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Initiation à la recherche – Emmanuel Parent – 12/10

Introspection n'est pas vraiment fiable (habitude). Ce qui va le convaincre que ces Quarte et quintes
sont juste c'est le rapport mathématique des harmoniques. Le son et leur nature, qui différencie du
bruit c'est la théorie de la résonance du corps sonore. Rassuré car pas de présence humaine
(technique) mais bien la résonance naturelle du son. D'où s'explique le fait de ne pas avoir le même
rapport à la musique en fonction des oreilles qui l'écoute (reconnaissance de l'harmonique
naturelle).
Modèle hypothético- déduction/induction. A partir de la 4 eme partie, Rameau part loin, à partir de
ces phénomène naturels on sort de la science et on rentre dans la culture de son époque (mode
mineur/majeur), fonde la musique savante sur la science la conclusion que la musique de son temps
est la plus parfaite → harmonies naturelles. On appel ça plus tard un faux universel, critique la
musique tonale par excellence.
Il passe de résonnant mathématiques à des exemple musicaux. La science de l'harmonie de l'époque
est étroitement liée de la théorie. Mode de do privilégié par la sensible et le triton. → nouveau mort
« effets » page 101, éthos et ressemblance aux sentiments. L'imitation étant très importante, rapport
de perfection. Rameau produit une théorie de l'imitation basé sur la connaissance théorique tu son.

Texte 4 : Catherine KINTZLER, musicologue contemporaine, spécialiste de Rameau. esthetique


cartaisienne chez Rameau
Descarte était un philosophe musicien, la musique est un objet scientifique qui nous émeut (affect).
La théorie de Descartes c'est celle des âmes → Pure chimie, rapport entre l'âme et le corps,
l'émotion est une pensée et un état (poil qui hérisse, ventre noué...) manifestation somatique de la
pensée, Descartes veut comprendre cela par le domaine de l'art qui lie facilement ces deux choses.
Emotion = mouvement/moteur/bouger, le fait que qqch bouge et nous n'en somme pas forcément
responsable. Va avec l'idée de passion.
Passion = passif. On ne contrôle pas
→ notre corps régis à notre place. (labsus révélateur) On est agis dans une émotion, le moteur de la
passion ici est la musique donc.
Opposition de la réalité à la vérité : la vérité lié au théorique/artificiel qui es le révélateur de la
nature scientifique véritable comprise // la réalité est pratique, le naturel spontané la nature perçue.
Thèse du réalisme en art. L'art met au défi la philosophie.
Résume les conséquence des traités de Rameau.

Musique et Philosophie 12/10

Sensibilisation fin 16-17eme siecle, primera pratica et secunda pratica car mvt. On passe d'un
remplissage d'une loi harmonique à une harmonie qui se veut etre le reflet de la divinité. Elle est
contenue dans cette priorité préséance de la musique lié à la divinité.
La seconda pratica cependant c'est l'humain qui passe au dessus. Les voix, mélodies obeisses à des
loi strictes qui sont au service du'n ensemble global d'une harmonie qui n'est pas tonal, qui est
l'harmonie tel que la descendance de Pythadore l'entende encore les chrétiens à la fin du 16eme
siècle.
→ Rendre sensible par l'écoute en cours d'une œuvre vocale. Mestre Palestrina 1590. Travail
d'individualisation des voix, elles concourent à une harmonie générale
→ Monteverdi fait peu de temps après avec une œuvre religieuse, les vêpres de la vierge Marie
1610, conduite harmonique complète par accord.
Un monde sépare les deux œuvres.
→ Ecriture contrapuntique et logique verticale, direct alors qu'avait on avait un effet sonore globale.
Plus tard les voix sont travaillés 2 par 2 ou 3 par 3. On pourrais presque en dire que c'est l'ancêtre de
l'opéra. En l'espace de 20 ans on passe d'un univers à un autre. Celui où naitra la tonalité alors
qu'avant elle était voix par voix.

