Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Les techniques de mesure des ventes peuvent aider votre société à vendre plus et à le faire
plus efficacement. Cet article vous apprend quelles informations suivre et comment les
utiliser à votre avantage.
En bref :
Dans toutes les entreprises, on entend la même complainte lorsque les ventes stagnent ou
diminuent : le service marketing dit à la direction qu'il fournit à l'équipe des ventes des
prospects en grand nombre et qu'il ne comprend pas pourquoi ceux-ci ne se transforment
pas en ventes. Le service des ventes répond que les prospects indiqués par le marketing sont
peut-être nombreux, mais que leur qualité est tellement mauvaise qu'ils ne génèrent aucune
vente.
Le problème ne se situe pas seulement au niveau des résultats médiocres, c'est surtout que
les informations manquent pour savoir ce qui cause cette médiocrité. Il est facile de voir si
un vendeur atteint ses quotas. Il est par contre moins évident de comprendre pourquoi
certains atteignent régulièrement leurs quotas et les dépassent même, tandis que d'autres n'y
arrivent pas. Avec un peu d'effort, vous découvrirez les raisons de la réussite de vos
meilleurs vendeurs, ce qui freine tous les autres et comment exploiter ces informations pour
améliorer votre activité.
Si vous voulez optimiser la productivité de vos effectifs de vente, suivez les quatre
instructions suivantes.
Haut de la page
« Nous avons constaté que de nombreuses sociétés n'avaient pas de base de données
organisée et fiable sur leurs clients », s'étonne Angelo Dalle Molle, directeur général de
Columbus IT Brazil, partenaire Microsoft Certified Gold spécialisé dans le développement
de systèmes de CRM. Les vendeurs se plaignent du fait que les bases de données de
l'entreprise ne contiennent pas les renseignements dont ils ont besoin, comme des profils
détaillés de clients comprenant des renseignements personnels ou un historique des
plaintes.
Haut de la page
Divisez votre processus de vente en événements significatifs. Par exemple, déceler une
opportunité, valider le client, rédiger une offre et conclure la vente. Pour chaque étape
importante, énumérez les sous-éléments ou les tâches distinctes accomplies par le vendeur
pour passer d'un événement au suivant. Une fois ces étapes définies, faites-les connaître à
vos effectifs de vente et assurez-vous qu'ils comprennent les objectifs.
Haut de la page
Les sociétés aux produits complexes et aux longs cycles de vente profiteront plus
certainement d'une technologie qui suit les activités et permet aussi une analyse
sophistiquée, comme les logiciels de CRM. Microsoft Dynamics CRM, par exemple, vous
permet de suivre les interactions avec les prospects, d'établir des devis et de surveiller si les
ventes se réalisent et quand elles se réalisent. Vous pouvez aussi gérer et suivre les
commandes, l'historique des paiements et les demandes reçues par le service à la clientèle.
Rappelez-vous toutefois que les vendeurs rechignent souvent à utiliser des outils de CRM
parce que ces logiciels leur donnent plus de travail administratif. Dites à votre personnel ce
que ces outils peuvent leur apporter, par exemple des rappels automatiques de tâches liées à
la vente, ou encore un historique et un profil complet pour chaque client. De même,
recherchez les systèmes qui peuvent s'intégrer facilement à votre courriel ou à d'autres
applications bureautiques courantes. Cette intégration facilitera l'entrée des informations
dans le système CRM. Par exemple, Microsoft Dynamics CRM est accessible et peut être
mis à jour depuis Microsoft Office Outlook (pour en savoir plus, voir cet article).
Haut de la page
4. Analysez les données pour contribuer à faire augmenter les ventes et peaufinez vos
stratégies commerciales
Vous pouvez vous servir des outils d'analyse intégrés à votre logiciel de CRM pour générer
des rapports, transférer des données dans Microsoft Office Excel ou Microsoft SQL Server
en vue de leur analyse, ou encore dans une solution de portail comme Microsoft Office
SharePoint Server pour la mise à jour des rapports de la direction. Voici quelques façons de
mettre vos outils à contribution :
•Mesurez la productivité par vendeur. Une fois la durée de votre cycle de vente mesurée (et
une fois son objectif établi), identifiez les vendeurs qui avancent plus rapidement ou plus
lentement dans ce processus. Ensuite, penchez-vous sur chaque étape et voyez ce qui peut ne
pas fonctionner pour une personne donnée.
•Peaufinez votre processus de vente en vue des meilleurs résultats. « Je peux découvrir,
par exemple, qu'une fois le client arrivé à l'étape trois du cycle de vente, nos chances de
conclure grimpent considérablement, » explique M. Duong. Si c'est le cas, vous pourriez
éliminer certains prospects afin que vos vendeurs s'attaquent aux clients les plus prometteurs,
ou introduire des tactiques qui feraient passer plus vite tous les clients à l'étape suivante.
