Memoire Prisca 014509

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EPIGRAPHE
« Comme un chercheur d’or, je ne puis

transmettre à la postérité que le minerai
précieux que j’ai extrait, et non pas mon
travail, mes recherches et mes privations,
mes joies et mes déceptions. »
Konstantin Stanislavski
« Etude de la stabilité des rampes et des talus dans une mine à ciel ouvert ». (Cas de la mine de KINSEVERE)
ILUNGA MAKONGA Prisca
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DEDICACE
A mes parents : SEYA Robert et MAKONGA Virginie
A Emmanuel MWENZE
A mes futurs enfants : Terakh KAMUNGA, Tesnime KAMUNGA, Tancrède KAMUNGA et

Tryphène KAMUNGA
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IN MEMORIUM
La mort est certaine mais l'heure de la mort est incertaine. C'est en sachant que nous sommes
poussière et retourneront à la poussière que notre cœur roule de larmes et de blessures
intérieures surtout que vous n'étiez plus. A notre regretté Arcel MULONGO, que vous soyez
immortalisée par ce travail. Vos empreintes restent à jamais marquées dans le souvenir de nos
pensées. C'est aujourd'hui plus que jamais que nous apprécions la valeur de vos efforts et le
caractère précieux de vos conseils. Repose en paix
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REMERCIEMENT
Avant de laisser les lecteurs parcourir l’intérieur de ce présent travail marquant la fin de notre
formation d’ingénieur Bachelier des mines et de grands travaux à l’université de Lubumbashi,
la joie que nous ressentons en ce moment soit partagée avec toutes les personnes sans
lesquelles ce travail n’aurais pu être réalisé.
Permettez-moi tout d’abord d’exprimer ma profonde gratitude envers Dieu, le créateur de

toute choses. En tant que croyant, je suis conscient que sa guidance, son amour et sa
bénédiction, rien de tout ceci ne serait possible.
A l’entreprise MMG KINSEVRE et ses ingénieurs de mines qui m’ont accordé le temps
d’encadrement lors de ma formation pratique, en particulier Ir. CASSY NGANDU, Ir.
URSULE NTUMBA.
A la famille SEYA, mes sincères remerciements à chacun d’entre vous pour le soutien
inconditionnel que vous m’avez apporté tout au long de mon travail de fin d’étude.
A mes amis : vos encouragements ont été d’une grande importance pour la réussite de ce
travail.
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RESUME
TABLE DES MATIERES

EPIGRAPHE...............................................................................................................................I
DEDICACE................................................................................................................................II
REMERCIEMENT...................................................................................................................III
RESUME..................................................................................................................................IV
INTRODUCTION GENERALE................................................................................................1
Chapitre I. GENERALITE SUR LE POLYGONE DE MMG KINSEVERE............................3
I.1. INTRODUCTION............................................................................................................3
I.2. HISTORIQUE DE POLYGONE DE MMG KINSEVERE.............................................3
I.3. CADRE GEOGRAPHIQUE DE MMG KINSEVERE....................................................4
I.3.1. Localisation...............................................................................................................4
I.3.2. Climat........................................................................................................................5
I.3.3. Sol et végétation........................................................................................................5
I.3.4. Relief.........................................................................................................................6
I.3.6. Hydrographie.............................................................................................................6
I.4. CADRE GEOLOGIQUE..................................................................................................6
I.4.1. KATANGIEN............................................................................................................6
I.4.2. Tectonique katanguienne.........................................................................................10
I.4.3. Géologie locale de Kinsevere..................................................................................11
I.5. CONCLUSION..............................................................................................................15
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Chapitre II. GENERALITE SUR LA FRAGMENTATION....................................................16

