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Activité :

Corrigez et expliquez les erreurs dans les phrases suivantes, en identifiant les types
d’interférences :

1. Les bons enfants obéissent leurs parents.

Réponse :

 Interférence : Interférence syntaxique et Interférence Lexicale : Bien que cela soit


étroitement lié à la syntaxe dans ce cas, on peut également considérer une interférence
lexicale, car le choix du mot "leurs" au lieu de la préposition correcte "à leurs" peut
être associé à une confusion lexicale.
L’interférence principale dans cette phrase est syntaxique, mais une composante
lexicale peut également être prise en compte en raison du choix inapproprié de la
préposition.
 Correction : Les bons enfants obéissent à leurs parents.
 Explication : Problématique des prépositions : En français, le verbe "obéir" est suivi
de la préposition "à". La correction ajuste la structure syntaxique pour correspondre à
la construction correcte. Ce qui affecte la structure grammaticale (syntaxe) de la
phrase.
Les prépositions « à » et « de » représentent la plus grande difficulté pour la majorité
des apprenants. Cette difficulté doit essentiellement à la complexité du système des
fonctionnels en français : chaque fonctionnel remplit plusieurs fonctions différentes.
La préposition « à » marque l’appartenance. Elle s’utilise :
 Après un verbe (« Cette voiture est à Papa »).

 Devant un pronom (« un ami à nous », « sa façon à elle


»)

On utilise « de » lorsqu’il est placé entre deux noms (« la voiture de Julie », « la moto
de la police »). Voici nos remarques concernant l’emploi de ces deux prépositions : Dans
notre corpus, « À » remplace fréquemment « De » et c'est le cas général en français parlé.
2. Que pensez-vous à cet examen ?

Réponse :

 Interférence : Interférence à la fois lexicale et syntaxique.

1. Interférence lexicale : L'usage incorrect de la préposition "à" au lieu de "de" après


le verbe "penser" constitue une interférence lexicale. Cela concerne le choix
inapproprié de mots dans la phrase.

2. Interférence syntaxique : La structure de la phrase est également affectée. En


français, la construction correcte serait "Que pensez-vous de cet examen ?" où la
préposition "de" est utilisée conformément à la syntaxe française.

 Correction : Que pensez-vous de cet examen ?


 Explication : Problématique des prépositions : En français, on utilise la préposition
"de" après le verbe "penser" dans ce contexte. La correction reflète cette nuance
lexicale.

Répétition de la première réponse.

3. Le faculté insiste d’appliquer les règlements.

Réponse :

 Interférence : Interférence lexicale.


Interférence Lexicale : L'utilisation du mot "faculté" pour se référer à une institution
éducative est incorrecte. "Faculté" en français se réfère généralement à une division
d'une université, mais ici, le terme approprié serait "personnel" ou "corps
enseignant". La correction serait "Le personnel insiste à appliquer les règlements."
Interférence Syntaxique : L'erreur affecte également la structure grammaticale de la
phrase, car le choix inapproprié du mot "faculté" s'accompagne d'une construction
syntaxique incorrecte.
La phrase correcte devrait être "Le personnel insiste à appliquer les règlements." où la
terminologie est ajustée et la construction syntaxique est alignée avec la langue
française standard.
 Correction : La faculté insiste sur l'application des règlements.
 Explication : Problématique de la préposition sur : En français, le verbe "insister" est
suivi de la préposition "sur". La correction ajuste la préposition pour correspondre à
l'usage correct.
En général, l'emploi de « sur » est proprement spatial, il indique la position d'une
chose par rapport à ce qui est plus bas, en contact ou non avec elle.

4. Je me souviens mon enfance à la campagne.

Réponse :

 Interférence : Interférence lexicale.


