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Introduct

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Avant L’économie Marocaine a connu au lendemain de l’indépendance
une dynamique particulière orientée vers la reconstruction. Tous les projets qui
ont été menés par les pouvoirs publics depuis les années cinquante ont ciblé le
décollage de la croissance économique.

Ainsi, de nombreuses firmes œuvrant dans le domaine industriel ont vu le


jour grâce aux investissements qui ont été consacrés à cette fin par l’Etat. Ces
investissements ont conduit à la mise en place d’infrastructures de base
susceptibles de relancer la production et de mettre fin à une période
caractérisée par un ralentissement général de l’activité économique.

C’est dans ce contexte que la SCIF a été fondée pour faire face aux
besoins en termes de transport de personnes et de marchandises assuré par
l’Office National des Chemins de Fer.

Elle s’est vite imposée comme leader national et continental, dans le


créneau de la fabrication des biens d’équipement destinés aux grands projets
d’infrastructures aéroportuaires, routières et ferroviaires, ainsi que des
prestations aux autres entreprises en matière de manutention, de construction
de réservoirs pour le stockage de gaz et de liquides, dont les produits
pétroliers.

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Mais la vocation première de la SCIF, a toujours été la fabrication de
matériel ferroviaire dont les wagons de transport de Phosphates, de Fret et les
voitures pour voyageurs ainsi que le matériel destiné aux voies ferrées.

Présenta
tion de
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la
société

I- Présentation d’YNNA holding


1. Présentation du Groupe
YNNA est une société holding privée dont l’actionnariat comprend
exclusivement des personnes physiques (Famille CHAABI).
Ynna Holding, Groupe Miloud CHAABI, opère dans les principaux secteurs à
travers des investissements dans des activités prioritaires, en phase avec

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l’évolution du marché marocain ou à tendances émergentes : BTP, Promotion
immobilière, Industrie des matériaux de constructions, Tourisme et Distribution
moderne.
Le Groupe Miloud CHAABI investit également dans la construction de
logements sociaux, de grands ouvrages d’art, des réseaux d’adduction d’eau et
d’assainissement. Partant d’une petite entreprise familiale spécialisée dans le
BTP et la promotion immobilière, Ynna Holding est, aujourd’hui, une Firme
Multinationale dont l’effectif est de 18 000 collaborateurs (environ).
Ynna Holding bénéficie actuellement d’une notoriété tant au Maroc que dans
plusieurs pays étrangers.

2. Activités du Groupe

Ynna Holding, Groupe Miloud CHAABI, opère dans les principaux secteurs à
travers des investissements dans des activités prioritaires, en phase avec
l’évolution du marché marocain ou à tendances émergentes : BTP, Promotion
immobilière, Industrie des matériaux de constructions, Tourisme et Distribution
moderne.

A. BTP

 Génie civil et Travaux publics


Créée en 1948, la société prit diverses
appellations et est devenue Société Nouvelle
Travaux Maroc en 2001. La société s'est
spécialisée dans les métiers des adductions en
eau potable, de l'irrigation et des travaux
d'assainissement.

 Promotion immobilière
En 1948, Monsieur Miloud Chaâbi agissant en
qualité d’entrepreneur dans le secteur de
l’immobilier, décide de donner de l’envergure à
son activité. Il multiplie la création et
l’acquisition d’entités du même secteur.

B. Industrie

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 Câblages téléphoniques et électriques
Créée en 1992 à Casablanca, la société produit des
câbles pour les réseaux téléphoniques aériens et
souterrains

 Céramique
Super Cérame est née de la fusion de deux
opérateurs de l'industrie céramique au Maroc :
Africérame et Gros cérame.

 Industrie ferroviaire
Créée en 1946, la Société Chérifienne de Matériel
Industriel et Ferroviaire (S.CI.F.) a fait l'objet d'une
première acquisition par le groupe Ynna en 2001 puis
contrôlée majoritairement en 2006.

