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Thème 3 : Corps Humain et Santé

Partie 3B

Le
n n e m e n t
fo n c t io
du
syst è m e
u n i ta ir e
imm
hum a i n
Mot-clé (à lister)
Introduction

Les organismes pluricellulaires sont confrontés à divers types de dangers :

- infection par des microorganismes (bactérie, virus, champignon)


- attaque de parasites qui se développent aux dépends de l’organisme hôte,
- atteinte de tissus par des lésions traumatiques,
- multiplication cellulaire anarchique (cancérisation).

L’organisme détecte que des éléments étrangers ont réussi à passer les barrières naturelles (peau et muqueuses
chez les animaux) et est alerté lorsque ses cellules subissent un stress ou un dysfonctionnement.

Qu’elles soient d’origine externe ou interne, le système immunitaire contribue alors à faire face à ces agressions
tissulaires et à maintenir l’intégrité de l’organisme en tout point.
Fiche de cours n°1

« Deux types d’immunités »

Fiche de cours n°1.1

Une longue histoire évolutive

Fiche de cours n°1.2

Deux réponses immunitaires complémentaires

Fiche de cours n°1.3

Les cellules spécialisées de la réponse immunitaire

Fiche de cours n°2

« 1ère ligne de défense de l’organisme : la réaction inflammatoire aiguë »

Fiche de cours n°2.1

Les symptômes bien identifiables de la réaction inflammatoire aiguë

Fiche de cours n°2.2

La reconnaissance de l’agent pathogène

Fiche de cours n°2.3

La coordination des différents acteurs de la réaction inflammatoire aiguë

Fiche de cours n°2.4

La phagocytose, une limite à la multiplication de l’agent infectieux


Fiche de cours n°1 « Deux types d’immunités »

Fiche de cours n°1.1 Une longue histoire évolutive


Fiche de cours n°1 « Deux types d’immunités »

Fiche de cours n°1.2 Deux réponses immunitaires complémentaires

La réponse immunitaire innée, généralement héritée et … … … … … … … … … … … … (ce mot sera complété sur les
pointillés à l’issue de la séance prochaine) déterminée, est opérationnelle dès la naissance et nécessite aucun
apprentissage préalable.

Elle peut être déclenchée très rapidement à n’importe quel endroit de l’organisme en réponse à la rencontre
avec un élément qui lui est étranger ou à la modification de l’une de ces cellules. Ses modes d’action sont
stéréotypés, sans adaptation spécifique au type d’agression (agent infectieux, cancérisation ou lésion).

L’immunité innée regroupe ainsi l’ensemble des mécanismes, des cellules et des molécules qui participent à la
première ligne de défense d’un organisme.

Un virus comme celui de la grippe saisonnière se développe aux dépens de la cellule qu’il parasite. Il déclenche
ainsi une réponse innée, qui assure la défense immédiate contre l’infection. Cependant, à elle seule, cette
réaction inflammatoire est insuffisante pour réduire la charge virale et éliminer l’agent infectieux. Chez les
Vertébrés uniquement, une seconde ligne de défense est alors activée.

Acquise au cours de la vie de l’individu (elle se construit et évolue en permanence) et plus lente à se mettre en
place – puisqu’elle nécessite plusieurs jours pour être efficace – cette immunité dirigée spécifiquement contre
des motifs moléculaires portés par des agents infectieux ou des cellules anormales (cellules mutées, vieillissantes
ou cancéreuses) constitue l’immunité adaptative. (Elle sera développée prochainement).
Fiche de cours n°1 « Deux types d’immunités »

Fiche de cours n°1.3 Les cellules spécialisées de la réponse immunitaire

La réponse immunitaire innée comme adaptative fait intervenir, en nombre important, plusieurs types cellulaires
fabriquées dans la moelle osseuse.

Toutes ces cellules sont des leucocytes = globules blancs = cellules immunitaires

Une partie des cellules impliquées dans l’immunité innée résident dans les tissus : ces cellules sentinelles sont
les macrophages, les cellules dendritiques et les mastocytes.

Leur dispersion dans tous les tissus fait qu’il y a une forte probabilité pour qu’elles détectent l’intrusion d’agents
pathogènes. Grâce à leurs longs prolongements cytoplasmiques qu’elles étendent et rétractent, ces cellules
sentinelles, très mobiles, sont capables d’explorer leur environnement.

D’autres leucocytes, circulant dans le sang, sont également recrutés lors de la réponse innée : ce sont les
granulocytes et les monocytes.

La réponse immunitaire adaptative est assurée, quant à elle, par un ensemble de leucocytes circulants
spécialisées, les lymphocytes. Ils coopèrent avec les cellules de l’immunité innée.

(Voir les planches de documents fournies ; vous pouvez découper les photographies de cellules et les coller)
Fiche de cours n°2 « 1ère ligne de défense de l’organisme : la réaction inflammatoire aiguë »

Fiche de cours n°2.1

Les symptômes bien identifiables de la réaction inflammatoire aiguë

Suite à une blessure, une infection ou un traumatisme, on observe localement au foyer de la zone atteinte le
développement d’une réaction inflammatoire. Lorsqu’elle est aiguë, elle s’accompagne de 4 signes cliniques
stéréotypés : une rougeur, des douleurs et une sensation de chaleur avec gonflement des tissus. Cette
inflammation peut concerner tout type de tissu ou d’organe.

Ces symptômes traduisent …. To Be Continued …


Fiche de cours n°2 « 1ère ligne de défense de l’organisme : la réaction inflammatoire aiguë »

Fiche de cours n°2.2

La reconnaissance de l’agent pathogène

La réponse innée est fondée sur le fait que les leucocytes sentinelles présentent, dès la naissance, des récepteurs
de surface – récepteurs TLR – capables de reconnaître, de façon non spécifique, une grande diversité d’agent
pathogène.

En effet, les agents pathogènes portent, en surface ou à l’intérieur, des motifs moléculaires communs – les motifs
PAMP – qui sont reconnus par les récepteurs TLR de nos cellules sentinelles immunitaires ; ces motifs peuvent
être des composants de la paroi cellulaire pour les bactéries ou les champignons, des motifs du génome pour les
virus, etc…

L’interaction TLR-PAMP constitue alors le signal d’alerte.


To Be Continued …

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