•Servez-vous des chiffres pour cibler le bon segment de clientèle et les bons clients dans
chaque segment. « En surveillant certains indicateurs de performance clé, vous vous rendez
compte, par exemple, que la vente de votre produit aux entreprises d'aéronautique nécessite
un long cycle de certification qui prolonge le cycle de vente et réduit la rentabilité, imagine
M. Duong. Mais selon vos données, la vente du même produit dans l'industrie du
camionnage nécessite un cycle de vente plus court et génère des revenus plus vite. Il s'agit de
la productivité globale des ventes » poursuit-il. « Cela vous aide à voir si vous déployez vos
ressources de vente de la manière la plus productive possible. »
En mettant l'accent sur les mesures et leur analyse, vous pourrez stopper les conflits entre
l'équipe des ventes et celle du marketing parce que vous saurez ce qui est arrivé à chaque
prospect à chaque étape du processus. Cela devrait vous permettre de savoir plus facilement
si le prospect était de mauvaise qualité ou s'il n'a tout simplement pas été exploité
correctement par l'équipe des ventes. Dans un cas comme dans l'autre, le fait de présenter
ces données au service approprié vous aidera à préciser vos stratégies et à accroître votre
productivité et votre efficacité.
Le présent chapitre sera consacré à la présentation des résultats de l'enquête par questionnaire
adressé à la force de vente de la SAAR Hippodrome. Comme le montre les données
collectées, cette force de vente occupe des fonctions variées et a également une ancienneté
variée.
Pour ce qui est des fonctions occupées, sur les 15 personnes enquêtées, 5 sont des salariés, 6
sont des commerciaux, 3 sont des apporteurs libres et 1 est courtier. Quant à l'ancienneté, les
enquêtés peuvent être subdivisés en deux groupes : les vendeurs ayant une ancienneté de 1à 6
mois et les vendeurs ayant une ancienneté supérieure à 6 mois soient respectivement 6 et 9
vendeurs.
Dans le chapitre, nous allons d'abord proposer une évaluation de la mise en place et de la
gestion de la force de vente de la SAAR Hippodrome par les acteurs (Section I). Ensuite, nous
interpréterons les résultats et proposer des pistes d'optimisation de la productivité des
vendeurs (Section II).
Les données recueillies lors de notre enquête par questionnaire ont été analysées à l'aide d'un
logiciel d'analyse des données dénommé Le Sphinx version 2000. La présentation des
résultats de l'analyse sera faite grâce à des tableaux et à des graphiques accompagnés de
commentaires. Les tableaux des données en fréquence relatives seront présentés en annexe
(Annexe n° 3).
La présentation de ces données sera structurée en trois phases : les éléments de la mise en
place, les éléments de gestion et les éléments de la productivité des vendeurs.
Nous analyserons les deux éléments de la mise en place d'une force de vente qui ont été
mentionné dans notre questionnaire à savoir les objectifs et la structure de la force de vente.
La définition des objectifs est une étape primordiale dans la mise en place d'une force de
vente. Ainsi, il est important d'évaluer ces objectifs. Pour ce faire, dans notre questionnaire,
nous demandons à chaque vendeur d'évaluer la définition des objectifs qui leurs sont assignés,
le degré d'atteinte de ces objectifs, les objectifs de chiffre d'affaire et le degré de motivation
par les objectifs.
Pour ce qui est de la définition des objectifs, 33,3% (5 vendeurs) estiment que les objectifs
sont mal définis, 66,7% (10 vendeurs) pensent qu'ils sont bien définis alors qu'aucun vendeur
ne pense qu'ils sont très bien définis.
Cette perception des objectifs varie en fonction de l'ancienneté et de la fonction des vendeurs.
Les tableaux suivants illustrent les résultats obtenus.
Il ressort de ce tableau que tous les vendeurs dont l'ancienneté est supérieure à six mois
trouvent que les objectifs sont bien définis, tandis que tous les vendeurs dont l'ancienneté est
inférieure à six mois trouvent que les objectifs sont mal définis à l'exception d'un seul.
Ce tableau nous montre que tous les salariés ainsi que les apporteurs-libres et les courtiers
trouvent que les objectifs sont bien définis. Tandis que tous les commerciaux trouvent que les
objectifs sont mal définis à l'exception d'un seul dont l'ancienneté est supérieure à six mois.
Notre enquête propose aussi aux vendeurs de se prononcer sur l'atteinte des objectifs fixés
comme l'illustre la figure ci-après.
De la figure ci-dessus, il ressort que les objectifs de vente sont souvent atteints par 10
vendeurs (66,7%) sur les 15 interrogés, 3 de ces vendeurs (20%) n'atteignent jamais ces
objectifs et 1 vendeur (6,7%) les atteint très souvent.. Si les objectifs sont souvent atteints,
qu'en est-il des objectifs de chiffre d'affaires ?
Les objectifs de chiffre à atteindre sont moyens pour 7 vendeurs (46,7%) et sont trop élevés
pour 4 vendeurs (26,7%). Il n'y a qu'un seul vendeur (6,7%) qui les trouve trop bas. Objectifs
de chiffre d'affaires
Source : données de l'enquête
Nous allons à présent nous intéresser à l'impact des objectifs dans la motivation des vendeurs.