II.I. INTRODUCTION.........................................................................................................16
II.2. LES PARAMETRES DE FRAGMENTATIONS........................................................16
II.2.1. Les paramètres de forage........................................................................................16
II.2.2. Paramètres de minage.............................................................................................20
II.3. INFLUENCE DES PARAMATRES DE FRAGMENTATION..................................22
II.3.1. Maille de forage.....................................................................................................23
II.3.2. Inclinaison et la profondeur de trous......................................................................23
II.3.3. Influence de la configuration de trous....................................................................24
II.3.4. Amorçage, type et son effet....................................................................................24
II.3.5. Mode d’initiation....................................................................................................25
II.3.6. Influence de la hauteur de bourrage.......................................................................25
II.3.7. Influence de la charge spécifique...........................................................................25
II.5. CONCLUSION.............................................................................................................27
Chapitre III. METHODE DE CALCULS DE PARAMETRES DE TIR.................................28
III.1. INTRODUCTION.......................................................................................................28
III.2. METHODES EMPIRIQUES.......................................................................................28
III.3. LES DONNEES DE BASE DE MMG KINSEVERE.................................................31
III.4. METHODES DE CERTAINS SPECIALISTES.........................................................31
III.4.1. Méthode de LANGEFORS...................................................................................31
III.4.2. Méthode d’AEL (African Explosive LMITED)...................................................35
III.4.4. Paramètres de modélisation de KUZ-RAM..........................................................42
III.5. CONCLUSION............................................................................................................48
CONCLUSION GENERALE...................................................................................................49
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TABLE DES FIGURES
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LISTE DES TABLEAUX
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INTRODUCTION GENERALE
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Chapitre I. GENERALITE SUR LE POLYGONE DE
KINSEVERE
I.1. INTRODUCTION
Dans ce chapitre, nous aborderons les points suivants : l’historique de la mine de

KINSEVERE, le cadre géographique et géologique, la localisation, le climat et relief de la
région, le sol et sous-sol. Ces éléments nous permettrons de présenter en détail le site de
KINSEVERE, cadre de notre travail de fin d’études.
I.2. HISTORIQUE DE POLYGONE DE MMG KINSEVERE
Le Polygone de KINSEVERE est composé de trois gisements : KINSEVERE Hill, Tshifufia

Central et Tshifufia mashi et couvre une Superficie de 16,1 kilomètres carrés. Les trois
gisements se trouvent à 2 kilomètres l'un de l'autre et dans une direction Nord-Ouest, dont
Kinsevere Hill est plus au Sud et Tshifufia-mashi est plus au Nord. Dans les années 1990, la
générale des carrières et des mines en joint-venture (association du type économique dans
laquelle les partenaires partagent les risque et frais) avec I'EXAC0 (Exploitations Artisanales
au Congo), qui est une compagnie Congolaise locale, qui s'intéresses principalement à
l'exploitation des ressources minérales à haute teneur d'oxyde de cobalt des affleurements de
Tshifufia Central et de Tshifufia-mashi. Le contrat de ce partenariat se limitait à la
minéralisation en cobalt situé à environ 30 mètres de la surface. Quelques sondages ont été
forés dans les écailles de Tshifufia et de Tshifufia-mashi, dont la majorité des trous étaient
verticaux dans les masses minérales. Ces sondages ont été conçus pour examiner la
distribution et la catégorisation de la minéralisation d'oxyde de cobalt. Les travaux de sondage
ont été également complétés par des puits d'environ 30 mètres de profondeur par la générale
des carrières et des mines. Le site se transforma ensuite en une exploitation artisanale jusqu'en
2006. En Décembre 2005, après avoir signé le contrat d'amodiation (location d'une terre en
échange d'un paiement) avec la générale des carrières et des mines, détenteur de titres miniers,
I ‘entreprise Anvil Mining Concentrate Kinsevere, un joint-venture (association du type
économique dans laquelle les partenaires partagent les risque et frais) formé plutôt en 2004
par ANVIL LIMITED (95%) et Mining Company Katanga S.PR.L. (5%), reprend les travaux
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de prospection et d'estimation des réserves du polygone de Kinsevere avec la terminologie du

code Australien J.O.R.C avant de continuer avec l'exploitation.
I.3. CADRE GEOGRAPHIQUE DE MMG KINSEVERE
I.3.1. Localisation
La mine de KINSEVERE est située à 30 Km au Nord-Est de la ville de Lubumbashi dans la

province du Haut-Katanga en république Démocratique du Congo (figure I.1). Les
coordonnées qui la représentent sont données ci-dessous, d’après son site officiel, 11°21’15’’
de latitude et 27°34’40’’ de longitude. Elle est accessible par une route à moitié en terre
battue et à moitié asphaltée à partir de la nationale numéro 01 qui mène vers Likasi. Il couvre
une superficie de 18 km2. Et sa configuration actuelle est présenté sur la Figure I.2.
1Figure I.1. Localisation du site de MMG KINSEVERE
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2Figure I.2. La configuration actuelle MMG
I.3.2. Climat
Le secteur de KINSEVERE qui se retrouve dans le territoire de KIPUSHI a un climat tropical

identique à celui de Lubumbashi qui est marqué par deux saisons : une saison sèche et une
saison pluvieuse avec une pluviométrie moyenne de 1228mm d’eau et une température
moyenne de 20°c dont la plus basses peut aller de 15°c à 10°c au mois de juillet et la plus
haute peut atteindre 22.5°c mais pouvant augmenter à 38°c au mois d’octobre.
I.3.3. Sol et végétation
Le sol argileux résiduel formant la couverture dans la zone de KINSEVERE a environ 2m

