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Module: Contrôle de qualité
Chapitre: Qualité des produits
alimentaires
1. Définition d’un aliment:
De manière générale, l’aliment (nourriture) est
un élément d’origine animale, végétale, fongique
ou chimique, consommé par des êtres vivants à
des fins énergétiques ou nutritionnelle, dans le
processus d’alimentation
2. Les catégories alimentaires
Les catégories alimentaires
Produit
Légumes
sucré Céréales
Viandes, et fruits
Ex: et Boissons
poissons et Légumes:
Canne à Matières dérivés, non
œufs Produits carotte,
sucre grasses légumine Eau,
laitiers épinard,
Confiseri D’origine uses boissons
(fromage, tomate
es , miel Animale Céréales sucrées,
yaourt, Fruits:
(crème, pêches, et thé, café,
beurre) lait) boissons
poiriers, dérivés:
D’origine melon blé, riz, alcoolisées
végétale Fruits mais,
(margarine secs: seigle
, huiles) raisin, Légumine
poires, uses: pois
noix, lentilles
amandes soja,
3. Définition de la qualité:
Service (qualité
d’usage
S1- Sécurité = qualité hygiénique: On veut des dangers en
moins.
On ne veut pas que l'aliment apporte "du mauvais", nous rende
malade.
Qu'est-ce qui peut rendre malade dans un aliment ?
premières:
On s'intoxique parfois parce qu'on aime (ex.:alcool);
On déséquilibre sa ration par excès ou manque de goût
qualité.
R1- Régularité des autres qualités au cours du temps. On
ne veut pas de surprise
forcément meilleure)
T1- Technologie: aptitude à la transformation et à la
distribution
Le consommateur n'est pas le seul utilisateur de
l’aliment, or la qualité est la satisfaction, tous les
utilisateurs: les transformateurs, artisans et industriels,
et les distributeurs, magasins et grandes surfaces, attendent
eux aussi des caractéristiques précises des produits.
Il s'agit des qualités Technologiques: aptitudes à la
transformation et la distribution. (Ex durée de conservation
d'un yogourt en grande surface)
E1- Ethique: Prise en compte « des autres »
Aptitude à satisfaire les exigences morales des
consommateurs avec la prise en compte explicite des
besoins « des autres » : ces autres peuvent être par exemple
- les générations futures (production durable, « bio »),
- les producteurs locaux (circuits courts),
- les producteurs des pays pauvres (commerce équitable)
- les animaux et leur bien-être (œufs de poules marqués 1
ou 3)
5. Gestion de la qualité des aliments
Pour assurer la sécurité des consommateurs, on utilise
une méthode basée sur les risques pour la santé.
Cette méthode peut aussi nous aider à mémorisé les
bonnes pratiques en matières d’hygiène et de salubrité.
Elle porte sur un ensemble de points à maitriser qui
sont liés aux principaux éléments suivants:
Diagramme causes-effet d’ISHIKAWA
Matière
1. Innocuité: Il s’agit de s’assurer que les aliments sont sans danger pour le consommateur.
endommagé,
des contenants qui coulent,
des emballages dont les sceaux sont brisés,
des oeufs dont la coquille est brisée ou sale,
des fruits ou des légumes pourris, noircis ou fendus,
des viandes ou des poissons dont la couleur ou l’odeur sont inhabituelles,
des pommes de terre dont la chair est verte,
des boîtes de conserve bombées ou fendues.
2- Température
La température interne des aliments est un
facteur déterminant pour la croissance des
microorganismes. C’est pourquoi il est
nécessaire de respecter certaines normes en
matière de température de conservation.
Vérifiez régulièrement la température de
l’équipement de conservation des
aliments en utilisant un thermomètre
fiable et calibré.
Maintien de la chaîne de froid
Le maintien de la chaîne de froid fait référence à l’ensemble des opérations
ayant
ou moins) à une température interne sécuritaire, et ce, à toutes les étapes, depuis la
conserver leurs qualité. Ce principe s’applique également aux aliments qui doivent
contact avec des aliments crus, tels que la viande et la volaille, et ce, avant de manipuler
microorganismes pathogènes.
