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http://www.commentcamarche.net/contents/initiation/concept.php3
réseau (en anglais network) : Ensemble des ordinateurs et périphériques connectés les
uns aux autres. Notons que deux ordinateurs connectés ensemble constituent à eux
seuls un réseau minimal.
mise en réseau (en anglais networking) : Mise en oeuvre des outils et des tâches
permettant de relier des ordinateurs afin qu’ils puissent partager des ressources en
réseau
- Le CJD (centre des jeunes dirigeants) : c’est un mouvement patronal qui rassemble
plusieurs chefs d'entreprises et cadres dirigeants engagés pour mettre en œuvre un libéralisme
responsable, en conciliant l’humain et l’économique.
L'ambition du CJD est de promouvoir des idées nouvelles pour rendre l'entreprise à la fois
plus compétitive et plus humaine. Il accompagne tout jeune dirigeant soucieux d'améliorer sa
performance et celle de son entreprise par plusieurs moyens :
Néanmoins, d’autres types de réseaux d’entreprises existent et certains sont plus importants
que d’autres, soit par rapport au nombre d’entreprises qu’ils regroupent, soit en vue des
intérêts qu’ils tendent à protéger.
- L’Union patronale : est par excellence l’organisation patronale la plus importante et la plus
grande de tous les réseaux d’entreprises. Elle regroupe un grand nombre d’entreprises qui
veulent être bien représentées pour mieux se faire entendre. L’objectif de l’union patronale est
d’amener les chefs d’entreprises, individualistes par nature, à se connaître et à s’organiser
pour défendre un intérêt collectif, mais également, l’intérêt de l’un d’entre eux, en utilisant
tout le poids de l’union.
Résumé
En 2005, 120 000 points de vente sur un total de 430 000 sont regroupés en réseau, sous une
enseigne commune ou autour d’une centrale d’achats. Établissant une communauté d’intérêt,
ces réseaux se sont développés depuis une trentaine d’années. Aujourd’hui, un millier de
réseaux réalisent 84 % du chiffre d’affaires du commerce de détail. Trois formes
d’organisation prédominent : les succursales, les points de vente adhérents à un groupement et
les franchisés. La moitié des réseaux sont mixtes : tous les magasins appartenant à un même
réseau ne sont pas liés à la tête de réseau par le même type de contrat. Les groupements sont
parmi les réseaux les plus grands, avec 200 points de vente en moyenne. Les réseaux
succursalistes purs sont les plus petits, avec 60 points de vente en moyenne. Les succursalistes
sont prépondérants dans les réseaux d’habillement et de chaussures, les groupements parmi
les réseaux de supermarchés et d’hypermarchés et les franchisés dans l’alimentation (hors
grandes surfaces) et l’artisanat commercial.
Vous ne le savez peut être pas mais nous avons tous un réseau. A vous entrepreneur d’investir
dans vos relations pour booster votre entreprise.
• Les réseaux professionnels virtuels, apparus au début des années 2000, et initialement
dotés de fonctionnalités simples et basiques, sont destinés à un usage professionnel.
Selon une étude exclusive de LinkedIn, leader des réseaux professionnels en ligne,
l’amalgame entre réseau professionnel et réseau social est encore répandu en Europe. Et
pourtant, alors que la culture du réseautage professionnel, notamment en ligne, se diffuse de
plus en plus largement, les entreprises doivent reconnaître la valeur professionnelle de ces
réseaux non moins professionnels.
Une analogie avec l’Intelligence Economique en France (extrait d’une publication (VSE
Vie et Science Economique, Avril 2012, Henri Dou)
Les guerres non conventionnelles ont mis en évidence la nécessité de mettre en place un autre
type de renseignement où l’inversion des sources qui va placer au cœur du système les
informations provenant de la base, du terrain. Ceci est un changement de paradigme où la
confidentialité doit être reconsidérée et ne doit plus être la pierre angulaire du système. On a
bien montré que le pouvoir d’analyse décroît lorsque la confidentialité croît. Il a été
aussi mis en évidence que la pluridisciplinarité et les analyses transversales étaient nécessaires.
