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DROIT DE SOCIÉTÉ COMMERCIALE :

La société dans sont sens globale est tantôt assimilé à une entité, tantôt à une
réunion de personne. Ce pendant si la société est une entité, elle est pour
autant distincte de ces membres car elle acquière la personnalité morale. C’est
celle-ci qui lui confère la qualité de sujet de droit nettement séparé des
associer et qui lui permet d’este en justice en son nom propre mais aussi lui
permettre de conclure un contrat. Au terme de l’article 4 de l’acte uniforme la
société commercial est créé par deux ou plusieurs personnes qui conviennent
par un contrat d’affecter à une activité de bien en numéraire, en nature ou de
l’industrie, dans le but de partager le bien ou de profiter de l’économie qui
peut en résulté. Les associes s’engage à contribuer au perte dans le condition
prévu par l’acte uniforme. La société commercial est créé dans l’intérêt
commun des associer.
La définition ainsi donné par l’article 4 de l’acte uniforme se justifie dans la
mesure où en général les ressources d’un seul individu sont souvent
insuffisante pour faire face à certaines investissements qui génère beaucoup de
capitaux. Il est nécessaire de s’associer avec d’autres pour limiter le risque
même si l’article 4 parle de bénéfice à partager.
PARAGRAPHE PREMIÈRE : contrat ou une institution
La question qui se pose est de savoir si la société est un contrat qui obéit à des
règles complexe avec création d’une personne nouvelle dont le support
juridique est la personnalité morale ou une institution ? En effet, pendant
longtemps, la société était considéré comme un contrat. Cela se justifie du fait
que certaine règle applicables aux société au relevé du droit commun de
contrat. Ce notamment le cas de consentement, de l’objet etc. Cependant si
cette conception contractuelle à prévalu pendant longtemps, il n’en demeure
pas moins quelle est insuffisante. Peut on alors assimilé la société a une
institution ? Cette thèse a prévalu vers les années 1950. L’institution est une
collectivité humain organiser en vue de la réalisation d’une fin supérieure et au
sein de laquelle les individus accepte ou subissent l’existence d’une autorité
commune. La conception institutionnelle de la société consiste en la considéré
comme un ensemble de règles qui organise de façon impérative et durable un
groupements de personne au tour d’un but déterminée. Cependant, avec les
dernières réformes de l’acte uniforme survenu en 2014, la thèse contractuelle
commence à prendre le devant sur la thèse institutionnelle. Aujourd’hui, la
seule volonté de l’individu suffit pour la mise en place de la société. Ce le cas
dans l’article 309 de l’acte uniforme ou la société anonyme à responsabilité
limitée peut être constitué par une seule personne physique ou moral. De
même également dans l’article 385de l’acte uniforme ou la société anonyme
peut ne comprendre qu’un seul actionnaire.
Paragraphe deux :
La société doit être distingue des autres groupements de personne. En effet,
même si elle n’est pas le seule groupements de personne, elle est au moins le
seul groupements à but lucratives. Elle se distingue de l’association qui est un
groupements à but non lucratif autrement dit l’association n’a pas comme but
le partage de bénéfice. En effet, selon la cour de cassation française à travers
un arrêt qui date de 1914( voir caisse rurale de m' anigo ) ici la jurisprudence
tente de donné une définition au bénéfice comme un gain pécuniaire ou
matérielle qui s’ajouterait à la fortune des associer. Cependant, ce critère bien
que intéressant est il donc pertinent selon le règle du droit commerciale et du
droit comptable ? Cette définition ne trouve pas l’assentiment de membres de
la doctrine et ne pourrait pas prospéré car cette définition est restrictive et
semble être dépassé car l’acte uniforme à son article 4 parle désormais de
bénéfice mais également d’économie. Ce la raison pour laquelle pour pallier à
cette insuffisance l’acte uniforme sur le droit de société commercial retient un
critère accès sur la recherche de bénéfice ou d’économie. La société se
différencie également de GIE selon l’article 869 de l’acte uniforme sur le droit
commercial et de GIE《 le GIE est celui qui a pour but de mètre en œuvre pour
une durée déterminée tout le moyen propre à faciliter ou à développer
l’activité économique de ces membres à améliorer ou à accroître les résultats
de cette activité 》. Cela signifie que le GIE a pour objet de prolonger l’activité
de ses membres. La société doit être également distingue de l’entreprise.
La société est également différente de l’entreprise. En effet, elle est différente
de l’entreprise en ce sens que l’entreprise est plutôt qu’une notion elle ne fait
pas l’objet d’une définition légale. La notion de l’entreprise renvoie à une
notion économique et social. le plan économique, elle se défini comme une
unité organiser et qui se repose sur la mise en œuvre de moyen humain et
matérielle. En droit de travail, l’entreprise est considéré comme un ensemble
de personne travailleur exerçant une activité commune rémunéré et sous
l’autorité d’un employeur.
PARAGRAPHE TROIS : LA CLASSIFICATION
La classification de société est importante en se sens qu’elle nous permet
d’avoir la vision globale de certaines sociétés et le régime juridique qui doit
être applicable.
1- Société de personne et société de capitaux
Le société de personne, se sont de société qui repose sur la confiance qu’
inspire la personne de chaque associer. Les associer se regroupent en
considération de leur personnalité c’est-à-dire intuitu personne le part détenu
par les associer ne son pas librement cessible car il faut l’accord et l’agrément
de tout les autres associer. Ces sociétés sont dissout par le décès ou
l’incapacité de l’un des associer. Exple société en commandite simple, les
associer commanditaires peuvent limitée le risque qu’ils encourent. Se sont les
règles de fonctionnement de la SNC qui sont applicables. Dans ce cas de société
aucune personne ne peut faire appel public à l’épargne. Par contre une société
capitaux est une société généralement commerciale qui est constitué en
considération des capitaux apporté par les associés. Le titre de propriété
représentants ses capitaux sont appelés actions et sont librement négociable et
transmissibles. Les associer ne sont en générale tenu du passif qu’en
concurrence de leurs apports. Certaine société de capitaux ont un statut sui
generis de 《 société civile commercial》 qui ne dispense de publier toute
information financière . Certaine société présente de caractère emprunte. on
les appelle alors des société hybride. Ce le cas de la société a responsabilité
limité. C’est une société dans laquelle les associer ne sont responsables des
dettes social qu’ à concurrence de leurs apports et dont le droit sont
représenter par de part social. Elle peut aussi être institué par une personne
physique ou moral ou entre deux ou plusieurs personnes physiques ou moral
confère l’article 309 de l’acte uniforme.
2- Société civile et commercial
Dans une société certaine activité sont civile et d’autre son commercial. Une
société est civile que si l’objet de son activité et civile. Dans ses société on y
retrouve les activités agricoles de même que artisanal, les profession libérale.
