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I.

L’INTRAPRENEURIAT

C’est la possibilité offerte à un salarié d’entreprendre au sein même de son entreprise.

C’est avoir toutes les caractéristiques d’un entrepreneur tout en bénéficiant, en plus, de
la sécurité de l’emploi

II. L’INTRAPRENEUR

Un intrapreneur est l’employé qui saisit une opportunité, développe une idée et la fait
passer au niveau supérieur pour le bien de l’entreprise.

III. L’EXTRAPRENEURIAT

Essaimage entrepreneuriale :un ensemble de mesures et de comportements par


lesquels les entreprises encouragent, accompagnent, facilitent la démarche de leurs
salariés qui souhaitent créer ou reprendre une société. L’entreprise soutiendra ses
salariés dans leurs démarches en maximisant leurs chances de réussite.

IV. LES MOYENS POU FAIRE L’ESSAIMAGE


• Du temps pour étudier Puis concrétiser le Projet et un accompagnement pour la
réalisation de l’étude de marché et du business plan,
• Des formations à la création d’entreprises ou à la gestion,
• Des prêts et des subventions,

Cet appui est apporté directement par la cellule essaimage de l’entreprise ou confié à
des prestataires extérieurs,

V. L’ENTREPRENEURIAT SOCIAL

L'entrepreneuriat social est une forme d'entrepreneuriat dans le cadre du quel la


recherche de bénéfice n’est plus un objectif mais plutôt un moyen pour aboutir un
projet répondant à une problématique sociétale ou d'intérêt général..

Il accorde toute son importance à la valeur sociale et/ou écologique d’une activité
économique.

L’entrepreneuriat social renvoie donc, dans son acception la plus large, aux initiatives
privées innovantes ayant pour objectif de répondre à des besoins sociétaux qui ne sont
satisfaits ni par la logique de marché ni par l’action publique.
.

VI. L’AUTO ENTREPRENEUR

régime simplifié de l’entreprise individuelle, institué par la loi 114.13 publiée au bulletin
officiel en Mars 2015.

Toute personne physique exerçant, à titre individuel, une activité industrielle,


commerciale ou artisanale, ou prestataire de service, dont le chiffre d’affaires annuel
(CA) encaissé ne dépasse pas les montants suivants:

-500.000 Dhs pour les activités commerciales, industrielles et artisanale.


-200.000 Dhs pour les prestations de services.

VII. AVANTAGES DU STATUT AUTO-ENTREPRENEUR AU MAROC

• Procédure de création/radiation simplifiée


• Toutes vos démarches administratives en quelques minutes.
• Possibilité d’exercice de l’activité à domicile.
• Plus besoin d’avoir un local professionnel pour créer votre entreprise.
• Fiscalité réduite: 0,5% du CA pour les activités industrielle, commerciale et
artisanale 1% pour les prestations de services.
• Pas de chiffre d’affaires, pas d’impôt sur le revenu: Si vous ne réalisez pas de
chiffre d’affaires pendant l’année d’inscription, vous n’aurez pas à payer l’impôt
sur le revenu (avec obligation de déclaration).
• Possibilité de facturation: Vous pouvez désormais facturer vos prestations à
vos clients.
• Dispense de tenue de comptabilité: Plus besoin de présenter votre bilan
comptable à l’administration fiscale

VIII. LES RESPONSABILITES D’UN AUTO ENTREPRENEUR

• Facturation.
• Déclaration du chiffre d’affaires et paiement de l’impôt trimestriellement.
• Respect de la réglementation en vigueur.
• Respect des conditions et exigences liées au métier à exercer.

IX. LA DEMARCHE :
Pour ouvrir son auto-entreprise, il faut déclarer et immatriculer l'activité auprès du
Registre national de l'auto-entrepreneur.

Le dossier doit obligatoirement comprendre :

• un formulaire de pré-inscription rempli en bonne et due forme ;


• une photo d'identité récente ;
• une copie de la carte d'identité nationale.

