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les méthodes d'estimation de la t.

s :

1 États correspondants :
Lorsqu’il s’agit de fluides purs, l’approche des états correspondants est souvent utilisée. Cette
méthode repose sur la corrélation entre le groupement indépendant et la température
réduite (T_r = T / T_c).
Différentes équations ont été proposées pour calculer la tension superficielle des fluides
polaires ou non. Par exemple, la variation de température peut être exprimée sous la forme
(1 - T_r)^(11/9).
Une relation introduite par Miller utilise la température d’ébullition réduite pour calculer la
tension superficielle des liquides sans liaison hydrogène.

Méthodes de mesure :
Plusieurs méthodes ont été développées pour mesurer la tension superficielle :
Ascension capillaire :
L’ascension capillaire est un phénomène qui se produit lorsque un fluide s’élève dans un tube
plus ou moins mince. Cette observation est courante dans les systèmes capillaires, tels que
les tubes capillaires, les sols non saturés et les matériaux poreux. Voici quelques points
importants à retenir :

Loi de Jurin :
La loi de Jurin, énoncée au XVIIIe siècle, établit un lien entre la hauteur du fluide, la tension
de surface et l’angle de contact.
Dans un tube capillaire, la hauteur d’ascension ou de dépression d’un liquide est donnée par
cette loi12.
La formule de la loi de Jurin est la suivante : [ h = \frac{{2 \cdot \gamma \cdot \cos(\theta)}}
{{\rho \cdot g \cdot r}} ] où :
(h) est la hauteur du liquide dans le tube.
(\gamma) est le coefficient de tension superficielle du liquide.
(\theta) est l’angle de contact entre le liquide et la paroi du tube.
(\rho) est la masse volumique du liquide.
(g) est l’accélération de la pesanteur.

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(r) est le rayon du tube.
Conditions de validité :
La loi de Jurin est valide lorsque le diamètre du tube est petit par rapport à la longueur
capillaire (typiquement environ deux millimètres pour de l’eau à température et pression
ambiantes).
Si le tube est tenu oblique, la loi de Jurin donne la hauteur verticale (pas la hauteur mesurée
le long du tube).
Justification :
L’ascension du liquide dans le tube est due à une combinaison de deux lois :
La loi hydrostatique dans le tube, qui détermine la pression dans le liquide juste en dessous
du ménisque.
La loi de Laplace-Young, qui prend en compte la tension superficielle à travers l’interface du
ménisque.

Mesure de la hauteur d’ascension d’un liquide dans un tube capillaire.

Détachement :
Le détachement est une notion qui peut revêtir différents sens en fonction du contexte. Voici
quelques définitions et explications :

1 Dans le domaine de la fonction publique :


Le détachement est une forme de mobilité pour les fonctionnaires titulaires.

2 Dans un contexte plus général :


Le détachement peut également désigner un état d’indifférence affective ou intellectuelle.
Cela se manifeste par une absence d’attachement à des passions ou intérêts matériels

Observation du détachement d’une goutte d’un orifice.

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Goutte posée :
La méthode de la goutte posée est une technique utilisée pour mesurer la tension
superficielle d’un liquide. Voici comment elle fonctionne :

Principe :
Une goutte de liquide est déposée sur une surface solide plane.
On observe l’angle de contact formé entre la goutte et la surface.
Cet angle de contact nous permet de déterminer la tension superficielle du liquide.
Explication :
À la surface d’un milieu dense (liquide ou solide) ou à l’interface entre deux milieux denses,
les molécules ne sont pas rigoureusement dans le même état qu’à l’intérieur des milieux
denses.
Les molécules à l’interface interagissent avec celles de l’autre milieu, tandis que celles situées
à l’intérieur de la matière n’interagissent qu’avec leurs semblables.
Cette interaction entre les deux milieux crée une certaine instabilité à l’interface, car l’état
local possède une énergie légèrement supérieure.
L’énergie par unité de surface associée à cette instabilité est ce que nous appelons la tension
superficielle.
En mesurant l’angle de contact formé par la goutte posée sur la surface solide, nous pouvons
déduire cette tension superficielle.
Applications :
Cette méthode permet de comprendre divers phénomènes, tels que :
La capacité des insectes à marcher sur l’eau.
La stabilité d’un objet léger à la surface d’un liquide.
La non-étalement de la rosée sur les pétales de fleurs.
Le mécanisme de la capillarité.

