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Chapitre 11 : Le choix de la structure juridique de l’entreprise

SARL = société à responsabilité limitée

SA = Société anonyme

SAS = société par action simplifiée

Chapitre 12 : La gestion des risques liés à l’activité de l’entreprise

1) L’activité de l’entreprise est la vente de vetement prêt à porter de luxe

2) Le nom de la dirigeante est christelle abadie

3) C’est une entreprise managériale

4) Ouverture d’une boutique

1) C’est un individu qui a commis personnellement une infraction pénale.

2)

Un élément légal : délit d’administration de substances nuisibles aggravée par l’infirmité des victimes

Un élément matériel : relation sexuelle non protégé

Un élément moral : Il était conscient depuis 1998 qu’il était porteur du VIH.

3) 6 ans d’emprisonnement avec maintien en détention

4) si il y a une infraction pénale commise par l’entreprise, c’est la personne physique qui représente
l’entreprise qui va être condamné (mandataire social)

5) Aurore Z et isabelle Y ont porté plainte contre Christophe X en l’accusant de leur avoir
délibérément communiqué le VIH au cours de relations sexuelles non protégés. Celui-ci savait qu’il
était détenteur de la maladie depuis 1998.

6) L’infraction pénale retenu par la cour de cassation c’est le délit d’administration de substances
nuisibles. C’est un délit réprimé par les articles 222-15 et 222-9 du code pénale.

7) Les éléments retenus par la cour de cassation :

La cour de cassation a repris les éléments énoncés par la cour d’appel. Christophe X savait qu’il était
porteur depuis 1998. Il a contaminé les 2 plaignantes qui sont désormais porteuse d’une affection.
Donc la cour
Exercice : analyse de décision de justice. La responsabilité contractuelle.

1) Le demandeur est la SNCF et le défendeur est Élisabeth tassito.


2) Une passagère a été blessée et dépouillée de ses bijoux par un individu la menaçant d’un
couteau et demeuré inconnu.
3) La solution de la cour de cassation est de rejeter le pourvoi.
4) Les motifs de la cour de cassation est l’absence de toute preuve ou allégation de quelconques
mesures de prévention et elle a écarté l’existence d’un cas de force majeur faute d’irrésistibilité
de l’agression.

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