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- Ces structures s’inscrivent dans un cadre général qui est le capitalisme libéral financier
est créée au XIX’s, qui est profondément transformé en fonction des spécificités des
sociétés qui l’ont inventé, même s’il devient mondialisé à partir des années 1990 (fin du
soviétisme).
- ces structures ont permis l’explosion de la productivité depuis XIX’s et des mutations des
secteurs d’activités (pour les pays précocements entrés dans la révolution industrielle,
passage de secteurs d’activité de l’agricu lture → industrie → tertiaire et tertiaire
supérieur)
productivité = cette productivité est à la source même de la mutation de ces structures et
du bienêtre de la pop.
A) Explosion de la productivité depuis le XIX’s, mais cette hausse est inégale dans
l’espace et dans le temps.
1. Comment mesurer la productivité ?
(def simple) productivité = production / ressources mises en oeuvre pour obtenir cette
production
2- La difficulté d’apporter des chiffres claires sur l’évolution de la productivité pour la période
1800 -1930
● il y a 2 pb pour mesurer la productivité au XIXe (1800 - 1900)
○ les multi activités (cumulation de nombreux types de métier) = car de nombreux
paysans travaillaient également à l’usine, et inversement de très nombreux
ouvriers industrielles travaillaient dans des travaux agricoles.
○ Le volume du travail = comment quantifier l’emploie et la durée effective du
travail. On a des ordres de grandeur.
productivité de:
1830 (début de la révolution industriel en France) → 1949 0,5% / an
1949 (30 glorieuses, premier choc pétrolier) → 1973 4% / an
1973 → 1990 (vingt piteuse, retour de croissance) 2% / an
conséquence La PGF est exceptionnel depuis 1950 elle le reste au delà de 1974 malgré un fort
ralentissement
La productivité du L: 1 heure de travaille en 1990 produit 25x plus qu’une heure en 1830.
Chaque actif employé vers 1990 serait 15x plus productif que vers 1830.
conclusion: que ce soit pour la PGF ou la productivité du L, cette tendance explosive avec les
même évolutions temporelles, est valable pour tous les pays précocement industrialisé au XIXs
et encore plus forte pour ceux qui ont réussi à assurer une remonté de filière complète après
1950, phénomène de rattrapage, ex: japon.
3- Une productivité en très forte hausse mais inégale dans l’espace et le temps
● USA → ont connu une hausse des gains de productivité très régulière entre 1913 et
1975 = ils n’ont pas connu l’explosion de productivité entre 1950 - 75, car les états-unis
avaient déjà un niveau de technologie le plus performant du monde.
● europe de l’ouest et Japon → accélération brutale et très forte pendant la période 45 -
75 qui s’explique par le rattrapage de la productivité horaire sur celle des américains +
un rattrapage du PIB par tête vis-à-vis des Etats-Unis. Aujourd'hui le PIB de ces pays
représente 75% des E-U. La différence s’explique que le taux d’emploi à augm plus
fortement qu’en EU et Japon, et la duré du temps de travail a moins baissé.
● Cassure de la productivité à partir de 1973 - 75 (l’éco ressent le choc pétrolier) → fort
ralentissement des gains de productivités mais qui reste sup à 1950
- Depuis 1990 - 2000, autre point commun → très faible évolution de gains de
productivité relançant le débat sur la stagnation de la croissance en raison de gains de
productivité dans des éco tertiarisés. Voir le chap de la croissance, EFC (éco fondé sur
la connaissance) + ouvrage du belle avenir de la croissance selon lequel notamment en
EU il faudrait conduire des réformes structurelle impopulaire mais nécessaire pour
assurer la production des gains de productivité informatique dans de nombreux secteurs
qui ne l’ont pas, théorie sur la croissance qui nourrit du dev avec très forte présente de
l’état mais structurel.
● 1er révolution industrielle vers 1800 jusqu’en 1870 → révolutionne 4 domaines majeurs
sans pour autant se traduire par une explosion des gains de productivité. Il faut attendre
la 2e révolution industrielle.
4 domaines révolutionnés:
- l’énergie → houille (charbon de terre)/ machine à vapeur.
- des procédés de fabrication → le perfectionnement dans la métallurgie,
fondamentale car elle va permettre d’abaisser le coût des biens
d’équipements → permet la démocratisation du l'acier et la fonte.
- outillage: apparition du machinisme, ie travail plus exclusivement manuel
filière du textile la plus touché
- les transports: transport fluvial + transport terrestre avec la chemin de fer
Pourquoi ces domaines n’apporte pas les gains de productivité, car la diffusion de ces
innovations pourtant révolutionnaires est extrêment lente à l’échelle de l’Etat, car:
- absence d’entreprises concentré, ce qui est peut favorable au deuxième pb
- financement, système bancaire immature
- les réticences culturelles et la trop forte lenteur de l’évolution des institutions
- lenteur des institutions
conséquence en EU, espace de modernité focalisé sur les grandes villes et également sur des
villes nouvelles, Le Creusot
● 3e révolution
- 1970 - 1990 → informatique et internet: problème de l’équipement, il faut
attendre la démocratisation
- pb déploiement d’internet
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2- l’organisation de la production
l’organisation du travail doit être modifiée pour assurer l’efficacité du PT.
● Adam Smith → division du travail technique, ie spécialisés un ouvrier dans un seul
aspect de la production.
● 1880-1970 → L’OST = organisation scientifique du travail, c’est l’organisation dans
toutes les productions industrielles: production de masse standardisées:
- biens d'équipements
- 1980: biens de conso demande suffisante aug revenus des
ménages
● 1900 → le fordisme
- systématisation du convoyeur pour éviter le déplacement de l’ouvrier pour
récupérer les pièces dont ils ont besoin + innovation des tapis roulants → dans
“les temps moderne” charlie chaplin → l’homme est un rouage de la machine
- révolution du rapport salarial, invention du salaire journalier, ie fixé à la journée.