 Pétrochimie
C'est l'unique producteur de matière plastique au
Maroc. Entreprise créée à Mohammedia en 1973, la
Société Nationale d'Electrolyse et de Pétrochimie
(SNEP) démarra sa production en 1977 avant d'être
rachetée dans le cadre de sa privatisation par Ynna
Holding, Groupe Miloud Chaâbi en 1993.

C. Emergence

 Grande distribution
La première réalisation de ce programme porte sur
l'ouverture, en 1998, du premier hypermarché à
Rabat. Aujourd'hui, la chaîne ASWAK ASSALAM
compte huit hypermarchés.

 Tourisme
En 1999, le Groupe s'est positionné sur le secteur de
l'hôtellerie en inaugurant un hôtel de 4 étoiles à
ESSAOUIRA. Implantée aussi à Marrakech avec 6
hôtels de 3,4 et 5 étoiles, et à Agadir avec un hôtel 4
étoiles, la chaîne RYAD MOGADOR compte

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aujourd'hui 9 hôtels.

II- Présentation de la SCIF


1. Présentation de la société

Créée en 1946, la SCIF s’est vite imposée comme leader national et


continental, dans le créneau de la fabrication des biens d’équipement destinés
aux grands projets d’infrastructures aéroportuaires, routières, ferroviaires, ainsi
que des prestations aux autres entreprises en matière de manutention, de
construction de réservoirs pour le stockage de gaz et de liquides, dont les
produits pétroliers.

Les ambitions de la SCIF se sont affirmées à partir de 1974, avec la mise en


œuvre d’un plan de développement à long terme, visant le triplement de ses
capacités productives sur une décennie. Ce tournant s’explique par la nécessité
d’orienter les activités de la SCIF vers des produits complets en optimisant le
taux d’intégration et en améliorant la valeur ajoutée industrielle tout en
recherchant des créneaux d’avenir qui rentrent dans les grands axes du
développement du Royaume. Ces évolutions marquantes ont permis à des
ressources humaines hautement qualifiées, de se positionner dans la
concurrence et la sous-traitance internationale.

En 2003, le Groupe Chaâbi est entré dans le capital de la SCIF, avant d’en
devenir l’actionnaire majoritaire en 2006 pour entamer, avec son partenaire
stratégique l’ONCF, une nouvelle ère caractérisée par la relance des industries
ferroviaires dans le Royaume. Les objectifs fixés à une collaboration dynamique
et fructueuse se traduisent, déjà, par des actions salutaires de renforcement de
la qualité de l’encadrement de la société et de son ingénierie marocaine, la
diversification de ses activités de production et de services et l’amélioration de
la productivité technique et technologique des usines de la SCIF. En témoignent
les marchés remportés avec le Groupe OCP, premier client national du rail,
portant sur la réalisation partielle d’une unité de production d’acide sulfurique

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à Jorf Lasfar et la construction de matériels de production pour les unités OCP
de Safi.

Le Top Management a adoptée une stratégie transversale à long terme, qui


consiste à diversifier les activités de l’entreprise et à conquérir d’autres
marchés afin de renforcer l’immunité de l’entreprise vis à vis des aléas du
Marché de l’industrie ferroviaire.

2. Activités de la société

La SCIF avait pour activité principale la fabrication du matériel ferroviaire, mais


à cause de la saturation du marché et la concurrence étrangère, la SCIF a
diversifié ses activités.

L’activité ferroviaire :

la production de Matériel roulant ferroviaire et de


matériel pour voie ferrée est la vocation principale
de la SCIF depuis 1946.

La fabrication des bouteilles à gaz :

La SCIF fournit ses bouteilles à la plupart des


distributeurs marocains et en a exporté vers la
Tunisie, l'Italie, le Royaume Uni, la Mauritanie, le
Sénégal et la Côte-d'Ivoire.

