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• Product / produit : ou la modélisation de l'offre, service ou idée
afin qu'il réponde aux attitudes et motivations d'un ou de publics.
• Promotion / Publicité (communication) : ou les méthodes pour
rendre publics l'existence, l'intérêt et la disponibilité de l'offre.
Elle favorise aussi l'émergence de besoins.
• Price / Prix : ou les conditions d'obtention (leurs niveaux par
rapport aux autres offres).
• Place / Distribution : ou les modèles, moyens et infrastructures
de mise à disposition de l'offre.
•
• Le marketing (parfois traduit
mercatique en français)
• est une discipline du management qui
cherche à déterminer les offres de biens,
de services ou d'idées en fonction des
attitudes et de la motivation des
consommateurs, du public ou de la société
en général.
Il favorise leur commercialisation (ou leur diffusion pour des
activités non lucratives). Il comporte un ensemble de
méthodes et de moyens dont dispose une organisation pour
s'adapter aux publics auxquels elle s'intéresse, leur offrir des
satisfactions si possible répétitives et durables.
Il suscite donc par son aspect créatif des
innovations sources de croissance d'activité.
Ainsi l'ensemble des actions menées par l'organisation peut
prévoir, influencer et satisfaire les besoins du consommateur
et adapter ses produits ainsi que sa politique commerciale aux
besoins cernés.
4.2- FORCES DE VENTE
• Les activités de commerce de l'entreprise sont
assurées par le Département commercial, ou
direction commerciale.
• Le département commercial est chargé de vendre
les biens et les services que produit l'entreprise et
d'assurer la relation avec les clients. Il prospecte
les acteurs de son marché pour les convaincre
d'acheter les produits de l'entreprise.
Il travaille avec les clients de l'entreprise pour
d'une part les rendre plus confiants et d'autre
part les convaincre de passer de nouvelles
commandes. Il établit les propositions
commerciales et négocie les contrats de vente
et définit les offres commerciales et assure la
communication de l'entreprise avec l'extérieur.
• La dénomination d'entreprise recouvre une grande diversité, tant
en ce qui concerne la taille, l'activité, le mode de
fonctionnement que la forme juridique. Il est ainsi possible de
distinguer les entreprises selon certains de leurs caractères.
• Un premier critère de distinction est celui du caractère privé
ou public de l'agent qui contrôle le capital.
• S'il s'agit de l'État ou des collectivités publiques, on parle
alors d'entreprise publique.
• Le second critère de distinction est son régime juridique.
L'entreprise peut en effet choisir entre différents statuts pour
adopter celui qui correspond le mieux à son activité :
• elle peut être une société en commandite simple ou par
action, une société en nom collectif (SNC),
• une société anonyme (SA)
• ou une société à responsabilité limitée (SARL).
• Il est aussi possible de reprendre la classification de la
comptabilité nationale qui répartit les entreprises en trois
groupes :
• les sociétés et quasi-sociétés non financières,
• les institutions de crédits
• et les entreprises individuelles.
• La taille de l'entreprise est aussi souvent considérée comme
significative, que ce soit par le nombre d'employés, le capital,
le chiffre d'affaires.
• Le dernier critère de classification
souvent employé est le type d'activité qui
peut relever du secteur primaire
(entreprises agricoles),
• du secteur secondaire (entreprises de
construction, minières, industrielles)
• et du secteur tertiaire (entreprises
commerciales, de transport et de service)
ENVIRONNEMENT IMMEDIAT DE
L’ENTREPRISE
3- NOTIONS DE GESTION DES
ENTREPRISES
GERER, c’est prevoir
• La prevision est un element clef
de tout processus de gestion. En
effet, gerer, c`est tout d`abord
PREVOIR l`evolution de
l`environnement de l`entreprise.
A travers tous les facteurs
pouvant exercer une influence
sur ces resultats.
GERER, c’est decider
C`est
ensuite
decider. Qui
est un choix
raisonne
parmis
plusieurs
alternatives
GERER, c’est planifier
C`est enfin planifier. Qui est
une action d`organiser
plusieurs activites.
4- NOTIONS DE MANAGEMENT
• Le terme management est tiré de l’anglicisme. En effet, ce
terme fut introduit dans les années 1921 par Henry Fayol dans
le vocabulaire de l’économie. Il signifie conduire, diriger une
entreprise, une affaire. Le management est donc un ensemble
de techniques d’organisation de gestion d’une affaire, d’une
entreprise.
• Etymologiquement, il vient de l’italien «
mannegiarre » qui vient de main. Cela signifie
donc « Avoir à la main » ou encore « avoir dans sa
main ».