Interférence Lexicale : L'usage de la préposition "à" après le verbe "souvenir" est
incorrect en français. En français, le verbe "se souvenir" est suivi de la préposition
"de" pour indiquer la personne ou la chose dont on se souvient. La correction serait
"Je me souviens de mon enfance à la campagne."
Interférence Syntaxique : L'erreur affecte également la structure grammaticale de la
phrase, car le choix inapproprié de la préposition entraîne une construction syntaxique
incorrecte.
La phrase correcte devrait être "Je me souviens de mon enfance à la campagne." où la
préposition "de" est utilisée conformément à la syntaxe et au lexique français.
 Correction : Je me souviens de mon enfance à la campagne.
 Explication : En français, le verbe "se souvenir" est suivi de la préposition "de" pour
indiquer la personne ou la chose dont on se souvient.

5. Le voleur n’ose pas à dire la vérité.

Réponse :

 Interférence : Interférence lexicale.


Interférence Lexicale : L'utilisation de la préposition "à" après le verbe "oser" est
incorrecte en français. Le verbe "oser" est généralement suivi d'une proposition. La
correction serait "Le voleur n'ose pas dire la vérité."
Interférence Syntaxique : L'erreur affecte également la structure grammaticale de la
phrase, car le choix inapproprié de la préposition entraîne une construction syntaxique
incorrecte.
La phrase correcte devrait être "Le voleur n'ose pas dire la vérité." où la préposition
est omise après le verbe "oser" pour respecter la syntaxe française standard.
 Correction : Le voleur n'ose pas dire la vérité.
 Explication : Le verbe "oser" n'est pas suivi de la préposition "à" en français. La
correction élimine cette interférence lexicale. Certains arabophones ou apprenants
utilisent «à » dans des positions où le français ne l'utilise pas.

Le syntagme verbal au sein de la phrase simple a quatre constructions principales:

 SN + V + ø (intransitif) : le garçon court

 SN+V+SN(transitif direct) : le garçon poursuit sa sœur

 SN + V + à + SN(transitif indirect) : le garçon répond à sa sœur

 SN + V + SN + à + SN (transitif direct et indirect) : le garçon donne un livre à sa sœur

Ces constructions françaises représentent une source de difficultés pour les arabophones
car les expansions des verbes sont parfois différentes dans les deux systèmes.

Syntaxe de la phrase simple

En faisant l’analyse syntaxique de la phrase simple, on aboutit à cinq types de


constructions principales:

 SN + V + ø (intransitif) : le garçon court

 SN+V+SN(transitif direct) : le garçon poursuit sa sœur

 SN + V + à + SN(transitif indirect) : le garçon répond à sa sœur

 SN + V + SN + à + SN (transitif direct et indirect) : le garçon donne un livre à sa sœur

 SN + V (copule) + SN ou SA ou SP

- avec un SN,

Ex. Le facteur est un fonctionnaire,

- avec un SA,

Ex. Pierre est malade de honte,


6. Je respecte ces professeurs que les conseils m’ont été précieux.

Réponse :

 Interférence : Interférence syntaxique.

 Correction : Je respecte ces professeurs dont les conseils m'ont été précieux.

 Explication : En français, on utilise "dont" pour introduire une clause relative pour
indiquer une relation. La correction ajuste la structure syntaxique.

 interférence Syntaxique : L'utilisation de "que" dans cette phrase crée une structure
syntaxique incorrecte. "Que" est une conjonction de subordination qui introduit une
proposition subordonnée, mais dans ce contexte, il est utilisé de manière incorrecte. La
correction serait "Je respecte ces professeurs dont les conseils m'ont été précieux."

 La phrase correcte utilise la conjonction "dont" pour introduire la proposition


subordonnée et corrige ainsi la structure syntaxique de la phrase, respectant ainsi la
syntaxe française standard.

Le résultat, c’est que nos informateurs, comme beaucoup de francophones, tendent à


généraliser le pronom relatif que : ils l’utilisent à la place des pronoms dont, qui et où.
En général, les informateurs utilisent abusivement que au lieu de dont, auquel, selon
lequel, sur lequel. la plupart de nos informateurs arabophones forment leurs relatives
selon la structure arabe

7. Nous avons parti passer nos vacances en Soudan.

Réponse :

 Interférence : Interférence syntaxique.