Ford the five dollars the day, c’était le double du salaire moyen versé, mythe car
n’a durée que quelques mois. → la volonté d’instaurer un salaire beaucoup plus
élevé que le marché, s’explique par la volonté de Ford de fixer durablement la
main d'œuvre dans son entreprise afin d'assurer la continuité de la production. ⇒
pour la même raison Ford est le premier qui concentre toutes les activités
nécessaires à la production automobile en une seule entreprise, parce qu’il y
avait trop d'incertitudes sur les fournisseurs mais aussi les circuits de
distributions → pas assez de visibilité sur la production. ⇒ très efficace
- Ford donne naissance à la production de masse standardisée. Ford T (voiture)
convient pour le monde rural et urbain.
● 1980 - 90 → importation d’un modèle, le toyotisme, dans les pays dév → nouvelle
organisation du travail.
- structure beaucoup moins hiérarchisée, avec des échanges réguliers entre
ingénieurs et ouvriers sur les chaînes de prod, par ce qu’on appelle des cercles
de contrôle qualité, ie une réunion.
- prime au mérite, ex introduction de boite à idée
- nouvelles stratégie d'optimisation des cinq zéro
O délé, stock, défaut, panne et
Depuis sa création les maisons mère sont réduites, car elles fonctionnent avec
beaucoup de PME en termes de fournisseur et de production ⇒ pas du tout
bureaucratiques
bureaucratie, ie absence de flexibilité, d’efficacité, de réactivité. Or la
bureaucratisation a été la clé de l’efficacité administratif des entreprises
remarque: depuis 1970 Coase a théorisé la nécessité de faire évoluer les institutions afin
d’aider les entreprises à réduire leur coût de transactions qui augmentent au fur et à mesure
que le coût de production baisse.
Dans les années 2000, la nécessité d’institutions inclusives apparaît une nécessité.
- institutionnalisation de la libre entreprise, généralisé à partir de 1800 dans les pays les
plus précocement touché par la révolution industrielle. Tous les états qui entrent
progressivement dans la révolution industrielle décident de légiférer en faveur du
libéralisme entrepreneurial = on abroge (arrêté) toutes les lois ou réglementation qui
contraint celle de liberté d’entreprendre, ex: France, le loi de Chapelier 1791 → fin de
corporation
● le ”compromis fordiste” = l’école de la régulation qui met en place l’importance de 5
institutions pour assurer la régulation de capitalisme libérales
→ apogé des luttes sociales pour l’établissement d’un rapport salariales régulé par l'État
(avant régulé par le marché) et les conventions collectives = mesure négocié par le
patronat et le syndicat au sein des entreprises qui complète la législation nationale au
bénéfice des salariés, attention en générale PME et ETI n’ont pas la capacité d’en avoir
forcément. Ex: des jours de congés, cadeaux à noël.
○ gains de productivité → conséquence forte augmentation des salaires,
croissance désormais fondé sur une consommation de masse qui a permis le
passage à une production de masse surtout en Europe.
○ demande de masse et la production de masse qui a permis la généralisation de
l’OST. acceptation des ouvriers de l’OST car elle était associée à une hausse
sans précédent au niveau de vie, y compris pour ceux au bas de l’échelle
sociale. Démocratisation du confort qui était réservé aux classes supérieures.
L’OST a permit une incorporation très rapide du PT avec un renouvellement
rapide des machines (ce qui a donné un sentiment d’un rattrapage des gains de
productivité par rapport aux Etats-Unis)
- entreprise baisse son prix de vente, c’est que consommateur qui en est
bénéficiaire (si elle veut s’ouvrir à d'autres marché)
* dépenses pub qui arbitre entre cout privées et cout social: l’Etat doit assurer le cout
social des infrastructures, investissement modernisation administration (administration fiscale
notamment) et investissement démographiques,, investissement démographique dans le
système de santé, pour former du capital Humain
Toutes les entreprises ont vu la hausse de la productivité du travail qui a permis la baisse
générale des prix, baisse générale du temps de travail et la hausse des salaires. On en conclut
que les niveaux de vie ont été fortement augmenté, se traduisant par 3 choses:
- augmenté la quantité de produit par tête,
- qualité des produit augmenté
- diversification sans précédent des produits,y compris dans la volonté de passer à la
personnification des consommateur
- apparition d’une société de loisir.
Selon toute logique de marché, spontanément l’entreprise ne veut pas baisser le temps de
travail des salariés, au contraire l’entreprise cherche toujours à augmenter le temps de travail
de ses salariés. Donc pour contrarier cette loi du marché, il faut faire intervenir l’état → rigidité
du marché du travail
Par le billet de la lutte social
ex: de la France
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2- Les gains de productivités ont profondément modifié la structure de l’emploi et les secteurs
d’activité
structure de l’emploi = manière dont se répartissent les actifs dans les secteurs d’activités, les 3
grands secteurs selon Clark
- le secteur primaire (exploitation des ressources naturelles)
- secteur secondaire (l’industrie)
- secteur tertiaire → services marchands et non-marchands
Schema p. 6
idée en retenir: à l'échelle macroéconomique les gains de productivité sont en général
favorables à l’emploi, entraînent une dynamique de création d’emploi, en revanche dans les
secteurs d’activité concernés par les gains de productivités, si la demande n’augm pas en
parallèle il y a destruction de l’emploi.
A Sauvy 1981, dans “la machine et le chômage” établit une typologie du PT:
- refouleur → détruire l’emploi
- neutre → ne change pas la nature
- multiplicateur → augmente l’emploi
conséquences:1950-70 entre très forte hausse des effectifs industriels qui viennent
massivement de l’exode rural + en raison des forts besoins appel à la population immigré entre
1950-60 italienne, espagnole portugaise et après 1960 algérie, maroc. La population immigré
occupent les postes de L’OS et ouvrier français sont promus au poste de OP.
Après 1970 et surtout 80 baisse massive des effectifs ouvrier au point de parler de la
désindustrialisation des territoires riches et dev.
Les services ont des gains de productivité très longs et très contrastés en fonction des services
concernés mais la demande est très élastique au revenus (plus le revenu augm plus le surplus
des ménages va se concentrer vers les services).
Explosion des effectifs depuis 1945, marqué par la féminisation des emplois dans le secteur
tertiaire, car explosion: secteurs d’éducation et de santé, et les loisirs → explosion de la
création d’emplois de biens supérieurs
En revanche, après 1980, la majorité des emplois créés se concentrent dans les services aux
entreprises liée à l'externalisation des fonctions tertiaires des très grandes entreprises des
secteurs industriels que se recentre sur leurs cœur de métier → il faudrait les effectifs de
l’industrie.
