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La durée et le temps de travail correspondent au temps passé par les salariés à exercer leur

activité professionnelle en étant à la disposition de l’employeur, sans pouvoir vaquer librement à


leurs occupations.

C’est le Code du travail qui fixe cette durée légale du travail, mais la convention collective
applicable à l’entreprise peut prévoir une autre durée. Dans tous les cas, la durée du travail doit
être précisée dans le contrat de travail du salarié.

La durée légale du travail est fixée à 35 heures par semaine, avec un temps de travail maximal de
48 heures sur une même semaine. La durée légale du travail peut également être calculée sur le
mois ou l’année.
Les heures de travail effectuées au-delà de la durée légale du travail sont des heures
supplémentaires ou complémentaires si le salarié est à temps partiel. ÉCONOMIE : AU
TRAVAIL, LES SENIORS !
« À 50 ans, on vous dit que vous êtes bon pour la casse ! Trop jeune pour prendre votre retraite,
trop vieux pour travailler », tempête François, directeur et fondateur de Cadres Senior
Consulting, un cabinet de recrutement. Un sentiment largement partagé par les quinquagénaires
qui atterrissent brutalement sur le marché du travail : 48,2 % des 55-59 ans et 73,2 % des plus de
60 ans connaissent un chômage de longue durée. Alain, 54 ans, raconte avec humour que « les
entreprises me rappellent sans cesse mon âge. » En réponse à ses candidatures, elles lui
expliquent qu’elles « réorientent leurs politiques d’embauche vers des profils plus juniors ».
Le climat est plutôt au pessimisme. En quatre ans, le taux de chômage des plus de 50 ans a
augmenté de 70%. Et si le taux d’emploi des 55-64 ans (part de la population qui travaille)
progresse, porté par le papy-boom, il n’atteint en France que 45,6 %, contre 64 % en Allemagne
ou 62 % au Danemark. Les pouvoirs publics, en mal d’inspiration, cherchent une mesure
miracle. Et la question devient de plus en plus urgente à mesure que la population vieillit et que
l’âge de la retraite recule. « Il est temps de changer de regard sur les seniors au travail, observe
Anne-Marie Guillemard, sociologue et professeur à l’université Paris-Descartes. Il faut en faire
un atout, une opportunité économique. »
Le parisien, 03 avril 2015 Dans le monde moderne des avancées technologiques, nous avons
accès à de nombreux appareils qui facilitent notre travail tout en économisant du temps et de
l’énergie. C’est donc une bonne option de concevoir des robots pour effectuer des activités qui
sont généralement effectuées par des humains dans de grandes usines ou organisations.

Il est sage et logique d’utiliser l’automatisation robotique pour les tâches répétitives et
laborieuses dans les industries conduisant à une productivité plus élevée, une production de
qualité et un environnement de travail sûr. Mais il existe divers avantages ainsi que des
inconvénients associés à l’application de robots dans les secteurs de la fabrication et des services.

La robotique : définition et impact

Dans le monde d’aujourd’hui, la technologie nous offre de nombreuses possibilités de façonner


nos vies de diverses manières qui mènent au confort, à la commodité et à l’efficacité. Le concept
de robots entre en scène lorsque nous commençons à utiliser la puissance de la technologie pour
remplacer les humains, en particulier pour les tâches routinières et difficiles.
Un robot est un appareil mécanique contrôlé par des programmes informatiques pour exécuter
diverses fonctions. Les robots peuvent effectuer des tâches très rapidement avec précision et sont
efficaces dans les tâches répétitives, chronophages et dépendantes de l’efficacité. Les personnes
et la société qui utiliseraient cette technologie doivent tenir compte de ses effets sur la vie
humaine afin qu’elle puisse être utilisée judicieusement pour apporter une amélioration à la
société. Les robots vont faire partie de la vie humaine dans les jours à venir.

Les avantages des robots

La robotique présente plusieurs avantages, les plus importants sont :