Résumé ( en général la société est commercial soit par sa forme ou soit par son
objet confère article 6 de l’acte uniforme – le société commercial par leur
forme sont les suivantes :
* La société a non collective
• La société en commandite simple
• La société a responsabilité limité
• La société anonyme
• Les société par action simplifiée
- société commercial par leurs objet
• LES sociétés à participation
• Les société de fait
• LES sociétés créé de fait qui ont une activité commercial )
3- Société privée et public
Une société est qualifiée de public quand le capitale est souscrit totalement
ou au moins 50% par une personne de droit public, ces sociétés peuvent
être transformé et deviennent de société du secteur privé par le mécanisme
de privatisation.
4- Société à responsabilité illimitée et le société à responsabilité limitée
a) Société à responsabilité illimitée : est une société
dont la responsabilité pécuniaire des associer n’est
pas limité à leurs apports. Cela veut dire que les
associés sont solidement et indéfiniment
responsables du passif sociale à l’égard de création.
En cas de problème, un créancier peut poursuivre un
associer en payement de l’intégralité de la dette dû
sans pour autant poursuivre la société. Dans ce type
de société si un associer est décédé dans se cas la
société sera dissout.
b) LES sociétés à responsabilité limitée comme la SA, LA
SAS, SARL, dans ce type de société, les associés ou
actionnaires voient leurs responsabilités limité au
montant de leurs apports cela veut dire qu’un
créancier ne peut saisir le bien appartenant aux
associés.
PARAGRAPHE 4 : LES INTÉRÊTS DE CRÉÉ UNE SOCIÉTÉ
A- LES INTÉRÊTS DU point de vue financier
Il arrive souvent que le capitaux d’une personne ne soit pas suffisant pour créé
une entreprise. Ce qui signifie alors que la création d’une société pourrait faire
venir le capitaux de plusieurs personnes et par la aussi de diminuer le risque en
cas de perte.
B- Du point de vue juridique
Il est important de créé une société ne serait ce que sur le plan juridique. En
effet, dès que la société est créé, elle acquière une personnalité juridique
autonome.
TITRE PREMIER : LE DROIT COMMUN DE SOCIÉTÉ
Le droit de société est constitué de règle générale applicables à toutes les
sociétés commercial. On peut cite le règle relative à la constitution de la société
(chp1) en suite les règles relatives à leurs fonctionnement (chp2) nous verrons
aussi les règles relatives à sa transformation (chp3) et les règles relatives à sa
dissolution.
CHP1 : LA CONSTITUTION DE LA SOCIÉTÉ COMMERCIALE
Au terme de l’article 4 de l’acte uniforme sur le droit de société commercial, la
société commercial est créé par deux ou plusieurs personnes qui conviennent
par un contrat, d’affecter à une activité de bien en numéraire, en nature ou en
industrie dans le but de partager le bénéfice ou de profiter de l’économie qui
peut en résulté. Les associes s’engage à contribuer au perte dans le condition
prévu par le présent acte uniforme. La société nait en principe d’un contrat. Par
exception elle peut naître de la volonté d’un seul personne. Mais dans tout le
cas de figure, la société n’est valable que lorsque certaines conditions sont
réunies.
SECTION premier : le condition de fonds
La société est né d’un acte juridique. Ce qui veut dire que les conditions
générales d’un acte juridique lui seront appliquée. Mais également la société
doit satisfaire les conditions qui lui sont spécifique.
PARAGRAPHE PREMIÈRE : les conditions de formation de l’acte de société ou
conditions générales
A- Le consentement
LES associer doivent consentir et se consentement ne doit pas être vicié. La
question qui se pose est de savoir si le consentement émis par les associés est
toujours sincère ? En effet, cette question se pose lorsqu’une personne se
présente comme associer apparent alors qu’il s’agit pour le compte d’un
associer qui préfère rester dans l’ombre. Cela renvoie à la simulation. En effet,
lorsqu’il y’a simulation, les tiers peuvent dans ce cas, avoir un choix consistant
à s’en tenir aux apparence ou l’acte ostensible ou même invoqué l’acte secret
par l’intermédiaire de l’action en déclaration en simulation.
B- La capacité
La capacité est un critère nécessaire dans la société. Toutefois, cette capacité
est requise varie selon le type de société. S’agissant de société dans lequel, les
associés ont la qualité de commerçant dans se cas, la capacité commercial est
alors exigé. Cependant, pour les autres sociétés, ce la capacité civile qui est
requise. Concernant le cas de mineur, l’accord de leur représentant légaux
devient nécessaire. Pour les étrangers, si ce cas ne pose pas de problème dans
l’espace ohada, il faut tout de même signaler qu’ en France, le non
ressortissant de l'UE ne pourront devenir associer d’une société à non
collective qu’après avoir obtenu une autorisation préalable de la préfecture.
Dans l’espace ohada, L’article 3 de l’acte uniforme précise que toute personne
quelque soit leur nationalité désirant exercé une société, une activité
commercial, sur le territoire de l’un des états partie doivent choisir l’une de
forme de société qui convient à l’activité …
C- L’objet
Au terme de l’article 19de l’acte uniforme toute société a un objet qui est
constitué par l’activité quelle entreprend et qui doit être déterminée et décrite
dans ce statut. Le principe est donc la liberté d’entreprendre. Cependant,
L’article 20 pose une restriction à savoir toute société doit avoir un objet licite
c’est-à-dire non contraire au bonne mœurs. Dans le cas contraire, la société
sera nul de nullité absolue. Exple : une société qui est constitué pour vendre la
drogue. L’objet du contrat ne doit pas être confondu avec l’objet social de la
société. En effet, l’objet social désigne le type d’activité choisi par la société
dans ses statuts et il se distingue de l’activité social. Cette dernière désigne
l’activité réellement exercé par la société alors que l’objet social corresponds à
l’activité prévu. L’objet de la société défini la sphère de l’activité que la société
va devoir exploité. Les personnes morale n’ont pas une capacité de jouissance
aussi attendue que celle de personne physique. Ce la raison pour laquelle le
principe spécialité de société impose de définir l’objet pour laquelle elle a été
constitué.
D- La cause
La cause de contrat de société correspondant au motivé pour lequel les
associés ont créé la société. Ce motivé doit être licite et ne doit pas être
immorale. La cause ne doit pas poursuivre des objectifs interdit. Ce le cas par
exemple ci on veut construire un société dans le but savoir de fonds pour
finance des opérations terrorisme. Elle est souvent confondu avec l’objet dans
la mesure où la raison d’aide de la société en est la réalisation de son objet.