Dans les services: remarque: les gains de productivité sont très diff en fonction des services. J.
Gadrey fait un classement des services (du - vers le +):
- service à la personne (du travail humain): gains de productivité très faible
- service qui entraîne de la manipulation/ opération sur les biens; gains de productivité
modérés.
- services liées à l’information (services financier); gains de productivité explosion
3- La tertiarisation massive des effectifs de l’emploi et la domination du secteur tertiaire dans les
éco de marché après 1980. Est-il vrai que plus une société se tertiarise, forcément en dépit de
l’industrie ?
A priori + une société se tertiarise, plus la part des effectifs industriels et la contribution de
l’industrie à la richesse global diminue.
● En 1970, la concurrence internationale qui entraîne une nouvelle stratégie des FTN
- → délocalisation des usines de production 1960-70
- ou recours à la sous-traitance pour les tâches de production
→ conséquence: diminution du nombre d'usines de production dans les pays
riches et dev.
● De très nombreux emplois depuis 1945-80 très grandes entreprises étaient
comptabilisés en emploi industriel alors qu’il s’agissait de fonctions tertiaires.
stratégies des TGE qui est l’externalisation pour se recentrer sur le cœur de métier.
- poursuite de la loi du déversement
→ nombreux actifs ont quitté le secteur industriel pour les secteurs de services.
remarque: attention → la tertiarisation ne doit pas être amenée de façon rivale avec l’industrie,
cependant toute société aspire à une forte tertiarisation de son éco car elle synonyme d’un
niveau de bien être atteint, de la hausse du capital humain et du dév humain → car en général,
elle requiert des emplois qualifiés avec une moindre pénibilité physique, et mieux rémunérés.
Aussi associé à l'essor des services récréatifs, à la qualité et la diversité des services proposés
et aussi à des avancées sociales fortes notamment pour les femmes, accès au marché du
travail et considération pour les personnes âgées.
elles diversifient leurs activités: prise de participations dans les nouvelles GE concentrées dans
les secteurs modernes, elles deviennent actionnaires des nouvelles sociétés dites anonymes.
→ Les banques et les sociétés de chemin fer, mais ne s’imposent pas dans les secteurs
industriels face aux grandes familles fondatrices → Elles ne sont pas encore les actionnaires
majoritaires
Multiplication des banques d’affaires, ex: Morgan, la Goldman sachs, qui drainent l’épargne des
classes aisées pour des investissements de long terme.
remarque: le financement de l’éco repose sur l’épargne collecté au préalable car la création
monétaire ex nihilo est contrainte par le métal équivalence de l’étalon or, qui se généralise vers
1850-60 pour éviter les conséquences de la loi de Gresham (bonne monnai chasse la
mauvaise)
remarque: La distinction banque d’affaire, banque de dépôt est d’emblé à nuancer selon les
pays.
- En GB forte spécialisation bancaire.
- l’allemagne, la banque universelle, Bismarck favorise la construction de banque qui
utilise l’épargne des riches et de la classe populaire. objectif: mobiliser le plus de fonds
possible pour investir massivement dans la 2 révolution industrielle.
- La France; glissement de la banque universelle de 1852-70 pour évoluer vers la
spécialisation en fonction de la doctrine Germain (1863) généralisé à partir de 1882.
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loi de gresham
au XIX sauf pour la grand bretagne qui est déjà en mono métaisme or. Les monnaies sont en
bi-métallisme (équivalence en or ou en argent) de chaque monnaie nationale. l’or et l’argent
sont aussi des métaux précieux qui ont un cours d’argent (utilisé pour des produits de luxe) et
comme toute marchandise si on reçoit des afflux d’or son cours se déprécie contrairement au
cours de l’argent.
à partir de 1850 → afflux de métal argent en EU, baisse de la valeur du minerais argent et
comparativement une appréciation de l’or. Afflux vient de l’Asie qui paie leurs importation en
minerais argent + découverte de mines d’argent. Agent garde donc l’or car il augmente en
valeur, on se protège de la valeur dans le temps.
Mono-métallisme sur l'étalon or. La mauvaise monnaie chasse la bonne. Plus une seule
monnaie nationale a gagné sur l’or à partir de 1864.
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à l’époque des années 1960 cette approche est peut adopté par les bc
rupture 1882 avec la faillite de l’Union générale qui fait prendre conscience de la nécessité de
cette épargne de sécurité.
● (1800) avant 1830 → il n’y a pratiquement aucuns titres financiers échangés, car les
entreprises n’émettent ni actions ni obligations. Elles se financent par autofinancement
ou par des avances de la part de leur fournisseur ou client. Il faut attendre la création
d’un nouveau statut juridique la SA (société anonyme) = société par actions. Nouveau
statut pour permettre aux entreprises d’avoir davantage de fonds. On autorise aux E
d’avoir comme propriétaire par forcément des fondateurs
pb: les banques et les sociétés de chemins de fer.
Elle donne naissance aux propriétaires actionnaires.
Jusqu'en 1945 les actions sur les marchés financiers sont la minorité des titres échangés,
même si leur part progresse rapidement. Ce sont les obligations (titres de dettes) qui sont
majoritaires dans les échanges financiers → la majorité de ces obligations sont émises par les
Etats. (en france ¼ de l’épargne vers 1900-10 emprunté par la russie)
les entreprises n'émettent pas d’actions car → les GE au statut de SA sont majoritairement
contrôlé par les familles fondatrices, elles ont dû ouvrir leur E au actionnaire autre que leur
famille mais se refuse d’ouvrir davantage leur propriété a de nouveaux actionnaire car elles
risqueraient de perdre
l’explosion de l’activité boursière autour des actions sera surtout à partir de 1980
B) De 1945 à aujourd’hui
Passage d’une forte réglementation des acteurs et des places financières à la globalisation de
ces derniers.
1945 → 1980 = très fort encadrement par les institutions (demande de l’Etat)
● volonté d’une éco de l’endettement → suppose un très grand rôle de la BC
conditions abandon de tous les étalon or (sauf états-unis)
Conséquence: les États ont fortement réglementé la liberté d’action des marchés
financiers existant avec 1945. Objectif: éviter une nouvelle crise comme 1929 et que
l’épargne préalable fasse concurrence à la politique monétaire de la BC.