La rentabilité: Les robots peuvent être configurés pour fonctionner sur un cycle répétitif en
continu sans interruption, ce qui augmente le taux de production. Cela se traduit par une
production plus élevée qui aide à la récupération des coûts et fait des profits supplémentaires.
L’amélioration de la qualité : L’implication manuelle dans des tâches répétitives peut affecter les
niveaux de concentration et peut entraîner des erreurs et des défauts de qualité. L’automatisation
robotique élimine ces risques en produisant et en vérifiant avec précision les articles
conformément aux normes spécifiées. Les produits fabriqués avec plus de précision et une
qualité constante créent de nouvelles opportunités commerciales pour les entreprises.
Une productivité accrue : L’automatisation robotique peut s’attaquer aux tâches répétitives plus
efficacement que les humains, car les robots sont conçus pour faire la même chose sans fatigue
ni pause. L’introduction de robots dans le processus de fabrication peut avoir des avantages
tangibles en termes de productivité.
La réduction du gaspillage: l’utilisation de robots dans le processus de fabrication garantit moins
d’écarts de qualité, ce qui signifie qu’il n’y aura pas de gaspillage de matériel dû à des pannes ou
à des produits non standard.
La diminution des accidents : Les travailleurs de certaines industries peuvent avoir besoin de
travailler dans des environnements inadaptés ou dangereux qui entraînent des problèmes de santé
et des risques pour la sécurité. Les robots automatisés peuvent être conçus et déployés pour
fonctionner dans n’importe quel environnement sans présenter de risque pour les organisations et
leur personnel.
La cohérence : Une fois programmés, les robots peuvent effectuer le même travail répétitif avec
la même perfection pendant une longue période, assurant ainsi la cohérence du flux de
production et de la sortie.
Le temps du travail : les robots sont des machines qui peuvent fonctionner pendant de longues
heures s’ils sont correctement entretenus. Mais les humains ne peuvent pas travailler en continu
après un certain temps, ce qui peut entraîner un risque de fatigue, de blessure et d’autres
problèmes.
La main-d’œuvre motivée : L’automatisation robotique permet de soulager la main-d’œuvre d’un
travail routinier et laborieux et de l’engager dans d’autres tâches qui lui permettent d’élargir ses
compétences. Cela créera un meilleur environnement dont l’entreprise dans son ensemble
bénéficiera. Avec des niveaux d’énergie plus élevés et une plus grande concentration sur leur
travail, les performances ne peuvent que s’améliorer, ce qui conduira également à la croissance
de l’entreprise.
Les inconvénients des robots
Tout vient avec ses avantages et ses inconvénients. La robotique présente plusieurs
inconvénients, les plus remarquables sont :

La perte d’emploi potentielle : L’une des plus grandes préoccupations entourant l’introduction
des robots est l’impact sur les travailleurs qui pourraient subir une perte d’emploi. Considérant
qu’un robot peut donner une sortie à un rythme plus rapide avec plus de cohérence et de
perfection, il se peut qu’aucune intervention humaine ne soit nécessaire à l’avenir pour certaines
activités.
Le coût de l’investissement : Les organisations doivent faire face au coût d’investissement élevé
impliqué dans l’automatisation robotique. Il comprend le coût en termes d’installation, de
maintenance, de composants supplémentaires et de programmation. L’automatisation robotique
nécessite également une alimentation électrique constante qui implique un surcoût. Une étude
approfondie doit être réalisée lors de l’examen de la mise en œuvre de cette technologie, car le
flux de trésorerie doit être durable jusqu’à ce que la stabilité de l’entreprise soit établie pour
générer des rendements.
L’embauche de personnel qualifié : L’introduction de l’automatisation avec des robots nécessite
un personnel expert qualifié avec une connaissance de la programmation, des opérations et de la
maintenance sophistiquées.
Aucune capacité d’analyse: Bien que les robots puissent être supérieurs aux humains à certains
égards, ils n’ont pas le pouvoir de penser, d’analyser et de créer en prenant des informations sur
leur environnement. Les robots sont mieux adaptés à certaines tâches spécifiques pour
économiser du temps et du travail, pas beaucoup plus. Ils dépendent des humains qui les
programment pour des tâches spécifiques. Bien que l’intelligence artificielle et l’apprentissage
automatique créent des avancées majeures, il existe un facteur limitant dans l’application des
robots.
Dépendance excessive à la technologie: Si les robots commencent à jouer un rôle majeur dans
notre vie quotidienne, les gens vont devenir dépendants de cette technologie, ce qui peut
entraîner l’introduction de plus de fonctionnalités dans les robots pour nous faciliter la vie. Cela
peut nuire au mode de vie humain avec moins d’interactions et de mouvements. De plus, en cas
de panne ou de rupture du système automatisé due à une défaillance technique, l’ensemble du
flux de travail est gravement affecté en l’absence de tout plan de sauvegarde.
Les avantages et les inconvénients des robots sont multiples, raison pour laquelle l’utilisateur
doit toujours utiliser la technologie avec modération Discrimination au travail

