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LA CALCULATRICE OUTIL D’EVALUATION

Ce domaine d’utilisation des calculatrices est encore peu exploré, pourtant la


possession, par chaque élève d’une classe, d’une calculatrice programmable
graphique peut permettre au professeur d’évaluer, à l’aide de la machine, un
certain nombre de compétences en physique et chimie.
L’intérêt de cette méthode est un gain de temps sur le traitement de l’évaluation
permettant de multiplier les évaluations.
Les limites du système sont celles des possibilités des machines et la complexité
des
programmes qu’il sera nécessaire de rédiger. L’analyse des réponses ne pourra
être que rudimentaire et exige des réponses ou des données de valeurs discrètes.
On peut imaginer, sans être exhaustif, plusieurs types d’évaluation.
Une Evaluation De Connaissances
On peut utiliser les Q.C.M. qui se prêtent bien à un traitement par une machine.
Les questions peuvent être posées oralement, à l’aide d’un document écrit ou à
l’aide de transparents.
Les élèves répondent sur leur calculatrice et celle-ci effectue l’analyse et le
traitement des réponses, puis quantifie les réponses exactes.
Nous donnons plus loin un exemple d’une telle évaluation.
Une Evaluation De La Mise En Oeuvre Des Connaissances
On peut évaluer le réinvestissement des connaissances et des méthodes par les
élèves sur des exercices courts.
Les exercices peuvent être posés oralement, à l’aide d’un document écrit ou à
l’aide de transparents. Les résultats de l’exercice sont entrés par l’élève dans la
calculatrice. Celle-ci effectue l’analyse et le traitement de la valeur numérique
des réponses, puis calcule le nombre de réponses exactes ainsi que la note
attribuée. Selon les cas le professeur peut choisir une évaluation binaire du
résultat ou accepter un intervalle de validité en modulant la note en
conséquence.
Une Evaluation Des Travaux Pratiques
L’évaluation des TP est souvent une chose délicate. Pour certains TP qui se
traduisent par des tableaux de valeurs à partir desquelles les élèves calculent
d’autres valeurs et trace des courbes
il possible, à la condition de bien avoir identifier le phénomène étudié, de faire
une évaluation assistée par la calculatrice.
L’élève entre dans sa calculatrice les valeurs de ses mesures. A l’aide d’un
câble adéquat elles sont envoyées dans la machine du professeur où elles
pourront être comparées aux valeurs obtenues par celui-ci
Formation Chef d'équipe en atelier de production

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La mission du chef d’équipe consiste à organiser et coordonner le travail de son équipe afin
d’obtenir des résultats optimaux.
Adjoint du responsable d’atelier ou technicien expert, si le système de production est très
automatisé, le chef d’équipe encadre le personnel de la ligne de production.
 Il est garant de la qualité des produits, dans les quantités requises, et du respect des
délais fixés.
Aussi appelé animateur d’îlot, selon la taille de l’entreprise, il peut dépendre du responsable
de fabrication ou de production.
 Il supervise le réglage des équipements. Processus de fabrication ainsi que règles
d'hygiène et de sécurité, il veille au respect des modes opératoires.
 Le chef d’équipe participe à la démarche d'amélioration continue. Incident, accident,
non-conformité, il analyse les dysfonctionnements et propose des plans d'actions pour
rendre les outils de production plus fiables.
 Il surveille les indicateurs de performance et réalise le reporting.
 Il établit le planning de fabrication en fonction des commandes et coordonne le travail
des équipes d’opérateurs.
 Il peut travailler en horaires décalés car il travaille sur les mêmes horaires que son
équipe.
 De grandes qualités managériales sont nécessaires.
 Le chef d’équipe doit aimer travailler en équipe et avoir un bon relationnel.
 Il est autonome et doit être réactif face aux situations imprévues afin de résoudre les
problèmes au plus vite.
 Il sait gérer les priorités et prendre les décisions qui s’imposent rapidement.
 Il aime être sur le terrain. Capacités d'observation et d'analyse sont de sérieux atouts.
 Rigoureux et méthodique, il fait preuve de grandes qualités d’organisation.
Description du Métier :
Il organise et distribue le travail d'une équipe. S'assure du bon déroulement des travaux
dans le respect de la qualité recherchée et du délai de livraison.
Exercice du métier :
Travail à l'intérieur. Travail varié. Travail méticuleux soigné. Travail en atelier. Travail
concret.
Capacités et Qualités requises :
Autonomie. Responsabilités. Commandement. Autorité. Collaboration avec les autres.
Diplomatie et Sens du contact. Ordre méthode organisation.

Les cinq "S"


UNE METHODE DE MANAGEMENT SIMPLE ET EFFICACE
C’est une Technique de Management qui permet d’introduire ordre et rigueur dans
l’Entreprise. Cet outil est essentiel pour amorcer une démarche de Qualité Totale
(TQM).
Méthodologie : La méthode des 5 « S », qui tire son origine de la première lettre de
chacune des cinq opérations, est une technique de management qui repose sur des
principes simples :
Seiri : Débarras
Seiton : Rangement
Seiso : Nettoyage
Seiketsu : Ordre
Shitsuke : Rigueur.

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QCM SECURITE
Q1. Qui est chargé de la sécurité au travail dans l'entreprise ?
L'employeur.
Les délégués du personnel.
Le directeur technique.
Les médecins du travail.
Q2. Le document unique de sécurité est-il obligatoire ?
Oui.
Non.
Q3. Que risque l'entreprise si le document unique de sécurité n'est pas réalisé ?
Une amende de 1500€ par unité de travail.
Une sanction pénale.
De la prison.
Rien.
Q4. A quoi sert le document unique de sécurité ?
Lister et hiérarchiser tous les risques potentiels au sein de l'entreprise.
Rassembler les résultats des différentes analyses des dangers qui peuvent
affecter les travailleurs.
Permettre de définir un programme d'actions de prévention.
Rester disponible auprès de tous les acteurs de prévention.
Pour donner aux visiteurs de l'entreprise.
Q5. A quel intervalle de temps le document unique de sécurité doit-il être mis à
jour ?
Chaque mois.
Tous les deux ans.
Annuellement.
Jamais.
Q6. Un contrôle périodique des installations électriques doit-il être accessible
au CHSCT (Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) ?
Oui.
Non.
Q7. Lors de votre prise de poste au sein de l'entreprise, que doit faire
l'employeur en premier lieu ?
Faire une journée d'intégration.
Présenter les principaux risques et les règles à suivre.
Vous renseigner sur les consignes de sécurité
3
Montrer les locaux.
Q8. A partir de combien de décibels des protections antibruits doivent-elles
être portées ?
110 dB
60 dB
90 dB
80 dB
140 dB
Q9. Afin de prévenir les risques sur le lieu de travail, les EPI (Équipements de
protection individuelle) constituent :
La solution obligatoire.
La deuxième phase après la suppression des risques.
Le dernier recours après la mise en place des mesures de protection
collective.
Q10. Ainsi, l’activité exercée au sein de l'entreprise oblige-t-elle à porter les
EPI ?
Oui.
Non.
Q11. La tenue imposée comme réglementaire doit-elle être obligatoirement
portée ?
Oui.
Non.
Q12. Quelles sont les opérations à faire ou ne pas faire aux protections
collectives mises en place par l'entreprise ?
Ne jamais les démonter.
Ne jamais les franchir.
S'assurer de leur bon fonctionnement et de leur présence.
Ne pas en tenir compte.
Les utiliser une fois comme ça.
Q13. Le respect des consignes de sécurité pour toute utilisation de matériel ou
de machines demande, avant ou après, de :
Respecter toutes les consignes de sécurité et d'utilisation.
Porter les équipements de protection individuelle nécessaires.
Respecter le mode opératoire d'utilisation.
S'assurer que toutes les sécurités sont en place et fonctionnent.
Vérifier le bon état.

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Q14. En cas d'accident au travail, quelle est la première intervention à réaliser
?
Monter un périmètre de sécurité.
Remplir un formulaire d'accident du travail.
Mettre la victime en sécurité.
Appeler les secours.
Q15. Pour garantir une sécurité optimale, les locaux et le matériel doivent être
:
Rangés en respectant les emplacements prévus à cet effet.
Débarrassés de tout déchet et nettoyés
Mis où on le désire.
Q16. En cas de danger imminent, les salariés peuvent :
Se retirer si cela ne met pas autrui en danger.
Courir.
Rester tant que l'alerte n'est pas donnée
Prévenir immédiatement le responsable sur le lieu de travail.
Ne pas alerter du danger.
Q17. Les produits dangereux à fond orange doivent-ils être obligatoirement
étiquetés ?
Oui.
Non.
Q18. Les solvants utilisés doivent-ils être obligatoirement consignés dans un
document ?
Oui.
Non.
Q19. Tous les panneaux signalétiques, présents sur le lieu de travail, doivent
être respectés par :
Tous.
Les responsables seulement.
Les visiteurs seulement.
Q20. L'employeur est-il tenu d'évaluer les risques et d'y apporter des solutions
de prévention pour la sécurité de tous ?
Oui.
Non.

Q.C.M. en chimie
Question 1

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Quel engrais est un engrais binaire apportant de l’azote et du phosphore ?
1 KCl, Ca SO4, NaNO3
2 (NH4)2SO4, Ca(H2PO4)2, NaNO3
3 KNO3, KCl, (NH4)2SO4
4 NH4 NO3, K2SO4, Ca3(PO4)2
Réponse exacte : 3
Question 2
Quel engrais est un engrais ternaire ?
1 KCl, Ca SO4, NaNO3
2 (NH4)2SO4, Ca(H2PO4)2, NaNO3
3 KNO3, KCl, (NH4)2SO4
4 NH4 NO3, K2SO4, Ca3(PO4)2
Réponse exacte : 4
Question 3
Un engrais sert à :
1 détruire les insectes qui attaquent les plantes;
2 détruire les champignons qui attaquent les plantes;
3 fertiliser le sol
4 détruire les mauvaises herbes
Réponse exacte : 3
Question 4
Dans un engrais dont la formule est 20, 20, 20 il y a :
1 20% en masse d’azote
2 20% en masse de phosphore
3 20% en masse de potassium
4 autant en masse d’azote que de potassium
Réponse exacte : 1
Question 5
Dans un engrais dont la formule est 20, 10, 10 il y a :
1 10% en masse d’azote
2 10% en masse de phosphore
3 8,3% en masse de potassium
4 plus en masse d’azote que de potassium
Réponse exacte : 3
Question 6
Dans un engrais dont la formule est 20, 20, 20 il y a :
1 8.6 % en masse de phosphore
2 8.6 % en masse de d’azote
3 8.6 % en masse de potassium
4 autant en masse d’azote que de potassium
Réponse exacte : 1
Question 7