● dès le milieu des années 1960 prise de conscience de l’inflation structurelle. Début de
réforme pour commencer à réintroduire une logique de financement de marché
- 1980 = globalisation
- déréglementation
- décloisonnement des marchés
- libéralisation totale ⇒ acteurs principaux de ces marchés financiers sont
des bc appelé les too big to fall
en raison d’une inflation structurelle intenable, volonté de revenir complètement à une
éco par épargne préalable → appelé financement de marché. Pour se faire retour à une
liberté d’action
désormais la BC ne joue qu’un rôle secondaire sur le marché secondaire du MIB
Cependant en temps de crises, crise de confiance sur le MIB, la BC joue un rôle central
en temps qu'emprunter en dernier ressort. Enjeu de l’aléa morale des too big to fall.
structure sociale = système qui cherche à comprendre l’organisation d’une société, notamment
le fait que cette organisation résulte de différenciation créée par cette société entre les individus
→ à l’origine de leur organisation sociale.
1) différences entre les individus variables dans l’espace et de le temps = aucune société n’a
les même critères, et ces critères ont été modifiés dans le temps
- critères éco (revenu et patrimoine) → critère majoritaire depuis les révolutions politiques
et industrielles du XIXe car elles ont permis le passage des hiérarchies de droit, aux
hiérarchies de faits ⇒ égalité des droits physique
→ les faits économiques et sociaux ⇒ inégalités entre les individus dans
l'appropriation nouvelle de ces richesses créées et l’accessibilité. Ecole levier de
cette production de richesse.
hiérarchies de droit→ fonde l’inégalité à la naissance
- critères démographiques → l’age et sex
- critères culturels
- critère politique → diversité des opinions
- critère symbolique → prestige, honneur…
page 2
2) Les individus ont interpréter ces différences en avantages et en désavantages, qu’on va avoir
la notion hiérarchisation
3) conséquence de cette interpetation → hiérarchisation sociale = échelle sociale qui distribue
ces avantages en fonction des individus.
- en haut de l’échelle = le contraire
- en bas de l’échelle = individus qui accumule la faiblesse des avantages/ les plus
désavantagés
● possession ou l’absence
● mobilité sociale → pas de mobilité quand on est en haut de l’échelle, car ce sont les
chances des
individus aux échelons inférieurs d'accéder aux échelons supérieurs
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la mobilité
- ascendante → lorsqu’on gravi les échelons
- descendante → déclassement
auto-critique:
- la paysannerie très nombreuse, mais ne forme PAS une classe sociale
- la classe prolétaire est très limité aux grandes villes industrielles
- la bourgeoisie n’est pas encore une classe, elle est très disparate socialement (il y en a
plusieur) car très foncière, attaché à des tradition → donc a du mal à accepter le PT
Ce qu’il a vu:
Cependant K. Marx a été visionnaire sur un aspect ⇒ les conséquences des révolutions
industrielles qui vont accélérer l’exode rural + l’accélération de la concentration industrielle,
qui allait progressivement vider de sens le savoir faire des ouvriers et la négociation avec le
patronat.
→ Il a vu l'extrême précarité de ces masses ouvrières dépourvues de droits sociaux, qui vont
s’organiser en interne pour reconstruire une solidarité intra-ouvrière que les luttes sociales
ouvrières ouvrirons à la naissance de l’Etat social → permet droit sociaux
Or la tertiarisation donne naissance à l’explosion des “employés”. Distinction des ouvriers par
un rapport plus direct à la matière
conséquences:
Dans chaque champ social, les groupes sociaux concernés mettent en place des stratégies de
lutte.
- soit stratégie de conservation pour les classes dominantes
- soit stratégie de subvention → pour les classes dominées: elle vise à légitimer les règles
qui assurent la domination de l’espace.
→ ces deux stratégies peuvent être mises en place au sein des deux classes.
Le “capital” chez Bourdieu page 4
- capitale économique
- capitale culturel
économique → plus un individu possède un stock de capital important + il est situé en classe
dominante.
Cependant Bourdieu nuance en classant → le volume de capital culturel et éco pour rendre
compte des sous-ensembles dominants, dominés dans chaque classe sociale.
→ Rapprochement des groupes sociaux → qui vont avoir une culture de classe pour garder
le capital.
Bourdieu → capital culturel qui est l’enjeu principale des luttes entre les groupes sociaux, car
il y a un rôle déterminant dans la reproduction sociale qui repose pour lui sur deux
déterminants:
- l’origine familiale: capital culturel de la mère en particulier (car c’est elle qui l’éduque)
- déterminant scolaire: analyser par Bourdieu comme étant l’outil par lequel les classes
dominantes maintenant, renforce le pouvoir symbolique dominant sur les dominés
remarque:
Il y a donc des rapports de concurrence entre les arbitraires culturels, entre classes sociales, au
sein même de chaque classe.
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l’approche de Max Weber
Pour étudier la structure sociale il faut créer 3 notions diff mais qui se complètent
Les classes en elle-même → critère éco dans une approche descriptive = approche de la
capacité d’un individu à accéder à des biens, cela entraîne à des situations de classes, mais à
la différence de Marx aucune rivalité entre elles, il n’y a pas non plus de défense d’intérêt
commun.
Les groupes de statuts → apport principal dans l’étude de la structure sociale de Weber.
- Le statut = liens extra éco, ie qui en se tissent pas à travers la sphère économique qui
intègrent socialement l’individu
- Le lien le plus important est la notion de prestige ⇒ c’est le fondement de la hiérarchie
sociale → c’est plus important que dimension éco.
Il repose sur une réalité intersubjective, ie que le prestige est fondé par le regard
d'autrui, qui se fonde par des critère objectifs = autrui va reconnaitre une différenciation
en termes d’avantage par rapport aux autres.
- Même une personne qui n’a pas d'importance revenu peut être placée en haut de la
hiérarchie sociale grâce à ce prestige.