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la fabrication des réservoirs :

La SCIF fournit ses bouteilles à la plupart des


distributeurs marocains et en exporte vers la
Tunisie, l'Italie, le Royaume Uni, la Mauritanie, le
Sénégal et la Côte-d'Ivoire.

3. Organigramme de la société

La structure de l’entreprise peut être schématisée par l’organigramme suivant :

M. Mohammed SRAIDI

Administrateur

M. BARJ
Directeur général

Directeur
général
Adjoint

Direction
Des Achats Service Financier et
Comptable

Direction Direction
Des Etudes Des Achats

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Personnel et Service des

Social Affaires

Générales

Présenta
tion du
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contexte
de la
mission
Service Finances et Comptabilité
Ce service a pour vocation le traitement de toutes les opérations à caractère
financier de l’entreprise, notamment la tenue en permanence d’une
comptabilité claire et transparente qui reflète l’image et la performance de la
société à un moment donné.

Les différentes tâches entrant dans le domaine d’intervention de ce service


sont réparties en deux volets :

Les travaux comptables proprement dits :

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 L’enregistrement au jour le jour de toutes les opérations engagées par
l’entreprise et qui se traduisent par une entrée ou sortie d’argent ;
 La saisie des écritures au journal informatisé de l’entreprise ;
 L’arrêt des comptes au bout de chaque mois et la présentation des états
financiers au top management ;
 Le classement et l’archivage de tous les documents et pièces comptables
qui ont servis de support aux écritures comptables (facture, BL, avis
bancaires ...).

Les travaux extracomptables :

 L’établissement des Etats journaliers, hebdomadaires ou mensuels qui


permettent de refléter la situation à un moment donné ;
 Le suivi des états qui permettent de déterminer les prévisions relatives à
la trésorerie et au patrimoine de l’entreprise ainsi que l’anticipation des
échéances de paiement (balance Agée des fournisseurs suivant les dates
d’échéance) ;
 La supervision des correspondances avec les tiers, notamment la
banque ;
 Assurer le suivi de la caisse et de toutes les opérations de retrait ou
d’alimentation de la caisse.

Le service finance et comptabilité est indispensable à la bonne gestion d’une


structure quelconque. Il permet d’entretenir l’information financière qui reflète
la situation réelle de celle ci, et de gérer sa fortune et son patrimoine. Par
ailleurs, les personnes qui veillent à la bonne marche de ce service doivent
avoir en plus d’une compétence dans le domaine de gestion comptable et
financière et une expérience affirmée.

Pour le cas de la SCIF, l’ensemble du personnel de ce service est constitué de


trois comptables et un chef comptable qui sont chapeautés par le responsable
financier.

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Approche de la comptabilité Analytique :

C’est une fonction qui est inexistante au sein de la société. En effet, le service
de contrôle de gestion saisit quotidiennement les données relatives aux heures
de travail et matières consommées par section et par OF (ordres de
fabrications) afin de déterminer le cout de revient pour chaque activité et
comparer les prévisions et les réalisations.

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Mise en
place de
la
comptab
ilité
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analytiq
ue
I- Notions théoriques
1. Définition :

La comptabilité analytique ou comptabilité de gestion est un système de


comptes, ajustés à la comptabilité générale, permettant d’identifier et de
valoriser les éléments constitutifs du résultat de l’exercice et d’en permettre
l’interprétation et l’exploitation par les directions des entreprises. Elle
rapproche chaque produit de ses coûts, qu’ils aient été encourus dans
l’exercice ou dans des périodes précédentes. Elle divise les résultats par centre
de décision permettant un meilleur pilotage, et les consolide par ligne
d’activité, afin d’en mieux apprécier la situation.

2- Objectifs de la comptabilité analytique :

 Répartir les charges entre les différents coûts (coût d'achat, coût de
production, coût de distribution, coût hors production, coût de revient).
 Déterminer, pour chaque produit fabriqué, son résultat analytique (perte
ou bénéfice).
 Analyser les résultats par le calcul des coûts des produits et les comparer
au prix de vente.