6
Quels sont les éléments chimiques nécessaires à la synthèse industrielle du
nitrate
D’ammonium?
1 L’azote, le potassium, l’hydrogène
2 l’azote, l’hydrogène
3 le phosphore, l’hydrogène, l’azote
4 l’hydrogène, l’oxygène, l’azote
Réponse exacte : 4
Question 8
Quels sont les matières premières nécessaires à la synthèse industrielle du nitrate
d’ammonium?
1 l’eau, le sel marin, le pétrole
2 l’acide nitrique, le gaz ammoniac
3 l’eau, l’air, le gaz hydrogène
4 le pétrole, l’eau
Réponse exacte : 3
Question 9
Quel composé intervient comme matière intermédiaire dans la synthèse
industrielle du nitrate d’ammonium?
1 le sulfate d’ammonium
2 le dioxyde d’azote
3 l’acide chlorhydrique
4 l’acide sulfurique
Réponse exacte : 2
Question 10
Lequel n’est pas un engrais organique ?
1 le fumier
2 le sang séché
3 la luzerne
4 l’ammoniac
Réponse exacte : 4
Question 11
Quels sont les ions qui sont responsables de la pollution des eaux?
1 Cl-, SO4 2-

2 PO4 , NO3-
3-

3 PO4 , Ca2+
3-

4 CO3 , NO3-
2-

Réponse exacte : 2

ECONOMIE D’ENTREPRISE
L’ENTREPRISE DANS LE SYSTEME PRODUCTIF
1. La taille d'une entreprise peut être mesurée par :

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a) Le secteur auquel elle appartient
b) le chiffre d'affaires réalisé
c) Le nombre de salariés
d) le bénéfice réalisé
2. Un secteur d'activité regroupe :
a) Des entreprises ayant la même activité principale
b) des entreprises ayant au moins en commun une activité
c) Des unités de production homogènes fabriquant le même bien
d) Des unités de production localisées sur la même zone géographique
3. Pour assurer sa fonction de production, l'entreprise transforme des facteurs de
production, lesquels ?
a) travail manuel et intellectuel
b) consommations intermédiaires
c) capital social
d) capital technologique
e) consommations finales
4. Dans un réseau de franchise :
a) Les franchisés adoptent la politique commerciale du franchiseur
b) Le franchiseur apporte une assistance aux franchisés
c) Les franchisés sont des filiales du franchiseur
5. Une filière représente :
a) l'ensemble des entreprises qui mettent un produit à disposition du consommateur final
grâce à une succession d'opérations qui se complètent
b) une société de personnes
c) les unités de production fabricant les mêmes produits
6. Parmi les critères suivants, lequel ou lesquels permettent de classer les entreprises ?
a) forme juridique
b) l'activité exercée
c) les relations de concurrence
d) les relations de complémentarité
7. Selon les effectifs, on classe les entreprises en :
a) très petites entreprises : de 1 à 9 salariés
b) petites et moyennes entreprises : de 10 à 300 salariés
c) grandes entreprises : de 300 à 1000 salariés
d) très grandes entreprises : + de 899 salariés
e) petites entreprises : de 10 à 49 salariés
8. Quels sont les secteurs économiques selon J. FOURASTIE ?
a) secteur secondaire
b) secteur primitif
c) secteur primaire
d) secteur administratif
e) secteur industriel
9. Une branche d'activité regroupe :
a) des unités de production fabricant les mêmes produits
b) une chaîne d'activités qui se complètent
c) l'ensemble des entreprises qui mettent un produit à disposition du consommateur final
d) Des unités de production localisées sur la même zone géographique

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10. Selon leur statut juridique, quelles peuvent être les formes d'entreprises ?
a) entreprises individualistes
b) entreprises sociétaires
c) entreprises publiques
d) sociétés de coopération
11. Appartiennent au secteur social à but non lucratif les types d'entreprises suivantes :
a) mutuelles
b) entreprises semi-publiques
c) sociétés coopératives
d) entreprises individuelles
12. Quelles relations de complémentarité l'entreprise peut-elle créer avec ses concurrents
?
a) intégration d'activités en amont ou en aval
b) sous-traitance
c) franchise
d) groupement d'intérêt économique
13. Quelles relations de coopération l'entreprise peut-elle créer avec ses concurrents ?
a) franchise (ou franchisage)
b) accords de distribution
c) maillage
d) vente d'actifs
e) restructuration complète des directions
14. A quelle forme d'accord de coopération correspond la définition suivante : une
entreprise peut profiter de l'expérience et des moyens d'une autre pour exporter ?
a) portage
b) maillage
c) filiale commune
d) groupement d'intérêt économique
e) cession de licence d'exploitation
15. Quels sont les effets positifs de la concentration des entreprises ?
a) mettre en commun des fonctions et des services
b) répartir les risques commerciaux
c) avoir une position moins dominante sur les marchés
d) restreindre ses débouchés
e) favoriser son développement
16. Qu'est-ce qu'une "société mère" ?
a) un centre de décision unique dans un groupe de sociétés
b) un ensemble de filiales
c) la plus ancienne société d'un groupe
d) une société de portefeuille
REPONSE
1. (b) (c) (d)
2. (a)
3. (a) (b)
4. (a) (b)
5. (a)
6. (a) (b)

9
7. (a) (e)
8. (a) (c)
9. (a)
10. (b) (c)
11. (a) (c)
12. (a) (b)
13. (a) (b) (c)
14. (a)
15. (a) (b) (e)
16. (a)

STRUCUTURES D’ENTREPRISES
1. Cherchez le ou les intrus parmi les structures d'entreprises suivantes :
a) hiérarchique
b) fonctionnelle
c) décisionnelle
d) matricielle
e) conglomérale
2. La structure de l'entreprise peut évoluer en fonction de la technique : la standardisation
de la production pousse à adopter des structures ?
a) rigides
b) flexibles
c) formalisées
d) formelles
3. Les structures fonctionnelles et divisionnelles sont réputées flexibles
a) vrai
b) faux
4. La structure divisionnelle est mieux adaptée que la structure fonctionnelle pour les
entreprises qui ne fabriquent qu'un seul type de produit.
a) vrai
b) faux
5. Structure divisionnelle et structure fonctionnelle sont des termes synonymes.
a) vrai
b) faux
6. La structure matricielle se caractérise par :
a) La nécessité d'organiser au mieux la décentralisation des responsabilités
b) La disparition des lignes hiérarchiques verticales qui caractérisent les autres organisations
c) Un mélange de structure divisionnelle et fonctionnelle
d) Une très grande flexibilité et réactivité aux changements du marché
7. La structure en pyramide inversée répond à des impératifs de flexibilité
a) vrai
b) faux
8. La structure pyramidale classique peut être :
a) Une structure fonctionnelle
b) Une pyramide inversée
c) Une structure multicellulaire
d) Une structure par projet

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e) Une structure plate
9. La structure fonctionnelle se caractérise par le fait que :
a) Il s'agit d'une structure classique et fréquemment adoptée par beaucoup d'entreprises
b) Ce sont les fonctions qui constituent le critère de répartition des tâches.
c) Ce sont les produits qui constituent le critère de division du travail.
d) Elle mieux adaptée aux PME
10. La notion de structure d'entreprise se limite à l'organigramme
a) faux
b) vrai
REPONSE
1. (c) (e)
2. (a)
3. (b)
4. (b)
5. (b)
6. (a) (c)
7. (a)
8. (a)
9. (a) (b)
10. (a)

ECONOMIE D'ENTREPRISE - BTS


LES CHOIX STRATEGIQUES : SPECIALISATION OU
DIVERSIFICATION ?
1. La stratégie de spécialisation et la stratégie de diversification sont-elles ?
a) des stratégies portant principalement sur les marchés
b) des stratégies financières
c) des stratégies portant sur le produit
d) des stratégies de gestion des ressources humaines
e) des stratégies de production
2. La stratégie de spécialisation n'est généralement pas liée à la maîtrise d'une
technologie.
a) faux
b) vrai
3. La stratégie de spécialisation : l'entreprise approfondit son savoir-faire dans un domaine
connu mais prend le risque d'être plus vulnérable aux évolutions environnementales.
a) vrai
b) faux
4. La stratégie de diversification, quant à elle, consiste à élargir ses activités dans des
domaines proches
a) vrai
b) faux
5. Caractéristiques d'une stratégie de diversification :
a) L'entreprise peut ainsi mieux répartir ses risques
b) Cette attitude est totalement positive pour assurer la pérennité de l'entreprise

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c) L'entreprise peut être plus vulnérable face aux évolutions environnementales.
d) L'entreprise peut maîtriser des domaines proches et complémentaires
e) Cette stratégie est très coûteuse en termes d'apprentissage des techniques de production
et des techniques commerciales de pénétration des marchés.
6. LA SPECIALISATION : définition ?
a) c'est la stratégie par laquelle une entreprise limite son activité à des produits fondés sur
des technologies multiples
b) l'entreprise concentre tous ses efforts sur un domaine d'activité particulier
c) l'entreprise cherche à atteindre le meilleur niveau de compétence possible et d'en faire un
avantage concurrentiel décisif
7. RAISONS DE LA SPECIALISATION ?
a) l'entreprise dispose de moyens financiers, humains, productifs limités
b) l'entreprise cherche à réinvestir des capitaux dans d'autres activités complémentaires
c) recherche de la sécurité d'un métier solide
d) recherche d'une taille suffisante dans une optique de croissance
e) volonté de l'entreprise de développer un savoir-faire technique et commercial pour faire
face aux attaques de la concurrence
8. QUELS SONT LES TYPES DE SPECIALISATION POSSIBLES ?
a) pénétration de marché : pour renforcer la position de l'entreprise et augmenter le chiffre
d'affaires
b) stratégie d'acquisition : l'expansion ou la maturité de l'entreprise le lui permettent
c) développement du produit : politique de produit nouveau, politique de gamme
d) développement du marché : extension du marché pour toucher une cible plus large
9. La spécialisation a pour objectif d'augmenter ses parts de marchés au détriment de ses
concurrents : il s'agit d'une stratégie offensive ou stratégie d'acquisition
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
10. Lorsque le métier de l'entreprise est en phase de déclin : elle doit chercher des
segments encore rentables
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
11. Si le métier de base est encore rentable et a des perspectives d'évolution : l'entreprise
doit adopter une stratégie de diversification
a) je ne suis pas d'accord
b) je suis d'accord
12. A quelle(s) phase(s) du cycle de vie du métier la stratégie de spécialisation suivante est-
elle adaptée ?
stratégie offensive (ou stratégie d'acquisition)
a) le démarrage
b) le déclin
c) la maturité
d) le décollage
e) l'expansion
13. La spécialisation permet de générer des avantages comparatifs : lesquels ?
a) atteinte de la taille critique
b) réduire les risques liés à la conjoncture
c) création d'effets d'expérience

