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Exercice 4

Une étude s’intéresse à l’évolution des capacités de raisonnement des enfants au cours du
développement. Un échantillon de 78 enfants âgés de 46 à 50 mois a été recruté sur la base du
volontariat de leurs parents qui ont bien voulu répondre à une annonce diffusée dans les écoles
maternelles de la commune de Saint Denis. On fait passer à chaque enfant individuellement deux
épreuves successives de raisonnement, adaptées aux enfants d’âge préscolaire, l’une numérique
puis l’autre géométrique. On relève les scores à chacune des épreuves (sur 20) ainsi que le temps
mis pour les réaliser (en minutes). Tous les enfants sont revus 12 mois après et on leur fait passer les
mêmes épreuves. On fait l’hypothèse que le score sera meilleur et/ou que le temps mis pour
réaliser les épreuves sera plus court lors de la seconde passation

1. Indiquer et nommer les différents facteurs de l’expérience, préciser leur nature et leurs
éventuelles modalités.
FPS : Age des enfants au moment de la passation, A2 (a1= 46-50 mois ; a2 = 58-62mois) ; Nature de
l’Epreuve E2 (e1=numérique ; e2=géométrique)

FSMC : Mode de recrutement des enfants , Temps entre les épreuves (12 mois), etc.
FSA : Sujet : S78

2. Quelles sont les VD de l’expérience ?


- VD1 : Score à chacune des épreuves (sur 20)
- VD2 : Temps mis pour réaliser les épreuves(en minutes)

3. Indiquer le plan d’analyse. Justifier.


Plan : S78* A2* E2
- Quatre conditions expérimentales (a1e1, a1e2, a2e1, a2e2)
- 1 seul groupe de 78 enfants.
- Tous les enfant « rencontrent » les 2 modalités des 2 facteurs, c’est à dire passent les deux tests à
deux moments différents.
Exercice 5
Des chercheurs tentent de déterminer si le genre d’une personne (homme/femme) et son âge ont
un effet sur la rapidité d’exécution d’une tâche motrice. Pour ce faire, ils demandent à 44 sujets pour
moitié âgés de 18 à 25 ans et pour l’autre moitié de 28 à 35 ans d’appuyer le plus rapidement
possible sur un bouton placé devant eux lorsqu’un stimulus (un carré blanc, sur fond gris)
apparaissait à l’écran. Chaque sujet effectuait 200 essais, on faisait varier aléatoirement la position
du stimulus à l’écran à chaque essai. La moitié de chaque groupe d’âge de sujets était des femmes
et l’autre moitié était des hommes. On relevait le temps mis par chaque sujet (en ms) pour appuyer
sur le bouton.

1. Indiquer et nommer les différents facteurs de l’expérience, préciser leur nature et leurs
éventuelles modalités.
FPS :
- Genre, G2 (g1=homme ; g2=femme) ; Tranche d’Age, A2 (a1= 18 à 25 ans ; a2= 28 à 35 ans)
FSMC : nombre d’essais (200) stimulus (carré blanc fond gris), etc.
FSA : Sujet : S44
FSA (facteur secondaire randomnisé) : Position des stimulus à l’écran

2. Quelles sont les VD de l’expérience ?

Temps mis pour appuyer sur le bouton (en ms)

3. Quelle est l’hypothèse des auteurs?

Le genre d’une personne (homme/femme) et son âge ont un effet sur la rapidité de l’exécution
d’une tâche motrice

4. Indiquer les relations deux à deux de chacun des facteurs. Justifier.


Exercice 5
Des chercheurs tentent de déterminer si le genre d’une personne (homme/femme) et son âge ont
un effet sur la rapidité d’exécution d’une tâche motrice. Pour ce faire, ils demandent à 44 sujets pour
moitié âgés de 18 à 25 ans et pour l’autre moitié de 28 à 35 ans d’appuyer le plus rapidement
possible sur un bouton placé devant eux lorsqu’un stimulus (un carré blanc, sur fond gris)
apparaissait à l’écran. Chaque sujet effectuait 200 essais, on faisait varier aléatoirement la position
du stimulus à l’écran à chaque essai. La moitié de chaque groupe d’âge de sujets était des femmes
et l’autre moitié était des hommes. On relevait le temps mis par chaque sujet (en ms) pour appuyer
sur le bouton.

