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Les adjectifs possessifs

Ils indiquent l'appartenance à une personne, à un groupe.


L'adjectif possessif s'accorde avec le nom (masculin, féminin / singulier, pluriel).

Monsieur Durand et _______ femme ont trois enfants. _______ trois enfants
sont des filles.
Madame Durand présente _______ famille : "Bonjour, je m'appelle Lise. Je vis à
Nice avec _______ famille. _______ mari Luc est professeur d'espagnol. Il
travaille dans un collège. _______ élèves sont très gentils et ils adorent les
langues. _______ fille Julie est étudiante. Elle habite à Paris avec _______
copain. _______ deux autres filles (Sarah et Laure) ont 2 ans, elles aiment
jouer. _______ jeu préféré est le toboggan."
Monsieur Durant présente _______ femme et _______ filles : " _______ femme s'appelle Lise. Elle est
infirmière dans un hôpital. _______ trois filles s'appellent Julie, Sarah et Laure."

Voilà une photo de ma cousine


Sur la photo, il y a _______ cousine, elle s'appelle Jessica. Elle est avec _______ mari
(Julien), et _______ fils (Cédric).
Jessica et _______ famille voyagent beaucoup et ils m'envoient toujours une photo
souvenir de _______ voyage.
DE*

À gauche de Devant
À droite de Derrière
À côté de Sur
En face de Sous
Loin de Dans / Dedans
Près de Dehors
Au-dessus de Entre
Au-dessous de Parmi
Autour de Chez
Au coin de
Au milieu de

* de + le  du
de + les  des
de + la  de la
de + l’  de l’

Voilà la chambre à coucher de Van Gogh à Arles. Une peinture


réalisée par Van Gogh en 1888.
Mais qu’est-ce qu’il y a dans sa chambre à coucher ?
Dans la chambre à coucher de Van Gogh il y a un lit. Près du lit il
y a une chaise. Derrière la chaise il y a une fenêtre. En face du lit
il y a encore une chaise. Entre les deux chaises il y a une
table. Sur la table il y a une carafe d’eau. Au milieu de
la chambre il n’y a rien.
DIALOGUES
Policier : Alors, dites-moi, qu’est-ce que vous avez vu ?
Témoin : Eh bien, une voiture noire est arrivée devant la banque.
Policier: À quelle heure ?
Témoin : Vers 11h45. Oui, c’est ça, vers midi moins le quart. Deux hommes et une femme sont
descendus de la voiture.
Policier: Donc 3 personnes ?
Témoin : Non, 4 personnes. Un autre homme est resté dans la voiture.
Policier : Et après ?
Témoin : La femme a dit quelque chose aux deux hommes. Elle a donné une clé à un des deux
hommes. Il l’a prise. Ensuite, ils sont entrés dans la banque.
Policier : Et la femme, qu’est-ce qu’elle a fait ?
Témoin : Elle les a attendus devant la banque. Quinze minutes après, ils sont sortis avec quatre
gros sacs. Un homme en a donné un à la femme. Ils ont couru ensemble jusqu’à la voiture, mais la
femme est tombée. Les deux hommes ont mis les sacs dans la voiture, ils y sont montés et sont
partis sans elle.
Policier : C’est tout ?
Témoin : Oui, c’est tout.

Journaliste : Quel genre d’enfant étiez-vous ?


Écrivaine : J’étais très calme et très curieuse.
Journaliste : Comment passiez-vous votre temps libre ?
Écrivaine : Enfant, je sortais peu de chez moi. Je jouais avec mes frères et sœurs et nous passions
les mercredis et les dimanches tranquillement en famille. Parfois on allait au cinéma en famille, mais
c’était très rare.
Journaliste : Vous n’aviez pas d’amis ?
Écrivaine : Si bien sûr, j’avais des camarades de classe, mais ils ne venaient jamais à la maison.
Journaliste : Vous pratiquiez un sport ?
Écrivaine : Je faisais de l’équitation tous les mercredis après-midi. J’adorais ça.
Journaliste : Jouiez-vous d’un instrument ?
Écrivaine : Oui, je jouais du violon. D’ailleurs, mes parents aussi jouaient du violon.
Journaliste : Où passiez-vous vos vacances ?
Écrivaine : Alors, chaque année, mes parents nous emmenaient en Bretagne près de Saint-Malo.
Mon oncle avait une maison secondaire là-bas. J’adorais cet endroit. On pouvait aller à la mer tous
les jours.

Journaliste : Vous pourriez me parler de la maison de votre oncle ?


Écrivaine : Oui, elle était grande. Il y avait cinq ou six chambres. La salle à manger était
gigantesque. On faisait des repas incroyables. Mon oncle invitait toujours des tas d’amis qui
apportaient tous un petit quelque chose à manger et à la fin, ça faisait un grand repas. Ils appelaient
ça « la compotatio », mais je ne suis pas certaine que le terme existe vraiment…
Journaliste : Est-ce qu’il y avait un jardin ?
Écrivaine Paradoxalement, le jardin n’était pas à l’échelle de la maison. Il était minuscule, presque
ridicule comparé à cette immense demeure. Mais cela n’avait pas d’importance, nous étions toujours
à la mer car la maison était située à deux pas de la plage.

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