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Chapitre 1: Généralités
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Chapitre 1: Généralités
La Statique
… est la science de l’équilibre des corps au repos.
La Cinématique
… est la science de l’équilibre des corps en mouvement sans tenir compte
des « causes » ni de masse.
La Cinétique
… est la science de l’équilibre des corps en mouvement en tenant compte la
de masse
La Dynamique
… est la science de l’équilibre des corps en mouvement en tenant compte
des effets qui les produisent ou qui les perturbent.
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Chapitre 1: Généralités
Définitions Mécanique
Analytique
• Mécanique du point la mécanique analytique est une théorie physique fondamentale qui
permet de décrire le mouvement des systèmes mécaniques c’est-à-
• Mécanique des solides
dire l’assemblage de plusieurs particules ou de plusieurs solides ou
la combinaison entre les deux (particules, solides , fluides…)
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Chapitre 1: Introduction
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Chapitre 1: Paramétrage d’un système _ Coordonnées généralisées
On appelle paramètres de configuration ou coordonnées généralisées d’un système, un
ensemble de n paramètres nécessaire pour déterminer la position de tous les points et tous les
solides du système à un instant t donné.
⃗ ⃗
𝑂𝑀 ( 𝒒𝟏 , 𝒒𝟐 , …, 𝒒𝒏 ) ⇒ 𝑞=(𝒒𝟏 , 𝒒𝟐 , …, 𝒒𝒏 )
𝑂𝑀 ( 𝑥 , 𝑦 , 𝑧 ) ⇒𝑞=(𝑥 , 𝑦 , 𝑧)
Les coordonnées généralisées décrivent l’état mécanique du système. Elles sont de nature arbitraire et
peuvent avoir la dimension d’une longueur, d’un angle.
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Chapitre 1: Paramétrage d’un système _ vitesses généralisées
Soit système (de 𝑃 points matériels et 𝑄 corps solides sont défini par : 𝑁 = 3𝑃 + 6𝑄 coordonnées
généralisés.
Soit:
⃗
𝑂𝑀 ( 𝒒𝟏 , 𝒒𝟐 , … , 𝒒𝒏 ) ⇒ 𝑞=(𝒒𝟏 , 𝒒𝟐 , … , 𝒒𝒏 )
⃗𝒅 𝑂𝑀
⃗
𝑽 ( 𝑴 )= ( 𝒒𝟏 , 𝒒𝟐 , … , 𝒒 𝒏 ) ⇒ 𝒒=(
˙ 𝒒˙ 𝟏 , 𝒒˙ 𝟐 ,… , 𝒒˙ 𝒏 )
𝒅𝒕
Autrement: Les vitesses généralisés
Et on a:
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Chapitre 1: Paramétrage d’un système _ Degré de liberté
On appelle degrés de liberté tous les mouvements que peut réaliser un solide relativement
à un repère fixe et donc par rapport à un autre solide fixe.
Le nombre de degrés de liberté (n) d’un système mécanique est le nombre de coordonnées
généralisées (N) indépendantes décrivant un système.
n= N– l
Degré de liberté (n) = nombre de coordonnées – nombre de liaisons ente les
généralisées (N) coordonnées généralisées
Exemple
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Chapitre 1: Liaisons
Définitions
Un système est soumis à des liaisons s’il existe des contraintes qui en
limitent les mouvements externes ou internes
On appelle liaison toute restriction de liberté ou réduction de nombre de
degré de liberté par rapport à sa position ou sa vitesse.
Existence d’une force de liaison et de relation entre q et
Les liaisons s’expriment soit par des forces de contrainte, soit par des
équations de liaison.
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Chapitre 1: Liaisons
Généralités
Une liaison mécanique est, dans un mécanisme, la mise en relation de deux pièces par contact physique
permettant de les rendre partiellement ou totalement solidaires. On parle alors de pièces liées. Ce contact contribue
à la transmission éventuelle d'un effort entre les deux pièces.
Une liaison mécanique est dite parfaite entre deux solides si on peut négliger les phénomènes de frottement,
d’adhérence et de résistance au roulement entre ces solides.
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Chapitre 1: Liaisons
On distingue de manière purement théorique plusieurs types de liaisons
à partir du type de contact, (surface de contact)
à partir des mouvements relatifs des pièces. (degré de liberté)
Nature géométrique des contacts :
On distingue 3 familles de contacts, à savoir…
1. Ponctuel : contact en un point (où surface de contact assimilable à un point).
2. Linéique : contact suivant une ligne droite ou courbe (ou surface de contact assimilable à
une ligne)
3. Surfacique : contact suivant une surface quelconque.
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Chapitre 1: rappels sur les torseurs
Rappels: torseurs
Torseurs associés à la liaison: En mécanique du solide, le comportement statique et cinématique peut être modélisé par
l'outil mathématique torseur, qui décrire les mouvements des solides et les actions mécaniques qu'il subit de la part d'un
environnement extérieur.
