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INTRODUCTION
I. OBJET DE L’ETUDE
Les sociétés sont les principaux acteurs de la scène des affaires.
Des personnes mettent en commun des biens et des énergies en vue de réaliser,
par les opérations qu’elles font ensemble, des bénéfices partageables ou tout
simplement pour profiter de l’économie qui pourra en résulter1. Si l’on y ajoute
que le partage des bénéfices a pour corollaire la contribution aux pertes de tous
les associés, on se convainc vite que l’idée de groupement est née pour pallier les
limites de l’entreprise individuelle : seuil de productivité faible, absence de
patrimoine d’affectation a priori, intérêt fiscal. De plus, le groupement est
personnifié ; c’est un être juridique capable d’avoir, sur sa tête, des droits et des
obligations, ne se confondant pas avec ceux de ses membres et qui correspondent
à la nature du groupement.
L’évolution vers la reconnaissance de la notion de société s’est
faite progressivement. Avant Rome, la notion de société était presque inconnue.
Dans l’antiquité, il n’existait qu’une forme de contrat pouvant être
assimilée à une société : le prêt de fonds ou de marchandises, avec participation
du prêteur aux résultats. Malgré la méfiance des grecs et l’indifférence des
Romains, dès le 12è siècle, on voit se dessiner la véritable société. Ce sont d’abord
les phéniciens qui la pratiquent dans le commerce international. Puis vient la Lex
Rhodia de juctu, mère de la règle des avaries communes, qui organise la
contribution aux pertes et par là même assortit le contrat de transport maritime
d’une clause sociétaire entre ceux qui confient leurs marchandises aux aléas de la
mer et du négoce international. Grâce au développement du commerce maritime
et terrestre, il s’est créé des sociétés dites « société générale », semblables à des
sociétés de personnes en nom collectif dont la responsabilité des associés est
indéfinie et solidaire, mais dépourvues de personnalité morale ; il existe
cependant un intérêt commun entre associés faisant penser à la personnalité
morale et qu’on désigne sous le nom « corpus mysticum ». Sous l’Ancien régime
est née une autre forme de société créée à la base du contrat de commande,
assimilable à la société en commandite, et permettant à des personnes interdites
de commerce de participer à la société à titre de bailleurs de fonds. Sociétés
générales et sociétés en commandite sont sommairement réglementées par
l’Ordonnance de Louis XIV, sur le commerce de terre (dite Code marchand) en
1
Article4 alinéa 1 de l’Acte uniforme relatif au droit des sociétés commerciales et groupements d’intérêt
économique du 30 janvier 2014.
2
date de 1673. Puis au 19e siècle sont apparues les Grandes compagnies ou
compagnies coloniales. Ce sont des compagnies par actions de caractère semi-
public, et certains y voient les premières sociétés d’économie mixte, parce
qu’elles sont le fruit du pouvoir royal et des particuliers qui participent à leur
création et qui se partagent les bénéfices. Enfin, la société anonyme dont la
création est libre succède aux Grandes compagnies juste avant la Révolution
française.2
Les sociétés commerciales ont connu depuis le dernier siècle un
développement considérable. Elles se sont rencontrées de nos jours dans tous les
secteurs de la vie économique nationale et occupent toutes les phases du circuit
économique (de la production à la consommation en passant par la distribution),
recouvrant ainsi des entreprises de toutes dimensions, depuis les sociétés
familiales jusqu’aux grands trusts internationaux qui atteignent des tailles
impressionnantes qui leur donnent un grand rayonnement aussi bien dans leur
pays que dans le monde.
Le droit des sociétés commerciales est un droit sur mesure, forgé
pour répondre aux besoins du commerce. Il répond particulièrement à l’exigence
de sécurité nécessaire au développement des affaires et de l’entreprise.
Afin de contribuer à l’harmonie des législations et à la sécurisation
des affaires le législateur africain a fait un pas en avant, en adoptant, dans le cadre
de l’harmonisation du droit des affaires en Afrique, l’Acte Uniforme relatif au
Droit des Sociétés Commerciales et du Groupement d’Intérêt Economique.