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 Établir des prévisions de charges.

3- La comptabilité analytique complément de la comptabilité générale :


La comptabilité générale permet de déduire le résultat d'exploitation,
toutefois, les informations qu'elle fournit, sont insuffisantes à une connaissance
et à une compréhension complète de l'activité de l'entreprise, et ce, pour
plusieurs raisons parmi lesquelles on peut citer notamment :

 Le caractère excessivement formaliste de la comptabilité générale : Tenue


par le strict respect des règles d'évaluation, la comptabilité générale est
surtout préoccupée par la recherche de détails et d'égalités strictes
(respect du principe de la partie double, nature des soldes obtenus pour les
comptes,...) ;
 Une classification unicritère des charges : leur nature dans une optique
coût, cette classification s'avère insuffisante dés lors qu'on voudra obtenir
un coût par fonction, par produit, par commande...
 L'existence d'un résultat d'exploitation globale : En matière de gestion,
cette information n'est satisfaisante que dans le cas où une entreprise
produit ou commercialise un seul bien ; dés qu'une entreprise produit ou
commercialise plus d'un bien, un résultat d'exploitation global devient
évidemment insuffisant en ce sens qu'il masque la contribution de chaque
bien à ce résultat global.

II- INTITULÉ DE L’ACTION:

Mise en place de la
comptabilité analytique
1- CONTEXTE ET ENJEUX POUR LA SCIF :

Le SCIF gère des activités purement industrielles, dans cette mesure il est
indispensable de gérer et maîtriser ses coûts. De plus une forte
augmentation des coûts a nécessité une forte prise de conscience sur les
limites des méthodes utilisées et l’obligation de décrire les processus de
collecte et de traitement de façon transparente.

En effet, la comptabilité analytique va permettre de justifier les prix de vente,


donner des éléments permettant de décider, fournir des paramètres de
contrôle, évaluer des biens et des services.

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- Objectifs recherchés :

En mettant en place une Comptabilité analytique, la SCIF aura les


moyens :

 d’obtenir des « tableaux de bord » qui permettront aux responsables


d’analyser très facilement les coûts réels de chacune de leurs actions.
 d’obtenir avec un système simple et fiable les informations nécessaires
au pilotage de l'entreprise : coûts de revient par produits et/ou activités,
marges, comptes de résultats mensuels et suivi budgétaire.

- Résultats attendus:

 Identification des activités, des produits (bouteilles réservoirs, wagons),


et des flux.
 Détermination du schéma d'analyse des coûts et du schéma budgétaire :
coûts fixes / variables, directs / indirects, types de coûts et sections,
unités d'œuvre, construction du coût de revient et du budget (achats,
approvisionnement et stockage, fabrication, industriel).
 Détermination des règles de valorisation et des règles d'affectation des
dépenses et de répartition.
 Définition du (des) compte(s) de résultat analytique(s).

- Contenu succinct de l’action :

 Structuration de la comptabilité analytique : identification des centres de


coûts.
 Mise en place d’une procédure d’imputation des recettes et dépenses par
centre de coûts.
 Etablissement du budget en fonction des données obtenues grâce à la
comptabilité analytique.

-La méthodes des coûts utilisée : Méthode des coûts complets

Cette méthode permet de redistribuer les valeurs de charges de la


comptabilité générale, réfléchies en comptabilité analytique, par destination.
Des comptes de section vont recevoir les
valeurs ventilées. Il en existe 3 sortes :
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 Les sections intermédiaires
 les sections de production
 Les sections de stocks

Les sections intermédiaires sont ventilées périodiquement dans les sections de


production. Les sections de productions alimentent les sections de stocks et
d’en cours. Au final apparaît facilement le résultat des ventes, produit par
produit et le résultat général est bien égal à la somme des résultats détaillés
des produits. L’utilisation de comptes parfaitement recoupés avec ceux de la
comptabilité générale justifie bien le terme de comptabilité analytique par
rapport à d’autres méthodes plus statistiques ou pragmatiques.