Il faut donc réaliser un choix ou un compromis entre deux conceptions.
Il ne faut donc pas se contenter uniquement de sources officielles (les fameux télégrammes
chiffrés des ambassades), mais mettre en place un système de recueil d’informations venant
du terrain pour détecter les initiatives intéressantes au plan local. La France dans ce cadre a un
retard flagrant sans doute du à un cloisonnement des personnels des affaires étrangères et des
diverses représentations françaises à l’étranger.
Il ne faut pas juger a priori, mais ce qu’il faut c’est redonner un souffle aux entrepreneurs, on a
besoin pour étendre l’influence française à l’étranger de remettre au « gout du jour » les lettres de
courses qui permettront le développement des initiatives qui ne seront pas freinées par les
organismes officiels, mais encouragées. C’est à ce prix que l’on pourra dans un temps relativement
court remonter notre handicap. On retrouvera, dans les différentes présentations exposées ci-
dessous (Brésil, Chine, Indonésie …) des exemples qui éclairent ce propos, mais peut on changer le
cours des choses …..
L’Adhocratie
L'adhocratie est un néologisme (venant du terme « ad hoc ») utilisé pour désigner une
configuration organisationnelle qui mobilise, dans un contexte d’environnements instables et
complexes, des compétences pluridisciplinaires, spécialisées et transversales, pour mener à
bien des missions précises (résolution de problèmes, recherche d'efficience en matière de
gestion, développement d'un nouveau produit...). http://jean.heutte.free.fr/spip.php?article46
L'expression "ad hoc" indique que les personnes choisies dans l'organisation travaillent dans
le cadre de groupes-projets peu formalisés qui bénéficient d'une autonomie importante par
rapport aux procédures et aux relations hiérarchiques normalement en vigueur et dont le
mécanisme principal de coordination entre les opérateurs est l'ajustement mutuel.
Principales caractéristiques :
spécialisation des tâches horizontales basée sur une formation solide de la part des
acteurs (experts…)
une tendance à regrouper les professionnels dans des unités fonctionnelles pour
atteindre les objectifs fixés
une tendance à les disperser en petites équipes pour réaliser leur projet (management
par projet)
l’ajustement mutuel est le mécanisme de coordination clé, à l’intérieur et entre les
équipes.
De façon synthétique, on peut dire que l’ordre social dans l’organisation adhocratique ne
repose plus sur le respect des règles, mais sur un consensus qui émerge d’un dialogue
institutionnalisé auquel tout le monde peut participer (ajustement mutuel).
Dans ce modèle, chacun est supposé avoir intégré l’intérêt collectif et parler en son nom. Les
décisions sont prises par des individus informés des objectifs stratégiques. Ils sont investis
d’une part de responsabilité pour atteindre ces derniers. Les décisions encadrées par des
principes d’action remplacent les règles et procédures trop rigides. En effet, dans cette
structure, les informations et les processus de décision circulent de façon flexible et
informelle pour promouvoir l'innovation. Ceci a pour conséquence le débordement de la
structure d'autorité quand il le faut. L'adhocratie doit donc recruter des experts - des
professionnels dont les connaissances et les aptitudes ont été hautement développées dans des
programmes de formation - et leur donner du pouvoir. L’objectif est alors de traiter les
aptitudes et les connaissances existantes comme de simples bases sur lesquelles en construire
de nouvelles. Néanmoins, la difficulté de l’adhocratie est de faire travailler ces profils « haute
compétence » ensemble, les différents spécialistes doivent joindre leurs forces dans des
équipes multidisciplinaires créées chacune pour un projet ou une innovation spécifique.
