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=
Ensemble
des
opérations
qui
vont
de
l’isolement
des
gènes,
de
la
détermination
de
leur
structure,
de
leur
mutation,
a
leur
transfert
dans
les
cell
ou
les
organismes.
comprendre
les
mécanismes
molecR
des
pathos
diagnostic,
dépistage
préventif,
therapie
génique
Génome
humain
=
3
milliards
de
paires
de
bases.
Une
cell
humaine
comporte
46K
(23
issus
de
la
mère
et
23
issus
du
père).
K
sexuels
;
XX
chez
la
femme
et
XY
chez
l’homme.
ADN
est
constitué
de
4
nucléotides
:
A
T
G
C
+
ribose
+
acide
phosphorique.
A
partir
de
l’ADN
transcription
en
ARM
pré-‐messagé
(ds
noyau)
ARN
messager
(ds
cytopl)
traduction
en
protéine.
L’assemblage
de
nucléotide
forme
un
codon.
Un
codon
code
pour
un
aa.
Des
aa
forment
une
protéines.
Le
code
génétique
est
redondant
:plusieurs
codons
peuvent
coder
pour
un
même
aa.
(donnant
ainsi
une
même
protéine).
Impact
du
géni
génétique
:
Médical,
Recherche
et
Agriculture.
I. Extraction
de
l’ADN
Technique
permettant
d’isoler
l’ADN
des
cell,
des
T,
du
sang…
Une
fois
extrait,
l’ADN
se
conserve
à
4°C.
Etapes
:
1) Lyse
de
la
cell
:
élimination
de
la
mb
plasmique
et
noyau
grace
aux
détergents
ou
choc
thermique.
2) Récupération
et
élimination
de
certaines
protéines
(via
phénol
et
chloroforme).
3) Précipitation
et
purification
de
l’ADN
par
éthanol.
La
purification
consiste
à
éliminer
l’ARN.
4) solubilisation
de
l’ADN
purifié.
II. Les
enzymes
de
restriction
Les
endonucléases
coupent
l’ADN
double
brin
au
niveau
de
sites
spécifiques.
Origine
:
bactérienne
Très
nbrx
(plus
de
500).
Elles
reconnaissent
des
séquences
de
4
à
8
nucléotides.
III. Electrophorèse
sur
gel
d’agarose
Principe
=
séparation
des
fragments
d’ADN
en
fct
de
leur
masse
moléculaire.
Les
fragments
migrent
sur
gel
et
sont
séparés
en
fct
de
leur
longueur,
de
leur
nbr
de
paires
de
base.
L’ADN
est
chargé
(-‐).
On
dépose
donc
nos
échantillons
dans
des
puits
au
niveau
de
la
cathode.
Le
gel
est
soumis
à
un
courant
et
les
fragments
d’ADN
migrent
vers
l’anode
(+).
Plus
le
fragment
est
court,
plus
il
migre
loin.
Ex
:
Digestion
de
l’ADN
génomique
par
une
enzyme
de
restriction
:
Les
sites
de
restriction
(de
coupure)
ne
sont
pas
forcément
situé
aux
mêmes
endroits
chez
2
individus.
Polymorphisme
des
longueurs
des
fragments
de
restriction.
En
labo,
on
used
dc
cette
technique
pour
différentier/comparer
des
molec
d’ADN
réalisation
d’empreintes
génétiques,
tests
de
paternité…
Ex
:
Si
les
2
allèles
d’un
même
gène
migrent
à
la
même
distance,
l’individu
est
homozygote.
Si
les
distances
de
migration
sont
différentes,
cela
signifie
que
le
gène
possède
2
allèles,
l’individu
est
hétérozygote.
Individu
1
:
Il
présente
2
fragments
de
migration
de
2
et
3
kb
il
n’a
donc
que
l’allèle
1
(en
2
exemplaires)
homozygote
pour
ce
gène.
Individu
2
:
Il
présente
3
fragments
de
migration
de
2,3
et
5
kb
il
possède
donc
l’allèle
1
et
l’allèle
2,
chq1
coupé
hétérozygote.
Individu
3
:
Il
présente
2
fragments
de
migration
de
2
et
3
kb
il
n’a
donc
que
l’allèle
2
(en
2
exemplaires)
homozygote
pour
ce
gène.