- conséquence ces groupes de statuts génèrent des communautés où le revenu peut être
différent. Leurs membres cherchent à tisser des liens interpersonnels préservés par
l’endogamie (dont on reconnaît le prestige)
- “les partis” = organisations créées par les groupes de statut afin de contrôler l'État. Les
partis → c’est un action collective qui n’est pas inhérente dans la notion de classe ou de
groupe de statut.
conséquences:
l’idée de constellation introduit une dynamique (évolution), où les groupes sont des galaxies qui
grossissent où réduisent. Et elles s’organisent en deux constellations principales
- constellation populaire
- constellation centrale
Seulement au cours des 30 glorieuse les transformations des groupes sociaux ont donné le
sentiment d’un lecture classiste devenant de - en - pertinente. De très nombreux sociologues
Français ont démontré que cette lecture n’était plus de classes en france à la manière de Marx
Notamment Henrie Mendras
Il dit qu'au début du XX s en France, la société française était très fortement hiérarchisée avec 4
grands groupes sociaux.
1. les paysans ⇒ c’est la masse la + importante socialement, mais c’est un groupe
profondément divisé sous forme de communautés territoriales aux identités fortes.
2. la bourgeoisie ⇒ classe dominante qui se caractérise par deux points communs:
- sa sécurité économique, la patrimoine
- Elle travail a imposer sa vision comme les normes légitimes au reste du code
sociale.
3. prolétariat ⇒ mais le fait qu’il soit marqué par l’insécurité et l’extrême précarité, fait
qu’elle
4. les catégories intermédiaires ou la classe moyenne: vers 1900 ce groupe est peu
nombreux parce qu’il se compose uniquement d’employés apparus avec une très faible
tertiarisation de l’éco, retrouvé surtout dans l'administration, les employés des grandes
industries et dans les grands magasins, apparition du travail chez les femmes.
Le statut d’employé de bureau apparaissait comme une ascension sociale considérable pour
les catégories paysannes et les catégories ouvrières, surtout pour les filles (les garçons ouvriers
sont destinés à travailler dans les usines)
car c’est la reconnaissance du diplôme, ie une maîtrise de la langue Française remarquable,
alors même que les revenus éco n ‘étaient pas toujours plus élevés que les ouvriers.
Les employés se sont toujours fait remarquer par leur absence sociale (ne participent pas aux
grèves) et politique (ne votent pas aux extrêmes)
Accélération après 1960 au point que Mendras parle de “la révolution Française” 1965-1984
- voir la transformation des groupes sociaux au XIXs
- analyse:
- fin des culture spécifiques au sein de chaque groupe (les 4)→ au point de parler
d’une seconde révolution Française
- ces cultures spécifiques sont remplacées par la domination des choix individuels
qui efface ces sous cultures spécifiques.
→ le mode de vie n’est plus pensé comme la reproduction du modèle familiale
comme c’était le cas à la fin du XIXs mais une construction permanente par
chaque individu, selon un objectif que ce dernier se fixe et qu’il peut faire évoluer.
En somme le mode de vie devient un objet de stratégie pour chaque individus
(stratégie pour qu’il se construise sa position sociale)
- Les critères de classification traversent la totalité des groupes sociaux organisés
selon lui en constellations, ils en modifient les volumes. La démocratisation du
confort, ie l’acces à la conso de masse grace au 30 glorieuse (fordisme) + ma
massification scolaire + l’accès au soin médicaux et aux loisirs, font que cette
constellation central représente les anciennes classes moyennes dans
lesquelles ont été versé une partie de l’ancienne élite dirigeante vers le haut et
vers le bas une partie des populaire.
- conséquence: l’élite dirigeante ne dirige plus comme c’était le cas avant, elle maintient
une cohésion d’ensemble. Pour Mendras il faudrait cessé d’employer “classe moyenne”
car l’écrasante majorité se considère comme moyens dans de nombreuses dimensions
éco. La moyennisation est l’uniformisation de la manière de s’habiller (l’usage du jean)
sont un outils crée par l’INSEE en 1954 avec les catégories sociaux professionnels CSP
sont devenus les PCS à partir de 1982
- l’outil est d’influence lointaine Marxiste car la classification des individus repose sur un
critère essentiel qui est la profession, Marx donne une hiérarchie selon la position dans
la production.
- c’est une matrice, ie un tableau à double entrée, pour lier la position sociale d’un individu
au moment de l’enquête par rapport à son origine sociale → ce qui donnera la table de
recrutement sociale et par rapport à leur descendance.
à l’origine, uniquement sur une population active masculine de 39 à 59 ans pour qu’il y ait une
stabilité dans la profession occupée. De plus, le sexisme analytique a des raisons objective qui
s’explique par la très faible présence des femmes sur le marché du travail, et celles qui avaient
une carrière coupée.
conséquence: les femmes étaient systématiquement versé à la catégorie de leur conjoint.
Cependant les nouvelles enquêtes portent sur les mères et fille, mais aussi, mère, fille et père,
fille → tiennent compte de la révolution du statut de la femme → accession au marché du travail
et la gestion du travail domestique
Les limites contemporaines de + en + une force hétérogamie dans les ménages, ie que de + en
+ d’individu dans des catégories diff s’unissent.
On compte 6 postes pour les actifs (tableau page 8):
- catégories 1 et 2 → dites non salariés, elles ne sont pas hiérarchiser, conséquence on
ne parle que de mobilité non verticale, soit mobilité horizontale (catégorie 1 et 2), soit
une mobilité de statut (indépendant à salarié)
- catégories 3, 4, 5 et 6 → sont uniquement des catégories salariés hiérarchisées. donc
catégorie considéré comme en haut 3, catégories 6 en bas de l’échelle sociale →
mobilité verticale, soit ascendante ou descendante.
- catégories 7 → retraités
- catégories 8 → les autres personnes sans activités professionnelles (inactifs), élèves,
étudiants, personnes ayant jamais travaillé.
remarque; attention aujourd’hui cette nomenclature évolue encore pour tenir compte de
l’évolution des professions mais aussi des critères de différenciation.
pb:
- Les ouvriers fortement qualifiés ne peuvent plus être considérés comme ouvriers pas
qualifiés.
- dans la catégorie 8, catégorie religieuse plus représentée.
de la page 1 à 10.
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3 approche spécifique à la france ⇒ les catégories socio professionnels → c’est un atout qui a
voulu apprécier la mobilité sociale en france
outil → tables de mobilités.