Robert H. Waterman, Jr. defined adhocracy as "any form of organization that cuts across
normal bureaucratic lines to capture opportunities, solve problems, and get results" For Henry
Mintzberg, an adhocracy is a complex and dynamic organizational form.] It is different from
bureaucracy; like Toffler, Mintzberg considers bureaucracy a thing of the past, and adhocracy
one of the future. When done well, adhocracy can be very good at problem solving and
innovations and thrives in a diverse environment. It requires sophisticated and often
automated technical systems to develop and thrive.
Characteristics of an adhocracy:
According to Robert H. Waterman, Jr., "Teams should be big enough to represent all parts of
the bureaucracy that will be affected by their work, yet small enough to get the job done
efficiently."
Alvin Toffler claimed in his book Future Shock that adhocracies will get more common
and are likely to replace bureaucracy. He also wrote that they will most often come in form
of a temporary structure, formed to resolve a given problem and dissolved afterwards. An
example are cross-department task forces.
Le concept de système autopoïtique peut être rapproché de celui des structures dissipatives
(étudié par Ilya Prigogine) qui se maintiennent loin de l'état d'équilibre thermodynamique,
grâce au flux de matière et d'énergie qui les traversent. Un système autopoïétique est à
opposer à un système « allopoïétique » comme une usine de voitures, qui utilise des
composants bruts pour fabriquer une structure organisée (une voiture) qui est autre chose
qu’elle-même (une usine).
L'autopoïèse diffère de ce qu'on appelle, depuis le XVIIIe siècle, la génération, en ce qu'elle
ne concerne pas la production d'un autre système ou organisme (reproduction) mais définit la
mise en place et le maintien de sa propre organisation (auto-production) par le système ou
organisme considéré.
Luhmann se livre à un véritable déchiffrement de nos sociétés modernes dites complexes, par
opposition aux sociétés traditionnelles qualifiées de rudimentaires. A l’origine de sa réflexion
se trouve le constat que nos sociétés ont évolué d’une manière telle qu’une analyse
correspondant à un type de société ancienne ne peut plus être valable pour nos sociétés
actuelles. La raison en est que le pouvoir a changé d’échelle et avec lui ses modes de
légitimation. Ce changement d’échelle du pouvoir entraîne une organisation différente
puisque les décisions qui en émanent ne peuvent plus être aussi simplement légitimées.
Source : Stock.xchg
Luhmann a évidemment en vue Habermas auquel il reproche de penser une société complexe
à partir de notions trop simples qui ne correspondent pas du tout à la réalité sociale. C’est le
cas de l’opposition entre le système et le monde vécu social. Habermas distingue en effet le
système par excellence dont font partie les divers organes politiques, la bureaucratie et les
experts, du monde vécu social qui n’a plus aucun moyen de contrôle sur ce premier : d’un
côté, l’individu, de l’autre l’organisation ; d’un côté le monde vécu, de l’autre le système.[1]
C’est là une organisation verticale. Habermas tente d’en estomper les effets par la mise en
pratique de sa théorie de l’agir communicationnel où s’instaure un véritable dialogue entre
savant, politique et citoyen. Bien qu’Habermas ait peu à peu renoncé à l’idée maîtresse de ses
œuvres de jeunesse, à savoir l’idée d’une situation idéale de parole, mais non à l’opposition
du système au monde vécu, Luhmann s’oppose clairement à cette théorie, lui reprochant
d’avoir conçu une entité « système » opposée à une autre entité « monde vécu social » alors
que la société est composée d’une pluralité de systèmes et de sous-systèmes, composant ainsi
une structure horizontale. Il n’y a pas un système « en haut » et un monde vécu social « en
bas », mais une diversité de systèmes en rapport les uns avec les autres et dont les limites
respectives constituent un « environnement ».