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d) améliorer la rentabilité en s'orientant vers de nouveaux marchés ou de nouveaux produits
plus porteurs
e) réalisation d'économies d'échelle
14. LA DIVERSIFICATION : définition ?
a) cela consiste à ajouter des produits nouveaux aux produits actuels de l'entreprise
b) cela consiste à ajouter des métiers nouveaux aux activités actuelles de l'entreprise
c) l'entreprise cherche à multiplier les domaines d'activité sans liens particuliers entre eux
15. La diversification peut poursuivre plusieurs objectifs, lequel ou lesquels ?
a) pénétrer le marché : diversification de positionnement pour renforcer la position de
l'entreprise et augmenter le chiffre d'affaires
b) survivre : diversification de subsistance
c) réinvestir des capitaux : diversification de placement
d) conforter ses positions : diversification de confort
e) se redéployer ou se reconvertir : diversification de redéploiement
16. Lorsqu'une entreprise dégage des profits importants, elle peut en réinvestir une partie
dans d'autres activités qui lui permettront d'augmenter sa rentabilité : de quel type de
diversification s'agit-il ?
a) diversification de confortement
b) diversification de redéploiement
c) diversification de placement
d) diversification de survie
e) diversification de subsistance
17. Certaines entreprises éprouvent le besoin de conforter leur position sur un marché
instable notamment dans des activités complémentaires : de quel type de diversification
s'agit-il ?
a) diversification de confortement
b) diversification de placement
c) diversification de redéploiement
d) diversification de survie
18. L'entreprise s'oriente vers des secteurs plus porteurs pouvant assurer une reconversion
de l'entreprise. Les produits leaders perdront de leur importance au profit de nouvelles
fabrications : de quel type de diversification s'agit-il ?
a) diversification de placement
b) diversification de survie
c) diversification de confort
d) diversification de redéploiement
19. La diversification :c'est une stratégie très répandue car elle permet :
a) d'améliorer la rentabilité en prévenant le risque de déclin de la demande des produits
habituellement proposés par l'entreprise
b) d'atteindre la taille critique ou masse critique donc une position confortable sur le marché
c) d'améliorer la rentabilité en s'orientant vers de nouveaux marchés ou de nouveaux
produits plus porteurs
d) de répartir et donc de réduire les risques liés à la conjoncture par des compensations
entre produits ayant des cycles différents
e) de créer des effets d'expérience grâce à la concentration des forces et des moyens de
l'entreprise
20. La diversification : elle peut néanmoins entraîner des risques, lesquels ?

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a) l'entreprise doit pouvoir résoudre les problèmes financiers, juridiques et organisationnels
liés à cette évolution
b) dispersion des compétences
c) politique de gamme peu adaptée
d) position concurrentielle difficile (réactions des concurrents, coûts élevés…)
e) risque d'échec de la nouvelle activité
REPONSE
1. (c)
2. (a)
3. (a)
4. (b)
5. (a) (b) (e)
6. (b) (c)
7. (a) (c) (d) (e)
8. (a) (c) (d)
9. (a)
10. (a)
11. (a)
12. (a) (c) (e)
13. (a) (c) (e)
14. (b) (c)
15. (c) (e)
16. (c)
17. (a)
18. (d)
19. (a) (c) (d)
20. (a) (b) (d) (e)

ECONOMIE D’ENTREPRISE
LES ACTIVITES D’APPROVISIONNEMENT
1. A quel type de produit le stockage dynamique est-il le plus adapté ?
a) produit périssable
b) produit invendu
c) produit défectueux
d) produit nouveau
2. Quelles sont les méthodes d'organisation des entrepôts et de stockage ?
a) "une place pour chaque chose et chaque chose à sa place"
b) stockage interactif
c) adresse et emplacement précis pour chaque produit
d) stockage atomique
3. Selon vous, à quelle notion se rapporte la définition suivante : "réservoir rempli par la
production et vidé par les ventes" ?
a) stock de produits finis
b) stock de consommations intermédiaires
c) stock de matières premières
d) stock de fournitures administratives

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e) stock de rebuts
4. Les stocks intermédiaires sont constitués :
a) de produits finis
b) d'en cours de production (produits utilisés en cours de production)
c) d'équipements
d) de consommations intermédiaires
5. la notion d'approvisionnement recouvre :
a) l'ensemble des opérations qui permettent de se procurer des biens et des services à
l'extérieur
b) la mise en œuvre des opérations de fabrication sur les postes de travail
c) les opérations de distribution des produits semi-finis
6. Quel(s) domaine(s) couvre l'approvisionnement dans la gestion de l'entreprise ?
a) gestion des achats (commandes, relations fournisseurs...)
b) gestion des stocks (organisation des flux de produits...)
c) gestion des moyens de distribution (transporteurs, livraisons...)
d) gestion de la commercialisation des produits (délais...)
e) gestion des flux d'informations concernant l'activité commerciale
7. A quelle fonction, dans l'entreprise, correspond le rôle suivant : "Procurer à l'entreprise,
au moment voulu, en quantité voulue, en qualité voulue, au moindre coût, dans les
meilleures conditions ce dont elle a besoin" ?
a) approvisionnement
b) logistique
c) distribution
d) commercialisation
e) production
8. Quelles sont les principales étapes d'un processus d'achat ?
a) recherche d'un utilisateur
b) recherche et sélection des fournisseurs
c) négociation et commande (détermination des prix, fixation des modalités de paiement...)
d) suivi de clientèle et de produits
e) service après-vente
9. Quelles sont les principales questions à poser pour définir une politique d'achat ?
a) définir et négocier entre acheteur et vendeur
b) savoir quand commander et en quelle quantité
c) définir le service après-vente
d) définir la gestion des stocks (organisation des flux de produits...)
10. Dans quel(s) domaine(s) l'efficacité des approvisionnements se répercute-t-elle sur les
autres services de l'entreprise ?
a) sur la gestion de production : évite les retards de fabrication des produits
b) sur les services financiers : grâce à des conditions de prix bien négociées
c) sur l'assurance qualité : grâce à des normes de qualité
d) sur la qualité des livraisons : respect des délais, coût...
11. A quelle notion correspond l'objectif suivant : réaliser la meilleure adéquation entre les
besoins de l'entreprise et les possibilités offertes par les fournisseurs ?
a) "marketing-achat"
b) partenariat
c) transitique

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d) e-commerce
12. A quelle notion correspond l'objectif suivant : démarche qui vise à établir des relations
d'étroite collaboration entre l'entreprise et ses fournisseurs ?
a) partenariat
b) mécénat
c) délégation
d) relations publiques
13. Quels sont les rôles de l'acheteur ?
a) obtenir des délais de paiement et des produits de qualité à des prix compétitifs
b) définir les besoins des différents services
c) évaluer les quantités à négocier
d) éviter les retards de fabrication des produits
e) suivre les livraisons de produits aux clients et en assurer la distribution
14. Quelles sont les caractéristiques du stock ?
a) quantité de produits accumulés
b) quantité de produits en attente d'utilisation
c) quantité de produits en attente de fabrication
d) quantité de produits défectueux
15. Quels sont les objectifs de la gestion des stocks ?
a) minimiser les coûts liés au stock
b) éviter les ruptures de stock
c) éviter les stocks de consommations intermédiaires
d) maximiser la quantité disponible stockée
16. A quelle(s) notion(s) correspond le principe suivant : déterminer le nombre optimal de
commandes qui permettra de minimiser le coût total des stocks ?
a) méthode de gestion économique des stocks
b) méthode de gestion maximaliste des stocks
c) méthode de gestion minimaliste des stocks
d) méthode de gestion optimiste des stocks
e) méthode de gestion déterministe des stocks

16
17. Quelle(s) est (sont) la ou les caractéristique(s) de la méthode de gestion par exception
des stocks ?
a) méthode flexible
b) méthode s'inspirant du JAT (juste à temps)
c) méthode permettant une nette diminution du volume des stocks
d) méthode arbitraire
e) méthode rigide
18. Comment qualifier la méthode des 20/80 en matière de stockage ?
a) méthode de classement des stocks en fonction de la plus grosse part de valeur des
produits (20 % des produits représentent 80 % de la valeur)
b) méthode de classement des stocks en fonction de la moins grosse part de produits (20 %
des produits représentent 80 % de la valeur)
c) méthode de classement des stocks en fonction des parts respectives en quantité de
chaque type de produit
19. Quelle(s) méthode(s) de classement des articles stockés existe(nt) ?
a) méthode des 20/80
b) méthode ABC
c) méthode CBA
d) méthode heuristique
e) méthode sélective
20. Quels sont les coûts liés aux stocks et à leur gestion ?
a) coût de possession (ou de détention) du stock
b) coût de rupture de stock
c) coût d'annulation de commande
d) coût de suppression de livraison
e) coût de diversification du stock
21. Quels sont les objectifs de la politique d'approvisionnement ?
a) objectif de coût
b) objectif de quantité
c) objectif de sécurité (fiabilité des livraisons)
d) objectif de fiabilisation
e) objectif de qualité
22. Quels sont les choix à faire concernant la politique d'approvisionnement ?
a) avoir un seul fournisseur (politique d'exclusivité)
b) avoir plusieurs fournisseurs (politique de diversification)
c) diversifier géographiquement ses sources d'approvisionnement
d) diversifier la réciprocité de ses sources d'approvisionnement
e) avoir une politique de conservation des fournisseurs
REPONSES
1. (a)
2. (a) (c)
3. (a)
4. (b) (d)
5. (a)
6. (a) (b)
7. (a)
8. (b) (c)

17
9. (a) (b)
10. (a) (b)
11. (a)
12. (a)
13. (a) (b) (c)
14. (a) (b)
15. (a) (b)
16. (a)
17. (a) (b) (c)
18. (a)
19. (a) (b)
20. (a) (b)
21. (a) (c) (e)
22. (a) (b) (c)

ECONOMIE D’ENTREPRISE L’ACTIVITE FINANCIERE


LES CHOIX FINANCIERS
1. Comment caractériser les besoins de financement liés au cycle d'investissement ?
a) dépenses pour le long terme
b) dépenses de court terme
c) dépenses nécessitant des financements stables
d) dépenses qui vont permettre l'acquisition de biens intermédiaires
2. A quoi sert l'investissement ?
a) à l'achat de nouveaux moyens de production
b) à obtenir un seuil de rentabilité pour l'entreprise
c) à générer du profit à terme
d) à réaliser, ultérieurement à la dépense, des recettes ou à réduire les coûts
3. Qu'est-ce qu'une immobilisation ?
a) tout bien acquis ou créé par l'entreprise destiné à rester durablement dans l'entreprise
b) dépenses sur une longue période
c) dépenses immédiates en vue de réaliser ultérieurement des recettes
d) dépenses immédiates en vue de réduire ultérieurement les coûts
4. Qu'est-ce que l'investissement au sens comptable ?
a) acquisition de biens durables (immobilisations)
b) sacrifice de ressources ayant pour objectif d'obtenir un résultat
c) dépenses qui sur une longue période génèreront des recettes supérieures à la dépenses
initiale
5. Quels sont les catégories d'investissements matériels qui existent réellement dans
l'entreprise ?
a) investissement de capacité
b) investissement de productivité
c) investissement de rentabilité
d) investissement de rationalisation
e) investissement de remplacement

