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Déroulement de la séance
I- La mise en bain :
Le physicien ISHAK NEWTEN découvert la gravité grâce à une pomme.
Quels sont les étapes suivis par ce physicien ?
a) Il observe la pomme qui tombe sur terre.
b) Il donne des hypothèses.
c) Il fait des expériences
d) Il arrive à une loi générale.
II- Explications des mots-clés de la séquence :
Déroulement de la séance
Texte :
On savait que les bébés acquièrent des éléments de langage de leurs parents avant leur
naissance. On a remarqué dans diverses études que le fœtus, au cours des trois derniers mois
de la grossesse, est sensible aux sons provenant de l’extérieur. Ceci laisse penser que le fœtus
peut ressentir les variations de mélodie, capter les émotions à travers la voix maternelle et ses
intonations. Et c’est beaucoup plus tôt qu'on ne le croyait – dès les premières semaines
suivant la naissance – que l’effet est perceptible sur les cris du bébé.
Des chercheurs ont enregistré puis comparé les pleurs de 60 nouveau-nés en bonne santé,
âgés de trois à cinq jours – une moitié ayant des parents francophones, l’autre des parents
germanophones, c'est-à-dire parlant allemand. En examinant le «profil» sonore des voix
enregistrées, ils ont constaté que l'intonation des pleurs des bébés diffère selon la langue de
leur mère ; les bébés français ont un cri dont le pic d’intensité est situé à la fin (mélodie
montante) tandis que les bébés allemands pleurent de l’aigu au grave (mélodie descendante).
Cette différence provient des intonations propres à chacune de ces langues. Dans la langue
française, la plupart des mots sont accentués sur la dernière syllabe. C’est le contraire en
allemand.
Le résultat de cette étude balaie une idée reçue, selon laquelle les cris des nourrissons
seraient contrôlés par un appareil phonatoire encore immature. Selon les auteurs de cette
étude, les pleurs facilitent un premier lien de communication, l’établissement d’un premier
dialogue entre la mère et son enfant, et ce bien avant l’apparition des premiers babillages.
Questions :
2- « …que l’effet est perceptible sur les cris du bébé ». Le terme souligné veut dire :
- insensible - invisible - inévitable -remarquable
3- Classez les propositions ci-dessous dans le tableau suivant :
Une analyse des pleurs de plusieurs bébés est faite par des chercheurs.
- Le fœtus est sensible aux sons extérieurs pendant la grossesse.
- Le fœtus capte l’émotion à partir de la voix maternelle.
- Une analyse des pleurs de plusieurs bébés est faite par des chercheurs.
On savait que les bébés acquièrent des éléments de langage de leurs parents avant leur naissance. On
a remarqué dans diverses études que le fœtus, au cours des trois derniers mois de la grossesse, est
sensible aux sons provenant de l’extérieur. Ceci laisse penser que le fœtus peut ressentir les variations
de mélodie, capter les émotions à travers la voix maternelle et ses intonations. Et c’est beaucoup plus
tôt qu'on ne le croyait – dès les premières semaines suivant la naissance – que l’effet est perceptible
sur les cris du bébé.
Des chercheurs ont enregistré puis comparé les pleurs de 60 nouveau-nés en bonne santé, âgés de
trois à cinq jours – une moitié ayant des parents francophones, l’autre des parents germanophones,
c'est-à-dire parlant allemand. En examinant le «profil» sonore des voix enregistrées, ils ont constaté
que l'intonation des pleurs des bébés diffère selon la langue de leur mère ; les bébés français ont un cri
dont le pic d’intensité est situé à la fin (mélodie montante) tandis que les bébés allemands pleurent de
l’aigu au grave (mélodie descendante). Cette différence provient des intonations propres à chacune de
ces langues. Dans la langue française, la plupart des mots sont accentués sur la dernière syllabe. C’est
le contraire en allemand.
Le résultat de cette étude balaie une idée reçue, selon laquelle les cris des nourrissons seraient
contrôlés par un appareil phonatoire encore immature. Selon les auteurs de cette étude, les pleurs
facilitent un premier lien de communication, l’établissement d’un premier dialogue entre la mère et
son enfant, et ce bien avant l’apparition des premiers babillages.
Texte :
On savait que les bébés acquièrent des éléments de langage de leurs parents avant leur naissance. On
a remarqué dans diverses études que le fœtus, au cours des trois derniers mois de la grossesse, est
sensible aux sons provenant de l’extérieur. Ceci laisse penser que le fœtus peut ressentir les variations
de mélodie, capter les émotions à travers la voix maternelle et ses intonations. Et c’est beaucoup plus
tôt qu'on ne le croyait – dès les premières semaines suivant la naissance – que l’effet est perceptible
sur les cris du bébé.
Des chercheurs ont enregistré puis comparé les pleurs de 60 nouveau-nés en bonne santé, âgés de
trois à cinq jours – une moitié ayant des parents francophones, l’autre des parents germanophones,
c'est-à-dire parlant allemand. En examinant le «profil» sonore des voix enregistrées, ils ont constaté
que l'intonation des pleurs des bébés diffère selon la langue de leur mère ; les bébés français ont un cri
dont le pic d’intensité est situé à la fin (mélodie montante) tandis que les bébés allemands pleurent de
l’aigu au grave (mélodie descendante). Cette différence provient des intonations propres à chacune de
ces langues. Dans la langue française, la plupart des mots sont accentués sur la dernière syllabe. C’est
le contraire en allemand.
