une enveloppe transparente d’un indice de réfraction inférieur (certains
se rappelleront leur cours de physique),
D’un revêtement de protection qui peut réunir plusieurs dizaines à plusieurs centaines de
fibres,
D’un système de connexion très spécifique (sinon la lumière butte aux extrémités et ne sort
pas).
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
3.1.2.2 Principe
Pour une conversation téléphonique, la voix est traduite en un signal électrique. Ce signal est
transmis jusqu'au récepteur par un câble de cuivre. Le signal électrique est alors décodé pour
reproduire le message de départ.
La fibre optique transporte l'information sous forme de lumière, pour réaliser cette même
conversation téléphonique, un dispositif doit être mis en place : l’IOE (interface optique d’émission)
appelé aussi « transceiver » transforme le signal électrique de départ en signal optique ; il s’agit
essentiellement d’une diode électroluminescente (DEL) ou d’une diode laser. L’IOR (interface optique
de réception) aussi appelé « détecteur », qui contient une photodiode, transforme le signal optique à
la sortie du système en signal électrique, puis, finalement, en son.
L'information est généralement transmise en code binaire, soit sous forme de 0 et de 1. Le signal qui
est transporté dans la fibre est alors formé d'impulsions lumineuses. Le défi des compagnies de
télécommunications est d'arriver à transmettre un maximum de données en un temps record tout en
minimisant les pertes de signal. Pour augmenter le débit de transmission, on réduit la largeur des
impulsions, ce qui correspond à une augmentation de la fréquence de transmission.
Les télécommunications par fibres optiques ont été rendues possibles grâce à l'invention du laser au
début des années 1960. Sans cette source lumineuse très intense, le signal lumineux ne se rendrait
que difficilement à destination.
C’est le type de fibre le plus simple, directement issue des applications optiques traditionnelles. Le
cœur a un relatif gros diamètre, par rapport à la longueur d'onde de la lumière (de l'ordre du µm
dans l'infrarouge). La gaine otique joue un rôle actif dans la propagation, et ne doit pas être
confondue avec les revêtements de protection déposés sur la fibre. Le rayon est dans ce cas guidé
par réflexion totale au niveau de l’interface cœur-gaine, sinon il est réfracté dans la gaine. Ceci reste
vrai si la fibre cesse d’être rectiligne, à condition que le rayon de courbure reste grand devant son
diamètre. Tous les inconvénients vus plus haut se manifestent ici. Observez l'allure de l'impulsion de
sortie, comparée à celle de l'impulsion d'entrée. Ce sont bien entendu des informations non
quantitatives, un aperçut.
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
Ces fibres sont spécialement conçues pour les télécommunications. Le guidage est cette fois dû à l’effet
du gradient d’indice. Les rayons guidés suivent une trajectoire d’allure sinusoïdale. La gaine
n’intervient pas directement, mais élimine les rayons trop inclinés.
Comme vous pouvez l'observer, les résultats sont déjà de meilleure qualité.
C'est le "top". Le diamètre du cœur est très petit, les angles d'incidence le sont donc aussi. Les résultats
sont excellents, mais, compte tenu de la faible section de cette fibre, seule la lumière laser est ici
exploitable. Il n'y a pas de miracle, c'est la solution la meilleure, mais aussi la plus onéreuse.
3.2 Multiplexage :
Le multiplexage est une technique consistant à rassembler plusieurs signaux en un seul signal
composite destiné à être transmis sur une même voix de transmission.
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
On distingue, le multiplexage fréquentiel où chaque signal modulant une onde porteuse de fréquence
différente est assemblé aux autres avant d’être transmis.
Le multiplexage temporel TDM quant à lui, permettant à un émetteur de transmettre plusieurs canaux
numériques élémentaires à bas débit (voix, données, vidéo) sur un même support de communication
à plus haut débit en entrelaçant dans le temps des échantillons de chacun de ces canaux.
