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Au cours des années 1960, les organisations s’efforçaient de trouver des gestionnaires et
non des administrateurs. Durant les deux décennies suivantes, elles s’intéressèrent aux
aptitudes en matière de leadership plutôt que de gestion. Au milieu des années 1980,
l’évolution rapide de l’environnement les conduisit à chercher de préférence des leaders
transformationnels. La plupart des gens s’entendront pour dire que, peu importe l’époque et le
nom qu’on leur donne, les gestionnaires d’aujourd’hui possèdent tous un point commun, soit
la capacité de communiquer, d’agir à la façon d’un entraîneur et d’un guide, de former des
équipes, de planifier et d’organiser, de se comporter suivant les règles éthiques, de se montrer
persuasifs et de motiver leurs subordonnés.
Les bons leaders parviennent à inciter les autres à agir volontairement d’une manière
positive en vue de réaliser un objectif commun. Il y a un élément que l’on doit absolument
posséder pour être à même d’exercer un leadership. Certains lui donnent le nom de crédibilité,
d’autorité morale ou d’intégrité. Pour agir à titre de leader, il faut en effet avoir la confiance
des autres.
I. LA NATURE DU LEADERSHIP
Un manager établit des objectifs, dresse des plans, aménage des structures, recrute des
employés, contrôle des activités et prépare des budgets. Le leadership va cependant plus loin
que cela. Ainsi, les termes « gestion » et « leadership » ne sont pas nécessairement
synonymes. On peut en effet trouver des managers qui ne démontrent pas toutes les qualités
d’un leader et des leaders qui ne possèdent pas toutes les aptitudes requises d’un manager.
Une personne qui occupe un poste de cadre sans être leader est un manager non-leader.
Pareil manager tire en général avantage de sa position officielle en appliquant les règles et en
dictant aux autres leurs actions. Il s’intéresse davantage aux systèmes et aux marches à suivre,
est à l’aise avec le statu quo et s’assure de faire les choses de la bonne manière.
Par contre, on reconnaît un manager leader non pas au poste qu’il occupe, mais plutôt à sa
capacité d’influer sur le comportement des autres par le biais de contacts interpersonnels. On
peut le décrire comme un individu qui veille sur les intérêts des autres en inspirant confiance,
en remettant en question le statu quo, en posant les bonnes questions et en prenant les
initiatives appropriées. Un leader s’intéresse au résultat et est capable d’amener ses
subordonnés à accomplir leurs tâches en usant de son influence personnelle et de son pouvoir
de persuasion. Il parvient ainsi à atteindre ses propres buts grâce à d’autres personnes qui
accordent du sens et de l’importance à ses objectifs.
Il ne faut cependant pas confondre leadership et domination. Un leader obtient des
résultats recherchés et se tient devant les membres de son groupe de manière à les inspirer, à
les former et à les motiver au lieu de se tenir derrière eux et à les pousser ou les surveiller à la
manière d’un gendarme.
Un manager doit posséder des aptitudes liées au domaine technique, aux relations
interpersonnelles, à la conceptualisation et à la communication. La plupart des cours
enseignés dans les universités se focalisent à la manière de :
- D’établir des objectifs, une politique et des marches à suivre ;
- De motiver les gens ainsi que d’organiser et de contrôler leurs activités ;
- D’analyser une situation et de formuler des plans stratégiques et opérationnels ;
- De réagir aux changements par l’utilisation de nouvelles stratégies et une
réorganisation ;
- D’apporter des modifications en instaurant une politique et des marches à suivre
nouvelles ;
- D’obtenir des résultats ainsi qu’une croissance, une rentabilité et un rendement du
capital investi acceptables.
