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Polycopié de cours :
Filière : électronique
Spécialité : 2éme année électronique/S4
Contenu de la matière :
Chapitre I : Généralités sur les semi- conducteurs :
I-1 Notions de base
I-1-1 Le courant éléctrique
I-1-2 La structure atomique
I-1-2-1 Numéro atomique (Z)
I-1-2-2 Couches d’électrons et orbites
I-1-2-3 Materiaux cristallins et amorphes
I-2 Conducteur-- Isolant – Semiconducteur
I-2-1 Conducteur
I-2-2 Isolant
I-2-3 Semi-conducteur
I-2-3-1 Semi-conducteurs intrinsèques simples et composés
I-2-3-1-1 Semi-conducteurs intrinsèques simples
I-2-3-1-2 Semi-conducteurs intrinsèques composés
I-2-3-1-4 Semi-conducteurs intrinsèques à gap indirect
I-2-3-2 Semi-conducteur extrinsèque
I-2-3-2-1 Semi-conducteur type N
I-2-3-2-2 Semi-conducteur type P
Chapitre II : Jonction PN
II- Jonction PN `à l’équilibre thermodynamique
II-1 Etude d’une jonction PN abrupte non polarisée à l’équilibre
II-1-1 Jonction PN abrupte
II-1-2 Jonction graduelle
II-1-3 La charge d’espace
II-1-4 Calcul de la tension de diffusion Vd ; barrière de potentiel
II-1-5 Calcul de la largeur de la zone de charge d’espace w
II-2 Etude d’une jonction PN polarisée (hors équilibre)
II-2-1 Polarisation directe
II-2-2 Caractéristique courant – tension I(V) d’une diode
II-2-2-3 Types de jonctions PN
- Diode Zener
- Diode à avalanche
- Diode redresseuse
Cours Eléments de physique des composantes
Électroniques 2éme ST Électronique / S4
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Chapitre I : Généralités sur les semi-conducteurs
I-2-1 Conducteur :
Les métaux tels que le fer (fe), le cuivre (Cu), l’or (Au), l’argent (Ag) et l’aluminium
(Al) sont des conducteurs de courant électrique. Les meilleurs conducteurs ayant un seul
electrons de valence faiblement lié à l’atome. La présence d’électrons libres dans la couche de
valence est à l’origine de la conductivité électrique. A température ambiante la résistivité
des conducteurs est très faible ( 10-5 .cm), une légère augmentation de la résistivité est
provoquée en augmentant la température, les électrons dans ce cas sont gênés dans leur
déplacement par des vibrations des atomes du métal.
I-2-2 Isolant :
Les matériaux qui ont une résistivité supérieure à 108 .cm sont des isolants
(matériaux non conducteurs de courant électrique). Parmi ces matériaux ; le verre, le mica, la
silice (SiO2) et le carbone (Diamant)…La conductivité des isolants est donc très faible. Les
électrons de valence des isolants sont solidement liés à l’atome, laissant très peu d’électrons
libres de se déplacer.
I-2-3 Semi-conducteur :
Cette classe de matériaux se situe entre les métaux (conducteurs) et les isolants (non
conducteurs). La résistivité des semi-conducteurs varie de 10-3 à 10+4 .cm. les électrons
libres et les trous mobiles sont les porteurs de charges responsables de la conductivité
électrique. Un semi-conducteur peut être soit intrinsèque (pur) ou extrinsèque (dopé) par des
impuretés.
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Chapitre I : Généralités sur les semi-conducteurs
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Chapitre I : Généralités sur les semi-conducteurs
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Chapitre I : Généralités sur les semi-conducteurs
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Chapitre II : Jonction PN
A la température ambiante, tous les donneurs et les accepteurs sont ionisés. Les porteurs
majoritaires sont les électrons dans la région n et les trous dans la région p.
Une jonction PN est dite à l'équilibre thermodynamique lorsque :
o La polarisation appliquée entre les régions P et N est nulle.
o Le niveau de Fermi est le même partout dans la jonction p-n.
o Le courant total est nul.
o La diffusion des porteurs majoritaires vers les régions de plus faible
Concentration
- électrons région p
- trous région n
o La création d'une zone de charge d'espace ZCE désertée en porteurs (dépeuplée)
de part et d’autre de l’interface de la jonction (depletion layer) : charges fixes, donneurs
et accepteurs ionisés.
o L’établissement d'un champ électrostatique de N vers P qui s'oppose à la
diffusion des porteurs majoritaires.