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Goutte pendante et poids de la goutte :
La méthode de la goutte posée est une technique utilisée pour mesurer la tension
superficielle d’un liquide. Voici comment elle fonctionne :

Principe :
Une goutte de liquide est déposée sur une surface solide plane.
On observe l’angle de contact formé entre la goutte et la surface.
Cet angle de contact nous permet de déterminer la tension superficielle du liquide.
Explication :
À la surface d’un milieu dense (liquide ou solide) ou à l’interface entre deux milieux denses,
les molécules ne sont pas rigoureusement dans le même état qu’à l’intérieur des milieux
denses.
Les molécules à l’interface interagissent avec celles de l’autre milieu, tandis que celles situées
à l’intérieur de la matière n’interagissent qu’avec leurs semblables.
Cette interaction entre les deux milieux crée une certaine instabilité à l’interface, car l’état
local possède une énergie légèrement supérieure.
L’énergie par unité de surface associée à cette instabilité est ce que nous appelons la tension
superficielle.
En mesurant l’angle de contact formé par la goutte posée sur la surface solide, nous pouvons
déduire cette tension superficielle.
Applications :
Cette méthode permet de comprendre divers phénomènes, tels que :
La capacité des insectes à marcher sur l’eau.
La stabilité d’un objet léger à la surface d’un liquide.
La non-étalement de la rosée sur les pétales de fleurs.
Le mécanisme de la capillarité

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Pression maximale de bulle :
La méthode de la pression maximale de bulle est une technique utilisée pour mesurer la
tension superficielle d’un liquide. Voici comment elle fonctionne :

Principe :
Une goutte de liquide est déposée sur une surface solide plane.
On observe l’angle de contact formé entre la goutte et la surface.
Cet angle de contact nous permet de déterminer la tension superficielle du liquide.
Explication :
À la surface d’un milieu dense (liquide ou solide) ou à l’interface entre deux milieux denses,
les molécules ne sont pas rigoureusement dans le même état qu’à l’intérieur des milieux
denses.
Les molécules à l’interface interagissent avec celles de l’autre milieu, tandis que celles situées
à l’intérieur de la matière n’interagissent qu’avec leurs semblables.
Cette interaction entre les deux milieux crée une certaine instabilité à l’interface, car l’état
local possède une énergie légèrement supérieure.
L’énergie par unité de surface associée à cette instabilité est ce que nous appelons la tension
superficielle.
En mesurant l’angle de contact formé par la goutte posée sur la surface solide, nous pouvons
déduire cette tension superficielle.
Applications :
Cette méthode permet de comprendre divers phénomènes, tels que :
La capacité des insectes à marcher sur l’eau.
La stabilité d’un objet léger à la surface d’un liquide.
La non-étalement de la rosée sur les pétales de fleurs.
Le mécanisme de la capillarité.

Goutte en lévitation :
La goutte en lévitation est un phénomène fascinant qui se produit lorsque l’eau flotte au-
dessus d’une surface chaude. Voici comment cela fonctionne :

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Effet Leidenfrost :
Lorsqu’une goutte d’eau est déposée sur une surface chauffée, elle commence à s’évaporer.
Cependant, à mesure qu’elle s’évapore, une fine couche de vapeur se forme sous la goutte.
Cette couche de vapeur agit comme un coussin d’air, permettant à la goutte de flotter au lieu
de s’évaporer complètement.
Ce phénomène est connu sous le nom d’effet Leidenfrost ou caléfaction.
Conditions optimales :
La température idéale pour observer la goutte en lévitation est d’environ 200°C.
À cette température, la goutte d’eau peut rester en lévitation pendant plus d’une minute.
Applications :
L’effet Leidenfrost a été étudié dans différentes configurations, y compris lorsque le liquide
chaud remplace la surface solide.
Ce phénomène a des implications dans divers domaines, de la physique à l’ingénierie.

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