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Emballage et Conditionnement

TS / 2ème année

Module

Formateur
HMAMA Mustapha
ISTA Berkane

Sommaire
Introduction..................................................................................................3
1. Définitions et objectifs de la traçabilité...................................................3
1.1. La traçabilité : outil de fiabilisation de l’étiquetage des denrées......4
1.2. La traçabilité : outil de maîtrise de la sécurité des produits..............4
a. Suivi des effets à long terme.............................................................4
b. Retrait des marchés des produits susceptibles de présenter un
risque.....................................................................................................4
1.3. La traçabilité n’est pas une fin en soi................................................4
2. Exemples d’outils de traçabilité existants...............................................5
2.1 Outils d'acquisition-transmission de l’information..............................5
2.1.1 Outils, manuels, papier.................................................................5
2.1.2 Outils informatisés........................................................................5
a. Code à barres....................................................................................5
b. Étiquettes radiofréquence.................................................................6
3. Le code à barre........................................................................................6
3.1. Des standards par secteurs d'activités..............................................6
3.2. Les principaux standards...................................................................7
3.3.1. Les codes à barres unidimentionnels ou linéaires.......................7
a. Le code EAN.......................................................................................7
b. Le code 39.........................................................................................8
3.3.2. Les codes à barres linéaires empilés...........................................8
3.3.3. Les codes à barres à deux dimensions........................................8
3.4. Lecteurs des codes à barres..............................................................9
4. Etiquettes RFID (Radio Frequency Identification)..................................11
4.1. Types...............................................................................................11
4.2. Composantes et fonctionnement....................................................12
Introduction
Dans la période récente, les interrogations sur l’alimentation, sur la qualité des
produits, sur leur sécurité, sur de nouvelles techniques de production se sont
multipliées. Ce constat suppose au plan général que les acteurs publics et privés
mettent en place des dispositifs qui permettront de garantir un haut niveau de
protection des consommateurs :
 d’abord, un système global d’analyse des risques doit aboutir à ce que
les citoyens vivent dans une société où les risques qui pourraient les atteindre
soient reconnus, évalués et effectivement réduits, par les décideurs, à un
niveau socialement accepté ;
 ensuite il faut, pour prévenir les crises sanitaires et assurer une information
aussi complète et transparente que possible des consommateurs, accélérer
l’organisation de la chaîne alimentaire ce qui suppose notamment
d’accélérer la mise en place de la traçabilité.

Dans l’esprit des consommateurs, la traçabilité est devenu un élément de


réassurance mais elle doit être conçue non comme un élément de la qualité des
produits mais comme une composante intrinsèque de la qualité des systèmes.

1. Définitions et objectifs de la traçabilité

Selon la norme ISO 9000-(2000), la traçabilité est « l’aptitude à


retrouver l’historique, la mise en oeuvre ou l’emplacement de ce qui est
examiné. Dans le cas d’un produit, elle peut être liée à l’origine des
matériaux et composants, l’historique de réalisation, la distribution et
l’emplacement du produit après livraison ».

Au sens de l’ancienne norme ISO 8402, la traçabilité est « l’aptitude à


retrouver l’historique, l’utilisation ou la localisation d’une entité (par
exemple, un végétal, un animal, une denrée alimentaire) au moyen
d’identifications enregistrées ».

Traçabilité descendante : elle permet à tous les stades du cycle de vie du


produit à partir d’un lot ou d’une unité de produit de retrouver l’historique et
l’origine du lot.
Traçabilité ascendante : elle permet à tous les stades du cycle de vie du produit
de retrouver la destination d’un lot ou d’une unité de produit.