18
6. A quelle notion correspond la définition suivante : "ensemble des opérations qui vont
de l'acquisition des entrées (marchandises ou matières premières) à l'encaissement du prix
de vente des sorties (produits finis ou services)" ?
a) cycle d'exploitation
b) cycle des affaires
c) cycle de stockage
d) cycle d'activité
7. De quoi dépend la durée du cycle d'exploitation de l'entreprise ?
a) du temps de stockage des produits finis
b) de la durée du crédit accordé aux clients
c) de la longueur du processus de production des produits finis
d) de la longueur des chaînes de montage des produits finis
e) de la durée du cycle d'investissement
8. A votre avis, le cycle d'exploitation est égal à ?
a) cycle de production + cycle de commercialisation
b) cycle de commercialisation + cycle de distribution
c) cycle d'investissement + cycle de production
d) cycle d'amortissement du matériel + cycle de vie du produit
9. A quoi correspond la règle de l'équilibre financier ?
a) les emplois stables doivent être financés par des ressources stables (capitaux permanents)
b) les dépenses d'exploitation doivent être financées par des ressources stables (capitaux
permanents)
c) les dépenses d'exploitation doivent être financées par des ressources d'exploitation
d) les investissements doivent être financés par des capitaux à court terme
10. A l'aide de quel(s) indicateur(s), l'entreprise peut-elle apprécier sa situation financière
?
a) à l'aide du fonds de roulement net global (FRNG)
b) à l'aide du besoin en fonds de roulement (BFR)
c) à l'aide de l'équilibre financier (EQF)
11. Si les ressources stables sont supérieures aux emplois stables, la situation financière de
l'entreprise est:
a) saine
b) dangereuse
12. Quelles sont les caractéristiques du besoin en fonds de roulement?
a) sert à financer les dépenses du cycle d'exploitation
b) dépend de la longueur du cycle d'investissement
c) dépend de la longueur du cycle d'exploitation
d) sert à financer les dépenses du cycle de commercialisation
e) sert à financer les dépenses du cycle de d'investissement
13. Une entreprise bien gérée cherche à minimiser son besoin en fonds de roulement c'est-
à-dire?
a) à accélérer ses encaissements
b) à ralentir ses décaissements
c) à augmenter le temps de stockage
d) à augmenter la durée du crédit accordé aux clients
e) à obtenir l'allongement du crédit auprès de ses fournisseurs
REPONSES

19
1. (a) (c)
2. (a) (c) (d)
3. (a)
4. (a)
5. (a) (b) (e)
6. (a)
7. (a) (b) (c)
8. (a)
9. (a)
10. (a)
11. (a)
12. (a) (c)
13. (a) (b) (e)

ECONOMIE D’ENTREPRISE L’ENTREPRISE : UNE


CULTURE
1. la culture d'entreprise correspond à :
a) une approche de la culture des salariés
b) l'aide à la création artistique
c) au bénévolat et à l'aide que peut apporter l'entreprise au niveau de la société
d) une vision globale de l'esprit de l'entreprise
2. le projet d'entreprise contient :
a) la stratégie générale de l'entreprise
b) des valeurs, les objectifs et le plan d'action de l'entreprise
c) des éléments de protection sociale favorables aux salariés
d) une réflexion sur le passé de l'entreprise
3. Quels sont les éléments qui vont déterminer l'identité d'une entreprise ?
a) la personnalité des dirigeants
b) la culture de l'entreprise
c) la gestion des ressources humaines
d) l'implication des hommes
4. Parmi les suivants, à quel élément correspond la définition suivante : ensemble des
éléments caractéristiques d'une entreprise qui permettent de la distinguer ?
a) l'identité de l'entreprise
b) la culture de l'entreprise
c) le changement dans l'entreprise
d) l'image de l'entreprise
5. Qu'est-ce que la culture dans une entreprise ?
a) c'est le "ciment" qui unit les membres de l'entreprise
b) c'est le mode de pensée et d'action habituels dans l'entreprise
c) c'est l'ensemble des stratégies adoptées
d) c'est son identité propre
6. Concrètement, comment se matérialise la culture d'une entreprise ?
a) rites et habitudes
b) mythes (anecdotes et histoires)
c) résistance au changement

20
d) motivation du personnel
7. Parmi les propositions, laquelle ou lesquelles correspond(ent) à la définition suivante :
sujet que l'on préfère éviter parce qu'il risque de créer un malaise ou un conflit ?
a) tabous
b) rites
c) mythes
d) frustration
8. La culture d'entreprise est un facteur de performance, elle permet de :
a) dynamiser l'entreprise en rassemblant l'énergie de ses membres
b) impliquer le personnel en l'associant à un projet d'entreprise
c) diminuer les dépenses de gestion des ressources humaines
d) rassurer les dirigeants
e) renforce l'identité spécifique de l'entreprise
9. Quelles peuvent être les principales difficultés rencontrées pour changer la culture
d'entreprise ?
a) résistance du personnel
b) peur du changement
c) habitudes
d) stratégie autocentrée
e) principes moraux
10. Quelles sont les caractéristiques du projet d'entreprise ?
a) c'est une méthode de gestion de la culture d'entreprise
b) c'est un accord oral et tacite entre les membres du personnel et la direction
c) il matérialise les engagements pris autour de principes et de valeurs communes à
l'entreprise
d) il n'influence en rien le mode de fonctionnement et les objectifs de l'entreprise
11. Quels sont les objectifs du projet d'entreprise ?
a) mobiliser et motiver le personnel
b) limiter l'esprit d'équipe
c) fixer les objectifs à atteindre
d) s'engager personnellement en tant que membre d'un service ou d'une direction
REPONSE
1. (d)
2. (b)
3. (a) (b)
4. (a)
5. (a) (b)
6. (a) (b)
7. (a)
8. (a) (b) (e)
9. (a) (b) (c)
10. (a) (c)
11. (a) (c)

ECONOMIE D’ENTREPRISE

21
L’ENTREPRISE UNE ORGANISATION AU SEIN DE
L’ENVIRONNEMENT
1. Quels sont les composantes de l'environnement de l'entreprise ?
a) environnement technologique
b) environnement juridique et réglementaire
c) environnement micro économique
d) environnement judiciaire
2. Font partie de l'environnement social de l'entreprise :
a) La réglementation du travail
b) Les syndicats
c) La société toute entière
d) Les partis politiques
3. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles représente(nt) des contraintes
pour l'entreprise ?
a) saturation d'un marché sur lequel l'entreprise est positionnée
b) changement de nature de la demande qui est adressée à l'entreprise
c) réglementation des prix
d) l'ensemble des agents économiques
e) l'ensemble des relations avec l'environnement immédiat de l'entreprise
4. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles représente(nt) des opportunités
(marchés nouveaux, possibilité de croissance ou de reconversion...) pour l'entreprise ?
a) augmentation du pouvoir d'achat des ménages
b) mesures fiscales (exonérations, zones franches...)
c) fermeture des frontières
d) arrivée à saturation d'un marché sur lequel l'entreprise est positionnée
e) nouvelles industries issues du respect de l'environnement naturel (exemple : recyclage...)
5. Quels sont les axes principaux permettant la surveillance de l'environnement ?
a) la presse
b) la propriété industrielle (INPI, brevets...)
c) les médias grand public (TV, radio...)
d) publicité comparative
6. Quels sont les objectifs de la surveillance de l'environnement ?
a) déceler les changements au niveau de l'environnement
b) être capable d'anticiper l'évolution
c) trouver les solutions optimales
d) maintenir le cycle de vie de l'entreprise
7. Parmi les affirmations suivantes, laquelle ou lesquelles est (sont) juste(s) ?
a) l'entreprise s'organise et s'adapte en fonction de son environnement
b) il n'existe pas de modèle d'organisation de l'entreprise idéal
c) l'entreprise est un organisme vivant, elle a un cycle de vie propre
d) le cycle de vie de l'entreprise ne peut pas se terminer, il est sans fin
e) l'ancienneté de l'entreprise signifie que celle-ci est proche de la "mort"
8. La flexibilité d'une entreprise désigne sa capacité à :
a) Avoir une forte rentabilité
b) changer de clients
c) Embaucher moins de salariés

22
d) s'adapter à son environnement
REPONSE
1. (a) (b)
2. (a) (b)
3. (a) (b) (c)
4. (a) (b) (e)
5. (a) (b)
6. (a) (b)
7. (a) (b) (c)
8. (d)

ECONOMIE D’ENTREPRISE
L’ACTIVITE PRODUCTIVE
L’EVOLUTION DE LA PRODUCTION : L’ORGANISATION
DU TRAVAIL
1. Les moyens que l'entreprise peut utiliser pour augmenter la flexibilité du travail sont
a) le recours aux heures supplémentaires (dans une certaine limite)
b) le recours aux contrats à durée indéterminée
c) le recours aux contrats à durée déterminée
d) le recours à l'intérim
2. Quelles sont les caractéristiques du fordisme ?
a) production en masse et spécialisation poussée des ouvriers
b) salaires élevés
c) rotation élevée du personnel ("turn over")
d) responsabilisation poussée
3. Quelles sont les principes de base de l'OST ?
a) parcellisation du travail (processus de production décomposé en une multitude de gestes
simples à réaliser)
b) peu de spécialisation du travail (processus de production décomposé en gestes élaborés
et complexes à réaliser)
c) chronométrage des tâches, temps imposés
d) séparation de l'exécution et du contrôle
e) pas d'individualisation des salaires
4. Le fordisme est basé, en partie, sur de hauts salaires. Pourquoi ?
a) avoir une demande solvable pour les produits fabriqués en grandes séries
b) avoir une demande illimitée pour les produits fabriqués en grandes séries
c) avoir une rotation du personnel la plus faible possible
d) améliorer la qualité des produits
5. Quels sont les effets positifs du taylorisme ?
a) gains de productivité importants
b) production en série donc consommation de masse
c) plus forte motivation des ouvriers qui sont davantage spécialisés
d) baisse des accidents du travail
6. Quels sont les limites du taylorisme ?
a) absentéisme

23
b) rigidité par rapport aux exigences du marché
c) aspirations des salariés satisfaites (désir d'appartenance, volonté de détenir des
responsabilités...)
d) élimination des gaspillages
7. Quel(s) est(sont) le ou les objectif(s) recherché(s) par les formes d'organisation du
travail centrées sur l'homme ?
a) favoriser la restructuration des tâches
b) rotation des postes
c) ouvriers moins polyvalents
d) management recentré
e) équipes autonomes
8. Quelles sont les formes d'organisation du travail centrées sur l'homme ?
a) élargissement des tâches
b) enrichissement des tâches
c) ergonomie du poste de travail
d) horaire de travail variable
e) élargissement des équipes de travail
9. Quelles sont les formes d'organisation du travail centrées sur le groupe ou l'équipe de
travail ?
a) groupes semi-autonomes
b) management par projets
c) management par activités
d) groupes quasi-autonomes
10. A quelle notion correspond la définition suivante : "groupe de personnes volontaires
animé par un responsable hiérarchique qui se réunit régulièrement pour identifier,
analyser et résoudre les problèmes courants ou non" ?
a) cercles de qualité
b) groupes de projets
c) postes enrichis
d) groupes de résolution de problèmes
e) groupes du suivi qualité
11. Dans quel(s) type(s) de management des équipes pluridisciplinaires gèrent-elles un
projet dans sa globalité ?
a) management par objectifs
b) management par projet
c) management qualité
d) management collaboratif
e) management participatif
12. Quelles sont les caractéristiques propres aux groupes semi-autonomes ?
a) les tâches à exécuter sont réparties d'un commun accord
b) le groupe est responsable de la production
c) le groupe a toute liberté pour évaluer son travail
d) les tâches à exécuter sont réparties par les responsables du groupe
e) les tâches du groupe nécessitent peu de polyvalence de la part de ses membres
13. Parmi les éléments suivants, lequel ou lesquels peuvent être considérés comme des
causes d'évolution de l'OST ?
a) évolution des qualifications du personnel