14 minutes de lecture
Malgré les politiques et actions de sensibilisation et d’éducation menées dans la société, il est
malheureusement encore possible de rencontrer des comportements discriminatoires en
entreprise. La discrimination au travail, quelle que soit sa forme, doit être absolument combattue
par les organisations. Mais qu’est-ce que la discrimination au travail précisément ? Quelles sont
ses différentes formes ? Quels sont les impacts de la discrimination professionnelle ? Et
comment lutter durablement contre les traitements discriminatoires dans son entreprise ? Toutes
les réponses sont dans notre guide expert EX.
Définition de la discrimination au travail
La discrimination au travail est la manifestation d’un traitement différencié dans un contexte
professionnel, établi à l’encontre d’un individu ou d’un groupe d’individus par rapport au reste
de la population en se basant sur des critères distinctifs énumérés par loi et qui ne relèvent pas du
cadre professionnel. Elle consiste concrètement à désavantager une personne ou un groupe de
manière totalement subjective, au regard de caractéristiques connues ou supposées, en ne lui
accordant pas les mêmes traitements qu’aux autres.

La discrimination au travail ne touche pas que les employés mais aussi les stagiaires, prestataires,
partenaires et candidats à l’emploi.
Quels sont les critères pouvant constituer des motifs de discrimination professionnelle ?

Le Code du Travail précise qu’aucun salarié, candidat à l’emploi ou stagiaire ne peut être
désavantagé, sanctionné, licencié ou faire l’objet d’un comportement discriminatoire en se basant
sur les critères suivants :

L’origine
Le sexe
Situation familiale
L’état de grossesse
L’apparence physique
La vulnérabilité économique
Le nom ou le prénom
Le lieu de résidence
L’état de santé, le handicap et la perte d’autonomie
Les caractéristiques génétiques
Les mœurs
L’orientation sexuelle
L’identité de genre
L’âge
L’opinion politique
L’activité syndicale
Qualité de lanceur d’alerte ou de facilitateur de lanceur d’alerte ou le fait d’avoir un lien avec
une personne étant un lanceur d’alerte
La capacité à s’exprimer dans une autre langue que le français
La couleur de peau
La religion <This message was edited> Pour certains, le travail est source d’épanouissement.
Pour d’autres, il est juste utile, assurant un salaire et des conditions de vie matérielles, et pour
d’autres, il est carrément une source de stress. Dans tous les cas, vu le temps qu’on y passe,
autant y être le mieux possible car non seulement cela influe sur notre moral, mais aussi sur notre
santé physique. Voici quelques astuces pour ne pas se laisser envahir par le stress au travail

Quelles sont les principales sources de stress au travail ?

« On parle de stress au travail quand une personne ressent un déséquilibre entre ce qu’on lui
demande de faire dans le cadre professionnel et les ressources dont elle dispose pour y répondre
», explique l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS) (source 1).
Relations difficiles avec la hiérarchie ou les collègues, charge de travail trop importante, manque
d’autonomie, mauvaises conditions de travail, objectifs insuffisamment définis… « Les cas de
stress dans l’entreprise sont parfois niés ou attribués uniquement à la fragilité ou à l’inadaptation
au poste de certains salariés », regrette l’INRS. Le CV anonyme contre la discrimination à
l’embauche

En 2006, la loi n° 2006-396 introduit le CV anonyme (CVA) dans le Code ud Travail. Il devient
obligatoire pour les entreprises de 50 salariés ou plus, en phase de recrutement. Le principe est
de sélectionner des candidats dont on ne connaît aucune information personnelle pour éviter les
éventuelles discriminations. Pour ça, il faut donc soit que les candidats et candidates envoient des
CV sans ces informations - ce qui est rarement le cas -, soit passer par un logiciel qui anonymise
les CV. Pas hyper pratique, donc.

Comment faut-il procéder ? Hé bien, on ne sait pas puisque le décret qui devait préciser les
modalités d’application de cette loi n’a jamais été publié. Résultat - logique - : une étude réalisée
par l’APEC en 2013 rapporte que seulement 4% des entreprises françaises avaient eu recours au
CVA pour leurs campagnes de recrutement.

En 2015, un rapport qui juge l’application du CVA « inefficace » suggérait au gouvernement de


supprimer le caractère obligatoire du CVA. L’application du CVA élimine les discriminations en
première phase de sélection mais elle ne peut empêcher les comportements discriminatoires lors
de la suite du recrutement. Cette solution n’est donc que partiellement efficace contre la
discrimination à l’embauche.

Quelles sont les alternatives au CV pour éviter les comportements discriminatoires ?