Lavez et assainissez les brosses, les instruments de récurage et les chiffons de table. De
plus, il faut les changer régulièrement, car ils peuvent aussi être une source de
contamination.
N’utilisez pas la même huile à friture pour cuire des aliments différents (par exemple, des
cuisson.
page suivante. Pour ce faire, l’usage d’un thermomètre fiable et calibré est
viande.
3. Refroidissement
Il faut refroidir, le plus rapidement possible, les aliments
potentiellement dangereux pour qu’ils atteignent une
température de 0 °C à 4 °C. La température interne de l’aliment
doit passer de 60 °C à 4 °C en moins de 6 heures; toutefois, à
l’intérieur de ce laps de temps, il faut que la température interne
passe de 60 °C à 21 °C en moins de 2 heures. De plus, dans
les appareils ou l’équipement de réfrigération, il est important
de favoriser une libre circulation de l’air entre les aliments
Quelques conseils pour accélérer le refroidissement :
Diviser les aliments en portions et les réfrigérer.
Découper les grosses pièces de viande et les réfrigérer.
Utiliser de grands contenants peu profonds dont le matériau
favorise un transfert thermique pour la réfrigération.
Placer les récipients d’aliments dans un bain d’eau glacée et
remuer régulièrement.
Utiliser une cellule de refroidissement rapide.
Ne pas fermer hermétiquement les contenants durant le
refroidissement pour favoriser l’évacuation de la chaleur
4. Réchauffage
Les aliments potentiellement dangereux, cuits et réfrigérés, que l’on réchauffe pour
les maintenir chauds doivent être réchauffés de façon à ce que toutes leurs parties
atteignent une température d’au moins 63 °C pendant 3 minutes ou 74 °C durant 15
secondes. L’équipement pour maintenir la chaleur, par exemple un réchaud dans un
comptoir de service ou une soupière, ne doit pas être utilisé pour le réchauffage, car
généralement, il ne permet pas de respecter ces critères. De plus, cette opération doit
être effectuée en moins de 2 heures.
Pour que le réchauffage au four à micro-ondes soit sécuritaire, il faut que toutes les
parties de l’aliment atteignent une température de 74 °C. De plus, assurez-vous de
retourner ou de remuer les aliments pendant le réchauffage pour répartir la chaleur
uniformément. De plus, après le réchauffage, laissez les aliments couverts pendant 2
minutes.
5. Nettoyage et Assainissement
A. Le nettoyage
Le nettoyage a pour but de déloger toutes les particules
d’aliments et les saletés des surfaces qui entrent en contact
avec les aliments. Il comprend :
Le prélavage;
Le lavage avec un détergent approprié au type de résidus
à enlever;
Le rinçage.
Une vérification visuelle de l’état des surfaces après ces
Le registre de pasteurisation;
Une personne qui présente un ictère (jaunisse) apparent ( doit être retirée de son milieu de travail
jusqu’à une semaine après le début de la maladie.
En tout temps et particulièrement au retour d’un congé de maladie, une personne qui doit manipuler
des aliments est dans l’obligation de suivre les règles élémentaires d’hygiène et de salubrité. En effet,
certaines personnes peuvent être porteuses de microorganismes pathogènes sans présenter de symptômes;
elles sont appelées des « porteurs sains ». Un porteur sain ne se rend pas compte qu’il peut transmettre la
maladie, car il n’a aucun symptôme apparent.
Les personnes ayant un syndrome cutané (lésions ou maladie de peau) infecté sur une région visible
ne doivent pas être affectées à la préparation des aliments ou au lavage du matériel et de l’équipement.
Les personnes ayant un syndrome cutané (lésions ou maladie de peau) non infecté doivent recouvrir
la plaie d’un pansement propre et étanche. À noter que si cette plaie se trouve sur les mains, les poignets ou
les avant-bras, il faut porter des gants par-dessus le pansement .