4. Indiquer les relations deux à deux de chacun des facteurs. Justifier.


- Entre sujet et genre : S22<G2> ; chaque sujet ne peut avoir qu’un seul des deux genres.
- Entre sujet et tranche d’âge : S22<A2> ; chaque sujet ne peut appartenir qu’à une seul des deux
tranches d’âge.
- Entre genre et tranche d’âge : G2*A2 : chacun des deux genres est représenté dans les deux
tranches d’âges.

5. Indiquer le plan d’analyse. Justifier.


S11<G2*A2> ;
- 4 conditions expérimentales (g1a1, g1a2, g2a1, g2a2)
- Quatre groupes de 11 sujets
- Chaque sujet n’appartient qu’à une seule des quatre conditions expérimentales qui résulte du
croisement entre le facteurs G et A.
- En d’autres termes, chaque sujet ne « rencontre » qu’une seule modalité d'âge et de genre.
Chaque sujet n’a qu’un seul âge et un seul genre.
+

Méthodologie expérimentale - Hypothèses


Adrien Morales
LAPPS
adrien.morales.P8@gmail.com
Crédit diaporama : Adrien Gasnault
+ Hypothèses
+
Une hypothèse

 Traduit plus précisément la question de recherche


 Elle cible un champ d’investigation par rapport à un phénomène plus
global.
 Requiert un choix :
 Impossibilité d’étudier un phénomène dans son entièreté.
 Par conséquent  limitation à un certains nombre de paramètres
choisis.

 Sa formulation est nécessaire pour la suite de la démarche


expérimentale :
 Construction de l’expérience
 Planification des analyses statistiques
Réalité

Phénomène 1 Phénomène 2 Phénomène n

Choix de
paramètres

Choix
d’indicateurs
+
Hypothèse générale

 Elle désigne la problématique ou la question de recherche.


 C’est la question générale à laquelle l’expérience répond.
 C’est une prédiction entre un comportement et une variable.
 Ex : La mémorisation de mots dépend de la modalité sensorielle
dans laquelle sont présentés les mots.
 Ex : La réussite à un examen dépend de la personnalité des
individus.
 Ex : Le vieillissement occasionne une diminution des capacités
cognitives
 Ces hypothèses ne sont pas directement vérifiables car il existe
une multitude de façons de les tester
+
Hypothèse opérationnelle

 Traduction en termes expérimentaux d’une hypothèse générale.


 Elle détermine l’expérience = « Hypothèse de recherche »
 Elle est toujours formulée avant l’expérimentation

 On utilise les modalités des facteurs pour la formuler.


 Précise la situation concrète, la/les variables(s) étudiée(s) et les
mesures effectuées
 En lien avec le protocole expérimental imaginé

 Opérationnalisation d’une hypothèse = passage du monde des


idées au monde concret. Transformation des concepts en
variables, les variables étant quelque chose qu’on peut
manipuler, tandis que les concepts sont abstraits.
+
Hypothèse opérationnalisée
 Exemple :

Hypothèse générale Hypothèse


opérationnalisée

• La mémoire des • Les mots seront mieux


mots entendus rappelés sous
est plus efficace présentation orale que
que la mémoire visuelle
des mots lus • %BR(oral) > %BR(visuel)
• moy(oral) > moy(visuel)
+
Formulation

 Une hypothèse doit pouvoir être formulée sous la forme d’une


prédiction :
 L’effet de X sur Y
 X étant une variable indépendante ; et Y une variable dépendante.

 Si plusieurs variables (A, B, Y) on peut formuler des hypothèses


d’interaction.

 L’effet de A sur Y, varie selon B (à suivre).