Le réseau de transmission fournit les capacités de transport des flux voix, vidéo, données générées par
les réseaux de commutation : IP, ATM, Frame Relay, RTC, GSM, etc. Trois technologies sont considérées
pour la transmission :
Le terme « plésiochrone » vient du grec plesio (proche) et chronos (temps) et reflète le fait que les
réseaux PDH utilisent des éléments pratiquement, mais non parfaitement synchronisés : ils ont un
même débit nominal pour toutes les artères du même type mais ce débit diffère légèrement en
fonction de l'horloge de traitement local.
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
Le transfert de données est basé sur un flux à 2.048 Mbit/s. Pour la transmission de la voix, ce flux est
séparé en 30 canaux de 64 kbit/s, et 2 canaux de 64 kbit/s sont utilisés pour la signalisation et la
synchronisation. On peut également utiliser l'intégralité du flux pour de la transmission de données
dont le protocole s'occupera du contrôle.
Le débit exact des données dans le flux de 2 Mbit/s est contrôlé par une horloge dans l'équipement
générant les données. Ce débit varie légèrement autour de 2.048 Mbit/s0
Afin d'amener plusieurs flux de 2 Mbits/s d'un point à un autre, ils sont combinés par multiplexage en
groupes de quatre. Cette opération consiste à prendre 1 bit du 1er flux, suivi d'un bit du 2e, puis le 3e et
enfin le 4e . L'équipement émetteur ajoute également des informations permettant de décoder le flux
multiplexé.
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
Chaque flux de 2 Mbits/s n'étant pas nécessairement au même débit, des compensations doivent être
faites. L'émetteur combine les quatre flux en assumant qu'ils utilisent le débit maximum autorisé.
Occasionnellement le multiplexeur essaiera donc d'obtenir un bit qui n'est pas encore arrivé ! Dans ce
cas, il signale au récepteur qu'un bit est manquant ce qui permet la reconstruction des flux à la
réception.
E1 : 2.048 Mbits/s
NB : Actuellement au CTN de Belvédère, il reste comme équipements PDH, 1 TNM 2-34 (2egénération),
et 1 TNM 34-140.
Il est basé sur des liaisons Point à Point : si une liaison tombe en panne, le trafic est
immédiatement interrompu, nécessitant ainsi une intervention prompte du personnel du
CTN
Le débit maximal offert est de 140 Mbits/s, ce qui est inadmissible vu la demande accrue et
le potentiel des fibres optiques utilisées en majorité par notre CTN.
L’absence de normalisation
Le manque de souplesse : il faut démultiplexeur complètement l’ensemble des différents
ordres de multiplexage pour extraire un signal.
Ceci a conduit à la mise en place d’une nouvelle hiérarchie plus évolutive, la SDH
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
L'un des aspects principaux est que tous les équipements du réseau SDH sont pilotés par le
même signal d'horloge. Il y a quelque part une horloge atomique qui distribue le rythme pour
l'ensemble des nœuds du réseau national. Ce rythme est transmis de proche en proche sur fibre
optique à tous les équipements de transmission SDH du pays. C'est pour cette raison que ce mode de
transmission est appelé synchrone.
La SDH est concurrencée par Ethernet. En effet, SDH est une technique originellement conçue
pour gérer les communications en mode circuit, typiquement les communications téléphoniques. Or,
depuis les années 2000, le volume de données de type paquet a supplanté en quantité celui des
données de type téléphonique, laissant SDH un peu inadapté aux nouveaux services qu'on lui demande
aujourd'hui.
Grande fiabilité de transmission, la fibre de verre est insensible aux interférences électriques
et électromagnétiques.
Grande bande passante. Une fibre unique peut transporter plus de 1000000 fois le volume
transporté par un fil de cuivre. Même sur fibre optique, avec son débit max de 565 Mb/s, la
hiérarchie PDH a du mal à satisfaire les besoins en bande passante des nouveaux services.