4.Tenue vestimentaire
Porter des vêtements propres, utilisés exclusivement pour le travail en
question;
Porter un bonnet ou une résille qui recouvre entièrement les cheveux;
Enlever, avant de commencer votre quart de travail, les montres, bracelets,
Bagues, boucles d’oreilles, colliers, bijoux ou tout autre objet pouvant tomber
dans les aliments (ornements de perçage sur le nez ou les sourcils, faux ongles,
faux cils, etc.);
porter les ongles courts, propres et sans vernis;
porter un couvre-barbe, le cas échéant. À titre d’exemple, une moustache
dont la longueur dépasse la commissure des lèvres doit être recouverte d’un
couvre-barbe.
5. Déplacement
Les déplacements dans un établissement ne devraient pas
compromettre l’innocuité des aliments. Pour ce faire, il est
important
d’éviter les déplacements d’une zone contaminée vers l’aire de
préparation. Par exemple, pour venir porter leurs livraisons, des
livreurs de marchandises ne devraient pas entrer dans l’aire de
préparation des aliments. De plus, les préposés aux bénéficiaires et
les infirmières d’un centre d’accueil ne devraient pas entrer dans la
cuisine pour prendre les plats servis.
1. Équipement, ustensiles et
emballage
a. L’équipement et les ustensiles
résister aux traitements auxquels ils
servant à la préparation des aliments seront soumis, tels que les opérations
l’entretien et, le cas échéant, pour les chaleur au four à micro-ondes doit être
grilles, etc.
Vérifiez les emballages des produits et éliminez tout
provient d’un puits artésien), elle doit être analysée deux fois par année (de
préférence au printemps et à l’automne) et traitée au besoin.
De l’eau chaude et froide doit être accessible sur les lieux. De plus, la
«produit décongelé » ;
La date de consommation pour les denrées périssables: date limite
alimentaires en après les salmonelles. Les symptômes sont des vomissements violents
souvent accompagnés de diarrhées.
La listériose qui touche le plus souvent les nouveau-nés, les personnes immunodéprimées,
les personnes âgées et les femmes enceintes. Elle déclenche des symptômes qui surviennent
brusquement tels que crampes, diarrhées, maux de tête, nausées, frissons, fièvre,vomissements
Le botulisme d’origine alimentaire lié à la toxine botulique est une maladie neurologique.
chroniques avec des effets sur le système nerveux central, l’appareil cardiovasculaire et
pour la santé.
9.1. Les différentes familles de micro-organismes
a) Les bactéries
Elles sont procaryotes (elles n'ont pas de noyau). Elles sont
de forme variée. La plupart sont pathogènes et responsables
de toxi-infections alimentaires
Exemple des diverses formes des bactéries
b) Les champignons microscopiques (ou mycètes)
Il existe deux catégories de champignons microscopiques :
les levures et les moisissures.
Les levures
(Saccharomyces cerevisiae)
Mauvaises levures : responsables d'altération des aliments comme
Clostridium botulinum
CHAPITRE III : Les analyses
biologiques et physico-
chimiques
I. Méthodes de préparation et de prélèvement des
échantillons
La préparation de l’échantillon et le prélèvement de la portion
servant à l’analyse sont les deux premières étapes d’une analyse
physico-chimique. Ces étapes sont importantes pour la réussite
d’une analyse, car l’exactitude du résultat en dépend. Les
techniques qui seront utilisées lors de ces étapes devront permettre
de respecter le principe suivant: L’aliquote prélevé pour l’analyse
doit être le plus représentatif possible du lot.
(résultat en % P/V):
tenir compte de la température, car la masse volumique d’un
P/P):
procéder le plus rapidement possible pour la pesée d’un
prolifération microbienne.
L’analyse consiste:
La recherche des microorganismes responsables d’altération qui regroupent les
germes capables d’altérer la qualité marchande de l’aliment (flore aérobie totale
mésophile (FTAM), les anaérobies sulfito-réducteurs (ASR), les levures et
moisissures
Les germes témoins de contamination fécale (coliformes totaux, coliformes
fécaux, Streptocoques D)
Les germes responsables de toxi-infections alimentaires (S. aureus, Salmonella,
Campylobacter jejuni, Clostridium perfringens)
2.1. Quelques techniques d’analyse microbiologique des aliments
2.1.1. Préparation des dilutions :
La dilution mère :
Principe de la méthode
On pèse l’échantillon. On élimine l’eau par chauffage dans des
conditions prédéterminées jusqu’à ce que la masse de l’échantillon
demeure constante. On pèse l’échantillon sec, c’est-à-dire les
solides totaux.