La solution est peut-être de changer les méthodes de recrutement pour évaluer les candidatures
de manière plus globale et objective. Les recruteurs peuvent utiliser d’autres techniques de
recrutement comme l’utilisation d’un algorithme afin de présélectionner objectivement les
candidats en se basant sur certains critères clés - même si les algorithmes ont aussi leur lots de
biais.

Il est également possible de réaliser des tests de recrutement afin d’évaluer les candidats sur leur
capacité de raisonnement, sur leurs soft skills, sur leur niveau linguistique ou bien sur leur
personnalité. D’ailleurs, les recruteurs prêtent de plus en plus attention aux soft skills, ces
compétences non-techniques aussi appelées savoir-être comme l’esprit d’équipe, la rigueur,
l’adaptabilité ou l’empathie. L'ubérisation[1] (mot créé d'après le nom de l'entreprise Uber), ou la
plateformisation[2], est un phénomène récent dans le domaine de l'économie consistant en
l'utilisation de services permettant aux professionnels et aux clients de se mettre en contact
direct, de manière quasi instantanée, grâce à l'utilisation d'une plateforme numérique.
Malgré la médiatisation de leur activité, « les travailleurs indépendants ayant recours à une
plateforme numérique pour l’exercice de leur activité représentent une part infime (de l’ordre de
1 %) de la population active occupée. Parmi eux, une part importante exerce une autre activité
professionnelle ou suit des études. Le travail via une plateforme est donc souvent une activité
complémentaire. Cette nouvelle forme de travail indépendant est toutefois en croissance, bien
que le nombre des travailleurs concernés soit difficile à mesurer »[3].
Les moyens technologiques permettant l'ubérisation sont la généralisation du haut débit, de
l'internet mobile, des smartphones et de la géolocalisation.
Ce modèle d'organisation du travail repose sur le travail à la tâche et s'oppose de fait à celui
reconnu depuis des générations, et particulièrement depuis les Trente Glorieuses, c'est-à-dire le
monde fixe et réglementé du salariat.
L'ubérisation s'inscrit de manière plus large dans le cadre d'une branche intégrée au marché de
l'économie à la tâche. Les robots peuvent ils prendre nos emplois Oui mais ce n est pas
obligatoire

Mis à jour: 17 Mar 2024 7 minutes

Table des Matières


1. Les robots prendront nos emplois dans un avenir proche si nous n'y parvenons pas

2. Il existe de nombreuses façons de garantir que les robots ne nous prennent pas nos emplois

3. Nous devons nous préparer à l'avenir des robots et aux emplois qu'ils représentent

4. Il est important que nous travaillions ensemble pour créer une société capable de gérer

5. Nous devons être conscients des risques associés à la prise de contrôle des robots et garantir

6. Le ciel ne nous tombe pas sur la tête, mais nous pouvons faire certaines chosesà

7. Il existe des moyens de nous assurer que notre économie ne souffre pas

8. Nous devons être proactifs afin de garantir que notre économie ne se détériore pas

9. Nous devons être conscients des mesures que nous pouvons prendre pour 7 conseils pour
améliorer l'équilibre entre votre vie professionnelle et votre vie privée
Si vous travaillez après les heures de travail et que vous ne vous déconnectez jamais de votre
ordinateur ou de votre smartphone pour regarder vos e-mails alors vous possédez la plupart des
symptômes d’un accro au travail. Nous vous livrons sept conseils pour vous aider à gérer
l'équilibre entre votre travail et votre vie personnelle.

5 Mai, 2022
Bien-être professionnel
améliorer équilibre vie professionnelle et vie privée

Vous travaillez après les heures de travail et que vous ne vous déconnectez jamais de votre
ordinateur ou de votre smartphone pour regarder vos e-mails ? Vous possédez la plupart des
symptômes de ce que l'on appelle communément un "accro au travail".
Les deux coupables principaux seraient l'insécurité de l'emploi et la technologie. Se laisser aller à
des activités décontractantes à la suite de sa journée de travail est très positif et permet de
retrouver un équilibre sain entre le travail et la détente. Au quotidien, cet équilibre va augmenter
votre productivité au travail et contribuer à une meilleure relation avec votre entourage, qu'il soit
professionnel ou privé.