Le 17eme siècle ont lieu des changement considérable, la science moderne, la seconda pratica,
domaine religieux la réforme protestante qui cède l'europe en 2 et donc découpe deux manière de
faire la musique
Germanique : don de dieu, qqch à cultiver, la pratique est une chose encouragée comme un acte de
foi
Catholique : méfiance vis à vis de la pratique instrumentale, se tourne plus vers l'opéra.
Zarlinno = d'un pts de vu technique on lui dois le système tonal, il change le fénomen sonore non
plus par interval d'après la tradition mais plutot sur la résonnance d'un corps sonore, créer un
hierarchie via la résonnance naturelle d'une fondamentale (création de l'accord parfait) d'ou se
développe le système tonale lui meme et la suite du tempérament égal.
La rationnalité Descartes Spinoza et Leibniz → Le cogito Ergosum (je pense donc je suis) est lié au
fait que pour la 1ere fois c'est l'individu qui est mis au centre du jeu alors qu'avant c'était Dieu/les
Divinités. Pour Descartes, l'existance humaine en tant que chose qui pense est la seule certitude
qu'on puisse avoir et donc le socle qui fonde le reste des connaissances. La connaissance n'est pas
extérieur de l'Humain mais bien qui se fonde à partir de lui-même.
Affecte humaine déclaré et illustré par la musique, c'est la fonction de la musique est d'exprimer les
affectes humains. Au centre du jeu. → Dualisme de Descartes, c'est organiser la pensée sur des
instence irreductible et indépendante des autres au contre du monisme qu'il est indivisible. Le
duallisme c'est le corps et l'âme = le corps c'est une substance matérielle divisible à l'infini qui ne
pense pas. L'âme/l'esprit qui est une substance immatériel et indivisible et qui du coup pense (siège
de la pensée). De ce pts de vue la il reprend les grec et rajoute une notion primitive : les passions
qui es l'union des deux autres, le corps et l'esprit, elles sont constitutive de sa philosophie, les
affectes humains.
On y développe les théories des passions → les affectes humains. La question de Descartes à partir
de là c'est un abrégé de musique qui montre bien que la musique à été une des sources de la
philosophie qui porte son nom. Il cherche à comprendre quels sont les 6 passions primitives :
l'admiration, l'amour, la haine, le désir, la joie et la tristesse. (ce qui animera d'ailleurs les opéra au
16em) qui de l'extérieur affecte l'âme. Ces Passions affecte l'âme par le corps extérieur mais il sagit
(rapport grec) de les maitrisier et non d'en pâtir, parfaire la séparation de l'âme et le corps pour
mieux affirmer l'âme elle même et son pouvoir.
Comment plus précisément Descartes va apprécier la musique de son vivant avec la seconda
pratica ? Il va considérer que la mélodie est trop subjective (lié aux affectes des Hommes) pour le
considerer comme un sujet. Même si qu'elle est préférable à la polyphonie renaissante car elle est
l'expréssion des passions. Or si la mélodie n'est pas digne pour etre un sujet à la philosohpie, qu'est-
ce qui est digne ? C'est l'harmonie qui continue même si des nouvelles bases à être un objet
rationnel et en tant qu'objet rationnalisé il participe à la mathématique universelle et relève bien de
la philosophie. A ceci près que l'harmonie pour Descartes ne doit pas se soumettre au nombre
pythagoricien mais que l'harmonie doit prendre en compte l'oreille pour limiter les pouvoirs de la
raison. Au nom de la troisième notion primitive : les passions. → Se soumettre à une loi sensible.
En accord avec la seconda pratica et son anticipation à la fin du 16eme siècle, il considère bien que
la musique doit se baser sur le mot. A l'époque, la musique à un problème c'est qu'elle ne veut rien
dire, pas un texte poétique ou un tableau figuratif, rationnalisme, donc elle doit etre ratachée au mot
(s'appuyer sur le language pour etre musique car un mot à une signification) D'ou l'éccho en
évolution, on va considerer que la musique à mesure qu'elle s'arrache de sa détermination
constitutive par son appui sur le mot qui lui permet de lui donner une signification. Avec
Montéverdi la musique est ce qu'elle est mais elle figure le mot qui lui à été donné. Dans l'attention
du mot dans la musique baroque et à partir de ce dernier c'est l'attention donné de la musique par ce
mot.
L'importance de l'imitation au 17eme siècle, un triomphe. Cela va etre surtout vrai dans l'univers
latin/catholique. Pcq les choses vont se développer différemment dans les pays Germanique avec
Leibniz
→ Protestant. Il n'y a pas de dualisme du corps et de l'esprit, autant qu'il décline le sensible et
l'intélligible. La musique est : exercice mathématique secret de l'esprit qui ne sais pas qu'il compte.
Autrement dit il n'y a pas de dualisme, la musique relève du nombre et s'adresse directement à notre
esprit mais à notre insu (on ne le sais pas) Elle se révèle au moment où elle est perçu par les sens.
On est sensible à la musique parce que c'est une formule mathématique fait pour notre esprit. Si on
aime la musique c'est parce que la musique est mathématique et affecte l'esprit. Il ne perçoit pas
consciemment l'esprit mais inconsciemment l'effet de ce calcul musical à travers le plaisir ou
déplaisir que lui procure la musique, en fonction des consonance et dissonances. Il y a réconsiliation
entre l'oreille et la musique, l'art et la science héritage pythagoricien avec l'harmonie celeste → Pour
Liebniz la musique est la révélation sensible et immédiate de cette harmonie mathématique qui est
propre et constitutive de l'humain, y compris/surtout celui qui l'ignore (il ne prétend pas du tout
convaincre qql de cette idée, à l’insu des sujet humain). La pensée de Libniz s'accorde avec Luther
et la facon dont la musique va se développer, la musique instrumentale ne cherchant pas l'appuie
d'un mot pour sa création contrairement du côté chrétien. → Bach, la musique est un témoignage
divin, un acte de foi et aussi un moyen d'agir sur les sentiment et émouvoir les auditeur dans des
compositions en langue vernaculaire (allemand) sur lesquels il pouvait construire des œuvre très
complexe (fugue).Savante et Spéculative. = l'art de la fugue dernière œuvre qui explore toutes les
façon d'écrire une fugue, inachevé. Présentation d'une société savante qui était justement dans la
vocation d’élucider la musique mathématique et métaphysique chez Leibniz. Cette œuvre était
destinée à être jouée et/ou lu.
Musique et Philosophie 26/10
Le cojito de Descartes qui met l'individu au centre du jeu alors qu'avant c'était Dieu. Sujet qui
emplois à des passions, complétant le corps et l'âme, sachant que les passion qui affecte le sujet de
l'exterieur chez Descartes et via le corps (capacité de sentir) doit être subsumé par l'âme qui à pour
fonction de gerer les passions dites mauvaises.
Le premier ouvrage de Descartes est un abrégé de musique pour accueillir les travaux de Zarlino.
Dans sa dimension harmonie en tant que base à la philosophie. Quant à la mélodie il la jugera
subjective contrairement à l'harmonie subjective, donc indigne d'être objet à la philosophie,
indéterminée. Néanmoins, il s'inscrit dans la tendance de son temps (seconda praticca) attacher de
l'importance en tant que véhicule d'affecte qui vaut mieux que l'abstraction de la Renaissance
finissante. Il estime que la musique ne signifie en rien doit s'appuyer sur le mot pour indiquer ce sur
quoi elle s'attache.
Liebniz pas de corps/l'âme il décline sensible/intelligible etc car pour lui « la musique exercice
arritmétique secret de l'esprit qui ne sais pas qu'il compte » → Si la musique nous touchez c'est
parce qu'elle repose sur du calcul et à travers ce calcul la musique touche à des vérité même si nous
ne savons rien des mathématique. Il va encourager à sa manière, comme louange divine et objet qui
est emprise sur la vérité. (Bach étant la plus idéale du mélange)
DuBos fait accepter l'idée que la musiuqe est irréductible à qqch d'exterieur du mot (via l'opéra), il
insiste que même si la musique s'appuie sur le mot, la façon dont elle le fait elle est irréductible à la
poésie. Puissance du chant propre à la musique, expressive et émotionnel. Locke, lui va vouloir
faire droit à l'expérience sensible par rapport à tous ses sens et qui va avoir une grande influence sur
les Lumière (France), de l'expérience sensible pour que se constitue le goût et les sentiments.
Rameau : réaffirme l'autre voix cad celle du courant Pythagoricien. On retrouve toujours les deux
grands pôles → Sensible & intelligible. Au fil du temps il y a une évolution. Rameau ets un
cartésien et pour lui ce qui importe c'est de valoir le language musical comme ayant une rationnalité
intrasec, elle à en elle sa rationnalité. Pour Rameau la musique fait sens non pas parcequ'elle est
médié mais parce qu'elle à des fondement rationnel. Principe rationnel originel (rationnel et éternel)
celui de la résonance du corps sonore, il parachève les travaux de Zarlino un siècle plus tôt. Comme
Descartes il considère que l'harmonie représente l'universalité du langage musical car
rationnellement fondé, tandis que la mélodie manifeste ses particularités. Il va surtout montrer
comment l'usage du principe résonance régis sur le plaisir de la musique sur le monde, il va montrer
en tant que musicien ce dont Liebniz avait l'impression aka il y a un accord entre nature et loi
mathématique, entre sensibilité et intelligibilité, entre sentiment et raison. Il n'est pas imperméable
aux influences de l'époque : il fait une concession à l’empirisme car il donne un exemple. Il affirme
ce fondement mais il admet que l'obéissance à ces principes ne doivent être suivis dans la mesure ou
elle ne contraste pas de l'expérience et la pratique de la musique. L'age baroque est marqué par le
rationalisme, la tendance à accueillir la musique du point de vue de la raison.

