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L'histoire de la rhétorique rassemble les usages pratiques de l'art oratoire ainsi que les études et
traités théoriques sur l'éloquence et le système rhétorique. Elle prend sa source dans la Grèce
antique pour être redécouverte au XXe siècle, à travers les besoins de communication.
La rhétorique vise donc à persuader un auditoire sur les sujets les plus divers. Elle a progressivement
laissé place à un art de bien dire plutôt qu’un art de persuader, se restreignant à un inventaire de
figures relevant des ornements du discours.
Aristote (384 AVJC - 322 AVJC) : la rhétorique repose sur trois piliers
Ethos : le style pris par l’orateur pour capter l’attention, instaurer la confiance
Logos : La logique et l'argumentation demeurent des outils puissants pour persuader. Dans le monde
actuel, cela implique souvent de présenter des données factuelles, des analyses approfondies, des
études de cas et des arguments bien structurés. De plus, la capacité à utiliser des outils
technologiques et des visualisations de données peut renforcer l'impact du logos dans la
communication persuasive.
Pathos : Toucher les émotions et les sentiments du public reste crucial pour susciter une réponse
émotionnelle et une adhésion à un message. Cela peut inclure l'utilisation d'histoires personnelles,
de témoignages, de métaphores et d'images évocatrices pour créer une connexion émotionnelle
avec le public. Dans l'ère numérique, les médias visuels tels que la vidéo et les images sont souvent
utilisés pour amplifier l'impact du pathos.
Au XVème siècle, un imprimeur du nom de Jean Mentel à Mayence est l'un des premiers à
créer des réclames, ce qui est essentiellement le début de la publicité telle que nous la
connaissons aujourd'hui.
Au XVIème siècle, les affiches deviennent de plus en plus courantes. Elles sont utilisées pour
promouvoir des événements comme les spectacles, les loteries, mais aussi pour exprimer des
opinions politiques et religieuses.
En 1539, sous le règne de François 1er en France, un édit accorde au roi le monopole de
l'affichage et interdit aux gens d'arracher les affiches sous peine de punition corporelle.
Au XVIIème et XVIIIème siècle, les affiches deviennent plus élaborées avec l'introduction
d'illustrations et de couleurs, bien que celles-ci soient encore limitées. Elles sont utilisées
pour annoncer toutes sortes de choses, comme la vente d'esclaves, le recrutement militaire,
les articles de mode, les nouveaux livres, les compagnies de transport, et même les nouvelles
boutiques.
En 1722, un arrêt du Conseil d'État en France organise officiellement l'affichage public et
réglemente l'activité des personnes chargées de coller les affiches.
En résumé, au fil des siècles, la publicité a évolué depuis ses modestes débuts avec des réclames
imprimées jusqu'à devenir un élément omniprésent de notre quotidien, influençant nos choix et nos
comportements de manière importante.
Le brand content :
ou contenu de marque, consiste à promouvoir un produit ou une marque en racontant une histoire
captivante et en créant un univers distinctif autour de celle-ci. Cette approche met l'accent sur le
partage de contenus intéressants et pertinents pour le public cible, plutôt que sur la publicité directe.
Ce contenu peut prendre diverses formes, telles que des articles de blog, des vidéos, des podcasts,
des posts sur les réseaux sociaux, des infographies, etc. L'objectif est d'engager les consommateurs,
de susciter leur intérêt et leur fidélité à la marque, tout en renforçant l'image de celle-ci.
Le brand content peut être créé en interne par l'équipe marketing de la marque, mais aussi être
confié à des agences de communication ou de contenu, à des freelances ou même impliquer la
participation des consommateurs eux-mêmes, par le biais de concours, de témoignages, ou de
collaborations.
En mettant l'accent sur le storytelling et la création d'univers riches et captivants, le brand content
cherche à établir des liens émotionnels avec le public, à générer de l'engagement et à encourager
l'interaction, contribuant ainsi à renforcer la notoriété et l'image de la marque.