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Chapitre II : Jonction PN
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Chapitre II : Jonction PN
Figure 5 : Diagramme énergétique des semi-conducteurs (dopé type P et dopé type N) après
la formation de la jonction.
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Chapitre II : Jonction PN
w XP XN
2 s Vd N d
XP
e N a (N a N d )
2 s Vd N a
XN
e N d (N a N d )
2 s Vd ( N a N d )
w
e Na Nd
Exemple :
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Chapitre II : Jonction PN
1- Donnez les relations de la densité de charge ρ(x) dans les différentes régions.
2- Exprimez en fonction de x, le champ électrique E(x) à l’intérieure de la zone de
déplétion [-Xp,Xn].
3- Déduisez la relation entre Na, Nd, -Xp, Xn., et puis représenter schématiquement le
champ électrique E(x).
4- Déterminez le potentiel (x) dans la région [-Xp,Xn] de la jonction.
Solution :
1- La densité de charge est donnée par la relation suivante :
e
Pour : 0 <x< Xn, le champ électrique s’écrit : E ( x) N d ( X n x) .
s
Pour les deux autres régions ρ(x)=0, donc le champ électrique est nul(E).
3- la relation entre Na, Nd, -Xp, Xn est désignée par la neutralité électrique dans la zone
de charge d’espace :
XpNa= XnNd
Le champ électrique E(x)peut être représenté comme suit :
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Chapitre II : Jonction PN
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Chapitre II : Jonction PN
Dans le second cas, il s’en retranche. E = E0 Ea ,Si Va<0 le passage des électrons de la
zone n vers la zone p devient plus difficile qu’avant la polarisation de la jonction. Lorsque
Va>0 , on dit que la jonction pn est polariisé dans le sens direct
alors que Va<0,on dit qu’elle est polarisée en inverse.
En polarisation directe, il faut vérifier que l’intensité reste inférieure à une valeur maximale
imax qui peut varier de 20 mA pour une diode de signal utilisable en hautes fréquences à
plusieurs ampères pour une diode de redressement utilisable à une fréquence voisine à 50 Hz.
Lorsque la jonction est polarisée en inverse, lorsque le coté n est porté à une tension positive
par rapport au côté p, la jonction est « bloquante » à la fois pour les électrons et pour les trous.
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Chapitre II : Jonction PN
A température non nulle, il y a toujours des porteurs de charge, électrons ou trous qui
franchissent cette barrière et leur flux conduit à un courant appelé « courant inverse ».Les
porteurs de charge qui contribuent au courant inverse sont les porteurs minoritaires .
L’intensité de ce courant croit fortement avec la température.
En polarisation inverse (fig.7), la tension doit rester supérieure à une valeur minimale notée
(−U)
- La résistance dynamique :
Remarque :
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Chapitre II : Jonction PN
En polarisation inverse, si la tension dépasse une tension (- Vz) (fig.9) , selon de composant
choisi, il apparaît un courant dit de claquage de la jonction. Ce phénomène est dû soit à l’effet
d’avalanche, soit à l’effet Zener. La tension de claquage est faible (quelques volts ou quelques
dizaines de volts).
- le claquage par effet Zener se produit lorsque |V|<a.
- le claquage par l'effet avalanche se produit lorsque |V|>b.
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Chapitre II : Jonction PN
Diode à avalanche :
Ce phénomène résulte lorsqu'une forte tension inverse est appliquée aux bornes de la
jonction. En effet, sous l'effet du champ électrique interne, l’énergie cinétique des porteurs
minoritaires devient suffisante pour créer des paires électron-trou dans la zone de transition.
Ces porteurs sont ensuite accélérés par le champ interne et crée à leur tour de nouvelles paires
électron-trou (d’où le non d’avalanche du phénomène). Le courant augmente très rapidement
et provoque ainsi la destruction de la jonction par effet Joule.
Diode redresseuse :
Les appareils électroniques fonctionnent sous tension continue. Pour cela, la diode à
jonction est principalement utilisée pour transformer un signal sinusoïdal en signal continu.
Parmi les applications des diodes les plus utilisés sont le redressement mono-alternance et
double alternance.