La traçabilité fournit, à cet effet, les mécanismes de création d’un flux continu
d’informations couplées à un flux physique de marchandises. Son objectif
central vise donc à limiter la discontinuité de l’information tout au long de la
chaîne alimentaire, au moyen d’un système de documentation et
d’enregistrement des données liées aux transactions commerciales entre
opérateurs.
Établir la traçabilité d’un produit consiste donc pour les opérateurs à avoir la
capacité de transférer les informations relatives à ce produit (au minimum son
identifiant), à chaque cession ou transaction, sous la forme d’un étiquetage
approprié ou de documents d’accompagnement, et à enregistrer et conserver les
informations acheminées.
Toutefois, la traçabilité ne définit pas a priori le volume d'informations à
transférer. Les informations peuvent exister sans qu'il soit nécessaire de toutes
les transmettre à chaque cession.
Qu’elle soit descendante, c’est-à-dire qu’elle permette de connaître la destinée
de cette entité, ou qu’elle soit ascendante, c’est-à-dire qu’elle permette de
retrouver l’origine et l’historique de ladite entité, elle est considérée comme un
outil de gestion de la qualité et un outil d’information des entreprises, et
surtout les filières agroalimentaires, dont les pouvoirs publics soutiennent le
développement dans une finalité de meilleure organisation de la
logistique, de maîtrise des non-conformités (rappels des lots), de
promotion de la qualité et de l’origine (Label rouge, Agriculture
biologique, etc.), de transparence des de transparence des marchés
(étiquetage …), ou bien entendu, de gestion des alertes alimentaires.

La traçabilité implique deux notions :


 la traçabilité sur la logistique du produit (« permettre de remonter
aux origines du produit »), c’est-à-dire être capable de suivre le produit
dans l’espace et dans le temps;
 la traçabilité sur le contenu du produit (« connaître les conditions
de production et de distribution de ces produits »), c’est-à-dire être
capable de donner toutes les informations concernant la vie du produit
(alimentation des animaux, soins vétérinaires, produits phytosanitaires,
engrais, transformation, etc.).
Une traçabilité complète ne peut être que la juxtaposition de ces
deux formes de traçabilité.

1.1. La traçabilité : outil de fiabilisation de l’étiquetage des


denrées
L’objectif de l’étiquetage des aliments est de fournir des informations
pertinentes aux acheteurs et aux consommateurs. Pour ces derniers,
l’étiquetage vise à faciliter leurs choix et à les protéger contre des
pratiques déloyales ou trompeuses. La traçabilité améliore, dans ce
contexte, la fiabilité de l’étiquetage des produits et donc sa crédibilité.
Certains analystes distinguent :
— la traçabilité « transporteur » selon que les informations sont
dissociées du produit et qu’elles intéressent les actes des opérateurs;
— et la traçabilité « transportée » pour laquelle l’information
accompagne la marchandise.

De manière générale, l’organisation de la traçabilité doit être telle que les


informations forment un système d’échanges continu entre les
opérateurs considéré comme ininterruptible et infalsifiable.
1.2. La traçabilité : outil de maîtrise de la sécurité des
produits

a. Suivi des effets à long terme


La traçabilité apporte une dimension historique par l’obligation qu’elle
confère d’enregistrer et de conserver les données. La surveillance après la
mise sur le marché peut également s’avérer utile pour gérer des effets à
long terme inattendus d’un aliment particulier sur la santé.

b. Retrait des marchés des produits susceptibles de présenter un


risque
La traçabilité est un outil précieux pour la mise en oeuvre de procédures
de rappel de produits lorsqu’un effet indésirable est identifié, et faciliter
par la suite le retrait ciblé et précis des produits.

1.3. La traçabilité n’est pas une fin en soi


La traçabilité doit être construite comme un outil de confiance pour le
consommateur et non comme un instrument de marketing. La
traçabilité ne doit pas être mise en avant ni dans la publicité, ni dans les
mentions valorisantes, au point de donner à penser que des produits ont
été obtenus dans des conditions notablement différentes d’autres produits
de la même famille au seul motif que leur traçabilité serait assurée.

2. Exemples d’outils de traçabilité existants


On peut distinguer dans les outils existant deux grandes catégories par
rapport à la gestion des informations nécessaires au système de
traçabilité :
les outils d’acquisition-transmission de l’information ;
les outils de gestion de l’information collectée.