• En entreprise, on retiendra trois termes :
• - « management »
• - « manager » le verbe
• - « manager » le mot
• On retrouve la multiplicité de cette racine surtout en anglais.
En effet, ce terme est plus dynamique et plus focalisé sur les
objectifs que le mot gérer. Et plus participatif et collectif que le
mot diriger.
• Manager c’est tout d’abord
• - prévoir l’évolution de l’environnement de l’entreprise à
travers tous les facteurs pouvant exercer une influence sur ses
résultats.
• - Ensuite décider ce qui suppose une prévision de la situation
de l’entreprise une fois que les choix effectués.
• - Contrôler, c'est-à-dire comparer les résultats obtenus avec
ceux qui étaient prévus.
CHAPITRE 2 :
CLASSIFICATION ET
TYPOLOGIE DES ENTREPRISES
1-CLASSIFICATION DES
ENTREPRISES
• Un premier critère de distinction est celui du caractère privé
ou public de l'agent qui contrôle le capital.
• S'il s'agit de l'État ou des collectivités publiques, on parle
alors d'entreprise publique.
• Le second critère de distinction est son régime juridique.
L'entreprise peut en effet choisir entre différents statuts pour
adopter celui qui correspond le mieux à son activité :
• elle peut être une société en commandite simple ou par
action, une société en nom collectif (SNC),
• une société anonyme (SA)
• ou une société à responsabilité limitée (SARL).
CLASSIFICATION PAR BRANCHE ET
SECTEUR D’ACTIVITÉ
• Le secteur : Ensemble des entreprises ayant la même activité
principale.
La branche : Ensemble d’unités de production fournissant un
même produit ou service.
Micro-entreprise :
· Sous-catégorie des · exemples
TPE définie par un · Lavage auto,
chiffre d'affaires
inférieur à 5.000.000 F · salons de coiffure,
CFA pour celles · Maquis
réalisant des opérations · Resaturants
d'achat-vente
Très Petites Entreprises
(TPE)
· moins de 10 salariés
: · : exemples :
avec soit un
chiffre d'affaires · Cybercafe,
inférieur à 10 millions
De F CFA · Boulangeries
· Magasins de prêts
a porter
Petites entreprises (PE)
• entre 10 salariés et 49 • exemples
salariés avec soit un
chiffre d'affaires inférieur Collèges prives
à 50 millions de F CFA
Cliniques médicales,
supermarhes
Moyennes entreprises (ME)
· : entre 50 salariés Exemples :
et 249 salariés
avec soit un Exploitations
chiffre d'affaires agricoles
inférieur à 500 Sociétés
millions de F agroindustrielles
CFA.
Grandes entreprise :
· 250 salariés et plus ou à la
Exemples :
fois un chiffre d'affaires
supérieur ou égal à 500 Compagnie
millions de F CFA .
d`electricite
Compagnie d`eau
Societe de rafinage
Societe petroliere
GROUPES D`ENTREPRISES-
HOLDING
· EXEMPLES
·
Entreprises étendues (ou en réseau,
ou matricielle, ou virtuelle)
Comprend une
entreprise pilote
EXEMPLES
travaillant avec ?
de nombreuses
entreprises
partenaires
CLASSIFICATION PAR BRANCHE ET
SECTEUR D’ACTIVITÉ
• Le secteur : Ensemble des entreprises ayant la même activité
principale.
La branche : Ensemble d’unités de production fournissant un
même produit ou service.
2- TYPOLOGIES DES
ENTREPRISES
1- LES ENTREPRISES
INDIVIDUELLES
1- INSUFFISANCES
ECONMIQUES ET FINANCIERES
• Ces insuffisances résultent de la capacité limitée de
l’entreprise individuelle.
• D’un point de vue économique, l’entreprise individuelle atteint
très vite son seuil de productivité, c’est-à-dire le seuil à partir
duquel elle ne peut plus s’étendre, ni dans l’espace — parce
qu’elle ne va pas pouvoir prospecter tous les marchés qui
s’offrent à elle —, ni en volume — parce qu’elle ne va pas
pouvoir acquérir les matériels nécessaires à une augmentation
de sa capacité de production.
• D’un point de vue financier, les capitaux engagés dans
l’affaire sont uniquement constitués par la fortune de
l’entrepreneur. Ils sont donc entièrement soumis à sa capacité,
à sa discrétion et aux aléas de sa compétence : s’il n’a pas les
moyens, ou s’il ne désire pas investir dans l’entreprise, celle-ci
ne peut se développer.