Ex
:
Le
père
a
donne
1
de
ses
allèles
a
chq1
de
ses
enfant.
On
recherche
dc
la
ligne
qui
partage
au
moins
1
trait
avec
les
autres
lignes.
IV. Technique
de
transfert
et
de
détection
:
On
détecte
spécifiquement
des
fragments
d’ADN
ou
ARN
ou
Protéines,
grâce
a
une
sonde
qui
va
s’
hybrider
uniquement
à
la
séqC
d’ADN
recherchée.
L’ADN
peut
comporter
tel
gène.
Mais
ce
gène
peut
ne
pas
être
transcrit
et
donc
ne
pas
s’exprimer
(on
ne
le
retrouverai
donc
pas
dans
l’ARN).
L’étude
de
l’ADN
ne
nous
donne
pas
tt
les
indications
nécessaire.
L’ARN
nous
permet
de
voir
si
tel
gène
est
transcrit
et
donc
serai
potentiellement
responsable
de
la
maladie.
→ Northern
Blot
:
ARN
→ Western
Blot
:
protéine.
→ Southern
blot
:
ADN
Etapes
Sourthern
Blot:
On
veut
savoir
si
l’ADN
du
patient
comporte
telle
séqC
(complémentaire
à
telle
sonde)
:
1) Digestion
:
coupure
de
l’ADN
par
une
enz
de
restriction
2) Electrophorèse
:
on
fait
migrer
les
différents
fragments
d’ADN
sur
gel
d’agarose
;
3) Transfert
sur
une
mb
de
nitro-‐cellulose
+
Dénaturation
(ouverture
de
la
2ble
hélice
:
séparation
des
2
brins
d’ADN).
4) Hybridation
à
l’aide
d’une
sonde
marquée
monobrin
:
la
sonde
(=
ADN
complémentaire
à
la
seqC
recherchée)
se
fixe
sur
la
région
spécifique
d’ADN
et
la
révèle
à
l’aide
de
ses
chromophores.
5) Révélation
de
la
sonde
d’ADN
(ex
:
par
RX
si
la
sonde
est
radio-‐active).
Idem
pour
l’ARN,
sauf
qu’on
rajoute
une
étape
préalable
qui
transforme
l’ARN
en
ADN
(synthèse
du
brin
complémentaire
au
monobrin
d’ARN,
via
la
Transcriptase
inverse).
Ex
:
On
étudie
l’ADN
spermatique
prélevé
sur
la
victime
d’un
viol.
On
test
plx
suspects.
On
recherche
la
colonne
de
migration
identique
à
la
colonne
du
prélèvement.
C’est
le
sujet
1
(identique
au
puit
n°4).
V. Hybridation
in
situ
=
Utilisation
d’une
sonde
d’acides
nucléiques,
pour
localiser
dans
des
cell
ou
tissus
des
seqC
d’acide
nucléiques
(ADN,ARNm)
dont
les
bases
sont
complémentaires
de
la
sonde.
2
techniques
d’hybridation
in
situ
:
FISH
;
la
révélation
se
fait
par
fluorescence
en
utilisant
un
marqueur
fluo
ou
un
marqueur
possédant
un
site
antigénique
reconnaissable
par
un
Ac
couplé
à
un
fluorophore.
Observation
par
microscope
à
fluorescence.
CISH
:
on
used
des
Ac
couplés
à
un
agent
coloré
dirigé
contre
la
sonde.
Observation
avec
microscope
à
fond
clair.
diagnostic
pré-‐natal,
dépistage
du
cancer
…
VI. PCR
:
Technique
d’amplification
in
vitro
PCR
=
Polymérase
Chain
Réaction.
C’est
une
réaction
enzymatique
in
vitro,
qui
permet
d’amplifier
spécifiquement
une
séqC
nucléotidique
donnée.
er
Elle
nécessite
une
amorce
(il
faut
donc
connaitre
les
1
nucléotides
de
la
seqC
à
amplifier).
L’enzyme
used
=
ADN
polymérase.
Le
milieu
doit
être
riche
en
nucléotides,
qui
seront
utilisés/asemblés
par
l’ADNp
pour
former
des
fragments
identique
à
la
seqC
étudiée.