PARAGRAPHE 2 : LES CONDITIONS RELATIVES AUX ASSOCIER
La société est institué par deux ou plusieurs personnes. Cependant, il y’a de
société ou une seule personne peut être associer. Ce le cas de la société a
responsabilité limité. Elle peut être institué selon l’article 309 de l’acte
uniforme sur le droit société commercial par une personne physique ou moral
ou entre deux ou plusieurs personnes physiques ou moral. Il convient de
préciser que toute personne physique peut devenir associer pourvue qu’elle ne
fasse pas l’objet d’une interdiction notamment les incompatibilités et les
incapacité prévu par les articles 6 et 12 de l’acte uniforme. Concernant le
mineur et les incapable, il ne peuvent être associer dans des sociétés ou il se
retenus d’une dette sociale en plus de leurs apports.
PARAGRAPHE 3 : LES CONDITIONS SPÉCIFIQUES : LES APPORTS DES ASSOCIÉS
Il n’y a pas des sociétés sans apports des associer. Les associes doivent affecté
un bien ou bien un droit à la société. En effet, l’apport fait en société constitue
en principe le bien qu’ un associer s’engage à mètre à la disposition de celle-ci
en vu de l’exploitation commune. Puisque la société est considéré comme une
personne moral, donc les apports vont devoir constitué son patrimoine social.
Ce l’ensemble de ses apports qui constitue le capitale sociale. Chaque associer
doit faire un apport à la société (article 37 de l’acte uniforme ) et l’apport peut
être soit en nature c’est-à-dire de droit portant sur de bien en nature, mobilier
ou immobilier, corporel ou incorporel, l’apport en numéraire qui entre dans la
composition de capital social est apport capitalisé par contre l’apport en
industrie est appelé apport non capitalisé.
I- L’apport
Au terme de l’article 41de l’acte uniforme sur le droit société commercial les
apports en numéraire sont réalisés par le transfert à la société de la propriété
de somme d’argent que la associer s’est engagé à lui apporter. Cette apports
doit être effective et non fictive. Cette apports ne doit pas pour autant être
confondu par le versement par un associer d’une somme d’argent au contre
courant car se dernier est un simple prêt consenti par un associer à la société.
En effet, les apports sont libère intégralement lors de la constitution de la
société. Cependant, dans certaine cas l’apport en numéraire pourrait être
libéré progressivement dans le temps selon le type de société et se soit le
statut ou la loi qui fixe le pourcentage du capital à libéré lors de la souscription.
Exemple pour la société anonyme, le capitale doit être entièrement souscrit
avant la date de la signature de statut confère l’article 388 de l’acte uniforme
sur le droit commercial. il faut aussi précisé que les actions représentant des
apports en numéraire sont libère lors de la souscription du capital d’un quart
au moins de leur valeur nominale voir article 389. Toutefois, la libération du
surprise intervient dans un délai qui ne peut excéder 3 ans à compter de
l’immatriculation au RCCM. En fin, il peut arriver qu’il est un retard dans le
versement de somme restant dû à la société, dans se cas précis l’acte prévoit
des intérêts fixé au taux légale à compter du jours ou le versement devait être
effectuée sans préjudice de dommages et intérêts s’il y’a lieu article 43 de
l’acte uniforme.
II- L’APPORT EN NATURE
Au terme de l’article 45 de l’acte uniforme sur le droit de société commercial
les apports en nature sont réalisé par le transfert de droit réel ou personnel
correspondant au bien apporté et par la mise à la disposition effective de la
société de bien sûr lequel porte se droit. Ce bien peuvent être de bien meuble
ou immeuble à l’exception des espèces monétaire soit le bien est corporel ou
incorporel. Ce bien est mis à la disposition de la société soit en lui transférant la
propriété soit en lui conférant ma jouissance de se bien. Il peut être fait en
plein propriété dans se cas alors la propriété du bien passe de l’associer à la
société. Si le bien vient donc à périr le risque sont pour elle. Il peut être fait en
jouissance dans se cas, l’associer conserve la propriété du bien mais il ne peut
plus en jouir car il a transféré à la société le droit d’usage. On dit que l’associer
conserve la propriété. Si la chose objet de l’accord vient à périr, le risque de
cette perte sont à la charge de l’associer puisqu’il est propriétaire du bien. Il
devra dans se cas faire un nouvel apport et dans une certaine mesure quitter la
société car n’ayant plus d'apport. Les apports en nature doivent être
intégralement énuméré lors de la constitution de la société se le principe.
Cependant, le problème que les apports en nature sont relative à leur
évaluation se pourquoi une solution a été trouvée désormais se n’est pas celui
qui apporte un bien a la société qui en fixe la valeur mais se sont les associés
qui doivent maintenant évaluées les apports en nature et cette évaluation sera
faite par un commissaire aux apports.
III- L’APPORT EN INDUSTRIE
Au terme de l’article 50-1 de l’acte uniforme sur le droit société commercial les
apports en industrie sont réalisées par la mise à disposition effective de la
société de connaissances techniques ou professionnel ou de services. Cela veut
dire alors qu’un associer peut apporter dans certaine société non pas un bien
ou une somme d’argent mais le capitale intellectuelle, son expertise et son
savoir faire. Cependant, les apports en industrie ne sont pas en principe admise
dans toute les sociétés se le cas dans les sociétés anonymes tout apport en
industrie est interdit voir l’article 50-1 al2 de l’acte uniforme sur le droit de
société commercial. Les apports en industrie ne concours pas à la formation du
capital social mais donne lieu à l’attribution de titres sociaux ouvrant droit au
vote et au partage de bénéfice et de l’actif net à charge de contribuer article
50-3.
PARAGRAPHE 4 : LES RÉGIMES DES APPORTS
I- Les obligations de l’auteur
Au terme de l’article 37de l’acte uniforme chaque associer doit faire un apport
à la société. Chaque associer est débiteur envers la société et il doit exécuter
l’apport qu’il a préalablement souscrit dans le terme du contrat passé avec la
société. D’abord, concernant les obligations de celui qui fait l’apport en nature.
Ici il faut distinguer selon que l’apport est de quel propriété ou se l’apport en
jouissance. Pour les apports en pleine propriété, l’apporteur est garant envers
la société comme un bailleur envers son preneur. Cependant, lorsque l’apport
en jouissance porte sur le chose fongibles ou de genres dans se cas l’apporteur
est garant envers la société comme un vendeur envers son acquéreur car il
s’agit d’apport sur le chose de genre et rapport de chose appelé à être
renouvelée pendant la vie de la société et il va y avoir un transfert de propriété
au profit de la société. Cependant, en cas de dissolution, la société a
l’obligation de restituer des biens de même nature, de même valeur et de
même quantité. En suite pour les obligations de l’apporteur en numéraire, ici
également il est tenu de versé à la date indiqué les sommes promise. En cas de
retard dans le versement l’acte uniforme prévoit que le somme restante dû à la
société porte de plein droit intérêt au taux légale à compter du jours ou le
versement devait être effectuée. En fin pour les obligations de l’apporteur en
industrie l’article 50-2 de l’acte uniforme prévoit que l’apporteur en industrie
doit rendre à la société la contribution promise et lui doit compte de tout les
gains qu’il a réalisé par l’activité faisant l’objet de son apport.