d’épaisseur et il est rouge. On observe dans les lits des rivières des accumulations des boues
chargées de matières organiques (Malaise, 1975).
La végétation du site de KINSEVERE est composée, outre les « dembos

d’empoisonnement », pelouse rases sans arbre ni arbuste, par une forêt claire à Brachestegra
Speciformie et Brachestegra Bohemie appelée communément « Miombo ». Cette végétation
connait quelques variations selon que le sol est plus contaminé en cuivre et situé sur une
colline ou un relief particulièrement surélevé par rapport à l’ensemble de la région.
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I.3.4. Relief
La morphologie du Katanga méridional est constituée généralement des larges surfaces

d’érosion qui ont souvent abouti à des surfaces d’aplatissement. Ce sont des plateaux
descendant de la crête de partage des bassins hydrographique du Congo et Zambèze vers le
Nord et vers le sud. Sur ces plateaux s’observent des niveaux résistants de Roan ainsi que du
grand conglomérat de Nguba qui s’y profilent en relief sous forme des crêtes et d’alignements
des collines des anticlinaux à noyau de Roan (INTIOMALE, 1982).
Dans ces anticlinaux, où font saillie les niveaux des grès quartziques, apparaissent le Nguba et
le Kundelungu qui s’allongent en bordure déprimée. Cette morphologie comprend des buttes à
sommets plats témoins d’une ancienne pénéplanation qui serait mi-tartiaire.
En général, le plus haut sommet dans cette région de kinsevere se situe aux environs de
1200m.
I.3.6. Hydrographie
Au sud-Katanga, les cours d’eau jaillissent dans les formations gréseuses et dolomitiques.
Leur direction et leur sens d’écoulement sont influencés tant par litho-stratigraphie que par la
structure des formations traversées particulièrement dans les régions de Lubumbashi et de
Kasenga, la surface générale d’érosions s’incline globalement vers l’Est suivant le drainage de
la rivière kafubu, principal affluent de la luapala coulant de l’Ouest à l’Est. La rivière
kifumashi traverse la région de Kinsevere.
I.4. CADRE GEOLOGIQUE
I.4.1. KATANGIEN
Les formations géologiques reconnues au Katanga font partie de trois chaines orogéniques
d’âge protérozoïques dont les traits structuraux différent d’une région à un autre. On note
aussi les formations phanérozoïques. Ces formations géologiques du Katanga sont regroupées
en trois grands ensembles :
Les formations plissées du soubassement comprenant trois ensembles qui sont (cahen, 1989) :
 La chaine Ubendienne d’âge paléo protérozoïque (inférieure à 17000Ma) ;

 La chaine Kibarienne d’âge méso protérozoïque (1450-900Ma) ;
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 La chaine Katanguienne d’âge Néo protérozoïque (1000-5
Nous allons nous intéresser au Katanguien identifié dans la (figure I.3), (chaine
Katanguienne) car les formations géologiques caractéristique du secteur d’étude font partie de
cet ensemble.
3Figure I.3. La carte de l'architecture structurale de l'arc lufilien montrant la répartition

spatiale des soubassements et des roches magmatiques et pré à syn-orogéniques ainsi que les
principaux gisements de la ceinture de cuivre Zambienne et Congolaise.
Le katanguien ou le super-groupe du katanga constitue une chaine située entre le craton du