- Le redressement mono-alternance consiste à transformer le signal sinusoïdal, c’est-à-dire à
supprimer les alternances négatives ou les alternances positives, figure V.10.
- Le redressement double alternance consiste à rendre positive les alternances négatives du
signal sinusoïdal, fig.10.
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Chapitre III : Transistor bipolaire.
III-1 Définition :
Un transistor bipolaire est un dispositif constitué de trois zones différemment dopées
D’un même cristal qui forment deux jonctions pn montées en opposition avec une zone
commune. Les trois zones sont appelées émetteur, base et collecteur. Le transistor bipolaire
est caractérisé par le fait que l’épaisseur de la zone base est très faible (typiquement de l’ordre
de µm ; très inférieur à la longueur de diffusion des porteurs minoritaires) ce qui permet un
fort couplage entre la jonction constituée de l’émetteur -base et celle de base-collecteur et qui
est à l'origine de l'effet transistor. Il existe deux types de transistors bipolaires : comme le
montre la figure1.
Les transistors NPN :
Dans ce type de transistors, la couche mince dopée P est située entre les deux zones dopées N.
fig.1.
Les transistors PNP :
Dans ce type de transistors, la couche mince dopée N est située entre les deux zones dopées P.
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Chapitre III : Transistor bipolaire.
Dans les trois régions dopées, les concentrations en porteurs ne sont pas les mêmes. La
largeur de la zone de déplétion côté émetteur (fortement dopé) est donc beaucoup moins large
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Chapitre III : Transistor bipolaire.
que celle du côté base qui est très peu dopée. La largeur de la zone de déplétion du côté
collecteur est presque la même que celle de la base.
La concentration des porteurs minoritaires injectés dans l'une des régions reste
faible devant celle des majoritaires, (hypothèse de faible injection).
Dans les zones de charge d'espace, les phénomènes de génération-recombinaison
sont très faibles et considérés négligeables.
La région de base est très étroite et très peu dopée.
La région de base, la durée de vie des porteurs minoritaires est importante et leur
temps de transit est réduit. C’est-à-dire la longueur de diffusion de ces porteurs est beaucoup
plus grande que la largeur de la base.
III-4 L’amplification :
En électronique, un dispositif amplificateur permet d’augmenter l’amplitude d’un
signal. Ainsi un courant est amplifié lorsque sa valeur de sortie est supérieure à sa valeur
d’entrée.Ceci ne se fait pas sans apport d’énergie extérieure. Il faut un dispositif qui Puisse
fournir de l’énergie c’est l’alimentation extérieure du dispositif amplificateur. Le courant de
sortie peut être modulé soit par un courant, comme nous le voyons pour un transistor
bipolaire, soit par une tension comme c’est le cas des transistors à effet de champ que nous
étudierons plus loin. Le transistor bipolaire fonctionne, en mode active, comme un
amplificateur dans lequel un faible courant de base iB contrôle un grand courant sur le
collecteur iC. le courant iC provient essentiellement du courant de trous. Le courant de base
correspond à des électrons qui sont injectés dans la base. L’origine de processus
d’amplification provient de ce que la neutralité électrique est préservée.
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Chapitre III : Transistor bipolaire.
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Chapitre IV : Transistors à effet de champ.
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Chapitre IV : Transistors à effet de champ.
Certains de ces transistors ont essentiellement des applications de puissance. Pour fabriquer ces
transistors de puissance, plusieurs technologies de semi-conducteurs peuvent être envisagées.
Le paragraphe suivant est une rapide présentation des différents transistors de puissance FET
sur GaAs utilisés dans l’industrie et la recherche.
IV-2-1 LE MESFET :
Ce type de transistor apparu en 1966 et fut le premier à être fabriqué à partir d’un
composé III-V. Comme le montre la (Figure 2), un MESFET est constitué par un barreau de
semi-conducteur de type N sur lequel sont réalisés à ses deux extrémités les contacts ohmiques
de source et de drain. Entre la source et le drain, un contact Schottky matérialise l’électrode de
grille. Le transistor est réalisé sur un substrat semi-isolant de GaAs sur lequel on fait croître par
épitaxie ou par implantation ionique la couche active avec des impuretés de type donneur (ND
≈ 2.1017 cm-3). L’adjonction d’une couche fortement dopée (ND ≈ 2.1018 cm-3) permet
l’accrochage des contacts ohmiques de source et de drain, ainsi que la diminution des
résistances parasites de source et de drain.