Plus de la moitié des vendeurs interrogés (53,3%) pensent que les objectifs sont moyennement
motivants. Deux vendeurs (13 ,3%) pensent que les objectifs sont peu motivants. Un nombre
non négligeable de vendeurs (26,7%) se sont abstenus de réponses et un seul (6,7%) pense
qu'ils sont très motivants. La figure suivante illustre bien cela.
Après avoir présenté les objectifs, nous pouvons nous pencher sur la structure de la force de
vente.
S'agissant de la taille des zones de prospection, 5 vendeurs (33,3%) pensent que les zones de
prospection sont trop petites, 4 vendeurs (26,7%) pensent que ces zones sont trop grandes et le
même nombre de vendeurs trouve ces zones moyennes. Cette évaluation est illustrée par la
figure ci-après :
Pour ce qui est de l'attribution des zones aux vendeurs, la figure ci-dessus montre que tous les
vendeurs sont unanimes sur le fait qu'aucun d'entre eux n'a une zone qui lui est propre.
Figure 14- Impact des zones de prospection dans l'atteinte des objectifs
Cette figure nous montre que sept vendeurs (46,7%) pensent que les zones de prospection ont
un faible impact sur la réalisation des objectifs. Trois vendeurs (20%) atteignent les objectifs
qui leurs sont fixés grâce aux zones de prospection. Deux vendeurs (13,3%) les atteignent
moyennement.
A présent, nous allons présenter les résultats de la comparaison faite par les vendeurs de la
rentabilité de leurs zones par rapport à celle de leurs collègues grâce à la figure suivante.
Figure 15- Rentabilité des zones par rapport à celles des collègues
Après la présentation des résultats concernant la mise en place de la force de vente, nous
allons présenter ceux qui concernent la gestion de la force de vente.
Une force de vente qui n'est pas géré ne peut pas fonctionner car la mise en place seule ne
suffit pas pour donner à la force de vente les aptitudes nécessaires pour bien vendre. Nous
allons donc analyser tour à tour les éléments de gestion de la force de vente qui ont été
évalués dans le questionnaire. Il s'agit de la rémunération, de la formation, du suivi, du
contrôle et de l'évaluation.
Notre analyse a porté uniquement sur les commissions car c'est ce système de rémunération
qui est commun à tous les éléments de la force de vente à la SAAR Hippodrome. Nous avons
donc demandé à chaque vendeur d'évaluer les commissions qui lui sont payés. La figure ci-
dessous illustre les résultats obtenus
Nous observons que, Huit vendeurs (53,3%) pensent que les commissions sont insuffisantes
tandis que sept (46,7%) pensent qu'elles sont moyennement suffisantes. Cette évaluation varie
fortement en fonction des catégories de vendeurs. Ainsi, le tableau ci-après présente le
croisement de la fonction avec l'évaluation des commissions par les vendeurs.
Figure 17- Croisement de la fonction avec l'évaluation des commissions
La formation est une étape très importante dans la gestion de la force de vente. En effet grâce
à la formation, les vendeurs acquièrent les aptitudes pour la vente ou alors améliorent celles
qu'ils avaient déjà. Pour évaluer cette formation, nous avons voulu savoir si elle est utilisée
par les vendeurs dans l'exercice de leurs tâches quotidiennes. La figure suivante illustre les
résultats obtenus.
Cette figure nous montre que la formation est souvent utilisé pour réaliser les activités de
l'avant vente, de la vente et de l'après vente par huit vendeurs (53,3%). Six vendeurs (40%)
utilisent cette formation très souvent. Un vendeur n'utilise jamais la formation. Passons
maintenant à la présentation des résultats sur les éléments de contrôle et d'évaluation des
vendeurs.
Nous interpréterons les résultats ci-dessus en nous appuyant toujours sur notre hypothèse de
recherche selon laquelle, « les facteurs d'optimisation de la productivité de la force de vente se
situent au niveau de la mise en place et la gestion de celle-ci ». C'est pourquoi nous allons
utiliser la mise en place et la gestion de la force de vente comme pistes d'interprétation.
Dans cette première piste d'interprétation, nous allons évoquer principalement les objectifs et
de la structure de la force de vente.
Les résultats précédents nous révèlent que les salariés, les apporteurs-libres et les courtiers qui
sont les éléments de la force de vente les plus anciens pensent que les objectifs sont bien
définis. Tandis que les commerciaux dont l'ancienneté est inférieure à 6 mois pensent que les
objectifs sont mal définis. Cela suggère que les anciens vendeurs ont eu le temps de percevoir
au fil du temps, ce que l'entreprise attend d'eux. Les nouveaux vendeurs quant à eux
n'appréhendent pas encore ces objectifs et concluent qu'ils n'existent pas.
Ainsi, s'il faut une durée supérieure à six mois pour saisir les objectifs alors nous pouvons
avancer que ces objectifs n'ont pas toutes les qualités d'un bon objectif, à savoir, la simplicité
et la compréhensibilité. C'est pourquoi les commerciaux jouent juste le rôle qu'ils perçoivent.
Ce rôle se résumant à la seule réalisation d'un chiffre d'affaires dont le montant est lui aussi
indéterminé.