II- les obligations de la société
La société doit rémunéré l’apport effectuée en émettant de part social ou des
actions. Selon l’article 53de l’acte uniforme sur le droit société commercial le
titres sociaux sont de bien meuble et se titre confère à leur titulaire :
- Un droit sur le bénéfice réaliser par la société lorsque leur
distribution a été décidé ;
- Un droit sur les actifs net de la société lors de leur
répartition ou à l’occasion d’une réduction de son capital
- Le cas échéant l’obligation de contribuer au perte sociale
dans le condition prévu pour chaque forme de société ;
- Le droit de participation au vote de décision collective de
la société à moins que le présent acte uniforme en dispose
autrement pour certaines catégories de titres sociaux.
Chaque société doit avoir son capital social qui est indiqué dans une statue, le
montant des apports initiaux constitue le capitale sociale mais également le
gage de créancier sociaux. Selon l’article 62de l’acte uniforme le capitale
sociale représente le montant des apports en capital fait par les associés à la
société et augmente, le cas échéant, dès incorporation des réserves, de
bénéfice ou de prime d’apports, d’émission ou de fusion, toutefois, il importe
de souligner que l’article 50-3 précise que les apports en industrie ne concours
pas à la formation du capital social mais donne lieu à l’attribution de titres
sociaux. L'al 2 de même article précise que le droit de vote attaché au titres
sociaux résultant d’apport en industrie ne peuvent être supérieur à 25% de
l’ensemble de droit de vote. La part totale attaché à ce titres sociaux ne peut
excéder 25% de bénéfice de l’actif net et de perte de la société. Qu’en est il
alors de titres sociaux ? En effet, L’article 50-4 de l’acte uniforme précise que le
titres sociaux résultant d’apport en industrie ne sont ni transmissible ni cessible
et il n'ont pas de valeur nominale.
PARAGRAPHE 5 : la participation des associer au résultat
I- La participation au bénéfice ou aux économies
En général, la société est constitué envie de partager un bénéfice. Ce qui fait
dans la plus part de cas le statut prévoit la participation des bénéfice et le perte
se fera professionnellement aux apports.
II- la participation au perte
Ce qui est évident et constant ce que le fonctionnement d’une société ne
donne pas toujours aux associés de bénéfice mais elle peut dans une certaine
mesure engendré de perte. La contribution au perte doit être distingue de
l’obligation de dette sociale. En effet, la contribution au perte concerne le
rapport entre les associés. Elle désigne donc la répartition de perte entre les
associés. Par contre, l’obligation au dette sociale concerne le rapport entre les
associés et les créancier sociaux. Son étendu peut varier d’une société à une
autre. Exple : dans le société de personnes elle est illimitée alors que dans le
société de capitaux elle est limité au montant des apports des associés. La
contribution au dette sociale est proportionné par la fraction du capital détenu
par chaque associer voir article 54 al1 de l’acte uniforme.
Cependant, le statut peuvent prévoir une autre répartition de sorte que
l’inégalité ne soit pas interdite sauf s’il s’agit de clause léonine. En effet, la
clause léonine est celle qui attribue à un associer la totalité du profit procuré
par la société ou l’exonère de la totalité de perte ou encore exclu un associer
totalement du profit ou met à sa change la totalité de perte. Ces clauses sont
réputés non écrite selon l’article 54 de l’acte uniforme. Par conséquent, et en
principe la nullité de la clause léonine n’entraîne pas du coup la nullité du
contrat de société. Cette définition peut être considéré comme juste car elle
peut éviter la mort de la société.
Dans le cadre de la participation aux activités sociales, il est important voir
nécessaire de parlé de la notion d’affectio societatis correspond à l’intention de
s’associer, de collaborer ensemble au même pieds au succès de l’entreprise
commune. L’existence véritable d’une société suppose donc que les
contractants soient animé de cette volonté d’union et de collaboration
égalitaire. Selon la jurisprudence, il n’y a pas des sociétés sans affectio
societatis. Cet élément suppose que chaque associer puisse joué un rôle dans la
société même s’il n’est pas le même pour tous les associés.
Paragraphe premier : l’immatriculation de l’acquisition de la personnalité
morale
Toute société doit en principe être immatriculée car seul l’immatriculation de la
société au RCCM va lui conféré la personnalité juridique. Cet dernière vise à
protéger le tiers. La société n’existe à leur égard que s’ils peuvent la connaître.
Le formalité d’une immatriculation sont nécessaires et confère à la société tout
les attributs. En effet, la société lorsqu’elle est doté de la personnalité morale
constitue un sujet de droit individualisé, titulaire d’un patrimoine propre et va
pouvoir agir de façon autonome. Alors comme tout le sujet de droit, une
société a un nom, une dénomination, un domicile ou siège social et une
nationalité.
I- La dénomination social
Elle peut comporter le nom d’un ou de plusieurs associer. Le choix de la
dénomination social est libre en principe sous réserve qu’il ne porte pas
atteinte aux droits de tiers. Toute société est désigné par une dénomination
social et celle-ci est nécessairement mentionné dans ce statue voir article 14 de
l’acte uniforme sur le droit de société commercial. Cependant, il faut préciser
que l’article 294de l’acte uniforme apporte une exception concernant le nom
des associer qui doivent figurer dans la dénomination et selon toujours ce
même article le nom de l’associer commanditaire ne peut en aucun cas être
incorporé à la dénomination social à défaut de quoi se dernier indéfiniment et
solidairement au dette sociale. La société ne peut prendre la dénomination
d’une société déjà immatriculée tel que le nom commercial comme nom de
propriété qui est protégé de toute imitation ou usurpation.
II- Le siège social
Il s’agit comme pour toute le personne physique du lieu de principale
établissements de la société. Au terme de l’article 23 de l’acte uniforme
toute société a un siège social qui doit être mentionnés dans cette statue.
Le siège social doit correspondre au lieu ou se situe la direction effective de
la société. La détermination du siège social repose aussi sur le choix exprimé
dans l’statut de la société.
III- La nationalité
Le concept de la nationalité consiste au rattachement de la société a un état
donner. La société est alors soumise à sa loi nationale. La nationalité de la
société est déterminée par le lien de son siège social. Toutefois, le critère du
siège social peut être parfois écarté par le législateur au profit de critère de
contrôle de la société qui défini la nationalité de la société par référence à celle
de ses associer ou dirigeants.