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Chapitre IV : Transistors à effet de champ.
- l’obtention d’un fort courant Ids nécessite l’emploi de dopages élevés qui entraînent une
dégradation de la tension de claquage.
- La nécessité de garder un facteur d’aspect (le rapport entre la longueur de grille et l’épaisseur
de la couche active) raisonnable contraint alors à diminuer l’épaisseur de cette couche active,
ce qui se traduit par une diminution de courant drain-source.
IV-2-2 LE HFET :
Le HFET (Heterostructure FET), aussi désigné sous le nom de DCFET (Doped Channel
FET), est apparu au début des années 90. Il s’agit d’une amélioration relativement simple du
MESFET GaAs en mettant à profit les différentes propriétés de deux matériaux, GaAs et
AlGaAs (Figure 3).
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Chapitre IV : Transistors à effet de champ.
Ayant une plus grande bande interdite (1,798 eV pour Al0,3Ga0,7As contre 1,424 eV pour
GaAs), le matériau AlGaAs possède un champ de claquage plus élevé et peut donc supporter
des tensions plus fortes. Le matériau AlGaAs est non intentionnellement dopé et placé en
surface. Cette couche va se retrouver dépeuplée par la jonction Schottky de grille et agir comme
un isolant virtuel. Le principe de conduction de la structure HFET est similaire à celui d’un
transistor MESFET. L’application d’une tension négative sur la grille a pour effet d’augmenter
la hauteur de la barrière de diffusion Øbi à l’interface métal/semi-conducteur et donc l’épaisseur
de la zone de charge d’espace dépeuplée d’électrons. Il est ainsi possible de moduler l’épaisseur
du canal par une commande en tension appliquée sur la grille. Ce HFET est produit par plusieurs
fonderies : Triquint Texas, Marconi-Alenia en Italie et plusieurs fabricants japonais.
- La grille déposée sur la couche AlGaAs, à grande largeur de bande interdite, permet
d’avoir un faible courant de fuite Schottky.
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Chapitre IV : Transistors à effet de champ.
IV-2-3 LE HFMT :
Le transistor HEMT représenté dans la figure 4(High Electron Mobility Transistor)
encore appelé dans la littérature TEGFET (Two Electron Gas Field Effect Transistor) ou
MODFET (Modulation Doped Field Effect Transistor), ou encore SDHT (Selectively Doped
Heterojunction Transistor), a été conçu et réalisé simultanément par Fujitsu au Japon et par
Thomson en France en 1980.
L’idée de base à l’origine de ce composant est d’utiliser comme canal conducteur d’un
transistor à effet de champ, un gaz bidimensionnel (gaz-2D) d’électrons circulant dans un
matériau peu dopé et résultant de l’occupation des niveaux d’énergie du puits de potentiel
caractéristique d’une hétérojonction.
IV-2-4 LE PHFMT :
La réalisation de circuits intégrés micro-ondes monolithiques (MMIC) à des fréquences
supérieures à 60 GHz a nécessité d’étudier d’autres structures à base de couches contraintes sur
GaAs avec un canal InxGa1-xAs (0,15 ≤ x ≤ 0,35) (Figure 5).
Le PHEMT présente des performances nettement supérieures à celles du HEMT classique,
adapté en maille, en démontrant un faible niveau de bruit, puisque les porteurs sont mieux
confinés dans un puits plus profond, et une fréquence de coupure élevée, puisque la mobilité
électronique dans InGaAs est plus élevée. Compatible avec les lignes de fabrication de MMIC
existantes, des filières commerciales n’ont pas tardé à voir le jour, y compris en Europe (Philips
devenu OMMIC en 2000, Thomson et Daimler associés dans UMS en 1996, GMMT devenu
Bookham en 2002).
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Chapitre IV : Transistors à effet de champ.
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Chapitre IV : Transistors à effet de champ.
Références bibliographiques :
1- Henry Mathieu, Hervé Fanet. Physique des semi-conducteurs et des composants
électroniques, 6eédition. Dunod, Paris, France, 2009.
2- A. Chovet, P. Masson. Physique des semi-conducteurs, école polytechnique, université
de Marseille, France, 2004/2005.
3- AH. Souici. Physique des semi-conducteurs, Université de Bejaia, Algérie, 2013/2014.
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