Très grande influence de type marxiste dans son utilisation, car dans la nomenclature de 1 à 8
on a catégorisé les individus exclusivement par rapport à la position qu’on occupe dans le
système productif.
catégories 1 à 2
catégorie 3 - 6 ⇒ salariés
il y a une hiérarchie sociale entre 3 et 6 alors que ce n'est pas le cas dans 1 et 2. On va parler
d'immobilité, ou mobilité verticale→ ascendante et descendante.
mobilité sociale passant de
limité : bié d’analyse sexiste, jusque les années 1980 les études ne tiennent en compte que le
père et le fils, car les femmes n’étaient pas importante dans le marché du travail.
table de l’origine sociale et table de la destinée sociale.
tables de mobilités:
jusqu’aux années 70 on a 3 types de tables
→ immobilité sociales, appelé “reproduction sociale”
→ mobilité sociale ascendante, ascension sociale, ie changement de catégorie salarié
entre le père et le fils, par, ex passage de 6 à 5…
→ mobilité sociale descendante, changement de catégories uniquement salarié entre le
père et le fils, passant de 3 vers 4…
Cet outil va créer un injonction normative de mobilité ascendante verticale, ie que cet outil
impose comme norme de réussite sociale une mobilité sociale de type verticale = mobilité
sociale verticale, appelé l'ascension sociale.
La limité actuelle est que aujourd’hui le choix de certaines professions entre en décalage avec
les critères d’étude de ce qu’est la structure sociale pour les PCS. Ex: le job out → le départ
volontaire d’un cadre sup à l’emploi stable d’une société importante, pour une réinvention
personnel dans le domaine durable ou caritatif
pour la catégorie n°3 l’injonction normative ne peut pas être l'ascension sociale car elle est déjà
en haut, c’est donc l’obligation de la reproduction sociale.
après les années 1970 ces trois outils ne sont plus vraiment adaptés, car on a une structure
sociale d’un point de vue de l’organisation du marché du travail, qui tend à s’immobiliser, car on
est passé d’une économie industrielle, avec une forte tertiarisation de 1945 à 70, qui passe à
une éco fondé sur la connaissance et ne créer d’emploi que d’un même type = il n’y a plus
autant de création d’emploi assurant une mobilité sociale verticale aussi importante que sous
les 30 glorieuse → on arrive pas a créer autant d’emploi pour les bac +5
idée de mobilité structurel n’est plus pertinente
remarque: même après 1970, la table de départ c’est la table de mobilité brut
toujours commencé par le diagonale →ligne de la reproductions sociale
page 14: Si on prend les tables de destiné précédentes, on constate pratiquement aucuns
changements, ie même proportion d'individus en ascension ou descension par rapport a leur
pere. depuis 1977 ont voit que les enfants dans les même proportion font comme leur parents
C’est un trait surprenant pour les sociologiques car la population augmente et que certaines
catégories sociales,comme agriculteur et ouvrier non qualifié diminuent, alors que d’autres
catégories sociales augmentent notamment profession et cadres. Le nombre d’ascension ou de
déclassement connaît un. PB du déclassement social.
Remarque: Ceux qui ont peur du déclassement sociales sont les catégories 3 et 4, et on va voir
que ce que démontre les études statistique, cette peur du déclassement sociale n’est pas
vérifié, ainsi comment expliquer le sentiment de cette peur du déclassement sociale (on ne voit
pas de déclassement sociale, mais on le souhaite, mais le sentiment de peur de déclassement
est réel et ressentie) D'où vient cette peur qui n’est pas présente ?
morin dit que ceux qui ont lancé la peur de descendance sociale sont les grands parents qui ont
connue une ascension sociale sans diplôme qui ont compris que pour leurs enfants et petits
enfant avec les diplôme qu’ils ont eux, ils ne pourront plus atteindre les même postes, il faut
désormais avoir des diplômes plus élevés avec une qualification plus élevé. C’est cette peur qui
revient sur leurs enfants et sur les petits enfants (nous).
Attention: cette lecture relève plutôt d’une approche rhétorique, ie d’une appropriation par le
discours des hommes politiques mais aussi des professions intellectuelles supérieures
(médecins, journalistes, juges…) plus qu’une réalité tangible. (elle ne relève pas de la réalité)
Pourquoi ?
- il y a encore une très forte hétérogénéité au sein même des deux classes sociales.
- il y a une apparition lente mais de plus en plus quantitative de nouveaux groupes
sociaux, qui préfigure les classes moyennes après 1950.
remarque; le mot les classes moyennes, n’a jamais été utilisé par Henri Mendras, pour lui il n’y
a jamais eu de classe, les 30 glorieuses ont discriminé l’idée d’une classe au sens marxiste. Il
démontre la moyennisation de la société, 3 raisons
- économique: les français ont en général un revenu autour de la moyenne. hausse
globale de revenue
- démocratisation du confort, ie la bourgeoisie n’est pas la seule a y avoir accès
- uniformisation des mœurs et des coutumes.
Ceux qui emploient l’expression les classes moyennes, sont en réalité les tenants d’une
approche classiste de la société culturellement héritée de l’approche Marxiste.
Il existe toujours des exceptions qui sont au cœur du mythe, appelés en France les “capitaines
d’industries” et en amérique “self made man”. Carnegie fondateur d’un empire de l’acier et
Berliet pionnier de l’automobile.
remarque; c’est le début des écoles de commerce, nécessaire en raison de la tertiarisation liées
aux grandes entreprises. École des hautes études commerciales (HEC) 1881. Tout le 19e siècle
voit donc le triomphe de la bourgeoisie à tous les niveaux, qui se compose
- l’ancienne notabilité en perte de vitesse
- nouvelle bourgeoisie indépendant directement lié aux entreprises
- la nouvelle bourgeoisie indépendante liée à la 3 république.
- la nouvelle bourgeoisie salariés formé par les ingénieurs
conclusion: Ce qui fait le triomphe de la bourgeoisie, est le fait qu’elle a une influence bien
supérieure à son propre numérique. Homogénéité grandissante car il y a la volonté au sein de
ce groupe, de valeur et d’objectif commun (notion de classe) → volonté inconsciente mais de
plus en plus consciente de travailler a valeurs commune → classe sociale.
les valeurs communes et partagé par toute la bourgeoisie
- l’épargne → bourgeois réinvestit
- l’ordre familiale
- rigueure en affaire
la structure du comportement;
- structure patriarcale → le père décide
- structure patrimoniale
Ces deux structures se rencontrent dans la gestion de l’entreprise et de la famille. Dans les
deux cas on a le système de régulation sociale mais qui va être pensé comme légitime pour
l’ensemble de la société → gestion paternaliste et autoritaire qui est le mode de régulation
sociale.