Congo et le carton de kalahari. Il s’agit d’une chaine qui s’étend du Nord de la Zambie
jusqu’en RD. Congo (Figure I.4) et qui définit l’arc lufilien (François 1972, 1974, 1996,
kipata et al. 2013). Il est constitué des roches sédimentaires (batumike et al. 2006 ; 2007 ;
François 2006 ; cailteux et al. 2007).
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La litho-stratigraphie du katanguien (Figure I.5) définie par François (1973), cailteux (1994) a
été revue par Batumike et al. (2007) pour le Roan. Le super-groupe du Katanga est subdivisé
de bas en Haut dans la (figure I.4) par :
 Le groupe de Roan ;
 Le groupe de Nguba ;
 Le groupe de Kundelungu.
4Figure I.4. Carte représentative des différentes formations du Kantanguien (Chabu, 2010)
Il s’agit d’un ensemble sédimentaire caractérisé par une alternance des dépôts carbonatés et
terrigènes d’une épaisseur d’environ 10 Km (Figure 1.4) mis en place dans un rift avorté
(Batumike et al. 2007).
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5Figure I.5. Synthèse litho-stratigraphique du katanguien définie par François (1973; 1974
et 2006) et modifié par Cailteux (2019)
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Le katanguien se trouve entre le carton du congo et celui de kalahari. Il est constitué des
roches sédimentaires du Néo-protérozoique (Batumike et al.2007). Il est composé de deux
parties :
 La première partie va de la Zambie jusqu’en RDC, elle est arquée et d’une direction
d’élongation NW-SE avec un déversement de direction NE. Il contient les gisements
de la ceinture de cuivre de l’Afrique centrale.
 La deuxième partie (Au NE du Katanga) est de forme triangulaire et conctitue l’Avant
pays de l’Arc Lufilien.
La limite nord de l’arc lufilien est marquée par les formations relativement non déformées du
katanguien et sa limite sud par la zone de cisaillement de Mwembeshi (Mwembeshi shear
zone : MSZ) qui est un cisaillement senestre de direction ENE.
L’arc lufilien contient les deux plus grandes provinces métallogénique de larégion, la ceinture
de cuivre Congolaise et la ceinture de cuivre Zambienne.
I.4.2. Tectonique katanguienne
L’arc lufilien constitué des roches sédimentaires a été déformé au cours de l’orogénèse
lufilienne (Panafricaine). Aujourd’hui les phases tectoniques ayant affecté les formations du
katanguien font débat. Kampunzu et cailteux (1999) ont pu définir trois phases (figure I.6) à
savoir :
 La phase D1 ou phase kolwezienne, correspondant à la phase majeure de

plissement et de chevauchement avec une direction de transport des structures vers
le Nord. Le cœur des anticlinaux est souvent affecté par des failles et occupé par
des brèches tectoniques ;
 La phase D2 ou phase Monwezienne qui a affecté les terrains plissés et chevauchés
par des failles décrochantes senestres orientées E-W dans la partie ouest de la
ceinture. Ces failles sont souvent injectées des méga-brèches des formations du
Roan ;
 La phase D3 ou phase chilatembo est considérée comme responsable des plis
droits et ouverts de direction NE-SW orthogonaux à l’arc et des plis conjugués de
direction N160-N70°E et N70-80°E dans la partie Est de la ceinture, suggérant une
compression orientée NW-SE.
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6Figure I.6. Carte des structures D1 et D3 dans la partie congolaise de l'arc lufilien
(Kampunzu et Cailteux, 1999) in Kipata (2013)
I.4.3. Géologie locale de Kinsevere
I.4.3.1. Morphologie
Le gisement de KINSEVERE est classé parmi les gisements sédimentaires stratiformes de

cuivre « S.S.C. » (sediment-hosted stratiform Copper deposits).
Les gisements du type S.S.C. constituent 20 à 25% des réserves mondiales en cuivre et une
source importante de cobalt (cas de la ceinture cuprifère de l’Afrique centrale). Ils se
distinguent par leurs tailles (morphologie), la répartition des teneurs et par les métaux
accompagnateurs.
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7Figure I.7. Carte géologique de KINSEVERE (source : MMG exploration
I.4.3.2. Stratigraphie de KINSEVERE
Elle se résume sur la (figure I.8) suivante ;
Page 12
8Figure I.8. Stratigraphie locale
Par rapport à la litho-stratigraphie régionale de Kinsevere, la minéralisation s’étend jusqu’aux

CMN qui constituent ainsi le troisième corps minéralisé (NGOY, 2009). Cependant, il n’y a
pas la séparation habituelle des formations de RCF entre L’OBS. le tableau I.1 nous donne du
sommet à la base, la stratigraphie locale de la mine de Kinsevere.
Tableau 1I.1. Stratigraphie locale de MMG KINSEVERE
N° FORMATION ABREVIATION
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1 Le Calcaire à Minéraux Noirs CMN

2 Les Shales Dolomitiques SD
3 Les Roches siliceuses cellulaire RSC
4 Les Roches Siliceuses Feuilletées RSF
5 Les Dolomies Stratifiées D-Strat
6 Les Roches Argilo-Talqueuses RAT
I.4.3.3. Minéralisation du secteur de MMG Kinsevere
Sur le plan minéralogique, Kinsevere a une particularité du fait que toutes les formations
géologiques sont minéralisées de la base au sommet alors que dans le Katanga minéralisation
est concentrée dans l’ore body inferieur.
La métallogénie nous montre que le gisement de Kinsevere comporte trois zones de