IV- Le patrimoine de la société
Comme toute personne, la société est doté d’un patrimoine propre distinct de
celui des associer. Ce la société elle-même qui est créancière, débitrice ou
propriétaire. Par conséquent, elle devient autonome et cette autonomie à de
conséquence d’abord entre la société et les associés et dans le relation entre la
société et les créanciers. Concernant le rapport de les associés, ici l’autonomie
de la société dans son patrimoine signifie que les associés ne sont pas
copropriétaire de bien qu’ils ont apporter à la société. Ils sont alors titulaire de
droit sociaux tels que droit au bénéfice ou bonus de liquidation mais aussi le
droit extra patrimoniaux. En fait dans le rapport avec le créancier sociaux, ici, le
créancier personnel des associer ne peuvent pas saisir les biens de la société.
De même le créancier de la société ne peuvent pas saisir les biens appartenant
aux associés. Toutefois, il faut signaler que si la société est en cessation de
paiement, les associés ne sont pas normalement concernés sauf s’ils sont
solidairement et indéfiniment responsables du passif sociale.
V- La responsabilité de la société
La société lorsqu’elle dispose d’une personnalité juridique peut agir de manière
autonome. Elle est doté d’une pleine et entière capacité. La société peut
engagé sa responsabilité civile. Cette responsabilité qu’elle soit délictuelle ou
contractuelle est une responsabilité du fait personnel. Ainsi, de fait
dommageable du dirigeant agissant dans son fonction sont assimilé au fait de
la société elle-même et la responsabilité pénal dune personne moral suppose
que l’infraction est commise par un dirigeant agissant pour le compte de la
société.
VI- L’insertion d’un avis dans un journal officiel
Au terme de l’article 261de l’acte uniforme sur le droit société commercial
lorsque le formalité de constitution de la société ont été accomplit et dans un
délai de 15jours suivant l’immatriculation un avis est inséré dans un journal
habilité à recevoir les annonces légales dans l’état partie du siège social et
quant à l’article 262de l’acte uniforme il énumère le mention qui doivent
contenu dans la vie.
VII- Le sort des actes antérieures de l’immatriculation de la société
Il faut distinguer ici selon que l’engagement est prie pour le compte de la
société en formation avant sa constitution ou bien l’engagement est prie pour
le compte de la société avant son immatriculation.
A- L’engagement prie pour le compte de la société avant son
constitution
Une société est constitué dès lors que son statut ont été signés. Cependant,
avant cette signature, le fondateur peuvent prendre des actes qui sont repris
par la société. C’est-à-dire la société peut reprendre les engagements souscrit
qui sont réputés avoir été contracté dès l’origine de celle-ci. Cette reprise peut
prendre plusieurs formes. Dans le cas d’une société faisant appel public à
l’épargne, les actes et engagements qui sont prie par le fondateur doivent alors
être porté à la connaissance des associer lors de l’assemblée générale
constitutive. Cette reprise fera l’objet d’une résolution spécial de cette
assemblée générale. Par contre, dans le société qui ne font pas appel public à
l’épargne, le actes et les engagements doivent être porté à la connaissance des
associer avant la signature de statut. Concernant le document annexé au projet
de statue voir article 107de l’acte uniforme. La reprise de l’engagement
nécessite d’abord que l’acte qui fait l’objet de la reprise soit un acte juridique
conclu dans l’intérêt de la société et en son nom. Ce pourquoi il ne doit pas
être un simple fait juridique et il ne doit pas aussi s’agir des actes délictuelle.
B- LES engagements pris pour la société avant son immatriculation
Pour que les actes pris par les dirigeants soit repris il faut d’abord que le
dirigeant aient réussi mandat dans le statut ou dans un acte séparer pour
prendre des engagements. En suite, les engagements doivent être déterminée
et en fin le modalité de la reprise doivent être préciser dans le mandat.
Paragraphe 2 : le statut de société ne faisant pas l’objet d’immatriculation
Nous verrons ici le cas de société à participation et le société créé de faite.
L’immatriculation n’est pas donc une condition de constitution de la société. En
effet, il existe des sociétés qui ne sont jamais immatriculée et donc jamais doté
de la personnalité morale se sont de société à participation voir les articles 864,
865, 867 et suivants de l’acte uniforme. Concernant la société créé de fait elle
existe lorsque plusieurs personnes se comporte dans le fait comme des
associés en partageant leur perte et profit. Ce personne n’ont pas forcément
conscience d’agir comme des associés.
SECTION 2 : les sanctions de condition de formation de la société
Le non respect des règles qui gouverne la formation du société peut être
sanctionné par la nullité. Cette dernière est d’ailleurs prévu par la loi.
Paragraphe premier : la nullité de la société
I- LES causes de la nullité
En principe il n’y a pas de nullité sans texte. L’article 242de l’acte uniforme
prévoit que la nullité d’une société ne peut résulte que d’une disposition de
présent acte uniforme la prévoyant expressément ou sous réserve de
disposition… régissant la nullité de contrat. Il ressort de se texte que la nullité
d’une société ne peut être fondé en premier lieu sur le régime général de
contrat. En second lieu la nullité peut émaner d’une disposition express de
l’acte uniforme. Concernant la nullité fondé sur le régime général de contrat, ici
la nullité sanctionne le vice du consentement, l’incapacité de l’associer ou du
caractère immorale ou illicite, de l’objet ou de la cause. Toutefois, une
précision est à faire à ce niveau concernant le vice du consentement et
l’incapacité qui constitue de cause de nullité. En effet, lorsqu’il s’agit d’une
société de personne, ils sont toujours cause de nullité. Par contre dans les
sociétés à responsabilité limitée et dans les sociétés par actions, ils ne peuvent
cependant être cause de nullité que si tous les associés fondateurs sont atteints
voir article 242 alinéa 3 de l’acte uniforme. En suite, lorsque la nullité est fondé
sur une disposition express de l’acte uniforme il faut également précisé à se
niveau que la nullité sera encouru en cas de non respect des formalité de
publicité dans le société en commandite simple ou dans le société à non
collective. Selon l’article 245 de l’acte uniforme dans le société en commandite
simple ou dans le société à non collective, l’accomplissement de formalités de
publicité est requis à peine de nullité de la société, de l’acte, de la décision, ou
de la délibération, selon le cas dans que les associés et la société puissent se
prévaloir à l’égard de tiers de cette cause de nullité. Pour le formalité lors de la
constitution de la société voir l’article 361 et 362de l’acte uniforme. En fin,
l’article 315 précise que l’associer ou les associés doivent tous intervenir à
l’acte instituant la société en personne ou par mandataire justifiant d’un
pouvoir spécial à défaut la société peut être déclaré nul.