Le torseur cinématique est utilisé pour décrire les comportements de translation et de rotation d'un solide
indéformable, en général dans un repère orthonormé direct.
Le vecteur rotation possède dans un repère tridimensionnel {R,x,y,z} trois composantes notées ω x , ωy, ωz.
Le vecteur vitesse possède dans un repère tridimensionnel {R,x,y,z} trois composantes notées ν x , νy, νz.
Le torseur d'action transmissible: Lorsque deux pièces sont liées, certains mouvements relatifs sont interdits. Il
en résulte l'existence d'efforts dans ces directions. Ces efforts sont dits transmissibles dans la liaison. Leur valeur ne dépend
en fait que des autres actions extérieures aux deux pièces considérées.
est appelée résultante du torseur et peut être projetée suivant les trois axes du repère associé
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Chapitre 1: Liaisons
Les liaisons élémentaires – simples
1. Liaison ponctuelle: Il y a liaison ponctuelle entre deux solides lorsque le seul
contact entre ceux-ci est réduit à un point.
Dans ce cas, un seul degré de liberté est supprimé : il s’agit de la
translation perpendiculaire au plan tangent du contact. C’est donc la
direction principale de cette liaison.
mouvements d.d.l.
Tx 1 Rx 1
Ty 0 Ry 1 5
Tz 1 Rz 1
Le champs admissible des vitesses du solide 1 Torseur des efforts transmissibles : Le torseur
par rapport au solide 2, s'exprime alors par un d'action mécanique du solide 1 sur le solide 2,
torseur cinématique de la forme: exprimé en A et dans la même base ( R ) prend
la forme
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Chapitre 1: Liaisons
Les liaisons élémentaires – simples
mouvements d.d.l.
Tx 1 Rx 1
Ty 0 Ry 1 4
Tz 1 Rz 0
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Chapitre 1: Liaisons
Les liaisons élémentaires – simples
3) Liaison linéaire annulaire: Deux solides sont en liaison linéaire annulaire si
leur contact est un arc de cercle avec des normales de contact coplanaires.
C’est le cas d’une sphère se promenant dans un cylindre de même diamètre.
Liaison linéaire annulaire d’axe (A,X)
mouvements d.d.l.
Tx 1 Rx 1
Ty 0 Ry 1 4
Tz 0 Rz 1
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Chapitre 1: Liaisons
Les liaisons élémentaires – simples
4) Liaison pivot – glissant: c‘est la liaison de deux solides 1 et 2 permettant la
rotation et la translation selon le même axe, de l’un des solides par rapport à
l’autre.
mouvements d.d.l.
Tx 1 Rx 1
Ty 0 Ry 0
2
Tz 0 Rz 0
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Chapitre 1: Liaisons
Les liaisons élémentaires – simples
5) Liaison rotule ou sphérique: c‘est la liaison de deux solides 1 et 2 permettant
la rotation autour des trois axes, de l’un des solides par rapport à l’autre.
mouvements d.d.l.
Tx 0 Rx 1
Ty 0 Ry 1 3
Tz 0 Rz 1
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Chapitre 1: Liaisons
Les liaisons élémentaires – simples
6) Liaison appui plan: elle est obtenue des que le contact entre solides comporte au
moins 3 points coplanaires non alignés avec des normales au contact parallèles. Elle
permet la translation selon deux axes et une rotation autour du troisième.
Liaison appui plan de normale (A,y)
mouvements d.d.l.
Tx 1 Rx 0
Ty 0 Ry 1 3
Tz 1 Rz 0
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Chapitre 1: Liaisons
Les liaisons élémentaires – composées: Ces liaisons ne peuvent être obtenues
qu’à partir d’association de surfaces multiples. De ce fait, il est possible de les
modéliser par assemblage de liaisons simples.
7) Liaison pivot: liaison permettant un mouvement de rotation d’un solide par
rapport à un autre.
Liaison pivot d’axe (A,X) Y X
mouvements d.d.l.
Tx 0 Rx 1
Ty 0 Ry 0
1
Z
Tz 0 Rz 0
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Chapitre 1: Liaisons
Les liaisons élémentaires – composées
8) Liaison glissière: Deux solides sont en liaison glissière lorsqu’ils ont au moins
deux droites strictement parallèles en commun, dont la direction est la même
que celle de la seule translation alors autorisée.
C‘est la liaison qui permet un mouvement de translation d’un solide par rapport à un autre.
Liaison glissière d’axe (A,X)
mouvements d.d.l.