minéralisation :
 La zone d’oxydation qui est marquée par la présence des minerais de cuivre tels que :
La malachite [Cu2 Co3 (OH ) 2], l’azurite [Cu3(CO 3)2(OH )2], la cuprite [Cu2 O], la
chrysocolle [CuSiO3 2 H 2O]
 Au centre une zone mixte constituée à la fois des minerais oxydés et sulfurés ;
 La zone de cémentation constituée des minerais sulfurés tel que : La pyrite [FeS2], la
chalcopyrite[Cu2 S ], la bornite [Cu5 FeS 4 ], …
A part le cuivre les sondages ont révélés la présence dans ce gisement de certains métaux
secondaires accompagnant le cuivre tel que : le cobalt dans l’hétérogénéité (oxyde de cobalt),
le manganèse ainsi que des traces d’uranium en des très faibles proportions.
Page 14
I.5. CONCLUSION
Le polygone de KINSEVERE est constitué de trois méga-fragments dénommés Tshifufia-

mashi ou Mashi, Tshifufia central et KINSEVERE Hill appartenant au sous-groupe de Mines
(ou Roan moyen) comme la plupart des gisements cupro-cobaltifères de la province du
Katanga. Il s’agit d’un gisement de type sédimentaire stratiforme de cuivre. Ces écailles sont
alignées sur un axe NNW-SSE et NNE-SSW avec des pendages pouvant atteindre parfois 88°.
Du point de vue lithologique, on retrouve à kinsevere les deux corps minéralisés composant la
série des Mines caractérisés par une absence totale de la roche siliceuse cellulaire (RSC). La
particularité de ce gisement est que la série est renversée ; le flanc sud chevauche le flanc
Nord.
La métallogénie de kinsevere révèle deux types de minéraux métallifères, les oxydes et les
sulfures. Ceux-ci sont accompagnés par des minéraux de la gangue qui sont le quartz, les
carbonates (dolomite, magnésite) et le chlorite. La malachite et l’hétérogénéité sont les
minerais oxydés les plus répandus tandis que la chalcopyrite et la carrolite sont les mieux
représentés des sulfures. Dictée par la géomorphologie du gisement, l’exploitation de ce
polygone se réalise techniquement à ciel ouvert par la méthode d’excavation globale ou des
fosses emboitées.
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Chapitre Ⅱ .Théorie de la stabilité des pentes et des talus dans une
mine à ciel ouvert
Ⅱ.1 Introduction
Dans le domaine de l'exploitation minière à ciel ouvert, la stabilité des pentes et des talus est
d'une importance capitale pour la sécurité des travailleurs, la protection de l'environnement et
la viabilité économique des projets. La défaillance de ces structures critiques peut entraîner
des glissements de terrain dévastateurs, provoquant des blessures graves, des pertes de vies
humaines, des dommages matériels importants et des perturbations coûteuses des opérations
minières.
Ⅱ.2. Facteurs influençant la stabilité des pentes et des talus dans une mine à ciel ouvert
De nombreux facteurs peuvent influencer la stabilité des pentes et des talus dans les mines à
ciel ouvert. Parmi les plus importants, on trouve :
Propriétés géologiques et géotechniques des matériaux:
Résistance au cisaillement: C'est la capacité des matériaux à résister au glissement. Plus la

résistance au cisaillement est élevée, plus la pente est stable.
Cohésion: C'est la force qui maintient les particules du sol ou de la roche ensemble. Une forte
cohésion contribue à la stabilité de la pente.
Angle de frottement interne: C'est l'angle maximal auquel un matériau peut s'incliner sans
glisser. Un angle de frottement interne élevé augmente la stabilité de la pente.
Compressibilité: C'est la capacité d'un matériau à se tasser sous charge. Une forte
compressibilité peut rendre la pente plus vulnérable au glissement.
Géométrie des pentes:
Page 16
Inclinaison de la pente: Plus l'inclinaison de la pente est forte, plus le risque de glissement est
élevé.
Hauteur du front de taille: La hauteur du front de taille, c'est-à-dire la hauteur de la paroi

verticale de la mine, influence la distribution des contraintes dans la pente et peut affecter sa
stabilité.
Présence de ressauts ou d'irrégularités: Les ressauts et les irrégularités dans la surface de la