Ces aptitudes ont bien servi les managers par le passé, mais les dirigeants des organisations
modernes doivent en acquérir d’autres pour réagir efficacement aux attentes croissantes de
même qu’aux besoins plus exigeants des employés. Certaines caractéristiques s’avèrent
nécessaires aux managers :
- Une perspicacité créative : il s’agit de la capacité à poser de bonnes questions pour
mettre l’accent sur les vrais problèmes. Les managers qui sont aptes à poser à
s’attaquer directement aux problèmes fondamentaux peuvent découvrir des
possibilités, des avantages et des points forts qui permettront d’orienter l’organisation
dans la bonne voie. Ils s’intéressent à tout ce qui permet d’élaborer une bonne stratégie
(les clients, les fournisseurs, les concurrents, les éléments liés à la technique de
fabrication, les forcent qui s’exercent sur le marché, …) ;
- La sensibilité : cette caractéristique permet d’établir des liens entre les individus grâce
à des valeurs et à une culture qui incitent les employés à viser l’excellence. Elle touche
surtout l’empathie, c’est-à dire la capacité de se mettre à la place d’une autre personne
pour mieux comprendre ses besoins et ses attentes. Les managers doivent exceller en
communication interpersonnelle, assurer aux employés une formation et un
perfectionnement continus, créer des programmes d’encouragement et garantir aux
employés une sécurité d’emploi compatible avec un bon rendement ;
- La capacité d’élaborer une vision de l’avenir : les dirigeants visionnaires sont ceux
qui sont aptes à discerner certains éléments qui échappent aux autres. Un dirigeant
visionnaire doit être à même d’énoncer clairement une philosophie, de prendre contact
avec les employés à tous les niveaux, de se montrer réceptif et expressif, d’apporter un
soutien et de se laisser atteindre par les autres, de prêter attention aux points forts et de
parler d’objectifs futurs.
- La souplesse : c’est la faculté de s’adapter aux changements, de biens les accueillir.
La seule constante du monde actuel étant le changement, les managers doivent
toujours continuer à apprendre, s’attendre à réussir, envisager divers scénarios
possibles et réviser les missions de l’organisation.
- La faculté d’amener les gens à se concentrer sur un objectif : il s’agit de mobiliser
les efforts des employés pour concrétiser une vision susceptible de favoriser l’atteinte
des résultats.
- La patience : cette caractéristique fait que l’on s’intéresse au long terme. Tout leader
souhaitant réaliser sa vision, sa mission et ses objectifs doit faire preuve de patience
pour obtenir des résultats
Bien que l’on juge ces caractéristiques essentielles, il importe de noter qu’elles ne
représentent que certaines des aptitudes que doit posséder un leader et qu’elles ne peuvent à
elles seules garantir le succès. Un leader a besoin pour réussir de certaines ressources telles
que le pouvoir, l’exercice d’une l’influence, l’autorité et la confiance des suiveurs.
4. L’exercice de l’influence
Exercer une influence consiste à prendre des initiatives ou à fournir des exemples qui
orientent soit directement, soit indirectement la conduite ou l’attitude des autres d’une
manière appropriée. Donner des ordres comme dans l’armée n’est certainement pas le moyen
le plus efficace que peut employer un leader pour obtenir un bon rendement de ses suiveurs
ou subordonnés. En effet, la main d’œuvre se compose aujourd’hui de personnes plus
instruites, plus expérimentées et plus exigeantes. Les employés ne doivent donc pas être
commandés ou dirigés mais plutôt guidés.
La capacité de communiquer représente sans conteste un élément clé qui aide un leader à
influer sur les actions d’autrui. En effet, une personne qui est incapable de communiquer avec
les autres ne peut exercer une influence. On peut d’ailleurs affirmer que la communication est
au centre de la gestion, car, une bonne communication exige que l’on exprime ses idées
(vision, mission, valeurs et objectifs) par le biais de messages clairement formulés.
Les leaders ont recours à la communication en tout temps : lorsqu’ils assistent à une
réunion, qu’ils s’entretiennent au téléphone avec quelqu’un, qu’ils font passer une entrevue
avec un candidat, qu’ils adressent un compliment ou une réprimande à quelqu’un, etc. les
personnes qui savent communiquer parviennent à commander le respect de même qu’à
influencer leurs suiveurs. La communication est un outil puissant qu’il faut sans cesse utiliser
et affiner.