2.1 Outils d'acquisition-transmission de l’information


Chaque acteur de la filière doit réfléchir aux moyens techniques qu’il
emploiera pour la mise en oeuvre de la traçabilité, outils qui peuvent être
très variables selon les activités et la taille des entreprises.

2.1.1 Outils, manuels, papier


Dans les petites structures, notamment artisanales, les systèmes utilisant
les documents papier et la transmission manuelle des informations
peuvent avoir une efficacité suffisante. Une cession de documents papier
établis manuellement ou non est associée à chacune des étapes. Ces
documents papier peuvent être liés au produit (étiquette, emballage) ou
accompagner physiquement le produit (fiche suiveuse, bon de livraison,
facture).

2.1.2 Outils informatisés


Les outils informatisés sont des moyens d'échange d'informations
associées à la marchandise ou au processus. Quand ils sont utilisés dans
un système de traçabilité, ils doivent au minimum permettre d'identifier
les produits. En effet, dans un environnement informatisé, les informations
complémentaires de traçabilité peuvent être communiquées de manière
plus optimale par Échange de Données Informatisé (EDI) ou par Internet.

a. Code à barres
Le code à barres est un système de
codage de l’information représenté par
une succession de barres et d’espaces de
différentes largeurs dont la juxtaposition
représente des données numériques et
alphanumériques.

Le marquage de ce codage peut se faire


selon différentes techniques :
— le jet d’encre ;
— la gravure laser ;
— l’impression thermique.

Ce système est un outil de fiabilisation des données : il élimine les erreurs


dues aux saisies manuelles, notamment lors de changement d’atelier.
C’est un outil de gestion de l’entreprise (production, stocks, commandes)
d’utilisation simple et rapide. Il est bien adapté à la saisie d'informations
répétitives telle que l'identification des produits à leur réception et offre
des standards largement utilisés aujourd'hui.
Il existe de nombreux types de codes à barres ou codes à étages (codes à
barres assemblés en deux dimensions) de différentes densités
correspondant à différents types d'application : EAN 13 (code sur 13
caractères), UCC/EAN 128, RSS (Reduced space symbology), code 39 (3
parmi 9), PDF 417 (code intermédiaire entre les codes à étages et les
codes matriciels)…

b. Étiquettes radiofréquence
Ce système d’identification et d’échange d’informations est assuré par
une étiquette radiofréquence, posée sur l’objet à tracer et composée d’un
circuit intégré, d’un support et d’une antenne destinée à recevoir un signal
radio émis par un décodeur intégré au système informatique et à répondre
immédiatement par un signal radio différent et contenant une information
pertinente.
3. Le code à barre
Le code EAN (European Article Numbering) est un code à barres utilisé par
le commerce et l'industrie conformément aux spécifications d'EAN
International, organisme aujourd'hui remplacé par GS1 (Les codes à barres
EAN/UPC sont mondialement reconnus pour l'identification des produits de
grande consommation. Selon ses variantes, l'EAN/UPC contient 8, 12 ou 13
chiffres. Ils se caractérisent par leurs structures, leurs couleurs, leurs
tailles et leur emplacement. Parce qu'elles sont appliquées à l'échelle
mondiale, ces règles d'usage en font un standard..

3.1. Des standards par secteurs d'activités.   


En effet, de nombreux secteurs d’activités ont défini leur propre norme de
code à barres en fonction des besoins et exigences de leur métier.
Les normes interprofessionnelles précisent le type de symbologie,
l’emplacement du code sur le document ou l’étiquette, les dimension du
code, de ses barres, sa hauteur, la structure des information à codifier, le
texte devant accompagner le code …
3.2. Les principaux standards.   
La grande distribution et la presse avec GENCOD.
 EAN 13 Pour l’identification des unités consommateur. (Le produit)
 ITF Pour l’identification des unités de conditionnement. (Le carton)
 EAN 128 Pour l’identification des unités de d’expédition. (La palette,
éventuellement le carton)
L’industrie automobile avec GALIA.
 CODE 39 Construit autour du code 39, ce standard identifie les unités
d‘expédition et de conditionnement échangées entre les équipementiers
et les constructeurs automobiles.