% S.T. = Masse (S.T.) / Masse (échantillon) x 100
% H2O = 100 - % S.T
Conditions de chauffage et de pression:
- à 100-105°C (étuve ventilée) ou à 70-75°C (four à vide)
Facteurs influençant la précision et l’exactitude des résultats
a. Échantillon contenant de la matière organique volatile.
L’analyse d’un aliment contenant des huiles volatiles, des acides volatils, de
l’éthanol ou toute matière organique susceptible de s’évaporer en
même temps que l’eau dans les conditions de l’analyse donnera des
résultats inexacts pour la teneur en eau.
b. Échantillon formant un gel à la chaleur.
L’analyse d’un aliment contenant des composés formant un gel à la surface
pendant le chauffage donnera des résultats imprécis (non reproductibles) et
inexacts.
c. Échantillon riche en sucres.
L’analyse d’un aliment à haute teneur en sucres peut subir, pendant le
chauffage, une décomposition pyrolytique des sucres conduisant à la
formation d’eau. On obtient des résultats inexacts.
d. Échantillon séché hygroscopique.
Un échantillon, une fois séché, peut réabsorber l’humidité de l’air pendant
les manipulations. Les résultats sont imprécis et inexacts.
3.2. Cendres totales
Les cendres totales sont le résidu de composés minéraux qui reste après
l’incinération d’un échantillon contenant des substances organiques d’origine
animale, végétale ou synthétique. Les cendres représentent environ 1 à 5% de la
masse d’un aliment sur une base humide.
Principe de la méthode
On pèse l’échantillon. On le sèche puis on le pèse de nouveau si la teneur en
cendres doit être déclarée sur une base sèche. On incinère l’échantillon à haute
température, puis on pèse le résidu, c’est-à-dire les minéraux. Le % de cendres
totales est calculé sur une base humide, mais le plus souvent sur une base sèche pour
plus de reproductibilité dans les résultats.
% cendres totales (base humide) = M (cendres) / M (éch. humide) x100
% cendres totales (base sèche) = M (cendres) / M (éch. sec) x100
Facteurs influençant la précision et l’exactitude des résultats
1. Aliments riches en gras (poissons, fromages) ou en substances volatiles
(épices).
- éclaboussures pendant l’incinération (résultats non reproductibles).
- condition particulière d’opération:
2. Aliments riches en sucres (sirops, confitures).
- formation de mousse pendant l’incinération
- condition particulière d’opération:
3. Incinération incomplète.
- Une incinération sera incomplète si la température est trop basse ou si le
temps d’incinération est insuffisant. Les cendres doivent être de couleur
blanche ou grise, occasionnellement de couleur rougeâtre ou verte. Elles
doivent être libres de particules de carbone imbrûlées ou de morceaux
liquéfiés.
4. Manipulation et pesée des cendres
- les cendres sont très légères et ont une masse habituellement faible.
De plus certaines cendres, contenant du carbonate de potassium,
hygroscopiques
3.3. Méthodes de dosage des lipides
Les lipides sont insolubles dans l’eau et très solubles dans
les solvants organiques, tel l’éther éthylique. La plupart des
méthodes de dosage des lipides exploitent ces propriétés
physiques pour extraire les lipides des aliments dans le but de
mesurer leur concentration.
Méthode Mojonnier
La méthode Mojonnier est la méthode de référence pour la
détermination de la matière grasse dans les produits laitiers.
Cette méthode gravimétrique, une adaptation de la méthode
Roëse-Gotlieb.
Principe de la méthode
Le produit laitier est pesé puis dissout dans la phase
aqueuse contenant de l’hydroxyde d’ammonium et de
l’alcool éthylique. La matière grasse est extraite à l’aide
d’un solvant organique immiscible avec l’eau, composé
d’éther éthylique et d’éther de pétrole. La phase organique
est décantée dans un plat, le solvant évaporé et la matière
grasse pesée.
amandes 5,18
arachides 5,46
général assisté d’un conseil d’administration (Décret n°98-69 du JORA n°11, 1998).