Tx 1 Rx 0
Ty 0 Ry 0 1
Tz 0 Rz 0
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Chapitre 1: Liaisons
Les liaisons élémentaires – composées
9) Liaison hélicoïdale: Ce qui caractérise cette liaison, c’est l’existence de deux
degrés de liberté combinés : La rotation autorisée est simultanée à la translation
dans un rapport qu’on appelle le pas de vis, d’hélice ou de filet. De ce fait, il faut
considérer qu’il s’agit d’un seul et même degré de liberté.
mouvements d.d.l.
Tx 1 Rx 1
Ty 0 Ry 0
1
Tz 0 Rz 0
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Chapitre 1: Liaisons
Les liaisons élémentaires
11) Liaison encastrement (complète):C'est le cas de deux pièces
complètement solidaires. puisqu'elle permet la définition des classes
d'équivalence (ensemble de pièces solidaires pendant le fonctionnement
du mécanisme).
mouvements d. d.l.
Tx 0 Rx 0
Assemblage soudé
Ty 0 Ry 0 0
Tz 0 Rz 0
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Chapitre 1: Classification des Liaisons
Les contraintes engendrées par les forces de liaison peuvent être exprimées en fonction
des positions, ou des vitesses, ou des deux à la fois. Elles sont traduites par une fonction Liaisons
sous la forme suivante: mécaniques
𝑓 ( 𝑞 , 𝑞˙ ,𝑡 )= 0
contraintes
On distingue:
2
𝑓 ( 𝑞 , 𝑡 )= 0
2. bille qui roule à l’intérieur d’une sphère de rayon R
Liaison
holonome
𝑓 ( 𝑞 , 𝑡 )= 0
liaison
géométrique
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Chapitre 1: Exemples de liaisons non holonomes
1. Disque qui roule sur un plan sans glisser
On considère une roue, de rayon r, qui roule sans glissement sur un plan Oxy. La roue ne peut ni glisser ni pivoter
et son plan reste perpendiculaire au plan de mouvement. Le mouvement de cette roue par rapport au plan Oxy, on
considère un point de contact roue-plan de coordonnées (x,y) qui dépendent de l'angle entre le plan de la roue et
l'axe des x et de l'angle de rotation de la roue autour de son axe.
Donc on a :
On remarque que ces deux équations ne sont pas intégrables, donc elles constituent des
liaisons non-holonomes qu'on peut écrire sous les formes suivantes :
Liaison non
holonome
liaison
cinématique
𝑓 ( 𝒒 , 𝑞˙ , 𝑡 ) =0
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Chapitre 1: Classification des Liaisons
Liaison semi-
Liaison Liaison
holonome
principale ou complémentair Il se peut qu’une
primitive e ou équation de liaison
Une liaison principale supplémentaire non holonome
est une liaison Une liaison qui n’est s’intègre et
holonome qui exprime pas utilisée pour conduise à une
une coordonnée effectuer la relation holonome.
généralisée en réduction du La liaison est alors
fonction d’une ou paramétrage du qualifiée de liaison
plusieurs autres système est semi-holonome.
coordonnées qualifiée de
généralisées du complémentaire.
système
Le nombre de degrés de liberté d’un système est le nombre de paramètres
indépendants qu’il faut pour déterminer de façon unique la position du
système. Si « n » est le nombre de paramètres de configuration et si le
système admet « p » liaisons principales et « s » liaisons complémentaires
alors le ddl du système est :n-p-s
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Chapitre 1: Classification des Liaisons
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Chapitre 1: Exemples
Paramétrer ce système?
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Chapitre 1: Exemples
Paramétrer ce système?
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Chapitre 1: Exemples
Aussi, nous obtenons deux relations entre les coordonnées. La première qui fixe 𝒓𝟏 à 𝒍𝟏 et la
deuxième exprime 𝒓𝟐 en fonction de 𝝋𝟏 et 𝝋𝟐, ce qui veut dire que la connaissance des deux
angles suffit pour déterminer 𝒓𝟐.
D’où le mouvement du système peut être décrit seulement par deux coordonnées (𝝋𝟏,𝝋𝟐).
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Chapitre 1: Exemples
Paramétrer ce système?
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Chapitre 1: Classification des Liaisons
Paramétrer ce système?
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Chapitre 1: Espace de configurations
Espace des configurations: c’est l’espace associé à l’ensemble des positions que le système peut atteindre
en tenant compte des contraintes mécaniques. Sa dimension est égale au nombre de degrés de liberté, n,
du système.
Il est défini par la donnée des n coordonnées généralisées qα (α = 1 . . . , n). La configuration du système
`a un instant donnée est définie par un vecteur dans l’espace des configurations que l’on peut noter q ≡
(q1, q2, . . . , qn),
Au cours du temps, tous point M du système décrit une trajectoire dans cet espace,
ie ∀ 𝐌 ∈𝑺 𝑶𝑴= 𝑶𝑴 (𝒒 ,𝐭).