 Correction : Nous sommes partis passer nos vacances au Soudan.

 Explication : En français, le verbe "partir" est généralement suivi de "être" pour


former le passé composé. La correction corrige la structure de la phrase.

 Interférence Lexicale : L'utilisation du verbe "parti" est incorrecte. En français, le


verbe approprié pour exprimer le départ dans ce contexte serait "partir". La correction
serait "Nous sommes partis passer nos vacances en Soudan."
 Interférence Syntaxique : L'erreur affecte également la structure grammaticale de la
phrase, car le choix inapproprié du verbe crée une construction syntaxique incorrecte.

 La phrase correcte devrait être "Nous sommes partis passer nos vacances en Soudan."
où le verbe "partir" est correctement utilisé pour exprimer le départ, respectant ainsi la
syntaxe et le lexique français standards.

Sous l’influence de l’arabe, nos informateurs utilisent des syntagmes verbaux dans
structures plus proches à l’arabe qu'au français. D’un autre terme, ils fabriquent des
énoncés français arabisés.

Interférence de l’ arabe Equivalence en français Etre Etre chaud, froid, faim Avoir
chaud, froid, faim Etre 10 ans Mon cahier est avec lui Le temps est beau. Avoir 10 ans
C'est lui qui a mon cahier Il fait beau.

8. La voiture a passé vite dans la rue.

Réponse :

 Interférence : Interférence lexicale.

 Correction : La voiture a roulé vite dans la rue.

 Explication : En français, on utilise "rouler" pour décrire le mouvement d'une voiture


plutôt que "passer" dans ce contexte.

Interférence lexicale : L'utilisation du verbe "passer" est ici le point d'erreur. En français, le
verbe approprié pour décrire la vitesse d'un véhicule est "rouler". La correction serait "La
voiture a roulé vite dans la rue."

La correction ajuste le choix du verbe pour correspondre au contexte spécifique de la


circulation d'une voiture, respectant ainsi le lexique français standard.

9. Je vais au coiffeur une fois dans le mois.

Réponse :
 Interférence : Interférence lexicale.

 Correction : Je vais chez le coiffeur une fois par mois.

 Explication : En français, on utilise "chez" pour indiquer le lieu où l'on va chez un


professionnel.

Interférence Lexicale : L'utilisation du mot "coiffeur" au singulier est incorrecte. En


français, on doit utiliser le pluriel "coiffeurs" pour désigner l'endroit où l'on va pour se
faire couper les cheveux. La correction serait "Je vais chez le coiffeur une fois par mois."

Interférence Prépositionnelle : L'utilisation de "dans le mois" est également incorrecte. En


français, on utilise plutôt "par mois" pour indiquer la fréquence. La correction serait "Je
vais chez le coiffeur une fois par mois."

La phrase correcte devrait être "Je vais chez le coiffeur une fois par mois." où le terme est
correctement utilisé au pluriel et la préposition "par" est employée conformément à la
syntaxe française standard.

Chez ne s’utilise qu’en parlant de personnes et, par extension, d’êtres animés ou d’êtres
personnifiés. Exemples : Il habite chez ses parents. Chez les aigles, le bec est jaune. Dans
le cas d’établissements commerciaux, quatre cas sont possibles :

– le nom de l’établissement se confond avec un nom de personne : on utilise chez.


Exemple : Aller chez Durand et fils. – le nom de l’établissement est un nom de chose ou
un groupe comprenant un nom de chose, et l’on utilise à. Exemple : Aller au Bon Marché.

10. Il faut que tu prends les médicaments à l'heure.

Réponse :

 Interférence : Interférence syntaxique.

 Correction : Il faut que tu prennes les médicaments à l'heure.

 Explication : Le verbe "prendre" dans une phrase subordonnée introduite par "que"
doit être à la forme du subjonctif. La correction ajuste le mode du verbe.