Autour de la première guerre mondiale (1900 - 1920) partout en Europe, les sociétés
industrielles nouvelles sont toutes dominées par la haute bourgeoisie → grands patrons des
grandes entreprises et les banquiers. + la moyenne bourgeoisie qui s’efforce d’imiter la haute
bourgeoisie → les petits entrepreneurs, les instituteurs, les médecins généralistes, les
journalistes et les ingénieurs.
La bourgeoisie s’empare progressivement de tous les pouvoirs qui se renforce mutuellement lui
permettant de conforter son influence. Le pouvoir politique est de - en - partagé avec l’ancienne
aristocratie foncière en déclin. Car la nouvelle bourgeoisie industrielle a dominé la presse
moderne, assurant lentement son influence sur une opinion publique émergente. ⇒
conséquence: victoire de + en + forte de candidats bourgeois aux élections au suffrage
universel dans un régime parlementaire ( le pouvoir appartient à ceux qui ont été choisi par le
suffrage universel). Le pouvoir économique → le capitalisme libérale qui s'épanouit, accorde et
légitime que la propriété des usines, banques et terre n’appartiennent qu'à la bourgeoisie. Cela
entraîne que les grandes sociétés sont des groupes qui sont extrêmement influents.
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certaines familles ont développé le travail sur la forge → pour ça qu’on les a appelé les maitre
de forge
conditions de vie:
criminalisation progressive des masses ouvrières par les autres catégories sociales et par l’Etat,
et la mise en avant de l'absence de moralité de ces masses ouvrières mais aussi de
permissivité morale → étiquette de délinquance.
- Car il y a une dégradation des logements ouvrier autour des pôles industriels
- surpeuplement, sous équipements → s’explique par le salaire très bas.
⇒ heurte cette morale de la haute bourgeoisie qui a fait des valeurs familiales leur norme.
La réponse proposée par l’Etat aux explosions de colère est la répression et l’infantilisation pour
les masses ouvrière (refus droit syndicale…)
après 1850, on passe des classes ouvrière à la classe ouvrière au sens Marxiste, ie on voit
progressivement l’organisation des nouvelles masses ouvrière des usines en une forme
collective du changement sociale.
ex; Schneider ont développé un système d’accès à la propriété au logement pour les ouvriers,
avec des prêts.
Respect des traditions rurales de la majorité des paysans issue de la région rurale, et les fête
sont maintenu
École des cadres pour les ouvriers les plus méritants et leurs enfants.
La famille Schneider développe un système de santé unique pour leur ouvriers
Le patronat s’efforce de limiter la montée des idées collectivistes avant K. Marx.
entre 1800-20 → révoltes luddites = destruction de la machine par les ouvriers qualifiés, car la
machine est vue comme destructrice d'emploi.
entre 1820-1850 → prise de conscience des ouvriers qualifiés, que le nouvel atout de combat
ne sera plus leur niveau de qualification (réduite par l’avancé de la mécanisation), mais le
nombre
conséquence: ouverture de la solidarité à ces nouvelles masses ouvrière, qui sont
analphabètes et apolitisés → ce qui permet une instruction de ces dernières.
Après 1850 → début des actions collectives, fréquentes et violentes, qui ont pour objectif la
conquête des droits sociaux.
- réduction du temps de travail journalisé
- hausse des salaires
- amélioration des conditions de travail
C’est la volonté d'institutionnaliser la solidarité interne qu’a su développer cette nouvelle masse
ouvrière = objectif naissance d’un État social.
En france les manifestation ouvrières sont particulièrement violentes → raison la france est un
des dernier pays précocement entré dans la révolution industrielle à légaliser le droit de réunir,
les droit de grève, des syndicats
Conséquence: les masses ouvrières françaises vont développer une culture révolutionnaire,
particulièrement réceptive aux idées Marxistes puisqu’elle préconise cette révolution comme
étant la finalité
1895 → CGT
1864 → Naissance de la première international ouvrière crée par Engles, ie tous les ouvriers
doivent être unis dans la destruction du K libéral, avec 2 branches:
- anarchisme
- marxisme → création en 1889 de la deuxième internationale en allemagne et UK.
En 1914 la classe ouvrière est omniprésente dans le discours politique à droite et à gauche. En
réalité, cette classe ouvrière au sens Marxiste reste peu concrétisée dans la réalité.
car on a un maintien de l’hétérogénéité, cette classe est celle qui a réussi à s'unir dans les
secteurs modernes des grandes villes. Le reste vie encore dans la très grande précarité,
structures paternalistes.
D- l’émergence des catégories intermédiaire, appelé les futures classes moyennes des années
50
● les catégories indépendantes sont en déclins avec l’affirmation de la RI
celle sur la défensive = les petits commerçants. Alors que leur nombre augmente,leur
malaise est grandissant: parce que l’ouverture d’un petit commerce apparaît comme un
substitut à l’usine pour les paysans et les artisans qui voient le monde ouvrier
négativement. Le malaise vient d’une mortalité considérable de ces petits commerces en
raison de la concurrence de la production industrielle, mais aussi de l’évolution de
commerce avec la naissance des grands magasins. Ces petits commerçants vivent
d’autant plus mal cette concurrence qu’ils aspirent à un train de vie de petite bourgeoisie
→ ce qui explique le glissement politique plutôt de gauche jusqu'en 1950 à la droite.
Poujadisme 1963, incarnation de cette révoltes
- conquête des professions libérales en ascension
- profession juridique et médicale, après 70 et 80 avec l’affirmation de la 3e
république et 2 révolution industrielle.
- Professions intellectuelles et artistiques (journalisme, littérature..)
car il y a un pouvoir économique moyen, mais c’est une influence sociale et politique
grandissante. Car il y a une hausse de ce groupe et surtout une valorisation par le
nouveau pouvoir politique puisque ces catégories sont vues comme les nouveaux
comptables.