LES LUMIERES
Rameau est très isolé voir anacronique car les tendences ont changés, ce qui domine à cette époque
c'est la valorisation de la musique non pas par la raison mais par le goût et le sentiment. Non pas
l'harmonie mais la mélodie. Entreprise d'une mise à jour des connaissances. Les lumières elle
désigne une mvt européen philosophique, litéraire qui se propose de promouvoir le rationnalisme, le
libéralimse contre l'obscurantisme religieux et l'arbitraire monarchique. Les référence principales
sont : Cartésien, libnizion empirisme anglais, et monarchie constitutionnelle anglaise. D ela mort de
Louis XIV au début de la révolution française (1715-1789) en musique la fin du baroque début du
classique. Premier historien de la musique en Angleterre. Pour illustrer cette prévalence sur la raison
objective dont serait porteuse l'harmonie pour illustrer la sensibilité, d'Alambert critiquait Rameau.
Fontenelle montre que ce qui prédomine c'est que la musique ne pouvait être calée que sur le
langage au 17eme (même 18/19eme) la musique se base sur la rétorique. La musique doit s'attacher
à la rhétorique, cad s'attacher à ce qu'est cette notion depuis Aristote. Ce qui prévaut dans l'Opéra
c'est l’éloquence. Autre raison → Théorie du langage qui existait à cette époque, Port Royal lieu
célèbre qui réunisssait des pensseurs célèbres dont certains membres avaient mis au point une
théorie du langage importante qui permet de comprendre les raisons objectives pour lesquels la
musique se devait d'imiter le langage. Cette théorie : le langage était ce qu'il était car il imite
l'âme/l'esprit (le cerveau). Si la musique imite le langage alors elle imite aussi l'esprit. Ion passe de
l'idée la musique imite le langage parlé dit les passion à l'idée la musique non pas imite masi
exprime les passion en transposant le langage parlé. La médiation ne se fait plus seulement par le
chant par la nomination ds mots mais par l'articulation musicale qui transpose l'organisation du
langage parlé. C'est donc le discours qui deviens la notion médiatrice du sens musical.