Ce texte qui modifie en profondeur le droit positif des Etats parties
au traité d’OHADA, tend à favoriser l’adaptation de l’entreprise africaine aux
nécessités contemporaines3.
Le droit OHADA des sociétés, qui est désormais le droit positif des
sociétés en République démocratique du Congo depuis le 12 septembre 2012, est
constitué de droit communautaire et de droit national.
Les règles communautaires sont principalement tirées des dispositions
du traité de l’OHADA, de l’acte uniforme du 17 Avril 1997 relatif au droit des
sociétés commerciales et du groupement d’intérêt économique, en abrégé
(AUSG), auquel s’est substitué l’acte uniforme relatif au droit des sociétés
commerciales et les GIE du 30 janvier 2014 en abrégé (AUSCGIE).
2
François ANOUKAHA et al, OHADA : société commerciale et GIE, BRUYLANT, BRUXELLES,2002, P1.
3
WILLY JAMES NGOUE, Ohada pratique du droit des sociétés commerciales la société à responsabilité limitée,
douala, éd Presse Universitaire Libre, 2007, p 5.
3
4
. MAKABA NGOMA M, Droit des sociétés commerciales et groupement d’intérêt économique, Première licence,
Faculté de Droit, Unikin, Droit, 2021-2022, P 4.
5
Article 4 de l’Acte uniforme relatif au droit des sociétés commerciales et du groupement d’intérêt
économique tel que révisé 30 février 2014.
4
10
Article 184 de l’Acte Uniforme précité.
11
Article 185 du même Acte Uniforme.
6
contrario dans les sociétés des capitaux, ce sont les apports qui comptent beaucoup
(intuitu pecuniae).
De tout ce qui précède notre problématique se présente de la manière
suivante : Quel est le sort des créanciers sociaux après la transformation de la
société des personnes en une société des capitaux ? quels sont les effets de la
transformation ?
II. HYPOTHESE
Au regard des questions soulevées ci-haut, nous portons les hypothèses
selon lesquelles, d’après l’article 186 de l’acte uniforme qui dispose ceci : les
droits et obligations contractés par la société sous son ancienne forme subsistent
sous la nouvelle forme, il en est de même pour les suretés sauf clause contraire
dans l’acte constitutif de ces suretés. En cas de transformation d’une société dans
laquelle la responsabilité des associés est illimitée, en une société caractérisée par
une limitation de la responsabilité des associés à leurs apports, les créanciers dont
la dette est antérieure à la transformation conservent leurs droits contre la société
et les associés.
En lisant cette disposition de l’acte uniforme nous décelons qu’après
transformation de la société, cette dernière conserve ou est toujours débitrice de
ses anciens créanciers.
La nouvelle forme de la société n’empêche pas les créanciers de réclamer
leurs dettes mais aussi, les associés dont leurs responsabilités se trouvent limitée
par la nouvelle forme et qui étaient liés indéfiniment et solidairement par
l’ancienne forme, demeurent débiteurs de créanciers sociaux de l’ancienne forme,
d’où les créanciers sociaux ont la possibilité de poursuivre la société et
éventuellement les associés.
Pour la deuxième hypothèse, nous allons lire quelques dispositions de
l’acte uniforme et qui aidera à avoir de bonnes indications, il s’agit des articles
182, 183, 184 et 187.
Au regard des articles soulevés ci-haut de l’AUSCGIE, donnent les effets
de la transformation d’une société notamment : la transformation prend effet à
compter du jour ou la décision la constatant est prise, la transformation de la
société n’entraine pas un arrêté des comptes si elle survient en cours d’exercice,
la transformation met fin aux pouvoir des organes d’administration ou de la
gestion de la société, la transformation ne met pas fin aux fonctions du
commissaire aux compte.
7
IV. METHODOLOGIE
Toute investigation qui se veut scientifiquement doit faire recours à la
méthode relative au sujet et susceptible de conduire, le chercheur à obtenir les
informations fiables à sa préoccupation, ainsi pour mieux comprendre cette
démarche, il est souhaitable de définir les concepts méthode et technique.