II- L’action en nullité
a*Le titulaire de l’action
Il faut préciser que l’action est fondé sur une cause de nullité relative
ou nullité absolue. Dans le cas de nullité relative, seul le personne
protégé pourront demandé la nullité. Par contre si une action est
fondé sur une nullité absolue, dans se cas toute personne intéressée
peut demandé la nullité exple dirigeant, créancier.
b* l’extension de l’action en nullité
Paragraphe 1 :La participation au décision collective
Par contre si cette distinction est importante, il faut tout de même souligner
que dans société de personnes, elle ne joue pas au rôle car toute les décisions
sont prises en général à l’unanimité sauf disposition contraire de la loi confère
l’article 283de l’acte uniforme. Le droit de vote est un droit fondamental de
tout associer. Ainsi, compte tenu de l’importance de cette droit la
jurisprudence française à longtemps considéré qu’ un associer ne pouvait
refuser par avance de voter ou de s’engager à voter dans se sens. Au sein de
l’ohada l’article 891-3 de l’acte uniforme adopte cette même solution en
posant le principe selon lequel en cour une sanction pénale, ce qui sciemment
ont empêcher un actionnaire ou un associer de participer à une assemblée
générale. Concernant le droit de représentation, il faut à se niveau préciser que
se principe varie d’une société à une autre si l’associer à un droit de se faire
représenter par un mandataire. Ainsi, dans la société à responsabilité limitée
un associer peut se faire représenter par une personne autre qu’ un coassocié
uniquement si l'statut le permet. Toutefois, un associer d’une société à
responsabilité limitée peut se faire représenter par son conjoint à moins que la
société ne comprennent que les deux époux. Dans les sociétés anonymes tout
actionnaire peut se faire représenter par un mandataire de son choix confère
l’article 538de l’acte uniforme. Cependant, la question qui se pose est de savoir
si le part social font l’objet d’un démembrement d’un propriété, ce le cas
lorsqu’il y’a indivision. Dans cette hypothèse le copropriétaire de la part
indivise sont représenter par un mandataire uniquement choisi parmi les
indivisaires et en cas de désaccord le mandataire est désigné par voie de justice
à la demande de l’indivisaire
Le nu-propriétaire à la qualité de propriétaire. Cependant, la question est
toutefois à savoir si l’usufruitier est un associer. Dans ce cas il est nécessaire de
savoir si l’affectation de bénéfice est exercé par l’usufruitier .mais il peut aussi
en être autrement dans la mesure où le nu-propriétaire n’est pas privé de son
droit de participer.
Concernant le droit de vote de chaque associer, l’article 54de l’acte uniforme
précise que sauf clause contraire des statuts ou disposition contraire de
présent acte uniforme, le droit et obligations de chaque associer, visé à l’article
ci-dessus sont proportionnelle à ce rapport, qu’il soit fait lors de la constitution
de la société ou au cœur de la vie sociale… . Il faut également ajouter que sont
nul toutes délibérations ou décision prisent en violation de disposition
régissant le droit de vote attaché aux actions ou part social confère l’article
129-1. En général le décision collective nécessite la réunion d’une assemblée
générale d’une société. Cependant, dans certaine société ces décisions peuvent
exulter d’une consultation écrite des associer.
Paragraphe 2 : le droit de participer au bénéfice et les conflits sociaux
A- Le droit de participer au bénéfice
En quoi consiste ici le bénéfice ? Selon l’article 143 alinéa 1 de l’acte uniforme
le bénéfice distribuable est le résultat de l’exercice augmentée du report
bénéficiaire et diminuer de perte antérieure de dividende partiel régulièrement
distribué ainsi que des sommes porté en réserve en application de la loi ou des
statuts. Pour le réserve légale elle dépende de type de société notamment dans
le société à responsabilité limitée voir article 346 alinéa 2 et dans le société
anonyme voir article 586 alinéa 2. La société peut également décidé de
distribuer des sommes prélever sur les réserves dont elle a la libre disposition.
Selon l’article 143de l’acte uniforme l’assemblée générale peut décider la
distribution de tout ou une partie de réserves à la condition qu’il ne s’agisse
d’un réserve considéré comme indisponible par la loi ou par les statuts. Toute
délibération prise en violation de présent alinéa, ou le cas échéant de condition
prévu par les statuts est nul. C’est la part qui revient à chaque associer qui est
appelé dividende. Les modalités de paiements de dividende sont fixés.
I- La dissolution pour juste motif
En effet, si la mésentente occasionne un simple gène à l’administration, dans se
cas la dissolution ne sera pas prononcer. Exple : un conflit qui s’installe entre
deux actionnaire égalitaire qui empêche toute prise de décision. En fin, il faut
que l’associer qui a saisi le tribunal ne soit pas à l’origine de la mésentente.
Toutefois, il appartient à l’associer évoquant la dissolution du société
commercial d’en rapporté la preuve de la mésentente entre associer
empêchant le fonctionnement normale de la société. La dissolution est
également encourue pour réunion de tout le droit sociaux par un seul associer.
II- La dissolution anticipée décidé par les associés
Il s’agit d’une dissolution anticipée qui est une rupture du contrat de
société. Cette décision doit être prévu pour la modification de statut. En
effet, la dissolution quels soit décidé par les associés ou par le juge doit
d’abord être porté à la connaissance de tiers avec le même modalité que
celle faite lors de la naissance de la société. Elle doit faire l’objet d’une
publication au RCCM.
SECTION 2 : les effets de la dissolution
Paragraphe premier : les effet de la dissolution de la société unipersonnel
Selon l’article 201 alinéa 4de l’acte uniforme « la dissolution d’une société
dans laquelle tout le titre sont détenu par un seul associer entraîne la
transmission universelle du patrimoine de la société à cette associer, sans
qu’il y’est lieu à liquidation ». Mais il faut préciser à se niveau que l’article
201de l’acte uniforme offre une possibilité au créancier de faire opposition
à la dissolution devant la juridiction compétente mais ceux-ci dans un délai
de 30jours à compter de la publication de celle-ci.
Paragraphe 2 : les effet de la dissolution de la société pluripersonnel
La dissolution de la société entraîne sa liquidation mais la personnalité
morale survit pour la besoin de la liquidation et ne disparaît qu’ à la
radiation en principe. voir article 204 à 222 de l’acte uniforme pour la
liquidation de la société organisée à l’amiable et la liquidation par voie de
justice. En suite, voir les articles 224 à 241 pour la liquidation par voie de
justice c’est-à-dire lorsqu’il n’y a pas de clause statutaire ou de convention
express de partie ou lorsque se régime est demandé devant le juge de
référé.
Titre 2 : le droit spécial de société
Chapitre 1 : les sociétés à risque illimité.
En général, l’immatriculation de la société peut n’est pas être faite par les
associés. Ce pourquoi, il y’a de société qui sont immatriculée en principe
mais par contre d’autres ne le sont pas pour de raison diverse.