L’industrie pharmaceutique avec CIP - Club Inter Pharmaceutique.


 CODE 39 (En France et dans la majorité des pays Européens) Pour
l’identification des unités consommateur. (Le produit)
 CIP HR (2/5) Spécifique au marché français.
Prestataires logistiques - TRANSPORTEURS
 GTF Définit la structure du code à barres incluant entre autre le code
postal, l’id transporteur, l’id expéditeur, n° de colis, etc.

3.3. Types de codes à barres


Les codes à barres (bar code) utilisent divers protocoles de codification
ou de symbolisme, qui diffèrent en fonction des contraintes d'utilisation
ou de normalisation.
Voici les trois types de codes barres les plus utilisés :
 les codes barres unidimensionnels ou linéaires ;
 les codes barres à deux dimensions.
 les codes barres linéaires empilés ;

3.3.1. Les codes à barres unidimentionnels ou linéaires

a. Le code EAN
Le code à barres EAN (European Article Numbering) a été développé à partir du code
américain UPC pour les besoins spécifiques du commerce européen. Il existe deux variantes,
l'une à 8 chiffres et l'autre à 13 chiffres, la seconde étant la plus utilisée.
Le code à barres EAN-13 se décompose
ainsi :
 le préfixe, qui représente le code du pays
ayant délivré le numéro de participant (2 ou
3 chiffres) ;
 le numéro de participant, qui est délivré
par l'organisation EAN du pays concerné (les 4
ou 5 chiffres suivants) ;
Figure : Code à barres  le numéro d'article du producteur de l'objet
EAN-13 étiqueté sur 5 chiffres ;
 le chiffre de contrôle ou "Check Digit", qui
est calculé selon les 12 premiers chiffres qui
composent le code.
Ce code est universellement utilisé dans le commerce de détail
européen. Le commerce de détail américain utilise un code un peu
antérieur (UPC), dont il existe plusieurs variantes.

b. Le code 39
Les caractéristiques du Code 39 sont les suivantes :
 il est de longueur variable. Alphanumérique, il permet de
codifier les 26 lettres majuscules, les 10 chiffres (0-9) ainsi que
8 caractères spéciaux (-, espace, *, $, /, +, %) ;
 il commence et finit toujours par « * ». Chaque caractère est
composé de 9 éléments : 5 barres et 4 espaces ;
 chaque barre ou espace est "large" ou étroit" et 3 parmi les 9 éléments sont
toujours "larges". C'est d'ailleurs ce qui est à l'origine de son nom : Code 39

Figure : Code à barres 39

3.3.2. Les codes à barres linéaires empilés


Code Les caractéristiques du Code à barres "PDF
PDF 417" sont les suivantes :
417  il est de longueur variable et peut
comprendre jusqu'à 1.850 caractères
alphanumériques ou 2.710 caractères
Figure : numériques ;
Code à barres PDF 417  il permet d'imprimer beaucoup
d'information sur très peu de surface :
180 caractères alphanumérique par
cm2.
Code Les caractéristiques du code 16K sont les
16K suivantes :
 il est de longueur variable et permet de
codifier les 128 premiers caractères ASCII.
Sa densité maximum est de 32 caractères
alphanumériques, ou 65 caractères
numériques, par cm2 ;
Figure : Code à barres  il comprend 2 à 16 lignes de
16K 5 caractères ASCII.

 
3.3.3. Les codes à barres à deux dimensions
Le code ONE

code DataMatrix

3.4. Lecteurs des codes à barres

Le code à barre est composé d'une successions de barres sombres et de


barres claires, de taille variable, mais toutes multiples d'une même largeur
élémentaire....Il existe quatre solutions optiques existent pour détecter les
variations sombres et claires :

 Le crayon lecteur : C'est le plus simple des appareils de lecture. Le


crayon effectue une lecture par passage manuel sur le code à barres.
Son petit prix en fait un modèle adapté aux faibles besoins de lecture,
éventuellement un outil de contrôle de l'information codée.