La théorie des systèmes traite du monde comme il est appréhendé au travers d’une différence
spécifique, celle du système et de l’environnement [...]. Toute accumulation de connaissances
dépend de l’imputation au système et à l’environnement.[2] Chaque sous-système est conçu
de manière à résoudre un problème bien particulier, au sein de systèmes fonctionnellement
différents, de telle sorte qu’aucune hiérarchie des fonctions et des systèmes n’est
envisageable : qui peut affirmer que la science est plus importante que l’éducation, le droit
plus important que l’économie, l’économie plus importante que l’éducation, etc. tout autant de
systèmes fonctionnellement différents ? Chaque système accorde le primat à sa propre
fonction et [...] considère dès lors les autres systèmes fonctionnels – et en l’occurrence la
société tout entière – comme son environnement.[3] Cette horizontalité de l’organisation n’est
pas anodine car elle permet une diffusion du pouvoir et prévient toute contestation « par le
bas ».
Aucune autorité unique ne contrôle les citoyens comme ce pouvait être le cas dans les sociétés
traditionnelles : de par l’absence de hiérarchie entre les systèmes et les fonctions qui leur
correspondent, le pouvoir est partout au même niveau dans les moindres systèmes, qui agit
dans la différenciation du système et de l’environnement. Ce point est important car Foucault
critiquait précisément la conception du pouvoir unique et localisé, véhiculée par un appareil
politico-économique, usant de répression et d’interdictions par la loi. La procédure
luhmanienne fait bien partie d’un tel appareil ; simplement, l’analyse de la procédure se
rapproche bien davantage d’une théorie du dispositif, elle qui fait pourtant partie de cet
appareil politico-économique dont la nature est critiquée par Foucault. Il n’y a dans la
procédure ni localisation du pouvoir, ni répression, ni interdictions à proprement parler. La
procédure est déjà en-deçà d’un Etat souverain lequel n’a plus aucune signification. Foucault
dénonce une opposition qu’il reprend schématiquement à Marx et bien d’autres auteurs entre
un Etat souverain et l’individu, et remplace ce paradigme vertical par une diffusion du
pouvoir dans tous les champs sociaux. Luhmann est pleinement engagé dans cette
perspective : il n’est pas question dans la procédure juridique d’opposer un Etat puissant à un
individu soumis. Tout doit se penser comme système et environnement. Le système social
(c’est-à-dire les individus) reste également un système tout en constituant l’environnement du
système juridique : le pouvoir se trouve dans tous les systèmes ; les individus aussi produisent
du pouvoir en participant à la procédure. (Ceci sera plus longuement étudié dans un prochain
article, consacré plus spécifiquement à la manière dont le pouvoir se manifeste par le biais de
la procédure).
Le pouvoir est véhiculé d’abord par le droit qui édicte des normes de conduites. Or – et l’on
retrouve là une opposition majeure à Habermas – la norme n’a absolument rien à voir avec le
principe de vérité ou de justice. Luhmann est un partisan du droit positif, attribuant le droit
naturel à des sociétés superstitieuses ou du moins naïves qui pensent encore pouvoir trouver
une vérité des normes morales alors que tout n’est que contingent. Luhmann définit ainsi le
droit positif : il faut comprendre les normes juridiques qui sont instituées comme étant valides
au moyen d’une décision et qui, par conséquent, peuvent être invalidées également au moyen
d’une décision.[4]
[1] HABERMAS Jürgen, La technique et la science comme « idéologie », éd. Gallimard, coll.
« Tel », Francfort-sur-le-Main, 1968, p. 211
[3] LUHMANN Niklas, Politique et complexité, trad. Jacob Schmutz, éd. Cerf, coll.
« Humanités », Paris, 1999.
[4] LUHMANN Niklas, La légitimation par la procédure, trad. Lukas K Sosoe, éd.Cerf,
coll. « Passages », Laval, 2001, p. 137
Cette communication de N N introduit les réseaux sociaux, (face book et autres …), mais
en même temps elle crée le buzz, c'est-à-dire la diffusion d’information dans une véritable
chambre d’échos, d’où une prolifération de redites et d’informations inutiles.