Interférence Syntaxique : L'utilisation du présent de l'indicatif "prends" après le verbe


modal "faut que" est incorrecte. Lorsqu'on utilise un verbe conjugué après une
expression comme "il faut que", on doit utiliser le subjonctif. La correction serait "Il
faut que tu prennes les médicaments à l'heure."

La correction ajuste le mode du verbe pour correspondre à la structure grammaticale


correcte dans une phrase subordonnée introduite par "il faut que".

La subordonnée complétive avec «que» Les temps et le mode du verbe après le


subordonnant «que» représentent une grande difficulté : en général l’aspect non
accompli (le présent) est le plus fréquent, il remplace le subjonctif aux positions où il
est obligatoire de l’utiliser.  * II faut que le ministère fait des stages . . .  *Il ne faut
pas que vous prenez des médicaments sans conseiller le médecin.  *Il faut que le
père va au lycée pour savoir ses enfants travaillent au lycée.

Le mot présent n’a pas le même sens selon que l’on parle du présent de l’indicatif ou
du subjonctif Une des difficultés majeures touchant la compréhension de la
conjugaison, préalable à une mémorisation efficace, provient de la polysémie du mot
présent et des étiquettes des temps et modes verbaux. L’indicatif est le seul mode
verbal indiquant la temporalité ; les autres sont intemporels. Aussi, le mot présent dans
subjonctif présent ou infinitif présent ne renvoie pas à la temporalité.

11. En printemps, nous partons à l'Egypte.

Réponse :

 Interférence : Interférence lexicale.

 Correction : Au printemps, nous partons en Égypte.

 Explication : En français, on utilise "au" pour indiquer une saison spécifique.

nterférence Lexicale : L'utilisation du mot "printemps" sans l'article défini "le" est incorrecte
en français. La correction serait "Au printemps, nous partons à l'Égypte." où "le" est ajouté
pour rendre la phrase grammaticalement correcte.

Interférence Prépositionnelle : L'utilisation de "à" avant "l'Égypte" est incorrecte. En français,


on utilise généralement "en" pour indiquer le pays de destination. La correction serait "Au
printemps, nous partons en Égypte."
La phrase correcte devrait être "Au printemps, nous partons en Égypte." où le choix des mots
et des prépositions est aligné avec la syntaxe et le lexique français standards.

12. vous disez la vérité.

Réponse :

 Interférence : Interférence lexicale.

 Correction : Vous dites la vérité.

 Explication : Le verbe "dire" est correctement conjugué comme "dites" à la deuxième


personne du pluriel.

 Interférence Lexicale : L'utilisation du verbe "disez" est incorrecte. En français, le


verbe correct à la deuxième personne du pluriel est "dites". La correction serait "Vous
dites la vérité."

 Interférence de Conjugaison : L'erreur ici concerne la conjugaison du verbe. Le verbe


"dire" conjugué à la deuxième personne du pluriel au présent de l'indicatif doit être
"vous dites", et non "vous disez".

 La phrase correcte serait "Vous dites la vérité." où le verbe est correctement conjugué
et le choix des mots respecte la syntaxe française standard.

« vous disez » forme très inattendue de « vous dites » ; « un espèce de » au lieu de «


une espèce » ; « il faut mieux » à la place de « Il vaut mieux »

fautes a été commise par des personnes qui ne pouvaient pas ressentir comme
incorrectes les élocutions citées. Mais elles parlaient sans préparation et n'avaient pas
eu le temps d'achever la préformation sans laquelle il n'est pas de phrase qui tienne
debout.

; l'élève qui écrit vous disez dans un texte au présent ne sait peut-être pas que la forme
appropriée est vous dites (bien qu'on apprenne par cœur les conjugaisons dans les
petites classes)
L’ignorance des parleurs Français ou étrangers : Il est probable que les usages dits
fautifs soient souvent expliqués par l'ignorance où seraient les Français et les étrangers
du sens propre des termes, de la valeur des constructions, de la prononciation correcte.

