Vous êtes sur la page 1sur 2

CONSEILS POUR FAIRE UNE SYNTHÈSE + Modèle – livre page 21

Condensé

 La synthèse a été rédigée en assemblant les points en commun entre les deux textes.
 Le texte respecte les documents et ne contient pas d'éléments personnels.
 Les phrases sont liées par des connecteurs logiques.
 Pas de citations, pas de copier-coller. On ne retrouve que les mots-clés.

Exemple -> Faire une synthèse des 2 textes des pages 18 et 19

LE PHENOMÈNE DE GENTRIFICATION À PARIS ET MONTRÉAL [Titre]

Introduction -> Les quartiers d’une ville peuvent-ils demeurer figés dans le temps ou sont-ils voués (=destinés)
à se transformer au gré (=selon la convenance de) des habitants qui s’y installent ou y transitent ? [Accroche]
On parle de gentrification lorsqu’un quartier populaire évolue sous la pression d’une population aisée
économiquement qui vient s’y installer ou lorsqu’une population d’un niveau socioculturel plus élevé (artistes,
étudiants…) est attirée par les faibles loyers et investissent (=pénètrent) massivement le quartier. [Définition
du mot clé]
Nous allons comparer le cas de deux villes qui connaissent ce phénomène, Paris et Montréal [Annonce du
plan]

Développement ->
À Paris, ce phénomène est relativement ancien (depuis les années 1960) et semble gagner toute la ville –
malgré quelques « poches de résistance » comme dans le quartier de la Goutte d’Or – au point qu’on peut
parler d’embourgeoisement de Paris. En revanche, les causes à Montréal sont différentes et sont la
conséquence de projets d’urbanisme ou de revitalisation de quartiers. [Comparaison des causes]

Les conséquences sont variées. Par exemple à Paris, on observe une augmentation du loyer des quartiers qui se
gentrifient ce qui oblige les familles moins aisées à quitter ces quartiers. À Montréal, l’embourgeoisement
attire des promoteurs immobiliers d’où un risque de spéculation. [Comparaison des conséquences]

Conclusion ->

La gentrification semble être une constante de beaucoup de quartiers dans diverses capitales de pays
développés même s’il faut tenir compte de particularismes locaux. [Résumé de l’idée principale]

Cependant, la disparition progressive des quartiers populaires est-elle souhaitable ? [Ouverture]

Nombre de mots (environ) : 225 mots

Vous aimerez peut-être aussi