5. L’autorité
L’autorité c’est le droit des managers de commander, de prendre des décisions et d’agir.
Elle permet à un cadre de d’adopter un certain comportement et d’orienter les actions d’autres
personnes en leur donnant des ordres directs. Elle se rattache au poste qu’occupe un individu
dans une organisation et ne tient pas compte des caractéristiques personnelles de celui-ci.
Lorsqu’un cadre exerce son autorité, les subalternes sont tenus de lui obéir. La source de
l’autorité découle de l’acceptation de celle-ci par les subalternes. L’autorité d’un cadre est
inexistante lorsque ses subalternes refusent de l’accepter.
6. Les suiveurs
Tout leader veut influencer les autres, les motiver et les aider à agir ainsi qu’à réaliser les
objectifs et les plans déterminés. Le manager n’arrivera à rien si ses subordonnés ne sont pas
prêts à se laisser diriger. Un manager qui n’a pas l’appui de ses subalternes ne peut exercer un
leadership.
Les principales qualités qu’admirent les suiveurs chez les leaders sont : l’intégrité
(sincérité, fiabilité, force de caractère, conviction), la compétence (capacités, productivité,
rendement) et les qualités de leader (inspiration, esprit de décision, capacité de fournir une
orientation), le courage et un esprit tourné vers l’avenir.
1. Le style autocratique
Un manager autocratique commande, prend toutes les décisions et exige de ces
subalternes qu’ils fassent leur travail exactement comme ils le désirent. Ses subalternes ne
participent aucunement au processus décisionnel. La communication se fait à sans unique, de
haut en bas. Un manager autocratique n’a pas confiance à ses subordonnés qu’il juge
paresseux et sans ambitions. Il manque également de confiance en lui. Il croit devoir
surveiller et vérifier de près tout ce que font ses subalternes. Il n’hésite pas à réprimander ses
subordonnés et même à les menacer pour qu’ils exécutent leur travail. Il centralise la prise de
décisions et refuse de déléguer son autorité. Pour s’assure que le travail sera fait comme il
veut, il fournit à ses subalternes des instructions précises et impose des méthodes ainsi que
des objectifs qu’il a lui-même créés. Bref, il agit comme un dictateur.
Bien que cette manière de procéder ne soit pas la plus efficace, elle porte ses fruits dans
certaines situations. Ainsi, les personnes non instruites, timorées et peu sûres d’elles préfèrent
qu’on leur dise quoi faire et de quelle façon. Le style autocratique permet en outre au manager
de prendre des décisions rapides.
2. Le style paternaliste
Le style paternaliste reflète une attitude bienveillante ou paternelle. Bien qu’il s’occupe
avant tout de la tâche à réaliser, un manager paternaliste offre à ses subordonnés divers
stimulants comme un bon salaire, d’excellentes conditions (avantages sociaux), de saines
relations de travail et tout autre chose qui leur permet d’améliorer leur situation financière. Il
se montre généreux et souhaite accroître le sentiment de sécurité de ses employés. Bref, il fait
preuve de considération à leur égard. Un manager paternaliste prend soin de ses subalternes,
mais ces derniers doivent agir conformément à ses ordres pour éviter d’être punis. Il traite
individuellement avec chacun de ses subordonnés, lesquels n’interagissent pas du tout les uns
avec les autres.
Cependant, ce style de leadership de leadership qui amène à satisfaire les besoins
physiologiques et de sécurité des employés n’est guère apprécié par ces derniers. Ils n’aiment
pas les managers qui ont tendance à leur faire des « cadeaux » ou essayent de les « acheter ».