X. LES MYTHES SUR L’ENTREPRENEURIAT

L ’ARGENT

PISTON

LA CHANCE

L’IDÉE GÉNIALE

XI. L’ENTREPRENEUR

personne ou groupe de personnes qui crée, développe et implante une entreprise dont
il assume les risques, et qui met en œuvre des moyens financiers, humains et
matériels pour en assurer le succès et pour réaliser un profit ».

XII. LES TYPES D’ENTREPRENURS

Aujourd’hui, nous nous intéressons à une nouvelle topologie des entrepreneurs


proposée par Philippe Coste. Il distingue notamment les types suivants :

• L’entrepreneur expert, L’entrepreneur expert crée simplement parce qu’il sait. Il


dispose en général d’une expertise acquise dans un domaine particulier qu’il
cherche à développer via son projet entrepreneurial.

Il a en général l’avantage de la crédibilité puisqu’il maîtrise le métier sur lequel il


entreprend.

• L’entrepreneur militant, qui cherche à diffuser sa vision du monde au plus grand


nombre

L’amoureux du projet. Il défend avant tout ses idées et ses valeurs dans son aventure
entrepreneuriale.
Ce type d’entrepreneur a tendance à vivre pleinement son projet et à le défendre
comme si c’était une foi. Il est prêt à abattre tous les obstacles pour imposer sa vision.

• L’entrepreneur opportuniste, qui se détache du projet et mise sur l’exécution

Pour ce type d’entrepreneur, la nature du projet importe assez peu, il en est détaché.
Le projet en soi est selon lui autonome.

Son recul est en général assez intéressant, notamment pour la capacité de


l’entrepreneur à restituer l’aspect financier devant des investisseurs.

Par contre, vu son détachement, il a tendance à abandonner le navire lorsqu’une autre


opportunité est plus intéressante,

• L’entrepreneur créatif, qui est principalement attiré par l’aspect créatif de la


création d’entreprise.

L’entrepreneur créateur s’intéresse avant tout à l’aspect créatif de l’entrepreneuriat. Il


voit son entreprise comme une opportunité de transformer son environnement.
XIII. LES CARACTERISTIQUES ENTREPRENEURIALES

INITIATIVE CRATIVITE REACTIVITE COURAGE EMPATHIE

CONFIANCE RESILIENCE LEADERSHIP TOLERANCE A PERSEVERANCE


EN SOI L’INCERTITUDE
RIGUEUR SOUPLESSE ESPRIT D CAPACITE DEBROUILLARDISE
EQUIPE
D ADAPTATION

XIV. MENTALITE FIXE VS MENTALITE DE CROISSANCE

Les individus avec un mentalité de croissance croient que leur intelligence et leurs
talents peuvent être développés au fil du temps.

Ils sont prêts à relever des défis et ont la passion d'apprendre.

À l'inverse, les individus avec un état d'esprit fixe croient que leur intelligence et leurs
talents sont des traits fixes qui ne peuvent pas être développés.
S

XV. LES CAPACITES ENTREPRENEURIALES

un ensemble composé d’éléments innés et d’éléments acquis permettant


potentiellement de réussir à accomplir une activité. Il n’existe pas de listes de capacités
qui soient spécifiquement entrepreneuriales.

Parmi ces capacités, l’on retrouve notamment les éléments suivants (Kearney, 1999) :

• générer, identifier et évaluer des opportunités ; évaluer et gérer les risques ;

• planifier et organiser ; contrôler et évaluer ;

• trouver et gérer les ressources ; résoudre les problèmes ;

• collecter, organiser et analyser des informations ;

• prendre l’initiative et faire preuve de dynamisme ;

• générer et utiliser des idées et des processus créatifs ;

• être flexible et accepter le changement ;