24
b) juste à temps
c) robotisation
d) recherche de davantage de temps libre
e) évolutions des mentalités de l'encadrement
14. Quelle(s) est(sont) l'incidence des technologies nouvelles (robotisation, informatique,
bureautique...) sur l'organisation du travail en entreprise ?
a) les tâches d'exécution ont tendance à disparaître
b) besoin d'une polyvalence accrue pour les personnels
c) les nouveaux emplois sont réservés aux informaticiens
d) l'homme est au service de la machine
e) besoin de qualifications plus élevées pour les personnels
15. Comment caractériser les conditions de vie au travail ?
a) rapport de l'homme et de son travail
b) rapport de l'ouvrier et de sa hiérarchie
c) rapports humains au travail
d) environnement dans lequel l'activité des salariés s'exerce
e) horaires de travail
16. L'OST signifie :
a) organe social du travail
b) organisation et symbole du travail
c) organisation scientifique du travail
d) organisation de la science du travail
17. L'ergonomie a pour but :
a) l'étude des comportements sociaux des salariés
b) l'étude de l'environnement extra-organisationnel
c) la maintenance des équipements de production
d) l'adaptation du travail à l'homme
e) la régulation des conflits sociaux
REPONSE
1. (a) (c) (d)
2. (a) (b)
3. (a) (c) (d)
4. (a) (c)
5. (a) (b)
6. (a) (b)
7. (a) (b) (e)
8. (a) (b)
9. (a) (b)
10. (a)
11. (b)
12. (a) (b)
13. (a) (b)
14. (a) (b) (e)
15. (a) (d)
16. (c)
17. (d)

ECONOMIE D’ENTREPRISE
25
L’ACTIVITE PRODUCTIVE : LES SYSTEMES ET LA
GESTION DE PRODUCTION
1. Qu'est-ce que produire ?
a) c'est utiliser des ressources humaines pour transformer des ressources matérielles et
financières en biens et services
b) c'est utiliser des ressources techniques pour transformer des ressources matérielles et
financières en biens et services
c) c'est utiliser des ressources techniques pour transformer des ressources matérielles et
humaines en biens et services
2. Quels sont les objectifs de la gestion de production ?
a) baisser les coûts
b) augmenter la fiabilité des produits fabriqués
c) réduire les délais de livraison des produits fabriqués
d) baisser les charges fixes
e) augmenter la durée de vie des produits fabriqués
3. Comment définir le processus de production ?
a) déroulement des différentes phases et opérations nécessaires à la fabrication d'un produit
b) déroulement des différentes phases et opérations nécessaires à la distribution d'un
produit
c) déroulement des différentes phases et opérations nécessaires à la conception d'un
produit
4. Quel est le rôle du bureau d'études ?
a) concevoir les produits
b) définir les procédures de fabrication du produit
c) prévoir les moyens nécessaires à la réalisation de la production
d) prévoir et planifier la production
5. Quel service définit les opérations de fabrication et d'assemblage du produit (normes et
règles de production : gammes, procédures, nomenclatures) ?
a) bureau des méthodes
b) bureau de l'ordonnancement
c) bureau d'études
d) bureau de méthodologie
e) bureau du responsable de production
6. A quoi sert l'ordonnancement ?
a) affecter les moyens humains à la réalisation des opérations de fabrication
b) affecter les moyens matériels à la réalisation des opérations de fabrication
c) affecter les moyens financiers à la réalisation des opérations de fabrication
d) définir les normes et règles de production : gammes, procédures, nomenclatures
7. A quoi correspond l'outil informatique de CAO ?
a) Conception Assistée par Ordinateur
b) Consultation Assistée par Ordinateur
c) Conceptualisation Assistée par Ordinateur
8. A quoi correspond l'outil informatique de CFAO ?
a) Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur
b) Consultation et Fabrication Assistées par Ordinateur
c) Conception et Fusion Assistées par Ordinateur

26
9. A quoi correspond l'outil informatique de DAO ?
a) Dessin Assisté par Ordinateur
b) Design Assisté par Ordinateur
c) Dénomination Assistée par Ordinateur
10. A quoi correspond l'outil informatique de GPAO ?
a) Gestion de la Production Assistée par Ordinateur
b) Gestion de la Productivité Assistée par Ordinateur
c) Gestion de la Planification Assistée par Ordinateur
11. Qu'est-ce que la productique ?
a) association de la mécanique et de l'informatique pour assurer la production
b) application d'une invention dans le domaine de la gestion de production
c) localisation et agencement des unités de production
d) optimisation des coûts de fabrication
12. Qu'est-ce que l'innovation ?
a) application industrielle d'une invention
b) informatisation du processus de production
c) une invention
d) l'utilisation de l'informatique dans le domaine de la gestion de production
13. Quels sont les objectifs de l'organisation de la production ?
a) définir la localisation des unités de production
b) optimiser et réduire les coûts de fabrication
c) définir l'agencement des unités de production
d) définir l'ordonnancement des unités de production
14. Que doit permettre le choix de la localisation (situation géographique) d'une unité de
production (une usine par exemple) ?
a) réduire les coûts d'approvisionnement en matières premières
b) réduire les coûts de transformation des matières premières
c) réduire les coûts de distribution des produits fabriqués
d) améliorer l'implantation des bâtiments
e) réduire les contraintes de qualité
15. Quels choix d'implantation (agencement) d'une unité de production sont possibles ?
a) implantation en ligne ou à la chaîne
b) implantation en cellules ou en îlots
c) implantation linéaire
d) implantation éclatée
e) implantation étalée
16. A quel(s) type(s) de production convient l'automatisation ?
a) pour les productions de masse
b) pour les productions en continu (régulières sur une période longue)
c) pour les produits peu différenciés
d) pour les produits très différenciés
e) pour les productions sur mesure
17. A quelle définition correspond un mode de production linéaire :
a) Les postes de production sont éparpillés dans l'atelier
b) Les produits transitent par des postes alignés
c) Il n'existe plus de postes, mais un calendrier d'opérations à mener
REPONSE
27
1. (a)
2. (a) (b) (c)
3. (a)
4. (a)
5. (a)
6. (a) (b)
7. (a)
8. (a)
9. (a)
10. (a)
11. (a)
12. (a)
13. (a) (b) (c)
14. (a) (b) (c)
15. (a) (b)
16. (a) (b) (c)
17. (b)

ECONOMIE D’ENTREPRISE
L’ACTIVITE PRODUCTIVE : L’EVOLUTION DE LA
PRODUCTION : QUALITE, FLEXIBILITE,
PRODUCTIVITE
1. La productivité d'un facteur de production est le rapport entre :
a) le bénéfice obtenu et le prix de ce facteur
b) la production réalisée et la quantité de facteur utilisée
c) le prix du facteur et la production réalisée
d) la quantité de facteur utilisée et le prix de ce facteur
2. Les gains de productivité sont :
a) des économies réalisées grâce à une meilleure combinaison productive
b) des améliorations des conditions de travail des salariés
c) des augmentations de la taille des entreprises
3. La productivité du travail augmente quand :
a) le temps de travail diminue pour une même production
b) la production augmente pour un même temps de travail
c) la même production peut être réalisée avec moins de personnel
4. L'amélioration de la productivité peut être obtenue par :
a) une robotisation ou une automatisation plus importance
b) une robotisation ou une automatisation moins importance
c) la réorganisation du travail
d) l'amélioration des relations de travail
5. Pour une entreprise, la productivité :
a) est un indicateur de bonne santé
b) est une condition de performance
c) est égale à la rentabilité
d) augmente quand la taille diminue

28
6. la productique, c'est :
a) l'augmentation des capacités de production de l'entreprise
b) l'étude de la production de l'entreprise
c) l'étude de la gestion de la production
d) l'association de l'informatique à la gestion de la production
7. Qu'est-ce que la qualité dans l'entreprise ?
a) c'est l'aptitude d'un produit ou d'un service à satisfaire les besoins des utilisateurs
b) c'est l'aptitude d'un produit ou d'un service à satisfaire les envies des utilisateurs
c) c'est la possibilité qu'a l'entreprise de s'améliorer plus vite que ses concurrents
8. La qualité concerne :
a) le produit final
b) le processus de production dans son ensemble
c) la production à la commande
d) la production en flux poussés
9. Pourquoi la recherche de la qualité est-elle liée à l'idée de compétition et de
compétivité ?
a) elle permet à l'entreprise de s'améliorer plus vite que ses concurrents
b) la qualité des produits doit empêcher que des produits défectueux n'entrent dans l'usine
c) la recherche de la qualité augmente la flexibilité dans l'entreprise
10. Qu'est-ce que la qualité totale ?
a) c'est bien faire la première fois
b) c'est livrer en temps voulu un produit complet et sans défaut
c) c'est diminuer la concurrence
d) c'est être indépendant des concurrents
11. Quelles sont les caractéristiques des normes de qualité ISO 9000 ?
a) elles définissent des caractéristiques qui garantissent au client un certain niveau de
qualité
b) elles définissent un prix qui garantit au client un certain niveau de qualité
c) elles définissent un service après-vente qui garantit au client un certain niveau de suivi de
commande
12. La démarche de qualité totale est une démarche qui s'inscrit dans l'optique des 5 zéros,
lequel ou lesquels parmi les propositions suivantes ?
a) 0 stock
b) 0 délai
c) 0 problème
d) 0 retard
e) 0 souci
13. Quelles sont les techniques de contrôle de la qualité utilisées ?
a) contrôle unitaire
b) contrôle par échantillon
c) contrôle en discontinu
d) contrôle en chaîne
14. A quel(s) moment(s) sont réalisés les contrôles de qualité sur les produits fabriqués ?
a) pendant la production
b) avant la production
c) lors de la livraison de la commande
d) lors de l'expédition des produits

