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DONGEL OKTAY CEJM

1.1 Expliquer les rôles des principaux agents économiques en relation avec
l’entreprise ENTOMA.

Les principaux acteurs économiques liés à l'entreprise ENTOMA sont divers. Tout d'abord, il
y a les individus qui acquièrent et utilisent les produits proposés par l'entreprise sur le marché.

Ensuite, il y a d'autres entités commerciales, telles que des entreprises ou des sociétés non
financières, qui approvisionnent ENTOMA en matières premières, par exemple des
fournisseurs d'insectes situés aux Pays-Bas. De plus, il existe des partenariats avec des
distributeurs qui facilitent la vente des produits de consommation de l'entreprise.

Les institutions financières, comme les banques, jouent également un rôle crucial en
entretenant des liens avec ENTOMA en accordant des financements sous forme de crédits
pour soutenir son développement.

Enfin, l'État intervient en tant que fournisseur de services non marchands. Il contribue à
l'entreprise en mettant à disposition des infrastructures essentielles, telles que des routes pour
le transport des denrées vers l'entreprise. De plus, en cas de bénéfices réalisés par l'entreprise,
l'État perçoit des impôts sur ces bénéfices.

Au niveau international, ENTOMA est également connecté au reste du monde. Cela est
notamment visible à travers les importations d'insectes en provenance des Pays-Bas. De plus,
l'entreprise est influencée par des rapports internationaux, tels que celui de l'Organisation des
Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, qui met en avant les insectes comme une
source alimentaire durable et écologique pour le futur.

3.3 Évaluer la validité de la clause de non-concurrence proposée par


l’entreprise ENTOMA.

ENTOMA envisage d'insérer une clause de non-concurrence dans le contrat du futur


ingénieur de production, prévoyant une interdiction de concurrence pendant deux ans en cas
de rupture du contrat sur l'ensemble du territoire français. Une contrepartie financière de 20 %
de la rémunération annuelle brute est prévue dans le but de protéger le savoir-faire de
l'entreprise.

La validité de la clause de non-concurrence repose sur certaines conditions, comme l'a établi
un arrêt de la Cour de cassation du 18 septembre 2002. Selon cet arrêt, une telle clause est
licite si elle est indispensable à la protection des intérêts légitimes de l'entreprise, limitée dans
le temps et dans l'espace, prend en compte les spécificités de l'emploi du salarié, et comporte
une contrepartie financière. Ces conditions sont cumulatives.

En l'occurrence, la clause proposée par ENTOMA vise à protéger un intérêt légitime, le


savoir-faire de l'entreprise. Elle respecte les critères de validité, étant limitée dans le temps
(deux ans), dans l'espace (territoire français), et inclut une contrepartie financière équivalente
à 20 % de la rémunération annuelle brute. Ainsi, la clause de non-concurrence est considérée
comme valable.

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