Ethnomusicologie 26/10

Richard Schlechter : Une approche performative, qu'est-ce ? Origine anglais qui comporte une
action en tant que telle. Etude des comportements et la manière d'agir.
Etudier les phénomènes sociaux c'est action pratique comportement et non en tant qu'objet. Il y a
des différentes manière d'agir ce qui fait que l'étude de la performance ne peux pas aboutir à un
résultat universelle.
Traiter un objet comme une performance (peinture, roman...) enquêter sur ce que l'objet fait et
interagis avec ce qui l'entoure. La performance existe seulement en tant qu'action, interaction et
relation.
L'ethnomusicologie est venue bousculer la partition comme une chose sacrée, car étude de musique
sans partition → mettre au centre la performance et non l'objet.
« Comment passer d'une description interne de l'énoncé et de son fonctionnement formel à celle de
son rendement dans un cadre énonciatif donné (celui dans et sur lequel œuvre l'observateur) sans
poser la question de ce que l'on pourrait appeler une programmation parodique : articulation d'effets
et de visées » - Jacques Cheyronnaud.
Si la musicologie classique étudie les partitions/texte musicaux/archives plus que les conditions en
elle même → Etude de l'oeuvre plus que la performance. Alors que l'ethnomusicologue commence à
s'intéresser a la transition orale en elle même.

Etude de cas : Bernard Lortat Jacob (promoteur de musique traditionnelle) « ce que chanter veut
dire, etude pragmatique »
IL s'est donc rendu à CastleSardo (sardègne) au sein d'une petite confrérie ''SantaCroce'' qui est
composé exclusivement d'homme et qui chantent de la fin de l'automne jusqu'à la fin du printemps
en particulier autour de Pâques. Ils chantent tous les jours dès le mois d'Octobre le prieur principal
se préoccupe de la formation de ses chœurs (choisir les chanteurs qui vont faire partis de la
confrérie) pour animer la semaine sainte. Et depuis plusieurs siècles chaque année on chante le
même répertoire qui comporte 3 chants : miserere/jesus/sabbat mater. (lien cursus pour écouter ces
œuvres).
Écoute du sabbat mater par la confrérie SantaCroce.
On nous dit en introduction qui était étonné par ces chants : tradition orale mais parfaitement
standardisé du pdv structurel. Mais malgré ça chaque exécution laisse une emprunte particulière
(pas exactement la meme chose qui se passe). L'enquête sur terrain indique qu'un chanteur se
rappelle de tous les sabbat mater qu'il a effectué, ou du moins tous ceux qu'il pratiqué dans l'année.
→ En quoi tiens cette étrange mémoire de différentes interprétations ? C'est un évenement qu'on
peut étudier en tant que tel, non pas un exemple mais vraiment en tant qu'étude en lui même.
Première hypothèse : chaque exécution du sabbat soit distante des autres non pas par des traits
acoustiques mais parce qu'elle est le panache d'une expérience spécifique que partage les chanteurs.
Dans les confréries ils parlent beaucoup de musique – après éxécution des chants et que le chants ne
se conçoit pas si il n'y a pas échange entre chanteurs. Deuxième hypothèse : nature de la
communication musicale, tire son sens des relation sociale et humaine particulièrement par son
exécution et des pratiques qu'il met en œuvre – les liens entres chanteurs.
Ces thèse trounent le dos aux thèse formaliste qui évacu le sens de la musique puisqu'ils disent de la
musique n'est qu'n agencement de son sans relation à une sphère d'idées extramusicale, la musique
n'exprime autre chose qu'elle même → Au contraire elle aurait un sens d'après le monsieur, le sens
des chanteurs qu'ils donnent à ce moment là.
A partir de ce cadre, comment le monsieur s'y prend pour analyser ce sabbat : un lien avec une
situation non pas un lien avec la partition. Ce que chanter veux dire dans une situation. Le monsieur
partage en plusieurs partie son article : 1. conditions et contraintes 2. Performance 3. Préparation,
l'identité et l'après des chanteurs 4. l'analyse du chant.