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Champ de vitesses réelles (CVR)
Champ de vitesses virtuelles (CVV)
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Chapitre 2: Champs des vitesses virtuelles
Différentielles virtuelles
soit une fonction de n+1 variables q1,q2,…qn,t : f(qi , t) sa différentielle réelle est :
Exemple :
𝐟(𝐱,𝝋,𝒕)= 𝒙 𝒔𝒊𝒏 (𝝎𝒕+ 𝝋)
?
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Chapitre 2: Champs des vitesses virtuelles
Différentielles virtuelles
soit une fonction de n+1 variables q1,q2,…qn,t : f(qi , t) sa différentielle réelle est :
Soit une fonction de n + 1 variables 𝐪𝟏, 𝐪𝟐,... 𝐪𝐧 ,t : 𝐟(𝐪𝐢,𝐭) sa dérivée réelle est:
Par définition, La dérivée virtuelle de f à l'instant t figé est donnée par l'expression :
Exemple:
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Chapitre 2: Champs des vitesses virtuelles
Déplacement réel
La position d'un point M est définie par son vecteur position 𝐎𝐌 (𝐱,𝐭).
Pour un déplacement élémentaire (infinitésimal) du point M; sa différentielle réelle s’écrit :
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Chapitre 2: Champs des vitesses virtuelles
Vitesse virtuelle
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Chapitre 2: Champs des vitesses virtuelles
Exemple d’un champ de vitesses virtuelles: mouvement virtuel
rigidifiant ou solidifiant.
Un mouvement défini sur un solide (S) à l’instant t est dit rigidifiant (ou
solidifiant), si le champ des vitesses virtuelles défini sur (S) est un torseur :
Avec: Et,
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Chapitre 2: Champs des vitesses virtuelles
Vitesses virtuelles compatibles avec les liaisons telles qu’elles
existent à l’instant t
Les liaisons holonômes peuvent s’écrire de la manière suivante en les dérivant par rapport au temps :
On constate alors qu’elles ont la même forme que les liaisons non-holonômes :
On appellera « vitesses virtuelles compatibles avec les liaisons » les qui vérifient les équations précédentes sachant
que les vitesses virtuelles sont indépendantes du temps. On aura alors :
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Chapitre 2: Exercices d’application
Exercice 1:
Soit P(x, y, z) un point matériel en mouvement par rapport à (R) et soumis aux
liaisons holonomes suivantes:
() :
() :
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Chapitre 2: Exercices d’application
Solution 1- Le nombre de degré de liberté est d = 3 – 2 = 1
1:
2- Vitesse réelle
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Chapitre 2: Exercices d’application
Exercice 2:
(1) r=a
(2) =
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Chapitre 2: Exercices d’application
Exercice 3:
Prenons l’exemple d’un disque qui roule sans glisser sur un plan horizontal. Son mouvement est
décrit par deux équations de liaison:
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Principe des puissances
virtuelles P.P.V
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Chapitre 3: Principe des puissances virtuelles P.P.V
Pourquoi le principe des travaux virtuelles P.T.V ??
les forces de liaisons sont éliminées, par l’introduction des déplacements virtuels
compatibles avec les contraintes.
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Chapitre 3: Principe des puissances virtuelles P.P.V 50 28/11/2023
I. Forces de liaison
Pour un système S isolé par rapport à son environnement on fait la distinction
fondamentale entre :
- forces intérieures à S et
- forces extérieures à S.
I.1 Forces intérieures
Les forces intérieures sont des forces qui s’exercent entre sous-systèmes de S.
I.2 Forces extérieures
On distingue les forces à distance (champs magnétiques et gravitationnels) et les
forces de contact (représentés par le torseur des actions mécaniques de contact)
entre deux systèmes S1 et S2.
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Chapitre 3: Principe des puissances virtuelles P.P.V
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Chapitre 3: Principe des puissances virtuelles P.P.V
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rotation virtuelle
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Chapitre 3: Principe des puissances virtuelles P.P.V
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Chapitre 3: Principe des puissances virtuelles P.P.V
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Chapitre 3: Principe des puissances virtuelles P.P.V
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Equations de liaison
complémentaires
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C .V .V .C avec ces liaisons on a :
Fk
q* et q * al
q
q* ( Q )
Or on a :
Cas particulier :
U d L L p
Fk p'
U (q, t ) / Qi
qi k plali
dt qi qi k 1 qi l 1
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T 2 T 0 V C te (I.P .P )
mrani I. 2016
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Démonstration :
T T 2 T 1 T 0 L T 2 T 1 T 0 V
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Comme :
T 2 T 0 V C te
Remarque :
Si les liaisons sont scléronomes : T 1 T 0 0 T T 2 T V C te (I.P .E c )
Chapitre 3: Principe des puissances virtuelles P.P.V 83 28/11/2023
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