Pour les autres vendeurs non commerciaux, nous pouvons nous poser la question de savoir si
ce n'est pas la routine qui leur fait croire qu'ils ont bien appréhendé les objectifs. Car malgré le
fait qu'ils s'accordent sur la bonne définition des objectifs, ils reconnaissent que ceux-ci sont
moyennement motivants. Ce qui signifierait que les vendeurs n'appréhendent pas bien les
objectifs et confondent le rôle qu'ils perçoivent avec le rôle qui est attendu d'eux.
L'analyse des objectifs de chiffre d'affaires permet de constater que l'entreprise a une gestion
axée sur le rendement qui ici est mesuré en terme de chiffre d'affaires réalisé. Cette situation
serait dangereuse pour l'entreprise car selon PLATNIC-COHEN (2007, p.76-77), on ne peut
pas piloter sa force de vente selon le seul critère de chiffre d'affaire étant donné que :
· les succès actuels d'un vendeur ne présagent pas ses performances futures.
· le montant des ventes ne permet pas d'apprécier la finesse, les forces et les faiblesses de
chacun des vendeurs.
Le secteur des assurances étant un secteur saisonnier du fait que les assurés contractent pour
une certaine période, les vendeurs ne devraient pas être évalué sur le seul critère du chiffre
d'affaires. L'entreprise gagnerait donc à tenir compte des cas des assurés qui reviennent. Ainsi,
elle pourra évaluer la capacité du vendeur à fidéliser la clientèle.
Lorsque nous nous sommes rapproché des vendeurs qui se sont abstenus de répondre aux
questions sur les objectifs, nous nous sommes rendus compte que ces vendeurs trouvent que la
force de vente à la SAAR Hippodrome n'a pas d'objectifs fixés par la hiérarchie. En effet
d'après ces vendeurs, la force de vente est comme un bateau qui avance en plein brouillard
sans savoir où il va et ni si la route qu'il prend est réellement celle qui le mènera à bon port.
Toute la population des vendeurs interrogés est unanime sur le fait que les zones ne sont pas
clairement attribuées par vendeur. Cela justifierait le fait que chaque vendeur appréhende la
taille de la zone à sa manière. Ainsi ceux qui prospectent les clients dans toute la ville de
Yaoundé et ses environs trouvent que les zones sont trop grandes (26,7%). Un pourcentage
équivalent de vendeur trouve que les zones sont moyennes. Selon les déclarations de certains
autres vendeurs, cette population peut être celle qui prospecte dans la ville de Yaoundé
uniquement, sans se rendre dans les zones périphériques. Les vendeurs qui se limitent à
quelques quartiers trouvent que les zones de prospection sont trop petites (33,3%). L'on
pourrait en conclure que la force de vente se meut sans destination fixe. Par ce fait, les zones
sont peu rentables car les vendeurs prospectent les mêmes clients. Ainsi, ceux qui arrivent en
premier raflent tous les clients au détriment des autres.
Interprétons maintenant les résultats concernant les éléments de gestion de la force de vente.
Cette deuxième piste d'interprétation est orientée vers le rôle des éléments de gestion de la
force de vente dans l'optimisation de la productivité de celle-ci. Ainsi, nous allons interpréter
l'influence de la rémunération, celle de la formation et enfin celle du contrôle et de
l'évaluation
a) La rémunération
Les commissions sont insuffisantes pour 53,3% de la population interrogée. Cette population
est à forte dominance de commerciaux. Pour les autres vendeurs, 46,7%, les commissions sont
moyennement suffisantes. L'explication de ce phénomène aurait trois niveaux. Le premier
niveau est celui des commerciaux, le second niveau est celui des courtiers et apporteurs-libres
et le troisième niveau est celui des salariés.
Au niveau des commerciaux, cette insuffisance serait due au fait qu'ils ont une ancienneté
inférieure à 6 mois, et aussi au fait qu'ils n'ont que ces commissions comme revenus. En effet,
l'ancienneté des vendeurs qui est inférieure à 6 mois ne leur permet pas d'avoir un nombre de
contacts suffisant pour avoir des commissions régulières. De plus, étant des éléments de la
force de vente propre de l'entreprise, ils ne peuvent pas offrir leurs services à d'autres
entreprises pour augmenter leurs commissions.
Les salariés quant à eux trouvent les commissions moyennement suffisantes parce qu'ils ont la
garantie d'un salaire fixe. Ces commissions constitueraient donc pour eux, un surplus
occasionnel de rémunération, car la prospection de la clientèle ne constitue pas leurs tâches
principales.
La rémunération a une faible contribution au rendement de 60% des enquêté. Cela s'explique
par les éléments suivants donnés par les vendeurs :
· Le pourcentage de la prime nette encaissée alloué aux vendeurs est très bas. Ce qui fait que
la rémunération n'est pas un facteur de stimulation. Pour certains vendeurs elle est tellement
insuffisante qu'ils font le minimum d'efforts possibles afin de ne pas trop se fatiguer pour rien.