La communication implique l'émission de messages pour changer l'attitude des gens sur les
plans cognitif (pensées), affectif (sentiments) et/ou conatif (comportement). Il faut non
seulement envoyer des messages, mais aussi s'assurer qu'ils sont entendus et compris par
les bonnes personnes, c'est-à-dire la cible visée. Cela implique un émetteur (celui qui envoie
le message) et un récepteur (celui qui le reçoit), et la communication efficace nécessite une
interaction entre les deux parties.
Quels sont les principaux publics de la communication marketing ?
Objectifs d’image :
*Capitaliser sur une image liée au positionnement
*Générer de la sympathie autour de la marque
*Créer une personnalité forte, distincte de la concurrence.
*Modifier l’attitude des conso. vis-à-vis d’1 produit / d’1 marque
*Susciter l’émotion, le désir, le rêve
Objectifs de comportement :
*Fidéliser la cible
*Inciter le consommateur à utiliser le produit
*Générer du trafic en PDV
*Pousser le prospect à se renseigner sur le produit
*Modifier ou renforcer des habitudes d’achat
Le modèle de McGuire se présente sous forme de succession de traitements cognitifs linéaires et
hiérarchisés. Le manquement d’une des cinq étapes peut engendrer des défaillances, ou même
l’impossibilité de la poursuite du traitement.
L’acceptation du message
Imaginez que vous avez deux idées ou croyances qui entrent en conflit dans votre esprit.
Cela crée une sorte de tension ou de malaise psychologique, que l'on appelle la dissonance
cognitive.
Selon Festinger, si cette tension est légère, vous pourriez ne pas trop vous en soucier. Mais si
elle devient trop importante, vous aurez tendance à vouloir la corriger.
La façon dont vous réduisez cette dissonance dépend de deux choses principales :
l'importance des idées en conflit pour vous et votre sentiment de contrôle sur ces idées,
ainsi que les récompenses potentielles qui pourraient découler de la résolution de ce conflit.
Maintenant, imaginez que vous êtes un marketeur. Lorsque vous créez un message
publicitaire, vous devez faire attention à ne pas créer une dissonance cognitive trop
importante chez votre public. Cela signifie que vous devez éviter de présenter des
informations qui pourraient entrer en conflit avec les croyances ou les valeurs de votre
public cible, car cela pourrait les rendre mal à l'aise et moins enclins à acheter votre produit
ou service.
En résumé, la dissonance cognitive est le malaise que l'on ressent lorsque nos idées entrent
en conflit. Les marketeurs doivent éviter de provoquer ce malaise chez leur public en
s'assurant que leur message ne contredit pas trop les croyances ou les valeurs de leur
audience.
Le modèle ABX est une théorie de la communication élaborée par Theodore M. Newcomb, un
psychologue américain, dans les années 1950. Ce modèle vise à expliquer comment les attitudes se
forment et changent à travers le processus de communication interpersonnelle.
A : Attitude initiale - C'est l'attitude de départ d'une personne envers un objet, une idée ou un
individu.
X : Attitude finale - C'est l'attitude que la personne adopte après avoir été exposée à l'information
ou à la communication.
Selon le modèle ABX, le changement d'attitude (de A à X) est influencé par plusieurs facteurs :
Les caractéristiques du récepteur : Les valeurs, les croyances et les expériences antérieures du
récepteur peuvent influencer sa réaction au message.
Également connue sous le nom de "Cybernetics" ou "Thérapie brève", repose en effet sur le
postulat selon lequel il est impossible de ne pas communiquer. Cela signifie que tout
comportement, même s'il ne comporte pas de parole, communique quelque chose. Ainsi,
chaque interaction entre individus, que ce soit verbalement ou non, est considérée comme
une forme de communication.