Musique et Philosophie 09/11

Rousseau s'oppose à Rameau. Héritié de la pensée cartésienne et ouvrage baroque. Roussea esu
important s'il partage avce les encyclopédiste, les arguments qu'il avance vont s'opposer à Rameau
et aussi encyclopédiste. Pour eux la musique est louée du point de son évolution qui lui a permit de
s'émenssiper un art de progrés un produit de la civilisation alors que Rousseau l'idéeal de perfection
c'est l'origine mythique → La musique n'est pas un produit de la civilisation mais au contraire etant
un modèle originel qu'il faut retrouver, il y aurait non plus de distinction entre musique et parole
(son & mot) mais il y a le chant indistingue le son et les mots, il est à la fois musique et mot.à
l'origine il y a les parole accentués qui véhicule du sens, un élément musical et le chant ce fait
expression des passions. Il importe de retrouver cette origine mythique dans le chant, car le chant
rend indiscernable ce qui est dit et doit etre dit. Il pointe l'origine et non l'évolution. Il dit que
certaines langues n'ont pas bien évolués et certaines ont évolués en direction signifiante du langage
au détriment de l'expression. Il condane les langues germanique et anglo-saxone au profit de l'italien
et langues latines. Elle est celle qui a le plus échappé à l'évolution des langues (elle a gardée en elle
le caractère indissociable de l'expression). Opposition frontale avec Rameau, Rousseau l'harmonie
n'est pas l'élément centrale mais bien la passion en tant qu'élément naturel et rationnel (La mélodie
exprime les passions). Esthétique de la forme qui va s'y opposer aussi. Rôle de l'éducation pour la
capacité à jouir de la musique avec Rameau. Il s'agit d'apprendre la musique, de l'apprivoiser et
rendre justice à l'importance de l'habitude de la musique pour l'apprécier par la suite.