+
Formulation - Choix

 Nécessite un choix précis des indicateurs pour le comportement


que l’on cherche à prédire et la ou les variables prédictrices.
 Précision de la manière dont on mesure les VD
 Précision de la manière dont on opérationnalise les VI

 Ex : La mémorisation de mots dépend de la modalité sensorielle


dans laquelle sont présentés les mots.
 VD : la mémoire,
 Quel type de mémoire (Court-Terme, Long terme, de Travail ?)
 Comment la mesurer (nombre de mots à retenir ?)
 VI : modalité sensorielle (Visuel et/ou Auditive etc.)
+
Formulation – choix
 Autre exemple : La réussite à un examen dépend de la personnalité
des individus.
 VD : réussite à un examen.
 Quel type examen ? Quel manière de la mesurer ?
 VI : la personnalité.
 Dans quel théorie de la personnalité va s’inscrire la recherche ? (Big-5
; NEO-PI etc. ?)
 Détermine la manière de la mesurer (auto vs hétéro-évaluation)
 Quelles facette décide-t-on de prendre en compte ? (Extraversion,
Conscience etc.)
  La note des étudiants à un examen de psychologie sociale en
première année de licence dépend de leur trait d’extraversion.

 Choix restrictifs mais nécessaires à la mise en place de


l’expérimentation.
+
Formulation - conditions

 Une hypothèse doit toujours :

 Etre réfutable :
 Doit permettre de rejeter ou maintenir une explication possible de
l’occurrence d’un phénomène

 Exprimée en tant que différence afin de :


 Pouvoir statuer sur son rejet ou non avec un test statistique
 Inférer les résultats observés sur la population parente
+

 Exemple :
 Hypothèse à tester : La mémoire des mots entendus est plus
efficace que la mémoire des mots lus.
 VD : nombre de mots rappelés.
 VI : M2 (entendus ; lus).
 On va tester la différence : M (entendus) – M (lus).
+
Orientation d’une hypothèse

 L’effet
de X sur Y peut être formulé de différentes
façons.

 Exemple :
 La variables X possède deux modalités : x1 et x2.
 Y sera différent selon la modalité x1 ou x2
 Hypothèse non-orientée.

 Ex : La mémorisation de mots dépend de la modalité sensorielle


dans laquelle sont présentés les mots
 Y sera plus important pour x1 que pour x2
 Hypothèse orientée.

 Ex : La mémoire des mots entendus(x1) est plus efficace que la


mémoire des mots lus (x2).
+
Type d’effet

Une hypothèse avec plusieurs variables indépendantes


(donc plusieurs FPS) peut porter sur :
 L’effet principal (ou global) de chacune des variables
 Ex : (effet de la formation, de l’âge).
 Le salaire varie en fonction du niveau de diplôme
 Le salaire varie en fonction de l’âge

ET/OU

 L’effet d’interaction entre plusieurs variables


 L’effet d’une variable varie en fonction des modalités d’une autre
 Effet de la formation sur le salaire varie en fonction de l’âge.
 Chez les jeunes, les moins diplômés auront un meilleur salaire que les plus
diplômés, tandis que chez les plus âgés c’est l’inverse.
+
Formulation de l’effet d’interaction
 Dans un effet d’interaction on peut rendre compte :
 Des effets principaux de chacun des FPS :
 L’effet de l’âge (plus âgé – jeunes) sur le salaire :
 Par exemple : Salaire (Plus âgés) > Salaire (Jeunes)
 L’effet de la formation (mieux diplômés – moins diplômés) sur le salaire :
 Par exemple : Salaire (mieux diplômés) > Salaire (moins diplômés)

 L’effet d’interaction entre la formation et l’âge sur le salaire peut


s’exprimer de deux façons :
 Effet d’interaction à partir des modalités de l’âge :
 Ex : l’effet de la formation (mieux diplômés – moins diplômés) sur le
salaire, est plus important chez les plus âgés que chez les plus jeunes.
 Effet de la formation (âgés) > Effet de la formation (jeunes).
 Effet d’interaction à partir des modalités de la formation :
 Ex : L’effet de l’âge (plus âgés - jeunes) sur le salaire, est plus important
chez les mieux diplômés que chez les moins diplômés.
 Effet de l’âge (mieux diplômés) > Effet de l’âge (moins diplômés).
+
Décomposition de l’effet d’interaction

 On peut décomposer l’analyse d’un effet d’interaction, en plusieurs


effets simples.
 Un effet simple exprime l’effet d’une variable X sur la VD (Y) en fonction
d’une modalité d’une autre variable (a1).