XVI. LE PROFIL ENTREPRENERIAL

Esprit inventif Besoin d’accomplissement

Leaders Contrôle du destin

Preneurs de risques modérés Confiance en soi

Indépendants Implication à long terme

Créateurs Tolérance à l’ambiguïté et à l’incertitude

Énergiques Initiative

Flexibles Tendance à faire confiance

XVII. LES MYTHES SUR L’ENTREPRENEUR

• L’entrepreneur est un super héro

L’entrepreneur est souvent illustré comme un super héros, à l’image de Bill Gates ou
encore Steeve Jobs. On voit souvent l’entrepreneur comme étant charismatique,
capable de lever des fonds, … L’entrepreneur ne vient pas d’une autre planète, tout
le monde peut devenir entrepreneur

• L’entrepreneur réussit seul

Bien qu’il soit possible de démarrer tout seul, on ne le reste jamais très longtemps.

L’entrepreneur est l’élément moteur, mais pas seulement, il y a généralement une


équipe derrière lui qui l’aide à faire tourner son entreprise

Tout entrepreneur sait qu’en étant seul, il ira plus vite mais travaillant en équipe, il ira
plus loin.

• L’entrepreneur aime prendre des risques

L’entrepreneur est souvent vu comme quelqu’un qui recherche le risque. Or, en réalité,
bien que l’entrepreneuriat soit effectivement une activité risquée (comme toute activité
humaine),
l’entrepreneur cherche à contrôler le risque qu’à en prendre.

• L’entrepreneur prévoit l’avenir

l’entrepreneur ne prédit pas l’avenir que quelqu’un d’autre, il se contente de construire


l’avenir à sa mesure, en travaillant quotidiennement à le changer à son avantage

• Il faut une grande idée pour commencer

Il ne faut pas une grande idée pour partir en entrepreneuriat et la concrétiser au moyen
d’un business plan qui sera ensuite mis en exécution. Un certain nombre ont même
démarré sans aucune idée.

V. MES RESSOURCES ENTREPRENEURIALES

IKIGAI

Vi. LE PROBLEME ENTREPRENEURIAL

Un besoin est un sentiment de privation, de manque que l'individu cherche à faire


disparaître par la consommation d'un bien. C'est une demande exprimée ou latente,
d'ordre individuel ou collectif.

Selon Kotler, grand spécialiste du marketing, les désirs représentent la forme que
prennent les besoins humains sous l’effet de la culture et de leur personnalité.

Nos désirs sont donc influencés par notre environnement.


Pour résumé :

 le besoin est neutre, indifférencié.


 Le désir subit des influences.

XVIII. LE DESIGN THINKING

Le design thinking est une méthode d'innovation centrée sur l'utilisateur, dont le but est
de concevoir des produits ou des services recherchés par les consommateurs,
techniquement réalisables et économiquement viables.

Elle transforme les idées en prototypes en se basant sur des techniques de créativité,

Il permet de résoudre toutes sortes de problèmes grâce à l’intelligence collective pour


arriver à l’achèvement et la mise sur le marché d’un produit ou d’un service de façon
rapide et efficace.

1. ORIGINES
• Année 50: né aux États-Unis avec l’arrivée de la technique du Brainstorming
développé par le publicitaire Alex Osborn.
• En 1980: Rolf Faste a donné une définition exacte du concept. Et il a également
établi ses différentes étapes.
• En 1987 : apparaît réellement le terme de design thinking.

Il est employé par Peter G. Rowe, professeur à Harvard, dans son livre « Design
Thinking ». Au sein de cet ouvrage, il vante les mérites de la méthode utilisée par les
urbanistes et les architectes pour concevoir des bâtiments et des espaces publics.

2. LES PRINCIPES DU DESIGN THINKING

✓ Débloquer l’innovation d’une organisation.


✓ Donner vie rapidement à des projets répondant à des besoins.
✓ Tester et lancer des produits et services en un temps record.
✓ Développer la cohésion en entreprise.
✓ Mettre l’utilisateur au centre de la démarche d’innovation

3. LES ETAPES DU DESIGN THINKING


 1. Empathie.

Se mettre à la place du consommateur et tenter de comprendre au mieux ses besoins.