Très faible atténuation, ce qui augmente considérablement la portée en deux régénérateurs.
Une seule fibre optique peut transporter un débit de 10 Gb/s sur 400 Km sans amplificateurs.
Les deux standards SDH et SONET sont compatibles. Ils sont interfaçages entre eux et avec les
réseaux non optiques (PDH(USA), PDH(Europe), ATM,)
Possibilité d'insérer et d'extraire un affluent de faible débit d'un circuit à haut débit sans être
obligé du démultiplexeur. Cette opération est impossible avec la hiérarchie PDH.
Pour la norme SDH, les niveaux sont organisés hiérarchiquement en STM-n (Synchronous Transport
Module, niveau n) ; pour SONET, ils sont en STS-n (Synchronous Transport Signal, niveau n).
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
NB : Lorsque la quantité d’information à transporter est supérieure à zone disponible dans la trame
SDH, elle est transférée à la trame suivante et la fin est indiquée par un pointeur de fin.
Ces trames sont obtenues par multiplexage octet par octets de n trames STM-1.
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
De la PDH (les années 1970) vers la SDH (les années 1990). La hiérarchie courante PDH a évolué
principalement pour répondre à la demande de la téléphonie (voix). La disponibilité de la bande
passante a conduit à la prolifération des nouveaux services, autres que la voix, principalement pour les
besoins des clients professionnels.
L’offre de ces nouveaux services a entrainé a son tour la nécessité pour les opérateurstélécoms
de pouvoir assurer la flexibilité de fournir de nouvelles connexions ou distribuer dynamiquement la
capacité. La PDH est capable de multiplexer et de transporter des éléments binairesde débit inférieur
en les transmettant à des débits supérieurs.
Les multiplex élèvent les débits inferieurs à une valeur supérieure par injonction d’éléments
binaires avec une indication de leur présence dans la trame résultante.
Cette technique d’introduction des signaux supplémentaires ne permet pas d’accéder aux
composantes originelles sans démultiplexeur complément le format rapide. par exemple, pour fournir
une ligne à 2Mbit/s plusieurs multiplexages et démultiplexages doivent être faits pour l’extraire d’un
canal rapide à 140Mbits/s. l’incapacité d’identifier un canal individuel dans un flot à haut débit.
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
Introduction :
Dans ce chapitre, nous abordons les diverses tâches effectuées au cours de ce stage, avec des exemples
fournis dans l'annexe.
Au sein du centre de transmission, j’ai participé à effectuer des ordres de travaux avec le
service de supervision.
Le cadre de ces travaux est l’approvisionnement des clients (généralement des Entreprises)
avec internet haut débit en utilisant la fibre optique comme support de transmission.
Les ordres des travaux sont des différentes tâches reçues par les équipes de supervision du
centre qui consistent à réaliser certains travaux dans des différents centraux.
N.B Le tirage jarretière consiste à relier le brin de l’ODF réservé au client avec le port adéquat du Switch
du centre.
A partir de la fiche de demande on dégage le débit que le client a besoin qui est 2 Mbps dans cet
exemple.
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
NB :
Préciser le débit internet est important pour savoir quel module émetteur/récepteur
on doit intégrer dans le port du switch.
Le module émetteur-récepteur :
Pour un débit inférieur à 100mbs on utilise un module Fe (Fast-Ethernet). Dans le cas contraire,
on utilise un module Ge (Gigabit-Ethernet).
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
NB
A cause chevauchement de fibres optiques, on se sert d’un émetteur laser pour distinguer le brin de
fibre optique sur lequel on travaille.
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Rapport de Stage Rami abdellaoui
Etiquetage
On se sert d’une étiqueteuse pour marquer les informations relatives à la tête de câble (TC) pour
chaque fibre optique installé. À savoir le numéro de l’MSAN auquel la TC est connectée ainsi que le
numéro de brin.
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