pente peuvent créer des points de concentration de contraintes et augmenter le risque de
glissement.
Conditions hydrogéologiques:
Présence d'eau souterraine: L'eau souterraine peut s'infiltrer dans les pentes et les talus,
réduisant la résistance au cisaillement des matériaux et augmentant le risque de glissement.
Niveau des eaux souterraines: Un niveau d'eau souterraine élevé peut exercer une pression
importante sur la base de la pente, ce qui peut la déstabiliser.
Infiltrations d'eau: Les infiltrations d'eau de pluie ou de fonte des neiges peuvent saturer les
matériaux de la pente et les rendre plus susceptibles de glisser.
Vibrations et charges dynamiques:
Explosions de dynamitage: Les explosions de dynamitage peuvent créer des vibrations qui
peuvent déstabiliser les pentes et les talus.
Trafic d'engins lourds: Le trafic d'engins lourds sur la crête de la pente peut également créer
des vibrations et augmenter le risque de glissement.
Tremblements de terre: Les tremblements de terre peuvent provoquer des secousses

importantes qui peuvent déstabiliser les pentes et les talus, même ceux qui sont considérés
comme stables en temps normal.
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En plus de ces facteurs, d'autres éléments peuvent également influencer la stabilité des pentes
et des talus, tels que la présence de végétation, les conditions climatiques et l'activité
humaine.
Il est important de noter que l'interaction de ces différents facteurs peut avoir un impact
complexe sur la stabilité des pentes et des talus. C'est pourquoi il est crucial d'effectuer des
études géotechniques approfondies pour évaluer la stabilité de chaque pente et concevoir des
mesures de stabilisation adéquates.Facteurs influençant la stabilité des pentes et des talus
La stabilité des pentes et des talus dans les mines à ciel ouvert est influencée par une
multitude de facteurs, dont :
Propriétés géologiques et géotechniques des matériaux: La résistance au cisaillement, la

cohésion, l'angle de frottement interne et la compressibilité des roches et des sols sont des
propriétés cruciales qui affectent la stabilité des pentes.
Géométrie des pentes: L'inclinaison de la pente, la hauteur du front de taille et la présence de

ressauts ou d'irrégularités influencent la distribution des contraintes et le risque de glissement.
Conditions hydrogéologiques: La présence d'eau souterraine peut affaiblir les matériaux et

augmenter le risque de glissements de terrain, en particulier lors de fortes pluies ou de la fonte
des neiges.
Vibrations et charges dynamiques: Les explosions de dynamitage, le trafic d'engins lourds et

d'autres sources de vibrations peuvent induire des instabilités dans les pentes et les talus.
Méthodes d'analyse de la stabilité
Page 18
Pour évaluer la stabilité des pentes et des talus dans les mines à ciel ouvert, les ingénieurs et
les géologues utilisent différentes méthodes d'analyse, telles que :
Méthodes analytiques: Ces méthodes basées sur la mécanique des sols et des roches
permettent de calculer le facteur de sécurité d'une pente en comparant les forces stabilisatrices
aux forces motrices.
Méthodes numériques: Des techniques avancées comme la méthode des éléments finis
permettent de modéliser le comportement complexe des matériaux et de simuler le
comportement des pentes sous différentes conditions.
Méthodes d'observation et de surveillance: Des instruments tels que des piézomètres et des
inclinomètres permettent de surveiller en continu les mouvements et les déformations des
pentes, fournissant des données précieuses pour l'évaluation de la stabilité à long terme.
Mesures de stabilisation des pentes et des talus
Lorsque l'analyse révèle un risque d'instabilité, différentes mesures de stabilisation peuvent

être mises en œuvre pour renforcer les pentes et les talus, notamment :
Changement de la géométrie: Modifier l'inclinaison de la pente ou créer des paliers étagés

peut améliorer la stabilité.
Page 19
Renforcement des matériaux: Des techniques comme l'injection de ciment, l'installation de

clous d'ancrage ou la pose de grillages métalliques peuvent augmenter la résistance et la
cohésion des matériaux.
Drainage des eaux souterraines: Des systèmes de drainage permettent d'évacuer l'eau du
versant, réduisant ainsi les pressions interstitielles et le risque de glissement.
Mise en place de soutènements: Des soutènements en béton armé, des murs en gabions ou des
filets de protection peuvent retenir les matériaux et empêcher leur chute.
Normes et réglementations
Des normes et des réglementations spécifiques existent pour la conception, la construction et