Voici sept conseils pour vous aider à gérer l'équilibre entre votre travail et votre vie personnelle :

1Se déconnecter
Chacun d'entre nous est conscient des nombreux avantages de la technologie, mais elle a pour
risque de rendre extrêmement dépendant, plus qu'on ne peut se l’imaginer. Avoir recours à la
technologie est devenu un automatisme et il est parfois compliqué de se rendre compte quand
celui-ci devient néfaste pour sa santé mentale. Il est crucial d'être en mesure de se déconnecter de
ses comptes professionnels (emails, réseaux sociaux professionnels, outil de communication
interne à l'entreprise, etc.) pour pouvoir ressentir une vraie rupture entre son temps de travail et
son temps libre. Il faut toujours garder en tête que la plupart des tâches que vous n'avez pas
terminées à la fin de votre journée pourra l'être le lendemain matin, et que rien n'est dramatique.
Rappelez-vous, la détermination est la clé d'une vie robuste.

2Bien gérer son temps de travail


Faites une liste mentale ou écrite de toutes les tâches que vous devez faire dans la journée et trier
par ordre de priorité. Il existe aujourd'hui de nombreuses méthodes reconnues pour optimiser son
temps de travail. Une bonne gestion de son temps sur le lieu de votre travail a pour bénéfice de
ne pas vous laisser le sentiment d'être débordé. Il faut pouvoir être en mesure de quitter votre lieu
de travail à une heure raisonnable, sans vous sentir coupable ou anxieux, et de dégager un
nombre d'heures suffisants pour vos activités personnelles.

3Se consacrer à son entourage


Prendre ses repas en famille ou entre amis, aller au cinéma ou regarder la télévision tous
ensemble ou bien aller faire une sortie en groupe sont des moments de qualité à valoriser le plus
possible en dehors du lieu de travail. Ces moments vous permettent de prendre du recul vis-à-vis
de votre quotidien professionnel avec les soucis qui l'accompagne. Cela vous permet de
relativiser des problèmes qui vous semblent préoccupants sur le lieu de travail, mais qui, sortit du
contexte ne sont peut-être pas si alarmants que cela.

4Prévoir du temps pour les loisirs


Se consacrer corps et âme à son travail parais certes positif pour la stimulation intellectuelle et le
développement de sa carrière professionnelle, mais peut vite devenir un gouffre si l'on devient
obsédé par les résultats à obtenir. Au sein même du lieu de travail, il est très fortement
recommandé de s'accorder régulièrement des pauses : pour se dégourdir les jambes, prendre un
café avec un collègue, sortir prendre l'air ou bien écouter de la musique pendant que l'on
travaille. Ce sont ces petits moments, permettant d'échapper à la routine quotidienne de ses
tâches professionnelles, qui peuvent contribuer à instiguer une énergie positive ainsi qu'à faire
une véritable différence sur son moral à la fin de la journée.
5Communiquez avec un mentor
Cherchez quelqu'un, dans vos amis ou votre famille avec qui vous vous entendez très bien et qui
vous semble avoir un équilibre travail/détente optimal. Demandez à cette personne comment elle
gère son équilibre entre son travail ainsi que sa vie sociale. Il peut vous donner des conseils
précieux puis vous serez plus réceptifs à ceux-ci grâce à la relation privilégié que vous entretenez
avec lui.

Planifiez à l'avance une activité que vous aimeriez faire après le travail
Cela ne parais pas forcément applicable à chaque journée de la semaine, mais il est très
important de se réjouir de la soirée à venir lorsque l'on se trouve au travail. Il ne s'agit pas de
compter les heures qui vous sépare du loisir que vous avez prévu en début de soirée. Il faut
surtout ne pas arriver au bureau le matin en considérant que votre journée sera résumée à ce que
vous accomplirez sur votre lieu de travail. Pensez à un livre que vous avez toujours voulu lire, un
restaurant que vous avez toujours souhaité essayer ou encore la planification d'un voyage à venir.
Attendre de faire une activité qui vous plait à titre personnel vous permet d’éviter le stress et de
garder une attitude positive au travail.

Prenez de longues vacances


Prenez quelques semaines de congé dans votre emploi du temps et planifiez un voyage dans un
endroit que vous aimez, où vous souhaitez vous rendre depuis longtemps ou tout simplement
rendez visite à des amis ou de la famille. C'est une excellente façon de briser la routine, de
prendre le volant ou de vous laisser guide dans un endroit où le stress n'est pas présent.

Vous souhaitez faire un point sur votre équilibre entre votre travail et votre vie professionnelle
n'hésitez pas à consulter notre offre de formations en bien-être au travail. Aujourd'hui fixé à 62
ans, l'âge légal sera progressivement relevé à partir du 1er septembre prochain pour atteindre 64
ans dans 7 ans. En France, l'âge légal de départ à la retraite atteindra 64 ans en 2030, contre 62
ans aujourd'hui, selon la présentation de la réforme mise en ligne sur le site du gouvernement.10

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