PINTOR R et GRAWITZ M, définissent la méthode comme un ensemble
des opérations intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre les
vérités qu’elle pourrait les démontre et les vérifie12.
Pour bien mener notre étude nous avons utilisé deux méthodes ; juridique et
sociologique, la première nous a permis d’interpréter l’acte uniforme relatif au
droit des sociétés commerciales et groupement d’intérêt économique, la seconde
nous a aidé de confronter les textes juridiques et à la réalité sur le terrain.
Les deux méthodes ont été complétées par la technique documentaire qui
nous a permis de consulter les ouvrages, notes de cours, articles et rapport ayant
trait à notre sujet.
12
PINTOR R et GRAWITZ M, Méthodes des sciences sociales, 3ème éd. Dalloz, Paris, 1993, p 36.
8
V. DELIMITATION DU SUJET
Notre sujet est délimité dans le temps mais aussi dans l’espace.
Dans le temps notre travail va de 2014, date de la révision de l’acte uniforme
jusqu’à nos jours, dans l’espace notre sujet à un impact sur le sol OHADA.
13
CHEICK LUPETU.S, « société de personnes en droit OHADA »
14
François ANOUKAHA et al, Op. Cit. P310.
15
CHEICK LUPETU.S, Oc. Cit.
16
Article 270 de l’Acte uniforme relatif au droit des sociétés et du groupement d’intérêt économique.
10
une confiance réciproque entre eux et un accord de tous pour l’entrée des tiers
dans la société17.
A. LA CONSTITUTION D’UNE SOCIETE EN NOM COLLECTIF
1. Conditions de fond :
Ces conditions se rattachent aux associés, au capital social et à l’objet
social.
a) Les associés :
La SNC doit comprendre au moins deux associés ou plus, personnes
physiques ou morales, les associés ont tous de droit la qualité de commerçant.
Ils doivent avoir la capacité voulue pour faire le commerce, ce type de
société est donc interdit aux majeurs en tutelle ou en curatelle ; aux personnes
soumises à une incompatibilité, une déchéance ou une interdiction. En ce qui
concerne les mineurs, seuls ceux qui sont émancipés peuvent être commerçants18.
Les associés doivent donner leur consentement qui se traduit par la
volonté, celle-ci doit être consciente, elle doit être aussi sincère. De ce point de
vue il n’y a aucune différence entre la SNC et les autres formes de société, s’il y
a une différence c’est au niveau de l’intégrité du consentement. La SNC et la SCS,
la seule forme de société dans laquelle les vices de consentement sont causes de
nullité.
Les vices de consentement peuvent résulter d’une erreur, d’un dol ou
d’une violence.
L’erreur peut porter sur la forme de la société adoptée ou sur la personne
d’un associé.
Le dol suppose qu’un fondateur ait recours à des manœuvres afin
d’induire une personne en erreur et l’amener ainsi à faire partie d’une société. Il
faut bien entendu, comme en droit commun, que les manœuvres aient été telles
que sans elles, l’associé qui se prévaut du dol pour demander la nullité de l’acte
de société, n’eut pas donné son consentement.
Comme le consentement, la capacité constitue une condition importante
de constitution d’une société en nom en collectif. L’incapacité est une cause de
nullité de la société. Cette règle s’explique aisément. Les associés d’une société
en nom collectif étant tous des commerçants, il n’est pas convenable qu’un
17
François ANOUKAHA et al, Op. Cit. P313.
18
Philippe Merle et al, Droit commercial, sociétés commerciales, DALLOZ, 2018/2019, P212.
11
b) Le capital social :
19
François ANOUKAHA et al, Op. Cit. P315.
20
Article 196 de l’Acte uniforme portant organisation des procédures collectives d’apurement du passif de
2015.
21
Article 229 de l’Acte uniforme précité.
12
c) L’objet social :
22
François ANOUKAHA et al, Op. Cit. P317
13
En dehors de cet aspect que l’on retrouve dans toutes les sociétés,
l’objet présente un intérêt particulier dans les sociétés en nom collectif.