McLuhan soutenait que la télévision, en tant que médium, a un effet unique sur la façon dont
nous recevons et traitons l'information. Par rapport à la presse écrite, par exemple, la
télévision offre une expérience sensorielle beaucoup plus immersive. Elle combine non
seulement le son et l'image, mais elle le fait de manière dynamique et en temps réel. Ainsi,
même si le contenu d'un programme télévisé peut être le même que celui d'un article de
journal, la façon dont il est présenté – la télévision par opposition à l'écrit – peut altérer notre
compréhension et notre réception de ce contenu.
Un "médium chaud" est un moyen de communication qui offre une grande quantité
d'informations détaillées. Il ne nécessite généralement l'utilisation que d'un seul sens
pour être compris. Ces médias sont souvent très clairs et précis dans la façon dont ils
transmettent des informations. Ils demandent généralement une faible participation
de la part de celui qui reçoit le message, car les informations sont présentées de
manière complète et facilement compréhensible. Par exemple, un livre fournit
beaucoup d'informations détaillées sous forme de texte, une photographie capture
des détails visuels précis, et les réseaux sociaux comme Facebook permettent de
partager des informations diverses de manière claire et détaillée.
DEFINITIONS :
La stratégie media : regroupe toutes les opérations qui visent à sélectionner les meilleurs
médias à mobiliser pour véhiculer vos messages, notamment publicitaires. »*
Objectif principal de la stratégie media :
Diffuser le bon message à la bonne cible au bon moment
Elle doit permettre de répondre à 3 questions :
•Où communiquer ?
•Quand communiquer ?
•Via quel media communiquer ?
2 approches médiatiques principales :
•Une approche concentrée
•Une approche dispersée
7. Elaboration du media planning
Le media planning :
1)Les interdictions légales d’utilisation du média pour certaines catégories de produits (par exemple :
l’alcool).
2)Les délais de réservation de l’espace dans les médias.
3)Les délais de production des messages.
Le media planning
2)La pénétration
3)Le taux de couverture : désigne le pourcentage de personnes touchées par la publicité qui font
partie du groupe cible. La fréquence représente le nombre de fois où les personnes de notre cible
voient la publicité
4)La répétition moyenne :est le nombre de contacts publicitaires moyen enregistré par individu
exposé à une campagne. Une répétition moyenne de 5 signifie qu'en moyenne les individus exposés à
une campagne ont vu 5 fois l'objet publicitaire.
5)Le point de couverture : permet de mesurer la pression publicitaire pour une campagne publicitaire
donnée : c'est le nombre moyen de contacts publicitaires obtenus sur 100 personnes de la cible visée
Objectif du sponsoring :
Le marketing digital :
Le marketing digital englobe l'utilisation de médias numériques pour promouvoir et
distribuer des produits ou services. Cela comprend l'utilisation des données utilisateur
(big data) pour comprendre les intérêts des clients, la veille stratégique, et
l'enrichissement des offres grâce à des services en ligne tels que le paiement et la
livraison. Les entreprises peuvent également générer des revenus supplémentaires
grâce à des modèles commerciaux tels que l'affiliation et la revente de données, tout
en intégrant des canaux de distribution en ligne et hors ligne pour offrir une
expérience client cohérente. Les SMS par exemple font partis de la communication
digitale!
Il correspond à l’ensemble des méthodes et des pratiques marketing sur Internet, plus
largement sur l’ensemble des outils numériques.
Concerne un ensemble d’activités très diversifiées :
Nouvelles tendances
Avant : Communication up to bottom
Avant, la communication se faisait de haut en bas, ce qui signifie que les entreprises ou les
marques communiquaient principalement vers leurs clients, leur imposant des messages et
des informations.
Aujourd’hui:
Une communication bottom to up
Voire, une communication bottom & up
Aujourd'hui, la communication se fait de bas en haut, voire dans les deux sens, ce qui signifie
que les entreprises écoutent et interagissent davantage avec leurs clients. Les sites web et
les réseaux sociaux jouent un rôle clé dans cette nouvelle approche, car ils permettent aux
clients de partager leurs opinions et leurs expériences, tout en permettant aux entreprises
de répondre directement à leurs besoins et à leurs préoccupations.