 Le capteur CCD : le lecteur se pose sur le code-barres, désigné


souvent par douchette. La douchette CCD autorise une lecture
automatique du code à barres, nul besoin de parcourir le code et
chacune de ses barres. Plus économique que les modèles lasers, les
lecteurs CCD sont capables de lire tous les codes à barres linéaires.
Certains modèles sont capables de lire les codes empilés (PDF 417).

Douchette

 Le rayon laser : le mouvement automatique de balayage du rayon


(miroir oscillant) va 'parcourir' toute la largeur du code-barre. La
source lumineuse est dense et précise, et autorise une lecture
rapprochée ou distante de plusieurs mètres ainsi qu’une lecture au
vol, sur des objets ou documents en mouvement. Tout comme les
lecteurs CCD, le lecteur laser réalise une lecture automatique du
code.

Douchette laser

Pistolets laser
4. Etiquettes RFID (Radio Frequency Identification)
De nos jours, l’identification et le suivi d’objets se développent de plus en
plus. Au départ, les codes barres permettaient cette identification mais ne
permettaient pas le stockage de certaines données. Voilà pourquoi les
étiquettes RFID se sont développées.

Une puce RFID

Code à barre RFID


Avantages Automatisé, facile à Automatique
imprimer Interactive, écriture plusieurs
Moins cher, fois
Standard, utilisé Possibilité de destruction rare
mondialement Stockage des données dans
Développement possible une seule étiquette
Inconvénien Ecriture une seule fois Prix onéreux
ts (Etiquette non Standardisation (fréquences…)
réinscriptible)
Capacité mémorisation
limitée
Lecture un par un
Possible destruction
Surface d’impression
4.1. Types
On distingue trois types d’étiquettes radiofréquence :
— l’« étiquette de lecture seule » contient des données inscrites par le
fabricant qui ne peuvent ni être modifiées, ni être complétées par la suite
(ce type d’étiquette est utilisé dans le secteur de la viande pour véhiculer
le numéro d'identification de crochet ou de bac) ;
— l’« étiquette en écriture une fois, lecture plusieurs fois » contient
des données enregistrées par le premier utilisateur qui pourront être lues
mais ni modifiées, ni complétées ;
— l’« étiquette en lecture/écriture multiple » à la différence de la
précédente pourra être écrite, effacée, modifiée, complétée et lue
plusieurs fois. Le nombre de répétitions de ces opérations peut dépasser
500 000 ou 1 million.
Cet outil offre plusieurs avantages par rapport au code à barres parmi
lesquels une capacité accrue de contenu et une souplesse de
positionnement plus grande mais il n’est cependant pas dénué de limites
techniques (les perturbations électromagnétiques notamment).
La standardisation au niveau international est sur le point d'aboutir mais
ne permet pas aujourd'hui d'application dans des systèmes ouverts entre
partenaires indépendants.

4.2. Composantes et fonctionnement


L’étiquette RFID se compose principalement  d’une puce électronique et
d’une antenne bobinée ou imprimée. La taille de la puce peut désormais
être réduite à celle d’un point. L'antenne, souvent composée de cuivre, est
déposée sur l'étiquette

L’ensemble de l’étiquette est activé par un signal radio fréquence


variable, émis par un lecteur composé lui-même d’une carte
électronique et d’une antenne. Le lecteur ou
interrogateur transmet un signal selon une
fréquence donnée vers une ou plusieurs
étiquettes radio situées dans son champ de
lecture.
Celles-ci transmettent un signal en retour.
Lorsque les étiquettes sont "éveillées" par le Lecture d'une étiquette
lecteur, un dialogue s’établit selon un protocole RFID
de communication prédéfini, et les données
sont échangées.

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