· La mauvaise volonté des prospects et autres assurés qui ne veulent pas payer entièrement les
primes d'assurances. Cela réduit les commissions qui seront allouées aux vendeurs. Etant
donné que ceux-ci sont payés sur le montant de la prime nette encaissée.
b) La formation
Dans l'exercice de leurs tâches, les vendeurs utilisent pour la plupart la formation qu'ils ont
reçue au sein de l'entreprise. Ainsi, 53,3% de la population l'utilise souvent et 40% l'utilise
très souvent. Cela montre que la formation donne réellement aux vendeurs les éléments dont
ils ont besoin dans l'exercice de leurs tâches. Ainsi, ils reçoivent des éléments sur les produits
de l'entreprise, sur son organisation et sur les techniques de vente.
c) Le contrôle et l'évaluation
Le contrôle et l'évaluation peuvent se faire à l'aide des réunions hebdomadaires, du
pourcentage de souscriptions commerciales et du taux de souscription.
Pour 60% des vendeurs interrogés, les réunions hebdomadaires répondent très peu à leur
problème. Cette situation s'expliquerait par le fait que les problèmes soulevés lors de ces
réunions débouchent la plupart du temps sur des promesses qui sont très peu tenues. Cette
situation serait également due au fait que les vendeurs ne sont pas toujours présents aux
réunions. Ainsi, lorsqu'on discute de certains points lors de certaines séances, ils sont absents
et veulent que lors des séances suivantes les mêmes objets soient remis à l'ordre du jour. Cette
situation se rencontre beaucoup plus chez les commerciaux.
Les pourcentages de propositions commerciales des vendeurs sont très élevés et le minimum
se trouve à 50%. Ce qui montre que les vendeurs réussissent le plus souvent, à faire des
propositions d'assurances aux prospects rencontrés. Cela témoigne de leur capacité à
débusquer de bons prospects et de leur créativité. Car les vendeurs se retrouvent souvent en
face de prospects déjà assurés dans d'autres compagnies. Alors, ils doivent être assez créatifs
pour imaginer d'autres situations de besoins afin de vendre leurs produits.
Le taux de transformation oscille en majorité entre 10 et 25%. Ce qui montre que parmi les
propositions faites, moins de la moitié se transforment en souscriptions. Et ceux qui ont des
taux de transformations de 100% sont les vendeurs qui font entre 1 et 2 propositions.
Pour interpréter ces taux, nous devons préciser qu'un taux de 30% est un taux plancher dans
les relations entreprises et un taux de 12% est un taux plancher dans les relations avec les
particuliers. En deçà de ces taux, on se rend compte que les vendeurs ont tendance à faire des
propositions qui ne répondent pas aux besoins des clients (PLATNIC-COHEN, 2007, p.77)
Ce qui signifie que si les clients sont en majorité des particuliers, alors les vendeurs font de
bonnes propositions. Mais, si ces clients sont des entreprises, les vendeurs doivent encore
faire des efforts pour améliorer leurs propositions.
Nous pouvons maintenant proposer quelques solutions à mettre en oeuvre par l'entreprise pour
corriger les différents problèmes rencontrés par la force de vente. Ce qui permettrait
l'optimisation de la productivité de cette force de vente.
II.1 - Une meilleure définition des objectifs et de la structure pour une optimisation de la
productivité de la force de vente
Pour remédier aux manquements relevés dans la définition des objectifs la force de vente à la
SAAR Hippodrome, l'entreprise devrait permettre aux vendeurs de mieux percevoir le rôle
qu'elle attend d'eux. De ce fait, il serait préférable qu'après chaque recrutement, que
l'entreprise assigne à chaque vendeur des objectifs claires et précis. L'une des meilleures façon
serait de faire participer les vendeurs à la définition de ces objectifs afin qu'ils les
appréhendent mieux et se sentent obligés de les réaliser puisqu'ils émanent d'eux. Que
l'entreprise fasse participer les vendeurs ou non, elle devrait définir des objectifs simples et
compréhensibles afin que les vendeurs n'aient pas besoin d'une durée supérieure à six mois
pour percevoir ce qu'elle attend d'eux.
De plus, pour fidéliser sa clientèle, l'entreprise ne devrait pas définir uniquement des objectifs
de chiffre d'affaires, étant donné que le meilleur vendeur n'est pas seulement celui qui réalise
un meilleur chiffre d'affaires, mais aussi celui qui fidélise sa clientèle. C'est pourquoi
l'entreprise peut aussi définir des objectifs de fidélisation. Ainsi, elle pourra voir quels sont les
vendeurs qui ramènent les anciens clients au sein de l'entreprise.
Pour que les objectifs aient des taux de réalisation élevés, l'entreprise doit clairement délimiter
la ville en zones de prospection.
La structure permet à la force de vente de ne pas aller dans tous les sens lors de la prospection
des clients ou de la promotion des produits. Elle permet également aux vendeurs d'élaborer
leur emploi du temps. De ce fait, l'entreprise devrait définir des zones de prospection qui
permettront aux vendeurs de planifier leurs activités. Ce qui permettra aux vendeurs d'être
mieux organisés et de produire des résultats satisfaisants. De plus, la définition des zones
éviterait les chevauchements fréquents entre vendeurs sur le terrain. Concrètement, l'agence
SAAR Hippodrome peut organiser sa force de vente en groupes de travail comprenant des
nouveaux et des anciens vendeurs. Ces groupes seront chargés de prospecter chacun dans des
zones précises et feront des rapports d'activité qui seront transmis aux autres groupes. Cela
évitera que les vendeurs se déplacent vers la même clientèle. Une telle approche permettrait à
l'entreprise de gagner en temps et en argent. Cela éviterait aussi des désagréments aux clients
qui ne seront plus perturbés pour les mêmes raisons.