Schéma du calcul des coûts :

LE COUT D'ACHAT des matières premières : prix d'achat des matières

+ Charges directes
d'achat

+ Charges indirectes
d'achat

Stock de matières premières

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LE COUT DE PRODUCTION des produits finis : consommation de matières
premières

(Sortie de stock des


matières)

+ Charges directes de
production

+ Charges indirectes
de production

Stock de produits finis

LE COUT DE DISTRIBUTION des produits finis vendus : charges directes de


distribution

+charge directes
de distribution

+charge indirectes
de distribution

Stock de produits vendus

LE COUT DE REVIENT des produits finis vendus : coût de production des


produits finis

vendus (sortie de stock


de produits)

+ Coût de distribution

LE RESULTAT ANALYTIQUE (bénéfice ou perte) : prix de vente des produits finis

- coût de revient des produits finis

vendus

2-Le résultat analytique de l’activité bouteille pour le mois de juillet :


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Processus de fabrication

Le processus de fabrication des bouteilles à gaz, dans les ateliers de la SCIF


est le suivant :
Atelier débit :

Il s’agit dans cet atelier de déformer et de découper après traçage les tôles
de fer en flancs.
Atelier bouteilles /assemblage :

A partir des flancs découpés lors de la première étape, on réalise les fonds
supérieurs et inférieurs de la bouteille et on forme les emboutis. Le pied est
soudé sur le fond inférieur. La collerette est soudée sur le fond
supérieur. Ensuite Les deux fonds sont soudés entre eux. Enfin le traitement
thermique.
Atelier peinture :

Dans cet atelier les bouteilles passe d’abord par le grenaillage, la métallisation
puis la peinture. Pour être stockées avant d’être livrées.

Schéma de production

NB : le passage d’un atelier à un autre n’entraine pas de


stockage.

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2.1 La feuille de répartition des charges : Clés de répartitions de
l’atelier Bouteilles

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(1) clé de répartition : le nbre d’ouvriers par ateliers

2.2 Feuille de répartitions de charges :

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2.3 Coût d’achat des matières premières

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2.4 L’inventaire permanent des tôles :

2.5 Le coût de production : atelier débit

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2.6 Le coût de production : atelier bouteille

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2.7 Le coût de production : atelier peinture

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2.8 Inventaire permanent des bouteilles fabriquées :

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2.9 Résultat analytique :

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Sans comptabilité analytique, la SCIF se privait d'un outil de gestion
redoutablement efficace. La comptabilité analytique présente, en effet, de
nombreux atouts pour la SCIF. Elle va lui permettre de détecter les zones de
performance par activité et par produit.

En effet, La comptabilité analytique constitue un outil de pilotage


précieux, a fortiori en période de crise, quand les délais de prise de décision se
raccourcissent. Contrairement aux idées reçues, elle n'est pas l'apanage des
grandes entreprises. On peut tenir une comptabilité analytique très
simplement, sur un tableur Excel. Elle est très utile dans les sociétés qui
comptent plusieurs activités, comme c’est le cas pour la SCIF. Le dirigeant peut
ainsi suivre chaque branche séparément.

Toutefois, pour réussir la mise en place d'un tel outil, il faut respecter
certaines règles. Pour commencer, la direction de la SCIF ne doit pas porter
seule le projet. Au contraire, il est important qu'elle mobilise les collaborateurs
et surtout l'encadrement. Car, pour alimenter la comptabilité analytique,
chaque service devra remonter un certain nombre de données chiffrées: par
exemple, le temps passé, dans le mois, sur telle gamme pour le service
fabrication ou encore le temps consacré à chaque activité pour le service
informatique. Ils doivent avoir compris tout l'intérêt de la comptabilité
analytique pour fournir en temps et en heure ces données.

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