Section 1 : les sociétés sans personnalité morale
Paragraphe premier : la société en participation
Selon l’article 854 de l’acte uniforme « la société en participation est celle
dans laquelle les associés conviennent quels n’est pas immatriculée au
RCCM. Elle n’a pas la personnalité morale et n’est pas soumise à la
publicité ». En effet, l’absence de personnalité morale peut être souhaitée
par les associés. Elle constitue une structure simple et discrète. Il existe une
grande souplesse dans le fonctionnement de la société en participation. Ce
pourquoi, l’article 855 de l’acte uniforme prévoit que les associés
conviennent librement de l’objet, de la durée, de condition de
fonctionnement, de droit des associer, de la fin de la société en
participation sous réserve de n’est pas dérogé au règle impérative de
disposition commune au société, exception faite de celle qui sont relative à
la personnalité morale.
Il faut préciser qu’à l’égard de tiers, chaque associer reste propriétaire de
bien qu’il met à la disposition de la société. Sont réputé indivise entre les
associés, les biens acquis par emplois ou remplois de dénié pendant la
durée de la société et ce qui se trouvait indivise avant d’être mis à la
disposition de la société. Notons à ce niveau que sauf clause contraire des
statuts, il ne pourront être partagé tant que la société n’est pas dissout
confère l’article 860 de l’acte uniforme. Concernant le rapport avec le tiers,
ici chaque associer en contractant avec un tiers le fait à son nom personnel.
Selon l’article 861 de l’acte uniforme chaque associer contracte en son nom
personnel et est celle engagé à l’égard de tiers. Toutefois, si les associés
agissent expressément en leurs qualités d’associer au prêt de tiers, chacun
de ce qui ont agit est tenu par les engagements des autres.
En fin pour le cause de dissolution l’article 862 de l’acte uniforme précise
que la société en participation est dissoute par le même événement qui
mettent fin à la société en non collective. Les associes peuvent toutefois
convenir dans le statut ou dans un acte ultérieur que la société contenu en
dépit de ses événements. Cependant, si la société est en durée
indéterminée dans se cas l’article 863 de l’acte uniforme prévoit que sa
dissolution peut résulté à tout moment d'i notification au porteur contre
récépissé ou par lettre recommandée avec demande d’avis de réception
adressées par l’un d’eux à tout les associés, pourvu que cette notification
soit de bonne fois.
Paragraphe 2 : la société créé de fait
La société créé de fait est une société qui a fonctionné sans formalité ni volonté
affirmé des associer. Cette société se distingue de la société de faite en se sens
que cette dernière a été voulu mais dont la constitution a été entachée de vise
qui a entraîné l’annulation. La société créé de fait est la situation dans laquelle
deux ou plusieurs personnes se sont comportés comme des associés mais sans
entreprendre les démarche nécessaire à la constitution d’une société.
Concernant la preuve, l’article 867 prévoit que l’existence d’une société créé de
fait ou d’une société de fait est prouvé par tout le moyen. En fin, si l’existence
d’une société créé de fait ou de société de fait est reconnu par le juge dans se
cas les règles de la société en non collective sont applicables aux associés.
Section 2 : les sociétés immatriculées à risque illimitée
Nous verrons ici deux types de société d’abord la société en non collective et la
société a commandite simple.
Paragraphe 1 : la société a non collective
Selon l’article 270 de l’acte uniforme, la société a non collective est celle dans
laquelle tout les associés sont commerçants et répondent indéfiniment
solidairement de dette sociale, il faut préciser que tout les associés doivent
avoir nécessairement la qualité de commerçants et ne doivent pas être frappés
d’aucune interdiction ou incompatibilité. Cela montre alors le caractère de
lintitue personea dans ce type de société. Dans la société a non collective, la
responsabilité de tout les associés est non seulement illimitée mais aussi
solidaire. Ainsi nous verrons d’abord comment la société a non collective est
constituée (A) ensuite comment elle fonctionne (B) et en fin comment elle est
dissoute (C).
A- La constitution de la société a non collective
Comme initialement annoncé c’est une société ou les associés doivent avoir la
qualité de commerçants. A cela s’ajoute que la société a non collective est
constituée au minimum de deux associés qui doivent être capables d’exercer
une activité commerciale par conséquent le mineur sont donc exclus dans ses
genres de société. En effet, pour éviter que le patrimoine familiale soit touché,
l’article 9 de l’acte uniforme précise que deux époux ne peuvent être associés
d’une société dans laquelle ils seraient tous tenu de dette sociale indéfiniment
et solidairement aussi bien la société a non collective que la société en
commandite simple, le vice du consentement constitue de cause de nullité
contrairement à la société a responsabilité limitée et dans la société par action,
ici la nullité de la société ne peut être fondée sur le vice du consentement.
Dans la société a non collective l’objet sociale présente un intérêt capital ce
pourquoi il doit être clairement rédigé. Il fixe le pouvoir de gérant et doit être
déterminé dans le statut. Concernant le capital sociale, il n'y a pas de minimum
et de maximum. Cela se justifie car ce qui constitue la garantie devant le
créancier se plutôt la responsabilité solidaire et indéfinie des associés. Pour la
publicité, elle joue un rôle important dans la société a non collective et
l’inexistence de publicité entraîne donc sa dissolution. Ce pourquoi l’article 245
de l’acte uniforme précise que dans le société en commandite simple ou en
non collective, l’accomplissement de formalités de publicité est requis à peine
de nullité de la société, de l’acte, de la décision, ou de la délibération, selon le
cas, sans que les associés et la société puissent se prévaloir à l’égard de tiers,
de cette cause de nullité. Elle doit aussi faire l’objet d’une inscription au rccm
conformément à l’article 98 de l’acte uniforme.
B- Le fonctionnement de la société en non collective
1- Le statut de gérant
Selon l’article 271 alinéa 1 de l’acte uniforme, le statut organise la gérance de
la société. Il peuvent désigner un ou plusieurs gérants, associés ou non,
personne physique ou morale, ou en prévoir la désignation dans un acte
ultérieur. Notons qu’au cas où le statut non rien prévu dans se cas tous les
associés ont la qualité de commerçants. Le gérant peut être un associé ou un
tiers. Mais si le gérant est une personne morale ses dirigeants sont alors soumis
aux même obligations et encourent le même responsabilité civile et pénales
que s’ils étaient gérants en leurs nom propres.
Concernant leur rémunération, l’article 278 de l’acte uniforme précise que
sauf clause contraire de statut, la rémunération de gérant est fixé par les
associés à la majorité en nombre et en capital des associés. Par contre si le
gérant lui lui-même est associés, la décision fixant sa rémunération est prise
à la majorité en nombre et en capital des autres associés. Tout délibération
prise en violation du présent article ou le cas échéant, de clause dérogatoire
prévu dans le statut sont nul. Pour sa révocation l’article 279 de l’acte
uniforme précise que si tout les associés sont gérants ou si un gérant associé
est désigné par le statut, la révocation de l’un d’eux ne peut être faite qu’à
l’unanimité des autres associés. Cette révocation entraîne la dissolution de
la société à moins que sa continuation soit prévu dans le statut ou que les
autres associés ne la décide à l’unanimité. Toutefois, il faut préciser que si la
révocation du gérant est décidée sans juste motive, elle peut donner lieu à
dommages-intérêts.