« L'argent est le nerf de la guerre » a-t-on souvent coutume de dire. Chacune des deux parties,
l'entreprise comme le vendeur veut gagner de l'argent. Cependant une partie (l'entreprise) en
gagne grâce à une autre (le vendeur). C'est pour cette raison que l'entreprise doit mettre sur
pied un système de rémunération qui pousse le vendeur à créer davantage de richesses.
En effet, pour rendre le salaire des commerciaux stimulant, l'entreprise peut leur octroyer une
partie fixe ou alors adopter un système de commissions plus primes. Si l'entreprise choisit de
donner une partie fixe aux commerciaux, elle risque de se retrouver avec une force de vente
qui ne fait pas d'efforts. Car les commerciaux n'ayant pas d'autres tâches au sein de
l'entreprise comme les salariés, peuvent paresser jusqu'à la fin du mois et venir réclamer la
partie fixe.
Cependant, la rémunération devrait tenir compte du contexte dans lequel se meut l'entreprise.
Etant donné que les assurances se vendent le plus souvent dans ce contexte par affinité ou par
les contacts personnels, l'entreprise doit donner aux vendeurs les moyens nécessaires pour
faire des petits cadeaux aux clients en son nom afin de les fidéliser.
Les vendeurs et leur hiérarchie ont besoin chacun d'outils de contrôle et d'évaluation de leurs
activités. Il existe plusieurs outils et méthodes pour contrôler et évaluer l'activité d'une force
de vente. Il peut s'agir des tableaux de bord, des tableaux de prospections, des logiciels de
gestion de la force de vente etc. Parmi ces outils, nous avons choisi le tableau de bord et un
logiciel commercial.
D'après nos différentes investigations, nous avons constaté que les commerciaux sont les
éléments de la force de vente de la SAAR Hippodrome qui ont le moins d'outils pour gérer
leurs activités. C'est pourquoi ceux que nous proposons leurs sont destinés
Un tableau de bord est un ensemble d'indicateurs organisés en système, suivi par la même
équipe ou le même responsable pour aider à décider, coordonner et contrôler les activités d'un
service. Le tableau de bord permet d'avoir une vision globale de l'activité et des résultats de la
force de vente (LEFEUVRE et al., 2001). Pour élaborer le tableau de bord des commerciaux,
nous allons d'abord concevoir des indicateurs de contrôle des activités ensuite, nous allons
proposer le tableau de bord proprement dit.
· Conception d'indicateurs
Pour concevoir les indicateurs, nous allons utiliser le tableau suivant qui est divisé en
activités. Celles-ci pour être réalisées nécessitent la définition d'objectifs. Ces objectifs
découlent de variables qui à leur tour sont liées à des paramètres et à des indicateurs exprimés
par des ratios. .
Nombre de
propositions
Prospectus
Nombre de
souscriptions
Délai de Date de
remboursement remboursement -
date de la
déclaration
Source : l'auteur
Après la conception des indicateurs, nous pouvons passer à l'élaboration du tableau de bord
proprement dit
Vente des produits Taux de souscriptions 12% dans les relations avec
de l'entreprise les particuliers
Source : l'auteur
Ce tableau de bord présente les activités des commerciaux et les différents indicateurs
permettant le suivi de la bonne réalisation de ces activités. Ainsi, lorsque le vendeur réalise
une activité, il note les résultats obtenus dans la colonne résultat. Il les compare ensuite aux
objectifs pour déterminer les écarts.
Ce tableau de bord pourrait être utilisé de façon hebdomadaire ou mensuelle .Ce qui
permettrait aux commerciaux de ne pas avancer à l'aveuglette, mais d'avoir des panneaux de
signalisation qui leurs indiqueront l'état d'avancement de leurs activités.
Cependant, ce tableau de bord ne permet pas une gestion automatique du portefeuille client du
commercial. Car, il faut que les commerciaux aient en leur possession différents outils pour
calculer aisément les différents ratios. C'est pourquoi nous proposons un logiciel commercial
qui sera réalisé à partir d'Access 2003.
A la S.A.A.R. Hippodrome, les commerciaux qui sont le plus souvent sur le terrain, ont un
nombre important de contacts qu'il est difficile de gérer manuellement. C'est pour cette raison
que nous leur proposons ce logiciel commercial pour la gestion de leur clientèle. Celui-ci leur
permettra non seulement de conserver leurs contacts mais aussi de suivre l'évolution de ceux-
ci dans l'entreprise.
Le logiciel de gestion commerciale est donc complémentaire aux recherches effectuées. Son
but est de faciliter et de mettre en évidence l'activité au sein d'une compagnie d'assure comme
la SAAR S.A. Nous allons faire une présentation générale de ce logiciel et des tâches qu'il
peut accomplir.