- on valorise le mérite lié au niveau scolaire
- le talent
- des hommes de science, qui est la nouvelle religion sociale.
remarque: les membres les plus brillants de ces professions libérales sont progressivement
absorbés par la bourgeoisie → transmutation du capital qui leur manquait (il ne leur manquait
que le capitale pour être considéré comme bourgeois)
- très forte hausse des effectifs qui s’explique par le besoins de services dans les grandes
entreprises privées mais aussi dans un état qui se modernise et donc se développe
- Les employés sont nombreux dans le secteur privé avant 45, créer le plus de services
surtout dans les banques, grands commerces et transport.
malaise:
- en raison de l'accélération de l’instruction primaire et l'essor du secondaire et supérieur,
les employés connaissent de + en + de concurrence
conséquence: tassement des salaires qui très souvent rapprochent l’employé avec les
ouvriers les plus qualifiés dans les secteurs modernes.
- féminisation du salariat de + en + forte, car intégrer de + en + de femme fait perde la
crédibilité morale de la fonction.
● ouee
○ Y'a t-il une nouvelle élite de salariés ?
À partir de 1880 le statut de salariés perd son statut social et gagne sa reconnaissance sociale.
Ne sont pas concernés les professions salariés à très haute qualification, salariat public ou
privé.
Dans le public se sont les hauts fonctionnaires, mais aussi les instituteurs et les institutrices, les
professeurs d’université → excellence du diplôme
→ dans les secteurs privés se sont les ingénieurs exclusivement issue des écoles très
prestigieuse
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mardi → transformation éco et financière et la mobilité sociale et transformation sociale avec
l’enjeu des classes sociales.
gain de productivité et de croissance, progrès technique, emploi et croissance. tertiarisation et
croissance. Est-ce que la tertiarisation peut permettre des gains de productivité ? avec un pib
imparfait aspect qualitatif alors que ca vise quantitatif ⇒ sous partie à l’écrit avec des bons sujet
d’oraux.
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Mais ce groupe reste ouvert aux nouveaux grands patrons qui souhaitent transmuer leur capital
économique en capital symbolique. objectif: le parrainage et le mariage.
pb: la quasi totalité des sociologues souligne que la classe identifiée par Pinçon et Charlot
pinçon est tellement fermée sur elle-même qu’elle n'exerce plus de séduction sur les autres
catégories sociales car elles semblent trop fermées sur elles même dans un mode de vie ou
plus personne n’arrive à se projeter.
2. classe dirigeantes
Le point commun entre eux est le rapport au pouvoir, appelé la bourgeoisie managériale.
reconnaissance de l'excellence scolaire. reconnaissance internationale du prestige des
diplômes.
Car c’est cette excellence scolaire qui va forger la reconnaissance mutuelle au sein de
ce groupe. 3 catégories:
- les cadres supérieurs salariés des grandes entreprises (top management)
- les chefs d’entreprises de PME et d’ETI sur les secteurs technologiques et
financiers.
- les hauts fonctionnaires
- les dirigeants politiques
1 er idée: les sociologue s’ils parlent d’une classe dominante ce n’est plus au sens Marxiste,
pour
- l’hétérogénéité
- la diversité des buts → on peut douter des stratégies au sens de moyens pensées et
réfléchies pour assurer la reproduction de la dominance.
pb: pour Bourdieu, il faut cependant superposer l’idée de classe possédante avec l’idée de
classe dirigeante = pour obtenir la classe dominante.
Le capital éco reste déterminant pour accéder au capital scolaire. Les grandes écoles restent
ainsi fortement marquées dès leur origines par une très forte endogamie sociale puisqu’elle
marque parfois la naissance de dynastie familiale.
Pour Bourdieu, il y a la persistance d’une classe de bourgeois qui repose sur un stock de capital
économique transmué en capital symbolique.
Lutte de classe pour la domination des champs sociaux.
Pour Busino, la trop forte hétérogénéité discrédite l’idée de classe. Il parle au mieux d’élites, car
elles sont diversifié et de + en + féminisé → anti bourgeois. Les femmes aux pouvoir dans la
sphère publique est une valeur anti-conformiste.
met en lumière le renouvellement dans les flux de mobilité sociales rendu possible avec la
nouvelle éco fondée sur la connaissance. ⇒ mobilité social ascendante ou descendante →
fluidité.
Évolution forte des mœurs à l’intérieur de ce groupe des élites.
2 point commun, notion de lutte prolétaire vs bourgeois chez marx → lutte des classes
Boudieur → luttes des classement, inter-catégoriel, et intra-catégoriel partie dominante et
dominé. Catégorie dominante fait des stratégies de maintien.
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2 -Que reste-t-il de la classe ouvrière ?
la classe ouvrière n’existe plus mais la condition ouvrière toujours.
De 1944 → aux années 1965 = apogé de la classe ouvrière au sens Marxiste hérité du XIXs.
- prestige conquis dans la résistance ( → le communisme)
- en France participation dans le programme du conseil national de la résistance CNR
(programme des droits sociaux) et lancement de la sécurité sociale.
- Avec l’apogé du compromis fordiste → les syndicats ouvriers (secteurs: transport, doc,
métallurgie) sont les acteurs centraux du changement social.
- ⇒ fierté ouvrière qui va exercer une influence sur toute la vie sociale, la condition
ouvrière perd son indignité sociale, même si l’ouvrier est en bas de l’échelle sociale.
A partir du milieu des années 60 jusqu'à 1980-2000 crise d'identités ouvrière qui commence à
fragiliser la classe ouvrière
fragilisation éco liée aux mutations des structures éco avec l'électrochoc de 1963→ la première
fermeture des mines de Decazeville, car le compromis notamment le modèle lié à la
standardisation commence à s'essouffler et le début de la concurrence des nouveaux pays
industriel, la Turqui, Japon… Qui s'intègre dans la division international du travail.
fragilité culturel → le nouveaux grossissement des ouvriers sans traduction industrielle → qui
sont
- les jeunes du monde rurale sans tradition de combativité
- les immigrés → racisme très fort
- les femmes
occupent les postes d’OS, fracturé avec les OP.
les classes moyennes supé peuvent être largement confondu avec la bourgeoisie, peut être à la
frontière du 2e ensemble de la bourgeoisie.