 Ex : Effet de la formation sur le salaire varie en fonction de l’âge.


 Effets simples de la formation :
 Chez les jeunes (a1): les moins diplômés auront un meilleur salaire
que les mieux diplômés.
 Chez les plus âgés (a2) : les moins diplômés auront un moins bon
salaire que les mieux diplômés.
 On peut aussi exprimer les effets simples selon l’âge.
 Chez les moins formés / chez les mieux formés.
+
Test statistique d’une hypothèse

 Nous avons donc :


 Une hypothèse de recherche (H1) : Moy (mots entendus) > Moy
(mots lus)
 Et l’hypothèse nulle (H0) : Moy (mots entendus) = Moy (mots lus)

 Le test de l’hypothèse nulle va nous permettre de


statuer sur l’hypothèse de recherche.
 On va tester la différence : Moy (mots entendus) - Moy (mots lus)
 On s’attends à ce que cette différence soit positive et
significative.

 On va utiliser le t de Student afin de comparer les deux


moyennes.
+
Test statistique d’une hypothèse

 Premier cas de figure : test non significatif


 Imaginons que l’on obtienne : t(48) = 0.68 ; p = .25 (>.05).
 Le signe + 0.68, nous indique que dans notre échantillon :
 Moy (mots entendus) > Moy (mots lus)

 Le p nous indique que nous aurions 25% de chance


d’observer ces résultats sachant que H0 est vrai (Cohen,
1990).
 Le p est supérieur à la valeur seuil de .05

 Le test est dit « Non significatif »

 Nous ne pouvons PAS rejeter H0


 Mais nous ne pouvons pas conclure sur la population
parente.
+
Test statistique d’une hypothèse

 Second cas de figure : test significatif


 Imaginons que l’on obtienne : t(48) = 2.02 ; p = .03 (< .05).
 Le signe +2.02, nous indique que dans notre échantillon :
 Moy (mots entendus) > Moy (mots lus)

 Le p nous indique que nous aurions seulement 3% de


chance d’observer ces résultats sachant que H0 est vrai
(Cohen, 1990).
 Le p est inférieur à la valeur seuil de .05

 Le test est dit « Significatif »

 Nous pouvons donc rejeter H0 et conclure que :


 La différence observée n’est pas due au hasard, et on
peut la généraliser à la population parente.
+
Intervalle de confiance

 Un test t de student :
 Estime la différence présente dans la population, en tenant compte de la
marge d’erreur statistique.
 Si le seuil d’erreur choisi est de 5% :
 Si test non significatif, le 0 est compris dans l’intervalle :
 IC95% = [-1.35 ; + 1.52]
 Si le test est significatif, le 0 n’est pas compris dans l’intervalle :
 IC95% = [+.85 ; + 1.52]

 L’IC est plus informatif que la valeur du p observée.


 Surtout si l’échantillon est grand, car on a plus de chance d’avoir un test
significatif.
+ Exercices
Exercice 1 – Développement des capacités attentionnelles.
On s’intéresse à l’évolution des capacités attentionnelles au cours de l’enfance, et on se
demande s’il y a un effet de la pratique d’un sport sur ces capacités. D’après la
littérature, il y a une forte maturation frontale au cours du développement. On s’intéresse
à des enfants de 10 ans vs. 14 ans car on sait qu’il y a une grande maturation
attentionnelle dans cette période.
On pense par ailleurs que la pratique du sport peut aider à un développement précoce
des capacités attentionnelles. Et ce d’autant plus si le sport pratiqué sollicite
grandement les capacités attentionnelles. On s’intéresse à des enfants (n=120) qui,
depuis qu’ils ont 4 ans : ne font pas de sport ; font un sport individuel (natation) ou font
un sport d’opposition (tennis). Car on suppose qu’il est nécessaire d’être plus attentif en
situation d’opposition. On mesure le score à un test attentionnel, coté en %. Chaque
condition de l’expérience comprend un nombre équilibré d’enfants.

