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LA question de l’acceptabilité
Théorie des parties prenantes de Freeman (1984) et autres approchesLa théories des parties
prenantes de Freeman and Reed 1983
Les principes de de responsabilités exigeant que l’entreprise travaille avec ses parties
prenantes pour prendre conscience de ses impacts négatifs, mieux les anticiper pour éviter ou
les corriger.
Question majuere de la représentativité et de la légitimité des parties prenantes
+enquête terrain
Typologie dePP, importance du projet pour la PP, interet de la PP pour le projet, impact du
projet sur la PP, ressources de la PP, influence/pouvoir de la PP sur le projet ;
influence/pouvoir de la PP sur l'entreprise., position a adopter avec la PP
Qualification cartographie
Mitchell et al (1997) les classent en sept types de repartis en trois catégories , les parties
prenantes « latentes », « en attente » et « qui font autorités »
Analyser les relations entre l’entreprise et ses parties prenantes. Elles doivent faure
l’objet d’une bonnes gestion tout au long du cycle de vie du projet . Il est important que le
projet soit intelligible et compréhensible par tous.
- Maitrise dans l’entièreté du cycle (construction, acceptabilité, soutenabilité)
- Maitrise de l’environnement règlementaire et normatif (Winch 2000)
- Gestion des partie prenantes (dialogue, partage d’informations, fixations d’objectifs
communs (Jergeas et al. 2000) )
- Maitrise et respect de procedures légales et sociale ( procédures , programmes de
compensations)
Huault et al, 2002 : pour qu’un projet puisse résister à une contestation, l’entreprise ne
choisira pas forcément les solutions les plus économiquement logiques mais s’orientera vers
celles socialement acceptables
Une bonne gestion des parties prenantes nécessite de leur donner une place et de la légitimité
dans les processus de décision tout au long du cycle de vie du projet
Le garant d’une bonne collaboration sont une bonne anticipation une étude anticipée des
impactes claire et passionnée , une posture analytique sérieuse et documentée , une
transparence assumée et un temps suffisamment long pour s’informer , se consulter et changer
Les indicateur utiles aux pilotage
Le Pacte mondial est un acteur central dans l’accompagnement de ses entreprises membres
pour construire un monde plus durable et inclusif. Avec le large soutien des 193 pays
participants à l’Assemblée générale des Nations Unies, le Pacte mondial est l’autorité
universelle et le point de référence pour l’action et le leadership au sein d’un mouvement
mondial croissant de durabilité des entreprises. 24592 entreprises membres à travers le
monde Plus de 1 600 entreprises sont déjà engagées au Pacte mondial de l’ONU – Réseau
France.
listes des entreprise negagées : https://unglobalcompact.org/what-is-gc/participants/search?
search%5Bkeywords%5D=kering&button=&search%5Bsort_field%5D=&search
%5Bsort_direction%5D=asc&search%5Bper_page%5D=10
« Le Pacte mondial de l’ONU offre aux entreprises un cadre de principes (les Dix principes
du Pacte mondial) et un panel de services, qui permettent d’anticiper et de se préparer aux
exigences de la CSRD. En adhérant au Pacte mondial, les entreprises s’engagent à respecter
les Principes directeurs des Nations unies relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme
(UNGP) et les Dix principes du Pacte mondial de l’ONU. Ce cadre, reconnu de façon
universelle, comprend la protection et le respect des droits de l’Homme, des normes du
travail, de l’environnement et la lutte contre la corruption. Au travers de ces Dix principes, le
Pacte mondial des Nations unies a pour mission d’accompagner la mise en œuvre de
l’Agenda 2030 et l’appropriation des 17 Objectifs de développement durable (ODD) par le
secteur privé.
Ainsi, les entreprises déjà membres du Pacte mondial ont un avantage certain pour se
préparer à adopter la CSRD. En effet, le respect des Dix principes, la mise en place des
Principes directeurs de l’ONU et la contribution aux 17 ODD ont permis aux entreprises
engagées de développer une culture de responsabilité sociale et de durabilité, bien avant que
la CSRD ne devienne une réalité réglementaire. De fait, par l’intégration des principes du
Pacte mondial, ces entreprises ont déjà acquis une longueur d’avance en matière de
présentation de leurs impacts environnementaux et sociaux. En s’engageant pleinement au
Pacte mondial, elles progressent dans leur démarche, et sont donc mieux préparées pour
répondre aux nouvelles exigences en matière de reporting extra-financier imposées par la
CSRD.
Le leadership des entreprises membres du Pacte mondial
Le Pacte mondial offre un cadre d’engagement universel et volontaire. Par leur adhésion et
leur implication, les entreprises membres contribuent à son dynamisme et démontrent leur
engagement en intégrant pleinement le développement durable dans leur stratégie. En
adoptant les principes directeurs de l’ONU, ces entreprises jouent un rôle essentiel dans
l’atteinte des ODD pour assurer la paix et la prospérité pour les peuples et la planète.
En conclusion, la CSRD marque un tournant majeur pour les entreprises européennes en
matière de responsabilité sociale et environnementale. Cette directive représente une
opportunité pour les entreprises de repenser leurs pratiques commerciales et leurs stratégies
vers des modèles plus pérennes, et donc vers une architecture économique plus durable. En
d’autres termes, la CSRD amène à changer le prisme de l’entreprise : la seule performance
financière ne peut plus être une finalité si celle-ci porte atteinte à l’environnement ou au
social ou ne s’inscrit pas dans une trajectoire de neutralité carbone. Alors que la transition
vers la neutralité carbone et un monde plus viable est une nécessité, les entreprises qui
adoptent de fait un modèle d’affaires plus résilient et pérenne seront mieux préparées pour
faire face aux enjeux futurs. La CSRD et le Pacte mondial ouvrent la voie à un secteur privé
plus responsable, éthique et respectueux de la planète, et qui créera de nouvelles possibilités
d’innovation, d’investissement et d’emploi.