• De plus, lorsqu’il veut se procurer des capitaux extérieurs, des
crédits bancaires par exemple, l’entrepreneur ne peut, à
nouveau, compter que sur sa fortune personnelle pour rassurer
son banquier, car il ne peut pas utiliser son fonds de commerce
comme garantie. En effet, en droit IVOIRIEN INSPIRE PAR
L`OHADA , le fonds de commerce (l’ensemble des éléments
corporels — le matériel, les outillages, les marchandises — et
incorporels — le droit au bail, le nom, les brevets, la
clientèle — qui appartiennent à un commerçant pour lui
permettre d’exercer son activité) n’a pas d’existence distincte de
celle de l’entrepreneur.
2- LES INSUFFISANCES
JURIDIQUES , SOCIALES
• Du point de vue juridique, d’abord, ce type d’entreprise
présente de très sérieux inconvénients, car elle se caractérise,
par l’absence de patrimoine d’affectation.
• En d’autres termes, puisque l’entreprise
n’a pas d’existence individuelle distincte
de celle de l’entrepreneur, elle n’a pas
davantage de patrimoine distinct. Il n’est
pas possible d’isoler, au sein du
patrimoine de l’entrepreneur, une masse
composée de ses biens professionnels. Il
s’ensuit alors deux conséquences
d’importance
• La première peut être dramatique pour l’entrepreneur ou sa
famille : c’est la responsabilité indéfinie et exclusive de
l’entrepreneur sur tous ses biens (et éventuellement ceux qu’il a
en commun avec son conjoint s’il est marié sous le régime de
la communauté).
• L’entrepreneur n’étant juridiquement titulaire que d’un seul
patrimoine, tous ses biens sont confondus, tant ceux qu’il a
affectés à son commerce, que ses biens purement civils. Ils
sont confondus, et donc éventuellement appréhendés par ses
créanciers commerciaux, le cas échéant, après une procédure
d’exécution collective : la liquidation judiciaire.
• . Ainsi, la voiture de son conjoint peut être saisie par des
fournisseurs impayés. Aussi, le commerçant qui ne veut pas
risquer la totalité de sa fortune a-t-il tout intérêt à recourir à la
société.
• La seconde conséquence peut être dramatique pour
l’entreprise. En effet, n’ayant pas d’existence distincte de celle
du maître de l’affaire, l’entreprise individuelle est strictement
liée au bon vouloir et à la vie de celui-ci. S’il est souffrant, qui
va prendre en main l’affaire ? Pire, s’il décède, l’entreprise
elle-même survivra-t-elle, après avoir surmonté les difficultés
inhérentes à l’indivision et au partage ?
• Certes, des palliatifs ont été imaginés, telles l’indivision
temporaire organisée — c’est-à-dire une indivision soumise à
des règles plus souples que l’indivision ordinaire —, la
location-gérance — c’est-à-dire le contrat par lequel une
personne se voit concéder l’exploitation du fonds à ses risques
et périls —, l’attribution préférentielle à un héritier — qui
permet d’attribuer la propriété exclusive du fonds à un seul des
héritiers —, ou la clause commerciale entre conjoints — qui
permet de stipuler dans le contrat de mariage qu’au décès de
l’un des époux, le survivant aura la faculté d’acquérir ou de se
faire attribuer le fonds. Ces palliatifs tentent tous d’assurer la
transmission intégrale du fonds au décès de son titulaire.
• Mais en réalité, seule la mise en société de l’affaire garantit
vraiment au commerçant non seulement que le fonds sera
transmis à ses héritiers qui recevront un certain nombre de
parts sociales, mais aussi que le fonds sortira intègre de
l’épreuve, puisqu’il n’y aura pas partage du fonds (on ne
procédera pas à son démantèlement), mais attribution de ces
parts sociales.
LES SOCIETES
ANONYMES
• La constitution de la société anonyme obéit aux règles
générales de constitution des sociétés. Les éléments requis par
l’article 1832 du Code civil doivent donc être réunis : pluralité
d’associés (sept au minimum en l’occurence), mise en
commun d’apports, recherche commune de bénéfices ou
d’économie. L’affectio societatis doit également animer les
associés.
• Les fondateurs de la société doivent établir le projet de statuts
dont un exemplaire, une fois signé, est déposé au greffe du
tribunal de commerce du lieu du siège social (article 74).
• Si la société fait appel public à l’épargne, les fondateurs
doivent publier dans le Bulletin des annonces légales
obligatoires une notice indiquant, notamment, le nom
de la société, sa forme, son siège social, son objet
social, sa durée prévue, la date et le lieu du dépôt du
projet de statuts, le nombre des actions à souscrire, leur
valeur nominale, la description des apports en nature et
de leur évaluation, etc.