29
15. Pourquoi la non-qualité coûte cher à l'entreprise ?
a) rebuts de produits
b) mécontentement des clients
c) surproduction
d) ventes inutiles
16. Que permet la flexibilité ?
a) de s'adapter aux circonstances
b) d'anticiper les modifications de l'environnement
c) d'améliorer l'image de marque de l'entreprise
d) d'éviter les gaspillages
e) de diminuer le coût de production
17. La production en continu est-elle flexible ?
a) aucune flexibilité
b) peu de flexibilité
c) très grande flexibilité
18. La production unitaire est-elle flexible ?
a) aucune flexibilité
b) peu de flexibilité
c) très grande flexibilité
19. Qu'est-ce que la flexibilité interne ?
a) l'entreprise adapte elle-même son outil de production
b) l'entreprise fait appel à la sous-traitance
c) l'entreprise externalise sa production
d) l'entreprise cherche à modifier son environnement
20. Qu'est-ce que la flexibilité externe ?
a) l'entreprise adapte elle-même son outil de production
b) l'entreprise fait appel à la sous-traitance
c) l'entreprise cherche à modifier son environnement
21. Qu'entend-on par "externalisation" de la production ?
a) c'est faire faire à d'autres
b) c'est faire soi-même
c) c'est faire appel à la sous-traitance
d) c'est acheter des biens à une autre entreprise au lieu de les fabriquer soi-même
e) c'est produire soi-même les biens nécessaires
22. Quels sont les avantages de la flexibilité externe ?
a) évite l'investissement dans des capacités de production sous utilisées
b) permet de disposer d'un savoir-faire rapidement et sans le financer
c) permet de faire reposer le poids des variations de la demande sur les sous-traitants
d) permet de faire reposer le poids des variations de la demande sur les clients
e) permet d'utiliser une main d'oeuvre formée par l'entreprise elle-même donc plus
performante
23. Quelles sont les formes de sous-traitance ?
a) sous-traitance de capacité
b) sous-traitance de spécialité
c) sous-traitance de spécialisation
d) sous-traitance de production
e) sous-traitance de délocalisation

30
24. Pourquoi les entreprises recherchent-elles de plus en plus de flexibilité ?
a) pour répondre rapidement aux variations de la demande (en volume)
b) pour s'adapter rapidement à un changement des caractéristiques de la demande en
passant rapidement d'un type de produit à un autre
c) pour s'adapter rapidement à un changement des caractéristiques de l'offre en passant
rapidement d'un type de produit à un autre
d) pour répondre partiellement aux variations de la demande (en volume)
REPONSE
1. (b)
2. (a)
3. (a) (b) (c)
4. (a) (c) (d)
5. (a) (b)
6. (d)
7. (a)
8. (a) (b)
9. (a)
10. (a) (b)
11. (a)
12. (a) (b)
13. (a) (b)
14. (a) (b)
15. (a) (b)
16. (a) (b)
17. (a)
18. (c)
19. (a)
20. (b)
21. (a) (c) (d)
22. (a) (b) (c)
23. (a) (b)
24. (a) (b)

ECONOMIE D’ENTREPRISE
L’ACTIVITE PRODUCTIVE : LES SYSTEMES ET LA
GESTION DE PRODUCTION
1. Qu'est-ce que produire ?
a) c'est utiliser des ressources humaines pour transformer des ressources matérielles et
financières en biens et services
b) c'est utiliser des ressources techniques pour transformer des ressources matérielles et
financières en biens et services
c) c'est utiliser des ressources techniques pour transformer des ressources matérielles et
humaines en biens et services
2. Quels sont les objectifs de la gestion de production ?
a) baisser les coûts

31
b) augmenter la fiabilité des produits fabriqués
c) réduire les délais de livraison des produits fabriqués
d) baisser les charges fixes
e) augmenter la durée de vie des produits fabriqués
3. Comment définir le processus de production ?
a) déroulement des différentes phases et opérations nécessaires à la fabrication d'un produit
b) déroulement des différentes phases et opérations nécessaires à la distribution d'un
produit
c) déroulement des différentes phases et opérations nécessaires à la conception d'un
produit
4. Quel est le rôle du bureau d'études ?
a) concevoir les produits
b) définir les procédures de fabrication du produit
c) prévoir les moyens nécessaires à la réalisation de la production
d) prévoir et planifier la production
5. Quel service définit les opérations de fabrication et d'assemblage du produit (normes et
règles de production : gammes, procédures, nomenclatures) ?
a) bureau des méthodes
b) bureau de l'ordonnancement
c) bureau d'études
d) bureau de méthodologie
e) bureau du responsable de production
6. A quoi sert l'ordonnancement ?
a) affecter les moyens humains à la réalisation des opérations de fabrication
b) affecter les moyens matériels à la réalisation des opérations de fabrication
c) affecter les moyens financiers à la réalisation des opérations de fabrication
d) définir les normes et règles de production : gammes, procédures, nomenclatures
7. A quoi correspond l'outil informatique de CAO ?
a) Conception Assistée par Ordinateur
b) Consultation Assistée par Ordinateur
c) Conceptualisation Assistée par Ordinateur
8. A quoi correspond l'outil informatique de CFAO ?
a) Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur
b) Consultation et Fabrication Assistées par Ordinateur
c) Conception et Fusion Assistées par Ordinateur
9. A quoi correspond l'outil informatique de DAO ?
a) Dessin Assisté par Ordinateur
b) Design Assisté par Ordinateur
c) Dénomination Assistée par Ordinateur
10. A quoi correspond l'outil informatique de GPAO ?
a) Gestion de la Production Assistée par Ordinateur
b) Gestion de la Productivité Assistée par Ordinateur
c) Gestion de la Planification Assistée par Ordinateur
11. Qu'est-ce que la productique ?
a) association de la mécanique et de l'informatique pour assurer la production
b) application d'une invention dans le domaine de la gestion de production
c) localisation et agencement des unités de production

32
d) optimisation des coûts de fabrication
12. Qu'est-ce que l'innovation ?
a) application industrielle d'une invention
b) informatisation du processus de production
c) une invention
d) l'utilisation de l'informatique dans le domaine de la gestion de production
13. Quels sont les objectifs de l'organisation de la production ?
a) définir la localisation des unités de production
b) optimiser et réduire les coûts de fabrication
c) définir l'agencement des unités de production
d) définir l'ordonnancement des unités de production
14. Que doit permettre le choix de la localisation (situation géographique) d'une unité de
production (une usine par exemple) ?
a) réduire les coûts d'approvisionnement en matières premières
b) réduire les coûts de transformation des matières premières
c) réduire les coûts de distribution des produits fabriqués
d) améliorer l'implantation des bâtiments
e) réduire les contraintes de qualité
15. Quels choix d'implantation (agencement) d'une unité de production sont possibles ?
a) implantation en ligne ou à la chaîne
b) implantation en cellules ou en îlots
c) implantation linéaire
d) implantation éclatée
e) implantation étalée
16. A quel(s) type(s) de production convient l'automatisation ?
a) pour les productions de masse
b) pour les productions en continu (régulières sur une période longue)
c) pour les produits peu différenciés
d) pour les produits très différenciés
e) pour les productions sur mesure
17. A quelle définition correspond un mode de production linéaire :
a) Les postes de production sont éparpillés dans l'atelier
b) Les produits transitent par des postes alignés
c) Il n'existe plus de postes, mais un calendrier d'opérations à mener
REPONSE
1. (a)
2. (a) (b) (c)
3. (a)
4. (a)
5. (a)
6. (a) (b)
7. (a)
8. (a)
9. (a)
10. (a)
11. (a)
12. (a)

33
13. (a) (b) (c)
14. (a) (b) (c)
15. (a) (b)
16. (a) (b) (c)
17. (b)
ECONOMIE D’ENTREPRISE
LES ACTIVITES DE LOGISTIQUE
1. La transitique correspond :
a) au stockage des produits fournisseurs
b) au transfert des matières premières vers les ateliers
c) aux opérations relatives à l'approvisionnement des postes
d) l'automatisation des manutentions et transports de stocks d'un point à un autre dans
l'entreprise
e) aux opérations de distribution entre les entreprises et les entrepôts
2. La logistique signifie :
a) raisonner logiquement sur les moyens de gérer une entreprise
b) faire appel à l'informatique pour gérer les entreprises
c) gérer les flux internes et externes d'une entreprise
d) mettre à disposition à moindre coût une quantité déterminée d'un produit à l'endroit et
au moment où une demande existe
3. De quoi est composée la chaîne logistique ?
a) logistique de production des produits en amont
b) logistique de distribution des produits en aval
c) logistique de coordination
d) logistique de flux entrants d'informations
4. Qu'est-ce qu'un "logisticien" ?
a) coordinateur des fonctions de l'entreprise touchées par la chaîne logistique
b) coordinateur des fonctions de l'entreprise touchées par la chaîne productive
c) coordinateur des flux d'informations
5. Qu'est-ce que la logistique en amont ou logistique du produit ?
a) elle englobe toutes les activités liées à la production du produit
b) elle englobe toutes les activités liées à la distribution du produit
c) elle englobe toutes les activités liées à la conception du produit

6. Qu'est-ce que la logistique en aval ou logistique de soutien ?


a) elle englobe toutes les activités liées à la conception du produit
b) elle englobe toutes les activités liées à la distribution du produit
c) elle englobe toutes les activités liées à la maintenance du produit (SAV...)
d) elle englobe toutes les activités liées à la facturation du produit
7. Qu'est-ce que la logistique intégrée ?
a) elle comprend les logistiques amont et aval
b) elle comprend les logistiques avant et après
c) elle comprend les logistiques présente et future
d) elle comprend les logistiques interne et externe
8. Quels sont les éléments du choix d'un mode de transport des stocks dans l'entreprise ?
a) il faut tenir compte du type de produit

34
b) il faut tenir compte de la rapidité du transport
c) il faut tenir compte de la fragilité du transport
d) il faut tenir compte de la banalisation du transport
9. Quels sont les avantages de la sous-traitance du transport des stocks ?
a) pas de coût de maintenance du matériel
b) pas de charges de personnel
c) coût du service peu élevé
d) indépendance par rapport au transporteur
e) banalisation du transport
10. Quels sont les objectifs et les enjeux de la logistique ?
a) diminuer les coûts
b) maîtriser les délais de livraison
c) réduire les stocks
d) favoriser les goulets d'étranglement lors du transport des marchandises
e) permettre l'échange des stocks
11. Pourquoi une logistique bien gérée contribue-t-elle à l'obtention de la qualité totale ?
a) permet la livraison des produits en bon état
b) permet de respecter les délais de mise à disposition du produit
c) permet de réduire les échanges administratifs de données
d) permet de réduire les échanges de données
e) permet une livraison au client final en juste à temps
REPONSE
1. (d)
2. (c) (d)
3. (a) (b)
4. (a)
5. (a)
6. (b) (c)
7. (a)
8. (a) (b)
9. (a) (b)
10. (a) (b) (c)
11. (a) (b) (e)
ECONOMIE D’ENTREPRISE
L’ACTIVITE PRODUCTIVE : LES MODES DE
PRODUCTION
1. Le mode de production retenu par une entreprise est le résultat de certains choix,
lesquels ?
a) choix des procédés techniques utilisés
b) choix de l'organisation du travail
c) choix de la politique d'approvisionnement
d) choix des débouchés de la production
e) choix d'une politique de fabrication
2. Quelles sont les possibilités de choix du mode de production ?
a) produire en continu (24 h/24...)