Il est chargé de :
normalisation auxquels l’Algérie est partie (Décret n°98-69 du JORA n°11, 1998
II. Les textes législatifs et réglementaires encadrant les normes de
conformité des denrées alimentaires en Algérie
1. Le Code de la Santé Publique
En Algérie, les normes de conformité des denrées alimentaires sont régies par le
Code de la Santé Publique, qui a été promulgué en 1985 et qui a subi plusieurs
modifications depuis lors. Ce code établit les règles et les procédures à suivre pour
garantir la qualité, l'hygiène et la sécurité des denrées alimentaires destinées à la
consommation humaine.
Le Code de la Santé Publique algérien établit les obligations suivantes pour les
producteurs, les transformateurs et les distributeurs d'aliments :
- Respecter les normes de qualité et d'hygiène établies pour chaque type de
denrée alimentaire
- Respecter les règles de traçabilité pour permettre de retrouver l'origine des
aliments en cas de problème
- Étiqueter les produits alimentaires de manière claire et précise, en indiquant
notamment leur composition, leur date de péremption et leur pays d'origine
- Mettre en place des procédures de contrôle et de suivi de la qualité des
aliments,
Le Code de la Santé Publique algérien prévoit également des
sanctions pour les personnes ou les entreprises qui ne respectent pas
ces obligations, allant de l'amende à la fermeture de l'établissement.
Ces sanctions ont pour objectif de dissuader les acteurs de la chaîne
alimentaire de prendre des risques qui pourraient mettre en danger la
santé des consommateurs.
2. La loi sur la protection du consommateur
En Algérie, la protection du consommateur est également
réglementée par la loi n° 04-02 du 5 août 2004 relative à la
protection du consommateur. Cette loi a pour objectif de protéger les
droits et les intérêts des consommateurs, y compris en ce qui
concerne les denrées alimentaires.
La loi sur la protection du consommateur algérienne établit
notamment les obligations suivantes pour les producteurs, les
transformateurs et les distributeurs d'aliments :
- Respecter les normes de qualité et de sécurité alimentaire établies par les autorités
compétentes
- Informer les consommateurs sur les caractéristiques des produits
alimentaires, notamment leur composition, leur origine et leur date de
péremption
- Éviter les pratiques commerciales trompeuses, telles que la publicité
mensongère ou la vente de produits impropres à la consommation
- Respecter les droits des consommateurs en cas de problème,
notamment en proposant des solutions de remplacement ou de
remboursement
La loi sur la protection du consommateur algérienne prévoit également
des sanctions pour les personnes ou les entreprises qui ne respectent pas
ces obligations, allant de l'amende à la fermeture de l'établissement. Ces
sanctions ont pour objectif de garantir que les acteurs de la chaîne alimentaire
respectent les droits et les intérêts des consommateurs et qu'ils fournissent des
aliments sûrs et de qualité
3. Le décret relatif à la qualité des denrées alimentaires
production et des contrôles sur les produits finis par l'ANSSA sont
des mesures essentielles pour garantir la sécurité alimentaire des
consommateurs en Algérie.
V. Les systèmes de contrôle qualité pour éviter la
contamination physique des produits alimentaires
1. Les risques pour la santé des consommateurs
La contamination physique des aliments est un risque pour la
de production de près pour s'assurer que les produits sont préparés dans
des conditions appropriées et respectent les normes organoleptiques
spécifiques.
Les tests de qualité : les fabricants effectuent des tests de qualité sur
les produits finis pour s'assurer qu'ils répondent aux normes organoleptiques
spécifiques et qu'ils sont sûrs à la consommation.
La formation du personnel : les fabricants forment leur personnel
à la qualité et à la sécurité alimentaire, afin de garantir que les
normes organoleptiques spécifiques sont respectées tout au long du
processus de production.
La mise en place d'un système de gestion de la qualité : les