ROMANTISME : contexte, fin du 18eme siècle, vague Wagner. Positionnement nouveau des
musiciens dans la société qui vont sortir de l'ombre car considéré comme le dernier des arts car que
pour les sens, avancée théorique importante (système tonal) et prise de position sur la musique avec
les encyclopédistes qui inclus la musique comme un lieu de savoir (Rousseau). *Goethe est le
premier à reconnaître à la musique une force obscure/surhumain qui nous porte vers l'haut de là du
fait de son immatérialité → Retournement complet. Autrefois la musique était maîtrisée car elle ne
voulait rien dit et progressivement c'est au contraire car elle ne veut rien dire qu'elle à accès à ce que
ne peux pas dire le langage (touche ce que le langage n'a pas accès) Son abstraction en fait la valeur
et qui en fait l'expression originelle la plus authentique de l'être humain.
A cette époque, les musiciens vont parler de la musique ; les compositeurs (peintre, artiste etc...)
vont écrire et il y a des écrits importants ou il veulent affirmer et faire valoir. Il sont épaulés par des
penseurs en plus. La musique Romantique dévoile l'essence même de la musique, toute grande
musique est romantique (liaison humain et divin par exemple).
Palestrina et Bach durant la période baroque, sont au contraire les compositeurs qu'on peut
considérer comme le summum du rationalisme.
Figure de Beethoven, la croisée classique et romantique. Seul compositeur à avoir vécu quasiment
toute sa vie comme artiste indépendant (intermittent du spectacle tu coco) mythe de son vivant qui a
alimenté la littérature et la philosophie. Honte à l'artiste qui ne se pousse pas d'aller au moins aussi
loin, Beethov témoigne quelque chose de nouveau, idéal d'artiste (pas artisanat) mais aussi de sa
mission de compositeur et de l'importance qu'il confère de son œuvre en regard de l'humanité. Tous
compositeurs romantiques y feront référence. Forme sonate bithématique qui entoure une majorité
des œuvres de Beethoven, elles vont faire l'objet d'interprétations via Kant. La musique
instrumentale (pure) deviens l'emblême de la musique, à la hauteur de l'universel et de l'absolu.
Contexte, si le romantisme en veut beaucoup à la pensée de Rousseau, c'est fondamentalement une
affaire Allemande. → importance de la révolution française, notion de nationalité qui apparaît et qui
a marqué l'Allemagne.
Idéalisme : ramener toutes les réalité à des determinations de l'esprit. Tout ramener à l'esprit
humain. Kant – Schelling – Hegel. Les compositeurs vont se caractériser par la façon dont ils vont
valoriser dans des système dédiés aux arts (les beaux arts) organisation conceptuelles qui constitu le
noyaux central des esthétique romantique. Fait jours deux orientations, une issu du goût et
sentiment via Rousseau et une plus rationnelle via Rameau.
Schelling représentation de l'infini dans le fini → Une œuvre d'art mais qui es en tant qu'objet fini il
recueille l'infini, vecteur. Survalorisation de l'oeuvre d'art.
Hegel œuvre avec système des beaux arts place importante. Compositeur qui propose une pensée
sur l'art. Il y a 3 étapes fondamentale de l'art. autant de manifestion que necessaire vers sa
réalisation ultime, évolution dans le sens d'un perfectionnement et un progré de l'humanité.
(Evolution et progression vers l'absolu contraire à l'idée de Rousseau)

3 étapes : rapport de domination entre forme et contenu.


1) étape symbolique qui renvoie aux origines de l'art qu'il situe plus en orient que en occident
(Egypt au Japon) symbolisé par l'architecture → « La forme excede le contenu » (emprunt
d'une lourdeur, la valeur spirituelle. Il faut beaucoup de matière pour symboliser un peu
d'esprit)
2) Parfait équilibre entre forme et contenu, il appel ça l'étape classique symbolisé par la
sculpture et la Grèce Antique.
3) Contenu spirituel, c'est à dire qu'elle n'a plus besoin de forme extérieure car sa forme c'est la
subjectivité elle même : l'art Romantique (poésie, peinture, musique)
Esthétique du contenu et esthétique de la forme. La musique est un art évanescent intangible mais
qui as besoin du temps pour se manifeste, structure du temps.

Ethnomusicologie 16/11

Etude pragmatique d'un chant suite. Sabbat Mater, même si le chant est le même chaque exécution
est différente l'une de l'autre. Comment les chanteur s'en rappelle et la question de l'interprétation.
Comment ces chants reste gravés dans la mémoire et décrire le chant dans tel ou tel situation. Fin de
l'analyse : écoute d'une version/séquence. Malgrés une substencielle similarité, il y a pas mal de
différence qu'on peu analyser et que chaque chanteur va indivisualiser dans son interprétation, dans
chaque voix. Il y a donc une description de l'ethnomusicologue de chaque chanteur et une
description réelle de l'interprétation de la dite œuvre.
Pour gérer le changement d'un collègue non prévu (erreur), les autres ne changent rien pour
retomber sur leurs pieds (entrés retardés, changement de note etc...)
Conclusion : après l'execution de ce chant, il y une discussion entre les chanteurs (pizza tmtc) et
parler de l'execution du chant. L'ethnomusicologue intègre à son analyse le moment de dégustation
de la dite pizza. De cette discussion émerge les souhaits contradictoires → Chant beau et défaut à
commenter, erreur qui montre la puissance du chanteur. Situer le chanteur, capacité, ancienneté,
légitimité. Cette discussion fait parti de la performance et est un élément à analyser aussi.

Qu'est-ce qui fait la différence entre avant et la continuité de l'analyse de la performance ?