1. Identifiez et nommez les différents facteurs ainsi que leurs modalités


?
FPS : Âge : A2 (a1= 10 ans ; a2 = 14 ans) ; Pratique du sport : P3 (p1= pas
de sport ; p2= natation ; p3 = tennis).
FMSC : âge de début de sport (4 ans) etc.
FSA : Sujet : S120

2, Quelle est la VD de l’expérience ?


VD : capacités attentionnelles (en % de BR).
Exercice 1 – Développement des capacités attentionnelles.
On s’intéresse à l’évolution des capacités attentionnelles au cours de l’enfance, et on se
demande s’il y a un effet de la pratique d’un sport sur ces capacités. D’après la
littérature, il y a une forte maturation frontale au cours du développement. On s’intéresse
à des enfants de 10 ans vs. 14 ans car on sait qu’il y a une grande maturation
attentionnelle dans cette période.
On pense par ailleurs que la pratique du sport peut aider à un développement précoce
des capacités attentionnelles. Et ce d’autant plus si le sport pratiqué sollicite
grandement les capacités attentionnelles. On s’intéresse à des enfants (n=120) qui,
depuis qu’ils ont 4 ans : ne font pas de sport ; font un sport individuel (natation) ou font
un sport d’opposition (tennis). Car on suppose qu’il est nécessaire d’être plus attentif en
situation d’opposition. On mesure le score à un test attentionnel, coté en %. Chaque
condition de l’expérience comprend un nombre équilibré d’enfants.

3. Quel est le plan d’expérience ? Justifier.


S20 <A2* P3>
- Chaque enfant n’appartient qu’à une seule condition expérimentale (un seul âge
possible, et un seul historique sportif possible).
- Mais chaque historique sportif comprend des enfants des deux tranches d’âges
considérés dans l’expérience.
- Et dans chacun des tranches d’âge considérés on retrouve l’ensemble des trois
historiques sportifs possibles.
- On a donc 6 conditions expérimentales (2*3) dans lesquelles se répartissent les 120
enfants.
- On a donc 20 enfants par condition expérimentale (120/6 = 20)
Exercice 1 – Développement des capacités attentionnelles.

On s’intéresse à l’évolution des capacités attentionnelles au cours de l’enfance, et on se


demande s’il y a un effet de la pratique d’un sport sur ces capacités. D’après la
littérature, il y a une forte maturation frontale au cours du développement. On s’intéresse
à des enfants de 10 ans vs. 14 ans car on sait qu’il y a une grande maturation
attentionnelle dans cette période.
On pense par ailleurs que la pratique du sport peut aider à un développement précoce
des capacités attentionnelles. Et ce d’autant plus si le sport pratiqué sollicite
grandement les capacités attentionnelles. On s’intéresse à des enfants (n=120) qui,
depuis qu’ils ont 4 ans : ne font pas de sport ; font un sport individuel (natation) ou font
un sport d’opposition (tennis). Car on suppose qu’il est nécessaire d’être plus attentif en
situation d’opposition. On mesure le score à un test attentionnel, coté en %. Chaque
condition de l’expérience comprend un nombre équilibré d’enfants.

4. Quelle est l’hypothèse générale de l’expérience ? Décrivez-là (orientation,


type d’effet).

- Hypothèse orientée, sur un effet d’interaction.


- La pratique du sport peut aider à un développement précoce des capacités
attentionnelles, et ce d’autant plus que le sport pratiqué comprend une
dynamique d’opposition.

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