l'exploitation des pentes et des talus dans les mines à ciel ouvert. Ces normes visent à garantir
la sécurité des travailleurs, à minimiser les risques d'accidents et à protéger l'environnement.
Conclusion
La théorie de la stabilité des pentes et des talus est un domaine crucial pour l'exploitation
minière à ciel ouvert. En comprenant les principes de base de cette discipline, en appliquant
des méthodes d'analyse rigoureuses et en mettant en œuvre des mesures de stabilisation
appropriées, les ingénieurs et les géologues peuvent contribuer à la création de mines à ciel
ouvert plus sûres, plus durables et plus respectueuses de l'environnement.
Page 20
Page 21
Page 22
Théorie de la stabilité des pentes et des talus dans une mine à ciel ouvert : Délimitation du
chapitre
Introduction
Page 23
L'exploitation minière à ciel ouvert implique la création de vastes excavations, dont les parois
sont constituées de pentes et de talus. La stabilité de ces structures est d'une importance
capitale pour la sécurité des travailleurs, la protection de l'environnement et la viabilité
économique des projets miniers. La défaillance des pentes et des talus peut entraîner des
glissements de terrain dévastateurs, provoquant des pertes de vies humaines, des dommages
matériels importants et des interruptions coûteuses des opérations minières.
Facteurs influençant la stabilité des pentes et des talus
La stabilité des pentes et des talus dans les mines à ciel ouvert est influencée par une
multitude de facteurs, dont :
Propriétés géologiques et géotechniques des matériaux: La résistance au cisaillement, la

cohésion, l'angle de frottement interne et la compressibilité des roches et des sols sont des
propriétés cruciales qui affectent la stabilité des pentes.
Géométrie des pentes: L'inclinaison de la pente, la hauteur du front de taille et la présence de

ressauts ou d'irrégularités influencent la distribution des contraintes et le risque de glissement.
Conditions hydrogéologiques: La présence d'eau souterraine peut affaiblir les matériaux et

augmenter le risque de glissements de terrain, en particulier lors de fortes pluies ou de la fonte
des neiges.
Vibrations et charges dynamiques: Les explosions de dynamitage, le trafic d'engins lourds et

d'autres sources de vibrations peuvent induire des instabilités dans les pentes et les talus.
Méthodes d'analyse de la stabilité
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Pour évaluer la stabilité des pentes et des talus dans les mines à ciel ouvert, les ingénieurs et
les géologues utilisent différentes méthodes d'analyse, telles que :
Méthodes analytiques: Ces méthodes basées sur la mécanique des sols et des roches
permettent de calculer le facteur de sécurité d'une pente en comparant les forces stabilisatrices
aux forces motrices.
Méthodes numériques: Des techniques avancées comme la méthode des éléments finis
permettent de modéliser le comportement complexe des matériaux et de simuler le
comportement des pentes sous différentes conditions.
Méthodes d'observation et de surveillance: Des instruments tels que des piézomètres et des
inclinomètres permettent de surveiller en continu les mouvements et les déformations des
pentes, fournissant des données précieuses pour l'évaluation de la stabilité à long terme.
Mesures de stabilisation des pentes et des talus
Lorsque l'analyse révèle un risque d'instabilité, différentes mesures de stabilisation peuvent

être mises en œuvre pour renforcer les pentes et les talus, notamment :
Changement de la géométrie: Modifier l'inclinaison de la pente ou créer des paliers étagés

peut améliorer la stabilité.
Page 25
Renforcement des matériaux: Des techniques comme l'injection de ciment, l'installation de

clous d'ancrage ou la pose de grillages métalliques peuvent augmenter la résistance et la
cohésion des matériaux.
Drainage des eaux souterraines: Des systèmes de drainage permettent d'évacuer l'eau du
versant, réduisant ainsi les pressions interstitielles et le risque de glissement.
Mise en place de soutènements: Des soutènements en béton armé, des murs en gabions ou des
filets de protection peuvent retenir les matériaux et empêcher leur chute.
Normes et réglementations
Des normes et des réglementations spécifiques existent pour la conception, la construction et

l'exploitation des pentes et des talus dans les mines à ciel ouvert. Ces normes visent à garantir
la sécurité des travailleurs, à minimiser les risques d'accidents et à protéger l'environnement.
Conclusion
La théorie de la stabilité des pentes et des talus est un domaine crucial pour l'exploitation
minière à ciel ouvert. En comprenant les principes de base de cette discipline, en appliquant
des méthodes d'analyse rigoureuses et en mettant en œuvre des mesures de stabilisation
appropriées, les ingénieurs et les géologues peuvent contribuer à la création de mines à ciel
ouvert plus sûres, plus durables et plus respectueuses de l'environnement.
Points clés à retenir
Page 26
La stabilité des pentes et des talus est essentielle pour la sécurité des mines à ciel ouvert.
Divers facteurs influencent la stabilité, comme les propriétés des matériaux, la géométrie des
pentes, les conditions hydrogéologiques et les vibrations.
Des méthodes d'analyse spécifiques permettent d'évaluer la stabilité