FORME PERFORMANCE
Texte musical, œuvre en tant qu'objet Conditions d'exécution dans un contexte
énonciatif, interprétation, expérience, occasion
d'une œuvre
Sens dans la musique elle-même Sens donné par les acteurs/chanteurs
Systématique musicale, structure, théorie Situation particulière
générale
Primat de la transcription Primat de la description
Pas de partage avec tenants des traditions Préoccupation sur la manière de penser des
tenants des traditions
Focus sur les processus cognitifs, non
verbalisés, qui guident les musiciens et qu'ils
appliquent de manière intuitive
Description interne de l'énoncé et de son « Rendement » de l'énoncé dans un cadre
fonctionnement énonciatif donné
Réduit au minimum toutes les informations qui Inclue observateurs, lieu, contexte, gestes,
ne sont pas « musicales » (inhérent aux significations sociales...
structures sonores)
Point de vue éthique (énoncé) Point de vue emique (contexte)

La nature réside mois dans le texte que dans l'interprétation. Intérêt pour l'inédit et l’inattendu,
renouvellement plutôt que le modèle absolu. C'est la pratique qui fait la musique et non pas un
modèle abstrait qui serait absolu. {Insert conclusion de l'article}

Autres exemple, autre étude, année 80-90.


Regula Burckhartt (América Fuck yeah) -Sufi Music of India ans Pakistan. Sound Context ans
Meaning in Qawwali
Utilisation de vidéos et d'enregistrements. Interaction entre musiciens et public. Qawwali est un
genre musical mais aussi l'évènement du genre musical.
Un assemblée avec des musiciens qui provoque l'extase du public, présent dans l'Asie du Sud. Une
poésie Indi ou Urdu avce un chanteur principal et un petit groupe de chanteur, + accompagne
harmonium, tambour et rythmique mains. Hierarchisé, les musiciens suivent le chanteur qui ets
leader de la performance. Cette musique mène à une extase religieuse, les fidèles doivent exprimer
leurs émotions et susciter des offrandes (argent) qui sont la rémunération des musiciens.
→ Anniversaire d'un Saint ''Souffi'' et l'assemblée se lève tour à tour pour offrir des offrandes au
chef.
La meuf nous dit : dans une musique qui mène à l'extase et une série d'intération entre musiciens et
public, on ne peux pas analyser que le sonore, il faut analyser le rite religieu aussi. Elle se demande,
comment le Qawwali comme son s'articule avce le Qawwali comme occasion ? Comment la
musique acquière un sens et une signification dans le contexte de sa performance ?
Elle va essayer d'analyser la structrure sonore + l'évènement en lui même. Elle filme tout le rituel et
elle propose des méthodes d'analyse novateur qui vont essayer de trouver cette rencontre de ces
deux éléments – en relation musique et ce qui se passe dans la salle.
Analyse musicologique mais en faisant un pas de plus avec la musicologie indienne.
Comparable/compatibles, théorie qui mène le mix des deux. Il y a plusieurs pb dans les deux
musicologie c'est qu'elle rate l'analyse du contexte, l'analyse du comportement/émique. Elle se
propose de créer ce dernier (jeu + ensemble). L'écoute se rapporte à Dieu.

Musique et Philosophie 16/11

Romantisme au lance-pierre. Contexte de deuxième partie fin 18 vers19eme. (Schaopenhower) On


sortait de cette idée, la musique au contraire était à même de toucher l'essence même des chose plus
que les autres arts en raison même de son sémantisme. Aussi l'époque fait jour de l'idée que
musique et poésie doivent collaborer d'une toute autre manière qu'elle avait été envisager à l'aire
baroque → imitation de l'affecte que nommait le mot dans la poésie ou opéra mais au contraire que
elle pouvait s'allier en dehors de toute détermination autre pour atteindre justement ce sens profond
de l'être. Touts les jours au 19 eme l'idée de réunir les arts autour de la musique = retournement car
musique plus secondaire (accompagne) elle est le centre de la réunion des arts. Cela débouche sur 2
choses :
1) musique à programme {Berlioz & Litz}
2) nouveau type d'opéra {Wagner}