Le maître-mot de cette étape est l'écoute. Il est essentiel de récolter un maximum


d'informations sur son mode de vie, ses habitudes, sa manière de penser, ses
sentiments et son avis.

Pour cela, il faut aller à la rencontre des utilisateurs par l'intermédiaire de


questionnaires en ligne, de tables rondes ou encore de forums de discussion

 2. Définition

Il s'agit là de définir la problématique.

 3. Idéation

Cette phase correspond à l'étape créative.

Il s'agit de générer un maximum d'idées pour répondre aux problèmes définis lors de la
phase précédente. L'idéal est de réunir des personnes issues de différents services
de l'entreprise (marketing, recherche, développement…), voire des utilisateurs
potentiels, et de les laisser exprimer librement leurs idées.

 4. Prototypage.

Donner vie aux idées exprimées lors de la phase précédente. Il peut s'agir de
maquetter un produit en faisant attention à ses dimensions ou à ses fonctionnalités.

Le but de cette étape est de permettre aux équipes de visualiser concrètement à quoi
pourrait ressembler l'idée afin d'en évaluer le potentiel.
La méthode du design thinking implique que le prototype soit :

• Simple à concevoir et à comprendre.

• Peu coûteux à réaliser.

• Rapide à créer.

 5. Test.

La dernière phase consiste à tester les différentes solutions imaginées et à recevoir les
premiers retours des utilisateurs. Il sera alors possible d'identifier les points faibles
du prototype et de les résoudre avant son développement.

QUELQUES OUTILS DU DESIGN THINKING

 Observation
 Benchmarking
 Entretien approfondie
 Nuage de mots
 Carte d’empathie
 Mindmapping
 Brainstorming
 Storyboard

Carte d’empathie

Outil visuel simple, facile à lire, qui capture des informations sur les comportements et
les attitudes d'un utilisateur. C'est un outil collaboratif utile pour aider les équipes à
mieux connaître leurs utilisateurs.

Elle commence souvent par un brainstorming avant d'être synthétisée. Une carte
d'empathie doit comporter les 6 points ci-dessous. Elle peut être construite de
différentes manières, soit sous forme de schéma, de tableau ou de mindmap.
1 – Que voit-il?

 Décrivez-ce que le client voit dans son environnement


 Qui fait partie de son entourage?
 A quels types d’offres est-il exposé quotidiennement?
 Quels problèmes rencontre-t-il?

2 – Qu’entend-il?

 Décrivez comment l’environnement influence le client


 Que disent ses amis? Son conjoint?
 Qui influence réellement et comment?

3 – Que pense-t-il et que ressent-il?

 Essayer d’esquisser ce qui se passe dans l’esprit de votre client


 Qu’est-ce qui est réellement important ?
 Imaginez ses émotions?

4 – Que dit-il et que fait-il?

 Imaginez ce que le client pourrait dire, seul en public


 Comment se comporte-t-il?
 De quoi parle-t-il?

5 – Que craint-il?

 Quelles sont ses plus grandes frustrations?


 Quels obstacles se dressent entre ce qu’il veut et ce qu’il a besoin d’accomplir?
 Quels risques pourrait-il avoir peur de prendre?
6 – Qu’espère-t-il

 Que veut-il ?
 Quels sont les critères de réussite?

BENCHMARKING

Le benchmarking est un ensemble de procédures de recherches et d'analyses


comparatives de la concurrence.

Le storyboard

Une représentation visuelle d’une vidéo ou d’un spot préparé en amont de son
tournage. Il s’agit d’un document présenté sur papier ou fichier numérique servant
notamment à planifier les besoins de l’ensemble des plans qui constitueront un produit;

MINDMAPPING

Le Mind Mapping est une des méthodes utilisées pour représenter graphiquement des
idées de manière plus claire. Sa vocation est de faciliter la mémorisation et
l'organisation de la pensée grâce à une mise en forme d'informations graphique
productive et attractive.