35
b) produire à l'unité
c) produire à la commande
d) produire en linéaire
e) produire à la certification
3. Qu'est-ce que produire en Juste A Temps ?
a) production en flux poussés
b) production à la commande
c) production en flux tendus
d) production pour le stock
e) production en discontinu
4. La production en flux poussés :
a) production par anticipation des besoins de la clientèle finale
b) la fabrication est lancée pour répondre à un marché
c) la fabrication est lancée pour répondre à un client déterminé
d) il n'y a pas constitution de stocks des produits fabriqués
e) est une forme de pilotage de la production par l'aval (tournée vers le client)
5. La production en flux tendus :
a) il y a constitution de stocks
b) la fabrication est lancée pour répondre à un client déterminé
c) la fabrication est planifiée et anticipe les besoins de la clientèle finale
d) est une forme de pilotage de la production par l'aval (tournée vers le client)
e) répond au principe du juste à temps
6. Selon quelle(s) méthode(s) le juste à temps est-il organisé ?
a) méthode du kanbon
b) méthode du kanban
c) méthode du bankan
7. Quels peuvent être les inconvénients du juste à temps ?
a) plus de stock de sécurité
b) les intervenants dans le cycle de production sont très dépendants les uns des autres
c) les intervenants dans le cycle de production sont très indépendants les uns des autres
d) la différenciation du produit peut être plus poussée
e) les ordres de fabrication sont donnés plus rapidement
8. Produire en flux tendus, cela signifie :
a) Tendre vers le " zéro stock "
b) maximiser le stock pour ne pas risquer la rupture
c) Attendre les commandes pour commencer à produire
d) améliorer la gestion des ressources humaines
REPONSE
1. (a) (b) (e)
2. (a) (b) (c)
3. (b) (c)
4. (a) (b)
5. (b) (d) (e)
6. (b)
7. (a) (b)
8. (a) (c)

36
ECONOMIE D’ENTREPRISE
L’ENTREPRISE : UNE STRUCTURE PRODUCTIVE ET UN
GROUPEMENT HUMAIN
1. Comment définir l'entreprise ?
a) c'est une communauté humaine
b) c'est une fonction sociale essentielle
c) l'entreprise mobilise et rémunère du travail et du capital
d) c'est une unité permettant de créer des marchés de distribution
2. Quels sont les principaux objectifs économiques de l'entreprise ?
a) rentabilité
b) conquête de marchés
c) profit
d) assurer l'épanouissement humain
e) permettre de réguler les activités non polluantes
3. Quels sont les objectifs non économiques de l'entreprise ?
a) assurer un service public (électricité, transport ferroviaire...)
b) avoir une certaine productivité
c) se soucier des préoccupations sociales (procurer un emploi, assurer un revenu, permettre
l'insertion sociale par le travail...)
d) s'assurer un monopole sur un marché
4. Qu'est-ce que la production ?
a) la transformation de ressources conduisant à la création de biens et services
b) la combinaison du travail, du capital technique et des consommations intermédiaires
c) la condition préalable à toute activité de l'entreprise
d) une étape pour la réalisation des objectifs sociaux de l'entreprise
5. Quels sont les rôles économiques de l'entreprise ?
a) c'est une unité de production
b) c'est une unité de répartition
c) c'est une forme de consommation intermédiaire
d) c'est une entité sociale
6. Quelles sont les charges couvertes par la valeur ajoutée ?
a) impôts et taxes
b) amortissement du matériel
c) frais financiers (intérêts d'emprunts...)
d) répartition du profit
7. Quels sont les rôles sociaux de l'entreprise ?
a) c'est une entité sociétale
b) c'est un groupement humain (lieu d'épanouissement ou de frustration)
c) c'est un centre de décision qui fixe des objectifs et définit les moyens à mettre en oeuvre
pour les atteindre
d) c'est une cellule de base de la vie en société, une entité sociale
e) c'est un pôle d'échange d'informations entre les partenaires (clients/fournisseurs,
Etat/collectivités locales...)
8. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles sont des approches théoriques
de l'entreprise ?
a) théories classiques des organisations

37
b) Ecole des relations humaines
c) Ecole des relations sociales
d) Ecole de la régulation
9. Parmi les auteurs suivants, lequel ou lesquels ont analysé l'entreprise, son organisation
et son rôle ?
a) FAYOL
b) MASLOW
c) HERZBERG
d) KEYNES
e) FRIEDMAN
10. Que préconise TAYLOR à travers l'OST (Organisation Scientifique du Travail) ?
a) séparation des tâches
b) décomposition du travail
c) spécialisation des individus
d) regroupement social des individus
e) recomposition du travail en tâches globales
11. Quelles sont les conséquences de la forme d'organisation préconisée par TAYLOR ?
a) hiérarchie importante
b) centralisation de l'information entre les mains de l'encadrement
c) déresponsabilisation de l'encadrement
d) meilleure ambiance de travail
e) augmentation du rendement et de l'efficacité
12. Comment FAYOL analyse-t-il le rôle des dirigeants de l'entreprise ?
diriger, c'est :
a) prévoir
b) coordonner
c) connaître
d) gérer
e) organiser
13. Parmi les propositions suivantes, quels sont les nouveaux principes de management ?
a) direction par objectifs
b) décentralisation et délégation
c) autonomie recentrée
d) division sociale du travail
e) séparation des tâches de conception et d'exécution
14. l'OST signifie :
a) organe social du travail
b) organisation et symbole du travail
c) organisation scientifique du travail
d) organisation de la science du travail
15. On compte parmi les nouveaux principes d'organisation du travail :
a) La polyvalence des salariés
b) la séparation des tâches d'exécution et de conception
c) La parcellisation des tâches
d) le travail en groupe (équipes semi-autonomes...)
16. Selon le courant des relations humaines, parmi les propositions suivantes, laquelle ou
lesquelles sont à prendre en compte ?

38
a) pour obtenir de bons résultats, il faut s'intéresser aux salariés en tant que personne
b) pour rendre l'entreprise plus performante, il faut accorder de l'importance à l'étude des
relations entre l'homme et son travail
c) seuls les besoins matériels influencent le travail de l'homme
d) il est superflu de valoriser les ressources humaines et le capital humain puisqu'il s'agit
d'un investissement immatériel
REPONSE
1. (a) (c)
2. (a) (b) (c)
3. (a) (c)
4. (a) (b)
5. (a) (b)
6. (a) (b) (c)
7. (b) (c) (d) (e)
8. (a) (b)
9. (a) (b) (c)
10. (a) (b) (c)
11. (a) (b) (e)
12. (a) (b) (e)
13. (a) (b)
14. (c)
15. (a) (d)
16. (a) (b)
ECONOMIE D'ENTREPRISE - BTS
LA PLANIFICATION
La planification est un apport de souplesse dans la gestion de l'entreprise car elle permet
d'_______________________________________________________ les situations futures.
Planifier consiste à _______________________________________________________ et à
_______________________________________________________.
La planification est l'action qui marque la volonté de l'entreprise d'agir sur le futur. Planifier,
c'est concevoir un futur désiré et les moyens d'y parvenir. C'est un processus de mise en
œuvre de stratégies et d'élaboration de
_______________________________________________________ destinés à les réaliser.
On distingue 2 types de plans. Le
_______________________________________________________ : concerne l'ensemble de
l'entreprise, influence son développement, définit les
_______________________________________________________ (organisation, structure,
activités), s'inscrit dans le moyen et le long terme. Le
_______________________________________________________ : précise les
_______________________________________________________ à entreprendre pour
chaque fonction et service de l'entreprise afin d'atteindre les objectifs prévus dans les plans
stratégiques, concerne le court terme. Les
_______________________________________________________ précisent les objectifs à
atteindre, les actions à mettre en œuvre, les résultats à atteindre, les planning de réalisation.
Les années 80 voient l'ère du
_______________________________________________________. L'entreprise doit
39
développer une capacité de
_______________________________________________________, le plan devient plus
_______________________________________________________. Il est plus en phase avec
les besoins du personnel qui souhaite prendre part à la définition et la réalisation de la
stratégie.

Les années 90 sont le théâtre de bouleversements politiques, économiques, technologiques,


de turbulences et de crises. L'entreprise doit envisager différents
_______________________________________________________. On parle de
prospective, de _______________________________________________________
(business plan) et de veille stratégique.
LES ETAPES DE LA PLANIFICATION :
1._______________________________________________________ (analyse interne et
externe),
2. _______________________________________________________ (ou plan global
ou plan d'ensemble ou projet d'entreprise),
3._______________________________________________________ (ou programmes
d'action),
4. _______________________________________________________ (budgets
fonctionnels, budget des capitaux, budget des centres de responsabilité)
5. contrôle et _______________________________________________________
(analyse des écarts)

L'élaboration du _______________________________________________________ consiste


à chiffrer les plans d'action en dépenses et recettes
_______________________________________________________ pour l'année à venir,
correspondant à chaque unité opérationnelle ou fonctionnelle de l'entreprise (budget
publicitaire, d'investissement…).
LES OUTILS DE PLANIFICATION :
a) les plans d'activité ou
_______________________________________________________
b) la _______________________________________________________ :
L'avenir est envisagé d'une manière unique dans la prévision, alors que de multiples futurs
possibles sont pris en compte dans une approche prospective. La
_______________________________________________________ conduit à l'étude des
causes techniques, économiques, sociales, politiques qui accélèrent l'évolution de
l'environnement. A l'aide de cette analyse, il est possible d'établir des
_______________________________________________________.
c) la _______________________________________________________ :
C'est partir du passé et du présent pour explorer l'avenir. Elle est indispensable pour
l'élaboration de la planification opérationnelle et des budgets.
d) la _______________________________________________________ :
C'est un système qui permet de repérer tous les signaux en provenance de l'environnement
pouvant avoir un impact sur l'entreprise. L'objectif est
d'_______________________________________________________ importants qui auront
une répercussion sur l'évolution de la firme.