• Le capital doit être intégralement souscrit. Il peut être libéré
pour moitié lors de la constitution de la société, les
actionnaires étant tenus de verser le solde dans les cinq années
qui suivent (article 75). Les fonds sont déposés pour le compte
de la société en formation à la Caisse des dépôts et
consignations, chez un notaire ou dans une banque. En cas
d’apports en nature, un commissaire aux apports est désigné
par le juge, afin de procéder à l’évaluation de ces apports. Si la
société ne fait pas appel public à l’épargne, les statuts
désignent les premiers dirigeants. Dans le cas contraire, une
assemblée constitutive doit être convoquée par les fondateurs,
afin de nommer les premiers dirigeants.
• En cas d’apports en nature, un commissaire aux apports est
désigné par le juge, afin de procéder à l’évaluation de ces
apports. Si la société ne fait pas appel public à l’épargne, les
statuts désignent les premiers dirigeants. Dans le cas contraire,
une assemblée constitutive doit être convoquée par les
fondateurs, afin de nommer les premiers dirigeants.
LA SOCIETE A
RESPONSABILITE LIMITEE
• société à responsabilité limitée [SARL], société d’une nature
juridique mixte qui emprunte ses caractères tant aux sociétés
de personnes qu’aux sociétés de capitaux.
• Cette société, destinée à ne comporter que peu
d’associés, accorde une place importante à l’identité
de ses associés (l’intuitus personae). En cela, elle
emprunte aux sociétés de personnes. Toutefois,
l’organisation juridique de cette personne morale la
rapproche davantage des sociétés de capitaux : la
responsabilité des associés est limitée à leur apport,
un certain formalisme doit être respecté, et des
contrôles sont institués.
• La constitution de la société à responsabilité limitée obéit aux
règles générales de constitution d’une société. Les éléments
requis par l’article du Code civil doivent donc être réunis :
• — pluralité d’associés (deux au minimum), à l’exception de
l’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL),
nouveau type de société à responsabilité limitée, qui est
constituée par une seule personne,
• — recherche commune de bénéfices ou d’économie,
• — l’affectio societatis, qui doit animer les associés.
• Le capital social de la société doit être au minimum de
5.000 000 F CFA.
• La société à responsabilité limitée est gérée par une ou
plusieurs personnes physiques (article 49). Le gérant ne doit
pas nécessairement avoir la qualité d’associé. Il est nommé par
les statuts ou par l’assemblée des associés statuant à la
majorité qui peut, parallèlement, mettre fin à ses fonctions.
CHAPITRE 3
• LES ETAPES POUR LA CREATION D’ENTREPRISE
ETAPE 1
• Créer une entreprise nécessite de faire aboutir différentes
étapes :
• Trouver une idée à partir de vos atouts, vos intérêts, vos goûts
et motivations ainsi que les grandes tendances. Il n'est pas
forcément obligatoire de trouver une idée innovante pour
réussir un projet de création d'entreprise : Une grande majorité
des créations d'entreprises qui réussissent ne sont "que" la
copie de business existants.
ETAPE 2
• .
• Évaluer votre idée de création d'entreprise grâce à un outil
d'évaluation de projet. Cette étape est indispensable, elle
permet d'évaluer du potentiel de votre projet mais aussi de
votre capacité à le mener à bien.
ETAPES 3
• Réaliser une étude de marché.
ETAPES 4
• Réaliser un plan d'affaires ou business plan soit le point
complet sur la stratégie suivie, assorti d'une prévision
technique et financière, fort utile notamment pour trouver des
financements
LES ETAPES POUR LA
CREATION D’ENTREPRISE
• Le Plan d'affaires ou Business plan est une étape fondamentale
de la création d'entreprise. Il permet de déterminer la viabilité
du projet en structurant ses idées et visualiser le
fonctionnement futur de son entreprise, en évaluant ses
charges, sa production, son développement. Si le potentiel du
projet y apparait explicitement, il sera un outil de crédibilité
lors de la recherche de financements et de partenariats.
LES ETAPES POUR LA
CREATION D’ENTREPRISE
• . Il est fortement recommandé de consulter des professionnels
de la création d'entreprise (cabinet de formation et de conseil
en création d'entreprise, chambres de commerce, chambre des
métiers, associations d'aide à la création d'entreprise...)
LES ETAPES POUR LA
CREATION D’ENTREPRISE
• Choisir un statut juridique adapté.
LES ETAPES POUR LA
CREATION D’ENTREPRISE
• Apprendre à vendre, à faire de la qualité, à gérer.