Memoire Prisca 014509

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Page I

« Comme un chercheur d’or, je ne puis

A mes parents : SEYA Robert et MAKONGA Virginie

A mes futurs enfants : Terakh KAMUNGA, Tesnime KAMUNGA, Tancrède KAMUNGA et

Permettez-moi tout d’abord d’exprimer ma profonde gratitude envers Dieu, le créateur de

TABLE DES MATIERES

Chapitre II. GENERALITE SUR LA FRAGMENTATION....................................................16

TABLE DES FIGURES

LISTE DES TABLEAUX

Chapitre I. GENERALITE SUR LE POLYGONE DE

Dans ce chapitre, nous aborderons les points suivants : l’historique de la mine de

I.2. HISTORIQUE DE POLYGONE DE MMG KINSEVERE

Le Polygone de KINSEVERE est composé de trois gisements : KINSEVERE Hill, Tshifufia

de prospection et d'estimation des réserves du polygone de Kinsevere avec la terminologie du

I.3. CADRE GEOGRAPHIQUE DE MMG KINSEVERE

La mine de KINSEVERE est située à 30 Km au Nord-Est de la ville de Lubumbashi dans la

1Figure I.1. Localisation du site de MMG KINSEVERE

2Figure I.2. La configuration actuelle MMG

Le secteur de KINSEVERE qui se retrouve dans le territoire de KIPUSHI a un climat tropical

I.3.3. Sol et végétation

Le sol argileux résiduel formant la couverture dans la zone de KINSEVERE a environ 2m

La végétation du site de KINSEVERE est composée, outre les « dembos

La morphologie du Katanga méridional est constituée généralement des larges surfaces

I.4. CADRE GEOLOGIQUE

 La chaine Ubendienne d’âge paléo protérozoïque (inférieure à 17000Ma) ;

 La chaine Katanguienne d’âge Néo protérozoïque (1000-5

3Figure I.3. La carte de l'architecture structurale de l'arc lufilien montrant la répartition

Le katanguien ou le super-groupe du katanga constitue une chaine située entre le craton du

I.4.2. Tectonique katanguienne

 La phase D1 ou phase kolwezienne, correspondant à la phase majeure de

I.4.3. Géologie locale de Kinsevere

Le gisement de KINSEVERE est classé parmi les gisements sédimentaires stratiformes de

7Figure I.7. Carte géologique de KINSEVERE (source : MMG exploration

I.4.3.2. Stratigraphie de KINSEVERE

Elle se résume sur la (figure I.8) suivante ;

8Figure I.8. Stratigraphie locale

Par rapport à la litho-stratigraphie régionale de Kinsevere, la minéralisation s’étend jusqu’aux

Tableau 1I.1. Stratigraphie locale de MMG KINSEVERE

1 Le Calcaire à Minéraux Noirs CMN

I.4.3.3. Minéralisation du secteur de MMG Kinsevere

La métallogénie nous montre que le gisement de Kinsevere comporte trois zones de

Le polygone de KINSEVERE est constitué de trois méga-fragments dénommés Tshifufia-

Chapitre Ⅱ .Théorie de la stabilité des pentes et des talus dans une

mine à ciel ouvert

Propriétés géologiques et géotechniques des matériaux:

Résistance au cisaillement: C'est la capacité des matériaux à résister au glissement. Plus la

Géométrie des pentes:

Hauteur du front de taille: La hauteur du front de taille, c'est-à-dire la hauteur de la paroi

Présence de ressauts ou d'irrégularités: Les ressauts et les irrégularités dans la surface de la

Vibrations et charges dynamiques:

Tremblements de terre: Les tremblements de terre peuvent provoquer des secousses

Propriétés géologiques et géotechniques des matériaux: La résistance au cisaillement, la

Géométrie des pentes: L'inclinaison de la pente, la hauteur du front de taille et la présence de

Conditions hydrogéologiques: La présence d'eau souterraine peut affaiblir les matériaux et

Vibrations et charges dynamiques: Les explosions de dynamitage, le trafic d'engins lourds et

Méthodes d'analyse de la stabilité

Mesures de stabilisation des pentes et des talus

Lorsque l'analyse révèle un risque d'instabilité, différentes mesures de stabilisation peuvent

Changement de la géométrie: Modifier l'inclinaison de la pente ou créer des paliers étagés

Renforcement des matériaux: Des techniques comme l'injection de ciment, l'installation de

Des normes et des réglementations spécifiques existent pour la conception, la construction et

Facteurs influençant la stabilité des pentes et des talus

Propriétés géologiques et géotechniques des matériaux: La résistance au cisaillement, la

Géométrie des pentes: L'inclinaison de la pente, la hauteur du front de taille et la présence de