Le marketing de marque consiste à promouvoir et à renforcer l'image et la réputation d'une
marque. Dans ce contexte, les sites web et les réseaux sociaux sont utilisés comme des outils
pour rapprocher la marque de ses clients et encourager le partage d'informations et
d'expériences, ce qui contribue à renforcer la relation entre la marque et ses clients.
Ces changements créent de nouveaux comportements et intérêts chez les gens, différents de
ceux d'avant. Pour les entreprises, cela signifie qu'elles doivent intégrer le numérique dans
tous les aspects de leur fonctionnement, y compris le marketing, au lieu de le considérer
comme quelque chose de séparé.
Partage : Le marketing moderne se concentre de plus en plus sur le partage, que ce soit en
encourageant le partage d'expériences entre les clients sur les réseaux sociaux, en créant des
campagnes virales ou en favorisant le partage de contenus générés par les utilisateurs.
Co-construction de soi : Les marques cherchent de plus en plus à impliquer les consommateurs
dans la création et la personnalisation de leurs produits ou services. Cela peut se faire par le biais de
programmes de co-création où les clients contribuent aux décisions de conception, ou en permettant
aux clients de personnaliser leurs produits selon leurs préférences.
Internet et les réseaux sociaux changent la communication des organisations pour plusieurs raisons :
Les entreprises peuvent interagir plus facilement avec leur public.
Internet supprime les obstacles de temps et d'espace.
Les différents types de médias se mélangent davantage en ligne.
Internet fait partie intégrante de la stratégie de communication des entreprises.
Il permet une surveillance des tendances émergentes, des conflits et des opportunités.
EXEMPLE : start up LA VIE a réussi à entrer dans le panel de Burger King en utilisant les réseaux
sociaux et des actions directes pour promouvoir leur produit et répondre à une demande des
consommateurs.
Pour réussir dans le monde numérique, il est important que tous les outils et actions de
communication d'une entreprise fonctionnent ensemble de manière cohérente. Cela crée un
écosystème numérique fort qui représente bien la marque.
Il est essentiel d'avoir un plan global pour la transformation digitale de toute l'entreprise. Ce
plan permet de fixer des priorités stratégiques et de les mettre en œuvre de manière efficace
dans toutes les parties de l'organisation.
Tout comme il est important d'avoir un plan de communication avant d'agir, il est tout aussi
crucial d'avoir un plan digital bien défini. Cela assure que toutes les actions numériques sont
alignées et contribuent aux objectifs de l'entreprise.
Leviers de génération de trafic : Il existe divers moyens de générer du trafic vers un site web ou un
support en ligne. Cela peut inclure des techniques de référencement naturel (SEO) pour améliorer le
classement dans les résultats de recherche, des campagnes publicitaires payantes sur les moteurs de
recherche (SEA), la publicité sur les réseaux sociaux, la diffusion de contenu attractif, etc.
Publicité dans la presse écrite : Certains journaux ou magazines acceptent des annonces publicitaires
payantes pour générer du trafic vers un site web ou pour promouvoir un produit ou un service.
Paiement pour être en tête des résultats de recherche : Il est possible de payer pour que votre site
web soit positionné en haut des résultats de recherche sur des moteurs comme Google. Cela se fait
généralement via des campagnes de publicité payante au coût par clic (CPC).
Gestion des commentaires négatifs : En ligne, il est possible de payer pour supprimer des
commentaires négatifs ou indésirables sur les réseaux sociaux, les sites d'avis ou d'autres
plateformes. Cependant, cela peut être controversé et doit être géré avec prudence pour éviter des
répercussions négatives sur la réputation de l'entreprise.
2. Vers le serviciel
Croissance du secteur tertiaire : Les domaines comme le transport, le commerce et les
services aux particuliers et aux entreprises sont en pleine expansion.