XIX. BUSINESS MODEL

Le Business Model décrit la manière dont l’entreprise crée, livre, capitalise de la valeur
pour en tirer des revenus. Appelé également modèle économique ou modèle
d’affaires, décrit précisément comment votre entreprise va gagner de l’argent.

POURQUOI REINVENTER SON BUSINESS MODEL

Les consommateurs: comment répondre à des clients plus exigeants, plus volatiles,
mieux informés et moins fidèles à une marque.

Les concurrents: comment faire face au nombre croissant de jeunes entreprises, plus
efficaces et plus agiles

La distribution: comment saisir les opportunités qu’offrent la multiplication des canaux,


les objets connectés, l’intelligence artificielle, le big data et l’économie de partage.

La production: comment adapter les process et les méthodes de production en


intégrant les nouvelles technologies pour accélérer le développement de produits et
services.

La régulation: comment s’adapter aux nouvelles règlementations, plus strictes,


auxquelles sont soumises de nombreux secteurs (finance, énergie, transport, …)

EXEMPLE DE BUSINESS MODEL RECENTS


1. Le modèle Freemium

Bien connue des internautes, la stratégie freemium consiste à faire adhérer un


maximum de personnes à un service gratuit pour les rediriger ensuite vers un service
payant plus complet (appelé premium), avec des fonctionnalités à forte valeur ajoutée.

2. DROPSHIPPING

Le dropshipping est un concept qui a vu le jour aux États-Unis et au Canada.

Le concept signifie « vendre ce qu'on ne possède pas ». Autrement dit, celui qui fait
du drop shipping est l'intermédiaire entre le client (demandeur, acheteur, etc.) et le
fournisseur (usine, grossiste, revendeur, etc.).

C’est une forme du e-commerce par laquelle le site vendeur ne possède pas de stocks
et fait livrer le client final directement par son fournisseur

3. UBERISATION

(du nom de l'entreprise Uber), ou la plateformisation, est un phénomène récent dans


le domaine de l'économie consistant en l'utilisation de services permettant aux
professionnels et aux clients de se mettre en contact direct, de manière quasi
instantanée, grâce à l'utilisation d'une plateforme numérique.

exemple on cite Airbnb, Booking.com .

4. MARKET PLACE

La marketplace est aujourd’hui définie comme un site internet sur lequel des vendeurs
indépendants, professionnels ou particuliers, ont la possibilité de vendre leurs produits
ou services en ligne moyennant, pour les cas les plus connus, une commission
prélevée par le site sur chaque vente.

5. LE MODELE DE L’ABONNEMENT

Du point de vue du consommateur, le modèle d'abonnement est particulièrement


pratique et simple d'utilisation ; on paye une petite somme par mois, et on reçoit un
bien ou service qu'on va utiliser. Si on ne l'utilise plus, on arrête de payer

Exemple: NETFLIX

6. LES BUSINESS DU METAVERSE

Le métavers est basé sur l'idée de l'expérience en temps réel et de l'interaction.

Chacun pourra créer son “double” virtuel, un avatar, et posséder des biens
numériques, qu'il s'agisse de vêtements ou d'un terrain ou d'une maison achetés avec
des crypto-monnaies.
C’est un univers fictif créé pour le divertissement. Le metaverse, lui, allie à la fois les
jeux vidéo, les réseaux sociaux, l'e-commerce, des mondes immersifs en 3D, mais
aussi des places de marché.

Quels sont les dangers du métaverse ?

 une perte de la confiance en soi et en sa valeur ;


 une dépendance à l'espace numérique ;
 la perte potentielle de contacts sociaux ;
 une faible estime de soi.

Les NFTs

Des biens virtuels que l’on peut collectionner, échanger, acheter et vendre de
différentes manières.

CRYPTOMONNAIE

Monnaie numérique en usage sur Internet, indépendante des réseaux bancaires et liée
à un système de cryptage.

Le but d'une cryptomonnaie est de permettre un échange de valeur sécurisé entre


deux parties, sans l'intervention d'un intermédiaire

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