Dans la nature et depuis toujours, lorsque les organismes vivants s’organisent en groupes, ils
créent une entité qui développe des propriétés propres qu’individuellement, chacun des
organismes n’auraient pas pu développer. C’est ainsi que selon la formule consacrée : le tout
devient supérieur à la somme des parties.
On distingue 3 formes d’intelligences collectives qui apparaissent successivement dans le
temps :
- L’intelligence collective originelle est celle des petits groupes, de la tribu, de la meute. On
la trouve par exemple chez les équipes de football, les prédateurs qui chassent
en meute, les musiciens de jazz,… Le moyen d’expression est le corps. C’est un espace
physique dont l’architecture est intentionnellement conçue pour donner à ses acteurs la
faculté de voir et percevoir l’ensemble de ce qui s’y déroule (holoptisme). C’est un
système souple, adaptable, réactif et performant. Néanmoins, ce système atteint vite ses
limites tant au niveau du nombre qu’au niveau spatial. L’Homme en s’organisant en société a
donc dû trouver un autre mode d’organisation qui devait permettre de braver le nombre et la
distance ;
- L’écriture est le moyen d’expression qui a permis l’émergence de ce nouveau mode
d’organisation qu’est l’intelligence collective pyramidale. En effet, elle a permis de
transmettre des directives, d’administrer, de compter. Ce système est régit par les normes et
est, par là même, inadapté au changement. L’information est une ressource rare distribuée par
l’autorité. Le travail est divisé et chacun effectue une tâche spécialisée. De ce fait, c’est un
système panoptique (opposé à l’holoptisme), l’information converge vers un point central
(souvent vers le haut de la hiérarchie), et n’est que partiellement, voire pas du tout accessible
aux autres membres (déperdition vers la base). Les Armées, les administrations et les
entreprises sont généralement organisées sous ce mode. Depuis l’émergence d’Internet, une
troisième forme est apparue ;
- L’intelligence collective globale. Elle a les mêmes caractéristiques que l’intelligence
collective originelle mais les systèmes de communication actuels permettent de s’affranchir
des limites du nombre et de la distance. Les canaux d’expression sont les réseaux sociaux, les
wikis, les logiciels libres, l’entreprise 2.0,… Les individus collaborent de leur plein gré, sans
structure hiérarchique dirigiste, dans un but commun.
résumé, l’intelligence collective pyramidale est un mode d’organisation par défaut qui a
émergé pour gérer le compliqué de la taille et de la distance mais inapte à la complexité du
changement et de l’innovation. Nous assistons, avec l’émergence de cette intelligence
collective globale, à une véritable révolution qui bouleverse les modes de collaboration au
niveau de la société, donc au niveau de l’entreprise. Il s’agit pour cette dernière d’engager une
démarche proactive face à ces évolutions afin de ne pas les subir car elle y viendra quoiqu’il
arrive, donc sans retard et sans regret.
Pour compléter, voici une vidéo où Jean-François Noubel explique le concept d’holoptisme :
J’apporterai dans un prochain billet quelques nuances à ce discours, notamment en matière
cloisonner ses sources d’informations, c’est-à-dire conserver une organisation plus ou moins
panoptique
Le panoptisme
Concept développé dans les années 1800 par Jeremy Bentham. Comme exemple une prison
circulaire, où les cellules sont réparties à la périphérie du cercle, avec tournées vers l’intérieur
une surface transparente, ou simplement une grille. On peut ainsi à partir du centre du cercle
établir un poste de surveillance avec une seule personne. Celle-ci pourra, sans que les
détenues le sachent observer l’intérieur des cellules. Ainsi une seule personnes peut surveiller
beaucoup plus de monde et faire peser une contrainte sur un ensemble important de personnes.
On a ainsi une surveillance de 1 (le surveillant) N (les détenus)
C’est un exemple simple d’un réseau de contraintes. (attention à l’analogie avec les réseaux
islamistes !)
Par analogie le panoptisme c’est surveiller tous azimuts.