Transition de la possession à l'usage : Les entreprises passent d'une logique où les clients
possèdent des produits à une logique où ils paient pour leur utilisation. Par exemple, au lieu
d'acheter une imprimante, les clients peuvent payer pour chaque page imprimée.
Développement de l'économie collaborative : Des entreprises comme Airbnb et BlaBlaCar
facilitent le partage des ressources entre les gens. Par exemple, les particuliers peuvent louer
leur logement ou proposer un covoiturage à d'autres personnes.
Michelin : Michelin propose désormais des solutions où les clients paient en fonction de la distance
parcourue avec leurs pneus, plutôt que d'acheter les pneus eux-mêmes.
B. Consommateur 4.0
Consommateur média : -Il crée et partage des contenus avec ses pairs, notamment via son propre
blog, ses vidéos sur YouTube ou en consultant d'autres sources en ligne.
Consommateur intelligent :-il comprend la valeur de ses ressources et compétences, et est capable
de déchiffrer les messages marketing des marques.
Consommateur en quête de rapidité et de gain de temps :-Il recherche rapidement des informations
sur les produits et marques qu'il achète, désirant des réponses immédiates à ses questions.
Consommateur social et affectif :-il recherche des interactions sociales et émotionnelles, souhaitant
discuter et échanger avec d'autres consommateurs ainsi qu'avec les marques.
Consommateur recherchant l'équité dans ses échanges : -Il veut être traité de manière équitable par
les marques, aspirant à une relation équilibrée et mutuellement bénéfique.
B- Qu’est ce qui doit être évalué ? Tout !
Communication commerciale : -Pour les produits (biens ou services), elle met en avant les
caractéristiques et avantages du produit.
Communication de marque : -Elle vise à promouvoir la valeur de la marque et son identité à travers
tous les produits associés.
Qualitatives :
Focus group,
Entretien (non-directif, semi-directif, directif),
Observation (en ligne et IRL)…
Quantitatives :
Questionnaire (Face à face, auto-administré, en ligne, par tél., etc.)
Expérimentation…
Quand évaluer ?
Les 3 principaux objectifs de la communication : faire agir, être aimée, être connu/compris
En communication interne, cela implique de connaître le rôle des individus au sein de l'organisation
(par exemple, s'ils travaillent en front office ou en back office), leur statut (manager, employé,
stagiaire, etc.) et d'autres caractéristiques telles que le potentiel, le niveau d'ancienneté, etc.
En communication externe, cela implique de segmenter votre public en fonction de critères comme
le sexe, l'âge, la localisation géographique, les intérêts, etc., comme cela est fait dans le cadre du
marketing.
Cela permet de formuler des objectifs plus précis en termes de résultats attendus de la
communication.
Par exemple, un objectif quantitatif pourrait être que 80% du public exposé à une campagne
publicitaire soit capable de reconnaître la marque après cinq jours.
Pré-test :
Le pré-test est réalisé avant le déploiement de la campagne de communication.
Il permet de choisir entre différentes alternatives et de s'assurer que le message est bien
compris par la cible.
Il vise également à améliorer la qualité technique du message et à limiter les risques de
mauvaise interprétation.
L'objectif est d'augmenter les chances de réussite de l'action de communication.
Post-test :
Le post-test est réalisé après la diffusion de la communication.
Il mesure différents indicateurs pour évaluer l'impact du message sur la cible.
Parmi les indicateurs à mesurer, on trouve :
Le score de reconnaissance : le pourcentage de personnes ayant vu ou entendu le message.
Le score d'attribution : le pourcentage de personnes pouvant nommer l'entreprise ou le
produit.
Le score d'appréciation : le pourcentage de personnes qui apprécient le message.
L'attractivité du message : sa capacité à attirer l'attention.
La compréhension du message : le pourcentage de personnes ayant bien compris le message.
L'acceptation du message par les différentes cibles.
La crédibilité du message.