40
Différentes critiques sont émises vis-à-vis de la planification. Il est difficile d'anticiper le
futur, trop de formalisme dans la mise en place des plans peut entraîner des rigidités et des
coûts importants, _______________________________________________________.
Pourtant la planification a plusieurs intérêts. Elle oblige les dirigeants et le personnel à une
réflexion stratégique, elle permet de
_______________________________________________________ et
d'_______________________________________________________. Elle permet aussi de
rechercher la meilleure utilisation des facteurs de production.
Aujourd'hui, on assiste à un renouveau de la planification grâce au
_______________________________________________________ qui permet de définir le
contenu technique du projet, le détail des coûts et des délais dans le cadre de l'enveloppe
fixée dans un cahier des charges, de déterminer les responsabilités et de contrôler et de
mettre en place les outils de contrôle de l'avancement du projet.
En cours d'exécution du plan, le
_______________________________________________________ se situe à 3 niveaux :
Contrôle des résultats : on vérifie que le plan est réalisé comme prévu et on justifie les écarts
Contrôle des prévisions : on vérifie que les hypothèses de travail sont toujours valides
Contrôle des méthodes : on s'assure que la procédure est suivie correctement et qu'elle est
pertinente
Les techniques de contrôle des réalisations peuvent être :
_______________________________________________________ : il permet d'analyser
l'ensemble de la gestion de l'entreprise, une fonction ou un système donné (ex.
communication)
Il peut être _______________________________________________________ (fait par
certains salariés de l'entreprise, risque du manque d'impartialité dans le jugement) ou
_______________________________________________________ (pratiqué par des
professionnels extérieurs à l'entreprise -cabinets de consultants spécialisés-), il est parfois
source de tensions.
_______________________________________________________ : il permet de maîtriser
la gestion d'une entreprise (dépenses, réalisations). Il peut s'appuyer sur les budgets, la
comptabilité générale et analytique.
_______________________________________________________ : permet de suivre
l'évolution des projets, de contrôler les écarts (entre objectifs atteints et moyens utilisés) et
d'entreprendre des actions correctives.
diagnostic plan opérationnel actions anticiper anticiper des difficultés futures
anticiper les changements budget budgets business plan choisir une ou des stratégies
contrôle des réalisations externe flexible formaliser leur mise en œuvre interne la
planification ne doit pas s'opposer à la flexibilité l'audit le contrôle budgétaire le contrôle
de gestion management par projet management stratégique mesures correctives
orientations générales plan opérationnel plan stratégique plan stratégique plans
d'activité prévision prévisionnelles programmes d'action programmes d'actions
prospective prospective réaction saisir des opportunités scénarios scénarios
d'anticipation du futur veille stratégique
REPONSE
ECONOMIE D'ENTREPRISE - BTS
LA PLANIFICATION
41
La planification est un apport de souplesse dans la gestion de l'entreprise car elle permet
d'anticiper les situations futures. Planifier consiste à choisir une ou des stratégies et à
formaliser leur mise en œuvre.
La planification est l'action qui marque la volonté de l'entreprise d'agir sur le futur. Planifier,
c'est concevoir un futur désiré et les moyens d'y parvenir. C'est un processus de mise en
œuvre de stratégies et d'élaboration de programmes d'actions destinés à les réaliser.
On distingue 2 types de plans.%
Le plan stratégique : concerne l'ensemble de l'entreprise, influence son développement,
définit les orientations générales (organisation, structure, activités), s'inscrit dans le moyen
et le long terme.
Le plan opérationnel : précise les actions à entreprendre pour chaque fonction et service de
l'entreprise afin d'atteindre les objectifs prévus dans les plans stratégiques, concerne le
court terme. Les programmes d'action précisent les objectifs à atteindre, les actions à mettre
en œuvre, les résultats à atteindre, les planning de réalisation.
Les années 80 voient l'ère du management stratégique. L'entreprise doit développer une
capacité de réaction, le plan devient plus flexible. Il est plus en phase avec les besoins du
personnel qui souhaite prendre part à la définition et la réalisation de la stratégie.
Les années 90 sont le théâtre de bouleversements politiques, économiques, technologiques,
de turbulences et de crises. L'entreprise doit envisager différents scénarios.
On parle de prospective, de plans d'activité (business plan) et de veille stratégique.
LES ETAPES DE LA PLANIFICATION :
1. diagnostic (analyse interne et externe),
2. plan stratégique (ou plan global ou plan d'ensemble ou projet d'entreprise),
3. plan opérationnel (ou programmes d'action),
4. budgets (budgets fonctionnels, budget des capitaux, budget des centres de
responsabilité)
5. contrôle et mesures correctives (analyse des écarts)
L'élaboration du budget consiste à chiffrer les plans d'action en dépenses et recettes
prévisionnelles pour l'année à venir, correspondant à chaque unité opérationnelle ou
fonctionnelle de l'entreprise (budget publicitaire, d'investissement…).
LES OUTILS DE PLANIFICATION :
a) les plans d'activité ou business plan
b) la prospective :
L'avenir est envisagé d'une manière unique dans la prévision, alors que de multiples futurs
possibles sont pris en compte dans une approche prospective.
La prospective conduit à l'étude des causes techniques, économiques, sociales, politiques
qui accélèrent l'évolution de l'environnement. A l'aide de cette analyse, il est possible
d'établir des scénarios d'anticipation du futur.
c) la prévision :
C'est partir du passé et du présent pour explorer l'avenir. Elle est indispensable pour
l'élaboration de la planification opérationnelle et des budgets.
d) la veille stratégique :
C'est un système qui permet de repérer tous les signaux en provenance de l'environnement
pouvant avoir un impact sur l'entreprise. L'objectif est d'anticiper les changements
importants qui auront une répercussion sur l'évolution de la firme.

42
Différentes critiques sont émises vis-à-vis de la planification. Il est difficile d'anticiper le
futur, trop de formalisme dans la mise en place des plans peut entraîner des rigidités et des
coûts importants, la planification ne doit pas s'opposer à la flexibilité.
Pourtant la planification a plusieurs intérêts :
 Elle oblige les dirigeants et le personnel à une réflexion stratégique, elle permet de
saisir des opportunités et d'anticiper des difficultés futures.
 Elle permet aussi de rechercher la meilleure utilisation des facteurs de production.
Aujourd'hui, on assiste à un renouveau de la planification grâce au management par projet
qui permet de définir le contenu technique du projet, le détail des coûts et des délais dans le
cadre de l'enveloppe fixée dans un cahier des charges, de déterminer les responsabilités et
de contrôler et de mettre en place les outils de contrôle de l'avancement du projet.
En cours d'exécution du plan, le contrôle des réalisations se situe à 3 niveaux :
 Contrôle des résultats : on vérifie que le plan est réalisé comme prévu et on justifie
les écarts
 Contrôle des prévisions : on vérifie que les hypothèses de travail sont toujours
valides
 Contrôle des méthodes : on s'assure que la procédure est suivie correctement et
qu'elle est pertinente
Les techniques de contrôle des réalisations peuvent être :
l'audit il permet d'analyser l'ensemble de la gestion de l'entreprise, une fonction ou un système
donné (ex. communication)
Il peut être interne (fait par certains salariés de l'entreprise, risque du manque d'impartialité
dans le jugement) ou externe (pratiqué par des professionnels extérieurs à l'entreprise -
cabinets de consultants spécialisés-), il est parfois source de tensions.
le contrôle il permet de maîtriser la gestion d'une entreprise (dépenses, réalisations). Il peut s'appuyer
de gestion sur les budgets, la comptabilité générale et analytique.
le contrôle permet de suivre l'évolution des projets, de contrôler les écarts (entre objectifs atteints et
budgétaire moyens utilisés) et d'entreprendre des actions correctives.
ECONOMIE D'ENTREPRISE - BTS
LES STRATEGIES DES ENTREPRISES EN DIFFICULTE
Les crises économiques ont dévoilé les faiblesses de nombreuses grandes entreprises qui ont
dû procéder à des restructurations. Une trop grande
_____________________________________ hétérogène de leur activité (concentration
_____________________________________) avait montré les limites de cette stratégie
(_____________________________________,
_____________________________________...).
Une réorganisation s'imposait pour améliorer la
_____________________________________. Elle s'est souvent traduite par un
_____________________________________ des activités de ces entreprises sur leur
_____________________________________. La technique utilisée est simple, il s'agit de
vendre des actifs généralement déficitaires ou peu rentables (locaux, entreprises sans
rapport avec le métier de base...), afin de _____________________________________ qui
seront réinvesties dans son activité d'origine.
Ainsi, en se désengageant d'_____________________________________,
_____________________________________, _____________________________________,
voire excédentaires mais éloignées de son métier d'origine, l'entreprise assure le

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redémarrage de secteurs qu'elle connaît parfaitement. Leur maîtrise lui assurera des parts
de marché plus importantes.
La stratégie de _____________________________________ repose sur un constat d'échec
économique et sur le risque de voir l'entreprise disparaître. Il ne s'agit plus d'élaborer des
stratégies de développement de son activité mais tout simplement de
_____________________________________. Pour y parvenir, le chef d'entreprise mettra en
oeuvre tous les moyens dont il dispose.
Elle consiste donc à engager des actions de redressement de façon à rétablir
l'_____________________________________ et la structure financière de l'entreprise
(_____________________________________, compression des effectifs...).
Les _____________________________________ sont essentiellement financières qui ont
pour objet d'éviter une crise de trésorerie et la mise en liquidation de l'entreprise.
Ainsi le _____________________________________ de certaines activités pourra lui
procurer les fonds nécessaires à une _____________________________________. Des
alliances judicieuses ou des contrats de partenariat avec des entreprises financièrement
saines ou avec d'autres voulant bénéficier de son savoir-faire dans tel ou tel domaine
assureront la pérennité de son entreprise. Si la situation financière de l'entreprise le lui
autorise, une diversification généralement tournée vers des produits proches pourrait lui
permettre de pénétrer des marchés porteurs vers lesquels elle orientera ses activités. Une
politique de gamme bien ciblée peut être un _____________________________________
non négligeable.
Bien évidemment, l'ensemble de ces stratégies seront ou non réalisées en fonction de la
situation particulière de chaque entreprise (taille, notoriété, possibilités de financement).
absence de synergie activités à risques conglomérale déficitaires dégagement dégager
des liquidités diversification endettement équilibre financier facteur de survie métier
de base peu rentables plans de réduction des coûts recentrage rentabilité
restructuration sauver l'entreprise de la liquidation stratégies de survie survie
REPONSE
Les crises économiques ont dévoilé les faiblesses de nombreuses grandes entreprises qui ont
dû procéder à des restructurations. Une trop grande diversification hétérogène de leur
activité (concentration conglomérale) avait montré les limites de cette stratégie (absence de
synergie, endettement...).
Une réorganisation s'imposait pour améliorer la rentabilité. Elle s'est souvent traduite par un
recentrage des activités de ces entreprises sur leur métier de base. La technique utilisée est
simple, il s'agit de vendre des actifs généralement déficitaires ou peu rentables (locaux,
entreprises sans rapport avec le métier de base...), afin de dégager des liquidités qui seront
réinvesties dans son activité d'origine.

Ainsi, en se désengageant d'activités à risques, peu rentables, déficitaires, voire


excédentaires mais éloignées de son métier d'origine, l'entreprise assure le redémarrage de
secteurs qu'elle connaît parfaitement. Leur maîtrise lui assurera des parts de marché plus
importantes.
La stratégie de survie repose sur un constat d'échec économique et sur le risque de voir
l'entreprise disparaître. Il ne s'agit plus d'élaborer des stratégies de développement de son
activité mais tout simplement de sauver l'entreprise de la liquidation. Pour y parvenir, le
chef d'entreprise mettra en oeuvre tous les moyens dont il dispose.

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Elle consiste donc à engager des actions de redressement de façon à rétablir l'équilibre
financier et la structure financière de l'entreprise (plans de réduction des coûts, compression
des effectifs...).
Les stratégies de survie sont essentiellement financières qui ont pour objet d'éviter une crise
de trésorerie et la mise en liquidation de l'entreprise.
Ainsi le dégagement de certaines activités pourra lui procurer les fonds nécessaires à une
restructuration. Des alliances judicieuses ou des contrats de partenariat avec des entreprises
financièrement saines ou avec d'autres voulant bénéficier de son savoir-faire dans tel ou tel
domaine assureront la pérennité de son entreprise. Si la situation financière de l'entreprise
le lui autorise, une diversification généralement tournée vers des produits proches pourrait
lui permettre de pénétrer des marchés porteurs vers lesquels elle orientera ses activités.
Une politique de gamme bien ciblée peut être un facteur de survie non négligeable.
Bien évidemment, l'ensemble de ces stratégies seront ou non réalisées en fonction de la
situation particulière de chaque entreprise (taille, notoriété, possibilités de financement).
QUESTIONNAIRE FILTRATION.

QCM FILTRATION

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