C’est lui qui, dans ce type de société, détermine les pouvoirs des dirigeants ;
ceux-ci pouvant accomplir tous les actes entrant dans l’objet social. Les
associés doivent, dans ces conditions, veiller particulièrement à la
détermination de l’objet social dans les statuts. Une formule vague pour
fixer l’objet peut se révéler catastrophique pour les associés de la société
en nom collectif car il permet aux dirigeants d’accomplir les actes divers
qui engagent la société, et à travers celle-ci, les associés qui sont tenus
indéfiniment et solidairement du passif social23.
2. Condition de forme :
a) Les statuts :
Le contrat de société donne nécessairement lieu à
l’établissement de statuts puisqu’à défaut de statuts, on tombera en
présence d’une société créée de fait.
L’Acte uniforme relatif au droit des sociétés commerciales et du
groupement d’intérêt économique donne une certaine liberté aux
associés ; ceux-ci ont, en effet, le choix entre un acte authentique et
tout acte offrant des garanties d’authenticité déposé avec
reconnaissance d’écritures et de signatures au rang des minutes d’un
notaire.
Si les statuts ont fait l’objet d’un acte sous seing privé, il est
dressé autant d’originaux qu’il est nécessaire pour le dépôt d’un
exemplaire au siège social et l’exécution des diverses formalités
requises. Cette règle prévue pour toutes les sociétés est complétée
par une règle propre aux sociétés de personnes. Selon l’Art 11 in fine
pour ce type de société (les sociétés en nom collectif, les sociétés en
commandite simple et les sociétés à responsabilité), il doit être remis
un exemplaire original à chaque associé.
23
François ANOUKAHA et al, Op. Cit. P318
14
25
François ANOUKAHA et al, Op. Cit. P320.
26
L’Article 276 de l’Acte uniforme portant droit des sociétés commerciales et groupement d’intérêt
économique de 2015.
27
L’Article 203 de l’Acte uniforme portant organisation des procédures collectives d’apurement du passif.
16
28
François ANOUKAHA et al, Op. Cit. P323.
17
2. Les associés :
Les associés en nom collectif sont dans une situation juridique très
particulière ; c’est ce qui explique le caractère personnel très marqué
des sociétés en nom collectif et l’importance des qualités personnelles
de chaque associé.
29
Article 287 de l’Acte uniforme relatif au droit des sociétés commerciales et groupement d’intérêt
économique du 30 janvier 2014.
30
François ANOUKAHA et al, Op. Cit.P332.
18
31
Article 289 de l’Acte uniforme relatif au droit des sociétés commerciales et groupement d’intérêt
économique du 30 janvier 2014
19
32
François ANOUKAHA et al, Op. Cit.P336.
33
Philippe Merle et al, Droit commercial, sociétés commerciales, DALLOZ, 2018/2019, P237
20
1. Condition de fond
Les règles de conditions de fond de constitution des sociétés en
commandite simples sont pareilles avec celles des sociétés en nom
collectif, seulement il faut tenir compte de la particularité de ce type de
société notamment au sujet des associés et le capital social.
a) Les associés :
La SCS a au moins deux ou plusieurs associés, cette forme de
société ne fait pas l’objet d’une manifestation unilatérale de volonté.
La société en commandite simple regorge deux types d’associés, les
uns sont liés solidairement indéfiniment et les autres ont une
responsabilité limitée qu’à leurs apports. Les associés de chaque type
sont soumis à des règles très particulières. De cette façon les associés
34
Article 293 de l’Acte uniforme relatif au droit des sociétés commerciales et groupement d’intérêt
économique du 30 janvier 2015.
35
François ANOUKAHA et al, Op. Cit.P349.
36
Idem.
21
b) Le capital social :
L’Acte uniforme relatif au droit des sociétés commerciales et
groupement d’intérêt économique ne fixe aucun minimum et ne
prévoit aucune valeur minimale pour les parts sociales, cela
s’explique par le fait que la garantie des créanciers sociaux repose
sur l’engagement indéfini et solidaire des commandités.