Le résultat de cette étude balaie une idée reçue, selon laquelle les cris des nourrissons seraient
contrôlés par un appareil phonatoire encore immature. Selon les auteurs de cette étude, les pleurs
facilitent un premier lien de communication, l’établissement d’un premier dialogue entre la mère et
son enfant, et ce bien avant l’apparition des premiers babillages.
Ecouter une démonstration pour en dégager la structure et l’enjeu. .
Restituez le contenu de la vidéo sous forme d’un tableau.
Déroulement de la séance
Activité 01 : Première écoute
:Deuxième écoute
Troisième : (synthèse)
Projet I : Concevoir et réaliser un dossier documentaire pour présenter les
grandes réalisations scientifiques et techniques de notre époque.
Déroulement de la séance
Consigne :
Vous avez assisté à un cours de sciences naturelles avec votre professeur, vous avez
remarqué que l’expérience faite en laboratoire comporte les éléments nécessaires de la
démonstration.
1. Observation
2. Hypothèse (s )
3. Expérience
4. Résultats
5. Conclusion ( loi ) générale
Projet I : Concevoir et réaliser un dossier documentaire pour présenter les
grandes réalisations scientifiques et techniques de notre époque.
Déroulement de la séance
Texte support :
Après 8 semaines, les résultats ont montré de manière significative la baisse du taux
d’insuline sérique dans le sang des buveurs de thé à la camomille ainsi qu'une augmentation
du niveau d’antioxydants. Or on sait que l’antioxydant "quercétine" impacte les enzymes qui
jouent un rôle dans le développement du diabète.
Le thé à la camomille est la source donc des effets bénéfiques sur le contrôle
glycémique chez les patients atteints de diabète de type 2, un espoir dans la lutte anti-
diabète.
Les plantes médicinales ou leurs extraits semblent intéressants dans le cas d’un
diabète non insulino dépendant (type2). Elles aident l’organisme à gérer les pics ou les
chutes de glycémie afin de ne pas mobiliser systématiquement le pancréas.
Activité 1 :
Lisez le texte et relevez le champ lexical de :
Maladie : médicament, tests sanguin, insuline, diabète type 2
Expérience : étude, chercheur, résultat
Qui ? A qui ? De quoi ? Pourquoi ?
« Le thé à la camomille est la source donc des effets bénéfiques sur le contrôle
glycémique ».
3- Quel mode de raisonnement ou type de démonstration l’auteur a-t-il utilisé dans ce texte ?
(Répondez en choisissant la bonne réponse parmi celles-ci.)
a) La déduction : partir d’une loi générale ou d’un principe (1ère étape), à en tirer une
conclusion ou une conséquence particulière (2ème étape)
b) L’induction : partir de cas particuliers (exemple précis), de faits observés (1ère étape), à
en tirer une conclusion de portée générale (2ème étape).
augmenterait
Interprétation des Après 8 semaines, les Après 8 semaines, les résultats ont montré de
résulta résultats ont montré manière significative la baisse du taux
d’insuline … un rôle dans le développement
² du diabète.
Vu que la camomille réduit le niveau de sucre dans le sang, boire une tasse
par jour est conseillé.
Pendant 2 mois, 64 personnes (hommes et femmes entre 30 et 60 ans) atteintes d’un diabète de type 2
ont dû boire soit du thé à la camomille (3g/150 ml d’eau chaude), soit de l’eau, trois fois par jour. Pendant cette
période de test, elles ont également effectué des tests sanguins réguliers.
Après 8 semaines, les résultats ont montré de manière significative la baisse du taux d’insuline sérique
dans le sang des buveurs de thé à la camomille ainsi qu'une augmentation du niveau d’antioxydants. Or on sait
que l’antioxydant "quercétine" impacte les enzymes qui jouent un rôle dans le développement du diabète.
Le thé à la camomille est la source donc des effets bénéfiques sur le contrôle glycémique chez les
patients atteints de diabète de type 2, un espoir dans la lutte anti-diabète.
Les plantes médicinales ou leurs extraits semblent intéressants dans le cas d’un diabète non insulino
dépendant (type2). Elles aident l’organisme à gérer les pics ou les chutes de glycémie afin de ne pas mobiliser
systématiquement le pancréas.
Texte :
Vu que la camomille réduit le niveau de sucre dans le sang, boire une tasse
par jour est conseillé.
Pendant 2 mois, 64 personnes (hommes et femmes entre 30 et 60 ans) atteintes d’un diabète de type 2
ont dû boire soit du thé à la camomille (3g/150 ml d’eau chaude), soit de l’eau, trois fois par jour. Pendant cette
période de test, elles ont également effectué des tests sanguins réguliers.
Après 8 semaines, les résultats ont montré de manière significative la baisse du taux d’insuline sérique
dans le sang des buveurs de thé à la camomille ainsi qu'une augmentation du niveau d’antioxydants. Or on sait
que l’antioxydant "quercétine" impacte les enzymes qui jouent un rôle dans le développement du diabète.
Le thé à la camomille est la source donc des effets bénéfiques sur le contrôle glycémique chez les
patients atteints de diabète de type 2, un espoir dans la lutte anti-diabète.
Les plantes médicinales ou leurs extraits semblent intéressants dans le cas d’un diabète non insulino
dépendant (type2). Elles aident l’organisme à gérer les pics ou les chutes de glycémie afin de ne pas mobiliser
systématiquement le pancréas.