3. Le style démocratique
4. Le style collégial
5. Le laisser-faire
Parmi les nombreuses théories du leadership, les plus marquantes peuvent être regroupées
en quatre catégories : les théories axée sur les traits de caractère, les théories axées sur le
comportement, les théories situationnelles et le modèle transformationnel.
Ces théories dressent un portrait-robot des leaders en supposant qu’ils ont tous des points
communs, dont l’intelligence, l’intégrité, la confiance en soi, une belle apparence, un esprit
d’initiative et un bon jugement. Elles se fondent sur l’hypothèse que les aptitudes en matière
de leadership sont innées et non acquises. Selon Stogdill, les traits associés à l’intelligence, à
la formation scolaire, à la responsabilité, à l’indépendance et à la position socio-économique
sont étroitement reliés à la capacité de devenir un bon leader. Il a mis en évidence les
principales caractéristiques qu’il juge important pour un leadership efficace, tel qu’énuméré
ci-dessous :
- Aptitudes sur les plans interpersonnel et social ;
- Compétences techniques ;
- Habileté à superviser ;
- Leadership ;
- Amabilité ;
- Intelligence ;
- Capacité à préserver la cohésion du groupe ;
- Aptitude à la coordination ;
- Motivation ;
- Eloquence, prestance, assurance ;
- Aptitude à fournir un soutien au groupe ;
- Habileté à maintenir des normes de rendement ;
- Volonté d’assumer des responsabilités ;
- Equilibre émotionnel et maîtrise de soi ;
- Aptitude à exercer une autorité de fait sur le groupe ;
- Enthousiasme et entrain ;
- Respect des principes éthiques et intégrité personnelle ;
- Facilité à communiquer ;
- Esprit de décision ;
- Energie physique ;
- Expérience efficace ;
- Maturité psychologique ;
- Courage et dynamisme ;
- Aptitude à prendre ses distances ;
- Créativité, indépendance ;
- Conformité des capacités aux exigences de travail.
Les managers n’ont cependant pas à acquérir toutes ces caractéristiques, mais chacune
d’entre elles peut l’aider à devenir plus efficaces. La relation existant entre l’un ou l’autre de
ces traits et l’efficacité d’un leader demeure peut-être encore obscure. Toutefois, lorsqu’on
examine ces qualités d’une façon globale, on obtient une idée générale de ce dont un bon
leader a besoin pour être efficace.
Les études portant sur le comportement donnent à penser que les managers doivent bien
comprendre la conduite associée au leadership pour jouer leur rôle efficacement.
a) Les théories X et Y
Douglas Mc Gregor a souligné l’importance de la perception qu’un supérieur a de ses
subordonnés. En effet, souligne-t-il, il faut s’attendre à ce qu’un manager adopte un style
différent selon qu’il juge que ses subalternes sont paresseux et incapables d’agir si on ne leur
dit pas quoi faire ou qu’ils sont désireux d’obtenir des résultats et capables d’entreprendre leur
travail par eux-mêmes. Il a proposé deux ensembles de perceptions contraires à cet égard et
leur a donné respectivement le nom de théorie X et de théorie Y.
La figure ci-dessous présente, d’un côté les croyances associées à chacune de ces théories,
et de l’autre, la conduite qu’un supérieur adopte envers ses subordonnés selon sa manière de
les percevoir.
Cette théorie stipule que l’on peut répartir les styles de gestion en quatre systèmes
élémentaires :
- Le système 1 se fonde sur l’exploitation et l’autoritarisme, le leader adoptant un style
autocratique ou dictatorial. Ce type de manager a peu confiance en ses subordonnés et
ne leur permet pas de prendre part au processus décisionnel. Il a recours à
l’intimidation, à des récompenses et à des punitions pour amener les employés à
effectuer leur travail. La communication est alors à sens unique.