Un
cycle
=
Dénaturation,
Hybridaion,
Synthèse.
On
réalise
ainsi
plx
cycles
amplification
exponentielle
!
Les
limites
de
la
PCR
:
-‐ il
faut
connaitre
la
séquence
à
amplifier.
-‐ attention
à
la
contamination
extérieure
(les
cell
du
chercheur
peuvent
venir
contaminer
l’échantillon
étudié).
VII. Le
clonage
moléculaire
BUT
=
isoler
et
obtenir
un
grd
nbr
de
copies
identiques
d’un
gène
ou
fragment
de
gène.
Technique
:
on
introduit
un
gène
à
cloner
dans
une
cell
hôte,
via
un
vecteur,
la
cell
étant
capable
d’exprimer
le
nouveau
gène.
Vecteurs
:
Plasmide,
Phage,
Cosmide
Etapes
:
1) extraction
du
plasmide
à
partir
des
bactéries
2) ouverture
du
plasmide
à
l’aided’une
enzyme.
3) Extraction
du
gène
à
greffer
a
partir
d’ADN.
On
l’amplifie
4) On
mélange
les
copies
du
gène
+
les
plasmides.
Les
2
vont
fusionner
grace
à
une
enzyme
:
ADN
ligase.
5) introduction
des
plasmides
dansles
bactéries
(par
choc
électrique
(electroporation)
ou
thermique).
6) Le
gène
est
reproduit
quand
la
bact
se
reproduit.
Applications
:
Banques
d’ADN
génomique
:
ensemble
de
clones
couvrant
tt
le
génome
de
l’individu.
Création
de
banques
Banque
d’ADN
complémentaire
=
ensemble
des
clones
d’ADN
génomique
et
couvrant
tt
les
ARNm
d’un
individu.
d’ADNc
Identification
et
amplification
dune
seqC
d’ADN
(ex
:
gène
de
résistC
à
la
pénicilline)
Production
de
protéines
codées
par
les
gènes
insérés
VIII. Séquençage
de
l’ADN
=
Détermination
de
la
succession
des
nucléotides
composant
l’ADN
(nature
et
ordre).
Méthode
de
Sanger
:
Principe
:
copie
d’un
fragment
d’ADN
monocaténaire
que
l’on
désire
séquencer
via
ADNp
et
de
di-‐désoxynucléotides
marqués.
Les
di-‐désoxynucléotides
ne
possèdent
pas
de
OH
en
position
3’
(sur
le
déoxyribose),
ce
qui
bloque
l’allongement
delamolec
d’ADN
en
cours
de
copie.
Ils
sont
marqués
avec
un
colorant
fluo.
Dès
leur
introduction
dans
la
chaine
en
cours
d’élongation,
l’élongation
s’arrete.
Le
bout
de
la
chaine
présente
donc
une
certaine
fluorescence,
propre
a
1
des
4
nucléotides.
IX. La
Puce
ADN
ou
Micro-‐array
La
puce
à
ADN
est
constituée
d’une
surface
solide
sur
laquelle
sont
fixées
les
molec
d’ADN
servant
de
sonde.
Ces
sondes
fixent
spécifiquement
des
«
cibles
»
(fragments
de
gènes
complémentaires).
La
mise
en
contact
des
sondes
avec
leur
cible
s’effectue
grace
au
phénomène
d’hybridation.
L’hybridation
sera
mise
en
évidence
par
un
signal
fluorescent.
Principe
:
Etapes
:
Comparaison
de
l’expression
génique
de
2
échantillons
cellR.
1) Extraction
de
l’ARN
2) Transfo
ARN
en
ADN
avec
la
Revers
transcription
avec
des
nucléotides
marqués
par
des
fluorochromes
diff.
3) Hybridation
compétitivesur
les
lamelles
contenant
des
milliers
d’oligonucléotides
diff
connus.
4) Lecture
des
lamelles
5) Analyse
des
resultats.
Applications
:
→ analyse
(comparative
ou
pas)
d’expression
de
gènes
dans
des
conditions
déterminées
→ cancer
:
comparaison
d’expression
de
gènes
entre
T
sain
et
T
cancéreux
→ pharmacologie
;
retentissement
d’un
médoc
sur
l’expression
des
gènes.