2- Le pouvoir de gérant
Les pouvoirs de gérant peuvent être situé à deux niveaux, d’abord dans le
rapport entre associé et dans le rapport entre le tiers. Dans le rapport entre
associé l’article 277 de l’acte uniforme précise que lorsque le pouvoir du gérant
ne sont pas déterminé par le statut, le gérant peut accomplir tout les actes de
gestion dans l’intérêt de la société. Cependant, en cas de pluralité de gérant
que ce passera t'il ? L’article 277 toujours apporte une réponse en précisant
que dans se cas chacun détient le même pouvoir que s’il était seul gérant de la
société, sauf le droit de chacun de s’opposer à toute opération avant qu’elle ne
soit conclu.
Dans le rapport avec le tiers, il faut préciser à se niveau que le tiers sont
privilégié en quelque sorte c’est à dire
Protéger. Cette protection permet aux législateurs ohada de prévoir le
mécanisme allant dans se sens. En effet, selon l’article 277-1 dans le rapport
avec le tiers, le gérant engage la société par les actes entrants dans l’objet
social. L’opposition formée par un gérant aux actes d’un autre gérant est sans
effet à l’égard de tiers à moins qu’il soit établi qu’ils en ont eu connaissance. Le
clause statutaire limitant le pouvoir de gérant qui résulte du présent article
sont inopposable au tiers de bonne foi.
3- Le contrôle
Comment le contrôle est effectué au sein de la société a non collective ? En
principe le contrôle est assuré par les associés ce qui veut dire que la présence
d’un commissaire au compte n’est pas une obligation mais ont peut le solliciter
en guise d’aide. L’associé non gérant s’il le souhaite à le droit de consulter, au
siège social, deux fois par an, tout le documents et pièces comptables ainsi que
le procès-verbaux de délibération et de décision collective.
chp2 : les sociétés à risque limité
La société a responsabilité limitée permet de limiter la responsabilité des
associés. Elle est constituée entre les associés qui n’ont pas la qualité de
commerçants et ne sont responsables que dans la limite de leurs apports. Elle
est défini par l’article 309 de l’acte uniforme de droit commercial. Au terme
de cette article la société a responsabilité limitée est une société dans laquelle
les associés ne sont responsables de dette sociale qu’à concurrence de leurs
apports et dont le droit sont représentés par de parts sociale. C’est une société
de nature hybride dans la mesure où elle est tout autant une société de
personne et une société de capitaux.
Section 1 : la constitution de la société a responsabilité limitée
La société a responsabilité limitée peut ne comporter qu’un seul associé donc
elle peut être instituée par une personne physique ou morale ou entre-deux
personnes physiques ou morale( article 309 alinéa 2 de l’acte uniforme). Il faut
préciser aussi que certaines activités ne peuvent être exercées sous la forme de
SARL se le cas de banque et des assurances. Mais en dehors de se cas la SARL
peut être constitué. Contrairement aux autres formes de société tel que la SNC
les époux peuvent bien être associés dans société a responsabilité limitée car
ils seront de dette sociale qu’à concurrence de leur apport.
Paragraphe 1 : le condition relative au capital
Au terme de l’article 311 de l’acte uniforme, sauf disposition nationale
contraire, le capitale social doit être d’un million au moins. Il est divisé en part
social égal dont la valeur nominale ne doit être inférieure à 5000f comme on
peut le constater, le capital de la société anonyme a responsabilité limitée est
composée de part social qui sont librement transmissible entre associé ou au
profit de leurs conjoints, ascendants et descendants sauf clause statutaire
limitative. En principe se part ne peuvent être cédées à de tiers qu’après
agrément de se dernier par la majorité en nombre des associés représentant au
moins le trois quarts de part social, déduction faite de celle du cédant. Pour la
cession de part il faut rappeler que les statuts organisent librement le modalité
de transmission de part social à titre honoré à de tiers étrangers à la société
confère l’article 319 de l’acte uniforme. Concernant la libéralisation l’acte
uniforme précise que le part social doivent être souscrites en totalité par les
associés et elles doivent être intégralement libérées lorsqu’elle représente les
apport en nature. Et pour les apport en numéraire elles sont libérées lors de la
souscription de la capital de la moitié de leurs valeurs nominale.
Paragraphe 2 : le fonctionnement de la SARL : la gérance
Au terme de l’article 323 de l’acte uniforme, la société a responsabilité limitée
est gérer par une ou plusieurs personnes physiques, associés ou non. Elles sont
nommées par les associés dans les statuts ou dans un acte postérieur. Dans le
second cas, a moins qu’une clause de statut n’exige une majorité supérieure, la
décision est prise à une majorité des associés représentant plus de la moitié du
capital. Ce qui fait que donc toute autre délibération qui est prise en violation
de se règle de majorité est nul.
I- Le pouvoir de gérant
La combinaison de l’article 328 et 329 permet de clarifier le pouvoir de gérant
dans le rapport entre associé et dans le rapport avec le tiers. Dans le rapport
entre associé et en absence de la détermination de se pouvoir par le statut, le
gérant peut faire tout les actes de gestion dans l’intérêt de la société.
Cependant, en cas de pluralité de gérant, ceux-ci détiennent séparément le
pouvoir prévu au présent article sauf le droit pour chacun de s’opposer à toute
opération avant qu’elle ne soit conclu. Il faut aussi préciser que le tiers
bénéficie d’une protection assez significative car l’opposition fondée par un
gérant aux actes d’un autre gérant et sans effet a l’égard de tiers a moins qu’il
ne soit établi et qu’ils en ont eu connaissance. Dans le rapport avec le tiers le
gérant est investi de pouvoir le plus étendu pour agir en toute circonstance au
de la société, sous réserve de pouvoir que le présent acte uniforme attribue
expressément aux associés.
II- La responsabilité de gérant
Il faut dire ici que le gérant sont responsables individuellement ou
solidairement selon le cas envers la société ou envers le tiers soit des
infractions au disposition législatif ou réglementaires applicables aux société a
responsabilité limitée soit de violation de statut, soit de faute commise dans
leurs gestion. Donc la responsabilité peut ici être appréciée au cas par cas.
Cependant, il peut arriver que plusieurs gérants participent au même fait dans
se cas l’acte uniforme prévoit que de pareil situation la juridiction compétente
déterminera la part contributive de chacun dans la réparation de préjudice.
III- La rémunération de gérant
Le fonction du gérant sont soit gratuite ou rémunérée dans le condition fixé
dans le statut ou dans une décision collective des associés. La fixation de sa
rémunération n’est pas en principe soumise au régime de convention
réglementée( voir l’article 350 de l’acte uniforme)
Paragraphe 3 : la révocation du gérant

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