13. Le professeur prie aux élèves d'être calmes.

Réponse :

 Interférence : Interférence lexicale.

 Correction : Le professeur demande aux élèves d'être calmes.

 Explication : En français, "demander" est plus approprié que "prier" dans ce contexte.

Interférence Lexicale : L'utilisation du verbe "prie" est inappropriée dans ce contexte. Le


verbe "prier" implique souvent une demande polie ou une prière, ce qui n'est pas l'intention du
professeur ici. Le verbe plus approprié serait "demande". La correction serait "Le professeur
demande aux élèves d'être calmes."

Interférence Syntaxique : L'erreur affecte également la structure grammaticale de la phrase,


car le choix inapproprié du verbe crée une construction syntaxique incorrecte.

La phrase correcte devrait être "Le professeur demande aux élèves d'être calmes." où le verbe
est ajusté pour correspondre au contexte de la demande aux élèves, respectant ainsi la syntaxe
et le lexique français standards.

14. Je espère que vous soyez content.

Réponse :

 Interférence : Interférence lexicale.

 Correction : J'espère que vous êtes content.

 Explication : Le verbe "espérer" est suivi de l'indicatif, pas du subjonctif.

 Interférence Lexicale : L'utilisation du verbe "disez" est incorrecte. En français, le


verbe correct à la deuxième personne du pluriel est "dites". La correction serait "Vous
dites la vérité."
 Interférence de Conjugaison : L'erreur ici concerne la conjugaison du verbe. Le verbe
"dire" conjugué à la deuxième personne du pluriel au présent de l'indicatif doit être
"vous dites", et non "vous disez".

 La phrase correcte serait "Vous dites la vérité." où le verbe est correctement conjugué
et le choix des mots respecte la syntaxe française standard.

15. Il promène les mains derrière le dos.

Réponse :

 Interférence : Interférence lexicale.

 Correction : Il promène les mains derrière son dos.

 Explication : On utilise "son" pour indiquer la possession des mains par le sujet.

16. Je vous remercie à me donner une chance pour parler.

Réponse :

 Interférence : Interférence prépositionnelle.

 Correction : Je vous remercie de me donner une chance de parler.

 Explication : En français, on utilise "de" après "remercier" pour indiquer la raison.

Interférence Prépositionnelle : L'utilisation de la préposition "à" après "remercie" est


incorrecte en français. La construction correcte serait "Je vous remercie de me donner une
chance pour parler."

Interférence de Construction Syntaxique : L'erreur ici concerne la construction syntaxique de


la phrase. La préposition "de" est nécessaire pour introduire l'infinitif "donner".

La phrase correcte serait "Je vous remercie de me donner une chance pour parler." où la
préposition est ajustée pour correspondre à la syntaxe et au lexique français standards.
17. J’ordonne mes élèves à faire ces exercices.

Réponse :

 Interférence : Interférence syntaxique.

 Correction : J'ordonne à mes élèves de faire ces exercices.

 Explication : Le verbe "ordonner" est suivi de "de" pour introduire l'infinitif.

 Interférence Lexicale : L'utilisation de la préposition "à" après le verbe


"ordonne" est incorrecte. Le verbe "ordonner" est suivi directement d'un
complément d'objet (ici, "mes élèves") suivi de l'infinitif sans préposition. La
correction serait "J'ordonne à mes élèves de faire ces exercices" ou "Je
demande à mes élèves de faire ces exercices."

 Interférence Syntaxique : L'erreur concerne également la structure


grammaticale de la phrase, car le choix inapproprié de la préposition entraîne
une construction syntaxique incorrecte.

 La phrase correcte devrait être "J'ordonne à mes élèves de faire ces exercices"
où le verbe est utilisé conformément à la syntaxe et au lexique français
standards.

Verbes transitifs directs en arabe qui ne le sont pas en français

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