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BURKINA FASO

Unité Progrès Justice

Discipline – Travail –
Classe : 4ème
Année scolaire : 2018- 2019 …… / 04 / 2019

MEMBRES DU GROUPE
PROFESSEUR

1- …………………….
2- ……………………
3- ……………………
4- ……………………
5- ……………………
6- ……………………
Introduction
I) Définitions :
a) Eau de pluie
b) Eau sauvage
c) Les eaux courantes

II) Action de l’eau sur les roches

1) Erosion Hydrogène

2) Infiltrations : qu'est-ce que c'est ?

3) Cycle de l'eau

Conclusion
LES EAUX ET LEURS
ACTIONS SUR LES ROCHES
Introduction
L'aspect des paysages dépend des roches qui constituent le sous-sol. Ces roches sont
soumises aux agents d'érosion et en particulier à l'eau. Selon la nature des roches,
l'eau modifie différemment les paysages.

I) Définitions :
a) Eau de pluie
Une eau de pluie, ou une eau pluviale, est un liquide sous forme de gouttelettes condensées
à partir de l'atmosphère, puis sous forme de vapeur d'eau, puis d'un précipité lorsqu'elle
est enfin devenue assez lourde pour tomber sous l'effet de la gravité. Elle est une eau
douce.

L'eau de pluie est une eau de précipitations atmosphériques qui tombent directement sur
site. L'eau de pluie est un élément essentiel du cycle de l'eau sur la Terre.

b) Eau sauvage
Une eau sauvage est une eau conforme à l'état de nature, qui n'a pas subi l'action de l'homme.
Ou une eau qui n'est pas marqué par l'intervention de l'homme; qui a gardé l'aspect de la
nature vierge et présente un aspect peu hospitalier.

c) Les eaux courantes


L'eau courante, est une eau vive, qui coule continûment 1 (hydrologiquement parlant, un cours
d'eau). On peut l'opposer à l'eau stagnante qui ne bouge pas.
L'expression a une signification juridique largement héritée du droit romain (En latin aqua
profluens).
Le sens premier tend dans le langage courant à être oblitéré par celui donné par une eau
alimentaire transportée par canalisation à des fins domestiques, soit l'eau du robinet.
II) Action de l’eau sur les roches
1) Erosion Hydrogène
Enfin, les particules incidentes peuvent arracher des atomes de carbone à la paroi : c'est ce
qu'on appelle l'érosion. Une partie de ces atomes d'impuretés peuvent ensuite par une cascade
de phénomènes de physique atomique parvenir jusqu'au centre de la décharge et venir
dégrader les performances du plasma central en rayonnant une partie de la puissance couplée
au plasma. Après des phénomènes de transport complexes, le carbone érodé est
éventuellement redéposé sur les parois de la machine, certaines fois bien loin de l'endroit d'où
il a été arraché. Mais cette redéposition n'est pas suffisante pour empêcher une lente érosion
des composants face au plasma, en particulier aux endroits où se concentre le flux de
particules incident : c'est une des préoccupations majeures pour les machines de prochaine
génération, où l'on doit assurer aux composants une durée de vie suffisante pour ne pas être
obligé de les changer trop fréquemment. De nombreuses études sont menées, tant du point de
vue de la paroi (matériaux dopés pour mieux résister à l'érosion, utilisation du tungstène ou du
beryllium à la place du carbone) que du plasma (atténuation du flux incident dans les scénarios
rayonnants).

2) Infiltrations : qu'est-ce que c'est ?


On parle d'infiltrations d'eau lorsque l'eau de pluie pénètre dans les parois ou le toit de votre
habitation. Elle finit par imbiber les murs intérieurs, ce qui peut causer de graves dégâts.

Les infiltrations d'eau peuvent aussi être présentes dans les caves, les sous-sols ou tout autres
parties de la maison enterrées ou semi-enterrées. L'eau imprègne d'abord l'extérieur des murs
et envahit peu à peu l'intérieur sous la pression exercée par le sol.

3) Cycle de l'eau
Le cycle naturel de l’eau.
Le cycle de l'eau (ou cycle hydrologique) est un phénomène naturel qui représente le
parcours entre les grands réservoirs d'eau liquide, solide ou de vapeur d'eau sur Terre :
les océans, l'atmosphère, les lacs, les cours d'eau, les nappes d'eaux souterraines et les glaciers.
Le « moteur » de ce cycle est l'énergie solaire qui, en favorisant l'évaporation de l'eau, entraîne
tous les autres échanges.
La science qui étudie le cycle de l’eau est l’hydrologie. Elle peut se décomposer
en hydrogéologie, hydrologie de surface, hydraulique urbaine, etc.

Conclusion

Étant à la destination du train de notre exposé, nous nous permettons de véhiculer que les
variations de température entraînent la dilatation ou la contraction des roches soumises à des
variations de volumes incessants, une roche fissure puis éclate. L'eau qui pénètre dans les
fissures puis gèle avec augmentation de volume ajoute son effet : les cristaux de glace
s'accroissent perpendiculairement à la surface de la fente et augmente son ouverture. L'eau qui
gèle dans une fissure exerce une pression de 14 g/cm². La roche finit par éclater sous l'action
du gel : c'est la cryofracturation.

Ainsi s’achève notre exposé du thème : « les eaux et leurs actions sur les roches » que nous
avons eut l’honneur de vous l’exposer aujourd’hui. Nous vous remercions pour votre parfaite
attention prêté à notre faveur et votre brillante participation.
Succès à tous !

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