Pourquoi la musique à programme : Berlioz et Litz. On considère que les forme ''classique'' (sonate
bithématique) à été épuisée, portée à son apogée dans leur temps avec Beethoven par exemple. Et se
mêle à ça d'autres chose, cela en a fait un art difficile et exigeant qui es difficilement accessible où
le public n'est plus seulement pour les connaisseurs (élite). La musique autonome, purement
instrumentale, débouche sur des choses difficiles et ne peuvent interesser un large publique
contrairement au début Beethoven. 2Puisement du classique et développement des concerts ->Litz
propose et valorise la figure de ce qu'il va appeler le « musicien poète » qui va jouer de la musique à
programme, qui va lier un texte avec de la musique, il y aura un programme connu du public et le
musicien va en effectuer la synthèse de sorte de faire une fusion de la littérature et de la musique.
Ces deux courant vont faire naitre deux esthétiques : la forme (pure) et le contenu (poème sympho
ou opéra). Ces courant sont plus ou moins mêlés mais créer des clivages, l'une symboliser par
Wagner et une autre par Brahms.
Wagner = Nietsche. Romantique, l'art est l'expression et la musique le point de convergeance des
arts. Pour Wagner ce n'est pas le poème sympho mais plutôt vers l'opéra « drame musical » remplis
d'idéal politique notamment dans les idées nationalistes.
Le drame musical c'est la l’œuvre d'art totale qui doit réunir tous les arts autour de la musique,
l'oeuvre d'art du future car fusion de tous les arts. La référence des compositeurs du 19e c'est
Beethoven mais pas forcément de la même période de son écriture, ici Wagner s'inspire de la 9eme
symphonie qui donne la voix et le symbole de la fusion, un modèle qu'il veut poursuivre dans ses
opéras. L'autre idée phare qui s'oppose au chant de l'époque, c'est une vision opposé aux bel canto
(beaux air italiens ou Mozartien) ce qui importe c'est la ligne vocale de la parole → Une ligne
mélodique continue. Wagner héritié de Rousseau : « L'oeuvre d'art doit revenir à l'organe primitif
des sentiments de l'âme le langage des sons ». Retour aux sources, indistingue les sons et les mots.
Un opéra qui illustre c'est ''les maîtres chanteurs de Nuremberg''
L'autre personnage c'est nietsche (1844-1900) : Grand admirateur de Wagner et lecteur de
Schoppenhower, il paratge leurs idées que l'art est la source des idées mais qu'elle est aussi l'activité
suprême : « la véritable démarche méthaphysique de notre vie ». S'oppose la valorisation de la
musique y comprit dans l'esthétique du contenu et du sentiment, c'est au nom de la grandeur et de
l'élévation et de la quête d'essence supérieur qui n'a rien à voir avec l'hédonisme (le plaisir) Il y a au
contraire une lutte contre les gens qui cherche seulement du plaisir. Il va prendre appuis sur la
tragédie Grec dont il va dire : « c'est un miracle métaphysique » car il symbolise l'union d'Apollon
et de Dionysos. La pensée de Nitsche c'est de dire que de même la pensée occidentale depuis Platon
n'a fait qu'oublier ses origines. La vérité dramatique de l'existance que le rationnalisme à caché sous
un voile trompeur et le guide à suivre c'est Dionysos qui a vocation à englober la dramatique
existancielle. S'en suis une critique de l'Opéra (seconda pratica) qui est fourvoyé de l'ignorence
mais qu'elle a noyer l'espris Dyanisaque sous un art voluptueux du chant. Retour des choses comme
aux lumières : valorisation de ce qu'il y de plus grand dans la musique Palestrina et Bach.
La musique pure est finalement la seule légitime mais avec cette précision la musique dramatique
doit devenir aussi de la musique pure. Retour vers l'essentiel et doit faire scientiller la force paienne
du mythe si vivant chez les Grecs. La musique c'est agir directement sur le corps, il rejoins ce que
l'on pense via la tragédie Grec. Un jour Apollon pourra parler le langage de Dionysos. Même avec
la force de leurs idées, ce sont des références incontournable.
Brahms & Hanslick 1825-1904 → propos fort sur la musique et la valorisation de la forme dans la
raisonnance de la philosophie de Kant qui s'oppose au discours que tiennent les musiciens sur la
musique, enthousiste et méthaphorique mais sur le fond érroné, euphorique. L'art n'est pas
expression mais elle ets forme donc sa valeur réside sur ses relations formelles, qui sont présente à
l'intérieure de l'oeuvre, sur elle que doivent se fonder les jugement esthétique. Par ailleurs la
musique a un matério spécifique et donc s'oppose radicalement au poème symphonique, pas la
beauté en général qui s décline différemment dans les art mais une beauté spécifique dans la
musique qu'il explicite les ressorts (formel). « Du beau dans la musique » œuvre écrite. Lié à sa
forme, car autonome et valeur en elle-même. Le contenu musical c'est les idées musicales. La
musique est pure forme et en tant que catégorique du beau, elle n'a aucun but. Ne veut pas dire que
la m'usique n'a aucun rapport avec les sentiments masi que ces sentiments sont des effets
secondaires et n'ont rien à voir avec la valeur artistique. Elle peut symboliser une dynamique des
sentiment mais pas dire quel est le sentiment. Les formes sont pleines, l'esprit les habite. Il n'y a pas
de contenu opposable à la forme car il n'y à pas de forme séparable au contenu, ils agissent
ensemble pour délivrer l'esprit de la musique. Exigeance de la grandeur de la musique, perfection de
l’œuvre et transcendance qui s'inscrit dans la descendance du reste. Fait fond sur le caractère du
caractère éternel musical et entre en résonance de l'esthétique de la forme contre contenu de la
musique à programme ou du drame à la Wagner.

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