- Le système 2 combine la bienveillance et l’autoritarisme, le leader agissant comme un
autocrate paternaliste. Bien que ce type de manager donne des ordres et prenne toutes
les décisions, il permet dans une certaine mesure à ses subordonnés d’exprimer leur
opinion au sujet de ses instructions. Ses subordonnés peuvent en outre choisir
comment faire leur travail pour autant qu’ils respectent certaines directives et marches
à suivre strictes.
- Le système 3, par ailleurs, repose sur la consultation, le leader faisant confiance à ses
subordonnés. Il établit des objectifs et oriente les activités de son groupe après qu’il en
a consulté ses membres. Ces derniers peuvent effectuer leur travail comme ils
l’entendent. Le leader les encourage à s’entretenir avec lui et leur apporte son soutien.
En général il préfère récompenser ses subalternes que de les punir.
- Le système 4 enfin, met l’accent sur la participation. Le manager et ses subordonnés
prennent les décisions ensemble parce qu’il règne entre eux une confiance absolue. Le
supérieur joue ici le rôle de soutien au lieu de se montrer condescendant ou menaçant.
La communication se fait dans toutes les directions. Pour motiver ses subalternes, le
manager fait appel non seulement à des éléments extrinsèques tels que des stimulants
économiques, mais aussi à des éléments intrinsèques tels que le fait de donner aux
employés le sentiment qu’ils ont de l’importance et qu’on les apprécie.
Les théories axées sur le comportement ont permis aux chercheurs de faire ressortir
davantage l’importance pour les leaders d’agir d’une certaine façon dans des circonstances
données. Elles ont détourné l’attention des caractéristiques, des traits ou des habiletés que
devrait posséder un leader pour la faire porter sur les initiatives que celui-ci devrait prendre
(la manière dont il devrait se comporter). Néanmoins, la conduite qu’adopte un leader dans un
environnement particulier ne lui permettra pas nécessairement de connaître du succès dans
une situation ou un contexte différent.
D’après Stogdill, toute analyse du leadership devrait tenir compte non seulement du leader
lui-même, mais aussi de la situation dans laquelle il se trouve. De nombreux chercheurs ont
fait ressortir que le style de leadership à privilégier varie essentiellement d’après trois
éléments, soit le leadership lui-même, les membres de son groupe et la nature de la situation.
Cette dernière joue un rôle clé dans la détermination du comportement que devrait adopter un
leader. Les principales théories situationnelles sont : la théorie de la contingence, l’approche
de l’intégration successive des buts personnels, le modèle de Vroom et Yetton et le modèle
situationnel de Hersey et Blanchard.
a) La théorie de la contingence
Elle fût élaborée par Fiedler qui s’intéressa aux variables situationnelles et aux styles de
leadership.
Les types de leadership : D’après Fiedler, il est plus facile de choisir un leader présentant
le style de gestion requis d’après les circonstances que de tenter d’adapter une situation à la
manière de faire d’un leader. Ainsi, lorsque le climat organisationnel favorise de bonnes
relations entre un gestionnaire et ses subordonnés, que les tâches ne s’avèrent pas très
structurées et que le pouvoir accordé est limité, il est préférable de se tourner vers un leader
passif, tolérant et indulgent. Par ailleurs, advenant une situation peu propice aux relations
interpersonnelles entre le gestionnaire et ses subalternes, une structure imprécise des tâches et
un pouvoir organisationnel peu étendu, on y gagnerait à choisir un leader dynamique qui
sache bien organiser et gérer les activités.
Ce modèle explique comment les décisions à prendre devraient se partager entre le leader
et ses subalternes. Il ressort que les décisions peuvent être prises soit par le gestionnaire lui-
même (autocratie), soit par le biais de la consultation ou encore par les subordonnés, en toute
latitude (démocratie). Le degré de participation du leader et des membres de son groupe varie
suivant le type d’activités en cause (activités structurées ou non structurées). En fait, tout
gestionnaire doit définir le style de prise de décisions à privilégier et adapter sa manière de
procéder par conséquent pour arriver au meilleur choix possible.
4. Le leadership transformationnel