- Les prospects
- Les assurés
- Les statistiques
Source : l'auteur
Les prospects sont les éventuels clients de l'entreprise. Ils représentent l'ensemble des
personnes que les commerciaux (prospecteurs), rencontrent afin de leur faire connaître les
produits de l'entreprise. Parmi eux, certains prennent le temps d'écouter les propositions
commerciales et d'autres non. Si le commercial réussit à faire passer son message au client, on
dit qu'il a effectué une proposition. C'est-à-dire qu'il a proposé ses produits à un individu qui
pourra plus tard souscrire à une police d'assurances et devenir un assuré.
Le logiciel nous permet donc d'enregistrer et de modifier les informations sur ces clients et
éventuels clients en les classant en prospects -s'ils ont laissé leurs contacts aux commerciaux
et n'on pas contracté- et en assurés s'ils ont souscrit à une police d'assurance. Les figures
suivantes illustrent les différentes étapes à suivre pour gérer les clients et les prospects.
Lorsqu'on choisit d'enregistrer un nouveau prospect, on peut saisir son nom, son prénom, son
adresse, son téléphone, sa fonction, son statut matrimonial et la proposition d'assurance qui lui
a été faite. Après cet enregistrement, chaque prospect a un numéro qui permet de le rechercher
s'il contacte le commercial ou si le commercial veut le contacter. Ce qui peut être illustrée par
la figure ci-après.
Source : l'auteur
Si le commercial veut plutôt rechercher un prospect qui a déjà été enregistré alors, alors il
clique sur rechercher et modifier dans la page illustrée par la figure par la figure 31. Il aboutit
à la page illustrée par la figure suivante.
Source : l'auteur
Les opérations sur les assurés quant à elles peuvent être effectuées sur la page illustrée par la
figure ci-après.
Pour les assurés, nous avons ajouté les sinistres afin de permettre aux commerciaux de suivre
tous les aspects de l'évolution du dossier du client qu'il a recruté.
Après la gestion des prospects, nous pouvons passer à la gestion des commerciaux eux-
mêmes.
· Les prospecteurs
Après avoir enregistrer les différentes informations sur les prospects, les assurés et les
commerciaux, nous pouvons maintenant passer à la gestion des statistiques des commerciaux.
· Les statistiques
La gestion des statistiques est la partie la plus importante du logiciel, car elle permet aux
commerciaux de faire le point sur l'évolution de leurs activités. Elle peut également leur
permettre d'obtenir les résultats nécessaires pour remplir le tableau de bord qui a été proposé
plus haut.
- Le nombre de souscriptions ;
- La productivité du commercial ;
Source : l'auteur
A partir de ces données, il est possible de faire le point sur les états statistiques de l'activité
pendant une période donnée. Pour définir cette période, il faut définir l'intervalle de recherche.
Après avoir défini la période, le commercial peut obtenir les différents ratios par période. Les
pages représentées par les figures ci-après en sont une illustration.
Source : l'auteur
Dans cette section, nous avons interprété les résultats de notre enquête par questionnaire, à
partir des informations obtenues lors de nos différentes investigations. Ce qui nous a permis
de déceler les problèmes qui freinent l'optimisation de la productivité de la force de vente à la
S.A.A.R. Hippodrome. Des solutions ont donc été proposées, parmi lesquelles un tableau de
bord et un logiciel commercial pour automatiser les activités des commerciaux.
CONCLUSION DU CHAPITRE
Dans cette seconde partie, nous avons à partir des éléments de méthodologie, procédé à une
analyse empirique de la force de vente à la SAAR Hippodrome. Ainsi, grâce aux différentes
méthodes de collectes des données, nous avons recueilli diverses informations. Il en découle
que la force de vente de la SAAR Hippodrome est composée de salariés, de commerciaux,
d'apporteurs-libres et de courtiers, qu'elle est rémunéré par un salaire fixe et des commissions,
qu'elle reçoit une formation en « chambre » et qu'elle est contrôlée et évaluée grâce à des
réunions hebdomadaires et à des rapports d'activités. Il en ressort également qu'elle rencontre
des difficultés -au niveau des objectifs et de la structure, de la rémunération qui est
insuffisante et de la gestion de son porte-feuille clients- qui tirent sa productivité vers le bas.
D'où la nécessité mettre en oeuvre des éléments de gestion adéquats tels que des tableaux de
bord et des applications informatiques pour remédier à ce problème.
CONCLUSION GÉNÉRALE
Partant de ce constat, nous nous sommes posé au départ de cette recherche, la question de
savoir : quels sont eu égard à ce contexte où les individus ont peu développé la culture de
l'assurance, les facteurs qui permettent d'optimiser la productivité de la force de vente
dans une compagnie d'assurance?
En nous basant sur une revue de littérature et sur nos investigations au sein de notre terrain de
recherche, nous avons proposer comme début de réponse à cette question le fait que : les
facteurs d'optimisation de la productivité de la force de vente se situent au niveau de la mise
en place et de la gestion de la force de vente. Tout au long de notre étude, nous avons donc
examiné ces différentes phases en comparant les propositions théoriques aux pratiques sur le
terrain.