37
François ANOUKAHA et al, Op. Cit.P352.
22
2. Condition de forme :
Les conditions de forme et de publicité sont presque les
mêmes avec celles de la société en nom collectif. Il faut en effet,
comme pour la société en nom collectif, rédiger les statuts et réaliser
les formalités de publicité.
L’Article 245 AUSCGIE qui exige les formalités de publicité
à peine de nullité, cette disposition s’applique aux sociétés en nom
collectif et aux sociétés en commandite simple.
Il y a cependant une particularité de la société en commandite
simple qu’il importe de souligner ; elle tient au fait que les statuts de
la société en commandite simple doivent contenir certaines mentions
qui ne sont pas exigées pour les statuts de la société en nom collectif.
L’Article 295 AUSCGIE impose en effet aux associés de faire
figurer, dans les statuts, les statuts, les indications suivantes :
• Le montant ou la valeur des apports de tous les associés ;
• La part dans ce montant ou cette valeur de chaque associé
commandite ou commanditaire ;
• La part globale des associés commandités et la part de chaque
associé commanditaire dans la répartition des bénéfices et
dans le boni de liquidation.
1. Les gérants :
38
François ANOUKAHA et al, Op. Cit.P352.
23
a) Nomination du gérant :
La société en commandite simple est gérée par tous les associés
commandités, sauf clause contraire des statuts qui peuvent désigner
un ou plusieurs gérants, parmi les associés commandités, ou en
prévoir la désignation par un acte ultérieur, dans les mêmes
conditions et avec les mêmes pouvoirs que dans une société en nom
collectif39. Les associés commanditaires n’ont pas droit d’être
nommé gérant de la société.
b) La fin des fonctions des gérants :
Dans l’acte uniforme relatif au droit des sociétés commerciales et du
groupement d’intérêt économique, seules les règles concernant la
nomination et le pouvoir des gérants des sociétés en nom collectif
sont déclarées applicables à la société en commandite simple. Il n’y
a donc pas renvoi aux règles applicables à la révocation des gérants
de la société en nom collectif. Étant donné que rien n’est prévu non
plus dans les dispositions propres à la société en commandite simple,
on peut penser que le législateur régional a entendu s’en remettre aux
associés pour fixer, dans les statuts, les conditions de majorité
requise pour la prise de décision. Mais que décider si les associés
n’ont rien prévu ? cette situation devrait cependant rester
exceptionnelle car, comme nous l’avons déjà souligné, même si
l’article 295 ne le dit pas expressément, les règles de prise de
décision doivent obligatoirement figurer dans les statuts. Donc, à
défaut de stipulation spéciales sur les conditions de majorité requises
pour la révocation, on appliquera les stipulations concernant, de
manière générale, les prises de décision par les associés40.
2. Les associés :
C’est l’existence des associés commanditaires que la SCS se
distingue de la société en nom collectif. La personnalité de ces
commanditaires intéresse moins les tiers que celle des commandités.
39
L’Article 298 de l’Acte uniforme relatif au droit des sociétés commerciales et du groupement d’intérêt
économique du 30 janvier 2014.
40
François ANOUKAHA et al, Op. Cit.P357.
24
41
Article 302 de l’Acte uniforme relatif au droit des sociétés commerciales et du groupement d’intérêt
économique du 30 janvier 2015.
25
42
Article 391 de l’Acte uniforme relatif au droit des sociétés commerciales et du groupement d’intérêt
économique du 30 janvier 2015.
43
Article 392 du même Acte uniforme.
27
44
François ANOUKAHA et al, Op. Cit.P417.
29
45
Justin Monsenepwo et al ; l’impact de l’ohada sur le droit des sociétés commerciales en République
démocratique du Congo, HARMATTAN, Paris, 2015, P 152.
32
46
Fungongo Mboma, Droit des affaires, HERE I’am, KINSHASA, 2021, P107.
33
47
Daouda BA et Pierre Callede, « la consécration de la société par action simplifiée par l’acte uniforme révisé :
libres propos et quelques idées sur cette nouvelle forme de société en droit OHADA ». P5.
34