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1- Le concept de santé
1-1 Définissez la santé en vous appuyant sur la définition de l’OMS. (1,5 pts)
Selon l’OMS, la santé est à la fois un bien être physique, mental et social.
1-2 Par son comportement, l’individu peut agir sur son capital santé. Donnez quatre exemples
qui permettent de rester en bonne santé. (2 pts)
- avoir une alimentation équilibrée et diversifiée
- pratiquer une activité physique régulière et suffisante
- avoir un sommeil de qualité
- ne pas avoir de conduites addictives (tabac, alcool, drogues)
1-3 Citez les deux autres facteurs ou déterminants qui peuvent agir sur le capital santé. (1 pt)
- facteur lié à la génétique
- facteur lié à l’environnement
3-7 Que se passe-t-il si l’on ne respecte pas ce parcours de soins ? (0,5 pt)
Il y a des pénalités comme la diminution des remboursements (30 au lieu de 70 %)
La lutte contre le cancer continue ! Forces et faiblesses du premier plan cancer
La Cour des Comptes, le Haut Conseil de la santé publique, puis l’Inspection Générale des Affaires
Sociales (Igas) ont évalué le premier plan cancer. Selon le Haut Conseil, un tiers de ses 70 mesures ont
été mises en place. Parmi les points forts : la lutte contre le tabagisme et la généralisation du dépistage
du cancer du sein, même s’il subsiste des disparités au niveau régional d’après l’Igas. Celle-ci pointe
également une pénurie de médecins spécialistes qui freine l’augmentation de consultations dans ce
domaine.
Même si la France enregistre les meilleurs taux de guérison en Europe, le cancer reste la première
cause de mortalité : 350 000 nouveaux cas sont recensés chaque année. Le gouvernement a donc confié
au Pr Jean Pierre Grünfeld le soin d ‘élaborer, à partir des enseignements du premier plan cancer (2003-
2007), des recommandations pour un second plan. Car, si le précédent plan a permis de modifier le
regard porté sur la maladie, et de développer les dépistages organisés des cancers colorectal et du sein,
de nombreux défis restent à relever.
L’un d’eux consiste à améliorer la prise en charge du patient grâce à une approche transversale. Pour le
Pr Grünfeld, l’approche transversale suppose aussi « mettre le médecin traitant au centre du parcours
de soins et lui confier un travail de coordination. Il doit être davantage impliqué dans la prévention et le
dépistage, et intégré dans la phase des traitements. La formation initiale et continue des généralistes
en cancérologie doit être également renforcée ».
La réinsertion sociale et professionnelle des personnes qui ont surmonté l’épreuve de la maladie figure
également en bonne place parmi les mesures proposées.
Valeurs mutualistes n° 263 nov. /décembre 2009
- facteurs génétiques
Le parcours de soins :
- permet au médecin
traitant de centraliser
les informations
médicales de son
patient
- limite les dépenses de
santé