Toutefois, une telle application ne serait accessible aux vendeurs que s'ils disposent de
quelques connaissances sur l'usage de l'outil informatique. Ainsi, la formation dispensée par
l'entreprise pourrait tenir compte de ce fait en ajoutant des modules d'initiation à l'outil
informatique. De plus, l'entreprise devrait mettre en oeuvre les moyens nécessaires financiers
et organisationnels nécessaires pour permettre aux commerciaux de convaincre le maximum
de clients.
Cependant, il convient de reconnaître que nous n'avons pas cerné tous les contours de
l'optimisation de la productivité de la force de vente à la S.A.A.R. Hippodrome. Notre
recherche présente de ce fait des limites, qui à notre avis sont d'ordre méthodologique. La
première limite se rapporte à l'absence des données quantitatives qui a entraîné l'absence de
calcul de la productivité de la force de vente de la S.A.A.R. Hippodrome. La deuxième limite
se rapporte à la méthode d'analyse des données recueillies pendant l'enquête par
questionnaire. En effet, une telle étude aurait été plus approfondie au travers d'une analyse
statistique par des tests. Mais, des blocages liés à l'effectif réduit de notre population d'étude
n'ont pas facilité la mise en oeuvre de telles analyses. La troisième limite quant à elle est liée
au fait que nous n'avons pas tester les différents outils de gestion que nous avons proposés.
Nonobstant ces limites, notre travail pourrait avoir le mérite d'avoir levé un pan de voile sur
l'étude des performances en entreprise. Il constituerait donc un point de départ à la recherche
sur l'amélioration des résultats de l'entreprise par les performances.
BIBLIOGRAPHIE
OUVRAGES :
1. CHANTEREAU P.L., Petits bonheurs furtifs de la vie au travail, village mondial, Paris,
2001
2. DARMON R., Pilotage dynamique de la force de vente, collection les références, Village
mondial, Paris, 2001
3. DARMON R., Management des ressources humaines des forces de vente, Economica,
Paris, 1993
7. LALANDE J., Profession : vendeur, vendez plus et mieux , édition transcontinental inc,
Fondation de l'entrepreneurship, 1995
10. SEKIOU et al., Gestion des ressources humaines, Canada Deboeck University, 1993
ARTICLES:
10. ZEYL A.,« performances des vendeurs et styles de vente attendus » in cahiers du CEREN,
2003
11. ZOLTNERS A., « Créer une force de vente digne de ce nom », Compétences l'art du
marketing elearning, 21 août 2007, www.lesechos.fr
12. PLATNIC-COHEN E., « les bons critères pour mesurer la performance des vendeurs »,
Management, n°144, juillet et août 2007, p. 76-77
DICTIONNAIRE :
DEDICACES................................................................................................i
REMERCIEMENTS......................................................................................ii
Introduction générale 1
I- Contexte et problématique 1
IV- Méthodologie 2
V- Plan du travail 3
a) Le tangible et l'intangible 11
b) Le transfert de propriété 12
a) L'intangibilité 13
b) L'indivisibilité : 14
c) Variabilité : 14
II.3 - Impact des caractéristiques du service sur les missions la force de vente 15
Synthèse de la section I : 17
a) La structure géographique 19
d) La structure multiple 21
Synthèse de la section II : 25
Conclusion du chapitre : 26
CHAPITRE II - Facteurs d'optimisation de la productivité de la force de vente 27
a) Le salaire fixe 34
b) Les commissions 34
c) Les primes 35
d) Le salaire mixte 35
b) L'évaluation interne 38
Synthèse de la section I : 38
Synthèse de la section II : 50
Conclusion du chapitre : 50
Section I - Méthodologie 55
I - Le terrain d'étude 55
b) Structure 57
c) Organisation 57
a) Le service production 58
b) Le service sinistre 58
c) Le service comptabilité 58
d) Le service informatique 58
a) L'observation participante. 60
b) L'entretien 61
a) La phase exploratoire 63
Synthèse de la section I : 65
a) L'avant-vente 72
b) La vente 72
c) L'après-vente 73
Synthèse de la section II : 75
Conclusion du chapitre : 75
a) La rémunération 91
b) La formation 93
c) Le contrôle et l'évaluation 93
II.1 - Une meilleure définition des objectifs et de la structure pour une optimisation de la
productivité de la force de vente 94
Bibliographie 113
Ouvrages : 113
Articles: 113
Dictionnaire : 114
SOMMAIRE :
DEDICACES.............................................................................................i
REMERCIEMENTS....................................................................................ii
Introduction générale 1
I- Contexte et problématique 1
IV- Méthodologie 2
V- Plan du travail 3
Conclusion du chapitre : 26
Conclusion du chapitre : 50
Section I - Méthodologie 55
Conclusion du chapitre : 75
Bibliographie 113
Ouvrages : 113
Articles: 113
Dictionnaire : 114
Figure 14- Impact des zones de prospection dans l'atteinte des objectifs 81
Figure 15- Rentabilité des zones par rapport à celles des collègues 82
Figure 19- L'impact des réunions hebdomadaires dans la résolution des problèmes 84
Figure 22- Le nombre de visites effectuées par semaine chez les clients 86